Ma petite pouliche - Programme de soirée
Programme de soirée de la pièce Ma petite pouliche, présentée du 3 au 21 décembre 2024 au Théâtre La Licorne. Une production du Théâtre Point d'Orgue, présentée en codiffusion avec La Manufacture.
Programme de soirée de la pièce Ma petite pouliche, présentée du 3 au 21 décembre 2024 au Théâtre La Licorne.
Une production du Théâtre Point d'Orgue, présentée en codiffusion avec La Manufacture.
Transformez vos PDF en papier électronique et augmentez vos revenus !
Optimisez vos papiers électroniques pour le SEO, utilisez des backlinks puissants et du contenu multimédia pour maximiser votre visibilité et vos ventes.
MA PETITE
POULICHE
DU 3 AU 21 DÉCEMBRE 2024
Texte
PACO BEZERRA
Traduction
STÉPHANIE CARDI
Mise en scène
LOUIS-KARL TREMBLAY
Une production du
THÉÂTRE POINT D’ORGUE
En codiffusion avec
LA MANUFACTURE
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
LA PIÈCE
« S’il faut haïr la différence pour être une
personne normale, je sais pas toi, mais moi
j’veux pas que mon fils soit une personne
normale. Ni normale, ni ordinaire. »
El pequeño poni est créé en 2016 à Madrid. Depuis, la
pièce a été traduite en neuf langues et a fait l’objet de
plus d’une vingtaine de productions à travers le monde.
Ma petite pouliche sera la première traduction française
de ce texte.
Ma petite pouliche, c’est l’histoire de Louis, un garçon
de 10 ans, qui, après avoir été agressé physiquement et
verbalement, a été exclu de l’école où il étudiait parce
qu’il portait un sac à dos de la série « My Little Pony ».
La direction se justifie en disant qu’elle considère le
sac comme un « bullying trigger », c’est-à-dire une
provocation.
Pour écrire cette pièce, l’auteur s’est inspiré de faits réels
qui se sont déroulés aux États-Unis en 2014. Grayson,
un garçon de neuf ans, après avoir subi plusieurs
attaques physiques et verbales, s’est vu interdire l’accès
à l’école où il étudiait parce qu’il portait un sac à dos
My Little Pony. La direction s’est défendue en affirmant
qu’il s’agissait d’une stratégie visant à mettre fin à
l’intimidation. Est-ce la méthode à adopter ? Rejeter
un enfant plutôt que de sensibiliser l’école ? Un mois
auparavant, Michael Morones, également neuf ans, a eu
de graves problèmes à l’école et a commis une tentative
de suicide le laissant dans le coma. Il est décédé en 2021.
Il était également fan des mêmes dessins animés.
Ainsi, la célèbre série animée « My Little Pony » qui,
paradoxalement, consacre ses épisodes à la magie de
l’amitié et aux valeurs de la camaraderie, est devenue de
manière inattendue l’un des plus grands symboles de la
lutte contre le harcèlement scolaire.
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
PACO
BEZERRA
AUTEUR
Paco Bezerra est un auteur emblématique de la scène
espagnole contemporaine. Né en 1978 à Almería, dans le sud
de l’Espagne, il est très marqué par son enfance andalouse,
matériau privilégié de nombre de ses œuvres, auquel il
confronte des sujets politiques et intimes, toujours actuels et
issus du monde présent. Il a étudié la dramaturgie et les études
théâtrales à l’école supérieure de théâtre RESAD de Madrid
et l’art dramatique au laboratoire de théâtre William Layton de
Madrid.
À ce jour, il compte plus de quatorze pièces, mises en scène
et traduites dans plusieurs langues (anglais, roumain, français,
allemand, arabe, portugais, hongrois, grec et italien). Dentro
del la tierra (2007) a reçu le Prix National de Théâtre Calderón
de la Barca 2007, ainsi que le Prix National de Littérature
Dramatique 2009, tous deux décernés par le Ministère de la
Culture espagnol. El pequeño poni (Ma petite pouliche) est
créé en 2016 à Madrid. En 2022, Muero porque no muero,
remporte le XXX e Prix SGAE de théâtre Jardiel Poncela.
© Paco Bezerra
La pièce Muero porque no muero, récit basé sur les écrits de
Sainte Thérèse d’Avila, a fait l’objet d’une censure en Espagne
où elle devait être montée. À ce jour (en 2024), cette création
n’a toujours pas eu lieu en Espagne, empêchée par la pression
de l’extrême droite. Un large mouvement de soutien à Paco
Bezerra, mais plus largement à la liberté de création artistique,
s’est alors exprimé dans le pays. Cette dernière pièce a
fait l’objet d’une mise en lecture au Théâtre de La Bastille
l’automne dernier.
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
MOT DU
METTEUR EN SCÈNE
Je suis un enfant des années 80 (un modèle 83). Né pendant
le dernier mandat de Trudeau-père, mon enfance a été
marquée par le Canal Famille et Musique Plus, la musique
des Backstreet Boys et des Spice Girls, l’invention des CDs
et du téléphone sans fil, la crise du verglas et le décès de
Marie-Soleil Tougas. Marqué également par l’intimidation
due à une homophobie encore bien présente à cette
époque. Je dis homophobie, mais enfant, je ne me posais
certainement pas ces questions sur la sexualité. Mais les
insultes à caractère homophobe étaient celles choisies pour
m’intimider et me rejeter, laissant l’école et mes parents sans
ressource.
© Julie Artacho
— Ignore-les.
— Ça fonctionne pas, ils continuent.
— Réponds-leur.
— Ça empire.
— Frappe-les.
— FIF!
Je frappe Philipe avec ma flute à bec, je regrette aussitôt,
j’aurais pas dû. Je me retrouve dans le bureau de Soeur
Cécile.
— Qu’est-ce qui s’est passé? me demande la directrice.
— Philippe m’a traité de fif!
Elle me scrute un moment avant d’enchaîner.
— Est-ce que c’est vrai? Est-ce que t’as des… manières?
Je ne sais pas quoi répondre. J’ai dix ans, je suis sans mot.
Ça pourrait donc être de ma faute si je me fais écoeurer? Ce
serait à cause de mes «manières»? Qui je suis est la cause
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
de mon rejet? Donc si je comprends bien, si je modifie ma
façon d’être, je ne me ferai plus écoeurer?
Cet évènement «fondateur» de mon identité m’a
profondément blessé. Je le réalise après quarante ans. Je
sais bien qu’en rétrospective on se dit avec ironie « My God
Soeur Cécile! Bravo pour cette intervention réussie!» Mais
c’est malheureusement un comportement qu’on observe
souvent; cibler la différence de l’enfant et tenter de la
corriger pour éviter son rejet. C’est dire à la victime: «c’est
de ta faute si ça t’arrive, change ça puis organise-toi pour
plus que ça arrive.» Mais quand il s’agit de son identité, de sa
personne, de son être, ça ne se change pas Soeur Cécile.
J’ai vieilli et j’ai pris pour acquis que les cas d’intimidation
étaient maintenant dénoncés et traités avec justesse dans
les écoles. Les actualités nous prouvent malheureusement
le contraire; l’intimidation et la différence restent des
enjeux cruciaux dans les écoles. Peut-être que l’enfance
et l’adolescence resteront des périodes où l’on rejette pour
se construire. Cela fait partie d’une évolution normale.
Mais ce qu’on peut changer, c’est la façon d’intervenir et
d’accompagner les victimes, d’éduquer et de sensibiliser à
l’Autre.
Ce spectacle est une réparation. Pour le jeune Louis que
j’étais, et pour ceux qui suivront. Une occasion de réfléchir au
dialogue qu’on entretient avec la différence. Devenons une
meilleure écoute pour les enfants d’aujourd’hui et de demain.
LOUIS-KARL TREMBLAY
Metteur en scène et
Directeur artistique du Théâtre Point d’Orgue
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
LES INTERPRÈTES
Biographies
Bruno Marcil a campé des rôles marquants dans Mémoires Vives,
19-2, Jean Béliveau, Les Invisibles, Victor Lessard, Épidémie.
Il a aussi été de la distribution de La Faille II et Sortez-moi de
moi. Depuis la dernière année, nous avons pu le voir dans STAT,
Haute démolition, Les Perles, Doute raisonnable, Mégantic et In
Memoriam. Au cinéma, on a pu le voir dans les films C’est pas
moi, je le jure!, Duo, Souterrain, Le danger en face et Arlette. Il est
également du long-métrage Jour de chasse d’Annick Blanc.
© Annie Éthier
Bruno Marcil
dans le rôle de Philippe
Au théâtre, on l’a vu dans des productions marquantes telles que
Contre le temps, L’Avare, Le Balcon, Sainte-Carmen de la Main,
20 000 lieues sous les mers, Tranche-cul, Othello, Dénommé
Gospodin, Le Déclin de l’empire américain et Les Harding dans une
mise en scène d’Alexia Bürger. Dernièrement, il a joué dans Alep,
Portrait d’une absence et Abraham Lincoln va au théâtre.
Évelyne Rompré est diplômée du Conservatoire d’art dramatique de
Québec en 1997. Elle s’est taillée une place de choix dans le milieu
théâtral. Plus récemment, elle a fait partie des œuvres Britannicus,
Disparu.e.s, Corps Célestes, L’Heure Bleue, Si jamais vous nous
écoutez, À cause du soleil, Si vous voulez de la lumière et Le
Misanthrope. Elle participe également à La traversée du siècle, mise
en scène par Alice Ronfard.
© Jean-François Brière
Évelyne Rompré
dans le rôle de Camille
À la télévision, elle a joué dans Plan B et Une affaire criminelle au
cours de la dernière année. Au cinéma, Évelyne était récemment
dans Le rire et Aimé. Nous avons également pu la voir dans les
courts-métrages 34 cm au sol et Chat mort.
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
ÉQUIPE DE CRÉATION
Texte
Paco Bezerra
Traduction
Stéphanie Cardi
Mise en scène
Louis-Karl Tremblay
Avec
Bruno Marcil
Évelyne Rompré
Assistance à la mise en scène
Andrée-Anne Garneau
Décor et costumes
Karine Galarneau
Éclairages
Robin Kittel-Ouimet
Musique
Antoine Bédard
Accessoires
Jeannot et Krystal
Assistante aux conceptions
décor et costumes
Maude Janvier
Direction de production
Andrée-Anne Garneau
Régie
Clara Desautels
Stagiaire à la mise en scène et
régie plateau
William Lagrange
Direction technique
Alice Germain
François Martel
Construction du décor
Atelier Ovation
Relations de presse
Alain Labonté
Photo de l’affiche
Richmond Lam
Remerciements
Théâtre Prospero
Jonathan Pichette, Softbox
Paco Bezerra tient à dédier ce
texte à Michael Morones et
Grayson Bruce.
Une création du
Théâtre Point D’Orgue
En codiffusion avec
La Manufacture
ÉQUIPE DU THÉÂTRE POINT D’ORGUE
Direction artistique
Louis-Karl Tremblay
Direction administrative
Stéphanie Cardi
Direction technique
Robin Kittel-Ouimet
Conseil d’administration
Frédéric Pagé
Juge administratif,
Commission des transports du Québec
Ariane Lacombe
Sophie Deschênes Hébert
Avocate, LJT Avocats
Louis-Karl Tremblay
Metteur en scène
Robin Kittel-Ouimet
Éclairagiste et artiste
Stéphanie Cardi
Comédienne, traductrice et scénariste
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
THÉÂTRE
POINT D’ORGUE
Théâtre Point d’Orgue
est créé en 2008.
Depuis plus de 15 ans,
le TPO se distingue par
ses choix de textes qu’il
puise majoritairement
dans la dramaturgie
étrangère, y prélevant
des échos et miroirs de
notre société actuelle,
pour en faire une
présentation moderne
et inédite. Théâtre Point
d’Orgue est porté par
un élan poétique et
politique de nommer
ce que nous sommes,
de réfléchir notre
condition de citoyen,
d’observer la perte des
repères et le vertige
d’exister sous l’emprise
des ordres sociaux sur
l’individu. TPO a créé
Les Troyennes (2009),
Yvonne Princesse de
Bourgogne (2011), Les
Atrides (2013), Ombre
Euridyce Parle (2019),
Mademoiselle Agnès
(2022, 2024).
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
TOUT ÇA
AU QUAT’SOUS
Du 22 janvier au 15 février 2025, Théâtre Point
d’Orgue en coproduction avec le Théâtre de
Quat’Sous présente Tout ça de l’auteur britannique
Alistair McDowall. Dans ce monologue audacieux
pour une actrice, l’auteur transcende l’expérience
féminine avec chaleur et humour en dressant un
inventaire de la vie à la fois impressionniste et très
concret. À travers une évolution captivante du
langage, plongez dans une performance de haute
voltige et parcourez toute une vie en un seul souffle.
Tout ça, c’est la vie d’une femme de sa naissance à sa
mort. Les sons deviennent des mots, qui deviennent
des phrases, qui deviennent des découvertes qui
forment l’existence. Les mots — leurs sonorités, leurs
compositions, leurs répétitions — sont transformés en
matière. Ils deviennent physiques. Sur le plateau, le
rythme des phrases qui s’enfilent et la modulation du
ton décident de tout. On est face à une ambitieuse
et fascinante orchestration du langage qui permet,
au fil de la pensée, de se démultiplier afin de plonger
au cœur de l’existence humaine, d’en expérimenter la
pesanteur et d’en exposer la futilité.
DÈS LE 22 JANVIER
© Samuel Pasquier
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
ENJEUX
Théâtre Point d’Orgue a eu envie de réfléchir aux enjeux de la pièce
avec le public en se joignant à l’organisme Ensemble pour le respect de
la diversité. Une initaitive de médiation culturelle pour le public de La
Licorne et une façon de poursuivre la réflexion après les représentations.
RAFAËL PROVOST
Directeur général,
ENSEMBLE pour le respect de la diversité
Fondé en 1996, Ensemble pour le respect de la
diversité a comme mission d’agir avec les jeunes afin
de promouvoir le respect des différences et engager
le dialogue dans le but de bâtir un environnement sans
intimidation et discrimination, et ce, sous toutes ses
formes. Leurs activités se déroulent dans les milieux
francophones et anglophones du secteur public et
privé partout à travers le Québec et ailleurs au Canada,
et se résument à la présentation de divers ateliers ainsi
qu’à leurs projets Empreintes, qui sont la formation
de comités de jeunes qui élaborent des projets de
sensibilisation dans leurs écoles.
INTIMIDATION
ET DIVERSITÉ
La pièce aborde les enjeux d’intimidation et
de diversité. On pourrait croire que c’est un
thème appartenant à une époque révolue,
mais la situation n’est pas sans rappeler
plusieurs actualités tragiques ici et chez nos
voisins du Sud. Pensons notamment au cas
du jeune Nex Benedict, enfant non-binaire
de 16 ans, qui a été battu dans les toilettes
des filles de son école en Oklahoma en
février 2024. Le lendemain, Nex s’est
enlevé la vie. Est-ce que l’école était au fait
du harcèlement que Nex subissait? Qu’a
fait la direction pour protéger l’enfant? Le
bien-être de tous les enfants n’est-il pas une
responsabilité collective? Est-ce possible
d’intervenir quand l’intimidation a un cadre
législatif dans cet état?
Cet évènement tragique est devenu un symbole
de la peur exprimée par les communautés
2SLGBTQ+ entourant les discours haineux,
la propagande anti-trans et les lois restrictives
mises en place notamment dans certains états
américains. Comment entrevoir un avenir
positif quand le 47 e président des États-Unis
et des gens de son cabinet ont des propos et
des comportements d’intimidateurs.
Le harcèlement et l’intimidation sont rarement
des évènements qui n’arrivent qu’une seule
fois. La pièce décrit parfaitement cette
sournoise escalade de la violence dans la vie
d’une famille.
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
Qu’en est-il de l’intimidation et de la différence ici
au Québec? Nous faisons un bref état des lieux avec
Rafaël Provost, directeur général de l’organisme
Ensemble pour le respect de la diversité.
L’intimidation, ça existe encore dans les écoles?
Oui, et ce n’est pas un phénomène en déclin, au
moins 1 jeune sur 4 dit en subir encore aujourd’hui.
Mais c’est mieux reconnu et les jeunes, comme les
adultes, osent davantage en parler. L’intimidation
évolue, particulièrement avec le cyberespace, ce
qui demande des solutions adaptées, soutenues et
continues.
Quel serait le rôle de l’école lorsqu’une situation
d’intimidation est dénoncée?
L’école doit être un espace bienveillant. Écouter
sans minimiser, agir rapidement et assurer un suivi
transparent et personnalisé sont essentiels. Chaque
jeune doit sentir que sa voix compte et que son
bien-être est prioritaire. Le respect, ça s’apprend.
Comment les parents peuvent intervenir? Quel
est leur champ d’action?
Les parents doivent être des alliés, pas des juges.
Observer, collaborer avec l’école, surtout écouter
et encourager l’ouverture au dialogue, c’est là leur
plus grand pouvoir. Une question accessible et
toute simple peut faire toute la différence : posezla
à vos proches – Comment vas-tu, pour vrai ? Les
jeunes (et moins jeunes) demandent à être écoutés.
Est-ce qu’il y a des protocoles d’intervention dans
les écoles et sont-ils bien établis au Québec?
Oui, chaque école a des protocoles grâce à la Loi
sur l’intimidation et la violence. Mais bien que la
structure existe, son application peut être inégale
selon les ressources disponibles. La formation
continue, les espaces de dialogue et la vigilance
sont nécessaires pour les rendre vivants. Collaborer
avec des organismes communautaires comme
ENSEMBLE est aussi un grand atout pour réaliser
ce travail d’équipe nécessaire.
Est-ce qu’on pourrait aller plus loin pour protéger
la différence? Comment?
Oui, en intégrant l’éducation à l’inclusion dès le
plus jeune âge et en normalisant la diversité dans
toutes ses formes. Sensibiliser, c’est plus que bien.
Agir collectivement pour que chacun trouve sa place,
c’est encore mieux.
Quelle est la plus belle avancée ou la plus grande
victoire dans les dernières années ici concernant
l’inclusion et le respect de la diversité?
La reconnaissance légale de la diversité des identités
de genre au Québec marque une étape majeure. Cela
ouvre des portes au dialogue, à la compréhension,
et à une inclusion plus concrète pour des milliers de
personnes. Nous sentons également que, plus que
jamais, tous les acteurs du milieu veulent travailler
ensemble. Cela est aussi un signe d’espoir important
et rassurant.
Jeudi 5 décembre
Samedi 7 décembre
Samedi 14 décembre
Jeudi 19 décembre
Samedi 21 décembre
DISCUSSION AVEC L’ORGANISME
ENSEMBLE POUR LE RESPECT DE LA
DIVERSITÉ
À l’issue de ces représentations de Ma petite
pouliche, vous êtes invités à une discussion avec des
membres de l’organisme Ensemble pour le respect de
la diversité et des membres de l’équipe du spectacle.
Les enjeux d’inclusion, de diversité et d’éducation
seront abordés. Activité gratuite.
Jeudi 12 décembre
TÊTE-À-TÊTE AVEC ALEXANDRE CADIEUX
ET L’ÉQUIPE DU SPECTACLE
Le jeudi 12 décembre, après la représentation de Ma
petite pouliche, La Licorne vous invite à une discussion
avec Alexandre Cadieux, le metteur en scène du
spectacle, Louis-Karl Tremblay, et les interprètes.
Cette causerie sera l’occasion de discuter du
processus de création et des thématiques de la pièce.
Activité gratuite.
Théâtre Point d’Orgue - Ma petite pouliche
PRODUCTEUR
COMPLICE
PARTENAIRES PUBLICS