DJAZAGRO Daily - 2025 - DAY 4 Edition
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JOUR 4
JEUDI 10 AVRIL 2025
HALL A
STAND B 041
HALL CT
STAND C 205
DJAZAGRO 2025
L’AGROALIMENTAIRE
EN PLEINE
RÉVOLUTION
UN CONCENTRÉ D’INNOVATIONS,
D’ÉCHANGES ET D’ÉNERGIE POUR
L’AVENIR DU SECTEUR
ACTUALITÉS DU SALON
TANIS CONFECTIONERY, UN COUP DE
CŒUR BIEN MÉRITÉ POUR UNE LIGNE
DE MOULAGE REPENSÉE DE A À Z
#07
ACTUALITÉS DU SALON
#08
INTERVIEW
EXCLUSIVE
DR. KAHINA MELLAB
Maître de recherche
au CREAD
ARÔME ANANAS COCO :
UNE SIGNATURE TROPICALE SIGNÉE
AROMATECH
#11
PLAN
Hall A / Stand B 010
Hall C / Stand A 069
Hall CT / Stand B 001
Hall A / Stand G 021
Hall CT / Stand B 008
Hall CT / Stand E 136
Hall CT / Stand E 076
Hall C / Stand A 089 Hall CT / Stand F 063
Hall C / Stand A 070
I ACTUALITÉS DU SALON I
Le briefing
matinal
de Chantal
de Lamotte
Chantal de Lamotte
Directrice du salon Djazagro
DJAZAGRO 2025 :
Clap final sur une édition portée
par l’innovation et les opportunités
Bonjour à toutes et à tous, et
bienvenue à ce dernier jour de
Djazagro 2025 !
Celui-ci est loin d’être une journée
creuse : c’est un moment crucial
pour faire du business, découvrir
des exposants et consolider les
contacts noués tout au long
du salon. Ne ralentissez pas le
rythme – plus que jamais, de
belles opportunités vous attendent
encore aujourd’hui.
Cette édition 2025 a été marquée
par des tendances fortes
qui dessinent l’avenir de
l’agroalimentaire algérien.
L’innovation a été omniprésente
sur tous les stands, dynamisant
notre marché en apportant des
solutions concrètes aux nouveaux
enjeux du secteur. Symbole de
cette dynamique, les lauréats du
concours Djaz’Innov ont brillé
par leur créativité, prouvant
par l'exemple la capacité de
renouvellement d'un marché en
plein développement.
Autre tendance notable : le rôle
croissant de l’emballage. Ce
secteur s’affirme grâce à des savoirfaire
venus d’autres industries
et des approches toujours plus
techniques, prouvant qu’il est,
bien plus qu’un simple support, un
véritable levier d’innovation.
Plus largement, une véritable
révolution agroalimentaire est en
cours en Algérie. Nous voyons
monter en puissance les capacités
de production locales et une
diversification accrue de l’offre,
témoignant de l’essor de nos
acteurs nationaux et de leur volonté
d’innover.
Parmi les nouveaux horizons,
notons la percée progressive de
segments émergents comme le
bio. Encore modeste, le segment
biologique se révèle déjà porteur
de croissance pour les années à
venir.
Devant ces perspectives
enthousiasmantes, rappelez-vous
qu’il reste une journée entière
pour en profiter. Parcourez les
allées une dernière fois, échangez
vos cartes de visite, assistez
aux démonstrations de dernière
minute : il y a encore des produits,
des services et surtout des gens
à rencontrer, jusqu’au dernier
moment. Profitez-en pleinement !
Enfin, au nom de toute l’équipe, je
tiens à remercier chaleureusement
tous les participants, exposants,
partenaires et visiteurs qui ont fait
de cette édition 2025 un succès.
Votre confiance, votre énergie et
votre passion sont au cœur de
Djazagro.
Très bonne dernière journée à
toutes et à tous, et encore merci
pour cette belle aventure partagée
PROGRAMME
JEUDI 10 AVRIL
▶ 11 h 00 - 11 h 45
Conférence : Le conditionnement
de l'huile d'olive en Algérie :
défis, coûts et perspectives
d'amélioration
Yamina DERDAH
SARL Oleiconseil
▶ 12 h 00 - 12 h 45
Présentation des
nominés Djaz’Innov
▶ 13 h 00 - 13 h 45
Conférence : Présentation
du Club PAI (People for food
Additives & Ingredients)
Alix DE REYNAL
Secrétaire générale du Club PAI
▶ 14 h 00 - 14 h 45
Conférence :
Révolutionner les ventes
agroalimentaires : l’importance
de la formation en négociation et
gestion client
Amine ZAHRAOUI
Gérant et formateur (ITCCF, école de
formation)
Djazagro Daily est une publication CLEVERDIS.
439 route de la Seds - 13127 Vitrolles, France - Tel: + 33 442 77 46 00
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Avec la participation de : Bettina Badon, Zineb Elhabiri, Monica Hutchings, Benjamin Klene, Mélanie Meynard, Emiliana Van Der Eng, Veronika Verzhak >>>> Pour les contacter : prénom.nom@cleverdis.com
Couverture : © Kahina Mellab, CREAD - Imprimeur : Imprimerie EdDIWAN, Alger, Algérie / P
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DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 3
I ACTUALITÉS DU SALON I
IL EST ÉVIDENT
QUE LES
STANDARDS DE
QUALITÉ ET DE
RENTABILITÉ FONT
QUE L’ON NE
TRANSFORME PAS
DU TOUT VENANT
Ahmed Radja
Ingénieur agroéconomiste
et dirigeant de la société
SOGESTA
Vers une nouvelle synergie entre
agriculture et transformation
La qualité et la rentabilité passent par une meilleure
organisation de la production en amont. Lors de son
intervention à l’Agora des Experts, Ahmed Radja a plaidé
pour une intégration plus forte entre agriculture locale et
filières agro-industrielles.
Mardi, dans le cadre de l’Agora des
Experts du salon Djazagro, Ahmed
Radja, ingénieur agroéconomiste et
dirigeant de la société SOGESTA, est
intervenu sur un sujet aussi technique
que structurant : les exigences
techniques et organisationnelles des
productions agricoles destinées à la
transformation.
Son discours, nourri par une double
expérience de terrain et de conseil,
a mis en lumière les conditions
fondamentales pour faire émerger une
filière agroalimentaire compétitive,
durable et alignée sur les réalités
algériennes. En s’appuyant sur des
exemples concrets, il a démontré que
la qualité d’un produit transformé
dépend avant tout de la rigueur
appliquée dès l’amont, au niveau de
la parcelle.
« La qualité et l’excellence se
produisent au niveau de la
parcelle », a-t-il affirmé d’emblée,
invitant les participants à revoir leurs
priorités. Pour lui, les standards de
qualité et de rentabilité qui guident
les unités de transformation imposent
des exigences bien précises aux
producteurs : choix variétal adapté,
maîtrise de l’itinéraire technique,
mécanisation, logistique post-récolte…
Autant d’étapes qui conditionnent
directement l’aptitude d’un produit
à entrer dans un processus de
transformation industriel.
Il a notamment détaillé les différents
paramètres à intégrer : la mécanisation
des récoltes, encore trop limitée dans
certaines filières ; le transport, qui
doit respecter des délais courts pour
préserver la fraîcheur ; les traitements
préalables (lavage, tri, calibrage) ;
et enfin, le stockage, qui nécessite
parfois le recours à la chaîne du
froid. Ces éléments, bien que souvent
négligés ou sous-estimés, sont
essentiels pour garantir des volumes
réguliers, une qualité constante et une
meilleure rentabilité globale.
Son intervention lui a également donné
l’occasion de délivrer un message
fort à destination des investisseurs
présents dans la salle ou attentifs à la
thématique : la transformation ne peut
réussir sans une base agricole solide et
bien organisée. Trop souvent encore,
les projets industriels se heurtent à
l’absence d'approvisionnement local
fiable, en quantité comme en qualité.
Il a donc plaidé pour une meilleure
coordination entre producteurs et
transformateurs, basée sur des cahiers
des charges clairs, une mutualisation
des moyens techniques, et des
relations de confiance.
Dans ce contexte, l’Agora des
Experts a pleinement joué son rôle
de carrefour d’idées et d’orientation
stratégique. Selon Ahmed Radja, ce
type d’espace est essentiel pour
accompagner les porteurs de projets
dans leurs réflexions et leur permettre
de sécuriser chaque étape de leur
investissement. « L’expert, qu’il soit
une personne physique ou morale, est
là pour aider l’investisseur à construire
un projet viable, en intégrant toutes
les dimensions techniques et
économiques », a-t-il précisé.
Enfin, en conclusion de son
intervention, il a salué l’évolution
du salon Djazagro, qu’il fréquente
régulièrement. Ce dernier, selon lui,
reflète fidèlement la transformation
en cours du secteur agroalimentaire
algérien. Il a rappelé qu’il y a quelques
années encore, de nombreuses
unités industrielles fonctionnaient
avec des matières premières
importées. Aujourd’hui, une nouvelle
dynamique est en place : celle
de l’intégration progressive des
productions agricoles locales dans les
chaînes de transformation.
Cette évolution, soutenue par les
politiques publiques, ouvre de
nouvelles perspectives. Elle valorise
le produit national, stimule les
investissements agricoles, et favorise
l’émergence de circuits courts plus
résilients. Le salon Djazagro, à travers
ses espaces comme l’Agora des
Experts, contribue activement à cette
dynamique vertueuse en rapprochant
les acteurs de l’amont et de l’aval de
la filière
4 DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 news.djazagro.com
I ACTUALITÉS DU SALON I
Amine Zahraoui
Fondateur et gérant du cabinet
de formation International
Training Coaching & Consulting
Forum (ITCCF)
Former pour transformer :
un levier stratégique pour l’agroalimentaire
Ingénieur de formation et passionné de pédagogie, Amine
Zahraoui s’exprime aujourd’hui à l’Agora des Experts sur un
enjeu clé pour les entreprises du secteur : l’évolution des
compétences, en particulier des profils techniques, vers
une plus grande polyvalence commerciale.
C’est aujourd’hui, jeudi 10 avril,
qu’Amine Zahraoui prendra la parole
à l’Agora des Experts pour évoquer un
sujet qui touche de près les entreprises
du secteur agroalimentaire : la montée
en compétence des techniciens et
ingénieurs dans un environnement
de plus en plus concurrentiel, où les
fonctions techniques et commerciales
doivent dialoguer plus efficacement.
Fondateur et gérant du cabinet de
formation International Training
Coaching & Consulting Forum
(ITCCF), qu’il a créé en 2019,
Amine Zahraoui est avant tout un
professionnel de terrain. Titulaire
d’un diplôme d’ingénieur en sciences
agronomiques (Université de Blida),
il a évolué pendant une quinzaine
d’années dans des fonctions de
R&D, marketing et management
commercial, au sein d’entreprises de
l’agrochimie, de la nutrition animale
et de l’agroalimentaire. Fort de
cette double culture — technique et
opérationnelle — il s’est donné pour
mission de repenser l’apprentissage
et la transmission des savoirs dans le
secteur.
« Dans l’agroalimentaire, la réussite
passe par une collaboration fluide
entre technique et vente », affirmet-il.
Lors de son intervention, il
insistera notamment sur la nécessité
de transformer le profil de nombreux
techniciens, souvent très bien
formés sur le plan scientifique,
mais peu préparés aux réalités de
la négociation, de la distribution ou
encore de la gestion de portefeuille
clients.
Amine Zahraoui s’appuiera sur une
anecdote fondatrice.
Tout jeune ingénieur, il se vantait un
jour, lors d’un dîner d’affaires, de sa
technicité hors pair — tout en avouant
avec humour qu’il n’était « pas très
bon commercial ».
La réponse de son interlocuteur, un
expert étranger, fut sans appel : « Un
ingénieur brillant n’a pas le luxe
de rester enfermé dans son cocon
technique. »
Cette leçon l’a marqué durablement :
il faut savoir transformer ses
compétences techniques en
un savoir-faire orienté business, sans
quoi l’expertise reste incomplète.
C’est justement ce défi que son
organisme de formation s’attache
à relever. ITCCF propose des
parcours sur mesure, construits à
partir d’une analyse approfondie des
besoins de chaque entreprise. Le
cabinet accompagne les techniciens
dans une transition progressive et
encadrée vers des fonctions technicocommerciales,
en leur donnant des
repères, des méthodes, et surtout une
structure pédagogique claire. Il ne
s’agit pas d’improviser sur le terrain ou
d’apprendre « sur le tas », mais bien
de professionnaliser l’apprentissage
pour sortir d’une approche
empirique souvent stressante et peu
reproductible.
« Nous aidons les professionnels à
passer d’une pratique instinctive à une
pratique structurée, méthodique et
performante », explique-t-il. À travers
des modules spécifiques sur la vente,
la communication, la négociation
ou encore la gestion de la relation
client, les collaborateurs renforcent
leur posture, comprennent les leviers
psychologiques du commerce et
gagnent en assurance.
L’originalité de l’ITCCF tient aussi à son
mode de fonctionnement : l’organisme
travaille avec un réseau de formateurs
spécialisés, issus du monde
professionnel, regroupés en clusters
pédagogiques. Ces experts, après
avoir été formés eux-mêmes à la
transmission et à la pédagogie,
interviennent de manière cohérente
et suivie auprès des entreprises,
garantissant un accompagnement
durable et contextualisé. Chaque
programme est ainsi pensé comme
une expérience sur mesure, et non
comme une formation standardisée.
En conclusion, Amine Zahraoui
rappelle que la formation est
aujourd’hui un levier stratégique pour
répondre aux mutations du secteur
agroalimentaire. L’Agora des Experts,
en tant qu’espace de réflexion et de
partage, joue un rôle clé pour mettre
en lumière ces problématiques et
ouvrir le dialogue entre ceux qui
produisent, transforment, vendent —
et forment
« Révolutionner
les ventes
agroalimentaires :
l'importance de
la formation en
négociation et
gestion client. »
▶ Agora des Experts
HALL CENTRAL
Jeudi 10 avril
14 h 00 à 14 h 45
DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 5
I ACTUALITÉS DU SALON I
Jean-François Richard
Directeur des ventes France,
Moyen Orient, Turquie
& Afrique de Silesia
Des arômes sur mesure pour accompagner
l’évolution du marché algérien
Présente en Algérie depuis plusieurs décennies, la
société allemande Silesia continue de développer des
solutions innovantes et adaptées aux attentes d’un marché
agroalimentaire en pleine mutation. Rencontre avec Jean-
François Richard, Directeur des ventes France, Moyen-
Orient, Turquie & Afrique de Silesia.
Spécialiste des arômes alimentaires
depuis quatre générations, Silesia met
son expertise au service des industriels
de l’alimentaire et des boissons.
L’entreprise propose une gamme
étendue d’arômes sucrés et salés,
disponibles sous forme liquide,
en poudre ou granulée. Présente
en Algérie depuis de nombreuses
années, Silesia s’appuie sur
un partenaire local pour assurer un
accompagnement de proximité à ses
clients.
À l’occasion du salon Djazagro 2025,
la société entend renforcer encore
davantage ses partenariats dans la
région. « Nous apportons un soutien
direct aux producteurs locaux grâce à
un lien étroit entre nos équipes R&D et
celles de nos clients », explique Jean-
François Richard. Dans leur laboratoire
en Allemagne, les aromaticiens de
Silesia collaborent avec les industriels
algériens pour co-développer des
solutions personnalisées, parfaitement
ajustées aux exigences techniques et
gustatives du marché.
Au cœur de cette collaboration :
la formation à l’évaluation sensorielle,
régulièrement organisée en Algérie
pour aider les équipes "Qualité"
à mieux appréhender les profils
d’arômes, leur stabilité, leur puissance
et leur équilibre en formulation.
Le marché algérien évolue rapidement,
et Silesia s’adapte en permanence. « Le
coût reste une préoccupation majeure
», indique Jean-François Richard.
Pour y répondre, Silesia mise sur des
arômes performants, capables de
maintenir la qualité tout en maîtrisant
les dépenses. Les arômes d’agrumes,
d’épices — notamment le cumin —
ou encore les profils exotiques et
acidulés sont particulièrement prisés
en ce moment, en lien avec l’évolution
des préférences des consommateurs,
notamment les jeunes générations.
Mais l’innovation va bien au-delà.
Silesia répond aussi aux besoins
croissants des marchés de la
nutrition sportive, des produits
enrichis ou orientés santé, et des
boissons fonctionnelles. Le mot
d’ordre : anticipation et agilité. La
société a récemment mis au point
plusieurs innovations marquantes,
comme des arômes fumés sans
condensats (en réponse à l’interdiction
des arômes de fumée primaires dans
l’UE), ou encore les NoLo Citrus
Flavours, des arômes d'agrumes sans
ou avec très peu d’huiles essentielles,
garantissant rentabilité et stabilité
d’approvisionnement. De nouveaux
arômes d’épices viennent également
renforcer l’efficacité des formulations
en réduisant les coûts.
Djazagro représente un moment
fort dans l’année pour Silesia. Plus
qu’un événement commercial,
c’est un espace d’écoute et de
compréhension du marché régional,
souligne Jean-François Richard : « Le
digital joue un rôle important, mais
rien ne remplace les rencontres en
face à face, surtout en Algérie. »
Le salon permet à l’entreprise
de renforcer ses relations existantes,
d’initier de nouveaux contacts, et
de rester connectée aux leaders
de l’industrie agroalimentaire de la
région. Une dynamique essentielle
pour poursuivre le développement
de solutions aromatiques créatives,
compétitives et alignées avec les
tendances d’un marché en constante
évolution
Hall A / Stand B 057
6 DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 news.djazagro.com
I ACTUALITÉS DU SALON I
TANIS Confectionery, un coup de cœur
bien mérité pour une ligne de moulage
repensée de A à Z
Entretien avec Richard Blom, Directeur des ventes EMEA – Un regard sur
l’innovation technique au service de la confiserie moderne
À l’occasion du concours Djaz’Innov, le Coup de cœur
du jury a été attribué à TANIS Confectionery pour sa
nouvelle ligne de moulage destinée à la fabrication de
gommes et de confiseries gélifiées. Présente pour la
première fois sur le salon, l’entreprise néerlandaise a su
convaincre par la pertinence de son approche industrielle,
combinant innovation technique, efficacité accrue et gain
de productivité. Entretien avec Richard Blom, directeur des
ventes EMEA.
Pouvez-vous nous présenter TANIS
Confectionery et les solutions que
vous proposez pour l’industrie de la
confiserie ?
TANIS Confectionery est un
constructeur de lignes de production
pour l’industrie sucrière, spécialisé
notamment dans les gommes et les
jellies. Nous fournissons des lignes
clés en main : de la réception des
ingrédients jusqu’au produit fini –
NOUS AVONS
REMPLACÉ PAR
UN SYSTÈME
ROBOTISÉ SERVO-
COMMANDÉ, AU
LIEU DU
TRADITIONNEL
SYSTÈME À CHAÎNES.
CELA RÉDUIT LES
ARRÊTS DE
PRODUCTION ET
AMÉLIORE LA
DISPONIBILITÉ DES
LIGNES DE 5 %
à l’exception du conditionnement.
Nous proposons également des
équipements de cuisson pour
d’autres catégories comme le
caramel, le fondant, ou le halva. Mais
notre spécialité reste les produits
gélifiés, pour lesquels nous couvrons
l’ensemble des besoins techniques à
partir d’un seul fournisseur.
Vous avez reçu le Coup de cœur du
jury pour votre innovation. En quoi
votre ligne de moulage se distinguet-elle
?
Nous avons entièrement repensé la
ligne de moulage, qui est pourtant
un équipement ancien dans sa
conception. L’innovation majeure
porte sur le système d’introduction
et d’extraction des plateaux, que
nous avons remplacé par un système
robotisé servo-commandé, au lieu
du traditionnel système à chaînes.
Cela réduit les arrêts de production
et améliore la disponibilité des lignes
de 5 %, ce qui équivaut à un gain
direct de capacité. Nous avons aussi
facilité l’accessibilité aux machines et
réduit considérablement les temps de
changement de recette.
En quoi cette innovation répond-elle
aux attentes actuelles du marché ?
L’industrie de la confiserie est plutôt
conservatrice, mais nous pensons qu’il
est temps d’introduire des ruptures
positives. Nos innovations apportent
de la souplesse, de l’efficacité, et
permettent de rester compétitif. Il
suffit d’un premier industriel pour
lancer la dynamique. Et nous n’avons
pas l’intention de nous arrêter là.
Quels sont vos axes de R&D
aujourd’hui ?
Nous travaillons notamment à réduire
l’empreinte énergétique. Par exemple,
nous allons proposer un système sans
conditionnement de l’amidon, grâce
à des salles de conditionnement
optimisées dans nos lignes complètes.
Cela permettra à nos clients
d’économiser de l’énergie et d’éviter
l’achat d’équipements coûteux.
Quel regard portez-vous sur votre
première participation à Djazagro ?
C’est notre première venue, et nous
ne le regrettons pas ! Le salon nous
a permis d’entrer en contact avec
de nombreux industriels intéressés
par nos solutions. Djazagro s’affirme
clairement comme une plateforme
stratégique pour s’implanter ou se
développer sur le marché nordafricain
Hall C / Stand B 076
DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 7
I INTERVIEW EXCLUSIVE I
AGROALIM
Repenser les chaînes de
valeur : les défis structurels
du secteur agroalimentaire
algérien
À l’Agora des Experts de Djazagro, Dr. Kahina Mellab
décrypte les obstacles et les pistes d’action pour une
intégration réussie du secteur agroalimentaire algérien
dans les dynamiques régionales et mondiales.
Le salon Djazagro a ouvert ses
portes avec une Agora des Experts
marquée par la conférence du Dr.
Kahina Mellab, maître de recherche
au CREAD.
Spécialiste de l’économétrie et des
politiques économiques, elle s’est
penchée sur les enjeux qui freinent
le développement du secteur
agroalimentaire algérien. Dans cet
entretien, elle revient sur les leviers à
activer pour transformer le potentiel
du secteur en véritable moteur de
diversification économique.
Pouvez-vous vous présenter en
quelques mots ?
Je suis Maître de recherche titulaire
au Centre de Recherche en Économie
Appliquée pour le Développement
(CREAD) à Alger. Mes domaines de
spécialisation incluent l’économétrie,
l’analyse des données, et les politiques
économiques, avec une focalisation
sur la diversification économique des
pays mono-exportateurs, comme
l’Algérie.
J’ai consacré une large partie de mes
recherches à l’étude de secteurs
3
TRAJECTOIRES RÉUSSIES
DE TRANSFORMATION
AGROALIMENTAIRE
Plusieurs pays ont montré qu’une stratégie volontariste peut
profondément transformer un secteur agroalimentaire. En Corée
du Sud, l’essor du « K-Food » s’appuie sur l’innovation, les fermes
intelligentes et un soutien actif aux exportateurs, avec plus de 11
milliards $ d’exportations en 2021. Les Pays-Bas, malgré leur petite
taille, sont devenus le 2 ème exportateur mondial grâce à la technologie,
la transformation locale et la coopération public-privé.
L’Irlande, enfin, a su monter en gamme avec une stratégie nationale
autour de l’image, de la qualité et du développement durable, via son
label « Origin Green ». Trois approches différentes, mais un même
levier : investir dans la transformation pour s’ancrer dans les chaînes
de valeur mondiales
stratégiques tels que l’industrie
manufacturière et l’agroalimentaire,
et à leur impact sur la croissance,
l’emploi et la résilience économique.
Sur quel thème avez-vous choisi
d’intervenir à Djazagro ?
Mon intervention à l’Agora
des Experts s’intitule : « De la
production à l’exportation : le secteur
agroalimentaire algérien face aux
défis de développement ».
J’y aborde les freins structurels qui
limitent l’intégration du secteur dans
les chaînes de valeur régionales et
mondiales. Cela comprend des enjeux
de productivité, de compétitivité, mais
aussi de transformation industrielle
et d’ouverture vers les marchés
internationaux.
Quels sont concrètement ces défis
structurels ?
Le secteur agroalimentaire en
Algérie fait face à plusieurs freins
majeurs. La transformation des
produits agricoles reste insuffisante,
ce qui limite la création de valeur
ajoutée. Les investissements dans
les infrastructures industrielles sont
faibles, tout comme l’introduction de
technologies modernes.
À cela s’ajoutent des coûts
logistiques élevés, des difficultés
d’accès aux marchés internationaux,
et des barrières réglementaires
contraignantes. Nos exportations
agricoles ne représentent qu’environ
4 % des exportations totales, contre
près de 12 % pour la Tunisie.
D’autres pays comme la Corée du
Sud ont su transformer leur secteur
par des politiques volontaristes et des
investissements massifs, ce qui leur
a permis de hisser leurs exportations
agroalimentaires à plus de 10 % du
total national.
Quel rôle peut jouer l’Agora des
Experts dans ce contexte ?
L’Agora joue un rôle essentiel en
réunissant experts, chercheurs et
décideurs autour des enjeux du
secteur agroalimentaire. Elle permet
une prise de conscience collective
et favorise les échanges de bonnes
pratiques.
C’est aussi un espace de formation,
d’innovation et de sensibilisation qui
incite à moderniser les infrastructures,
à développer des solutions locales et
à repenser la place du secteur dans le
modèle économique algérien.
Comment évaluez-vous l’évolution
du salon Djazagro ?
Depuis sa création en 2003,
Djazagro est devenu un rendezvous
incontournable. Il a permis de
créer une dynamique d’innovation,
d’introduire des technologies, et
de renforcer les échanges entre
acteurs nationaux et internationaux.
Aujourd’hui, Djazagro est plus
qu’un salon : c’est un catalyseur
pour la transformation de l’industrie
agroalimentaire en Algérie et un
indicateur du potentiel de croissance
durable du secteur
8 DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 news.djazagro.com
I INTERVIEW EXCLUSIVE I
ENTAIRE
Vers une alimentation plus saine :
l’Algérie peut-elle relever
le défi du bio ?
L’AGRICULTURE
BIO EN
ALGÉRIE : UN
POTENTIEL
À CULTIVER
Zaki Hariz, président de la Fédération
Algérienne des Consommateurs,
plaide pour une mobilisation
collective autour de la
production agroalimentaire
biologique.
La filière agroalimentaire biologique
en Algérie commence à s’organiser,
portée par une prise de conscience
collective autour de la santé et de
l’environnement. Si les surfaces
certifiées bio restent encore
modestes — moins de 1 % des
terres agricoles — le nombre de
producteurs engagés connaît une
progression notable, avec plus de
200 exploitations recensées à ce jour.
L’essor du bio touche notamment
les filières stratégiques comme les
dattes et l’huile d’olive, deux produits
à fort potentiel à l’export.
Soutenue par les pouvoirs publics
à travers la mise en place d’une
direction dédiée et des programmes
de formation, cette dynamique
reste toutefois freinée par le coût
élevé de la certification, l’accès
limité aux intrants bio et un
encadrement réglementaire encore
en construction. Malgré ces défis,
les perspectives sont prometteuses :
la demande locale ne cesse de
croître, et l’Algérie dispose d’atouts
majeurs pour devenir un acteur bio
crédible sur les marchés régionaux
et internationaux
À l’occasion de l’Agora des Experts
organisée lundi à Djazagro,
la Fédération Algérienne des
Consommateurs a été représentée
par son directeur exécutif, Mohamed
Toumi, au nom de son président, Zaki
Hariz. Expert reconnu en contrôle de
la qualité des produits alimentaires
et directeur d’un centre technique
d’analyse, M. Hariz a partagé
avec notre rédaction sa vision et
ses propositions concrètes pour
structurer le développement du bio
en Algérie.
Une réflexion essentielle à l’heure
où les attentes des consommateurs
évoluent vers plus de naturalité, de
sécurité et de durabilité.
Pourquoi est-il urgent aujourd’hui
de s’intéresser au développement
du bio en Algérie ?
Le consommateur algérien est de
plus en plus exigeant vis-à-vis de sa
santé et de sa sécurité. Cela s’explique
notamment par l’augmentation du
nombre de personnes atteintes de
cancer, tous types confondus.
Cette situation pousse les citoyens à
s’interroger sur ce qu’ils consomment.
Les industriels doivent donc être
à l’écoute, suivre les tendances
et répondre aux attentes. C’est
aussi une condition essentielle s’ils
veulent exporter leurs produits à
l’international.
Les industriels algériens sontils
prêts à répondre à cette
demande ?
Oui, nous avons échangé avec
plusieurs d’entre eux, notamment
dans les secteurs du lait et
dérivés, des céréales ou encore
de la conserverie. Ils ont exprimé
une réelle volonté de développer
cette niche. Cependant, ils se
heurtent à un obstacle majeur :
l’approvisionnement en matières
premières issues de l’agriculture
ou de l’élevage biologiques. Ces
produits sont encore rares, tant sur
le marché national qu’international,
et leur prix est plus élevé que celui
des produits conventionnels.
Que recommandez-vous pour
surmonter ces difficultés ?
Il est indispensable que tous les
acteurs concernés – pouvoirs
publics, agriculteurs, industriels,
experts et associations de
consommateurs – unissent leurs
efforts. Il faut accompagner les
agriculteurs et les investisseurs
agricoles dans une démarche
de conversion partielle de leurs
exploitations vers le bio, afin
d’assurer un approvisionnement
stable pour l’industrie agroalimentaire.
Quel rôle joue selon vous
l’Agora des Experts dans cette
dynamique ?
Elle contribue à valoriser les
innovations présentées par les
exposants du salon, tout en
sensibilisant les industriels aux
nouvelles tendances du marché.
C’est un espace d’échange utile et
stimulant.
Et plus largement, comment
percevez-vous l’évolution du
salon Djazagro ?
Djazagro prend de l’ampleur
d’année en année. C’est
un événement qui évolue
positivement, et cela est logique
car l’alimentation reste un besoin
fondamental du consommateur.
Ce salon est devenu un rendezvous
incontournable pour tout
l’écosystème agroalimentaire
DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 9
I ACTUALITÉS DU SALON I
Siga, l’innovation au naturel
Prodalex reçoit la Médaille d’Or Djaz’Innov 2025
pour son extrait de caroube
Parmi les lauréats du concours Djaz’Innov 2025, organisé
dans le cadre du salon Djazagro, la société algérienne
Prodalex a été distinguée par une Médaille d’Or pour son
extrait naturel de caroube baptisé « Siga ». Présente sur le
salon, l’entreprise met en avant cette innovation au sein de
son stand, tout en participant aux échanges professionnels
qui rythment l’événement. Chakib Boublenza, gérant de
Prodalex, nous en dit plus.
Créée en 2016, la SARL Prodalex est
une entreprise algérienne spécialisée
dans la production et la distribution
de poudre de caroube, une alternative
naturelle au cacao. Filiale de la
SARL Boublenza, reconnue pour son
expertise dans la transformation de la
caroube, Prodalex s’adresse à la fois
aux industriels de l’agroalimentaire
et aux particuliers, en valorisant
les qualités nutritionnelles et
fonctionnelles de cette ressource
méditerranéenne.
L’entreprise propose une gamme de
produits incluant de la poudre de
caroube conditionnée en sachets
pour les consommateurs et en sacs
industriels, ainsi que des extraits et
mélasses issus de la pulpe de caroube.
Tous ces produits sont 100 % naturels
et s’inscrivent dans une démarche de
substitution aux ingrédients importés,
tout en favorisant les circuits courts et
les ressources locales.
Le produit « Siga », mis à l’honneur
lors de cette édition de Djazagro,
illustre bien cette stratégie. Obtenu par
un procédé d’extraction à l’eau, suivi
d’une concentration, cet extrait naturel
de caroube présente plusieurs atouts :
riche en fibres et en antioxydants, à
faible indice glycémique, sans gluten
ni caféine, il répond aux attentes
actuelles des consommateurs et des
industriels. Il peut être utilisé dans
une grande variété d’applications :
produits laitiers, snacks, pâtisserie,
boissons fonctionnelles ou encore
produits sans gluten.
« Ce qui distingue Siga, c’est sa
naturalité, sa polyvalence et notre
méthode d’extraction qui préserve
les composés bioactifs », explique
Amine Boukhiar. « Cela nous permet
de proposer un ingrédient performant
pour différents usages, tout en restant
fidèle à notre démarche de durabilité. »
Prodalex prévoit d’industrialiser
davantage la production de Siga
afin de répondre à la demande
croissante. D’autres pistes sont
également explorées, notamment
dans la nutrition infantile, les produits
diététiques et les substituts végétaux.
L’entreprise travaille aussi sur de
nouveaux extraits issus de plantes
locales sous-exploitées.
Pour Prodalex, Djazagro constitue
une plateforme stratégique. « C’est un
rendez-vous clé pour présenter nos
avancées, rencontrer des partenaires,
et capter les tendances du secteur »,
conclut Amine Boukhiar.
Une visibilité renforcée cette année
par le prix reçu dans le cadre du
concours Djaz’Innov
Hall A / Stand A 066
LE CACAO ATTEINT
DES SOMMETS… ET
RELANCE LA QUÊTE
D’INGRÉDIENTS
ALTERNATIFS
La fin 2024 a été marquée par
une envolée historique des
cours du cacao, atteignant près
de 12 900 USD la tonne en
décembre, soit près du triple des
prix observés en début d’année.
Cette hausse spectaculaire
– environ +180 % sur l’année –
prolonge une tendance déjà très
marquée en 2023, où les cours
avaient grimpé de plus de 60
%. Début 2025, les prix restent
exceptionnellement élevés, avec
des perspectives de stabilisation
incertaines.
Cette flambée s’explique par
une combinaison de facteurs :
la production en Afrique de
l’Ouest, région qui représente
plus de 60 % de l’offre mondiale,
a été fortement perturbée par
des sécheresses, des maladies
des cacaoyers et des difficultés
logistiques. À cela s’ajoute une
demande mondiale toujours
soutenue, qui a contribué à
épuiser les stocks. Enfin, la
spéculation sur les marchés à
terme a accentué la volatilité. Ce
contexte pousse de nombreuses
entreprises à rechercher des
substituts naturels, comme la
caroube
10 DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 news.djazagro.com
PROCESS AGRO ALIMENTAIRE I PRODUITS VEDETTES I
Arôme Ananas Coco :
une signature tropicale signée
Aromatech
Avec son équilibre subtil entre la
douceur crémeuse de la noix de
coco et les notes fraîches, acidulées
et légèrement piquantes de l’ananas,
l’arôme Ananas Coco d’Aromatech
offre une expérience sensorielle
exotique et parfaitement maîtrisée.
Développé pour les applications
sucrées (desserts, glaces, boissons,
pâtisseries), cet arôme se distingue
W26 – Whole Milk Powder
26 % : la performance laitière
made in New Zealand
LES POINTS FORTS
Excellent substitut au lait
liquide pour formulations
industrielles
Origine 100 % Nouvelle-
Zélande – qualité,
traçabilité, régularité
Hautement fonctionnel :
boissons, glaces,
pâtisseries, nutrition
LES POINTS
FORTS
Alliance équilibrée entre
fraîcheur fruitée et douceur
tropicale
Profil aromatique fidèle, intense
et naturel
Haute performance en
formulation alimentaire sucrée
par sa stabilité, sa naturalité et sa
capacité à enrichir les recettes sans
masquer les autres ingrédients. Une
solution idéale pour des créations
rafraîchissantes, originales et
premiums
Hall A / Stand L 093
Issu du savoir-faire laitier néozélandais,
le Whole Milk Powder
W26 d’Open Country (26 % de
matière grasse) est un ingrédient
polyvalent, reconnu pour ses qualités
nutritionnelles et fonctionnelles.
Utilisé en remplacement du lait
liquide ou dans des formulations
alimentaires, il est parfaitement
adapté aux produits laitiers,
boissons nutritionnelles, glaces,
confiseries, pâtisseries, blends secs
et applications industrielles. 100 %
néo-zélandais, ce lait en poudre est
conçu pour répondre aux exigences
de performance, de constance et
de qualité des industriels du monde
entier
Hall A / Stand F 005
Série 700 IMB : la performance
pro dans un format compact
Avec sa nouvelle série 700
électrique, IMB Industrie rend
ses performances de cuisson
accessibles aux cuisines de taille
moyenne. Sa friteuse double bac
se distingue par une conception
hygiénique et ergonomique :
résistances intégrées pour une
cuisson rapide et homogène, cuve et
système de chauffe amovibles pour
un nettoyage simplifié. Compacte
mais puissante, elle hérite de la
robustesse de la série 900, tout en
répondant aux contraintes d’espace.
Une solution idéale pour les
restaurateurs exigeants
Hall CT / Stand E 174
LES POINTS
FORTS
Résistances en cuve pour une
cuisson rapide et homogène
Nettoyage facilité grâce aux
éléments amovibles
Format compact, robuste et
100 % professionnel
Sacs Doypack
avec zip :
flexibilité,
visibilité et
conservation
optimale
Les sacs Doypack avec zip proposés
par DEVLOPACK offrent une
solution d’emballage souple,
moderne et personnalisable, idéale
LES POINTS
FORTS
Formats et matériaux variés
selon vos besoins produits
Fermeture zip pratique pour
une meilleure conservation
Personnalisation possible avec
ou sans maquette
pour les produits alimentaires,
cosmétiques ou chimiques.
Disponibles en différents formats,
matières (triplex alu, PET/PE, OPP/
PE, kraft/PE…) et couleurs, ces
sachets se distinguent par leur
stabilité debout, leur excellente
barrière protectrice et leur praticité
de fermeture.
Avec ou sans zip, avec ou sans
impression, les Doypacks sont
conçus pour allier esthétisme,
fonctionnalité et durabilité
Hall CT / Allée A 203
DJAZAGRO DAILY • JEUDI 10 AVRIL 2025 11