Communiqué de presse - Accelerateurdeparticules.net
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Adresse 8 rue du Chapon<br />
Exposition 12 rue du Faubourg <strong>de</strong> Pierre<br />
67000 Strasbourg chez Apollonia<br />
lu-sam 14-18h nocturne jeudi 20h<br />
www.accelerateur<strong>de</strong>particules.<strong>net</strong><br />
contact@accelerateur<strong>de</strong>particules.<strong>net</strong><br />
06 71 16 47 50 - 03 88 32 22 02<br />
POINTS DE SUSPENSION<br />
UNE EXPOSITION ACCÉLÉRATEUR DE PARTICULES /<br />
EN PARTENARIAT AVEC L’ESAD<br />
LEA BARBAZANGES<br />
ALEXANDRE DUJARDIN<br />
MURIEL JOYA<br />
MARIE LELOUCHE<br />
AUDREY MARTIN<br />
ARTHUR POUTIGNAT<br />
LETIZIA ROMANINI //// DIPLOMÉS DE L’ESAD DE STRASBOURG<br />
DU 28 JUILLET AU 1ER AOUT 2009<br />
VERNISSAGE MARDI 28 JUILLET 18H30<br />
12 RUE DU FAUBOURG DE PIERRE STRASBOURG<br />
COMMUNIQUÉ DE PRESSE<br />
Après cinq ans d’étu<strong>de</strong>s, sept jeunes artistes choisissent <strong>de</strong> se regrouper pour penser le fait d’exposer dans un<br />
temps intermédiaire. Sept artistes dont les pratiques se croisent, se rencontrent et résonnent dans l’espace<br />
Apollonia. Un peu d’espace, d’air et d’humidité. Le temps d’une pose brève, prendre du recul sur ses œuvres pour<br />
mieux se les réapproprier.<br />
Le temps est comme suspendu dans les installations fragiles <strong>de</strong> Léa Barbazanges. Une sculpture en<br />
verre soufflé/silicone/matelas réalisée par Marie Lelouche trouble la perception qu’a le spectateur <strong>de</strong> l’œuvre. Les<br />
portraits à la tempera d’Alexandre Dujardin sont <strong>de</strong>s terrains <strong>de</strong> rencontre où l’on se confronte directement au<br />
modèle. Audrey Martin utilise les aspérités du lieu pour les sublimer avec <strong>de</strong> la poudre d’or. Arthur Poutignat montre<br />
ses <strong>de</strong>ssins à l’encre <strong>de</strong> chine d’images empruntées au cinéma. L’installation <strong>de</strong> Letizia Romanini redécoupe<br />
l’espace d’exposition et les étranges photos <strong>de</strong> Muriel Joya parlent <strong>de</strong> lieux mystérieux...<br />
Exposition en collaboration avec l'ESAD <strong>de</strong> Strasbourg<br />
Cette exposition a été réalisée dans le cadre du partenariat entre l'association Accélérateur <strong>de</strong> Particules et l'Ecole<br />
supérieure <strong>de</strong>s arts décoratifs <strong>de</strong> Strasbourg, partenariat qui permettra à <strong>de</strong> jeunes artistes-étudiants, <strong>de</strong> présenter<br />
régulièrement, et sur <strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s courtes, leur travail.<br />
Accélérateur <strong>de</strong> Particules et Apollonia : <strong>de</strong>ux acteurs culturels, une adresse.<br />
C'est sous la forme inédite d'une mutualisation d'équipement culturel que fonctionne l'espace d'exposition du 12 rue<br />
du Faubourg <strong>de</strong> Pierre à Strasbourg <strong>de</strong>puis début 2009. Les <strong>de</strong>ux associations rodées aux projets en réseaux<br />
s'associent dans un programme artistique commun tout en gardant leurs i<strong>de</strong>ntités. Projet ambitieux en réponse à une<br />
réalité culturelle actuelle. Ainsi se succè<strong>de</strong>nt non stop les expositions Apollonia et Accélérateur <strong>de</strong> Particules au 12<br />
rue du Faubourg <strong>de</strong> Pierre<br />
Infos complémentaires<br />
www.accelerateur<strong>de</strong>larticules.<strong>net</strong><br />
www.esad-st.org<br />
www.apollonia-artextchanges.com<br />
Contact<br />
Sarah Dinckel<br />
contact@accelerateur<strong>de</strong>particules.<strong>net</strong><br />
06 66 02 10 16 . 03 88 32 22 02
Léa Barbazanges<br />
Projet <strong>de</strong> trois pièces :<br />
Une toile d’araignée tendue en une surface sur un châssis <strong>de</strong> cristal,<br />
Une petite tête <strong>de</strong> poisson réduite en cendres, présentée sur une plaque <strong>de</strong> verre,<br />
Les aigrettes d’un pissenlit mis à plat;<br />
Il s’agit <strong>de</strong> trois travaux qui ont été cassé à cause <strong>de</strong> leur trop gran<strong>de</strong> fragilité, avant leur monstration au public et avant<br />
même d’être photographiée convenablement. Les images ci-contre ne sont donc là qu’à titre indicatif, les œuvres<br />
nouvelles n’étant pas encore réalisées. Celles-ci reprendront l’idée d’origine en modifiant certains facteurs, notamment<br />
pour assurer une meilleurs visibilité (et notamment une moindre fragilité).Outre leur nature organique, elles ont pour<br />
point commun d’abord leur fragilité, mais aussi leurs tailles assez petites (entre 8 et 30 cm <strong>de</strong> large), montrées en<br />
accrochage mural. Enfin elles sont toutes trois dans les tons naturels gris, «à l’ombre».<br />
Alexandre Dujardin<br />
2 toiles (140 x 180cm) / peinture à la tempera<br />
Mes toiles naissent <strong>de</strong> la passion que je nourris <strong>de</strong>puis toujours pour le visage du réel; elles ont pour but <strong>de</strong> nous<br />
confronter à l’émotion née du dialogue mystérieux que chacun peut entretenir avec les individus et les choses. En<br />
travaillant sur <strong>de</strong>s grands formats, l’architecture d’un visage ou d’un corps s’amplifie jusqu’à <strong>de</strong>venir un terrain <strong>de</strong><br />
rencontre où je me confronte directement au modèle, ce qui est à la base du rythme <strong>de</strong> ma peinture. Le peintre est au<br />
service <strong>de</strong> son travail et ne doit s’autoriser aucune concession.
Muriel Joya<br />
De la sainte rivière au lieu-dit<br />
Tirages numériques contrecollés (34 x 28 cm).<br />
4 photographies présentées.<br />
Je capte le réel par la photographie, cherchant dans les lieux que j’abor<strong>de</strong> <strong>de</strong>s traces d’évènements. J’essaie <strong>de</strong><br />
percevoir, <strong>de</strong> rendre sensible, les sédiments d’une mémoire contenue dans ces endroits. Souvent seule la présence<br />
d’une absence persiste.<br />
Marie Lelouche<br />
Sans titre<br />
Installation : verre soufflé/silicone/matelas<br />
Je crée sans soucis <strong>de</strong> vérité. Mes pièces naissent dans un mon<strong>de</strong> haptique, lieu où les frontières prédites<br />
disparaissent. J’aime pour abor<strong>de</strong>r une pièce que nos corps prennent place, basculent et s’oublient dans la perception ;<br />
qu’elle ne se livre que plus tard.
Audrey Martin<br />
Sans titre<br />
Eau, feuille d’or.<br />
Matérialiser, toucher ce qui est impossible <strong>de</strong> l’être, prolonger un instant, faire une pièce en suspend, jouer avec les<br />
a priori <strong>de</strong> la vision. La feuille d’or, fragile à manipuler rend les surfaces qu’elle recouvre imputrescible. Elle est pourtant<br />
toujours à la limite d’une possible disparition. Mon projet consiste à dorer une surface d’eau avec <strong>de</strong> l’or 22 carats,<br />
l’ironie <strong>de</strong> cette pièce est qu’elle existe par l’élément eau qui la détruira ensuite.<br />
Arthur Poutignat<br />
Dessinematographe<br />
Installation / <strong>de</strong>ssins, encre <strong>de</strong> chine.<br />
J’empreinte <strong>de</strong>s images au cinéma et les renvoie au spectateur. De ces images en mouvement, quel souvenir reste-il ?<br />
Peu importe. Ces images me touchent et je me les réapproprie, mais seulement ces visages et ces corps qui <strong>de</strong>ssinent<br />
la tragédie, le drame <strong>de</strong> la vie. En relation ou seul, il raconte la vie. Ces images bavar<strong>de</strong>nt, pourtant ces corps ne sont<br />
pas contenus, je laisse le décor au loisir du spectateur. Il s’en souviendra ou il l’imaginera, comme ces fausses bobines<br />
qui se trouvent au mur. L’histoire, la relation entre ces personnages, est affaire <strong>de</strong> coups <strong>de</strong> cœur. Ces empreintes<br />
fugitives déposées au fond <strong>de</strong> la mémoire formeront à nouveau une histoire unique pour chacun.
Letizia Romanini<br />
Intervention maximale<br />
Occupation minimale<br />
Installation qui s’adapte en fonction <strong>de</strong> l’espace.<br />
Des clous et <strong>de</strong>s fils composent une écriture graphique qui varie selon le point <strong>de</strong> vue du spectateur. Envie <strong>de</strong> diviser<br />
l’espace. De séparer le haut du bas, la droite <strong>de</strong> la gauche. Des fils tendus entre <strong>de</strong>ux clous et leur multiplicité qui tend<br />
vers l’art optique. Mes installations invitent le spectateur à considérer l’espace différemment et à mettre en évi<strong>de</strong>nce les<br />
règles <strong>de</strong> perspective.