SOCIALISTE MAITRES DE L'AIR - Bibliothèque de Toulouse

» ANNE& 4.214à
14EMENI.D .
mois 18 fr.; 6 mois 34 fr.; 1 an 85 fr.
L'EXEMPLE DANOIS
Depuis quelques semaines, les socialistes, en collaboration
avec les radicaux, ont repris le pouvoir au Danemark.
Le programme que le chef du cabinet, le citoyen Stauning,
e,xposé devant les Chambres provoque une grande émotion
dans la presse bourgeoise internationale. C'est qu'en effet désireux,
lorsqu'ils sont au gouvernement, de rester fidèles aux
engagements pris dans l'opposition et devant le corps électoral,
nos camarades danois proposent une série de réformes dont le
aractère socialiste n'est pas discutable.
En voici quelques-unes abrogation des lois contre les synbicots;
réforme fiscale tendant, d'une part, à diminuer les
npôts de consommation et l'impôt sur le travail, et, de l'autre,
à augmenter l'impôt sur le revenu et la fortune acquise; revion
des loi régissant les banques, les sociétés à capital limité,
os trusts, les monopoles; mesures en faveur des chômeurs;
afin, désarmement total et remplacement des forces militaires
par un corps de gendarmerie chargé de surveiller les frontières
terrestres et les côtes.
L'émotion de /a presse bourgeoise se comprend fort bien.
Voilà un cabinet socialiste qui ne prétend pas borner son effort
à monter la garde devant le capitalisme, mais qui a la volonté
te faire quelque clause pour le inonde du travail. Il sait fort
bien qu'il ne réalisera pas, en quelques mois, ni en quelques
années, la transformation sociale qui est le but même du
socialisme mais i/ estime qu'un ministère socialiste doit prendre
l'initiative d'une politique de réformes hardies. Cela seul
donne son vrai sens b l'action parlementaire socialiste et la
distingue de celle des partis bourgeois préoccupés de masquer,
sous des formules habiles, leur attachement au statu quo.
Appliquée aux affaires intérieures, la politique des sodalistes
danois est inquiétante pour la bourgeoisie, mais combien
l'est davantage /a solution qu'ils apportent aux questions extérieures
et, notamment, b la plus importante de toutes, celle des
armements. Ils la résolvent d'on trait ils suppriment purement
et simplement les forees militaires pour ne conserver
qu'un corps de police. Voilà qui est radical. C'est aussi utopique
feront remarquer certains, au moins rosir les grands Etats.
Le Danemark peut s'offrir le luxe d'un pareil geste. Il est neutre
et les grandes puissances sont garantes de sa neutralité. Sa
position géographique lui assure le maintien de son indépendance.
L'Amiradté britanniqoe veille aussi jalousement sur elle
que sur Tanger, Malte, Suez ou tel autre de ces points stratégiques
tlisséntittés à lravers le monde sur lesquels Londres a
constamment les yeux fixés.
Mais de grands pays comme l'Angleterre, la France, l'Italie,
etc..., ne peuvent pas se comporter ainsi. Ce serait trop dangereux.
Ils s'exposeraient à devenir la proie de voisins moins
pacifistes. Feu Naquet qui, après avoir été boulangiste, était
devenu anarchiste, avait proposé à la France, il y a trente ans,
de faire un geste analogue à celui que propose aujourd'hui le
Danemark. Feu Naquet avait été traité de fou, et personne ne
l'avait pris au sérieux.
Ainsi parlent nos grands journaux bourgeois. Et ils croient
leur raisonnement irréfutable.
Il serait cependant relativement facile de leur montrer que
tout n'était pas insensé dans /e projet de Naquet et qu'il n'est
Pas du tout certain que l'exemple d'un grand pays renonçant
solennellement et sincèrement à ses armements ne serait pas
d'un grand effet sur l'esprit des masses et ne les réveillerait pas
de leur torpeur.
Mais laissons la feu Naquet et revenons au Danemark.
Nous ne méconnaissons pas la situation spéciale de ce petit
royaume. Mais nous prétendons que son geste ne sera pas vain.
Il donnera, dans les différents pays, une impulsion nouvelle an
mouvement en faveur du désarmement. Il obligera les grands
Etats réunis à Genève à sortir du cercle vicieux on ils ont
enferme leur politique et a prendre parti dans la question. Car
l'initiative du gouvernement danois aura fatalement sa répercussion
à /a Société des Nations.
Les lecteurs de ce journal savent combien je suis ennemi
:es exagérations. Je n'en suis que plus à l'aise pour dire combien
je me réjouis du geste de nos camarades de Copenhague.
Henri FONTANIER, ancien dépisté du Cantal.
Trop d'impôts
Les propres amis
Le sage journal des Débats, lai.
même, demande au goacememont
de réduire 1'4par-fiscalité qui nous
tue
Noua serons prochainement fixés
sur les intentions réelles du gouvernement.
Il faut bien se dire qu'un
degrêvernent apprécia.° ne serait
pas seulement une satisfaction matérielle
pour le pays, mais aussi un
réconfort moral. Tout ce qu'on peut
dire et celé.. de notre relèvement
financier parait un peu viande
creuse à. la managera qui a toujours
autant de peine sinon davantage
h boucler /e budget familial. Les
gens /es plus rétblohin les plus modérés,
constatent bien que te Trésor
col redevenu b luise et que ceux
-mi émargent au budget ont reçu
satisfaetions substantielles, mais
ma-mêmes n'ont P. en.ra
s'ils vivent d'un travail indêmdant,
une véritable amélioration
leurs conditions d'existence.
é est b cette masse de Français
1flens, laborieux et honnêtes, qu'il
.aut songer. Ils ne font pas de barricades,
ils ne demandent pas la
lune, lis sont habitues à se contenter
du possible : que tout le possible
leur soit donné. Suivant la for-
Mlle rituelle ce sers Mei.-
LeHaren cuisEFUegte
Dans ParisNlidi, M. François-
Marnai se prononce nettement en
Çyour d'allègernents immédiats sur
Partie, vitales de l'économie
s'abonde e
du Gouvernement
'roumi, enfin, qu'il exagère.
SOCIALISTE
Rédaction et Adn,Inistration 38, Rue Roquel,dme - TOULOUSE - Tu, o-43 - Couarde Claques pa.ssuni I.277
ee BUREAUX A PARIS 3, Ras d'Ambcd.e. 3 ( Arrond;ssetnent) Téléiallonn Central oc,..aS
Y a-t-il vraiment un malaise
Canal ?
Telle est la question Cui se Pose
en premier lieu et à laquelle M.
François-Marsa/ nous répond
Sana aucun doute, le malaise
existe et il résulte essentiellement
de ce fait que le pays est suschargd
d'impôts et qu'il a, par contre, l'impression
qu'une partie de son fardeau
pourrait lui être retiré.
« Le formidable effort que la
France a dû d'imposer pour relever
toute seule ses mines de la guerre.
été réalisé par it-coulai, sa. Plan
d'ensembles -Il fallait, au Trésor, des
ressources - certaines et immédiates.
Aujourd'hui, le pays ressent très
durement /es fâcheuses 'répercussions
d'un système fiscal aussi hâtivement
et aussi brutalement annénagé.
» Quelles branches de Pautivité
furent le plus touchées ?
En scrutant les chiffres, en les
comparant entre eux, on pouvait
conclure, die le début de l'année
1928, que, pour certaines branches,
la crise qui sévissait n'était pas un
gnou, resserrements passagers qui
suivent toujours une majoration
d'impôts. Le mal était plon grana
plus profond. Il sévissait surtout
dans les transports, le marcha des
valeurs mobilières et les mutations
immobilières, 4hi sont des PGIIon
vitales de l'économie nationale.
« Or, toute la vie économique et
sociale moderne dépend, directedent
ou indirecte:Ment, de Ces trois
branohes d'activité. Il ne s'agit dons
pas de rendre smop emen o
lourdes tes charges des contribua-1
bles directement frappés par les
trois catégories d'impôts pesant,
jusqu'à les paralEeer, sur /es transports
des valeurs moibilidres et les
mutations immobilidres. Dégrever,
c'est encore redonner aux organes
essentiels de ces diverses branehes
de notre économie les aliments indispensables
à leur bon fonctionnement.
Car, actuellement, ces organes
fenetionnent de façon tout à
fait insuffisante.
« Voila donc, h mon avis, les
points sur lesquels il est absolument
inclispe.able de réaliser des allégements
immédiats.
L'ancien ministre dos finances
prcconise une refonte des impôts
dans le cadre social et économique
moderne et souhaite que le gomme.
nement lui-méme en prenne l'in,
fiance.
Lui seul a la possibilité d'agir se-
/on une vue.-ffensemble et en mesurant
toutes I. répercussions. C'est
à lui qu'il appartient d'élaborer le
Ordre à la lactique bolcheviste
consistant d se maintenir an deuxième
tour, la ville de Toulon a été livrée
aux réactionnaires ainsi que
rine eiècss da conseil général de la
Seine.
Voiri Ire chiffres
A TOULON
Liste de l'Union Nationale : 8.320
Eine Sacialiste et U. dm G. 7.500
Liste communiste : 000
M. MAGINOT
Minime dea
oui sioui Tiumisuier In Salou des Aeisies
Coloniaux
fie
Presee a de Paris, mette
savoureuse narration
Lorsqu'on arrive à Villennes, sur
un bras bourbe. de /a Seine, la
pralinés° ehose à /agnelle on pense,
c'est que l'on fend un délicieux dé-
jeuner et ensuite une belle partie
de canot.
Deux petit. //es paisibles. Celle
qui est k autre droite sans animation,
est déserte. L'autre... c'est
celle qui nous intéresse.
Verdoyante de grands arb.s
feuillus, on se croirait transporté
sur les bards d'une Ils d'aventure;
seulement, lorsqu'un mentourne rat
flot, on s'aperçoit qu'une palissade
en planches, peinte en vert et en
blanc, en interdit Ventrée
On resecède à l'intérieur que d'un
côté seulemmt.
En canot, nous refaisons le tour
de Pile, et nous débarquons, en véritables
â Robinsons ».
Stupéfaction I Dru pas sur le sable
I
En effet, je m'attends presque à
voir des .nègres peut-01m anthropophages
nus comme des
vers I Voici des hommes et des
femmes nus, effectivement, mais ils
sont blancs, aussi blases que moi I
Je suis chez les « nudistes a.
du
latdn rep,ebezela=
de la race b/anche I Ile/as I
Les hommes sont barbus comme
les diables qui sortent des boites et
Ire femmes ont les jambes comme
celles des tab/eaux de Picasso.
Le groupe que nous reneontrons
m'interpelle
I/ est interdit de venir ici, que
voulez-vous ?
Ja désirerais prendre 'quelques
renseignements pour venir habiter
voHe île.
En ce cas allez jusqu'il ce
itotto,m,a de maischis que vous voyez
Se n'avais pas remarqué ces bicoques,
en planches et en briques, rouges,
blanches, jaunes.
Je n'hésite pas, je frappe à la
Porte de la maison indiquée.
Le concierge ? mou aussl, m'ouvre
elle lut explique ce que je désire.
Vous voudriez faire cons-
truire ? Je ne puis rien, adressez-
vous à /a directien de la 5 Vie
Sage a, sans doute aurez-vous davantage
ffexplicationS que Taus ha
pouv. trouver let.
Je prends congé.
grand programme fiscal qui doit,
demain, doter la France d'un systerne
d'impôts vraiment moderne.
Si l'on s'écarte d'une telle méthode,
on aboutira, quoi gnon fasse/
une législation incohérente. Toute
l'ceuvre de codification que j'avais
eommencée en 1920 r.tera un vain
travail de Sisyphe tant qu'à touessous
du moindre coll.tif an votera
foison les textes les plus divers
inspirés par des cas particuliers.
Au surplus, les recettes de nos
collectivités locales ont besoM d'être
complètem.ent remaniéeu les octrois
devraient avoir disparu par-.
touL Les cahiers des Fiais Généraux
de 1789 en réclamaient déjà la
suppression. Quand an menait, I/
est vrai, les difficultés immenses de
réalisation de ces réformes, on s'explique
les lenteur, les atermoiements.
Mais toute .tion, tout simpie
mouvement même, suPPose un
instant de déséquilibre. Il faut dono
savoir en mesurer et en accepter le
risque...
L'CEuvre bolch.eviste
»Os
DANS LA BANLIEUE-DE PARIS
Saine-Victor
MM. Lebeeq, nationaliste, èfils voix
Mu.
André Gayot, c. a., républicain
s.ialiste, 0.240 voix.
Le floué, communiste, 391 voix.
Petit-Montrouge
MM. Pinelli, nationaliste, 3.509 voix
élu.
Augis, rafficalsocialiste, 3.4O7
Mineront, cand. sportif, /Ou.
%ou, communiste, 755.
Epinettes
M. l'ourle, nationaliste, 4.880 voix
61u.
Copia/maux, or. a., ré/publie/1in
socialiste., 4.818 voix.
Costes, .rtnnuniste, 1.978 voix
Clignancourt
Victor Constant, nationaliste,
8.496 voix, ils.
Dherbécourt, S. F. I. 0.,
8.146 voix.
Lambert, communiste, 71010.
Soierrareau
MiL, le_dontan.e.-Baagon,
Tenevean, a se S.F.I.O., 1.394
Fleury, communiste, 1.980.
ANY0/,... en Lel-ME. COg-is
as MAROC, FI ALGÉRIE, a DAKAR
AMÉRIQUE DUSUOmAYION
COMPAGNIE GENERALE AÉROPOSTALE
Il y a, aux portes de Paris,
une colonie de «nudistes»!
Je croise des e nudistes a qui vont
et qui viennent demi t.s les sens,
plus laids et plus affreux los uns
que les autres. Un véritable Eden
pour « mouhetés
Je n'ai pas du tout envie de les
imiter.
Je remonte en canot et de nduyes,.
« nudistes a, encore Passent
près de moi, en pirogue, eux aussi I
Je m'appr.he d'une de leurs embarcations
et, eourtoisement,
terrage les occupants
POlirdlud dtes-vous candis -
tes »
Pour « vivre intégralement a,
c'est-h-dire que nous sommes des
naturistes, pourquoi nous léguaiser
? Mais l'hiver...
L'habitude I Oliver, nous n'ayons
pas froid u nous sommes tontours
sans vêtement...
Combien étes-vous ?
Dem cents, environ I Et
myes-moi, nos organes se déveloplent
énormément, n'étant emprisonnés
d.s amui. entrave vestimentaire.
Et la u Tentation s ?
Aucune, monsieur; C'eSt.
l'habitude, et, vous sav., nne
femme est moins tentante omtièreme.
nue qu'habillé s, On na plue
de curiosité, comprenez-vo. ?
Comptes-vous aVOir beaueollp
Certainement, je suis docteur,
et un peu psychologne; en Alternagme,
déjà nos théories ont été bien
comprises, et sels sera aussi en
ZNT«
CARISTE,
DE PLUS,
Le Maire de Strasbourg
Je pense que tout le monde sera satisfait de voir un bolches
trik de marque accéder à la direction de l'administration d'une
grande ville.
Pour ma part, si je regrette que cette ville soit Strasbourg,
que cette accession soit le résultat d'une malpropre combinaison
avec les autonomistes et les catholiques et marque l'échec
très relatif et très provisoire du socialisme; que le nouveau
maire ait osé se vanter, il y a .peu de temps, de ne pas
savoir parler le français, je ne me réjouis pas moins de voir le
bolchevisme au pied dis mur chez nous.
D'abord, nous constatons que, pour aboutir à leurs fins, les
bolcheviks ne reculent devant rien.
On sait nous l'avons prouvé ici-même que, l'an dernier,
leur tactique du maintien des candidatures au deuxième
tour a éliminé dis Parlement vingt-trois socialistes au profit de
la réaction.
On sait nous le rappelons aujourd'hui an peu plus bas
que cette même tactique vient de nous faire perdre phisieur
sièges cantonaux dans la banlieue parisienne.
El on sait, enfin, qu'ils acceptent de gérer le destin de
Strasbourg, bien que le scrutin ait démontré leur faiblesse
numérique dans tette ville, oit as ne représentent que le quart
da corps électoral.
Leur alliance avec les catholiques et les autonomistes, que
nos patriotards leur reprochent à grands cris, ne leur paraît
pas évidemment si scandaleuse.
Les bolcheviks sont antipatriotes. Ils se désintéressent -en
théorie si non en pratique -- de la question religieuse.
Un accord avec les partis antinationaux et antilaïques
n'offre donc rien, à leurs yeux, de particulièrement scabreux.
Aussi n'ai-je aucune tentation de leur adresser des critiques
sur ce point.
Le plus curieux de celte histoire éest de voir, après une
lutte très vive, un communiste authentique maître de Strasbourg,
grande ville où les partis se sont révélés si nombreux,
si violemment dressés les uns contre les autres, si peu puissants
de Nancy, comme tous les marres de France, y compris les iront,' rus5,4010 kiomPtesut,
anciens maires bolcheviks de Périgueux et de Rivesaltes, dans
Un beau record d'un avion toulousain
POUR LE: NOMBRE
DES RECORDS D'AVIONS
Grâce au nouv.0 record qui rentre
aujound'hui chez elle, grans au
record d'altitude avec 509 kilos de
charge que Lemoigne vient de lui
rapporter cette semaine, H France
reprend la première place dans /a
liste des records internationaux
d'avions, avant l'Allemagne qui tenait
la tête depuis plusieurs mois.
La liste est, depuis ce matin, la
suivante
France
Allemagne
Etats-Unis
Grande-Bretagne
Italie 3
Malheureusement, cette supériorité
s'an tient à la catégorie
s avions ». Dûs que l'on passe aux
autres catégories, la Frame vient,
hâlas â la traîne de b.ucoup
d'autres nations. C'.t ainsi qu'eje
ne possède pas un seul record d'avions
légers. Ceux-ci sont détenus,
à l'heure actuelle, par
Tchéeoslovaquie 3
Allemagne 2
Grande-Bretagne 2
.
France, vous verrez...
Je le remercie, en l'approuvant
d'un signe de tête.
Je songe, «G rn, é/oignant, qu'en
effet, .ces gens doivent être ph.tes,
t relu non seulement parce mie la
ontrairemmt à ca que fion
croit ciL 'les
y incite, mais ils sont si
p. esthétiques, si laids... que je
ndençai presque de catie ile, cornme
après une mauvaise aventure.
Pourtant_ le soir approche, Et, à
l'ombre des grands arbres, les silhouettes
semblent danser dans un
crépuscuie de perles et d'argent,
comme les nymphes de Corot eux
lisiEres de Ville-d'Avray.
Suisse
L'absence de /a France est H d'autant
plus étonnante que nous ne
manquons pas, chez nous, d'appareils
legees capables de rivaliser
avec les petits avions étrangers.
Quant aut hydravions, leurs 37
records sont parta.ges entre les diverses
puissances de la manidre
que voici :
Etats Unis
Allemagne
Robert GAILLARD. Suisse
France
Grande-Bretagne
2
I
1
LISEZ ET FAITES LIRE
LE' MIDI SOCIALISTE ià
Nous avons dune [Ont à faire si
nous voulons romands* entre las
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
kc TROP DIMPOTt S'ECRIE LA PRESSE PO/N-
MEFIONS-NOUS I C'EST ENCORE LES RICHES
QU'ON VEUT FAIRE DEGREVE.R UNE FOIS
nations aéronautiques une place
prépondérante.
Le ministre de l'air le sait fort
bien et il encourage toutes les tentatives
sérieuses qui sont fait. en
voit de faire rentrer en France des
records nouveaux oh qu'elle a perdus
durant les mauvais moments
que son aviation a traversés.
La conquête des record, est le
meilleur stimulant d'une grande in-.
dustrie comme l'aérenautique. Elle
polisme les construct.em d'avions et
de moteurs à deS recherches du
plus grand Intérêt qui ont, la plupart
du temps, dru répercussion.
JEUDI 30 MAI 1929
M. André HESSE
elseN191107-ensIMeSICe7,0.
sensibles au point levure de la
curite aérienne et des applications
prat Mues.
pane RECORDS AERIENS
SUR FRANGE-AMERIQUE DU SUD
Deux nouveaux records tout à fait
remarqua.ce viennent 01e s'inscrire
au palmards de notre aviation commerciale.
L'avion postal, parti de Toulouse
I, dimanche 25 mai, h 5 heures du
malin, atterri.ait le lendemain 27,
h 8 heures, b Dakar.
TOULOUSE-DAKAR
EN VINGT-SEPT HEURES
Il Y u Peu de temps encote, il
luit au courier aérien tie quarnite
quarante-huit heures pour parcourir
cette même étape, qui, par
bateau, demande encore au moins
pris séparément, si peu ressemblants à nos grands partis natio- Se représentel-on l'effort fourni
nome, qu'aucun d'eux ne peut men faire sans le secours de et. Presque surlannsain qui doit Otre
plusieur autres.
soutenu par le personnel de l'ovin-
Or, la caractéristique de la gestion coinmuniste ne sera pas tion commerciale pour arriver
cols résultats ? Sait-on les hdaeures
précisément l'entente perpétuelle avec rias partis bourgeois et de vol de nuit àaeompliea et,,d
l'élimination systématique et permanente da Parti socialiste.
relie ligne
bien que celte situation mérite d'être retenue.
pseérIarlalCuesf.'"f
Lt hlee eth
VOM Ce sera l'embanrgemsement de cette gestion.
toute la nuit ».
Nous apprmens en mime temps
Le niaire de Strasbourg administrera comme n'importe qu'en sein inverse, le courrier
quel autre maire, comme le maire socialiste qu'il remplace, d'Annirique destination de la
comme le maire radical de Lyon, comme le maire réactionnaire France a couvert Buenos-Airos-
ie cadra_ doeucletesekaaLtee,unffneuee-melit bourgeoises_ et Suitis ses- et haliespitalièree du Brem'on
n unien.
Ces lois, il les appliquera. '114D deux records que sons
mei... avec un plaisir YsITILI Et; lorsque des troubles serotit possibles Strasbourg, de et
qui nous perreetlent d'être fiers do
quelque nature qu'ils soient, de quelque manifestation qu'il notre aviation ouromereiale, qui
s'agisse, la police de Strasbourg sera commandée pour les pré- fermait chaque semaine. -Asque
.leur, c aune nUd, », des Otarie
S'ils éclatent, elle sera commandée pour les réprinier. inconnue du publie
Dira-t-on qu'on ne fatt pas de
El elle obéira. Et /IL le premier magistral de Strasbourg vols de nuit reauliers un France ?
n aura rien a dire, rien a foire, qua s'incliner,
Il s'abouchera avec le représentant officiel de MM. Poin- ASSOLANT ET LEFEVRE S'ENTO.,
LENT, PULS FONT DEMTTOUR
caré-Turdieu. Orebard, 29 mai. ._L'avion
Et il leur parlera, ou leur écrire, comme à des honnêtes s Flamine Verte a, dont on a angens,
honorables et dignes d'être honorés. mimé le départ peur Rome, h 9
Il ne changera rien la perception el à l'assiette des impôts er1,5? Laa.Sitime;
us.
Il prêtera les locaux publics aux manifestations patronales.
son vol mais, pour cause encore indéternminde,
l'appareil a sait demi-
Il fera, d'un mot, comme tous les autres maires de France. tour et a atterri à son point de dl.
Mais il aura l'air bien plus bête, parce que plus embarrassé. Part.
Et voyez jusqu'où je pousse la mécharreeté cette pers- A 10 h. 15, i/ survolait /a place
pective me plonge dans la plus malsaine des jubilations. d'Obi Orchard. M. Lotti a refusé de
donner la raison du entour, mais
Léon HUDELLE, on croit que l'avion n'a pu atteindre
la hauteur nécessaire avant de
s'engager au-dessus de FOcean.
MAITRES DE L'AIR
Avant d'atterrir, Assolant avait
vidangé partiellement ses rservoirs.
M. Lotti a déclaré qu'il allait faire
faire les préparatifs nécessaires
pour repartir immédiatement.
PRAGUE.
Mtdecios marron InafS11181S
Marseille, 29 mai. A la sâte
.d'une oblate, le Parquet a fait rd0séder
h des perunisitions dam plusieurs
cliniques méddcales spécialisées
dans le traitement des Messes
du travail
An mors des opérations
ers, M. Coggin a .nstaté que RI
effeNtores de ces cliniques se livraient
à un véritablr racolage des
blessés en leur remettant lors de
leur première visite une pdime variant
entre 15 et 25 francs, afin de
les en.gager à revenir. Comme cette
façon de procéder tombe sous le
coup de la loi, une instruction judOciake
a été ouverte contre sept
de ces cliniques melcales.
ConFatauca Inimmitionole dei C. G. T.
Au ce... i Cirriss (dabcie). déléuuS Cceate-Rtauiesee
A l'imitkun diel. o jouhen,
gr

2 Me,
Les grandes escroL,,,,ieries
NE ORDONNANCE RECENTE DE pes Me Gest,. melte& Wautr. part. les
AUDIBERT DANS
semer asee favorables sem amides, isur
L'AFFAIRE LITVINOFF
mise en liberté pr.leoise
été refusée
par M. Audihert. Cote M. Carminehr,
....é de me colleberateux Dolmee et de
Me Gaard Strauss, qui défend Litvieoff,
N Me de Moro Gieften. Desemes et De.
geed mi ont le chasee des intérêts de
jeffe nl de
tn,t,ettinn, il
deA ::1'rnutti.njqjr
A la dote de 21 met dernier, M. Audi-
bat, juge Mestere...
communiqué
eu parque le dossier de l'affaire Link
noff. On se souvient eue Same Litvinotf,
hère d. Mener, Litvineff, commissaire
peuele aux effeim étreneires el, O.
R. S. S., suait été employé Mes eer.
«Mem organisation,' soviétiques, et no-
mmen à la deléeetio,, eommeatele rus-
se à fletits on Il e'necupe de très impor-
tante. fesserions - ente du seste mes
aies denné sett adhésion eu parti ce.-
mmixte,
11 avait le droit, per des muante précis
et pluiee foie renouvela, de faire eu
eorn de le délégation tom meg comme,
cieux, et notamment de Mer et d'endos-
aer du. beim. Il n'est pas indifférent de
' nls rassemble° eue plusieurs
LE POURVOI D'ANQUETIL
DEVANT LA CHAMBRE
CRIMINFI à X
Ors sait ssie Geenes Amaril s'est
7e'Therbsce"e

Chronique de Toulouse Igr moLAns chère
VIE
LA LESSIVE A FROID
us Halent si pittoresques, ces
t,,epo derniers, les édifices COmnIU--
00.
sa, leurs parois avait, en quel-
os 'jours, poulet Une flore aux
iotiletes vives et variées qui atti-
dent l'oeil passant et semblaient
sOmmer de s'arrêter none Se re
pro d'Une prose troublante.
eue, laquelle, on pensait bien,
sans coup férir, chasser a jeu papi_
s de la blair e.
Veuillez prendre note, en passant,
ar relie appellation de a Capit0-
?ards a ne fut point inventée par le
prenner crétin venu (quoiqu'en
esse Jonnhie), male qu'il fallut,
pour Cela, la collaboration Intime de
trois distingués professeur du cru.
Ce que CeSt tout de même, quand
les dieux s'en /hèlent L.
Quelle trouvaille ingénieuse ils
tirent là
Elle devait renforcer tous les au-
tres arguments parmi lesquels les
plus éloquents étaient dos chiffres,
Traduites eu chiffres, les accusa-
i/one devenaient irrécusables.
Nos chambardeurs le pensaient
Mais on avait eu le tort grade
d'apprendre aux électeurs, bien
avant leur accession â l'électorat
Ire étéments d'arithmétique.
Aiusi, Ces dénie., ne compri-
me-ils point, le moment venu,
peurquoi trois prudes nones Même
triés sur le volet s'évertuaient, cha-
cua Séparément, sur des papiers
hautement colorés k démontrer,
nos rire qu'un et un faisaient
quatre.
Sans doute, ces doetes personne-
geS, auraient-ils dû S'adieinti. Poilé
secorder lettres, histoire et droit
romain avec les mathématiques ail-
Mentaires un élève du cours prépa-
ratoire de l'école peiMaire.
Ils ne b Grent point.
Que/ dommage I Car la fièvre ai-
dant, Ils s'ernbrouillSrent lamenta-
bleinent dans leurs caleuls.
Aujourd'hui, cette lièvre est tons-
bée à pie,
Le conne électoral a fait justice,
- n'est le langage cons.. - de
toutes tes absurdités écrites et obit-
fréeS.
Tout lasse-
Mon ami, te pompier, armé de sa
lanee au jet plussent ...Malt, hier
Malle, les murs de Inote de men
quartier_
Je m'arrêtai, un instant, amtMé
par le speetaele,
On pouvait hre, encore, côte
tète le, tilres en gros caractèreS
des affiches des porte-drapeau de
La W.c. s-
CACHONS DE PAYANTS._ OU-
VRIERS._ LA FARCE... BELUEL...
Onelques minutes après, fanée%
tondues, déchiquetées, elles for-
maient ç) et lb. sur le trottoir des
petits tas de julienne délayée dans'
ta lavasse h destins/Mn de la pou-
belle.
Tout passa.-
' Interpellant mon ami le pompier
Qua d'eau I me suis-je écrie. Depuis
que/ques loues, pourtant, le feu
Clvii store t
lavions da C
feuillets Ou1ousainsab0e&so
dm'iri
es pointes - vieux routiers de t'a,'
- et son confortable matériel.
Le Comité d'honneur et de geste,
de la Revue Aérienne est aines con:
11504 e Président d'honneur, M. le
général Armengaud, commanda,
la Se brigade aéronautique
pré
dent, II. Marcel Rogues, présidedi
de la Foire de Toulouse.
MM, le colonel Booms, emmen-
ant le 2e régiment d'aérostiers
Edmond Sirren, industriel, 28. rue
de Réniusal, Toulouse Chevalier,
directeur de la Société générale,
Toulouse ; Philippe de Boussac, lit-
5001551, 10,
13, place Dupuy, Toulouse.
Rappelons aux personnes que Pé-
loignement de Paérodrôme rie Fran-
canal pourrait effrayer, qu'un sen
ice spécial de transports a été cons-
aisé et que des autobus se trouve-
ront h la disposition du publie le
samedi 8 juin dès 13 heures, pla.
Esquirol.
ANIS MATADOR!)
exit« 55 Nam,. lihdTd0040"
Tas* Mil
Le Congrès archologique
DE 1/HAMM
Ce Congrès, dont nous avons an-
noncé, avant-hier, l'ouverture à
Toulouse, poursuit ses travaux de
nommentetion sur les monuments
arrdéologiques de notre région.
Ses membres ont, en effet,
en autocar, Visité les cumosités de
Pibrac et Lombes, et hier, l'église,
le cloître et le trésor de 01-L aire,
l'église de Saint-Geudens et les
beautés de St-Bertrand-de-Commin
te et de Valcabrère.
Aujourd'hui, ils continueront la
>Pita de Toulouse et se réuniront
la assemblée pleinière k 21 heures a
rE8tel d'AH/Mat.
F8La'AYIalios h 8 lia
A TOULOUSE
35se, h cette occasion, une grande
revue aérienne a l'aérodrome de
Prenemat et que M. Laurent Fe-
a.; ministre de l'air, a accepté de
%sir présider cette importante ma-
Infestation : importante en qualité
//Mame en quantité puisqu'elle doit
Munir sur le terrain magnifique 3u
nombre fort considérable d'avions
'Pertenent aux régiments de Pan,
Cehr Cr'Z' de.,=..`re;
fleur de notre aviation militai-
', Programme, très alléchant,
e,r,,Przet un
speetneetu
ehoei
Oser*. de ah'an'i7e h
écotiaéreienne.
jours el émouvants dans leur gra-
Pacrobatie d'ensemb/e si impres-
dmnto et les imposants COIS de
"7.Pe, on assistera â l'attaque d, un
drimbenr dont l'observateur -
eseteele i'saédit - ex-écutera une
aseente en parachube-necella.
LI. Personnes désireuses de cen-
dre bas charmes eues isimmona`
ienne auront cojour-là une
1555 exceptionnelle de mir cons-
,_4+.8.:"d, 7" ri de
a r,--deo!:
°ioda-tent déinoac'rar tiquee'à jar(' 'de+
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LE BEIGE fait fureur. Si vous dési-
rez étre habillê avon êlégance et
distinction, adresses-vous aux Eta-
blissennents /NGLEBERT, où vous
trouverre le choix le plus élégant
dans ces nouveaux tissus. Facilités
do paiement Sur demande.
Nomination
Fageolet, secrétaire général de
/a préfmture e/e la Haute-Garonne
est nommé préfet de la Lozère.
M. Fagedet affable, courtois mec
ttgea gine'rpeae
ses fonctions avec habileté, cons-
cienee 0i tare.,
Nous le fleitons de son avance-
1rent, tout en regretbnt son départ.
Grands Magasins
LAPER SONNE
aujourd'hui jeudi 30 Mai
pour tout achat de 20 frs
il sera offert aux enfants
UN SUPERBE BALLON
Grand Concours de Bébés'
ET DE VOITURES FLEURIES
C'est samedi fer juin que s'ouvri-
ront les imitations pour le con.
cours annuel de bébés et de voiturai
fleuries organisé per PO/panique
de Toulouse.
Tmaifut
est révu af
ifestation qui se déroulera dans
pin que cette belle
le cadre merveilleux du Jardin des
Plantes connaisse le pl. grand su-
es. Le cornmerce toulousain a bien
voalu, en effet, s'intéresser à cette
Cote de f miellé, et de nombreux nrr0
viendront récompenser les laureats.
Une surprise agréable sera eu outre
distribuée à tous les enfants.
- Sans thatte, th's/-1211 retorqué, Quels sont les plus jolis beisés que
clignant un oeil - minime font possède Toulouse f les plus beaux
les joileurs de te. n de mou vil- bambins
lege - je viens de faire la lessive Guidés par l'iNfiérienee tes
I froid I eours précédents, Mx à sept cala.
DEI3EACREGA.HD. Borie° seront erC4S.
Le concours dos voitures fleuries
ouvert aux enfants jusqu'à l'âge de
12 nus, ne sera pas le moindre at-
trait de cette fête. Les mamans vont
préparer avec cur les voitures de
leurs charmants enfants, et nous
sommes persuadés que ce sera lb dans
ce Leen décor du Jardin des Plan-
tm un ravissement. Un parcours
essex long permettra h, tous les can-
didats de faire admirer à tous leur
travail et leur ingéniosité.
La liste des lauréate pour le con-
coure des bébés et dru eoitur fleu-
ries sera insérée dam la pr.se.
N.-B. - Le concours de bébés de
l'Olympique do Toulouse est /e seul
concours qui aura lieu pendant les
fêtes du mois de juin.
Il est rappelé que tous las engage-
ments doivent être accommignés du
bulletin de naissance et qu'ils uront
rems à partir de samedi au café
Bories, 14, Arcades du Capitole.
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Dima.he 2 juin 1929 à Id h. 80
grand but ehaMpetre au bénéfice
des oeuvres de bienfaisance de la
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DES ANCIENS ELEV5rIQ ET AMIS
IhE L'ECOLE DU BUSCA
On nous annonce elle cette sym-
pathique société donnera samedi ler
juin â 8 h. 90, une soirée de gala
grateite dans la cour de l'école do
Busea, avre le concours des artis-
tes qui ont nom r Mmes Errillienne
do Mai; Marquita; hIM. Timhalli St-
rate; Lorme; Garfy Castor; Poiterie
Les spectateurs sont assurés d'as-
sister à un régal littéraire rarement
atteint.
Aussi. nombreux seront ceux qui
réponSront A l'appel de notre veil-
lante amtoldtk
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HOSPICES CIVILS DE TOULOUSE
_SDJUDICATION DE, FOURNITURES
POUR LE .2. SEMESTRE 1929
Le jeudi 20 juin proohain à 2 heu-
res de l'après-midi, aura lieu en
l'Hôtel-Dieu de ToldOuse,
I' d f géré 1 é-
°essaie. aux Hospic., pendant le
deuxième semestre 1020. L'adjudica-
tion des lots non adjugés h la pre-
mière séance sera renvoyée au jeudi
27 juin suivant, mem° heure.
Les Cahiers des Charges sont dé-
posés au secrétariat général des
Hospices, oh les intéressés pourront
en prendre connaigsanee tous les
j00., diMancbes et bers fériés ex-
ceptés, de 9 heurm h midi (voir Paf-
fiehe contenant les données de Pad-
judleation.).
DANS LA RUE
ENCORE DES VICTIMES
DU BUF DECHALNE
Le nombre des Menines faites Par
/e buf appartenant à M. Esemeh,
rue Constantine, est porté h PUR
IL Tharaud André, 50 ans, con-
cierge à l'Usine Sente., place
rue, a été blessé dans la cour
Mien.ro de naine voulant
eber le boeuf d'y pénétrer.
PAUVRE COCO
Le 23 courant, vers 12 h. 10, ie
41011,11 Goca Carmello, 49 ans, cou-
peur, de nationalité italienne, de-
memant 6, rue St-Erembert, qui se
trouvait sur un tram de la ligue 12,
barrière de Muret, barmere de
Croix-Daurade, ayant voulu des-
cendre en marche avant l'arrêt de la
Cosepognie Française, est tombé sue
la chaussée, se fracturant la che-
ville gaesehf.
Transporté â l'Hôtel -Dieu dans un
tam, il a êté ethnie saille St-Lpare,
lit 6.
LES ETRANGERS --
P.-V. pour défaut de renouvelle-
ment de cette d'identité d'étranger
a êté dressé au for arrondissement,
contre la nommée Forge Marcelle,
de nationalité espagnole, demeurant
Mus M. Habiagusa, guê Alsace 44.
PTENDU de 2 h 3 fois son volume
d'eau rAMER-ROLY est la boisson
de table P Mus saine velu plus éco-
nomique. Tous Cafés, Bars, Alimen-
tations.
PENDANT LA PARTIE
Ddns Paprès-miall du 27 courant,
PIndnnt que IsI, Matai. Michel, 26
ans, demeurant boulevard de la
Marquette 38, jouait on football, sur
le terrain du Stade Toulousain, un
inconnu lui a dérobé un,e somme de
45 francs qui se trouvait dans un
portefeuille placé dans la poche de
sen cesion déposé au vestiaire de
Stade.
Sur plainte, une enquête est ou
verb au 3e arrondissement.
VOLEUSE ARRETEE
Les brigadiers chefs Delleux et
Pélissier, de /a Sûreté, ont conduit
au service la nommée B.. Maria,
épouse
ménagère, demeurant â
Lprès enquête de M. le chef de
la Sûreté, elle a Ohé convaincue de
edvers vols de linge, mais bissée en
liberté provisoire
LE TRENCH-COAT
DE L'ETUDIANT
Sur péainte du sieur Fatkomtch
Beu ShIcerna, 23 ans, étudiant eu
chimie, demeurant rue Languedoc
29, une nquête nst ouverte au fie a,
Tondisse/rient contre inconnu, pou,
vol d'ira trenehecoat commis le 27
courant entre 14 et 18 heures, dans
8e yes/Raire de l'Institut de chimie.
Q114TTE POUR UN BAIN
Pour des raisons de famille, la
demoiselle F. Georgette, 18 ans, de-
meurant à Toulouse, a tenté de met-
tre fln â ses jeurs avant-hier, vers
14 heures, en se ielant dans la Ga-
CONCERT DE MUSIQUE
Programme du concert qui sera 555-
muté au Grand-Rond, par I. musique mi-
aujourdbui jeudi, 29 mai, de 15 à
16 beurea
I" e Fier Gaulois e, allegro (Eua0e09,
2. a Poète et Pusan a. ouverture 13ne-
mune, au Pars On001sd, Pa): 3.. La Soude ê marrube IL Deli-
Elle g été retirée du fleuve ben, 4° . La Veave joeem e, (mut
Mt par le sieur Verdier, bâtelier au su Franz Island: 5'. Cuss les Be,.
sereine de M. Dayan, au Port Ga- mise Halvarrel.
rand.
Après soins, elle a Me transprIé
I l'Hôtel-D/eu et admise salle St-
J.eph. Son état n'Inspire mica.
inquiétude.
Se
- et d'Orthopédie -
" Le Mutilé
Orthopédie Générale
/Marée PoppREILS EU TOUS Ondf.1
Peule. ple 'eau).
Pesées, s Idedle et Amendé
4
LE MIDI SOCIALISTE
ENTRE ETRANGERS
La vie sociiabste
Augusto, 21 ans, manuvre, dem.-
rant boulevard Bourepos 4 bis, amie
enquête est ouverte au 4e arrondis- FEDERATION DE HALGE-CARONBE
sement, contre un de ses corne, NCRES DEPARTEMENFAL
/notes nomme Currihloo Dos luge
osé, qui a pris la fuite après lui
avoir dérobé une somme de 250 fr.
portugais.
EN OUVRIER- TOMBE DE 7 ME-
[MES. IL EST TUE SUR LE COUP un.
Le 28 courant, vers 18 heures, L'ordre de jour est fixé ainsi
l'ouvrier Lindou Jean-Marie, maçon, suit
10 ans, domicilié rue Pagés. h la l° Happent more] t
Selsde, au service de M. 15500 ho, en- 20 R.-- fi
trepreneur, qui était Occupé sue un Xa'.,1!
'chantier de l'Usine du Bpaele quai ' Fédération enedersentele
St-Pierre, est tombé d'un échafau-
doge d'une hauteur
de 7 inêtres eu- 30. edMiniaohen. son Mncriemnes
ciron et s'est fPautN-é te crène.ment
mort is êta instantanée. 4° Èxamen de l'ordre du jour do
L, Dopurh preveau par Congrès National
la eireCtiOn du Bazade, n'a pu que a) Le, rapports statutaires
constater le décès. fd Les modification, aux statuts 1
M. le eommissaiie de Police du 3e e) Le Socialisme et FEcole j
arrondissement, prévenu de Faut- 00 Lee Assurseses s001 aise
dent s'est transporté sur les /eux 4° Elections de la commission
eux fins de constatations et .1 ou- exécutive fédérale, de /a comm.-
vert une enquete.
Le corps a été transiiorle au du.
1011011e de la famille préalablement
prémenue par M. Mialhe
LOS're' nrotnunesn'Uortainr'ems 's"
LA REN'I'E DES TRAVAILLEURS
Ber verI 11 h. 30, III. poulie Ar-
Dorn menique di( Bure, 8, trarvuaeilleSni
pour le compte de l'entreprise de
dragage VMsm, au Port Garaud
poussait un Wagonnet lorsqlm ayant
trébuché sae Un tas de gravi., il
est tombé et le vébieule Iris orta-
stannt de fortes contusions au tho-
rax.
Il a été conduit h :a Pharmaele
Taon, oh il a lié examiné par le
docteur Ralmés, puis I son dorm-
Mle, h l'aide de le camionnette mu-
pale.
- 28 courant vers Id h. 15, le
sieur Faunes Baptiste, demeurant
mrideltalf pz
Pesrit
beusn
est entre en collision Plaeela,edeas,
aveo l'automobile anPartenant h M.
Larnouroux demeurant â A/et-les-
.
M. Foures a reçu dos contusions
à l'épaule gauche, conduit b la
pharmaele des Grande Bouledards,
Foures S refusé tous soins.
Une enquête vol ouverte.
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sue, Toulouse. Ariociation des Cdoviocv de la Haute.
Garonne. - Assemblée emai. I. di
msrnhslisin.i 5 hl. 95
Ordre du jour : Adhésione au banquet.
Disposition à prendre pour los le. Pré.
sidentielles.
Retraités de Gendarmerie. _Réunion
me...elle. dimanche pruhain. 2 juin, à
D Pm, Pm la mile du Conserva-
mire de Musique.
Bureau à 14 heure,
Ondre du jour I Compte rendu du dé,
légué au Congrès. - Dernières disposi
lions pour le dejeuner amical. - Verse
ment du prix da déjemm. - Qmetious H-
amm.
Efoile Culer:de. Toulousain.. - Au0
'oui-d'hui, jeudi, 30051. réunion au
e, café Lépine.
Question, impountes.
Nomma. adhémons.
TROUVAILIES
Réclamer à. Mlle Sanserni, 39 rue
Ro:pela/ne, une petite amimie ;
te e'e.
p" se des clarine& 54, une broche ;
It. Caban, rue St-Michel 711, un
paquet contenant de sucre ; â l'a-
gent St-Jean, 3e arrondissement, un
aie petite somme et el,
Te; areuncierge de l'Abattoir,
une manivelle d'auto; â M. Rivière,
petite rue Riquet 14, un Imurgeron ;
du Capitole (Heurs), un paquet ide
moucho0rs ; au bureau des Focales.
un bracelet avc plaque, une telle
cirée ; u l'Administration des Dams
un livre et dix-sept parapluies.
COURRIER ARTiSTIOUE
HARMONIE DE LA PA1E-ITOIR
Cette aociété donnera son premier cers
cent estival, ce soir jeudi, 30 mai. à 21 h.
place de la Patte-d'Oie, avec le program-
me suivant
la . Salut à Milan allegro T. An-
drieu): 2° Lea Diamants de /e Cou-
sonne e ouverture I a Le
Grand Magot 3, fantaisie (Andra.): 4° «
Le Balles /Messager): 5.
Quand l'Amour Meurt a, valse (Cre-
mier.O.
COURONNES MORTUAIRES :-
A LTIIMORTELLE
4, Rue Jean-Sua:y 4 - l'étampe
--: Choix h An:nielle
Vermet,. de Limonadier. -:-
sion féeérale de conflits. des délid
gués au Conseil national, des délé-
gués ou Congrès national ;
5° QI:estions diverses.
Ce Consnès se tiendra à Saint-
La première séance sma ouverte
à 9 heures du matin.
Les Seeip/1S sont instamment
priées de prendre toutes disposi-
tions utiles pour assurer leur repré-
sentation directe à ce Congrès. -
Le Sceretaire fédéral, J. MILSGUére.
PARTI SOCIALISTE 5.11.0,
ASSEMBLES GENERALE
du Jeudi 30 Mai 1920
Les militants de la Section Tou-
Musai. sont invités b assister
l'assemblée généra/0 de la Section
qui aura lieu ce soir jeudi 30 mai à
21 heures daor la salle du Foyer du
Peuple, 69, rue du Tate, mise h la
disposition du Parti.
Ordre du jour Congrès fédéral
nt Con e'. national. - Le Secré-
taire-adjoint r
llabary.
AUX SECTIONS
Les Sections qui ont participé aux
:élections municipales, ont reçu res
jours derniers un questionnaire
qu'elles devaient retourneé d'ur-
gence, après l'avoir rempli, nu se-
crétaire fédéral.
La majeure partie s'est confer-
risée h ces instruction, mais quel-
ques-unes n'ont pas eheore adressé
leur réponse.
N d d 3Etarnment à
ces dernières, d'envoyer aujourd'hui
nArne au secrétaire fédéral les ren-
seignements demandes. I,e Bu,
(eau fielé:
Les sportsmen ont encore présente
h la mémoire la magnifique mani-
festation sportive qu'avait organi-
sée an theètre des Nouvea.utés le
Fantasici Club le 22 avril dernier,
arut pour titre I Paris contre
Continbant la série de ses belles
réunions, cette société est heureuse
d'annoncer aux fervents du noble
art noslu Onqaglte ml
4 juin, d'une (ermite/d réunion s
boxe, 10x0050 mus les directiv. de
Au programme, nombreux combas
dent plumeurs mak:hes-défi sens,
Connota
OANS LA BANLIEUE
SAINT-SIMON
LES TROUBADOURS. - Belle
soirée en perspective. Dimanche 2
boléeS 21-i'orerrie: er:L'e
Serres donnera un concert I ses
amis et ni: n'ores honoraires.
Uu prog.monse de amis sera exé-
cuté sons l'habile direct/ou de atm
dévoué elle M. ravie.. La am/HP
St-Hubert de Plaisance, Touch, (i-
recteur M. Barlach, qul vient diob-
tenir les plus bardes récompenses
au concours musical ale Marseille
prêtera 505 gracieux concoUre.
Tirage de la tombola.
DANS LE DEI
VILLEFRANCHZ
DE SAÏNT-GALIDENS
MARCHE DE LA VOLAILLE. -
Le Maire de 1. commune de Ville/m.-
52 juin 1929) ehede-Laurausib porte à la connaissance
Le Congrès de le Fédération su' do nabi, eue I article premier de r5,000
cialiste de la LIsute..Gasenue se de 14 oatohe 007. mmi emm
réunira le 2 juin à 9 heures du ma- Arlide Preniihr. - Lss Mur° de Pils
et rterthi, est interdit, au commet-
çants 01 bduarma assimilé.. d'acheter,
ai am producteurs de vendre, tes mar-
chandises ou deuées destinUs à 1 ma-
provisionnement, ailMms que as IP. 44,-
PiaCeannts qui leo sont affectés: ut
iovioms en vMaecr.
e. de mem de rameur du
In juillet 1915 ainsi cucu
, A,miol,Psu,ms._Enua01sucaaoec
ne le ...hé de Io volaille, il est na-
pressément défendu aux marchands vo-
/aille.. ;Amuie. ammilha =arab:mets
vol.. et ma 'habitants, ces derniers non
domiciliés dans un rayon de dix kilo-
mètres, de pénétrer -dans le elme Code-
froy-Calés et d'opérer des transactions
de hue nature avant h sonnmie do la
eloehe, aura lieu en moue mima, à
Art 2. - L'hema de toovertum de
marehé oxo imam eolaillee
emerms, die:donne..., eu...), eere
Os me me molle tirée à l'article nic-
Art. 3. - Lee contraventions eu pré
aent mêlé mont m.:MM. conformé-
ment à la loi.
L'articlelé, de ramé. du 12 mai 1881,
disposant qu il est défendu de domeer
lee emplacements du marché, mime min-
porafremont. et sous quelque raison que
ce soit auun autre objet que k. denréee
à y être mtses en. vente, une également;
en vigueur.
Il en est de même de l'article 17 du,
même :rtiaté du 12 mai 138e, mi diere.
ml Les charrettes, vomira. et antres
déeharade am aborda dm dite emelme-
meute et rangée après leur déchargemem,
aux lieu desiméa, à em effet, de ma-
ai,. nulle a. puisee. point eller la ne-
m'aise est emseadé exil hi suffira
d'avoir rappelé ces arrêté. mur, qu'ainsi
avertis, le. intéreanie ee conforment. à
bref délai. à ces miens memaintione.
Le Made CAIAN.
obevalier de la Lésion d'han.,
Le 30 nui 192e.
VILLEMUR
SUICIDE. - Profitent de l'ab-
EellOB de son mari parti en course,
Mine B., Ph ans, malade, s'est miei-
dé. en se pendant a l'escalier de se
maition.
Quand son man rentra il trouva
sa femme pendue, il appela.
mais le corps était déjà froid, car
la mort remontait â. plusieurs lira'
ros. On appctale aonotuerl000iet
docteur Vignères qui ne purent qes
constater le décès. On constata qu'a-
vant de se pendre Mme B. s'était
faite deux profonoes entailles air
bras gauche avec un poignard et
trouvant Bans doute que la mort ne
ienart pas asses vite se pendait en-
suite, un simple mot tombé de sang
disant a Pardon je souffre trop v
La famille R... était tris estime.
ta
CINTEGABELLE
LA l'ETE DU CHEMIN NEUF.
- lin-cone d'essai la fête du
chemin neuf fut un coup de maître.
Fête h tom égards- pmmite. Prépa-
ration et exécution ont donné à tous
le sentiment que le comité avait ad-
mirabiornant travaillé aces le seul
soue; de bien faire.
SV/ y a eu des boudeurs, tant pis
eLlX
Depuis le matin jusqu'ah. /8 fin
du bal de nuit ra ne fut que réjouis-
se/ides de bon goût amen-magnée,
dbêntrain et de gaieté.
Ne citons personne, en faisant une
distribution de remercieinents, no.
panaltrions préférer les uns aux au-
tres, alors que tous méritent des
éloges. Cependant la phalange mu-
sicale LaSymyhonie inuterive
et la Savedunoise v doivent
etre remermees de leur gramm. et
éelatant concours.
Nous attendons du comité des fé-
tes du Chemin Neuf, pour l'an pro-
chain une nouvelle manifestation de
bon goût et aie suinté.
En attendant félicitations à tous.
SALIES-DU-SALAT
de lu fête lamie coi éré"-éeOb.réé 'le di-
manche 2 et le 3 juin, une couru cyclia
ta est envisagée Po. le dimsaalia
Cette course cycliste 130 kilomètres sa
bison), c'est-à-dire, gente foie h toua
dedla pise locale, sera dotée de 500 fr. de
.p.rix....et Lê:a:8s1ela
,,ri.,ofafrça,aui
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NO francs m premier: 75 franc, au se-
'41_inru'rse''es7 ou'vr lu
erte taàrostbus brune.
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':'52:05, 070;
ra,s l'organisation qui. sera en roas pointa
n 00 e.
Une réunion dee membres du Comité
a ea lieu vendredi dernier
24 me, ae Mune-Ciné.
M. le Président a rendu cornets du Ira.
fait à ce jour par le bureau: il ne ru-
te plue qu'à sloscuper dans le Plu Wel
délai de la miscrietion en ville, pour ré-
gler les derniers démils du raid.
A cet effet, des commissalue ont eé
désieném ppm peaux chm le, habitante
reeneilth leur obole.
Nous osone espérer qu'ile leurrent
cartout le meilleur accueil et que le po-
Pei...ion mut eniiè même/ es eele
'exemple des membre:. el. emuité, ami
osa mal. ont déjà versé D igname do
1870 Imm. Pm an effort mur aideo le,
dao/gamma du raid , de hem à ce nue
es concurrents et les étrange. qui vien-
dront nomb.ux à cotte. occasion. em-
portent de Revel, le melleur
Nes:, epuel aem entendu, nous en
mem le certitude.
LISEZ ET FAITES LIRE
LE MIDI SOCIALISTA
1fl Dernière Ifeure
LES SOUS-PREFETS SACRIFIES
Paris, 29 mai. - Une nOSIV01:0
teb,iretzenty eà. ;est rseouf:_ipterz.istir le rets-
Une demi-douzaine de députés ont
constitué aujourd'hui le groupe
parlementaire dec sous-préfectures
seenhées. Ils se sont donné un cm.
rem. provisoire composé des dépu
tés de Rocroi, Ambert, Saint-Affri.
?175;;'`',,ied'é'LB:Ifitieruènenc2I
dience au ministre de l'intérim,
CONDAMNATION
D'ANDRE MARTY
Paris, 00 mai - Devant is Cdmm
bre des appels correctionnels com-
paraissait aujourd'hui le comme.
rade André Marty, appelant d'un
iusleeZe du '
inerpIVerai '
tZilteel
quatre ans de prison et 1.000 frayes
d'amende pour provocation do mili-
taires à la désoliéissan., à Poe.-
sion lett, adressée au maré
(bal Foch et ramme dans P « Hu-
manité a.
Sur plaidoirie, la Cour réduit leti
peine à deux ans de prison et
2.000 franro d'amende et ordonne le
confusion de cette peine av. une
reeile
nféeriar
prononcée à Toulo
11011101° CONDAMNE
Paris, 30 mai. - Le député erm,
muroste Doriot avait été condamné
par la 1te Chambra correetionnerie
pour provocation de militaires à la
désoh&Lsance h trois ans de prison
05 .0.000franea d'amants.
eonammation avait été pro:
noncée à la suite d'artielee /oubli%
dans l' Humanité. per DorioteI
mn retour ri Gènes
La Chambre des appela nompli,
nui purement et simplement le mge.
ment du trilumal eorreetionnel.
MORT D'UN SENATEUR
Paris' 30 mai. - M. Cornant. Y.
norme des Hantes-Alp., set dériérlé
:p. matin subitement, à son dominile
Il était Aga de 33 ans.
M. Cornant amit été député se.
cialiete de l'Isère ; puis il quitta le
pErti et adhéra 111.1 parti républi.
nain som
Il appartenait à la gauche Mima
eratique du Sénat. II était membae
rie la commissinn d'hygiène et d'as-
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PelyPea, Fibrome. et autres engorgement., qui
gênent plus ou Moins la menstruation et qui ex.
pfiquent les fiemarraglea et les Pertes prenne
continuelleues ...quelles elles sont sujette.. L.
Femme as préoccupe peu d'abord ces Inconf
gêments, puis, tout It coup, le ventre commesce
a grossir et les malais. redoublent. Le Mem.
ss développe peu u peu. Il pèse sur les orge..
latérteers, occasionne des douleurs au bas-ventre et aux reins. La
malade s'affaiblit et des pertes abondantes la tonnent à s'aliter
presque continuellement.
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FEUILLETON du MIDI »
LE PETIT IVIECANO
- Eh I je crois bien, fit Mélanie,
que personne n'a b se plaindre de
son sort ici. Tout le monde vit comme
dans un rêve I
- Avec cette differe,nee que le
rêve est une so/ido réalité cette fois.
- Bien sûr... Et sais-tu, Pierre,
propos de rêne, ceint que j'ai fait,
moi ? Nen. Dis nomnan.
10e
- Ob I ça m'est venu, depuis peu
de temps, depuis que Mme la marquise
de Larive a fini par reconnaître
que tabou est une rude petite
honnête femme et qu'elle valait cent
fois mieux que son butor de fils 1
De quoi s'agit-il, voyons ?
- De Oct deux petits-b., parbleu.
-Dc illadeleine et de Xavier ?
- Oui, de ta fille et du petit bonhomme
qui s'appellera le vicomte
Xavier de Larive, et qui jouent aon
billes, comme deux petits de la
même niellée.
-tes,
On se demande gué' instinct .0ttache
t l'existence les pauvres
sourds ? Exilés du monde et des affaires
par ;eue consciente interne
rité dates I. lutte pour la vie, ils deviennent
une charge pour /eurs pro.
ches et un poids trorl pour la SE
ciété.
Que d'activités perdues. Que d'a
nergies inutilisables.
Heureusement lê nature humaine
découvre dans ses imperfections
mêmes la source de ses merveilleuses
découvertes. La prothèse optique a
réalisé des instruments si précis qu'il
n'y a plus ni myopes, ni presbites
Et voici que bientôt, grâce B le prothèse
acoustique, il n'y aura plus de
sourds. Basé eur le PriDellte de la
cloche parabolique, un nouvel aPPareit,
qui se porte invisiblement.
PACOUSTISONQL remet mi point
l'oreille affaiblie comme font les lues"depl'.1Je:t
iperg.adréureerae.
Pour bien comprendre P.R. et
l'efficacité de cet appareil, obiet
d'un véritable engouement, it suffit
d'écrire au Directeur de PACOUSTI.
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Magenta, Paris, qui enverra gratulta
ment sa brochure illustrée.
(123)
Eh bient fit intrigué Pierre
Doizy, ne sachant encore on Mélanie
voulait en venir.
- Eh bien, poursuivit la maman
Doisy, ces deux enfants ne seront
pas toujours des enfants I Ils gra'ndiront
à mesure que nous veillirons,
ils deviendront de plus en plus ce
lien indestroctibie qui nous unit,
VO, l'instant I
- Eh t bien, toit-tu Quel eve
fait nmn Pierre, quel audacieux
projet j'ai bâti, pour l'avenir ? Je
voudrais que l'on ne sépare jamais,
dans leur adolescence, ces deux
enfants do-nt l'enfance se passe
côte h côte !
C'est facile I
Mais, je voudrais davantage,
mon Pierrot I Mme de tarive et moi,
nous les deux grand'mères, nous ne
serons peut-être pas toujours de ce
monde, pour les voir grandir I Je
Baume Tue-Nerf MIrle
latries Itplillbly taaaemu, terlits.
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temps de se reconnaître I Et il se
contenta de répondre, d'un ton migrave,
mi-plaisant t
voudrais leur voir remplir I - Ma brave maman I Vol% de ta
. Meanie se pencha, tout à nom, part, une jolie intervention qui
sur l'épaule de son grand Ms et lui ferait peut-être hausser les épaules
souffla h l'oreille, d'une nom préci- à la marquise de Larive et rendrait
pitée, ce qu'elle nommait son secret perplexe /es deux Mères I /I est
et ce qu'elle appelait aussi tour Ive toujours dangereux de Prdvoir- bi
Je voudrais, débita-t-elfe, très loin, trop boit I
Meir, je ne dis pas que ton rêve
'tateM'ai'dfeolUi:: etre' ii="X'aavit,U-1
Je voudrais qu'on s'ingénie b les ne contient pas un sentiment de sa-
faire s'aimer mutuellement,
gesse trop profond
b les
rendre indispensables P. à l'autre.,
de telle sorte que, plus tard... quand
le ne serai plus là, probablement ni
mol, ni Mme de Larive, quand Xavier
sera devenu un homme et
Madeleine une vraie femme, ils perpétuent
l'accord des deux familier
unies par tant de liens.., et qu'ils
puissent devenir h leur tour un jpli
couple, le plus beau couple du
monde, capable d'effacer tout ce qui
est le Passé
Pierre Doisy, de stupéfaction, rétoit
reculé sur le banc, comme pour
dévisager sa nitre. Il n'eut ni /e
courage de sourire de son rêve nt de
I craignaient fort de voir tout h coup
la meute en défaut. Quelques chevaux,
tombes boiteux, s'éparPil-
Eient, en cours de route. Mais le
LE REVE DE DINGLER gros des invités tenait bon...
Le compagnon de Pierre Doisy,
La chasse b courre oh Pierre et un grand banquier de Paris, qui ga-
sa jeune femme étaient invités delopait, botte h botte, avec l'indusvait
partir des gorges de Franchard. triel, lui dit tout S coup t
Suzanne montait av anglo-nor- Pour une belle défense, cYst
mand de race, un magnifique cheval une bene défense... Voici la meute
bai-brun, plein de sang et de feu. qui rapplique sur la tour Donne-
Son mon, moins excellent cavacourte. nous non avons pas fini I_
lier, quoiqu'il en prétendit, s'était - Bigre 1 pesta Pierre entre ses
contenté de faire seller Diane, /a dents.
jument alezane, dont l'ardeur ca- Les deux cheVaux dévalaient au
Je ne dis pas pricieuse s'était calmée avec l'âge. galop de chasse. Sour bois, les
que, plus tard... oh I beaucoup plut Au départ de la chasse, dês que /a aboiements de /a meute se mêlaient
tard... paraitir éventualité ne soit mattre-piqueur eut découplé la aux sonneries des cors et au galop
pas à envisager, très sérieusement 1 meute des chiens du Poitou, la ca- des chevaux.
Majg oroUr le moment, je crois valcade sportive se divisa en deux Depuis le temps qu'il galopait,
quil est lion de garder pour nous ce et les amazones prirent la tête. Pierre Doizy, qui ne faisait pas de
mirifique projet d'avenir, auquel ne Pierre avait rencontré, parmi les cheval régulièrement comme Su-
rendent guère sensibles, aussi bien invités, quelques amis de son cercle prze stoulumarge et au bois, était
Suzanne que Marcelle I » de Paris, et Suzanne avait vite fait
Et il sourit, à sa vieille mère de nmouagnIleess connalEances parmi Heureusement que nous avons
comme pour la remercier do son
deux hèles de tout repos 1 remarqua
rêve, Et il prit, sur chacun de ses Le cerf, on inagnifique dix-cors, le banquier.
il ne fut pas longtemps à déboucher Il n'aven pas plutôt dit cela que
fx' ter'as'sust reaufire'muxenrs'a'sfille Mactime: du côté de Mariotte et la Meute aux Diane, la jument alezane de Pierre,
leine I Et il embrassa longuement abois accéléra l'allure...
marqua un brusque écart I Pierre la
1
le petit Xavier -mea. dm. *mures de Paprès-midi, ramena sou.s la hètraie, et d'un coup
Te cerf, en béte courageuse, se dé- de cravache, ponctué d'un coup
fendait avec ruse et les piqueurs d'éperon, !a corrigea. Diane coucha
fine quelconque d faites inscrirt t y fait "ailloli'!" ut
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- Ah I pas de blague, s'iaguir.
/a banquier, dont la monture ef".
ballait, à. la suite de l'autre 1
Pierre tenait nerveusement'
mènes et sciait la bouche d5
Jument, qui filait maintenaat.,..
grande allure !... Quand, bruslaIr
ment, au détour de quatre cheunir:
en croix, Pierre hésita un sesoii.''
u. demi-seconde peut.-êt e
ce fut assez que, lancé au
lop, cette hésitation lui in
Un guide b gauche Dm
tournoyer Diane sur ell
un panache foudroyant.
calier désarçonné sauta
l'encolure et alla S'aP
un arbre de la forêt,
inerte, sur 10 dos, les h
Les ....tiers qui Stli
fièrent et, des autos Oui
ssient, un cri partit t Tont
s'était précipité au secours
Dein,
Firerreraloil
eue vliveol ou p.,
le maede n'.coiprreuoit
bleEé qua ne reprenait pas cl'è
(A suivre).
sans° I...
RÉCLAMEZ.Carnet da Bom Lm": L ÉPARGNE larsolitutts I. ÉPARGNE .ffstubt, Carnet à Boo'
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