Mise en page 1 - EPSM Lille Metropole

Mai 2006 - N°47 - 0,80€
Publication de l’Etablissement Public de Santé Mentale Lille-Métropole
www.epsm-lille-metropole.fr
Edito 2
Certification V2 :
8 groupes d’autoévaluation
en action ! 3
L’évaluation des pratiques
professionnelles 4
Les groupes d’entraide mutuelle 5
Comment lutter contre la douleur ? 6 - 7
Redésignation du CCOMS pour 4 ans 8
Une DRH plus proche des professionnels 9
La communication au centre du travail d’équipe 10
Professionnalisation des infirmiers et tutorat pédagogique 11
Assistante sociale : un service pour tous 12

2
EPSM MAG
E d i t o
L’année 2006
est une année
charnière
pour l’EPSM
Lille-Métropole
qui a
déterminé,
dans le Projet d’Etablissement
voté en décembre 2005, ses
objectifs de développement.
Ce dossier aussi important soitil,
ne prendra toute sa dimension
sans une :
1. Capacité financière à court
terme (Etat Prévisionnel des
Recettes et des Dépenses –
EPRD)
2. Capacité financière à long
terme (Plan Global de Financement
Pluriannuel – PGFP)
Il doit être accompagné de la :
3. Poursuite d’élaboration du
Projet Médical de Territoire
4. Mise en œuvre de la réforme
de la gouvernance
5. V2 de l’HAS (version 2 de la
certification de la Haute Autorité
de Santé)
Sans oublier, est-il nécessaire
de le préciser ?, que rien ne
doit se faire si ce n’est dans
l’intérêt de la personne
soignée et de son environnement.
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
Joseph Halos
L’Espace Abbé de l’Epée, dédié à l’accueil d’urgence des personnes en situation de crise suicidaire,
a ouvert le 1 er février 2006 au 21 rue de l’Abbé de l’Epée à Tourcoing.
EPSM
Lille-Métropole
Directeur de publication : J. Halos, Directeur
Responsable de publication : S. Weill, Responsable
Communication
Membres du comité de rédaction : V. Carpentier,
Technicienne de l’Information Médicale - P. Delagrande,
Directeur des Soins Adjoint - B. Deleplancque, Médecin
du Travail - V. Dessenne, Chef de bureau, DPEIMP -
L. Dufeutrel, Praticien Hospitalier, DIRM - M. Dumetz,
Adjoint des Cadres, DAF - D. Duthoit, Cadre de Santé,
Direction des Soins - D. Fournier, Infirmier, secteur 59G25,
UF 4 - P. Grajda, Cadre de Santé, secteur 59G16 -
L. Jakubiak, Ingénieure Qualité - N. Notebaert, Chargée
de la documentation
Secrétariat de rédaction : Service Communication.
Mise en page : K. Drode. - Photos : M. Gomber. - Illustrations : G. Scotte.
Réalisation : Service Communication - Impression : Kubis Print.
Ce numéro a été tiré à 3200 exemplaires - C.P. : n°0206B05669 - N° ISSN 1266-2186.
E.P.S.M - BP 10 - 59487 Armentières cedex - Tél. 03 20 10 20 02.
L’EPSM Mag est imprimé sur papier recyclé - EPSM Mag consultable sur le site internet

Certification V2 :
8 groupes d’autoévaluation en action !
Réunion d’un sous-groupe d’auto-évaluation sur l’organisation de la prise en charge
L’autoévaluation est l’une
des premières étapes à
franchir avant de recevoir
la visite des experts en
octobre 2006. Elle permet
de réaliser un état des
lieux reflétant la situation
réelle de l’établissement.
L’intérêt de ce constat est
de repérer les propositions
d’amélioration à mettre en
œuvre dans les mois et
années à venir.
L’EPSM Lille-Métropole a créé 8 groupes
pluridisciplinaires, pluricatégoriels
et plurisectoriels, traitant :
✔ de la politique et la qualité du
management
✔ des ressources humaines
✔ des fonctions hôtelières et logistiques
✔ de l’organisation de la qualité et de
la gestion des risques
✔ du système d’information
✔ de la prise en charge du patient en
psychiatrie
✔ de l’évaluation et les dynamiques
d’amélioration en l’occurrence le
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
chapitre 4 et en particulier les souschapitre
b, c, d, e et f
✔ de l’évaluation des pratiques professionnelles
notamment le chapitre
4 sous-chapitre a
Chaque groupe rédige les commentaires
pour chaque critère, mesure le
niveau de qualité atteint au moyen
d’une échelle de cotation allant de A
à D et mentionne à la fin de chaque
référence les points positifs et les
actions d’amélioration à envisager en
y indiquant les modalités de suivi et
l’échéancier. Une centaine de professionnels
de l’EPSM Lille-Métropole s’investit
dans ces travaux qui ont
démarré en février et qui se termineront
fin mai. Les représentants des
usagers s’impliquent fortement dans
ces groupes. Les correspondants qualité
contribuent à l’animation, au
secrétariat et à la relecture. Ils sont
également chargés de récolter les
documents que les experts visiteurs
pourraient consulter lors de la visite.
Les fiches de sécurité et la fiche
navette sont travaillées en parallèle à
l’autoévaluation grâce au concours
INFOS QUALITÉ
du CLIN, de la Direction de la Maintenance
et des Travaux ainsi que la
Direction des Prestations Hôtelières et
Logistiques. La Direction Qualité de
l’établissement coordonne ces travaux.
Elle apporte un soutien méthodologique
et organisationnel. L’applicatif
Quasys , outil de gestion de la
qualité conçu par les informaticiens
de l’EPSM Lille-Métropole, facilite la
gestion des réunions, des comptesrendus
et des grilles d’autoévaluation.
Le comité de pilotage assure le suivi
cette démarche. La Commission Médicale
d’Etablissement et toutes les
directions de l’établissement soutiennent
activement cette phase importante
de préparation. Avant la mise
en place de ces groupes, la direction
Qualité a organisé des actions de
communication sur le thème de la
certification V2 pour informer les professionnels
de l’EPSM Lille-Métropole
des nouvelles attentes de la Haute
Autorité en Santé et de l’organisation
envisagée pour la mise en œuvre de
la démarche sur le plan institutionnel.
Liliane Jakubiak
3

4
INFOS QUALITÉ
Prises de
fonctions
A compter du 3
avril 2006, M lle Séverine
Kloeckner a pris
ses fonctions de Directrice
de l’Accueil
et des Finances
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
et M lle Isabelle Souplet,
celles de Directrice
Qualité.
Un article dans le
prochain EPSM
mag leur sera
consacré.
Nouveau logiciel : Data
meal
Destiné, d’une part, à la commande
des repas des patients hospitalisés en
unités de soins, et d’autre part, à la
composition des repas des patients,
le logiciel Data meal, utilisé depuis le
1 er janvier 2006 permet de varier les
menus, en tenant compte des aversions
alimentaires des patients. Il facilite
également la mise en place des
régimes alimentaires.
Mission locale : prise en
charge de la précarité
L’antenne d’Ostricourt a évoqué la
santé et le soutien psychologique
dans le cadre de son activité, à l’occasion
du 10 e anniversaire de la mission
locale. Les jeunes, adressés sur
proposition d’un conseiller professionnel,
peuvent bénéficier d’un
suivi psychologique au sein de la
mission ou dirigés vers le Centre Médico-Psychologique
de Pont-à-Marcq
de l’EPSM Lille-Métropole. Une autre
action a été mise en place, dans le
cadre de la recherche d’emploi autour
d’ateliers, comme celui de « l’affirmation
de soi ». Cette action originale
et modélisable est encore à
l’état expérimental.
L’évaluation des
pratiques professionnelles
La Haute Autorité de Santé (HAS) indique qu’il s’agit
d’une démarche d’analyse d’une pratique
professionnelle ou d’une activité en référence à des
recommandations professionnelles, selon un protocole
explicite qui comporte la mise en œuvre et le suivi des
actions d’amélioration.
La Direction Qualité avec la collaboration
du Département d’Informations
et de Recherche Médicale
coordonne les travaux des groupes et
apporte une assistance méthodologique.
Voici les thématiques que l’EPSM a
choisies de traiter pour la référence 44 :
✔ Les personnes en hospitalisation inadéquate
: des études ont été menées
depuis 1998 dans l’établissement suivies
d’actions d’amélioration.
✔ La pertinence de la mise en chambre
d’isolement et de la contention : un protocole
a été réalisé en 2002, évalué lors
d’un audit en 2004. Des actions s’en
sont suivies.
✔ En ce qui concerne la pertinence des
prescriptions médicamenteuses, l’objectif
visé est l’amélioration de la prise en
charge médicamenteuse de la douleur
des patients. Il s’agira de vérifier s’il n’y a
pas de disparités entre les services sur
cette prise en charge. Un état des lieux
des prescriptions d’antalgiques dans
l'établissement a été réalisé en septembre
2004. Des pistes d’amélioration ont
été retenues telles que la proposition de
recommandations aux médecins dans
la prise en charge de la douleur ainsi
que des recommandations relatives aux
prescriptions des antalgiques.
✔ enfin pour le critère 44d, il s’agira
principalement de vérifier la pertinence
de la prescription des examens de laboratoire
afin d’éviter les bilans supplémentaires
ou redondants pour des
patients ré-hospitalisés fréquemment et
de s’assurer aussi qu’un bilan de
contrôle est réalisé avant la prescription
de thérapeutiques particulières comme
les normothymiques, les neuroleptiques.
Au sujet de la référence 45 et en particulier
le 45a, il a été choisi de travailler plus
spécifiquement sur l’hygiène des mains
des soignants qui diminue les risques
liés aux soins dispensés aux patients. Un
audit a été réalisé en 2005.
En ce qui concerne la référence 45b,
c’est le thème des situations de violence
qui prédomine lors de l’analyse des
fiches d’événements. De nombreuses
pistes d’amélioration ont déjà été réalisées
notamment pour prévenir les situations
de violence dans les unités de
soins vécues par les patients comme difficiles.
Pour la référence 46, l’établissement a
choisi de travailler sur la prise en charge
des personnes souffrant de schizophrénie
récemment diagnostiquée. La
seconde pathologie concerne les médications
et le suivi des traitements dans
les troubles bipolaires. La troisième
pathologie concerne le suicide et
notamment la prise en charge des familles.
Des audits sont prévus sur ces thématiques
pour établir un état des lieux
des pratiques avant que des pistes
d’amélioration ne soient proposées.
Liliane Jakubiak

Les groupes d’entraide mutuelle
Aujourd’hui, le GEM est
officiellement reconnu par la loi
du 11 février 2005 pour
l’égalité des droits et des chances, la
participation et la citoyenneté des
personnes handicapées (articles 4 et
11) et accompagné par la circulaire du
29 août 2005 relative aux modalités
de conventionnement et de
financement.
Qu’est-ce qu’un G.E.M ?
« Outil d’insertion dans la cité, de lutte
contre l’isolement et de prévention de
l’exclusion sociale de personnes en situation
de grande fragilité, le Groupe
d’Entraide Mutuelle peut contribuer à
assurer un meilleur accompagnement
des personnes en souffrance psychique
» précise la loi. L’adhésion et la participation
à un GEM sont libres, elles
peuvent être proposées mais non prescrites.
Le GEM est une organisation
d’entraide mutuelle entre pairs, entre
personnes qui éprouvent des difficultés
similaires, qui sont aptes à se comprendre
et à se soutenir. Le GEM doit
non seulement favoriser les contacts
humains mais faciliter la prise d’initiatives
et de responsabilités, à commencer
par celles concernant le fonctionnement
du GEM.
Rôle des professionnels de
santé mentale ?
La volonté générale de désinstitutionnaliser
toujours plus la condition des
malades psychiques place l’hôpital en
tant que simple partenaire
parmi d’autres.
Ce ne sont pas les soignants
qui gèrent les
GEM mais bien les usagers.
Le GEM n’est
donc pas une structure
qui se définit par
des prestations mises
en œuvre par des
professionnels, et en-
NOUVEAUTÉ
A l’initiative de La Fédération Nationale des Associations d’(ex) Patients en
Psychiatrie (FNAP-PSY) et en partenariat avec l’EPSM Lille-Métropole, près de 300
malades ou anciens malades psychiques, psychiatres, responsables d’associations et
soignants se sont rassemblés à la Maison Folie de Mons en Barœul les 1 er et 2 février
autour d’un nouveau dispositif : les Groupes d’Entraide Mutuelle (GEM).
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
Congrès : “Les clubs”,
1 er et 2 février à la Maison
Folie de Mons-en-Barœul
core moins effectuant des « prises en
charge ». Néanmoins, les équipes des
Centres Médico-Psychologiques environnants
sont des partenaires privilégiés,
dont le rôle peut-être précisé par
convention.
Comment constituer un GEM ?
D’abord, chercher du soutien : association
d’usagers, de familles ou oeuvrant
dans le champ de la santé mentale ou
du handicap (parrainage),… Il s’agit
d’être aidé dans la gestion administrative
et financière. Puis, il faut trouver
un lieu, l’aide de quelques personnes
(animateurs salariés ou bénévoles) et
des moyens financiers. Un financement
d’Etat d’environ 70.000 euros la
première année peut être obtenu
après respect d’un cahier des charges
(annexe 1 circulaire du 29/08/05).
Pascal Delagrande
5

6
DOSSIER
Le C.Lu.D a été constitué
essentiellement selon deux
principes :
Conformément à l’article L.1112.4 du
CSP : « Il appartient à chaque établissement
de Santé de développer et de
mettre en place l’organisation nécessaire
pour répondre au besoin des personnes
dans la prise en charge de leur
douleur ». Conformément à la Référence
32, alinéa 32 a, dans le cadre de
l’accréditation : « Une concertation est
organisée entre les professionnels
pour améliorer la prise en charge de la
douleur selon les recommandations
de bonne pratique ».
A quoi sert le C.Lu.D ?
Ce comité propose une amélioration de
la prise en charge de la douleur des
patients suivis.
Il :
✦ énonce les recommandations de
bonne pratique sur ce sujet
✦ évalue leur mise en place et propose
des actions correctrices
✦ préconise, à chaque fois, que cela est
possible, l’implication du patient
dans la prise en charge de sa douleur.
✦ évalue périodiquement la satisfaction
du patient sur ce sujet
✦ propose et met en place un programme
de formation pour les
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
Comment lutter contre
la douleur ?
Le Comité de lutte contre la douleur (C.Lu.D) de
l’EPSM Lille-Métropole est né en avril 2004
(CME). Il s’agit d’une véritable instance de
concertation sur l’ensemble des questions
relatives à la douleur des patients.
professionnels, sur la prévention (éviter
les douleurs iatrogènes), l’évaluation
de la douleur et sur sa prise en
charge.
De qui est composé le C.Lu.D ?
Ses réalisations
✦ Une enquête de prévalence pour situer
le problème de la douleur à
l’EPSM Lille-Métropole (D r Emmanuel
Sa composition est libre, multidisciplinaire et multisectorielle.
Aujourd’hui il est composé de :
✦ M me Isabelle Bossu, psychologue, secteur 59G18
✦ D r Emmanuel Bulckaen, praticien hospitalier, secteur 59G18
✦ M me Patricia Caillet, cadre de santé, secteur 59G19, vice présidente
✦ M lle Catherine Caloone, psychologue, secteur 59G16
✦ M lle Véronique Carpentier, technicienne de l’information médicale,
DIRM
✦ M me Régine Delplanque, directrice des soins
✦ D r Ludovic Dufeutrel, praticien hospitalier, DIRM
✦ M. Maurice Dupas, représentant des usagers, UNAFAM
✦ M. Bertrand Fontaine, aide médico-psychologique, Résidence Berthe
Morisot
✦ M lle Isabelle Souplet, directrice qualité
✦ M me Natacha Hermand, kinésithérapeute, Résidence Berthe Morisot
✦ M me Marie Laure Mantovani, psychomotricienne, secteur 59G21
✦ D r Christian Müller, praticien hospitalier, chef de service, secteur
59G18, Président du C.Lu.D.
✦ M me Nathalie Notebaert, documentaliste, centre de documentation
✦ D r Carine Ndjiki-Nya, médecin généraliste, secteur 59G07
✦ M me Véronique Planque, aide soignante, secteur 59G25
✦ D r Claire Pollet, pharmacien des hôpitaux
✦ M lle Ingrid Richardson, agent administratif assurant le secrétariat du
C.Lu.D.
✦ P r Hugues Robert, pharmacien des hôpitaux

4 avril 2006, réunion du Comité de lutte contre la douleur
Bulckaen, D r Claire Pollet et Nathalie
Avez) sur la période du 6 au 19 septembre
2004, à partir des ordonnances
: 183 patients avaient au moins un
traitement antalgique (= 36.4 % des
patients sous ordonnance).
Les antalgiques les plus prescrits sont :
❏ De niveau 1 (70,3 %) : Doliprane,
Aspirine
❏ Les indications conditionnant ces
prescriptions sont : douleurs ostéo-articulaires,
céphalées, migraines, douleurs
dentaires, autres 1
Ce travail servira pour l’un des thèmes
retenus pour l’évaluation des pratiques
professionnelles.
✦ Une enquête auprès des professionnels
pour évaluer la prise en charge de
la douleur (D r Ludovic Dufeutrel et
Véronique Carpentier ). Les principales
constatations sont :
- un manque d’informations et surtout
quelques pistes d’amélioration et
notamment l’organisation de journées
à thème,
- une formation initiale encore
modeste mais de moins en moins
semble-t-il
- une formation continue insuffisante,
fortement réclamée par ailleurs,
- des moyens d’évaluations simples
peu ou mal connus mais surtout très
peu disponibles,
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
- des moyens de prévention insatisfaisants
; ceci rejoint les observations cidessus,
- l’intérêt d’informer à propos des techniques
corporelles telles que kinésithérapie,
psychomotricité, balnéothérapie,
- le manque de traçabilité de l’information
relative à la douleur dans les dossiers
médicaux,
- le besoin d’une formalisation
consensuelle de la conduite à tenir.
✦ Un tableau des principales techniques
psychocorporelles adaptées au
soulagement de la douleur (Marie
Laure Mantovani, Véronique Planque)
✦ Un classeur bibliographique consultable
au Centre de Documentation
(Nathalie Notebaert, Isabelle Bossu)
✦ Un forum C.Lu.D, consultable sur
Lotus Notes, applicatif QuaSys
Ses projets :
✦ La Fondation de France a retenu le
projet du C.Lu.D. de l’EPSM Lille-Métropole.
Ce projet est une campagne de
sensibilisation des équipes soignantes
des établissements de santé mentale à
la thématique de la douleur, par
concours d’affiches à destination des
structures sectorielles de soins.
En partenariat avec d’autres
C.Lu.D./EPSM existants, il se réalisera
DOSSIER
de la manière suivante :
❏ création d’un comité de pilotage
❏ mise en place du règlement du
concours
❏ lancement du concours d’affiches
(toutes les structures de tous les EPSM
sont concernées)
❏ sélection du jury et désignation
du/ou des établissements lauréats
❏ diffusion des affiches aux établissements
français
✦ Veille documentaire assurée par le
centre de documentation chargé de
prévenir le CLUD quand une source
documentaire est publiée.
✦ Il convient en priorité d’informer, de
former et de mettre à disposition des
échelles d’évaluation simples.
✦ Dans un deuxième temps, une enquête
de prévalence chez le patient est
à prévoir pour préciser la problématique,
la prise en charge et la satisfaction
qui en découle.
D r Ludovic Dufeutrel,
D r Christian Müller
Pour en savoir plus :
- G. Burloux « Le corps et sa douleur » Dunod,
2004, p.252
- C. Perrottin « La douleur et la souffrance », Ed.
CERF, 2002, p.219
- Krotenberg « Parle à ma tête, mon corps est
malade », Ed. Générales First, 2004, p.238
Disponible au Centre de Documentation.
7

8
ACTUALITÉ
Redésignation du CCOMS pour 4 ans
Le D r Jean-Luc Roelandt, vient d’être reconduit dans ses fonctions de Directeur du
Centre Collaborateur Français de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la
formation et la recherche en santé mentale (CCOMS). Une redésignation par
l’Organisation Mondiale de la Santé qui positionne l’EPSM Lille-Métropole en tant
qu’institution de rattachement. Panorama des actions et des missions du centre.
Le CCOMS, leader des CCOMS
européens pour la promotion de
la santé mentale et la lutte contre
la stigmatisation et co-leader pour le
changement des services, regroupe 8
hôpitaux français, 3 centres de
recherche et universités. Le CCOMS
rassemble un réseau d’actions, de
compétences, de programmes, en
relation avec les orientations de santé
mentale internationales de l'OMS. Il se
fonde sur un réseau de personnes
qualifiées, appuyé d’un conseil
scientifique national rassemblé autour
de valeurs communes et travaille en
lien avec les services du Ministère de la
Santé : DREES 1 , DGS 2 , DHOS 3 ,
DGAS 4 . Son programme d’actions
s’articule autour de 6 pôles.
✦ Pôle 1 : Santé mentale en population
générale : Images et Réalités.
Actualité : suite à une commande de la
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
DRASS 5 et à son financement, cette
recherche est en cours d’extension sur
9 sites du Nord Pas de Calais (Lens,
Dunkerque, Valenciennes,…). De
nouveaux sites internationaux sont
programmés.
✦ Pôle 2 : Prévention du suicide.
✦ Pôle 3 : Promotion de la santé mentale
et défense des droits des usagers.
Lutte contre la stigmatisation et la discrimination.
Actualité : Participation à la Semaine
Nationale d’Information sur la Santé
Mentale et mise en place d’actions de
promotion en santé mentale (campagne
« Accepter les différences… »). Plusieurs
recherches en cours.
✦ Pôle 4 : Réseau d’expériences innovantes
en santé mentale – pour des
services de psychiatrie intégrés dans la
Cité.
Actualité : le réseau international de
collaboration pour la santé mentale
(’Espagne, Irlande, Angleterre, France,
Suède et Italie) vient d’entreprendre la
création d’une ONG 6 « Association de
L’équipe du CCOMS
D r Jean-Luc Roelandt, Directeur
Agathe Kergall, Chargée de mission
Nicolas Daumerie, Chargé de mission
Lydie Robin, Secrétaire
et 2 nouvelles chargées de mission
soutien pour le réseau
international de collaboration
(santé mentale
et citoyenneté) ».
✦ Pôle 5 : Evaluation
médico-économique
des soins psychiatriques
sectorisés : Une étude pour
évaluer l’efficience des secteurs de
psychiatrie.
✦ Pôle 6 : Sociologie de la santé
mentale
Actualité : Réalisation de recherches en
partenariat avec le CNRS 7 et l’IFRESI 8 et
participation à une recherche financée
par la Commission Européenne.
Site web :
www.epsm-lille-metropole.fr
rubrique CCOMS
Stéphanie Weill
1 Direction de la Recherche, des Études, de
l'Évaluation et des Statistiques
2 Direction Générale de la Santé
3 Direction de l'Hospitalisation et de l'Organisation
des Soins
4 Direction Générale de l'Action Sociale
5 Direction Régionale des Affaires Sanitaires et
Sociales
6 Organisation Non Gouvernementale
7 Centre National de la Recherche Scientifique
8 Institut Fédératif de Recherche sur les Économies
et les Sociétés Industrielles

Une DRH plus proche des
professionnels
Accueil d’un nouveau professionnel
à la Direction des Relations Humaines et de la Formation Continue
Forte d’une certification Iso 9001 version 2000, la
Direction des Relations Humaines et de la Formation
Continue (DRHFC), a défini sa politique pour les années
à venir. Avec comme maîtres mots : écoute client,
qualité et proximité avec les professionnels.
Conformes aux objectifs du projet social, les orientations de la DRHFC visent
à améliorer la prestation aux professionnels, à donner une nouvelle image
de la DRHFC et permettre une reconnaissance de ses différents pôles et de
leur savoir-faire. « On ne peut pas faire une prestation de qualité sans une bonne
écoute client », explique F-M Gest, Directeur des Relations Humaines et de la Formation
Continue. Il s’agit d’aborder chaque professionnel en tant que cas individuel,
en intégrant également les attentes de l’établissement (services, instances,…).
La mise en place d’enquêtes de satisfaction courant 2006, permettra une
meilleure prise en compte des demandes et l’apport de réponses exhaustives.
« être sur le terrain »
L’accompagnement des relocalisations de la prise en charge (lits de psychiatrie
sur le site de l’hôpital Dron,…) constitue un enjeu majeur pour l’équipe de la
DRHFC. La réalisation de permanences sur site, permettra d’être proche des professionnels,
garantissant ainsi un contact direct sur le terrain.
Autres missions, le développement de la polyvalence et la valorisation des compétences
des professionnels. Notamment par un accès facilité à la promotion
professionnelle (maintien d’un budget de formation deux fois supérieur à l’obligation
légale). L’amélioration de la qualité de vie au travail, les relations entre les
professionnels seront enrichies en favorisant le dialogue social (espaces d’expression
directe, concertation, enjeux partagés,…).
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
Véronique Carpentier, Stéphanie Weill
ACTUALITÉ
17 e Semaine d’Information
sur la Santé Mentale
L’hôtel de ville de Tourcoing a accueilli
le colloque « handicap psychique,
réseaux, citoyenneté » le 14
mars 2006. Une manifestation en
partenariat avec l’EPSM Lille-Métropole,
le Centre Collaborateur de
l’OMS, l’EPSM de l’agglomération lilloise,
l’Union Nationale des Amis et
familles de malades psychiques , la
Fédération Croix Marine, Nord-Mentalités
et l’Association des Maires de
France.
À cette occasion, la convention
constitutive du réseau “Précarité
Santé Mentale Tourcoing-Vallée de la
Lys” a été signée.
Locaux Santexcel
Le Groupement d’Intérêts Publics
(GIP) Santexcel a inauguré le 10
mars dernier ses nouveaux locaux
sur le site de l’EPSM Lille-Métropole.
Des formations à destination des
professionnels de santé y sont dispensées.
Un programme en matière
d’insertion professionnelle a également
été créé. Il permet à des demandeurs
d’emplois d’être formés
aux métiers de la santé.
En présence de : M. Halos, Directeur
de l’EPSM Lille-Métropole, M. Baron,
Directeur de Santexcel, M me Wavrant-
Staniec, Conseillère générale, M.
Haesebroeck, Conseiller général et le
Docteur Lajugie, Présidente de la
CME.
9

10
LA SANTÉ AU TRAVAIL
Pôle Hébergement
Un pôle hébergement destiné
à l’accueil de personnes en stage ou
en missions sur l’EPSM Lille-Métropole
a ouvert début avril sur le site Armentiérois
de l’établissement. Sur 3
niveaux, 13 chambres dont une double,
bénéficient d’aménagements et
d’équipements de qualité. Facile d’accès
(15 minutes de Lille en voiture, 10
minutes de la gare d’Armentières et 5
minutes du centre ville à pied), le pôle
est également équipé d’un accès
pour personnes à mobilité réduite.
Renseignements : 03 20 10 22 32.
Astuce
Rechercher un texte publié
sous format électronique au journal
officiel :
1- Vous repérez une référence décret
ou arrêté diffusé par le Ministère de la
Santé et des solidarités dans le
fascicule papier ou vous avez une
date précise à rechercher (ex : au
Journal Officiel du 4 avril 2006, l’arrêté
du 10 mars 2006 portant réduction
du nombre de commissions
administratives).
2- Connectez-vous à Internet et
tapez :www.journal-officiel.gouv.fr
3- Cliquez sur “Consulter le JO électronique
authentifié”
4- Dans la case “JO paru le”, indiquez
la date ou cliquez sur le calendrier
5- Sélectionnez “voir le JO demandé”
6- Lorsque la page du JO apparaît,
avec la petite main cliquez sur le mot
souligné ou le numéro correspondant,
vous téléchargez le texte (pour
une 1 re connexion, acceptez le certificat
de sécurité)
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
La communication
au centre du travail d’équipe
Une équipe de travail est plus que le nombre de
personnes qui la compose. Chacun de ses membres est
important pour la valeur ajoutée qu'il apporte à l'équipe
et par les interactions qu'il crée avec les autres.
De par sa personnalité, son histoire
personnelle et son parcours
professionnel, chaque
membre de l’équipe va avoir une perception
singulière d’une situation. Les
éléments présents dans l’environnement
vont être filtrés. Certaines données
vont êtres ignorées, d’autres vont
se voir attribuer des significations particulières.
Chaque membre de l’équipe
va donc appréhender différemment les
situations professionnelles auxquelles il
est confronté. Il va y associer des émotions
et des comportements qui peuvent
l’amener à entrer en conflit avec
ses collègues. Afin d’en favoriser une
bonne régulation, le climat qui règne
au sein de l’équipe doit être propice à
établir une communication qui permette
à ses membres de s'exprimer librement,
d'écouter l’autre et de se
comprendre.
Pour favoriser une bonne entente au
sein de l’équipe, certaines personnes
évitent d'exprimer leurs suggestions ou
leurs oppositions concernant les différents
aspects d'un travail à réaliser ;
mais aussi à exprimer des sentiments
ou des tensions concernant l'attitude,
la façon d'échanger ou de travailler
d'un collègue. Pourtant, s'abstenir de
s'exprimer ne contribue pas nécessairement
à procurer un climat de travail serein.
La personne garde en elle une
certaine rancœur qui nuira à son bienêtre
au travail. D’autres, au contraire,
s’expriment librement, mais sans prendre
garde à la manière dont ils le font.
Leur franc-parler nuit à une réelle communication
car ils se ferment aux autres,
jugent toute personne qui adopte
un point de vue différent et rejettent
toute initiative qu’ils ne partagent pas.
Des habiletés
de communication
Travailler en équipe ne s'improvise pas.
Cela requiert l’acquisition progressive
d’habiletés de communication qui doit
amener chacun d’entre nous à se poser
les questions suivantes : Ai-je pris le
temps d’écouter et de comprendre
l’autre au lieu de rester centré sur ma
position ? Ai-je exprimé mes remarques,
mes suggestions ou mes critiques
de manière constructive au lieu
de laisser mes émotions dicter mes paroles
et mes actes ? En y mettant de la
bonne volonté, chacun d’entre nous
participe à l’installation d’un climat propice
aux échanges qui favorisera la réalisation
des objectifs de travail. Dans
cet esprit, les divers points de vue,
même s'ils sont parfois objet de conflits,
constituent le potentiel de l'équipe.
Isabelle Masurel
Pour en savoir plus :
- D. Chalvin « Optimisez vos relations aux autres
» Ed. Expansion scientifique Française, Coll.
Management les Guides, 2004, 126 p.
- B. Sananes « La communication efficace :
acquérir maîtrise, aisance et confiance dans ses
rapports avec les autres », Dunod, 2002, 171 p.
- M. Michel « La gestion des conflits à l’hôpital »,
Ed. Lamarre, Coll. Pratiquer, 1996, 198 p.
Disponible au Centre de Documentation.

Professionnalisation des infirmiers
et tutorat pédagogique
INFOS SOINS
Eu égard aux orientations du plan de santé mentale, aux préconisations législatives
et aux objectifs du pôle formation, l’EPSM Lille-Métropole s’inscrit dans une démarche
de tutorat pédagogique qui vise à former les tuteurs et promouvoir les compétences
et l’expertise interne.
Le tutorat consiste à transmettre et
accompagner les nouveaux infirmiers
dans la construction d’un
savoir-faire, d’une expérience spécifique
et d’une identité professionnelle.
Il favorise la mutualisation des expériences,
le partage des connaissances,
l’intégration et le sentiment d’appartenance
institutionnelle. La qualité des
échanges doit susciter un questionnement
propice à l’analyse de pratiques
afin que le nouveau professionnel
puisse donner du sens à sa propre expérience
et se situer par rapport à ses
valeurs. Au-delà de l’accompagnement
des nouveaux infirmiers, nous
souhaitons également nous inscrire
dans une démarche de réflexion avec
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
les tuteurs pédagogiques afin d’appréhender
les questionnements et optimiser
le parcours de professionnalisation
des nouveaux infirmiers. Les réflexions
pourront, de fait, enrichir la profession
et alimenter le processus de transformation.
Projet de professionnalisation
Face au besoin constaté de formation
des infirmiers exerçant en psychiatrie,
la démarche de tutotat est complétée
à l’EPSM Lille-Métropole par un projet
de professionnalisation. Ce projet vise
à approfondir les savoirs et pratiques
en soins infirmiers acquis en formation
initiale grâce à un programme de formation
modulaire de 19 jours étalés
sur un ou deux ans. Au-delà du renforcement
des connaissances, cette formation
associée au tutorat devrait permettre
aux nouveaux professionnels
infirmiers de maîtriser les soins infirmiers
en psychiatrie, d’initier les pratiques
réflexives eu égard à la clinique
et aux organisations de soins, et de
participer à l’évolution du dispositif de
soins en santé mentale.
Le contenu de la formation prend en
compte l’histoire de la profession infirmière,
le dispositif législatif, les outils
de soins, les techniques de soins à visée
psychothérapeutique, la sémiologie,
la psychopathologie et l’éthique
de la prise en charge du patient. La
formation OMEGA France complète
ce dispositif.
Ce projet devrait permettre aux infirmiers
une prise de fonctions optimale
grâce à la compréhension des interactions
et de leur impact entre les personnes
soignées et les soignants.
Les objectifs sont également de :
✑ faciliter l’alliance thérapeutique
avec le patient ;
✑ acquérir une distance relationnelle
structurante et contenante ;
✑ développer le raisonnement clinique
;
✑ faciliter son inscription dans une
équipe pluridisciplinaire au niveau
de la réflexion et de la prise en
charge des soignés.
Afin de favoriser une logique de transmission
des savoirs entre générations
de professionnels, nous privilégions,
comme intervenants, des professionnels
de l’établissement ayant une pratique
professionnelle conséquente et
des capacités pédagogiques.
Régine Delplanque,
Elianne Bourgeois
Pour en savoir plus :
- D. Gaudel « La formation par les pairs ». In
Soins, Cadres, n°49, 2004, p. 69-70
- J. Bigaignon Cantineau « Quand les
connaissances deviennent des compétences »,
In Soins, n°667, p.40-41
- Circulaire DHOS/P2/O2DGS/6C n ° 2006-21
du 16 janvier 2006 relative à la mise en œuvre
du tutorat pour les nouveaux infirmiers
exerçant en psychiatrie.
Disponible au Centre de Documentation.
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INFORMATIONS HOSPITALIÈRES
Assistante sociale :
un service pour tous
M lle Oriane Courtin, diplômée d’un DEASS (Diplôme
d’Etat d’Assistant de Service Social) a pris ses fonctions
d’assistante sociale des professionnels en octobre 2004.
Son bureau se situe au sein de l’EPSM Lille-Métropole, au
1 er étage du pavillon d’accueil.
La prise de rendez-vous s’effectue auprès de M lle Laure
Vanderschueren au 03 20 10 20 53 qui comme l’assistante
sociale est soumise au secret professionnel. Le
secrétariat est commun avec celui de la Cellule d’écoute,
une permanence est assurée le mardi de 9h à 12h.
Les domaines d’interventions de Mlle Oriane Courtin sont
liés aux difficultés familiales (divorce), administratives (prestations
sociales), financières (surendettement) et matérielles
(relogement) que peuvent rencontrer les professionnels et
les retraités de l’EPSM Lille-Métropole.
Laure Vanderschueren assure le secrétariat
Orientation et conseil
Ses missions principales sont d’orienter, conseiller et de soutenir le professionnel
en difficulté. Elle peut l’accompagner lors de ses démarches administratives et en
cas de nécessité, se déplacer à son domicile. Son but est de prévenir les difficultés
sociales ou médico-sociales rencontrées par les professionnels ou d’y remédier.
Elle contribue ainsi à un mieux être de ce dernier dans son environnement
au travail, personnel et familial.
Oriane Courtin, assistante sociale, accueille chaque
professionnel en toute confidentialité
EPSM Mag - Mai 2006 - n°47
L’assistante sociale travaille
en collaboration
avec le médecin du travail,
le pôle œuvres sociales,
la cellule d’écoute et
la Direction des Relations
Humaines et de la Formation
Continue.
Alors n’oubliez pas
qu’Oriane Courtin est à
votre entière disposition,
en toute confidentialité.
Véronique Carpentier
Mouvements du personnel
Arrivées
Agent des Services Hospitaliers : Monique
Guilbert, Ketty Wentz.
Assistante sociale : Chantal Zambo.
Educatrice de Jeunes Enfants : Virginie
Hamdini.
Infirmiers : Olivier Billain, Thyphaine
Bouriez, Raphael Bouton, Sandrine Brule,
Karine Calesse, Mathieu Collet, Carine
Crepin, Aurore Darras, Laurent Depernet,
Daniel Dubourg, Cédric Fournier, Sabine
Fournier, J François Gaciarz, Aurélie
Gallois, Fouad Laieb, Yannick Lancry,
Stéphanie Lienard, Amandine Masquelein,
Camille Pons, Chantal Potel, Vincent
Samiez, Emilie Six, Virginie Solau, Virginie
Tancrez, Audrey Tellier, Isabelle Vanbelle,
Fanny Verin, Delphine Viller, Marlène
Zampieri.
Psychologue : Marion Jorget, Christelle
Monchicourt.
Technicien Supérieur Hospitalier :
Nathalie Notebaert.
Départs
Agent Administratif : Emilie De Coninck.
Agent des Services Hospitaliers : Denis
Cosmar.
Aides Soignants : Amaury Casano, Céline
Giese.
Chef de Bureau : Marion Amélie Fourrier.
Directeur : Michel Willaume.
Ergothérapeute : Céline Rivelon.
Infirmiers : Chantal Gagatek, Corinne
Duriez, Flavia Questroy, Marjorie Calonne,
Mélanie Dambrine, Sébastien Soto
Minguez, .
Orthophonistes : Anne-Cécile Watine,
Peggy Kmita.
Psychologues : Gwennaïg Le Nouy, Iréna
Lelong, Marguerite Roche, Maud
Verduyn.
Psychomotricienne : Céline Ziemski.
Bonne retraite à
André Engloo, Bruno Buidin, Céline Perrin,
Christelle Lemaitre, Claude Topczenski,
Daniel Terrier, Daniel Veste, Etiennette
Houvenaghel, J. Jacques Leroy, José
Cousin, M. Christine Salomez, Michel
Vanderveken, Patrick Blanquart, Yvette
Engloo.
Décès
Nous ont quittés :
Jean Pierre Hoste et Michel Vennin.