Cherchez-le où il est - Bibliothèque de Toulouse

TIEME ANNEE. Nï 6.850 

' Za 

%-"" erg 

ABONNEMENTS 

3 sodia. 12 fr.: 6 mois, 23 ire I an, 45 fs. 

*tue,..............................................aaam.saaa 

es Elections bien. vite 

M. /e président du Conseil a cité 

svee l'habituelle sûreté de sa documentation, 

les précédents qui justilient, 

à ses yeux, les décrets-lois par 

lesquels /a majorité du Bloc national 

qui n'a pas su frapper les gros, s'anprete 

à sacrifier les petits. Il n'a oublié 

que les décrets-lois du sénat.rottsitile 

de fan XII et ceux qui suivirent, 

en 1851, le coup d'Ela/ du 

Prince-Président. 

De même que sur les monnaies de 

l'époque où l'un voyait, d'un côté, 

l'effigie de la République et, de l'autre, 

le portrait de Bonaparte, de même, 

eue le franc déprécié du Bloc national, 

on peut voir poindre la trique 

de Mussolini. 

non pas, que M. Poincaré 

veuille s'y essayer; il est de basoche 

et de tradition républicaine ; aussi 

bien n'est-ce pas du côté de l'Elysée 

qu'Hervé, qui en cannait le chemin, 

nous montre le dictateur. Mais M. 

Poincaré est en train de lui faire son 

lit, si les électeurs n'y mettent pas 

Ordre. C'est ce qu'ils se chargeront 

de faire avec le bloc de gauche. 

Est-ce à dire que celui-ci au pouvoir 

car j'espère bien qu'il ne sera 

pas d'une minute, ni d'une heure, ni 

d'un jour et qu'il voudra gouverner 

sons peine de justifier demain la même 

réprobation qui pèse aujourd'hui 

sur le Bloc national ne devra pas 

employer des moyens un peu rudes ? 

Certes, d'interminables discours, la 

lenteur des procédures parlementaires 

ont jeté quelque discrédit sur nos 

possibilités d'aboutir et les masses 

profondes de ce pays ont grand soif 

de réalisations. Mais il n'est pas besoin 

pour cela de juguler le Parlement, 

il suffit que l'anime un nom 

verneinent qui n'ait pas peur des responsabilités. 

appuyé sur une majorité 

qui sait ce qu'elle veut. La Convention, 

qui reste notre modèle, a 

porté au plus haut les discussions 

passionnées, tandis que ses Commissions 

organisaient un monde et que 

le Comité de Salut public sauvait la 

France de l'invasion et la Révolution 

des conspirateurs et des traitras. 

Le régime des assemblées vaut ce 

qu'en vaut l'aune; et si celles-ci se 

sentent portées par un fort courant 

populaire. Pour agie, la Chambre du 

Bloc national, qui n'a pu rien faire 

jusertint la veille ilea élections, ne peut 

qu'abdiquer parce qu'elle ne se sent 

sûre ni de sa cause, ni de son public. 

Elle se cache derrière /e gouvernement 

comme pour perpétrer Un mauvais 

coup. C'est, qu'en effet, sons prétexte 

de salut public, elle prétend 

échapper aux mesures nécessaires 

qui frapperaient les siens, ses commanditaires 

et ses clients. 

C'est bien, de renoncer aux emprunts 

et de demander aux impôts de 

quoi échapper à la banqueroute qui 

nous guette; mais il est abominable 

d'augmenter des impôts injustes, et 

frappant déjà le producteur, le commerçant 

et le consommateur, de tes 

frapper davantage et de hausser la 

vie chère. 

C'est bien de vouloir réduire les 

fonctionnaires, simplifier /es Touages, 

décentraiiser l'Etat. Mais c'est avec 

ht collaboration des syndicats de 

fonctionnaires qu'on peut aboutir à 

des mesures efficaces et qui soient 

dans le sens de la démocratie. 

C'est bien de prétendre réduire les 

fraudes fiscales, reviser leu marchés, 

faire rendre gorge aux profiteurs de 

la guerre. Mais le moyen d'y parvenir 

quand, au lieu de déchanter contre 

eux les colères populaires, on fer, 

nie la porte des officines ministérielles 

sur les tractations qui vont s'engager 

entre cette majorité affolée, qui 

veut demander des coniptes et ses 

grands électeurs, qui réclament le 

Paiement de leurs dettes ? 

Quant ni ta fraude fluide, cette 

fraude insensée, gui fait appeler 

e Poires s ceux qui paient leurs contributions, 

voilà des mois voilà des 

années que les syndicats des agents 

des finances disent a leur ministre 

st En voici /es moyens !e Mais leur 

ministre n'est premeupé eue de brocanter 

les allumettes. Voilà des mois, 

voilà des années que socialistes, défenseurs, 

comme toujours, de tout ce 

nui travaille et qui vit de son travail, 

nous dénonçons ce scandale d'impôts 

réelamés aux salariés, aux fonctiontinires, 

aux professions libérales, aux 

à,stUrttereants et auxquels échappent 

nnS portions eutieres de la population, 

eelies.là eur lesquelles s'ap- 

Pttient politieuement pour coad/all 

soeiafisrite 'et la démocratie, le gon- 

Xer arment et sa majorité. 

C'est bien, d'en appeler aux sacri- 

SOCIALISTE 

Rédaction et Aelseiniatratien s 3G, Rue Requelaine - TOULOUSE - Tél es-43 - Compte Chèque pomma 5.-27 

BUREAUX A PARIS s 46. Rue à Tre,rne. 4 (IX' Arrondissement) Téléphone v Beeleie 36-le 

fices héroïques. Mais, comme disait 

à peu près Daudet, qui, nia foi, fut 

l'autre soir fort en verve et lâcha 

proprement cette majorité qui fait 

eau : On est déjà passé ». Pendant 

la paix, comme pendant la guerre, 

ce sont toujours les mêmes qui 

paient. 

Si vous le voulez bien, nous réserverons 

nos pleins pouvoirs aux majorités 

dont nous serons aux gOiteM, 

liements qui auront notre confiance. 

Pour l'instant n la classe I Je veux 

dire t les élections t 

J. PAUL-I3ONCOUB. 

La France pays charmant 

damomit 

lion de rancies m,e,,on no me refusait jutées 

dan. Mein ce, imam 'ornMr. ie n'Y pas rem 

men chamm, elon, l'idée me vire &engem une 

bijouterie. 

fi yoga t On ne soma usinant nate as.: aux 

cc...équerre. mie peuvent unir le. 'Alija pou 

mu. On canes. trè, bien gra na recevant Foe 

net eut altaaue menuet. Den Jasé Cana-d-Te- 

s.. tsv araanaa sessaace, wm d'At, re- 

froidir au faci de su Lomé,,, an brama beau., 

am ne lm eue nen fait. 

Ah I il n'y a pin a dire, D Fana me im nue 

chasonmt faq Mat ea W.* .>"nt 

crime.. Les Fane/ères de cette mima id.!, 

et universelle mat grand, a I^ nmind'oeuvre 

étrangère. _Marielle ru Paria noms/ 

consister (tennis auto'. ,2 tireur, go, pro 

migre dame. Amted Néata 

Le l'Oside lei SON est .mort 

LA FOULE S/LENTILISE ATTENI) 

LA FIN 

Washington. a février. Pendant quo 

l'atRien prisaient dos rasta-Unis se meut, 

dos elete de gons, mtemieux o., consterna. 

eimdent 'entameui elevut n maison. 

Pendant la nuit. dos groupas ou, attendu 

les ballotins qui étaieu, muants de tonie, 

à autre par lm médecins. 

La chaulai'on e été eRtaurnéte den dive, 

pues de naisses cetoaeso, .d cerne«. de 

M. Wion, de faeon à ce qu'aucun bruit 

no vie.° troubler le mourant. 

Dans toute la capitale règne un se 

ment do gratado trate.,. 

Do toutes les parties des Etats-Unis des 

milliem de messages de sympathie saluent. 

Fin au. Woodrow la nation entière 

salue, à la veille do 1 wtort do Fillustre 

Malade, son grand °tad de la gderre. 

Dames Io « Ses-Yack Ilerald », il a 

fallu mon filer matin, de l'oxygène et de 

la usurpait'e pour maintenir M. Wilson en 

vie et lin épargner des raiera-oses 

DANS LE COMA 

Washingtam 8 i 55. prksident, 

Watson a perdu coin/aigu.. 

LA MORT 

New-York, 8 février. L'EX-PRESI 

»altiT WILSON EST MORT. 

NOTICE BIOGRAPHIQUE 

Womiraw Wilson est né h Stranton (Etat 

de Virginie!, en 1856, il avait ate /du présaynt 

de la Republique des Etets-Unis 

tetZ Le président Waren était tombé malatte 

te 2$ septembre 1913. au cours die la 

campagne do diseiours qu'il avait outre' 

prise, en vue do faRta ratifier le traité de' 

ventailles, qui rencontrait una vive hos/titi/4 

nu Serial. 

Le plus grand repas il souffrait de 

proatation liernes° lui avail éd alois 

roesairmintleb gon. emmiel dans une 

dmni-retraitio 10 seereteire &Etat (fele,,, 

ti.aimilrg. ayant la direction réelle des 

qu'il avait altenda h la Matstat 

littalto l'expiration de Seta mandat pris. 

Ndentiel 

',sis celle date. R s mars let. 

virus comptelement retiré de /a palitique 

dus mi maison de Washington. entstur4 

des sains de sa Run,, et de ses enfants. 

reeevent seulement de Maus en temps 

quelques fidealay. 

En août tara. surmontant lo mal qui no 

I,,, laistrit que de rares Wasits. il avait 

suivi mariant quelque tenues. ou vaiture, 

le cercueil de sou atiocesseue le preeideat 

Baoding, 

Les Commandements de Dieu 

revus et corrigés 

Allons boa t voilà que l'Eelise à décide 

de modifier les commandements de Dieu, 

Tout R mande connaît la teneur da riotrainele 

I 

mis, s'efforce, dam la a Semaine religieu- 

se a, de justifier cette entorse faite au 

vieux ce/mandement, 

La justificatiea ne nous a peint casvaincus... 

leam fialdniP2otagirsoenZt 

Il parait que ce texte était quelquefois 

pilnant. II était Mon ngso/u, trop eQiele 

Lopeposi,poi. n 

i.e « Décalogue s, qui n'a point mis /a 

rinose eu và,eàcl52,..JfirfPà One Di. PC: il 

-."?' "a "-Zn, ;Mat u Tu ne tueras 

C'est net ni cat6goriquefi. II faut 

gain drop péremptoire, /c meurtre, toute à'ào Ioule là, 

espèce de meurtre Ise, meurtriers, qu'ils soient individus 

Or, vous comprenu, de même qu'll y a ou collestivités, ont assez de ter'duocesin 

des meascuses pieux, il peut y avoir des se justifier en prétendant qu'ils étaient 

in.rtres.. religieux et méritoires. dans leur fenil, en esseyant de 'entamer 

Ne temt-il point par exempte, justifier leurs actes homicide,, pour qu'il ne soit 

or 

con,l'inginsition, la Samt. point besoin de leur maquer que, dans 

MY, I C. a Dragonnades In Suage certains cas on peut tuer de p1 id er bar 

t Ce texte n'avait pas ta souplesse avance /es circonstances atténua:tes, en 

vottisto n il n'était Pas a adaptable a. un mot e de leur tendre la perche a. Caaa,:, 

un jeu danacrea,, 

d Mi te 

AU JO UR Le JOUR Hernie/de point ne seras 

pn',sfeisesoil'leatitat entholtuos de P5. 

tiastss faoas, tenons-nous 

en! 'Me /,;(eirCtl'eret. T7t, tueras a. 

rt enets.. sciencn t estpeint ordre 

-Ceie le rot d 

Tuai homme a deux PeMM. Sens,rd. 

ta Fus.. C'est nias duce omememe Une d'étainsem 

ne camgorient ahea nous munie as se eupagnessi 

chas eux, do:Ma-dire Us mol. 

Les une, con,tei im ma yeux d'ana jolie fille, 

fest da tir à la cible maas an dancing t In.a.. dern/er our pour /es 

SabCdted, es tn fam. insmaia ; ceux-ci bar 

Soient dei bileux et de. fourrure. dan. Da pré 

Men ccaxda fo,ct,ioo tes vieilDa daman 

arneureme. d'autre. trafiquent à /a Yeerec dg 

naufrage.. .one ouvra franc que c'en MI end 

sol000,5t'esme 

pati aller t'es de retins un peso 

fort dese Is jeune Eure./ jase Climent.Te,Par 

a. étudiait la atteame nn a Pans. L mec matn, 

rte., fta 

du Paine-Royal ai, le came de eon une sio. 

AUJOURD'HUI LUNDI 

/a RETARD NTAIIZES, 

INSCRIFUONS 

sur les listes électorees 

temec beimmer mua. la f aines, Yluem 

tanottretée de Ces,4o.he suc amins dis came.. si vous voulez voter cette année 

sis st rées d'errent 

l'argent ou ad té bande 

La femme du btiomia, qui n'Ani pers man- (OUmèLZ A LA riAntiE 

répliyaua d. tac eur lac en entinestt 

hune, ibérique une bAle 5,0.. 

nen le fit détala, Clam la commisse., ea. 

yu/. jeu, "hamme fit éstq étonnante, dé cedié, L 

6°7_, 'Nfa, qau, uen e cabinet Mac Donalt1 au travail 

REDUCTIONS D'IMPCTS 

Divers n mures ch. novae/tu cabinet te 

sont aauvam,ett Oed...17 s i.e il prapara 

bon de buis >nias. 

rnibp Snowssart, le nouveau chanceliez 

de I t....mmer, a fait sa.; rientateox non,,Lean 

de soi. rualgee. . cr50000suvo (ta It 

demre advenie..t, é c est po-unie, marquer 

l'inaugaut on de I E dquer eu par L. 

parti travainnte par quelaue ategusent 

des ingibts Jona:mimes, et en 1,4 aloi' 

bne l'intention de nuclude, s non de supprimer 

cenquêternent. la es. MIT le 

réduction de Piquât nie le thé est ionlire 

mentionnée a ssi canule élan envisage, 

par le chencelier de l'Ech cpner. 

LA QUESTION AGRICOLE 

De son cédé, le président dal fiord ef 

Agriculture, lisent itosecton, s nom sues, 

preoco que. de l'étude de diverses quer, 

uons d nouromie nationale. L'aericts ture 

a ccl000.000. récemment une période dfficile 

ai, ami eledMètee élections, te gouvernement 

précédent avait annonce une 

politique de stinidea aux ferutiers pour 

renarde, à la sinon ion. On déclare g 6 

le no6v.0 ministre a fait qu'aire pro- 

tdedsdeSedid 

Bengal. Il a exprimé l'inquiétude 

rease.ta.t cance.mant rev..Ir des noix- 

,fin tu...esta...noces Vivre/oves ,avu, 

ii cbsi /iule cart.. elearn 

résolus à mteaver au r cole. à mains 

in n olateone. t sativis ct,on irrimed 

t. t c. cuu aucun gsanernsmant bre 

1 

d'etc des Donumens. 

PLUS DE BOMBARLuEMENT 

Le e Daily Herbolol t omit savoir 9.'6, 

principe le ginéral Thomson. mir Istre 

de l'At/ br tannique, désapprouve ia p.es 

ss- en cessure par 1r auto dés en 

Mésrpo amie et qui consiste à bomberpa. 

s volages dont les habitants 

refoula de paySr le SimPiaa. 

Cd Yarreal d t qu après consultation 

; avec le Colcaial Office, des hua Lutions 

SMMet données à l'effet de faire cosser 

ces eus reestares répressives inh ternaires. 

soêleSs da-éro S eocrafhsch sdratru 

POUR LE PRINCIPE 

lsliu DerethY kW., menaez travailliste 

pour Norwich, devait se rendre 

dans sa circonscription pour affaires urgent.. 

Mais ex/minant f ? 

Us erève des cheuffeagt et den mécs 

Te den; baisa son pleiaL 

Ocielgues tsar.i,, partaient bien aurore 

de la capitele vers les Tiandes villes de 

prevince. Mois, favoralze aux erévistes 

dont elle acescreemt t gas e, Abse Jewsoi, 

ne vo. vas ers renier ses raYeipes et 

réseled crerre.eeter la prend, route. 

Accomesagnée pas mie amie. M'SS M 

'yes, elle partit de Lardons dimanche 

grès q met à l'établissement de sen p 

pin progssene. rr On croit mvoir qu'il cuviioge 

In pecheine cm:vocation d une 

renne dont les par icipants représen 

lemiert l.,argrmeut les milieux agrienlef 

qui serelt chargée d'étudier femeneele 

de ka 4Rtstion. 

LE PRCl/LEIVT. DES LOGEME,NTS 

Une mare quesion rTiconomie interiescra 

q ri présente en caractère durgem 

ce, est ls problème du logement. C'est 

Wheatley, le urinaireI'llyg:érie. envi après midi 

ans on cccuper. Hier, 11 a mue lançm- I Au 

tante initiative de cortéres sur rxiie 

question avec le ccen'té exécutif dc tou 

tes les Ueions des trava lieurs du thé- 

Ment ; des propos; ions et des mangestiens 

fort importantes mit été dében une 

et une simulation a été adaptée qui eau.. 

ge tous les assista-ts à apnarter leur aide 

au gouvernernert tiers Re efforts Ais Iseut de me-lep-as kfiematree. elles 

pour risse-os nu' mcblbrne à sa sol. 

gfera aeiromesaert ms un timonier agsisata 

t'on. La feueri me de mavail adénnet et dirs arrivèreat t Curels. 

bien rénci a est ee dos plus importants fesA t'rûes etaittarent aussi ôt redevant 

aspects de l'ersereble de motte q o, rues me-t c fts-tessee. 

et le ruininère d'hvgiès.e. sine, Port. le? Fiaaternatit.anaàs avoir sacciasinamsat 

Unions. oie l'autre, mirent leurs eflone anyvisteri ana ver' ors aba détruitaaearnint, 

dam rexantrn de la manière dent d loi eardele d'uns bravas, et s'aras Fait 

pourra nanas être paré à cette défi' tetIMeeMteT n,, eant'am antarred,le 

culte (feiga). 

avoir /a atIneys, sc. a nied. 

L'ANGLETERRE ET LES INDES las st Eu, Sais, 

Edcadi h vidie d- 100 kfiamas..... 

Delhi (Inde), 31 janvier. Daru !.."dr. ailas ansim. one es8ve 

bp'il a prononcé à l'ouverttre miejscems était tetaniatt- at ona sic. Ce s'ana.-ai.. 

de-lu seee on dr la iniervelle assend-I.Ve e'ts à IIcarsisusesent leur va- 

niais. ive, lord Readiro, vice-rci des Inyece abCcda de Ire. 

des, a dvmanta les aliegat ons selon les. 

quel!, le goitivern- si 

Là, 1-ns I ,APMPATtemsr r, Cmt 5, 

nourrirait des serturoorts agressifs à VY.Deit/Emr.biT TRAMA. I ierrE 

esol de l'Arfgheristen ou estimerait crue AVEC LE CFtfi 8'81 PARLEMENl'afiiiade 

da ne derWer ppays est si ,micannab'e. 

Les avisaient/ actuellement' &Nam 

TAIRE 

tees par les goavesa-ratarts b,s4antare Le parti m/yr/Mise s'occupe active. 

et .afchan sont près d'être réglées, a-t-il mua oto p olaètre de savoir comment 

ajoeté. 

les militorts moionendront le con act 

D'au, part lord Readino a ecleré n'es le geuvrerrernent. 

que te crouvernerneet é.ait esennin., 7.6 peloiéer.e est actuellement ê udié 

rruatee Fin o,,, attentats at aux ca-saira- par un comté nnuanio pax le groupe partaons 

qui sévissent natuelleenent dere le lornentaire trasosilliste. 

mayen du mètre et de divers ommimass, 

Id, veyagemsrs atteimaireat ho Sett 

fer ,-twood on elles pees,ent la nutt 

d, grand motin, cherssées de 

feetes ch-met.s.es et meies dore-sec' 

poteries do nain, de froment e oie FraYta 

elles se intiget en chemin, à pied, cette 

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VOUS VOULEZ DE L'ARGENT? 

Cherchez-le où il est 

POMM101 ne prélène-t-on rien sur /es 

iinorrnee profits des Agen.' de cimessel 

Pourquoi talure-t-on que les Ccurp.agtiecsdouar...au 

ebstrsheanf des 

eligiderroies é Pourquoi les cli.irnte 

!atours ri ontdés pas mmore rasasnc ce 

vias o.noot doeirreité PPO1848c,tiC 

pealatte-t-on pi01 le prourcontai'if 

sur te rendernerg des jeun ? Pourodoc 

rte priacuut-on pas tem impd, 

hem bénéfices réeiïsés par les cambistes 

couine on es et pré/etre. Or, nia las bénéfices 

des joernisscurs «6 la guerre 

Pcnrquot plulfos forgeurs dans le 

ôte de laine épuisé et frettais dans ces. 

tcdre coffres-forts qui regorgent 

Il n'est pas dou eux que les lois fis.les 

seront votées et il faut espérer q 

si 

20 CENT. 

té, in pu hem sY go'unV''' c 

n en. 'cIno, e 

c'ast le dernier possible et qu'après ce 

et.cêrre effort, il ne faudra pas en detruander 

un autre de pl.. 

Co, Ge serait imposer un sacr"fice énorme 

de pl. Md peys SI la vie, qui est 

chère po tr tous et qui est devenue in> 

possible pour beatice,p. devenait encore 

erna nàts' 'cc'enTrfie' 'o n 

Pluéeni:è:Zpe. !adent ce dont nous sommes 

rrineacée si on vote les lois fiscales sana 

'établir la loi mir /a spiculation. Chacun 

vomira Se Md saper SUT le voisin des 

charges notivefics et d lui incombent. et 

chaque comnarçant m'amarnienh ses 

eux. ce sera laie bume da en g, effroyable 

qui bientôt nese écrasera tous. 

Il ne serait ni itete ri édiitable de 

frire ouloure sunnorter les charges aux 

magnes. Ce ne sr ais surtout pas adro t, 

MM on Crocus phri rien prendre là où 

il a rt'iv rie,, on veut de 

l'argent, il fuet ce cherch, où il y on 

a rem où il n y en a plus. 

Il ne Fout pas este-Net grand.chose de 

On a Fait am les jeux une loi d'après 

laquelle bere partie du revenu de la auaime 

doit reven, à bat dans dnn 

proportions deternenées. (n'ace à la pro. 

tection de quelques fonctionnaires et de 

quelques peesonnalités de In presse, les 

pvits gros dense les cercles ne versent 

s h, SMICTe, rais s dnuonboat payer. Et 

Ion ferme ICS yens, Ida quest on Imite, 

assez embarrassante d'ailleurs, posée 

cette seamine par M. Maurice de Rothschild 

à dodésons ministres en apporte la 

peeuve. 

A certains magnent, l'on a annoncé à 

grmid Fricaa des poursuites contre vertabs 

dssioulateites dont le chiffre des 

diseiroulaticns a teignalt plusteum dizaines 

de nallons. Avez-voou entendu dre 

que Tbévenot, que Lièvre et taus les 

autres aient enfin ,estinti ii sala se diesel 

Les Gmagegnies d'assurances, qui 

pleurèrent misère pou ayoir des délais 

très longs peur la reconet tution de leurs 

reisurves seule garan ie dee assurés 

distribuent à leurs actionnaires des dividoodes 

cepieux. C'est de le pure ineohérerce. 

Gemment peut-on tolérer qua. 

vent que de recons tuer des réserves, 

l'on de.--ste des bén8fices à d., essaimés ? 

Le Gaz réalise des .bieéfiees impertacts, 

mois or ne (Umm, eus le prix 

du gaz, ce easii viencleaA diminuer' les 

chsrges de tous les reses-agest rope, ceut', 

vert, crave, les transnor sont en 

algàcit. es auansente h, !nia des n'aces, 

dlià si chères. que paient tes madutes 

elicats das .ransersts renon-aie 

chlege «aiment 30, 40 

Aineets 

et nef*, 50 mille franc, per jour sur des 

transscions avec une Ais-atèle aie l'Estai 

ots'ice à nasses cals /ces forer-hes cent 

One eaél'eas l'et Eft sur cm énera 

s. /vo ? Rien, Ft ',sème, le tri- 

ai:se d-etsà .ee set. 

di leate faire avaatee"es das tarifs 1'65 

tee, gium,e, Fa en sera t -/-nse faite siins 

la vigilance du Ccinseil dEtat. 

Fi, jonant corne les ÇOre'd nafienaux, 

rrsisant SUT la beisse d r franc, des 

e.b74'''Z's'"cter7s7r."..6. reV.''el'es"o' 

Il serait ceeemleet hies laminas lemme, 

l'on a paélevé PO % sive les bAncjificsa 

ceux oui teurrèrert les olous grave 

suscque/o eme asecer ta guerre 

de prélever amui one animas in> 

y- 

LUNDI 4 PEMER 1824 

On va reviser lel dommages de guerre. 

Soit. 

Nais combien seront reconnus exagérés ? 

Combien serait reduils, et de combien le seront-ils ? 

- 

Porta/Se Se7 les bénéfices de ceux qui 

no ts ont picage, dans la triste situa tom 

tels 1191.SS nous trouvons aujeturdban et qui 

sont les artisans des difficuLés dans tesquelles 

no. nous débettons. 

Et ne cas, pris au hasard, ne sont que 

des exemples isolés qui po.raient être 

Im'È'iePsit"S'cians les coffres de ces heurerec 

qu'Il y a de jugent, Gest là 

I 

y f ,T.s, chercher et non dalls le bas 

de laine din, y d8i ois Pestais 

ississ à fait vide, des Illteetede'7. 

veilleurs. 

UNE VIE !IEROIOOP 

Pablo Iglesias 

Nos camarades espagnols Raoul en ce 

mentent le jubilé de leur vieux leader Pu. 

hic Iglesias. Le citoyen Marceline Domin- 

e', da. R journal libéral, « El lige,. a. 

du 21 jaavier, lui a consacré em article 

que nous reproduisons ci-dessous 

Parmi les rSsoàaio-ns adetées par le 

lacent Congres socialiste, il en est une qui 

Mat être soulignée nom l'exemnie attitime 

donne et eérvation d'esprit qu'el. reveie. 

'routes les tutu.. se SMIt nases dao. 

Lrrod pain mé'hoe coinme p.esident appom. 

I, du Parti, Paola adesias, le vieux lutteur 

salue avec resped ot vénération. 

Pablo lglesias, plus que nul autre, mira° 

cas peuves vie nrasitude eudistes et 

em.ereuses. ga vie est une vie lumineuse. 

troc vie de rectitude parfaite, sans défaittance, 

sans ai:Rail:ilion, sans N'osante. /ci, 

na le ituieu engendre le découragement et 

/a lassitude, il fut toujours forme et misois 

; i.o, isa le doute assaille les ésprits 

les plus regiustes, il a marché saris faibles- 

In restitution d,s profiteurs de Réions 

libét.ées et il est peu probable que les 'sl'i;e?eal'ruf;:illeiZireirn.Onglivrslite 

peairetes se 

; route ce maintenant itatacte sa foi juvénile 

evintnent d me façon plus ; avec une menteuse sénérité. 

sstufamarte que toutes cell-s eue nous / Toutes les hentitdes se sont cependant 

aval .s irtenter pour 'es leste les, pour dressées devant son apostolat-hostilité dm 

In Liqdation dés Socks, pour les Blés ' pouvoirs publics qui poursuivaient et in- 

- tout d'autres cornbisaiso. scon- carcéraient les prêtres de la nie/velte leti- 

&lames où, malgré d -s enquêtes et des a an so.ialiste dont ils redoutaient l'action 

instr, rotions °Lever CS pende la frime et dissolvante; hostilité même de la classe ou- 

jamas referimies sou ceux qui vrière qui résistait è la d.trine immune 

av 'ante gain!, des d;eatres ou des cens 

et refusait d'accepter la discipline d'oreseisation 

oie sofida .aê humaine. Cette hos- 

taines de millions ne huent iarnais tinte rte déeourages ni ne désespéra Pa- 

gin de readae gorge. 

lan %gestes. /I accepta les pires persécu- 

Niais là. d ra-r-on, il y a une Coma.. tions "a's jamais u grande voix ne eeSSR 

sien parlernentaire, titi mène suas des d. retentir, 

pouvoirs /ramures. Cols n es pas no. Ce.. persécutas., au lien de Labattre, 

inrressbener ni muer no. Faire stimulaient sa volonté. Il n'est pas de ces 

ermaire à une ene"leure issue. De ces coal- Jaaerres exalasivament preciecupés des promissiors, 

er avers 1:15ià vu boo.> 

blèmes immédiats de classe, da la conquitte 

au pam et des inquiétudes qui accablent 

couru il y. eut entre autres ce'la des Mar. ru avers. Non. Daxs tous les poblèl.s, 

ch^s. CA, en eavil r,saltit ? Qu'en est-il dans Mus les grands mouvements d'idée, il 

sois,? Oida-t-elle fait restituer et à oui tint à prendre parti. 

Et cependant, de l'argent, de cet ar- Il me parle pas seulement au peuple de 

gent dent on a ,ant Isesoin, il serait faaile ses droits, mais aussi de ses devoirs. Et il 

or eut pus coleo,nntnoobcux d'ocecunplbr 

d'en trodver et môme d On trouver beau- 

que Sou 

local accomplit/ t'iliums eutièeement le 

sien. Voilà le costai gentiane de al vie 

Dans son enfance, Pablo Iglesion nient 

pas le bonheur de posséder des maîtres 

-nia're t evellier ses facultéscl 

tes freiZ e voie où son génie 

t'appelait 

damais il ne put étancher sa soif de savoir. 

LI eut h mener une âpre Rite contes 

In misère qui ne cessa de le tenailler. Il * 

dormi sur la terre infecte de taus les m. 

chots les plus seclides. II fut assailli par 

Ils calomnie cemsne tous les grands rivetas 

tionnaires. - 

Quel sommet Pablo /gardas n'eût-il pas 

atteint s'il avait véru dans un milieu plus 

propice ? Ah I s'il avait pu vivre en Angleterre, 

par exemple. dans un pays aux Mai- 

sons étendus et ou les moyens d'action sont 

ttembre. I L'âme de Ramsay One Donald 

n'habite sûrement pas un tentide ausi héroïque 

que celle de Paha lelesias. 

La vio Pante lelosias ost exemplaire. 

La omelette du parti seelciaato espagnol 0 

sun t%aard ne Post pas moins. 

La me publique espagnole a l'iman/ tant. 

d'examp'm d'ismrattitade des grimpes MM, 

ceux qui lea erenrent, les ertim,rent et les 

eenduisfieret à !a viotoire, qu'il faut Urbue 

t'attitude du soemestes espagnols 

ils suivirent Rue oh. romme dos lisraélia 

tes seivireet Mese dens lo désert 

Lm sumastes espagnols savaient que 

Panai Islosias, infirme et malade. ne pouls 

mole &Cd intervenir dans Ion rabats parles 

tutitairee il esl toujours eapsté et ils 

l'ont maintenrm au poste te plus élevé dans 

loi griamolite du parti. en /e. rétribuant ot 

en lui ren,ent hommage puteeplOPICriceest 

en sosie asmilet toms ceux qui o., 

Paument la grandes, ot te eaveanametit 

dc eetta hérnique exemplidre geseeme. 

soni, 7 eau. itette sou envenima., rIO 

le s'nffeilies pps comme une messin, 

slénie nt tonna, amaist 0110 ,000 la sem.. 

Fêetàldii Ptiti 8,penotiire et fleurira dere 

!es temps à venta 

Le « MisS e et te Parti erenatisie 

s'a.ocie à ces .nuivantes et nnee- 

P roles. On ne sait ce que Pon duit 

n'as admi.e de /a Relia do es vie. 

haleur t $011 idéal ou do celte de son past. 

à MM qui conduit neer loi anse, se, 

tiors de ta libération. Un pan/ ciel ente,ll. 

ses ,'bels qui en sont dames dame van._ 

ration pt d'une gratitude suas, persé, 

po.t'vle. à es. bulen le, 

guignés mess'es uni le feront ft omphei 

Le, die/atm/1s ne sont que drs accidpota 

paysage, dans la vu, e. peupès. Ceux-ci, 

tfole. nrenve sho eonstance d. 

l'adversité. daluent malgré teep. pyr 

muais titi Ra altestalent 

jltetee et la fraternité humain%

tIll".419741 a 

POT de TtRRE et POT de FER 

U nous taus attirer l'attentioas du publk 

un le iralheraeux sort réservé aux ou, 

;rien victimes d'un accident de travail. 

Entre autres je prends comme exemple 

4111 

père de hua enfants, M. Philippe 

Jean-des, demeurant à Fauch (Tarn), au 

quel j'ai déjà fmt ailmion dans cm lettre 

ouverte. 

En septembre 1920, M. lourdes -appelé 

en journée chez M. Coutody, épicer et 

propriétaire à Entra, ftm invité par ce 

de.rmer à lai aider au forage d un putts. 

La tâche dévolue à M. lourdes fut celle 

de creuser le paras prou, ci que deux 

membres de la famille Couto«, ro...n- 

iera/en/ à le surface les débris qu il ex. 

trairait. 

Le travail allait bon train, ih étaient 

déjà à huit rnètres de profonde- tr, lors. 

que une berne chargée de débris que les 

trier; becs de la famille Coutouly sermon. 

talent retomba d'alla certaine hauteur 

Eue I. ier, courbé au travail. 

Prinésst six Mais erns rani d fia inCa- 

p th1; da travailler, il dut même abam 

devras on métier de maçon. L'ample, 

yeux Ce ousy informa 1, Compagnie 

d'assurances à laquelle il était assuré 

pour ses isques contre ses ouvriers, de 

l'accidem qui lui etait arrivé et urit Jour- 

des en mippost avec elle. 

Ici cami,ince une histoire exuatradi- 

mire de procédUre capable de détrem 

per les pille sohdes carauteres 

Six nroia après 'l'accident, jousdes n'a. 

ya,nt rien tomhé, sursos lireau avec rami, 

irlsn é une deararche auprès de l'agent 

d'assurance de cette Compagnie. Celui- 

atts reçut as.c mal et laina espérer 

à raccidenté 52 derai-lourivées-de salai- 

re. Pourquoi plutôt 32 cc. 54. que airs 

mois 3 énigme qu'il se refusa de nous ex- 

pliquer, tolu en écartem grossièrement 

le demande d'une reparaticun plus &mi- 

telle. Ne nouaient accepter cette rom 

tien par ;rop simpliste, 1 assistance judi- 

ciene accordée, on fit appel à la (estive', 

le tribpal désigna notre vr.é. UteN9 

nous avens appris à nos deipens que I a- 

voué MF Pltribué observait la loi du 

moindre effort; six /Mis s'étaiera ému. 

S'..s avant notre appel A la justice, q.uinze 

b.cuveaux mois ne suffirent pas à notre 

avoué pour préparer le dossier et &Iran 

der rinscripiim au rale. A bout de pa. 

tierce rom rimes demander les raisons 

rk ce remrd. L1evonle répond ('ai 

demandé à mon colléepir de la Campa. 

gale e,P3 pièces quit ne m'adresse 

pss allez ks lui réclamer. n 

dAn-mnrrhe fut faite mais le collègue 

d'avoué omfirmo el: beau fils de la vie. 

titre ce que rndiffeherce da notre 

avoue laissait entendre (les malheureux 

e!..6P) Pa., droit à la )ustice). 

I a Réforme de Ilaselpement 

primaire 

Voici le texte des questions que M. 

Léon Bérard, ministre de l'Instruction 

poli, que, a annoncée dans le discours 

quia a prononcé en oasien la session du 

C0715e.ii supérieur. Elles ont été rerreses 

à tms /es membres du conseil sous le ti- 

tre rie s Questions relatives à cii projet 

de réforme de Tenseigr.ernent primaire r. 

En parlant de réalitas telles que la per. 

sis ance de l'analphabétisme, l'instuffe 

moue de la fréquentaton molaire, les 

dommages intellectuels et moraux de /a 

guerre, les résultats ecuels des exa- 

mens, etc... 

Et en considérant successivement 

Les écoles primaires; 

Les écoles primaires supin-. ie.., 

Les éCOles normales prima:des; 

I° N'estimez-vous pas que l'objet es- 

sentie! de l'enseignement primaire étant, 

avec la formation morale et civique, 

l'acqu.si.ion de connaissances nécessaires 

au développement intelectuel progressif 

de l'élève, il convient de fortifier encore, 

par les méthodes et par les programmes. 

Tenseigremen. de ees rotions premières 

sans lesquelles I initiation à resprit arien 

tifique, même élémentaire, ne nomrait 

pas se conmvoir. 

2° Comment peur-on définir le carac- 

tère propre de l'enseignement primaire 

91. ses d:vers degrés 1:démisse:ro. sapé. 

nom, normal), oeuvrant a nseignement 

à ses divras degrés (élém44,4144. 

riem ? La taro ion même du premier 

n'impliqued-elle pas qsel se distingue 

nettement des deux aunes, dant il y au. 

rai: Per 

quelque danger à vouloir 

lui faire pomsuivre Inc méhodes et les 

fins ? 

3° NMposte-Lil pua en ,t particulier s 

d'envisager une organimtion pédagogi. 

que dfférentepora les écoles à lm maître 

(60 000) écoles àplonicuzn 'taxi nec 

(10.0ow 

La différence, s'il y a lieu, doit-elle 

porter 

Sur les méthodes ? 

Sur les programmes ? 

Ou sur les degx à la fois 

Et dans quelle memre 

4° Les examens qui donnent RaCès aux 

brevets de l'enseignemen. primaire (bre- 

vet élémentaire, breve a perieur).doivent 

ils être considérés comme des épreuves 

professionnelles, destinées sur .out aux fu- 

turs maîtres? 

Ne conviendrait-il pas au contraire, de 

Ira organiser, sans abaisser aucunement 

le gieegt des études, de :elle sorte qu'ils 

soiert pareillement accessibles à tom les 

mndidats, que cetmci recherchera ou 

non des fonctions d'enseignement ? 

5° Fiant donné que le ravive et la cul- 

ture d'un maître doivent 'é ne très supé- 

rieurs à la somme des corrmaissan44. 4.11 

est chargé de dispenser à ses élèves, niy 

attrait-il pas lieu de rechercher et de 

prPuiser les moyens sert pies d'ass-ner 

la collaboration régulière de l'emeigne. 

Pri-nt second,aire et de r,seigên-.t su- 

périeur à la formation des maltent pri- 

maires ? 

En effet, la réponse fut celle-ci r Je 

ne sais tomme pas de quelles pièces vora 

me parlez, .et purs, que croyez-vous faire 

avec une Cornpagnie d'emurance 

Ce cyniPne nous écoeura. Enfin, apr", 

pcolu:,iteeure%th,réclasualra,ent,irt;:rtaa,tin,es 

d'un défi à notre adresse, l'inscription au 

sole fut faite et le tribunal desIgna 

expert pour ronagrément d'en.quée. 

Nous rendons hornm.ge à ce dernier 

pour /a préolsion et la clarté de son cap. 

port, ses conclusions sana entièrement fa 

vorables a !ouvrer. 

La Compagnie d'assurance continue à 

mer de moyens dilatoires pore retarder 

le jugement. Cependant ce moment a, 

rive, on espérait en avoir fini; hélas ! 

quelle desTusion 1 1 L'affaire avait été 

engagée tom le bénéfice de la loi d, 

1898, la Compagnie plaida la ferma e 

14 tribu...1 Mrea que l'accident ne béné- 

ficiait pas de cette loi, que son cas noie. 

voit du droit commun, art. 1382 en ais. 

varias d: Code civil, et le débouta de sa 

clernande. 

Meus voici 239 mois après l'accident, 

et si ce vieux père de famille venu obte- 

nir réparation il faut m11 intente un 

nouveau procès. Le nécesmire a été fait 

et Tassiaance Judiciaire accordée.. Mais 

ciras l'agent de le Compagnie et son 

avoue se ventent que s Ils perdent ce cou 

veau procès ils feront appel àToulouse et 

, treme en cassaion, afin de laner, de dé 

murages çe malheureux 

Au nom de ces malheureuses victimes 

du travail, ras protestons vivement con- 

tre les procédés odieux de cote Compa- 

gnie et de certaines autres qui font cern. 

I ms elle, et surrou contre k prodeline 

' de ces deux jeunes avoués. Cens, en ef- 

fet en les lassant, en /es décoraageant 

que les deux tiers des accidentés dépour- 

vus de ressources Pour bête(' oentee 19u 

asugances restent déçus de toute indem- 

nité t traînent, dans les villages, une 

mos ecce des plus rraserables, cependant 

que certaines Compagnies d'assurances 

accumulent des milliom de bénéfices, si 

ça Pogt s'anneler ainsi ! 

C'est toujours l'histoire du per de terre 

contre le pu i de fer I Mais vous semas 

q riez braves Peyo:Ileum que l'intérêt 

qu'on prate aux eéres de familles nom 

breuses victimes d'un accidmt de travail, 

n:es qu'une façade d'hypocrites discours, 

et que la plyp,rt clos assurances contre 

les accidents clu_agtveil n'est et ne sera 

qu'un leurre, un contrat de moeurs iller 

mires sans la volonté combative de l'uni- 

té ouvrière diti la campagne comme de la 

ville. H, MUR, ex-agriculteur. 

Ne conviendraitél pas, en outre, d'erre 

courages le inéri e professionnel primaire 

en donnant aux maures de cet ordre le 

moyen de passer de leurs prciessions, où 

ils sont présenteurtent enfermés, aux au- 

tres carr'ères i iv i 

Tous les membres du conseil supérieur 

de l'instrmtion publique ont été priés 

par In ministre de bien vouloir lui répare 

dre pax écrit avant le let nier, 

In On a rtS 

LISEZ ET FAITES LIRE 

LE o MIDI SOCIALISTE 

L'Affaire Bersol 

POUR LE COLONEL AUROUX, 

LA LIGUE DES DROITS DE 

L'HOIVEME. DEMANDE, DES 

JUGES 

On ne muvient qm la Ligue des Droits 

de l'Homme avan pmté l'attention du 

a/Misse de la guerre sus rettiturte 

TQuilenel Auroux qui, en févier 1915, 

avoua provoqué la condamnation à mort 

alu sotclat Bermt, yom avoir refusé de 

mettre un pantalon sale. 

Cote atitude était nettement exposée 

clam la déposition d'un témoin parties, 

dièmernent quai fié, M. Perriete, de Vel- 

te, juge au tribunal des mables-d Osomne. 

Perriche de Velna accusait le nolo- 

timl Auroux d'avoir arbitrairerren mien- 

fié ri refus d'obéissance a un une sans 

.'apport avec le servee m 

d'avoir comstitué me Cour martiale 

am. qui Ir Conseil de guerre de la divis 

Mao fait compétent, d'avoir gris la pré. 

adurcie de cette Cocu martiale contraire- 

s:nen à la loi, enfin, devoir choisi comme 

assesseurs ses propres subordonnés. 

Le ministre de la guerre vient de faire 

savoir à la Ugue sa résolution d'enendre 

contradictoirement, dura l'intérêt de 

vérité le colonel incriminé et le témoin 

gai l'accuse. 

D-ns sa réponse. la Ligue des Droits 

de l'Homme fait remarquer à M. Magi- 

not que le témoin a dépose sous la fui dit 

serment, dans dm mnditions régulières 

e; qu'il ne peut que srmintenir ses décla. 

raCons. 

I, vérité, c'est dans Tercpu.te à la- 

eimIle il ,été procédé par la Coq d'Ad. 

pel de Bemroon Alleseafe 

/bat le Raaks.Club Narbonne. (I) par 8 potier 

à zéro. 

A AGEN. Le S. Ii, Agenais bat le B.E.C., 

Ps, 23 points (7 essais, 1 but) à 6 .fins ( 2 es. 

egs). 

A TOULOUSE. En sheausioun. de la 

Ume des Pyrénées le greêo Taule oam. bat 

Camps par 4 buts à 0, nerfs ane fon hdle. 

Partie. 

A BAYONNE Aviren Int k Boue.. par 

24 points à 3. 

A BIARRITZ. 

B. O. bat Sudeceste 

bals, per 35 points 45, L'équipe du Stades.ns 

était tr. mine. 

A BEZIERS. A, S. B. bat Sargon en 

Islam, per 14 à O. 

A DAX. U. S. P. bat U S. Dacsenese, 

Pet 14 à 0, 

A TARBES. Stade Insiste) bat S.de 

lecasin (2) Issr 

Le Champinnat 

de Cross-Country 

LUTTE SECERE ENTRE LE STADE 

ET LE T. O. E. C. LEs RaucEs 

L'EMPORTENT 

Le temps et te cadre ant favorisé le channe 

Plonnrt Os ...cou., des Pyrénées Esse.. 

Idée d'utiliser rhippagome de la Cam. dui 

Assurait être po= le plse grand plagie des 

feestions d'ad/lé/Jerne exige. un Vsne 

La lare fut Rem. sersée 10 jusqu'ou qua 

desias ent, le Sade Toulousain et le T.O.E.C. 

Les antres clubs ne furent iramis de. lu b. 

La luge des trois premiers surto. fut gal. 

tante. Dès le premier tom (il y en arak sent 

ê tslur. c'estk-dire 13 kilomètres envi,. artm 

deux haies et un mus), lee de. Stadirtee Mes 

sat, Vandevelée et le toeciste es dém. 

obèrent nettement et avancèrent trois 1m r. ,lu" 

unt à l'allure de 7 m. 413 au o.. Pnis 

perdit quelque, mètres. Au 6e tour 0 rouanaur 

et méme pre.it la tète, dodu te l'irspession 

de semer ses deux advereeires. Mais mente: le 

Chronique de Toulouse 

FOUT la Ihtaille Electorale 

Ur, grand nonahro de ria amis cl'a, 

pour des raisons rem/disks, rt'orilaLrer.t 

pas, dans la jaltiegle octale, e antre 

'cati, 

Par e 

labo;dc«,;,.nt..stre. 

Pa intensive ziePgr'ti 

Socialsze. 

Certains sont ,nne goennenérnent dom 

PC, bureaux nal, r/ka lcur aide finan- 

cière. Qadques roui/arts dot reçu La 

gen:tenir/titans. 

Afin de faciliter ois in,nes volcntés, et 

en accord ne. le Bureau ac t.. Fdérai 

tien socialiste, rons cOOrs citait Rue 

soit. 

'bots destinée ii. aider le Pc.,i dons 

Ira rt2es batailles eiedharales 

gin e. 

core livrer. 

Nous pitbnons aujourd'hui la queterne 

liste de cete souscripticn 

QUATRIEME LISTE 

En ami des candidats (fer amans) 

5 

Jean Jacques 

15D 

5 

Pouilles Jean 

IL A., un radical °corme devenu 

L. 1/.. un ami do Parti 

J. t.. av gai rem pas pair do Bocsa- 

'Mme 

4 

S.. na jeune mi-radical devenu sema' 

Ferrié R. 

Liu rent 

Puni, un ami pour rater au trromphe 

Laffitte Jean 

du Socialisme 

feses. de SsinkCyprien 

1.eutllet 

La Seetion Touleireeine tu Parti Ro- 

cialiste 

M. I ucos reprend la plume 

5 

Nous recevons de M. Ducos. député 

riadical de la Hauts-Garennes. une no. 

gel-c let re en réplique a la réPon. que 

M. Bach nous avait adressée après.Le reci 

tification de Ma Ducos. 

i.o,0 comprenons parfaiten.nt ce ove- 

tom de se ame. 

.1 out de même c'est atmeif. 

Nous déclarâmes un jour que M. Du- 

cos aval. voté pour M. Pomearé. 

Citas faux. 

N.. ,Pcos noue le fit savoir. Nous rec- 

tifiâmes aussitôt. 

Duoos qualifia cette information de 

mbneongère o. Cota un cualir ca if qua 

frise l'injure. lié. Di..os tue sien était seras 

doute pas aperçu. Mals le Journaliste a 

qui repitImke était adressée en fut légiti- 

ettcmet t froi.é et il copliqua commuent, 

de fort bonne (Os et sans être un mens 

teur, il est possible a qmcdmilmu de - 

ploc ce une nouvelle inexacte. 

Il n'y a point grand mal, lersque celui 

api en pâtit à la possibilité de rétablir la 

vérité par les Mêmes moyens de pulald 

cité. 

La réponse de M. Bach publiée dans 

nos colosnes était correcte, et ses expiai 

cations fest vraisemblables. 

La romelle lettre de M. Ducos n'a. 

joute rien à sa première pro estatior. t.t 

nove sommes surpris qu'il veuille à ce 

propco engager clans nos colonnes une 

polierique avec le rédacteur d'un auhe 

journal. 

Le député radical de la Haute-Garan 

ne reit écire ce qui lui niait d, dés.. 

gréablo dars /a t. Dépêche » qui est top 

gant, off.ciel de mn par i. Mais ici, où 

no is creyona à la parfaite loyauté de no- 

tre confrère, nota nous devons de pic- 

tester contre la dureté outrancière dont- 

M. Daces émaille sa réplique, et contre 

sa prêta-tien d'avoir été insulté dans 

trn filet q re le lourraliste le plus remise 

et lo plus scrupuleux aurait signé sans 

hésitation. 

Chao.. fois nue rocs nous trorrenerAha 

no le cocipte de M. Docos nous rectifie- 

ra a. Mais s'il veut se livrer à des nie,. 

mos persane/1es qu'il s'adresse, noix 

abiter ses foudres, à la porte à côté. rue 

Bayard. 

L. H. 

Voici la lettre de M. Duces : 

Paris, le 31 jenvisr 1924. 

Monsieur le Rédac em en chef. 

Je ne puis laisser sans répara° la lettre 

de M. Bach que vous avez insérée le n8 

murant. Me trouvant à Pont,, je n'ai lu 

rlde ce matin cet étrange docunsent. 

Il renteirree deux parti. rune &lem 

sive, l'autre agressive 

M. Bach proclame, d'abord, qu'il a été 

de nonne foi en nn,. attrimani un vote qui 

n'était pas le mien. 

Je voudrais bien le c.roire rosis ie 

dais avouer que si sa sincérité est vraie, 

elle ne me garait pas visiseroblable fi le 

vrai e, doilltatos. melon Boileau. pcut 

quelquefois né re pas vraisemblable at. 

Car enfin, il y a erreie et erreur. Voi- 

là un nurraliste qui lit dans k Temps 

liLe député Ducos a ésnis tel vote n. 

Que. sa-s cons alter dise le 

'solderais-in à ses lecteurs:.. k déni é 

Ducos a émis tel vete o, je le blâmerai 

>ms sa paresse, je ne le taxerai pas de 

rnsuvaise foi. 

Mais oi t'il fasse saêvre son relevé de 

scrutin de 15 lisses de critiques; que, 

deux jours après, il remplisse une cdon 

se s-tière, d'u-e centaine de luges, de 

corneren ,aires désobligeants: à cri fera- 

t-il paire n a auto'. rieo de con- 

trôler à MI ficiel l'information sur la- 

quelle est 1s.0r95e sa méthiadio-ie et te- 

nace. polémique ? 

Anne; bien: M. Bach. sentais. qu'il s'est 

mal défendu, juge-r il bon rrsttaquer. 

Je reconnais, dit-il, crie M. Duces est 

'èfiarlièrement po-té à l'Officiel cru., 

algam vosè avec ,M. Herriot_ a Mais cet - 

.te oarisFetatisin est-elle tout-à-fait pro- 

ban e ? Non pss. Erdre k moment ci 

1c résultat dies votes est transmis Min jour- 

sa. m aux agences et l'heure dols pa- 

rlon il roi se un assez, 

récit, bien sceau des parlementai' 

te.à /a poldntéTa'aitnnte... 

s'est dus de la rrtenvnise foi, &rat 

orsterie. Tout le monde sait rrull 

netaialaten 

Vo ami des candioals fee sersem.) 

Lin primeur 

Cit.; en lus,: 

eh/avenir, Bock 

IO 

Imita. le Peintre en ballade 

5 

'a radical-nociatizie seyssois &goure 

de son parii 

Uno vfetime ne Panarulue capitaliste 

Madame veuve Vihré 

Caxereuve. à Sainte-Pay 

Gr dl é Crnix-Duneade 5 

I ts Salade (PMI, ou Iv»ses 'ggss S'i- 

gnée ou Bloc National/ 

1(51 

f.e 195e atm du Parti 

I:a °rompe dgouvriers de la Manufam 

turc des Tarses (2e versement) 

Id 

Er typo 

3 

B. M., cocher 

5 

Iambe, SaintaThornas 

Benret, sans peur 

2 

Codservatoire (pour une leçon d'e mu- 

Un chemiaot de Sapin 

1(1 

sore aux gblecardS) 

1.e 196° ami du Pontt 

Le. Peintre en ballade. qui voudrait 

toujemrs être embêté 

4 

Li 

110, 

RaMODOL 

Mens 

g. Béarnais à Toulouse 

110 ami des candidats gde verre 

Pour sauver la République 

1.In ami de Deltour 

20 

Total de la quatrième liste 

1212 

Repèrt des Salas précédentes... 4686 50 

Total n 0à jour 

2898 a0 

Lee fonds sont reçus dans nos bards:o, 

et la liste dee souscripteurs est publiée 

chaque semoule dam k n M'heIr Soda' 

Urge » d cette même place. 

5 

5 

est ahsolnartent imPassible à un je...a 

quelnottqtset à une agence quelconque 

e connaître les résultats nommen s 

scrutin avant leur paru ion à l'Officiel. 

La cause, n'est-ce pas. est entendre. 

Quart aux irsaltes que renferme la let rai 

je s ne les repoume même pas du pied n.. 

Après la démonstretion gide je viens de 

faire, elles ne sauraient rn atteindre, pas 

plus qie celles-qui pourront leur mené-. 

Veuilko croire, nonsiem le Rédacteur 

en chef, à toua haute ccnsidération. DU- 

COS, député de la Flte-Garorrne. 

toogsoureemeseofflomerAIDEN 

Mercredi 6 Févier 

à 21 heures, au Théâtre tire Variétés 

GRANDE CONFÉRENCE 

sous /a présidence de BEBEL, du Syndkat 

des Poudriers 

L'Utilisation de la Poudrerie 

orarEoRs 

VINCENT AURIOL 

U 

La lo.tion sera ouverte à ParUe do 

demain mardi, aux guMherm, Pes Variéres. 

aux prix suivants g FauMuils d'orchestras 

et fauteuils de balcon, 4 fr.; stalleu et 

premières de cd. 2 dr. 50; parterre numé- 

rote eu deuxièmes galeries, 1 fr. 50; par 

Incite libre, premières et troisièmes gale- 

ries, 0 fr. 50. 

eetraeraleXteilieffloegefflOO 

Chez les Pêcheuts à la Ligg e 

Samedi dernier eût lieu à l'ancienne 

Faculté des Lebres, mes la presicienoe 

de sou symesatn.quo prabdeat lvi. ismarccu 

Fassérubtoe générale de la Société des 

Pêcheurs à la ligne. 

Apr..ecture de la situation financière 

M. le pansaient donne le détail de dentai- 

nes dg:penses pMe lesq.lies il lai parait 

saxe ae fournir uns explications à l'assois 

blés sur la gesteso 4v 19GS. il annonce 

pour Pi-4 un concours de pêche reten- 

tissant ckete de ncesebrepo prix en es,ie- 

ces, de 1.500 fr., de MO fo, de 500 fr., 

etc. Il est très applaudi d cède a parole 

à M. Gaubert mésident de la commis- 

sion d'Etudes 

Ce der.icr, ce, termes clairs et précis, 

expose la question des bassins d 'devis 

nage qui vont fournir accu peu les nem 

tainns de mille d'alevins pour les nom. 

Menses immersions q d se fort annuel- 

leinent donnant cours d'eau, ce qui 

n'empêchera pas les immersicm faites à 

l'aide de o station de pisciculture. L as- 

seanake approuve cazledremenreat cette 

bonne affaire. Il passe ensute en revue 

les q testions brûlantes du jour, de la pê- 

che dominicale et du permis de pelle. 

Sur la pêche dominicale il est henreux 

de constztes que les fervents de la gaule 

ont eu un dévoué et énergique défelscia 

au Consol supérieur do k pêche en /a 

Personne de lui. Seurat, président de la 

Fiardiration de l'Ariège. 

Quant au penins de pêche, question 

l'une très Mute importance et capitale 

pour os Sociétés de pêche, il se pro on- 

ce contre te pnrrns, les raisons qu'il en 

donne sont nombreuses, noua re pou- 

sons les én mémés aujourd'hui. nous Pro- 

mettant d'y /oviné la semaine pioc,hai- 

se. M. le prisidert ds la commiss-on 

d'études est très documente sucre, que,. 

Pans. a mn r assena...den ie lui souligne par 

ses .embreux applaudissements 

Cest le tour de M. Galinier (ni page 

en faveur de la reconstitution de la Fédé- 

mtion des Sociétés do pês.he du Sud 

Duest-Midi dont il .,tai t, en' 

sate il exhorte vivement tous les pê, 

damas à s'unir étrd cirent mins la dé- 

fense de lems sport favori et pour obtenir 

des poussoirs publion les arnélioratinns 

écessaires à la législation sur la pêche 

Sauret qui se trouve dans la salle 

iontrne sali eus, venu à Toulouse peur 

isisster k lendemain à la réunion d- la 

l'étlerstioddo S id-Ouest, sollicité par M. 

,5arcou de /mena'r la parole peur faire 

ionnaitire la nature des travaux du Con, 

-Til supideur à Pois, dépeint avec hus 

nom la physionomie des séances de ce 

conseil auxquelles il a assisté, °amarrent 

,atra LE MIDI SOCIALISTE 

,us.1 conduite par le chauffeur l'ont Bernard. 

mont il entendait l'instauration d'un pe0-1 nouaissullGings. 

mas de pnche, 11 dédain, aux souks la 

s Me ts de toute rassemblée, que les pê- 

cheurs peuvem compter sur le dévoue- 

ment absok, des représentants du Midi 

dur, no tc uotnmfolêe. 

M. Pélissier, président de la scciêté do 

Pack-dit.° dc Perpignan, venu à Tou- n 

louse pour /es mêmes saisons que son r 

collègue M. Samet, adresse tout d abord 

aux pechaum de Tcuouse le salut des 

pêcheurs roussillonnais, il signale ensui e 

les efforts faits par ks Sociétés de son 

département pour obtenir rautorisatinn 

légale de La pêche k &manche et les 

jours de Tête en tom temps. Contraire- 

ment à ses collègues il se presence pour 

Ir permis de pêche, à la °orageon laien 

gord:man, que l'argent du permis soit 

employé tout spécialement à la pisciculs 

ture. Lui aussi est très deaudi. 

Après quelques questio-n d'ordre in C- 

reus pesées par quelques sociétaires.r on 

procède au renouvellerruect de 12 mem- 

bres du conseil d'administration et In 

séance est levée à 11 heures. 

Contrairemeni aux années précéden- 

t b 't il : e 

étdert venus assister à ce te très intéres- 

sante réusion, l'appel du e avait 

été entendu. 

ta question des bassins de l'alevinage 

esi résolue, très hien, mais il en reste 

mote entre toutes très immanente ove 

noue Onnalions vair surgir, c'es celle de 

Ompérative, Inc y porviendra. B. 

Nerque. 

Des Dents pour Tous 

Paiements par Mensualités 

G. SIDECH,Muurgen-Pen. rem s'Il. 

Le Meeting du Cartel 

des Fonctionnaires 

Hier soir, salle des Jacobins, a eu lieu 

le meeting que nous avions annoncé clam 

Mas colonne. B.el parsaiatt la réunion 

et donna la parole à Mo, ers de la Réder, 

Lion ms Synumals (IFS 'employés ms êta, 

.blissernents militairm, qui s'attacha à dga- 

mOntrer ia necessitd, de Pumon syndicale 

et l'inteaél, qu'il y a pour tous les em- 

ployés de Ileat à s'unir pour lut. en 

rue d'améliorer leur sort. 

Le soanNeum eljoint de la Fédération 

den Foncti.nadres, au nom de son 

gement mmSte sur le ne-som des Id« la-. 

en présence de la cherté- croissant° do la 

Hoa/ornent, M. Ducos, député, parle lon- 

guement et développe le piolet de loi con- 

cernant les nouvegies retrades des fonc- 

tionnaires et expose tout un programme 

d'économies nationales, auquel personne 

n'a rien compris. 

Baylot. Syndioat des agents des P. 

T. 'p,. a également fortement recommandé 

la discipline syndicale. 

Enfin Gourdeaux. du Carte/ des syndi. 

rats unitaires, parle à son tour. 

Roy, de la C. G. T., avec son °toque.° 

habigncliés soulève lenahouSiasme de la 

salle entière, en parlant., au nom de la C. 

G. T., du devoir syndical. 

Les communistes avaient distribué des 

A minuit. le meeting se termina par un 

ordre du jour énergique. adopte à Punani- 

mité, que nous avom publié hier. 

ÇA ET LA 

CEREMON/E MILITAIRE 

lino prise d'armes avec remise de déco- 

tutu oui aura Leu m 7 février, à 14 h. 30, 

la cour co la Cmerne A.el. 

Les mititaires actueltement dans ktrs 

foyers qui ont été recemment Poojet dose 

re.mpense au hire rinlmore, nommation 

dans la Légion doonneu., Méduirie ...- 

tape, Croix Ue rwerre, et qui, se trouvant 

pomeadop ue riumgne correspondant, 

dé,ireraient le recevoir offemileineur au 

eues ue cette revue, sont /aptes à se Pl& 

sentes à. In Place de Toulouse pour y mire 

luxera. leur mmande. 

Les dell..ru devront etre faites au bu- 

reua de la Place avant le 6 février 12 moi- 

les. aubes seront accompagnées de pièces 

justificatives prouva., duite paris imem 

thé du demandeur, tub et 

andeur, d'autre part, ses ties 

itiélrlonsé 

mcéct:e. ense qu'd désire recevoir M- 

c,. somsmitions sont également applica- 

bles aux représentants des militaires tir é. 

Ma qui ont été ...marnent roujet dune 

récompense au titre posthume. 

Les membres des familles des militaires 

OU EST LE CHEVREAUTIER T 

,Ler, à Li heures, M. Delapart Barthé- 

lemy, mouleur, rue des &dengues, a nu. 

tu -mu. unia permanence de pull' 

lippu-dam de scsi free Louis c.- 

vreauher u loulous°, qui a quitté sun do- 

inicile Allées (Maries de Fitte, Café de a 

jeudi dernier 31 Mivier 

Il heures pour se rendre on foào dans les 

ànvirons db1uterive, on il devait acheter 

des agneaux. Ber:herches. 

AU PARQUET 

Pour vel de lingeme dune valeur de 

IO IMM., le trOttiom 

Marials, 17 ans, garçon de pué. minus di 

:zoo a été combla au Pa.quet et ecroué. 

VANDALISME 

Plainte a été dép.. entre les mains 

du Lonunissaire de po.ice du 3e arrandis. 

sentent pour di'gradution commis sur un 

nur da l'Usine d'Agglomérés, sue, avenue I 

àe L,anagnet, 43 his, et appartenant b M. I 

Merly Man, industriel, dommage de 50 R. 

unvidon. 

LES VOLS QUOT1D/F.NS 

Plusieurs sols ont été .smüs au cours 

de la nuit derniro t notamment rue ()sen- 

.° au préjudice de la librairie laecitleniC 

lune nronture de sonnerie électriqum. 

Au préjudice de M. Luis Albert, 

rue Esmaussmes Giontgadlard, 'tram:land de 

xeubles boulevard Carnot, 50 tnne table 

sle salle â mener, 

LE FEU 

CoMmoncement d'incendie. Le feu 

s'est décimé hier à 21 h. 15, rue des Chan- 

ges, 25, dans une sumursale de l'Epargne. 

le fou a été circonscrit rapidement par les 

pcmpiers de lu Caser. Centrale. Les dé- 

dits ne sont pas élevés malpré la présence 

dans l'immeuble d'un déprit d'essence. 

Deus Collisicns. Hier apis-midi vers 

19 heures, une motrice conduite par 10 

matira. Bernard, effectuant le trajet St.- 

Ai, cotre Mata 1.111 a erponne 

Chez la dame Coulons, rue TM., 

21 (3 poules). 

Vers 20 heures, une auto a tamponné 

dii 

g 

tramvay a hauteur de la place Mata- s 

bleu. Droét, materie/s. 

1110IJVAILLES 

Réclamer g h Mme Dumont, rue May- 

ard, 33, un chien; à Mine David, i.e Me- 

ung°, 2, un ohien à \lare Suthicr ch - 

nun des Gourou°, Braqueville, un chien 

de °basse: à M. Victor Lespine, directeur 

v Journal de Toulouse une petite 

somme; à M. Gesse., plme de la Bourse, 

gleggx meubles; d Mme Thiébaud, rut 

du Suchet. O. une Lemme contenant des 

outils; h l'Administration des tramways 

ceux billets do banque. un gant et, un para- 

pluie. 

- - 

V% 

GALEEIESdelaCONCORDE 

'11/CLOCSE - B, Rue de la Concorde 

Vons trouverez tonjoure 

UN JOLI CHOIX DE MOBILIERS 

de FaHOMATI. 

R. C. Tssltu.e 4.616 A 

COURS ET CONFERENCES 

FACULTE DES LETTRES 

Con. publics du 4 au 8 février 

Lundi 4 EsMer, à 17 h. 30 t M. Leland, mem- 

bre de Melte Carndai. de Washinams fera, 

franeags, une conférence sur le suie 

La ealemstrims française en Aménose 

Péeda. 

Le noues publie de M. Fermé,r est runes nu 

lundi lb fOncer. 

Mardi, 5 lévrier. à 17 h. 35 M. Delamella 

L'humsnisme no hdie assolant le mi...dé- 

v Rami Bracciolim 

Mercredi, g février, à 17 h. 30. M. Lavedan 

Ces paterce de portraits au tdiehuitihmc sielet 

s Le Règne de Lo.i. XVI n. 

Jeudi 7 fdxrier, à 17 h. 39, Géographie des 

Pyrénées M. Anala-de, « Lés nona de houx et 

da peamnes dam /es Pyrdades s. 

Ventas.; 8 février. d 17 h. 30, M. Begarren 

L'âge du renne. Epoque aurignscienne, sole 

tréenne, magdalénienne t « Les dernières dee- 

vertee préhistorique n. 

LUNDIS LITTERAIRES 

Cet après-mich, à 17 h. /5, dans le gr ed 

amphithéâtre de l'ancienne Faculté 

d''' L te, 

son,d 

de Rémusat. l'Amochais. Général. de: Etm 

dg,matéé.era s. sixième canif:mue. hl. o lieu- 

I 

eZdentide'n'i. Ce'ecor7lékre7seurse'ret ntompegnV'""le 

de projections. 

cmhon pour Im places m'ancre.ea aras 

close e A. Menestrel r, rue d. Poids-de-rH:21e, 

I midi précis. lue panso de la mile seront oy, 

vertes à 16 h. 30. 

COURRIER ARTISTIQUE 

L'ATHENEE CITORAL TOULOUSAIN 

Je veux souligner toute la saine joie 

qui se dégage de manifestations artistiques 

analogues à celle que nous offrit hier dans 

hé Salle du Conservatuire, une de nos So- 

Mèdes Musicales les plus vivantes et /es 

plus sympathiques l'Athénée Choral Tou- 

lossain. Ces ouvriers et ces ouvrières jeu- 

nes ou meux, aras, sous la baguette en- 

chantée du rnabstro Moutet dans le culte 

sincère de /*Harmonie, nous ont dérnontré 

rine fois de pins que le peuple excelle à 

sentir et à exprimer toute beauté, 1 con- 

server en dépit de son dur Rb., Pannsur 

des heures qui convolent et des illusions 

qui font espérer. 

L'Athénée constitue une masse ehorak 

imposante et homogène. Dans les ehreurs 

Populaires comme le Tordeuse de Guilhot, 

aussi hien que dans los cnsemb/es classi- 

ques de Barreau, il témoigna d'une sûre- 

té, d'un souci des nuances, d'one MM.,: é, 

que pourraient envier bien des cadres pro- 

fession.'els. II garde de plus, et c'est id 

gn mérite, la pureté de ses qualités vo- 

cales et l'enthousinsme de son expression. 

tées .listes qui participèrent à ce gmacert 

doivent être complimegoes g mire Lod,,,,é, 

à la voix étonmurent ample, aux émissions 

expertes, à l'expression délicate chante 

mec une ésole savoirs- une tous romance 

de mon remette collaborateur Damas et la 

saise en vogue le Flue. Mlles A/eyrae. 

Bernai et Amggrglel et 13énassieu sec. pas 

de peine à foire applaudir rems belles qua- 

lités vocales ; MM. DePrès, Nougaro père 

et fills, Giran, Lamarque, Ramés, Dette- 

rac, /régné, Espinasse ont été les interprè- 

tes habiles et harmaniensem d'oeuvres va- 

'nées et souvent diflirulguenses. tels l'air 

gle. /a Calomnie du e Barbier de Séville a, 

et le duo de s La Reine de Chypre s, dent 

i/ m'est agréable de féliciter les talentueux 

. . 

Ce m 

tte atrnée est un gros succès pour 

t'athénée Cho., Toulousain rd sot actif 

sume,t, pan° I hm 1/ ne leur reste 

persévérer et à trouver dans Toutou/g, 

''1, de: Arts, une salie assez vaste noue 

tes nomtrnix ami, de celte reuare popu- 

laire et florissante. 

es, 

SALLE DU JARDIN ROYAL 

Conférence Madelin 

Contraste t Aprês la claire et vibrante 

chambrée glu CMISCMEMOire ; voici la vaste 

Jardin-Royag, où la tris- 

tesse des soutanes et fa mcnotomie des 

t; Mukalla remplacent ta fantaisie sans-fa- 

çon des jolies toulousaines. Heureusement 

à/. L. Madelin, histo ion et Iota tsariste est 

de plus un eonférenMer agréable dort la 

mis chaude ne lusse pas et dont l'attra- 

pante argumentatian vaut hien qu'on brave 

e ft'cid :ura p eds Con évade très /tenni- 

". el tries pittoresqne de SainbSimon. 

aura sans doute détensoopé te, trop mun- 

is .euses -personnes qui s'obstinent à ron- 

aid-n.nr ce pamphlétaire comme le premier 

et le meilleur historiographe du grand 

Siècle, t-Simon eût deux défauts oui l'em- 

réel-laient d'être un hi'' netL'orrluet1 

et l'ambition. Ces de. défauts il /es tenait 

dr son uè e, /equel prétandaff descendre 

d. vIhs- , oui da louvetier qu'il 

elad, dut au .prree de Louts XIII et â 

,..,,,presse de devenir gentilhomme, tou- 

s-amour dur et pair de France. Le Igor 

de Riabelien s'étant osmose à ce qu'il 

devint ministre il en éneellca une remplie 

tenace que vint accroit/. l'influence di sa 

c sida Pe d'un mi -'st e orns-Mt. et dant 

hérita son fils qui vit nimi 5 mn beromm. 

selon l'heureuse expression de M Mule- 

t m ct /a fée Rancune. 

étala de plus court et chétif. « comme 

a s'émir. nuis XIV ouand 

Or lui présente ce prétentieux éphèbe de 

dix-sent ans... vous myome un imu taon 

Oit a dl- le Immo manant. Imerme le 

ieurge ir oui il vient de rostre,. un 

rughnent, ahandomm sos Manses en prei- 

re minna,grle rem- tenter tic sRmbuscorm 

an Louvre. Ces deux boutades cruelles lui 

ggsgmelit ramir toujours la haine de ce qui 

est grand deçu dc re P., ohtenk le grade 

de Lieutenant-Général, il ne pense plus 

ou'à ion Laer, unb romploter, qu'à jeter 

son venin sur ceux nui ne l'ont pas servi 

Le roi caricature l'orgueil et la 

ellalltataMalmnsaellafflI 3 

ano Envoyez vOi3 Lettres, allez 

Au MAROC par AVION 

biparti de -rouleuse et ds Casablanca Uus fil iwirr 

uémies AÉP.IENAIEW 1,41'ÉCOÉRE, Parts et Toulnuar-Monlattarem 

Rseans da tomme, Sens. ne 124034 IHMMeatita..MM310 

1:raflasse et dont il méconnaît /a bienfai- 

sante majesté, les ducs de.Laxembourg et 

do Vendôme dont ir nie Ihndiscutabie su. 

00e militaire, Fend. qu'il ridiculise 

après l'avoir adulé, Mme de Maintenon 

qu'il Raine dans la bone, jusqu'au l'ut n. 

qui n'a pas part.é l'opinion de ce 

parvenu sur la préséance des titres dr 

'lob/esse. Sm esprit brouillon fit que /e 

Redent lui-mange, dont il avait été l'adula- 

leur intéressé qui rayait appelé au Con- 

seil de Régenm et l'avait chd.gé done 

mission délicate en Luxe., dùt se priver 

I d g b s. Aitimi et mortifié 

il Fe mtira dans ses terres e G, en anno- 

tant vertement le panée-Tique do Gram, 

Rej que Dangeau venait de publier, lui 

vint l'idée d'écrire ses mémoires, qui sont 

hien la satyre d'un atrabilaire. Il est, com- 

me le dit M. Madelin un La Bruyere 

l'envers qui, au lieu, de peindre des ca- 

ractères anonymes, a présenté des per- 

sonnages vivants avec le caractère qu'il 

leur prêtait. Il a fait cela avec maîtrise 

car, en dépit de sa langue b-rutate et ex- 

cessive, deux qualités rendent ses écrits 

précieux : Ba puissance d'observation et 

son inlassable curiosité. 

Ce tableau vigoure000 et subtil du célèbre 

mémorialiste a vahr à Si. Madelin un suc- 

cès très mérité. 

SOCIETE DES CONCERTS 

DU CONSERVATOIRE 

Ce dir, kali, à 9 h. p.i., au thdatre do 

Capitole, audition de la Société dus Crneerts, 

esse le muss. de Mme Croira. usntatriue de 

Orehesid et dam., RO ex...., rom la 

direct.. de M. Aymé Kuco, Mreuteur du Con. 

Ouveture des portes 65 h. 30. 

Location sans semnent-tien da prix, Massons 

Mme, Rouget et A. Ménestrel s, Rem.% 5 h. 

du so 

LE THEATRE DU PEUPLE. 

je co veux tes que M. Froment mette aut le 

etepre de l'indifférence mon absence ex re- 

présenterions théâtre/es quaI vient eorsanber 

ans le cinémas de faubourge. Si je ne puis 

donner des réeltats de se initiative et proche 

mer que sa troupe fut la digne proposandee du 

grand- Art h veux du mens affirmer que en 

idée de 'bene du Peuple ,re nous /siee pe 

indifférents. 811 eet vrai que je fais qurlates 

rirtervea sur la concepten 

rl en pare rems. 

loue dos chefs-eceuvrns .dont rv,,u faire 

éclater tome M beauté sur les trétece de fortune 

et dans un code médiere. ne me parait pis pre 

pre à atteindre te bat poursuivi par M. Fre 

ment. Sa preence et le patronage platoniqus de 

n a . 

..Z1` 0' 

.71.;,1"I'''nrel'U, '.:2°:,'!.° eau 

et /*incombe dee spectsterts... L'agrément du 

décor est un laceur non nerthgeelde quand on 

' end à l'éducation artiste-que des masses, de 

reete"« que nous demandon, pour le PeuPle dan 

écrtea propres et claires, nous vont/rens pour lui 

theere coquet et confortable. Hors de la, 

hem tentative risque de ne parahre que bei- 

mente de bateleur.. 

Ceci n'es, pas un reproche à l'issere de M. 

Froment qui sit occuper ùtilement ses loisirs: 

c'est encore moine une crttlque envers sa Poupe 

où nous elevons des noms erten bles. Co, 

une protestation centrePeritude d'un adjoint aux 

O. tuAnts qui co,,n de h PersMnalitâ er en- 

courage sans les seceder offieacement es 

C. P. 

P. 

TIUEATIIE DES VAIIIETES 

PEG... DE MON COEUR. 

Pea of my hesn 

Peur le deuxième fois. Pes a pans ste lu sa-no 

des Vermine e le bon publie e arrisuil eelo 

Pièce attestes pas usa originale et qui n'e. ouare 

ou'un mérite. celui de pouvoir 0m noir par tout 

fUit 

le monde. 

e été idée assez cometement, an peu 

froidement peut-Stie, pu une troupe dem terne 

dont il faut excepter PA Dealer dot, le rale 

du nootre, 

hunom t D. 

VERONIQUE. 

Rien ne pelotait rnieue ce-nye:nit à le grâce et 

ou tslem de Mlle Lourte Bebe que h Joli rode 

de Véronique et jamais en ne mérita daentage 

les applarteeesemenrt dont le prblic l'a salué. A 

ses côtés M. Hiernaux fut un Fbeen très mn 

set et bien dans le tradition. Les couplets de 

e l'eserpolette t en particulier leur furent bissés 

a'e, justice. 

M. Gér-rdy. Couette, gracieux en dieu de 

einistro du recors â mie en relief en 

petit vêle et mes a présenté â la fin un Hes Me- 

lotes impreeionnant d'élégarrte. Voilà un artiste 

qu'on aimerait voir dans des redes phrt 

OOis rOn, mort, l'appledir devaree 

Mile Seth& toujours bien ehetente nous 

semble etre un peu à calé de sen pesettes, 

/47 Monval, très amuses comme tertrytts, 

bouffon sans dépasser /ee Bruire et eans emais 

tomber done ft vulgarité. 

M. Léonce, appliqué et consciencieux, peuvait 

-néanmoins tirer du rale de Sériphe dee effets 

plus °aces., 

Mme Wéterska-Résent &sert se résisser à se 

vieillir et s'eu/aigrir un peu pour Ie, besoins de 

1n vraisemblance. 

résumé. agréable soirée qu'un nombreux 

blic a fêté cenme il convenait. L'oeuvre de 

Messisses jou, tejtmrs de la mirme faveur, csr 

elle foisonne de couples alertes et charmasse. 

hommet D. 

C111,111 51.111111- COITES -1,110 go lieuse, 

'VIS OF Ilter.S 

M.dxse aesve Hippolyte CIEN2Fs, csée 

P0"ti(i°'tCIE Monsiee et Mol-me Raymond 

ClitslY'ESt Monsieur et Madame Marius 130152- 

F,'N'CL. Et, 

Mcnsieur et Madame Louis FM- 

BCY-E. née "OLMEONVLF. et rtur Met les fa- 

rter- cr.E.Y7M. 

ANCGLY. 

crAmsTET. CASTILLON. BOUTON. 

et mi23.1 ryt g. fauleur do faire am à lesrs 

ms:. et cors-aima:mes de I- Inerte cenelle qu'ils 

vienuent d'éprouver en la personne de 

O.olisiegu H ses ut -Eoe G EYZES 

Voyageas da Commerce 

leur Speux. fils, gendre, berthes. onde, ne- 

veu e cousin. dààée,. à l'am de 26 ens 00les 

prier« «l'assister à sas obsèques qui auront lieu 

demainmardi 5 février, à 10 h. du matin, en 

rie. sae.r.,..à. 

à maison mormare. 5, rm 

de. Vases. 

Il ne sera pm fait d'autres imitations. 

t'ont. Fun. Mun.. 34 r. Parsamimères. Tél. Ii 40 

saranalarRallaarleallIMIOSIMI 

L'Hiver est là... 

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sui vous oblige à faire recenses d' 

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Paries ,Cas Miras et Le Pierret" 

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Mat randar de continsse et présentent 

toute: saeasties. Aust.-plus, ils ...ha. 

des sondit... très avantagelbes. 

LES SOCIETES 

La .I.tase Amisole. Reonion générole sis' 

main nnnri à 9 h. du mn, 0 ait-ge, ber Léttat 

rue Consteminc, El, Versements. Préeemce in- 

dispensable. 

Vélt.ta.C.6 Tonlassain. pères Seav 

désireux de pratiquer In cyclisme sons les cou- 

leurs d. Véloce-Club Toulmumin sont Imites à 

se présenter aux réunion, end as lieu le simedi 

à 21 h., s. Pèse, calé Fi,,, Arcades Ms Capitule. 

Ils daivent soir mus retard pour etre Inègm. 

aux premières épreuve. 

Cornus Norgelv -;aroiloroolglE11811 

1:1.%13111101LLLE rue IR11111.1b I 

R. C. Tomo. rog 3539-, 

jouncElnd Concert d. Conservatoire 

M.., à 20 h. Mame) première 'menden 

de Lohengrin, avec le remonte eu ténor Vers 

der, de l'Opérai ME, Yvonne GAI, de l'Opérer 

Mmv Dm...,' de E0A,'Ilt: MM. S.. et Le. 

gras. Cour le ler et le 2e ace, vintemino 

nursudnsia,taonrloouuod,sdaoura. 

jeudi, Faust arec le cent... de Mlle Yvonne 

all, de t'Opéra. 

Le hures. da Imam. ma cm. peur les se. 

présentation, de mardi ut de jeudi. 

Service spécial de renveres à la sortie da 

Théâtre. 

MEATRE DES VAR/ETES. -- Cc soir à 

IO h 30, soirée ('lotos,,, succès VtInt. 

malte, Pexquise et fine epérette de Marna, 

avec Mme Louise Balszy, re l'Opérs-Cuminue, 

dam le rôle da Vémnin., oui Mans do trione 

Pher noue scène, gram à son edam de on- 

médiemte, son shama musical e son entrain: la 

charmante disette est engamé° da MM. Hienmus, 

Gearey, Mortel, Lice, Mmes Lames, Osas 

dré ru Witereke-Rieent. Au 2. acte. lagliet Natta. 

Demain mardi. reprise Cs Mor,h-1 surrès 

avec Mme Louise Haley et M. Monval dans la 

Mie de FI,. 

Il rat prudent da -retenir es talmes en /mutina 

-;r7krffr `P2.;"!1°,:ivEAurrs. oààs 

.à G h. 30 nès précises, suite des Relayes 

r,résentations do . grande revue du Concert 

M yr«. 11 est urgent de huer à partir de 9 h. 

d. tmttitt. 

APOLLO-THEATRE. AS h, et à 9h. 

n,o:d 110 

P5:«esZol.frAU'lliir7s.F4uort 

ReC 

A 3 h. et O 8 h. 45 

Let Is'es R.s,ntinas et lite itteassiesse. 

AMETICAN-COSMOGRAPH. Co soir. 

9 heures L. Jartetare, comédie senammtile, 

merverlieusement interprétée gssr Ms jt-lie 

très renommee Corinne Creil-Ath: L'Ht,tas de la 

be Feasse Rogsgo: Ziaaiq tar 

Plantes. ; So.uunt jenona &rie, Cork ut ses en. 

veau, 

POUR TOUS LES DEC!, 

SUR SdINT-CVPII/EN 

S'ADRESSER AU BUREAU SPEtilL 

DE POUPES FUN-ERRES 

18. RUE DE 1.1 REM lit QUE 

C Seine 55 025 

Haute-Garonne 

REU.NION ACRIGGIIE 

Nom rappelons quo c'est aujourd'hui 

lundi 4 février. à /4 heure, eààs la grande 

salle de la &sida d'Apiculture du dipar 

Lament de la Haute-Garenne, rue Saint-An- 

toine-duiT, St Toul-Ouse, quo sera tenue 

une grande Munion agricole. â ilocespou 

de la distribution des rkomperses 

a Concours du plus bel épi de maïs a, or- 

;anisé sur l'initiative du « Moniteur agit- 

sole de Bordeaux s, 

tu. Serin, professeur d'agriculture, ingés 

nionr agronome, fera une eonaérence sur 

La maure du mais dans le :Ord-Ouest 

Les mernbres dos deuu sociétas d'.ri- 

culture du département 01 100 participants 

su mamours sont instamment pries d'as. 

siNer à cette réuni.. 

CAZERES 

DILECTIONS MUNIGIPNLES COMME- 

MENTAIRIES. La Setion Socialide de 

Gaoères. après une -étude aPalltroniie da 

la situation locale. a décide de participer 

aux élections do 17 février P.I.. 00- 

000011000 par la démission des dix nteR1- 

.,tree du conseil Poings d.s PAPP99R.A1 

aux élections de Ltd 

Dans /a dernière reuMon, il fut peleedé 

R désignation des membres qui doivent 

faire partie de la Rale exclusivement sas 

cialisM. 

Dans une note -ultérieurç nous fa.03 

nnnvitre les noms de nos dtx camarades, 

ainsi que les lignes essentielles mIn pro. 

"amour municipal qu'ils se Pronom.' do 

dé f endre 

Quoique l'on Cime 

C..10/CIMIM l'on fasse' 

L'ANIS FLORIDO 

Est tonie... plus apprêts.. 

O 

irsu. Iteprearoloat. d.arelln. 

àSMISSessessessamiist 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

terrecesse. 

1:titilla, a aell Leût`, nnilhjli 

de jure » les Seviets 

liii 410,ist février. - Les accords 

Ualeartaises ont Mé signes anime 

COMM. Ils comprennent un traité de 

conuneree et de navigation et une 

convention douanier° qui seront 

complétées par des accords suppl.> 

menlairm. 

Le traité de commerce contient 

ace convention créant des consulats 

sur le territoire des deux Etats. Le 

premier article du traité de rom- 

. inerce établit la reconnaissance explicite 

a de jure t. du gouvernement 

des soviets. 

Les jouramm assurent que parmi 

'tes clauses les plus importantes il en 

est une qui prévoit la fourniture à 

ribilh, d'une quantité de produite. 

Un pourcentage prélevé sur le pris 

mie ces fournitures sera affecté à l'achat 

do marchandises en Italie. Une 

notablee réduction sur les tarifs douaniers 

russes sera concédéo au profil 

de l'Halte. 

Le gouvernement italien aurait 

également obtenu des eoncessions 

pétrolifères et charbonnières. 

A la suite de la reconnaissance des 

soviets, l'Italie et 10 Rassie établiront 

a Moscou et o Rome. respectivement 

ane antba.ssade, On pre:Vnit que ces 

accords ruaient rapidéraent ratifiés 

iiar les deus pays. 

Le Messagerori relève que l'Hm 

/je et y. Mumelini, en s'engageant 

dans cette voie, travaillent à hâter 

le retour rie l'Europe :vers une situation 

normale. 

Contre l'augmer talion des tarifs 

tes chemins de fer 

allois, 3 févriev. La Fedéretion le lieues 

Cos voyagez. de clarain, de a fer, tee, eno 

v/untan, ce matin, sons la net,eidenee da M. h 

&calma Chaffm S8Imiam melerant, arroi do 

nardeeez detruls luo d. Pl3,/ne, e/ 

p,esienne. Dans é...tan,. elle. 

eamif IrlimI, evein. Le Ccrlscil/e., Bad, Sou. 

stéssutés; Marin et Brisée. conseillera ginf. 

Seine e e.,,,,:surs conseillera tr-ateci. 

s, ninvi eue leu reprérentants féléretions 

e,tnnistets. 

.',,s2a nye:: entendu diffdtents orateurs, oc 

de jasa étl voté, d.ns lequel Io rédé. 

3 proteste conne toue majtretims arbitraire 

tarifs on chemins de fer. qui suait P sac l'Allenueno. 

I ô 

- Peak. 

LE MIDI SOMALISTE UMM, -ce. 

Cure de santé, cure de gaieté 

La cure des Pilules Pink est tout à la 

fo. One mure de sante et fluorure de galle, 

tant i/ est vrai que rien n'influe davantage 

sur le carnetère rom l'état de la santé. 

Le bon fonetiminement de l'organisme, 

un appétit régulier, un üst0MaC robuste, il 

n'est rien qui 

prediepose mieux 

à h bonne /no 

Meer. 

C'est ce hienétre 

physique et 

moral que lex 

Pilules Pink ont 

amimie à Nme 

Pleret. Et c'est 

vraiment - un encouragement 

pour personnes 

qui souffrent 

que de lire en 

quels termes 

Ihne Floret s'exprime 

sur lea 

aime mon.. Pilules Pink r 

c Je no puis atue vous dire toute mn joie 

pour le arand bien cm m'ont fait les Pilules 

Pink - nous écrit Mme Mord, demeumet 

à Lille (Noeill. 71, rue de Inandre, 

tris reble. 

pi do l',siipi'tlt Ci Ir ss,,,tiseil, ri noms le 

rrsll, ois tri réglas 'mm-ei-gi,liêrss, Il an' o 

...miment que les Pilules Pink - car 

tout essayé - qui niaient réussi. Je vous 

er?li'ene"nril'elnsti her:.res. 

nues et nue l'ai retroumenn bon appétit "et 

IiI bon sommeil el que /e tic seutfre plu, 

peur 1500 rflco, " 

Le. Pilules Pink raniment la vie, n'If.- 

..l. les forcer ut Ite'derance parce 

les ré,MMILD1 /e sang et le système liericor. 

Files sont par exeenenee le remède 

Catir@ l'anémie, la chlorose, la nourartha. 

l'affaibllesement général, les trahies 

de la trek:sente et du retour d5ige, tes H 

de tête, irrégularités 

des règlex. 

Toues ahremiele, clou nlnat, F/h/e P. Barret E 

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tOlui. 5 ta 60- 

Sien exiger la eerite)le J V AU. Je l'%»,fJJfj 

I «al doit port, si portrait an I- 081,0 Solini et la .81.1,mq Ouinentle@ ell rOtig, 

èderelliiii:,ettkeeetieelLgeteilmaneemesee" 

FEUILLETON DU c 21101 a 

Nciu3 at-cons acquis la Curiii.a1L sou u 'lot Edmond daSirilby, dant il ava't 

vselsé nd-sin te part unc sonates à .0.71e m'anse ignoré le de!, Jottrst était ce ren- 

t, nal» seniroes surs aoasi tu l ind dant as-on ao. courant d-s briCts rron- 

tien de celte cache te ce trouve rontenue de y:ou- cave, g e le d -.m'eu Di4 

dans un livre que le dialftnt a d5signè qui passas pour fort riche, n'avait 

1 ri-mènre. Là, trialheurecsement, s'arrè- rte. laiesé. 

LA TRESSE BLONDE 

tent nue ro -seigneur-lents. itifon frère, g 3 - quoi rte chercherais-je pas à le 

halai e la &Ade, l'a fetileté à Paris, of, dev'ner, ce secret, pensa-tul, pr_Isq ee ce 

par F. DU BOISGOISEY 

nous espurns être assez heureux matent vert Cie me le livrer 3 Qui 

1 Si vous consentes à nom aider. m'et' enehe, si le le terms7. de 1 crtaber 

- Et vous n'ovea eue ine idée de la mo r "couverte et de m en servir -mu 

nature de l'annetatima er de la place ka biens de la famille de Missi- 

occupe da s le vol ? tees. ? 

--01,! mansiria, dit-il à Noreff d'un - J'ai 116 employé souvent, en effet, 

Ma. Ja suppose que cc C 

emoh. 

air contrit. couvi, en je sais désolé de .5 115, travaux de ce genre. 

sou des carectares traes at,cc une encre -Je C-8013 pouvoir e3portre ré :s- 

ra ûtre si m'al expliqué, en vom pas soi -- Alors, vous veut" fartez fort de sympathique sur tee dru marges vies ain 4. - u am,é, t fe suas prêt 

d'une autoriea..ion écrite, je n'ai jarnai., retrous-er et de 5555m une phrase hum d'une page; peut-4re un numéro 

entandu girelle fût nécessaire ce son cm on eurait veule dissimuler. 

cormapendars à une phrase &sit le res. la 

menue. Je passerai à la Préfecture de- - Toux lm chiffres secrets ont ode est une inelicet on, amis je cmrapte 

main prêgir me mettre en règle, mais je clef qui n'est pas difficile à découvrir e11111,11,11 van vas talents gos, no n erce 

vous prie de croire que Je suis dès ce quand cal a le terni...al q mot aux encres d'embarras. 

moment out à votre service. 

gmr-8 enclues invisbles, sert un jeu de les L'agent de police réfléchissait 

--i. Me foi t munit d'an air ddgagé, 

taire reparaine à volonté. 

I dément. Il ver ait de passer en cl 00m 

de Norefif, en s'instellant de nouveau a Je c donc puvog u de/fier i:hi une 'see.ondet par les rais-Peel/eus les ;I 

sa chaise, je ne vous cacherai pas que lettre quelconque: seulement. c est une c'ntrfire5 rI Par lm éso'ut cas les el, 

opération Essex "cagne et je vous dom - n- cmrom.tes, En dao, set l'étrange histcue 

jiaierc frileux ne pas retarier cette affaire 

d'ouont (pain s'agit d'intérêt, qui pets 

dermi peu .être an jour maties pour la ciao M. de Neareif venait de lei racz tes, 

vent "ère compromis d'un 

jour l'autre. 

mener à bien. Du reste, j ai là précisé.- ' il avait om d'abord à une fable rrosni_ai 

ce qui me hart. 

atere nt" creeenent à le frire don- 

v tont orét rnarelver, et, en - 11 ne s'agit pas d'une lettle, s'a. nec diat C,(0,13, rnais h.ent't ne 

attendant j'écoute, dit gaiement Je. t c.:un /imfm. 

rate d'inlmiticer l'avertit me c- rledt lai. 

tru . q osait repris tous con sarg-Ercd - Mon Dleu ! coi, vous allez core. zen, ,scluvit u-r- réalité. crimicelle et 

- Pour le marnent, il ne s'agit que toondre acrnamont vous pouvez ina'e re Roue, rle y iCluait 

J' 'sert r, et j'entre immédiatemenet tuile. Un da mes proc.hes pare, ts, fort rai^ encuve inezn' , 

rmtine. Nt. le ri,..iifet m a parlé d'une riche et enrore plus erg nal. vient de Puis lui vi-t à l'er-Prit nue ce Ferret 

nedurcie LOU@ Sp.i,e' ale wee vous pots& 1140.1T esSuesale. éta't pote/te/é c3' la livra pnurceit fart bien être le sec,,,t 

dea pans reconnaître et exPliquer let singulière nonie de d'ssinatler sa for- dévvilsre lequel s'alstit'it 1, 

.1 agisse* secrètes, les s'igues de conventune, et, quelque survenance que nous anarq /s ctiessrus blet 

usru lev iralicatiers mystérieuse, ayens fait exercer sin lui. il y a r'5,08i étranger aux laits ctej avaient auivi sa vi- 

comma :a ça. Cf/ tOir net- o. si vous sore 

en ro- confier le livre. - Je suis imi, c.he monsieur. gr., 

tion et il ne put s'empêcher d'hés ter un 

instant. Il aosi pas enoote eu le temps 

da anab tuer à ridée de se livrer ainsi 

à son enremi, reei, une couréflex rte ré on 

pmetada "'d ne pcnvait courir aujcuti 

durger. 

1 - Actuès tout, c'est ce que in ymbais, 

di -il tom ouvrant boirasa le mos où il 

s r ait ses ustensiles de traducteur de 

chiffres. 

Et il oit la d'en ton ferme 

Mon d :tir, noue pouvons partir. 

Cru' Meir. aorée, le Russe et l'agent 

dr prMice montent erserrl-ale dans 

roopt attelé de deux mrerbes chevaux 

regs qui n'avaient pas tent, de 

Lin tee rlars nitreete rie des 

D'as fo eiat ami,, le cocher lartsa 

ses trettems à toms. v'tesee, en Nil el- 

17,, ce-sentie,. à riolls répcndit le reg di en levan avec sain les glaces 

Russe, qui sembinii ter ieyettz, e" in Fer:am...mei. cher es, s.eu , 

voue rr e do etsrre,r SUT r e récomr ve-P eeleziner alnel, mois je crains herr 

pr.nce pcipreiiornelle service q ie riblenoet le fro'd. 

vo a aller ^Clà3 rendre. ous seci- La voilassi, emportée par le trot de 

maet a.5 r rr res oir ? deux n..rullests chevaux art,nts, roulait 

atouts-ts do ton le p 'nt. acre t,e telle ranidi é q te Jettrat avait 

- En j'épurent. Je suis'dure de mon r -tee à se lierai., ccriopte chernin 

re'delle élevait. Le soir .e mitait froirle et 

- Alors. ober nrors'-ne. alles me le cotaa.3. assez &reit. Aussi Ira glaces 

fsere lu ve-lace tvi,-tve aVee 

dès pur ièrvs 3/é/Laient-elles rtn50.p...881 

Va/ m'attend ail cois de la ,,o-in'a'fer disse .-maut /..--asee cul ensis 

p,,ta.CL rené r. e` I. TI1'Pà, 0,4mit de voir eVerncteramot au 

l'hôte/ Dà mn ',eV-rd lrred,ceratem-t 

le e à ocre d ,,cet/a. "rets 

edenre-nez er.e.a ter, , 

le, r@ity 

dr le cl 'rolacor, 

an c omis e le /La, roi, V.In serre 

eatra,l n vo, le merm-leer. 

:battra" ne s'atteralait pus à /a proposi- 

-dar.l.ros. 

L'acomit n'oncarevait mitre no- dos Imite,. 

ruirrieirmlea. qui ,,,,,,sua/on. 

tnétéz.7, et dmérairsaient 

eyra la rem', larembtaf Il nvatit eeit rcr 

-actant c-mta'er al! r-V-,mat erm In vem. 

t me asit tou-A de di., miels Seine et 

il lui semblait Ren qu'elle descendait les 

MIW 

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F bde riLUUUIEZ PLUÙ' 

les Malaises HÉMORRAGIES, Vapeurs, Étourdissements, 

MIGRAINES, mosanes de Congestion, complications diverses. 

DU RETOUR EVAGE 

Les Métrites, Tumeurs et Fibromes, Inflamtimtions des 

Varices (Phlebites), douleurs du bas-ventre chutes de la Matrice 

l'irritation des Ovaires, les mauvaises Suites de Couchai 

sont guerius, le CANCER évité par l'emploi de la 

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In iettsPérament fort et ;élit nécsasaire dans e nt realoe 

ts@te@, @eue aves hisc@in d'être sou antes 710.T 

à La Ntatanent.i. W,r. vous mem, mi à ia 

IlMERGULOSE QUI TUE. 

Si cv sain' da ménage, de 1s 151101 le. d'une oc labee 

ce d'une vit mondaiOn ont niaorbé yens temps et fait 

niallecr votre "ante peut-arc votre 88,881. vell8 1.a. 

d'an, au marnent opportun, conoulter un mddeein si man, 

tenant voua soufFrea martyre' , 

je 9,1 

EllS 

ployai. et moral dul, 

I, force de I lge. arrnm -souvent I vous rendre ingspaLlo 

ch moindre Are, dc ou travail. vo7uSe eu PIM*. 

NE DÉSESPÉREZ PAS QUAND NIEIVIE 

AyCIE ronflai,. ! Seule une femme pouvait rasage au point un reniai° 

efficace, vraiment approprié à la femme, à ses misères, à am maux 

CE REttÉnE C'EST LA SÈVE DE SUR CANDIDE 

Mieux que cela, la Sève de Soeur CANDIDE muivIgnir mus MALADIES. 

(YDS/ pourquoi claque femme inquiète de sen avenir doit, lorsqu'elle se 

sont faible, déprimée, faire un usage régulier de la Sève de Soeur SAN. 

DIDE, 881r attendre que des complications aient ébranlé mi santé pt 

.18 ses jours on danger. 

Cotte .111Te QUE possron la Sill/0 pour Ira manifestations do Enan 

en.130/00 de la femme, elle la possède aussi énergique pour les 0110T.L. 

1/11 It"..QUE DE LA yoruvrgin pas @MUNE@ @ILLE,. Aucun reeonstituant 

s'est plus actif et la 5001 en régularisant les Rigi., fera disparaître 

comme par enchantement les pertes blanches, pâleurs, palpitations, 

nervosité, larguent., anémie, chlorose des lattnes filles; do même que les 

maladies de la croissance, les épuisements den jeunes gons. 

Là Sève n'a pas d'égale dans la faiblesse générale, lm e vieux rhuma-. 

négligés e, la grippe, los convalescences longues et Rainantes 

C'EST LE FORTIFIANT IDÉAL 

LA SEVE DE SIEUR CANDIDE se trouve dans toutes Phame:ion. s 

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doulousa (compte chertaes P0aMmLI 7204 

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CCIIPAGNIE nu GAZ 

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SEPT et 1.0:Iliett I. CeterTEUL 

Appareils de Cuisine 

et cle Chauffage au Gai 

VENTE DE COKE 

Les commendes sent reçues, 

7. rue du Prérioni ou à PUens 

Gaa, ou peuvent être remises à 

Peng leu Af,ents de la Compagnir 

qui en! se,ès auprès de shouné, 

50 °I 

D'AMEUBLEMENTS UILLET 

d, pue .8 Cana, 8 

,00=1,:;-;,, o r 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

quais, C'était la véritable direction pari 

aller à l'hôtel de Ncreff, et le chenia 

n'avait rien de suspect. 

jottmmt, assm disposé à la défiance, je; 

tait de temps en temps set ea. dise 

dnns la me en effaças avec la néon la 

baie qui obscurcissait les vines, Irra's il 

's'aperçut bientôt mie cette précaution 

Or ait en pare perte. car un 1,,orell4 

osier, montait de le rivière et -rune 

cbinit vcir à dix cas. Peet-aue 

M. de Ivereff rennerqua-t-i/ le rremêge d, 

son °mn-pagre,- de voyage, car il lui 

Parla de manière à Io rassr,,,, Mi, a 

fa â. On aura:t juré qu'il avait deviné an 

perseas 

fil suivre., 

NOvf treitte c's En° Ilbl 

Csneenefemo gemma. rom a. 'erra * 

derami- .so perperedesso 

Ft. C A, 208

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