liant, - Bibliothèque de Toulouse

ABONNEMENTS
TOULOUSE (VILLE) : Un an, 40 fr. - Six mois, 21 fr. - Troie mois, 11 fr.
DÉPARTEMENTS... - 50 fr. - 26 fr. - 14 fr.
Toulouse, 14 Juin
BULLETIN POLITIQUE
Un nouveau décret d. Président
de la Repnbligoe apporte encore
quelques modifirolious daim le personnel
administratif; au nombre des
mutations, "et trouve le déplacemrnL
c M. Achille Delorme, qm ppasse à
la prélature de Mcorlho-et-Ilioselle
il est remplacé à Toulouse par M. le
baron de Behr.
Ce changement était prévu dès
longtemps et ne surprendra portion.
ne.Pendant son séjour dans lu Piaule.
Uaronne, M. Achille Delorme est
resté fidèle au programme qu'il s'était
tracé dès son arrivée : a Je
compte, disait-il, faire de l'administration
et le moins de politique possible.
e Cette conduite lui a prompLoment
concilié l'estime des hommes
d'opinions modérées ;mais 'elle a
dcouragé la haine des partis hostiles
au guaier.onnent dont M. Delorme
était le roprésentaut, elle a vivmneot
eeonhmlb les inipalieoeeo et lis prétentions
des repuhlioains autoeimves
qui comptaient rnnonvdor, cette fois,
à Ienr profit' les agissem ents des pie.
fois; antérieurs. En tenant la balance
égale entre les partis, cri se considc-
rontcom,mesel eu sa propre expression,
le préfet de tout le monda
M. llelorme a fait ana ouvre émtnonimont
utile dans noué département,
où ii laissera le s-o.vcuie d'un
administrateur éclaire et habile.
Le nouveau préfdo la Hante.
Cornons est, ainsi q!, o ooos le dison,
plus haut, t baron de B hr, ancien
préfet de Loiret; si l'on devait juger
des foncliocnaires diapres Ics opi-
7üOns émises à leur sujet par lis psemis
intéressés, il tie -eenat pas thllicile
du classer M. le baron de Behr : il Son=
vient, toutefois, l atlundro les actes
dn ssonvel adminisn'atcur per r porter
à son ég:u'J n jugement l'ondé.
l.e nouveau secrétaire-général de
les
--Dateurs du centre gaucho, la Chambre
eût voté le budget.
Le journal le Birn pou lie est ros esuivi
pmIr la publication d'ana faons,'
nouvelle dent on comsaît le carac-
Rère ; nous n'en reraelerious l''il pas ici,
laissant à t'accusa 'Dite provisoire
de rigeOlll' CI]'elfiblable nec11reneo,
si le jeu réal lu Dépéclra nient
lu-dtcurs
ià paropos do présenter a $es
'c vec ppeu do Gdélitb, les ré-
Rexions qim l'ingnaliliable oondnite
du Bien yuGlir, nos a inspirées.
En supprimant une partie de notre
article , la DCpddie 'omble ioeinuer
que nos obsorvalimta visent
tuut autre chose quc le crime rle trahis..
commis par la voie de la
presse : soute chose désignée dans le
bol Icln.
0" uni à rroirc que celte attitude
du Journal de Toulouse, est nouvelle,
ceci passe la plaisanterie ;none n'avmtsjamais
excusé un journal, quelle
c nr. l'it son opinion, quand il se ecndait
ronpable (le faits :,tonnes. Ce
n'eutpas notre Butte si lus journaux
de la démocratie avancée somble.t
avoir le mon ol uolo
de ces méfaits, ot
sans somnoler tri s-loin dans le passé,
il serait fueilc de trouver dans' nosrolonncs
le jn,grmeDL quo nous portions
naguère sur un jouruul dont le eédacle
r en chef fut jadis grâce à la
Ddpéclse, l'un des favoris de nos sors.
tins municipaux.
TÉLÉGRAPHIE PRIVEF.
1:, 11umo-Garonne est Pi. 851 tier-
Grnt, amioistàre nescu noir-préfet de Muret
suas le do M. Ballcl,
0a
près les élections généales.
(hs connais la (lécision prise par
la commission du bouger au sujet de
l'examen des lois de finances : elle
ce deelaro prête à présenter le support
sur le sons sic de liquidvt
et montre par ia gn'ello tient en
juste souci les préooonpations pah'iotiques
qui doivent plisseravant looks
choses mais la commission se rel'u'e
il proposer à ta I;hmmhre de celer
les gnatro rndributions, avantq.. Ire
gonverne.sc.t n'ait exposé son I"
gramnsc; pnlitiyua et financier ; ce tte
ligne de oartluite an ru pour résultat
Ibrne, si elle est sancuounéc par lu
Chambre, de hôte" la dissolutmu en
fnrnnnt en quel(pc .sorte la main au
gonvernomcnl. l.,, question ,olitique
posée le 1G mat se oompliquu, en
elli't, d'une question linaneière qui
impnsu au sénat la nécessité de
prendre une quelque
peu diléronto do celle quil ont ss
prendre, si 'oromele smd 'mitaient
Paris, 13 juin, 6 h. snir.
Le ministre de l'instruction publique
a décidu que tout étudiant prenant part
à uue aluni quelconque, soit
par s actes, sumime sa s .nlm'a,
serait imhièdiatement rayé dem la liste
des écoles.
On ai'm'e ue le Cansennuient
déclare prit ll la dicussiun immédiate de
l'intrrpellutiuii que FI. Ganibetla déposera
s.rmedi.
Le bruit quo NI. Casenuvc de Pradine
6 allé hier à l'Elysée eil démenti : M.
Cazenove ,'est pas arrivé à Paris.
Le Jimtitaur Unicrrsel dément que
M, Clément Doereoais soit l'auteur de
la brochure . Le Muré .1 dosant l'opinion.
.
L'L',ho Lois sCael dit que Ni. Vente,
ancirn sous-secrétaire d'EtaL a
tCri' de la justice, serait ao ino cou
seil1 r à la Cour de cassation. n
Les gauches out renoncé à l'idée de
faire voter la dissolution Pur les sénateurs
républicains, afin de laisser 1.
droite gom'mnementale seule respas
suhle. -
Les principaux chefs de la gauche
inlerviendrunl dans la discussion Pour
expliquer Ienr conduite; ils se rerlOUlent
pas la dissolution, mais il, u
lent pas s'associer à mine, mesure vqui
est le désaveu de la Chambre.
Aucune interpellation de la gauche
n'aura lieu au Sien 1, ai.. de laisserà
la Chambre la direction de tonte la
m gro.
Les groupes de ls gauche d'usure éventualité,,
actuellement l'a diverses
s,
maia il .-,l entend., en Principe, quo
les décisions du la majorité
adaptées à rirnanimité des 366 sigoatai
rrs
dn manibrste des gauches.
'I'ons les groupes se, .";I prononcés
l:antre le vote du budgeet partie.-
a,., 'ontribnlions directes.
tus certain nombre de memhres v -
draient mon, ajourner le nase du compte
de liquidation, mais il est probable
que l'avis de. la Commission de budgel
prévaudra.
Les barrer. des trois groupes des
gauche de la Chamhre. des Jdpidés as.
'literont définitivement demain matin
l'ordre do la discussion de l'inlerpellalion.
Chaque groupe recevra dans t'aprés-mitli
communication des dérimons
prises.
LL. Majestés Brésiliennes sans parties
dons la matinée pour l'Angleterre.
Marchh ul-Président les sceompagnaità
la gare.
I'. Deeombeeque, président dit cumin
agricole Ae Béthone, , été choisi
2ndldit républicain contre Ni.
du C1,cdl, candidat couservatene.
O,,t %ù dc, Cil}tit)D
POLITIQUE ET LITTÉRAIRE
Les nouvelles de la guerre sont
sans importance; on attend toujours
le passage du Danube. Le Tisses dit
à ce sujet: a C'est vers le Danube
quo tous les yeux Sont maintenant
5e taurner, et cloaque minute peut
nous apporter la nouvelle du premier
choc important autre les forces dus
deux belligérants. La effet, il n est
guère à supposer que le passage du
Danube oc réussisse ras, si lus Rosses
font preuve de Ienr renolution
habilsette. Copondaot il est presque
soi qu'ils payeront choc co succès ;
selon toute probabilité, ils y perdront
plus d'hommes que s'en ont
coûté aux Allemands les batailles les
plus meurtrières dela guerre de 1870
contre les Français: Le Glnhe, de Londres,
dit (lue, d'après les rapports
connus, l intention da général eu
chef russe serait de traverser le La-
..be sur dent points, 1'.. eu amont
de Routschouk et l'autre c. aval de
Sflienie, pour laisser ainsi le front du
quadeilaterr, de tlé. Si ce plan est
exécute, il faut s'atle.dre à de sérieuses
batailles à Nicopolis et à Ballevu,
mit le passage sera très-prochainemout
exécuté.
Les nouvelles du côté de l'Asie
mineure disoot que M. Moukhtar-Pacha
es il
Berfu, 13 juin.
La Coresspenilanee prouinciate fait
ressortir que ta situation purifier parmi
Bucharest, 13 joie.
Deux onnonniires turques, qui .bicot
bloquées dans le canal de Malcbiu, ont
réussi à s échapper.
Les rossasduos cet posé des torpilles
aombreuaeu le canal.
St-Pétershonrg, 13juin.
L'effeiet annonce que l'empr sut russe
de 375 millions de francs a été conclu
à l'mxtériesr ; les titres de :100 francs
rapportent 5 010.
Le Patt malt Gazette annonce que la
Suède a etroeédé à la France rue
Saintdiarthblémy, ailes tes Antilles.
Anvnn oér£ma
Paris, 13 juin 9 b. snie.
Le tribunal "les appela corecnlionnels
loajours devant Erxeroum, a confirmé tes eoudamnutiens récentes
prononcées centre le
menacé duos ses positions par trois
liadica4 et la Plue.
a 'Itaisrr pour oIrensos coutre le muré:
COIO.nes m uses Ce.Vergeant Vers lui.
chat de Mac-malauu.
Si l'on en avait les reneeignements
il paraltrait quo Baloum, Er- M. le docteur Itochnrd a été nousmé
aeroum doivent infailliblemeutt tom- membre de l'Académie de médecine.
ber :aux milieu de l'armée IL 'ioaasion
sous peu de jours,
Administration, Rédaction : RUE SAINT-ROME, 42
Teulov., r4P- MoenrPw
La-grè, de Neux est en voie d'apai le 2I juin r,omeanl, en 'c hnnge d'une
serrent. Quelques a resbtinns o l été aéelaration qü en tinndr;s provisoirenécessaires.
Un gréviste a été condamn men lieu et "dont la formule se trouve
à dis-huis amis de prison, quatre à un i-après, l'autorisation dort ils doivent
un et nn jeu ; nn à dix mois, deux à être nantis. lie les préviendront que
six mois. cette autorisation, pose rester valable,
tes puissances européennes a encore été chacune :
ultermie par les assurances teuuquillisan- 1- Deux exemplaire,, certifiés exacts
tes que la Russie a données de nou- par l'intéressé, du catalogne des écrits
à l'Angleterre et écartent d'une et journaux qu'il se propose de colpor-
.Daniére plus décisive que précédcm- ter ou de vendre ;
ont la cruinte de voir la Russie léser 2e Son signalement;
les intérêts anglais. ri M des renseignements précis sur
L'assertion du correspondant de la
Guelte os caisse, prétendant qu'on a
remarqué de la tcidcu et l'abscons
d'nerfs deaes ux dernières niceptions
présidentielle, et nunishirielles
est ladiealemenl fausse.
Tous Ics ambsssndeurs présents à Paris
cal assisté ankdtlrssiérds.,rér+erttiens.
Les relations dos ainhnssadeurs ove,;
le gouveroemenL cnnl.inuent A Gtra
aussi cordiales que jamais.
Paris. 13 1 juin, 11 h. sair.
Isuulevard: 5010 1U4 40. - Turc,
8 50. - I'gyptianne, 198 12. - Rauque
ottomane, 3411 62. - 'alieo, 68
75. - Florins, 58 118. - Marché fai -
ble.
Belgrade, 13 juin.
Une pmselmnation annonce que le
prince Milan vu en Ituumm e 00mplimdites
S. le (,,a,.
La
7 juillet.
las est convoquée Pour le
Dernière Dèlièclie
Paris, juin, 1; h. mati..
Le iauce,ml Of/icirt ne publie rien
d'imposlsnl dans sa partie officielle.
Le Radical annonce que fil. Leguerean,
un de ses collsborateare, a été
urréLé, hier soir, finaud il venait au
cornet.
L'état dicté. Edmond Adam a encore
empiré.
._.__
Rncharest, 13 juif
Le Ceaeu qui était attcudu dan, la soïrée,
s'est excusé de il, pouvoir venir.
Le prince Gortsrhakolf et le général
Ignxtiett ont l'intention d'habiterprovi.
soirement Biichurest.
Les Taros ont bombardé, pendant plu.
sieurs heures, les brilleries russes de
Giurgevo, qui n'ont pas eépondii.
MaruOé a. Parie du l7 jrsin l977
Spiritueux........... 57 .. à ., n.
CHRONIQUE LOCALE
ral.lTOna an , ara Mouexx
COL1s011'ACE
'''d r fic
e t les a-
Toulouse, 9 joie 1877. Ministre de lna guerrrevdra e, le comité de me-
Messieurs,
some d'Age .ec eux fours et
Par une circulaire dit 4 de ce mois, hanvos lvdiqué, ci-après, dans le dépile.
insérée au Journal o/ficiel, M. le minis- tement de la Hante-Garo..o, pour y
tep de l'inléeienr prescrit la eésisinu gé- elieetuee des achats de chevaux de te..
néeale de tontes tes autorisations précé- les armes, da tige de 4 à 8 ans, de la
dms enta cordées Pour Il c-lpormge taille minimum de i"48.
u la sente d'écrits et journaux sur la Carbonée, 21 juin, à midi.
voie publique.
Muret 22 juin à
Pour l'exécution de cette décision, j'ai Résumes, 33 joie, is 9 Heures malin.
pris les dispoeiliooa suivantes :
Toalouu 24 juin, à midi.
Mal. les Maires d've n i, is ,édnmle- Toulouse (Csubourg Saini-CVpricn),
sent, inviter les colporteurs s)d'eues
25 I juin, de B heures à 11 heures et à
heure.
hubiiam Ienr r ira ino à leur
remettre, aairs peine de ddahdanee, avant
doit litre reuouvclée. ils auront ensuite
me transmettre, dirnüeniertt et rositas
le ,oindre -,I .,d, les a.-
torisnlious remises, eu y joignant pour
lors aetece ent
a, sa bo a r g
r ans qu'il Ondise
Dans ces es co d'élimés, je pourrai perhainemeot
aula 'tai"e" sur le renouvelle-
.eet ries
re l'annulation
de. celles dont les titulaires seraient rocounus
ne pas mérites b continuation.
MM. les e p devront toimai.
soient
ces psen
à ce que s rescriptions scru-
puleusement observés'.
Je saisis coite occasion pour rappeler à
'bacon de ses qu'il est de son devoir
d'exercer la plus 9ttentiee surveillancet
r tees colporteurs ou ,cadence, t
repmimander d'user Vu droit que
de ter lemv ballots et
s, l audises, pour voue ssuerr qu'il
os s'p trouve avoua écrit étranger au
rataai devant aocompagnm leur, au.
torisatiu .
Itecevon, Messieurs, l'assurance de mn
considération très-distingoc.
Pour le Préfet, etopché,
Le secrétaire gésérusI délégué:
P. l,ce.ss.
Pendant les fortes; chaleurs, de nom.
breux uccideuiis sont causés Par les
mouches qui Piquent leschevaux et
les rendent l'urienx.
C'est donc nn arrivées à rendre à mutes
les persanuas qui possèdent ou con-
duisent des eI,evanx, que de leur signaber
le procédé
suivant, donné par un
vétiriuaiec de la Côte-d'0' :
A l'aide d'un pive i,
dans in conque de 1 oreille
n introduit
du che : l
Don s deux _goultev d'huile de cade
tant à fait nord, nsi,e) ;
répète l'opération chaque se aine, et
jamais les mouches n'approcent même
de la tête du cliev;d.
Un sa ae ccue huila, par cheval,
doit suffire pour min saison.
Ajoutons qu'en {rcthmt le veotre et
les nusoanz tlu cheval, on 91'uil
las rendrait
tore invulnérables.
Vmimenl l'expérience coùle trop peu
Pane qu'un sic la tente pas.
Par décision en date du 7 juin, euna,u
réenllut du Concours qui
eu lien à cet effet et n tset avais t
pris part 7 candidats, Ni. le àlaieo de
'l'oulunse vient de nommer M. le due.
eur Gnilhem, chef de 1'liàiel-
Dien, à tiraillai de médecin au rapport
ci à l'administration de l'octroi.
K- L,.i Lae DL LA HAi. TL-aARa
AVIS
Les examens pour le concours d'ad.
onn ' à l'Eeule navale auront lieu à
la préfecture, a 8 heures rla matin. La
première séance commencera le jeudi,
14 juin.
reÊ.cC c.6 n8 LA
Exposition unIverseII. de 1608
Le délai pusse la production des demandes
d'admission relativesaus brans.
m'ts, primitivanent fixé au 1.' juin,
cent diètes prorogé an 15 juin cou.
,sol, terme de rigueur qui ne sera pas
dépssé.
Les artistes de lu fluute-Canonne, qui
ont ricin reçu des ferrantes à cet effet,
doivent dune. immédiatement
se mettre
Cn es so re de les adressera la Préfer.
lune (2e division).
Remonte générale
Conformément aux ordres de M. le
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
Jeudi 14 Juin 181!
LOUSE
LES ANNONCES SONT REÇUES
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE ces ANNONCEZ HAVAS. LA££LTE&WI
TOULOUSE : Rue Abaes-Lorraine, 40. - PARIS,
Place de Je Bourre, 8.
..unis as Toccouss.
TAXE DU PALN
Le moire de Toulouse,
Va les u,rèlés muuieipaux des 11 juillet
et 14 aodt 1874 concernant 1. tans
sur le pain ;
Va le cours des farines,
Arrêté :
A compter du 15 du présent mois, le
pain demeure provisoirement taxé nomme
suit :
eaux Ȏmus,
Pain blanc à gr-o forme, appelé
marque du poids de da
e deux kilogrammes,
o Ir. 85 o.
Pain bis dit de livre, appelé marque,
du poids de deux kilogrm.mes cinq le
togrammes, 0 te. 85 u
-
Cinq hectogrammes de pat. bis,
0 fr. 17 c.
Iraità'foulouse, au e, le 13
juin 1877.
Capital
MARCHE AUX LAINES
liant,
ul6
Le Maire de Toulouse à l'honneur
d'informer les propriétaires et les
que tes taises seront reçues au
marché établi dans le local appartenant
à la ville, rue Riyals, à parer du Ui
juin courant jusgri an 27 du mbme mais
inclusivement.
Fait à'l'ordeuse, au Capitole, le 10juin
1877.
Le .lfairr.
Ilenri Corne.
Si. Babled, récemment sommé Pro.
r de la République près le 1'ribuaal
de Toalonse, a prbté aerme.t a
l'audience d'hier de la hs Chambre de
la Gour d'appel et a été ensuite installé
es audience ..aile du Tribunal
de I.. instance.
ACADÉMIE DES SCIENCES
lnserlptiens et Belle'-Lettres
de Toulouse.
Sdaaee du 2T mai 1877.
Présidence de M. Baesslxsa
Ni. de Planel, appelé par l'ordre de
bavait, lit un mémoire ayant pour titre i
Observations sur un projet de défense
de la rive gauche de la Garonne, à
Toulouse. ,
L'auteur, duos ce mémoire, rappelle
qu'à b suie de l'i..ndalion d" 23 juin
1870, divers moyens out été indiqués
pour prérmür ou allénucr les ravages
causés dans les quartiers submersibles
de notre ville, par les crues rxcesuu'ns
et périodiques de la Garonne, tels que
les réservoirs dans la partie montagneuse
de nouro dé p en L, 1 eurres taoi soon'dL
la serosoioi,u
rs en
eu s ie dévToulouse
auront sur et ev1
en dernier lieu, r le proposition de
l'un de nos ingénieurs les plus éminents,
de l'honorable M. Gros, ingénieur en
hef, chargé pur le gourenmment de la
direr,Lion du service des inondations
dans les bassine de la Garonne et de
l'Ado 5m :
le L'eudignement au Cluse inr la
r anche depuis le pont situé,asue. viaduc d'Eau
Petiot, jusqu'à n point bmersible
de cette même arise,
aval do
l'Embouchure.
2' La reconstruction du Pont.Neuf,
sure addition d'une arche su- la rive
gauche et aménagement des abords du
nouveau pont au moyen d'une échancrure
à faire au coure Dili...
3e Elargissement du lit de 1. Garonne,
par la démolition de la moitié de l'Itétel-Dieu.
Eu ce qui concerne ce dernier projet,
M. de comparant entr'elles les
diverses ""'et entes d'altitude du plan ,l'eau
m de la crue de 1875, observées
tout deus les quartiers de la rive gauche
que dans ceux de la rive gauche, déontre
que l'endigaemenl projeté,
ramenant eu amont de la chaussée du
liaxacle, pour le débiter par un écran.
glement qui sis pas, et ne peut avoir
plus de 270 mètres de largeur, bol le
v lame jean qui s'éconduit à travers la
plaine de Saiut-Cyprieu dans le litiol'éue
de la Garonne, aurait pour résullat
de surélever le plan d'air on d'an.
roitre la vitesse du courant, dans des
proportions qui condamneraient une roi.
ne certaine les quartiero,du Port-Guraud,
en amont do pont, et en aval les gnar.
tiers des Amidonniers, de l'Embouchue,
du Béarnais, causerait la snbmeenion
des ça es Lanceuses , les bas quae.
tiers qui les
et peul-étre aussi
la destruction "'ades ai barrages, des ponts
des moulées qui avaient résisté jusqu 5
ce jean,
1re tels malheurs, les uns certains, les
autres possibles, amènent l'auteur à exa-
miner si, les quartiers inondés ceux-là
même qui ont le pl.s 'case, ay,ant
'té
Dos, n'unit' dans des conditions de solidité
telles qu'elles écossent Suuie crama.
te de désastres semblables il ceux qui,
le 23 juin 1875, pleagérent notre cité
dans 1 e deuil. le alatu ana ne serait sas
préférable, et, doGà le cas où quelque
crainte subsisterait ed. are, sil ne serait
pas possible de concilier heu intélits
contraires qui se trouvent engagés
dans ta grave question dont il s'agit:
En se plaçant a ce dam ies pqoint do
e, M. de Planer croit, ainsi
u'il l'a
exposé dans un précédent mcroire'
qu'en empruntant au système des réservoirs
tout ce qu ôn peut croire possible
de lui denander, en ouvrant aux
eaux des crues un large épunchoir eu
mot de Toulouse, au-dessous du Vin"
duc d'Empalot où existe l'origine d'un
:moi eu lit encombré Par des dépota considérables
de gravier, on htiendr.it
dans u.e mesure sensible 1'xbais.semeot
du plan d'eau des crues, résultat qui
donnerait sans aucun danger, atisfaction,
dans la mesure du possible, à
tous les intérêts.
En ce qui concerne plus particulièrement
le système des épudchcrs, et pour
démontrer leur utilité, M. de Planer rappelle
que fe 23 juin 1870, la Garonne
débordée couvrait le ramier du Bazacle,
la rue des Amidonniers et les terrains
contigus, e toute sa longueur, licitée
de rural de Crieuse depuis la mannfacture
des tabacs jusqu'auz Ponts-Jumeaux,
et que te plan d'eau duns le esnul
de noueuse se nouvail Pdrd à deux
cu'ire' environ plus bas que le sot de
l'allée, par suite de sa cote unleatiou
avec l'Embouchure aù le plan d'eau était
un niveau inférieur, la crue trouva par
dette dérivation une issue ai que cette
eirconsmvco préserva d'une maniéro
omplele le quartier tout eatier du
Béernais,l'asise à Gai etc., dont le sol cal
cependant à mémo niveau que celui des
Amidonniers, r vert au même ma-
.Dot par nue hauteur, d'eau de plus de
trois mètres.
11 est évident, d'après cela, ajoute eu
terminant 61. de l'lanel, que si l'on eut
de 15 cluse St.Piceee et établir l--o libre
communication entre le bassin de la
Daurade et le lit inférieur de la Garonne
av' I de l'Embouchure, oh le plan
d'eau aurait était u prés de b mètres plus bas,
fait baisser -effraient le niveau
des eaux dusses bassin et, Par voie
de suite, dans le i1Iiartier silsé sur la
rive droite du canai de Brienpe.
Le Se eNaire peepdtuel,
GAnev-An3ofi.T.
Nous recevons la lettre suivante r
lativemeut à u e note lui Dons avait
été remise purun a père de famille qui a
ses deux fils la pension Ilenri Iv et
auquel les paroles attribuées a a'
taire de cette lettre ont dé cire mal rapportées.
13 juin 1877.
Monsieur le Directeur,
Je viens de lire dans le Joue_m l dr.
Tootause quelques lignes sur 'licols
Henri IV, duel je me plais à re^onnaitre
la bienveillance, mai, ].et il, sois
obligé de redresser les iuu xaclitudee.
Il est in xact, en recel, que le, PI'.
Dominicains aient pris la direction des
études qui ils ont confiée à M. Dénbzet,
pralessonr de seconde et da rhétorique.
11 est inexact que le Ii. P. Prieur lit annoncé
aux élèves Il qu'ils D'un rnient plus
ds'aurnmis affat oire n'à la communauté. 11
'est bossé à ur léclarer :que prouia
nnf, faute dune ante, saluticn
a fait détail ta la dernière heure,
ilslenntinneesieel sous le contrôle immédiat
des Dominicains leurs études
i vont les règlements établis, et il
anvelé très-expressément cette dés
et ration ait, processeurs nssembli-s en
leur présentant, en sa nouvelle qualité,
M. Dénézet leur collègue.
La mort,,i justement et profondément
regrettée de il. ils1sarid, créé la
nécessité de pourvoir dans 'vol' l'intérêt des
élèves a l'achèvement de l'année scolaire
esmmeseér, et il y a été pnurva, je l'es
père, d'une façon salislhisaste, tout en
réservant aux Dominicains b jdeine et
entière liberté de décision qu ils nont
jamais aliénée par aucune espèce d'rngaJ
maont.
e plais, Mmisieur, à vous remercier
de la bienveillance, qui vous fait
accepter la vole que j'ai le regret de ne
pouvoir pas acceptersorti, dompte sur
cette mémo bienveillce pour vous tour.
agréer une rectification réclamée par la
vérité, que nous devons tirant tout à
ix qui nous honorent de. lent- -ri.
nle.
Veuillca agréer, monsieur, l'ezpression
de ma eonsidéraiion distinguée.
,a. Il. a.
Prieur dos DominieainsL à rTOalowe.
Un "Arien Lonl-iiogue, atteint d'lsydroplmbie,
2 clé tiré, flic' matin à Montrer.
dran, par le sieur Canis, aubergiste.
- Lundi, vers f heures, le fosse
Macabiau (Ilaptiste), dgé de 6 ans, est
Tombé dans le muui de Brienne en sou-
Imit saisir uns licite faisait sur.
noise sur
l'eau. 11 a été presque ans.
suât relir'e' par le nommé Coquet, soldat
su 23 rirgiment d'artillerie.

d in sc{ I( P f, lie 1l d1 N et ri d i t
coc, q t lpt eti
1'lo I L t 1 cet p l
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- d.Idot' r ni t d, IAe
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lia,tic il notlua
in finalL uuan.
- Marseille, 12 juin.
1:1 n il r che
I tin lr 1 arrive el .
veille d Il t d a g
ment de heuls,
pro d ta leur de Jus I
gnentcnl s1r le quai de la Juliette,
quand toulol coup uo d'eux parvint à
Il 'happer. i se diriâea à fond de
train ver, la rue de la llépublique ait
il rate. pl eu personnes, et con
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facteur de la poste sa rendant à son
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afin cautrichiens
vonlrasLe Ter lrle pzicours de S. liajestd I' n Lits
ficureI du sur. le t a fin p la[ d w' t heureusement l'unilmrme sobre et sévére qu'an, 1,,,J9.11 utatmn, au milieu des
arracher t è let rit Ire Grain 'l du Court G 'il rd otre attaché me- hourrah, 7 L p formant la Ira c
police, 1 ltde i rt et do1 ail I d bouquets lu Lho
t ., 11 I tl I p 1 4 d, A 7 L, le sifflet du Lui. il,- dames de f I 1 criblaient la 1 r,
va", ul,
d pL, t avaient h[,, n p . l a l + c t o l e t au lien etuons annoma; de P,
"'I'
qui état rernplie d ou
e pair six hm e ,t colin
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-'1'-'-c,-, Les honpes preseut- t L hl. I Gde B fie, a vaut !
sc et lie l
I les arme,. Le drapeau s'mctinel la .a.- I.e mgénéral, 11, tan svm en qu 71.
R en avant e nnr,rr une Joule letuo entonne I hymne emPeel tontes Stis,
te r, Bellle une t L
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M.
nbr, 1 t t I. I re le. p tout c f
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saie lit] uc- Balte,, sénateur, délégué L ia
4 p I', d I i d. s ss,j Lt t h I t ides, Ii Le de wromissmre gn 11
ou:
1 E t de la t l n d 1 t lit. bl retentit moment ou le .a,, des taller Sa Majesté rmpmn I t
,
1
elle il
Leealee.i mL soue
i
s I snvIll s u cardant du re
traggun salon e,7 il se Ir- Ldl .il magnifique bouquet de Beurs,
des millammes qm la montaient.
té Sur .ait durant le voyage, poco Ire ied sur pendant que de son curé, M. Nirolesco,
le clé, adurç on avait
de
planté Il dis'
le
le `f,adère. Apréu avair papssé dc- le propriétaire dn la maison, lui pro-
tune, un distance de longsnurLu portant guet le front de lu compagnie bulgare, sentait le pain et la sel eu loi souhaitant
des barrières, etgarnis au centre d'un le c ayant à sa gauche ,.il frère ie la bteaveuu'. Depuis le malin, le dra-
mr surmonté de J. couronne inrpe. grand duc Alentia, eu dirigejeupidement peau du commandement en chef
flottait
I le, taux initiales .1e l'empereur. Les ve s les autos étés roumaines qui 1 atten- 5ur la maison du czar et avait été rem -
,piliers
de la maegmse abritant la 1'aç. de dolent à l'entrée de la tollé de réception, placé sur celte de grand duc Nicolas par
étaient par de forges flair Le c ar portait la casquette blanche et un long pennon blanc, p,rta,t an centre
Landes f Il g, et n long lapis u ea langue t imi q e cu drap vert, sans l'aigle noir sur fard d'oc L'empereur,
ont it du quai a I Ile d'attente est b oJ'e .e peine rehaussé que rie long voyage sous u chaleur
I. , ex s, 'on", L . I d p lu' , 1 1 1 It t e 1.Iride av
jeu,
, a ,ci,
t p f 4 p[ 1 +,
..lt t i l t la '1 hl 1I'' t 1 gé de ' c.,"agi, t t' dans
ter! 7a t0 L et L t t rL. and q java appartwmenes, où il se lit ,.suer1
d,, drap x Dnns eut salle se, ienae rit
d
défia
Ivu
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euAI1867,
a peu veilli ; I thé.
I éq f t t soui Imge, t t t b er (u J souserarn dont la
1,Al LidIel
Ld d7 I I ILI It t 11û''bIL q trui de
Illule!
I.[ . ld ol, L Collants b J L: y f Ihle td s
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x ! f p, dan , . ( vrac leur honnit en et w d.lo I : P i. âles. Iris de ri le l6 I
I l i 1 'irai' l I ne cylindrique. sitimu n, ,mulie. Lui Lit son herc N
f e' 1 et .I I I
D ., fil! s t t 1. lofassent de, haute fite, et sont bien
{ sr et ilit sa. éo e I t t 1 P:
r t; I I 'setiu eut s bl i Jig s fils de leur père, Feuilleton,
a.
es
t t d I. !. 1 p d te,, dur et d'argent, alup on t \ i sep dé du son ruant l'un 0,1
I a t y
t I n laina noirs, enteélmneI II b, uz hommes da l'L'urope. Uer
I I t. d t
"'a
ou lad b d sen aura do fonces c le ,var venaetst s t fl , I,
I sent unes a airs un ulcu al e ,crois alpe witah et les glands durs ', 'a et
t t I L. potesr rassaiet outu S t [ 111 ,lefris du gras 1,1treco!as,
il ,,P, ia rai.
I r te,rt a sas foin.edables coups d,
égaleme t t , I m Il ,Iducs nies l nec Lortschakoll, les m
nisti,s,
la
, 1 lut' empluyms de la poste ne
b,mq+mts quelles tics aient clans a 1'em-
maison mrhtair,, le. baron Sl, con-
as11ient Plus _Culot se délrat'L ses, poils les rnnloirs et ie l'entrée sut da la Russie à Bucharest, les minis-
d fera. roc mmoda Visite ni. Enfla li : 'fl. - t t les { de tris B ati (I ) et Cmgoluicea-
e t 1 dés d'aller chu char quelques 1 la garda, d is le. ,r ma 0c,mire ro (affaers eh angor es/.
nr as bru a la ho
'erre et ne fut seule A, g.ila, et immob le., autant de r I;1 z r van, m, face des autorités rt t.
m grue a x e, I ,.t e
u i d- . 1 I m lu p tlo é é I fl
plus raille. eUn des e lE,.l, ceuisn!a d tip, dl e t t f L p 1. t I L 14 I in denit, e
1 tir jeté un fass a, l'anl en
t vç oe,ant 1 d 1 ,, I d a t LI 1 avoua voir, et
au ai, ar ,, lagn s
ldm 1 Légion p i i l de
L
- t l t dt sa. u
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or qu ïl irait b j ou L yt
S a. q
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oeil, l Gaillard, q mi se
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l.oogo
t pour courir 9 le p t
A côt< t tl f d L I e les te,
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Il I Il i Il1 tl 11. 3 il il , I il IL flat
l', vl 1 e D U r 'esse
.I t. IL I le rcl relations la
f.lt Lm ll jI
I
rn4 aupratWqsué s e 11
tig re qui t
I. t L
1'la Idit, ilté. ris a', utc larloi.
ee I
A71 112 ! rt i rune
ce l ée e , e. eu le q toue l les
pl:mtoin t té p mncée.
A une l 1 tin, le jury reve-
iat de 'a sa .1
II le d-ibér,tions uppor-
a Il'
lam un d t fl natif pour la aile
Laoanl' et régaler pour la tomme Plat-
tri, éponse Iléjean.
Fenjlieten du JO(TRYAL DE TOULOUSR
Du 11, Joie 1677
LES 110 1 N
U. Ce caf u ale B,emautIftne
Iltneogne avait bien envie d'appren
die 9 sri rem ne ce qnn était eu Il ]il
cet honnête bmugcois, mate il se re-
Ont.
- Cela m'est bien iudiü'éreut, reprit
la jean, icnrnle ; d'ailloar,s je ne le
'is pas, fil-elle soudain en ohas-
col
l
ge:nn de fou.
l:l, tnurnan! le dos i, maître Casco-
e, la dame coupa court à la renversa-
on e, res,actuel inopinément comme
elle était entrée.
Le b:+rhier cunsaissuit trop bien son
époulr pore ne p os lare certain qu'eflo
devait élre au mienz avec l'hmmne qu'il
avait re:onnu ; il rien fut que plus dé-
x de uinformee unprds de s
pratiques dn IIr nondilion du persom
nage, de sa demenrr et de tout ce qu'il
lui mporlai4 de 'air.
il fut et mbmc plus
qu'il ne l'eilt volllu, cm crLeines pa-
toirs , écho e èrad à crux qu'il
Iii IP mler-
ro;lra i1 Iii l',t huile de deviner lues
si Il préh do Cilla était veau o faix,
Sasm- chez lui, c'est quo probablement 1
a 1 t t4u, qui sont être ut pt Yen 7 t l.'çb ! t
i, Cent u ctique d achin de grau, en
- Pv mi ]aauombncnsa taule de diçn I I ar du clac, auquel les jenses1,1-
n t ' qo b t le d]l f je lev II ont Irais bouilueis, Après qu
à n n, u, LA La eue sriu,s iret ai 11 1. le,;eneivl Plo ,se.l, le s lui , ci pneu,,eta les autorités civiles et
u ,i
t
I
pis ro
aiail lu,
1 lion .B.(J
.m ddi re r
I Y I t
t
. d 1 i lf l1d l Il i Ialt l t I 1 k
son
l le I
J
. de t \n d qnc] son ,i .r I-d'iJ
l a. ll I 11 (Il d plus,
d 1 1 1' I D t ' [ILL b L L mm 1. I 's Lsa
I
il- I I 1 L d i l t ' t: L L I: t ,elle d
tl : e s t . O. 'Lier l , loure 1 I l t t 1 ,I f b L
..
I 1 t d I L d'icoullon
d 4: { l' Lu t de la II L bau air L d I d d l bl 1 g 1 a
gogué,
..l I 1 u.1 107J71 le tlg II Itlhite pl l.tll d Itt g.l Ls
, II
! U t t f ] I'spoè, 1 L d g ''tFeruu ;M tt tl p i d Poignet,
1 1 t l t Ip. I I I 1 1. 1L' 1 1 o L d'av h 6
outre L t t l 1 - de ,not i i i L L . 1 h l IL 0 nul' I
l ' I d : a L I gel 1. moulu l l 1 g I t r i L I ,4 4 4. d
marc, r..VII Loi..
I Lot t' lo
lin, I I i f I et l J Les , l pu 't 1 1 1 Peine
.l 1 6 t i I
lieu-
4 t j l t J l 1 L J I 1 t tl i lt: 1 . Los
1 l t t f t d ls .t e 11 Il 1 . 1 ,l I I lI ,. uueenhes d .. q rmonLaient le.
Il leu a an
t 1 I L t 1 1 en e t 14
o
'i'p' aie tt se ule ment la dw-
amulul. Au sorti, de la celle n avilit sic lin Isards russes, aucun a de de l nation de cette ,chats.
él,vë n arc de tri, mp lie en fenillag p de Ludrrs dans la guerre d La trio, qui venait dol L r ep tr
portintrite cenile u, tri edaellon avec l
le jM1 sur le
[)atout)'
; la général nr lis épauhs, y pi et pt t'
L I d D. 4 enlimtIjusgl / [k , lt.I ni die.
i
ti rri(n 1 \ miel des
I les volontaire- de t leg , 1rz9;
ce, u le ff ravins t ré'étit la
bounahsos u{
I v go, d n él,rt-ouais,
btilgare
u
tenaient sool irr s sur n y drap t t I.. le t lit far l'i se pee:.:iL mLOUr de lui' et prit
s'lé 'v 1 le 1 7 llJL e
ILI' m L l
la
-r contw, eu a 'enll tis.éo de fils grillon d le l la route de Phlesti, escertl
baie En 1 ie, de distance en destanc n t J 1 t rminenl drun pp in peloton de cosaques de la gaide,
des dormes à cheval, coffés de l' es glands battant cmdre le four le fusil renfermé dons une tong
quetle blondin et vél. la tonique rani du satire. ,le imua,gae pai mi e P,ilte et Juté en tr.vvers d ép g laie
bl de'ciel, a a g e Ilel t.' d'il d, le géuural Iguulinfl, t est et DIus une seconde voiture, attelle de trots
I l rit na ntcu e I circulation. A Lrés entouré le gênerai r.l,toi, 1 - ehmvaux de front et dent la toque du
heure', toutes 1 , a torités civiles et éral I1pan lin d 11 ü ides cocher élaiL n d ,pl ries de paon, le
lis I t de PIouillai, les otha ers gend- de cam d J 1
'Irpcl Deeki, ea esc th p' t pli IL.
f ul,s lia voitures
IIIII
,x d, grand état major rosse, le
i
urs chef da la chancelle te . 11. de hiteawo : de la suite iériale, ra s antour'du
ades de p
La
L réunis sen le un pope, dont Je eegeette de n'avoir pu perron de la mpgara furent
e
pour oins,
gémi le db' q nient de la gare atten me te eutdon le nom, pai tant anions du due prises d'assaut par les alfiumrs nul
dunt le hum rmpérml Bout l'arrivée nu le cordo d Sainte'Anne et sur la et leurs iodes camp L'instant
eta crue étu pour sept lie, ses. pois é les médailles des Bagnes de
de
de
ce
ce départ fut des plus ll;agtlifiques,-
Le
czar ,mit arrivé la veille à 101mu-
.orée
e et du Caucase ; un gentilhom- avec tous ces splendides attelages
lages
v enu]esei
res d5 à Jassy, ou il avait été reçu Par me du palais coilfd du tricorne et vêtu tant les une les autres, piaffant, ruant,
il avait hnsoin de soir Mme Gascogne gratterai point de .'être adresé à A celle vol' Gascogne ris pot ,épri
oued laquelle ou l'avait vu mainte fais se toi : cmnumnt te nomme-t-on, ce.- mer ait mouvement qui nêcleappa point
promener I, long de te Loire. père y à l'ail investigtmar de sa nouvelle pra-
Cdle révélation Il fil, o le pense - Gascogne, pour vous servir, mes- tique.
hier, m'augmenter chez le digne bar' sire. - Eh tu !
eumpère, qu'avez'vous
raids
hier t'aversiou qu'il ressentait contre le - Lit bien, Gascogne, l'ami, (u donc.
d'Alain, et son premier meu. vas an, l'heure ne e, l' t! le v,- Bies v rien
4 fut de le devancer an bailliage, sage et me donner, de. elles d,. 0n dirait que vous aveu vu sou-
1 ne tarda pas à réfléchir qu'il ee ,loi se passe de nouveau par la loin se d muser devant uons le grand
roir ducgereux de s'alircr gnclque ville. diable d'enter. Eh 1 serait-ce d'avenm.
mmevaisr affaire avec m, ersonnage - 11,01, mon doux seigneur, je ne ce ce long efflanqué qui vient de pas-
qui e t si dextrem t
Lpp
g d; sais r' lit
s t q tome mrêld la-bas eu face
il } ès avoir roui d - L Le - Oui ,là ! existera t l dore e",.,-, le d haleté, t
p Jets destinés à cors la pente
Emts d.e roi autre chers t bloc M s, messire... je vous assure
de misérable dent il muait le sure ru- quine lût pas basa d ? Con pe e, je que ,,
'r ses menu!I.il :0.it par s, décider puis mc vanter ut':eron, vu du pays, mais - Oasis t il a eue mauvaise tête,
q constance Iavora- des Fbm dres en Brie, et de la Lorraine cet homme-fà... Muas attendez duel, il
hile se présentât pour ag r tant il ev- jusqur Ils Condomois, je, n'en ai ,acquis mn sembla qucj'ai déjà vu ,cite fgure-
donlvit que, par gnelgne 1d'émueche in. rencontré. là quelque purt. Comment nommez-uons
considéréq il n-attirât .sur lui la colère Dénid,mmot, le personnage était face, ce manant 1
de l'assassin.
tieox, !tien pile sa mine n ilnnonçât pas - Aubry.., l'est-à-dire maintenant
La arcenstsnce tavorable se pré- une nome, réjouie, et Gascogne se sen- Gilles.
,enta. III à :vie lui - Oh là ! Perd, vous jo uez-sien de
lis jour, c'était peu de temps après - /1a foi i! messire, je ne suis tri moi ? Aubry... Gilles... qui, signifie ?
lu venue d'Aubry chez lui, Gascogne sourd ni muet, t, lorsqu rce ,j'entends Mais Gascogne se garda bien de le
:tait dans sa heuligni,, occupé à eep;as- conter 'gnclque drdleric, je ne me fais contredire, et, pour lui pronvre que lui
sir ses rasoirs, en atlendmt la prati- point prier pour la onter à mon ov plus ne dedaiguait pas le mot pour
que, lorsque nn homme portant un ha- mur; mais, pot le temps qui court, on rire, il s'apprêta à lui faire Zetpolit,
bit moitié citadin, moitié militaire,eu- ne rit guère dans lu borne villa de chronique ;des peurs événements plus
ira, et, tirant à tri un escabeau. s'assit h lois. Celle méchante maladie qui retins piquants qui ,étaient passés
P, IL '."l-fapon d'un homme habitue s'est abatta, sur notre cIon sire a pendant Ils derniers jou s d;ms la capi-
h predre ses ai es plu
,
mis du noir dans ['esprit de mal le tai, dn Blaisois, et, tout en novant sa
- I1u1z ! ,..pore, cria-t-il, tes ,a- monde. se-vielle autour un sou de son client, il
soirs sont-ils .thliés ? - Cela est bien fâchvnx, compère, car cherchait par quelle histoire commencm
- Messire,, répondit le barbier, ils j'aime la gaité, moi et comme, lorsqu'au cher che gneigrm
couperaient a si
soi
lement u e barbe Le pers nage avait besoin de le dire choc , il arrive parfois qri on lève le nez
do quinze jours que le duvet qui relais' pour qu'on le cri,], , sa minet de n les yeux de martre
vie la le Ire d'un ou anal. itn, ,amblare btu re arômes diin
p t a t c dehors de la bôu-
i9nefeulmene n
- A la b onne n bnu
itr
ui
d
Irenie ! et, si ove tell C d'a t
bruPtuYont
ti e
uïIsvi,
ii irt r
ur c ue I c soudain ser
as
q q P
clin lu as la main [Litière,
' 'e ne r -
c ue celle ï
J d uY aicom lagnet. 11.
G,
q es
Cosailler.
il
G I 9
It ti, 7 jum.
G matin s a s eu le doubl
p L .le de laeiil ae du prince Charles
de Itountanie, et da la parade de 'os-
carte de la garde impériale. Vol, amie
heures m muante, le grau Gduc Nicolas
arri vent a cheva[, avec sou ,arrosai d
osaques, et se plaçait en face du quai
mer lins, ci l' csgn'aLI même iodant,
le prisa Charles mriv+it Villa gai, dans
use 4rocka à tais ct+evn ex et ayant à
s côtés], fils du grand. dune Nicolas,
Dans la cour et
col
le
perron'
le e
,dl, et S s il f .s S Se, L 1VI -
dimir le reçurent et loi 1 t t lie
b e A u l'a ci
Ch 1 franchissait l' i. i ére marche
d Péristyle, I ançemu devant
d [,il ,IL 1. lf..t
t,
In
,IL ,il out t.',
bras. 1 p .L bo t t
Il, t 1 1. Lus le pp Le 4 r
vd S. 3I J té t l 6 se a.
t de g td ff o
n rapelr,a Jei d.l n LI di,ue!lme
pour aller I1ce ur, les à la la,fie
tact, l t IA d I i
q 1 1 G dl., C I .,,,,,,t il
t l 1. I L huit la aime-
ait
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haut de la c SdoL- ;.d s, Aenuos +
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d, t que I, I passait saut devait
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IL l t i Col la g I I 1
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nll 1 t
p. al dsol la c Li jd ,f
.I d'I L
'Int, tl fairo face à Irours
do
colle L i d'hormone. fuie
troupe, ce, p. 1 soldats appartc-
ianL à tais le ég e ets in la garde,
a .irait ove juste idée de es mage
tarte corps d'élite.
En lÆ,te t L f t les
honnies la I:té tc d'un q
bu dl t par ai,,, flena-
d .rit P n nr qua it
vil peloton 1 . g ales coiffés du Ie-
gcndairo dodo. plaq 1 d
forme aimai, 1 L 1 L1af
o au lumps de l rail,, rince Cahe
sir';
; puis venaient lia cavaliers .Canons
sur de .statique, obevaux , mou,,,,,,,
à {'habit bhne, rusffls du rasant en
.ciel et oi tant des lances aux couleur
des v ae dragons a' shako bas
,,.."".b,, suspendu à le cosaque; gr e
cadrera à cheval, dosa le r en fer
est garni per une énorme citev
chenille -
po
sée
e
en travers eu forme de demi-lune;
-sw,s +:r
- Pardunnev: moi, messire, c'est que
sans doute une grande ressemblance fuit
que... mais cela os saurait vous je lG
ressor ;c'est Irae hisoire qui n'est pas
gaie du tout' celle-là , an contraire.
- Raison de plus pour mute la conter,
barbier d'cnf. 1
Quo, v 1 s'écria Gasco-
gne, qui regrettait déjà d en avoir trop
dit.
- Je le, vrac, o pr les reliques du
k 11 d. patron, je ter
fa Pleure.
fi il : e p tatl nenace d'un
roulementuy xsi lia.e, que lepau-
se Gascogne ra,mprit "' le plus sage
émit de c'exécalrr.
Il commença donc à raconter com-
ment il avait cru reeovnaltre deus le
Cours unnagn qu'on lui avait désigné rao-
me un maille batelier de la ville u
homme roudamué pour meurtre, eo
ayant soin toutefois d'ajaeter qu'il était
bien probable qu'il avait été trompé par
la ressemblance : mais les gnelgnes af-
firmations dont il npn, asana s'en dou-
er sa nsrratioer suflireut pour délnou-
Um à son auditeur qu'il était parfaile-
meut sûr de son fait.
Or, ce qui mntriboait puissamment à
délier la langue, dn bavard barbier, c'est
l'iutérét tout particulier quo paraissait
prendre sa praliquo à l'écouter.
A peine l'histoire fol'elle terminéç
qnc. le voyageur an leva avec une satis-
hmllon visible.
- Maltro Gascogne, dit.il en se dis.
posant à rebounleu sou ceinturon qu'il
.,ait dû goums pendant qn'o lui lui-
sait la barbe, je suis très-aise de ce lue
tll més
t 1 -
{ U 1 1 ( d t je
'Il'
L I f Q d
Id d [ ut dol lc, I nm-
( t il. ,mol nt pied à terre
t un,ISe L I 1 ms appi Lamenta.
(M,nüetrr unuersel),
VERSARAYS- PARIS
(Grnrespavdunee parJI.rtünce)
Puis, U2 juin 1077.
Conte aie + rets à ee qui a clé annoncé,
le amrernem nL o marrait pas le
ris du unoul ,
, à col la réunion
pldnièl e des depulcs des gauches; on ne
serait pas fàcité au contraire da voir si le
centre gauche s'y rendra. On a des rai-
sen, de penser le contraire. Celte im-
pression a chaque jour de nouveaux
motifs de s'agcrmtr. Le centre gauche
reste allié, mais il oe veut pas être su-
Jt D ,vivra probablument les résolu-
tions pris. la réunion, si elle a lieu,
mua il ne c pis d'en assurer la
ersponsabl4 directe.
Une réunion ddes sc t vis de la
t la;t ,,air lieu es Pll a.
L bars absents .et té invité,
pur depsehe à êtee ,,alla. Ce Lut indt-
quenquoi altmhe la envies .Il.
1
unpoe tance. On discutera tout à
I fo et la question de la dissolution
IL la nominstiut des sénateurs inamo-
vibles.
Ou est trSfpp d slemondepuli-
tigne,v du auto que t le garde des
n àlus les ..mu-
, d I p .1 judiciaire n
raoItem p riant idrarckigne. Ou
,P,, pis mettre toujours ces ,cenpelle.
PlusLems d n emests ont été
déjà publié .G uc e rebique sérieusé
e été souleva, mémo patoii les jauc-
x de la flanche.
Quant au mouvement deus le person-
nel des 1a8
Itt lu i x on u y trouve
qIU une Lev t jae s t de a de
p i ls. Il t J uge due
e Il
é
a
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IG 1 II l dloâsdoomlol.
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y u g eahle de r ailles
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lip 1.1 ( ( I. .
V 1. .I Imidin
L .t ,1 l' L trndsma et
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L i s ir 1 9 i lai ont écr t
1 I d 1
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isle la soie
P II { IL f.- g tenir bonze
1r l d, t i A f rite mpi,l ose
l'il
vc d, de 'ler -n temps tue des
d,. b : dt p ta a es faae
t tri e .s q,' ont abusé de leur on-
t 4 pour nu ne à l'industrie des mar-
ct de jour,m x et empb,her la
pubf.'I de a P! ltp bl y
f 1.a7 Ooa:l(e de Co cuve puul e un tél,
i 1 t I I
lie
I te 1 I lf
a
I t 1. ld
I l -. L. c,,,J, r
peu, aller en S e sac, eeura .le l u
avec le pitee de itlsnerk, r h.sn!gen
il,
L ,p I t L. A 1r
R I.h,d I pli ,, t,d l ir
d 1.11 rs,1 loi it ayant
c! .s IL La",
eLes
f [milles
impériales ;i leur tête. La Bulgarie crue-
om,l t un grand'duc rr , n aruhtduc
je viens d'apprendre, et v ci un sou
d'en eut p r ta pli e. Si la fantaisie,
n, prend de faire pendre martre Cilles
Cognilli,,, je tiendrai gni;rir Lno témui-
Image.
7t ! s;ant b becs pssabiement
b lie lit . c louça son che epenn
sensa VLLI et sortir.
VIII
11.1 rr A INn...cn,.r.
n-,
I 'qnc (n de Cie
n
tillno
L
ANNa
, siogliéme
ce, rte de Blu é vendit ea 1791 "a, ehJ-
leau, ai ti que son comté, !, Louis de
France, dur, d'OriLisns, aient de Louis
X11, Il était loi, de supposer que ce
ch9taau, dont la ro,atrnctioa eemoulait
au I% siécle, deviendrait la tb0611e dis
plus grands événements de noire his-
toire.
Quc de ,omhres souvenirs le nom seul
de ce clI,,Lrmt évoque !
Mais ù rôti, des sanglantes amarre.
piles,
des drames politiques, que de fêles
Le ata ,,,,, duos s ,,,mies, que de
brillants murnutssgse de réceptions
solennelles !
Demeura préférée ds rois de France
eo des plus harts
peersonnages
de la
c uç il ne cessa paurl t plusieurs Lac.
et es d`être un centre de brult, de mou-
vement et de lumtéro, vers Inlvel se di-
igeait tout ce qui avait ana f,un u à
air e fa a obtenir en une
Pâce
à demander.
gi
Ce fol snrlont eu., Louis XII que le
hdleau de Dlois fol dents toute sa splen
dent.
!A nnulinvarl.
T
Y
-r
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

[ Il L 1 ' , s u i e ;
lt l
ter C, p i
t u I
+é lit r. art i
,u
il i'e
dire l e u de uua,c d'na ir mont
h l'i t
,,anal o ru al nu en As e, n, sur le
Danube..
La Lié-,,, cr~ t 1 b prendre
Ï'un' coplme i lestai sur In de.
feus r, Nous avons accepté los garan-
ties qui t .et été dum,ées m
d'autres que umus doivent y faire hou.
La Patrie soutient que c'est le allié.
chal et lion le ras t p Il e q.ui dé-
rond I: ré=unie p le. C'est
lui, dit elle, yui
LI
a
la i
I'b
'bmineur,mau
nom du la I a'u nue conrservati i'e, de et-
f I t I. I n h0atiuu du sénat
I idlcaus et ale s, fa 'e le d .I ca.
d lu t litmm c ,be ue que acus
,iléal 1 t', ' d^Inml, cou['
d L.l la Icmerdar
Il a voulu rendre o I la I
b.eue et su seauwe ,ne 1,s a.ps
uad,c,lw qui Iendom a u,e conveaimn.
C'est à la n'dieu, qu'il appartiunL m
tenant d'assurer 1, triomphe da celte
politique de conuoeuation et d'honné.
LIÉ.. .
- La lutte oujouN'hai, écrit ls Mana-
' rsel, est axelusiven,ent eIre
Ics dooleineo consm'vatriros et les due-
triuns radicales ; elle est 13 et pas ,il-
leurs. La monarchien pas plue que la R(l
publique, n'est en roule, et, à la coali-
tioa de loures les forces radicales, doit
répondre, logigaemeut, nous ne dirons
lis la coalilion, r
I nos s uisoou s
,celle tentes [os
l'onces
c
tri. uphe
,cure In radicalisons
doue
la
le Iii cap
serait
rait Fnéantisscment de la société et
de la patrie. 11 existe des
républiceiet
ns
epporlssust,,, pourquoi i'eaisteeo,t-il
pas des légitimistes, des bonapartistes
opportunistes, c'est.à.dire sachant su-
laihcr à l'intérêt supérieur Ils la Froo-
ae cL de la société leurs sympathies par-
t
ieuliclos pour les persaunes.Y.
. Voilà donc la situation franchement
définie, s'écrie la Républiger Française,
e qu'a Il , avons eu face de nous, c'est
lu ,coude arnlér: de la contre-révelutinn.
C'est 1a h d,,illa sociale engagée contre
Ics rebelles du tiers.état, coutre les tra-
vailleurs émnnripés ; test la revanche
de la noblesse et dit clergé ; 0 0 5 5 0 0 e
tro rcstnnrnbon qui doit ,robe
enoaer IL "plue quarante-,,]IL,
antre hi,luiae. Les éreques out laan-
c
a
oi'li i, ;ire do la ilInd. scn
s que seratari des due', et à la i
bon ont.ils ducs, sils n'étaient pan
r
ngésraderrière
la roi ?s
. Si nous jageone, dit le Soleil, de
pur hier ¢t si
aa dusu..rs o bL bumboita
a prouonré sarenli à Amiens, la conri-
liauon entre la majorité de la Chmm,re
et le L i sl 1 ce Icla
P.-. Il I ,bl I II j 1 la 1oi,
et l a s, la u lin cent, o i e le
pour sortir de, i,,estricabics diflleoltés
d, la situation, c'est in dissolution. AI-.
Cal bette cv e d'ailleurs cotte éven
tualité
t
d'on ro agnueI
comm it serein, fi
édi a
I r r. so aplon, ondin afro
le
trionrpllc odw 5G2 ,nmlifestunte dit iS
aloi. Nous avons meilleure opinion de la
ra se de l5 France, et i eepé-
a
'é L donnera u éclu-
on Î ut. i a M. t ambelta. .
Le Canaliiationnel fait rmnurqucr que
tel s'est passé la t'untaisio d'i'tee Clubs,.
loi pnotlant quatre sels s, qui ue
alrouvcra, ù Vm'saillee,tu un politique
selle- et h oid, n,éditant et posent leu
isl?qunuees g.inérales et Ics e nsé-
1 ses ss, qui' doses disuoui
Is s
sololes,
ae une ids
toté
ut
avée ' uat i' dbm u
a tout
membre du sénat et t la Chambre
p:, t bus 1 d1
ede
, l n,, 'l.
p, olat nmu+, qm les dvaerelt les pre-
mie's.
Le Teu,p,s approuve corail lélement le
langoge tenu à Abbcsille par M. Ganr-
battu à l'égard du Sénat. . Nous .'a-
n d'illusions, dit-il, on le ess-
vfns gaie
oitur la nature. de soi verdict; m:sis
yuc,
l
sqnc
soit ce verdict, il est n G:es-
sac que le Sénat eu garde tout I hon-
u tant, la responsabilité ; il
Cent que la haute Assmnblaie, placée
robe le pays d'ais, part et un Journal
de I,,uMo l'as.se nettement s choix.
N,nn croyons que la gauche sé nutoria-
le as rait tort de s'associer' ren ou
Ini ou avait DUI iluéun Insant m
lu pol-
v++iu da dissolotien. Ce vole,
sïllost é,nis, doit; 'ester Inféraient
et oxclusivesnoot 1,oaL,ru de la droite
itl du couiner. Il Il faut pas qu'un
jette le pays dans u sorte d'équivo-
que, sur les vériu,bleoa les ,ruts auteurs
du conflit et de Ii crise électorale qui
en serait la cnnsriquence ; il faut gü'iI
voie nottem lit do quel côte sont les
agimtenrs..
La F, -pli que s. t_
pleut', il 1. l'0 S n lns_n t gi
n1 û + i 1 1 1 ,,d
sait sil alise: I,,itl L m hal
fi,-il, L , I I ?air
l I I lit tort a,
celI, lu perspective 1, tavcn r est
cl ,i les '.chas nt le
pou ellesson,
coofonduoaofrater-
nellement...»
n Supposons, comme nous l'espérons,
les cmdedats du mesvo lo s e êls
du muré emi
triomphanste,
Jans les
éle,-
tions. l.es trois pouvoirs se trouvent
,51
la
: e"et l'apaisement,
0
ornai la
et lld,a u Il
c'est 'elle.
P equ 'e ,an,rolis doute1. F...ce ,bon.
sire, n
La Défense dit que le maréchal ' est
absolument ddlrmina' ù garder inébran-
lablo 1. position q0 i1 a choisie sur le
terrain de la défense sociale et qu'il ne
ae laissera pas plus intimider par Ics
ni il,nuos du radicalisme que naie
par les repentirs bu fils des amis
dentM.
Thcrs, Il
profitera dos années de pan-
vrac ai lui restent
r1 lui, uns rendre
La France,
` choisi
oisi 1, radicalisme, IL
barn rem de
r Faremr, .
IlUncul, engage sa, amis . à suspen-
dre leurs jugements s'ils ont besoin
Le Pays est d'avis que le nomeruo.
ment doit demander la dissolution . à
bref délai . tic de mettre an t'rnie
aux réa ms dos députés. . Sans dou-
je, dit-il,1 1il y a des raisons qui devraient
I aIi le lent
u faire ajourner encore ;
t
nous parait si grand qu'il est peut-être
préférable de risquer le moindre pour
éviter le pire. 11 est facileà note sens,
de ...jeter les ebnlenli.as des électeurs
conservateur, à l'époque des mainsons,
que d'éviter leu d'angors d'une agitation
cassée parlessénateurs et les dépus
époblicaiae n'érigeant en
1onvemimrtéà
Paris avec toutes les apporte s d'un
pom'oir regulier faisant contre-poids au
gouvernement légal. La questisa d'une
..
bon
u-
cible deopr ès, eonme
mériteu d'Atrar
Belle
" es i
est grosse de menaces et de périls, .
Faits Divers
Le Fiyarla dit que l'instrmeLion du
uat'opens de jasons de lioulogne i
anjo501'1,51 U proues écla-
tan:ca cou relevé, coutre la veuve
(;ras.
Ou soit qui; depoil longtemps tout
ceul,il 'averti, question : qui a four.
ni l'acide ?
La lemme Gras disait que c'était Gau-
dry
r
, et silo échufandmit m u 'lieus tout
svstéme de dét'a.sa. U'aprés elle,
l'o.vrier, amonroos d'cils, repu e
ertu ü anciennes relations, o sait
voulu ea venger de l'amant qu'a. n lui
préférait. Il avait pris de )'a'ide anlfu-
7 e dans sul saine, l'aval apporté
d u u buron, ava t g latté leur rentrée
de I Opd.a ot Seuil jobI au visage de
Roué de le Roche le liquide corrosif'.
clade i au contraire, ,prés bila des
teegi"c allons , Sieur des hésitations,
0Vais liai pal' raconter la ,'eue telle
quiche s'est pasée.
- I?ugéuie, disert-il, al'a fait dire de
von r. E1 le u a fait o ch.r dol a
foc da
élus da
'i,1tne s; pendant qII ua 1LLde la
florin, le I venue
plusiou s fois me parler pou, n o-
reger. Quand elle est partie avec le
jcnnc lemme, je suis entré dans le sa-
la n Où ,j'ai repris lin livre tout ouvert
ride j'ai lit en attendant I. moment...
L'acide était tait prés sur la talus du
cabinet de toilele, Pour me ,a autrer si
lote', cite eu a soi sil ,pochions guai)
sur la plmcher.
Un especLaur de la sûreté, NI. Gave],
alla immédmtmnent vérifier lo rail, et fit
al L 1 t l rte unplan qud,ap-
S ti al 1 I (, 1 i as'tatructie sRoches
,
nnplanches
i, 1 dru d cr. mui l
du parquet e,Worl
ahu
enllcoéevées
et examinées
par M. Moto, humiste-expert, dont le
rapport ne laissa aucun doute sur la
nature des taches.
Mais la baronne de la Cour , ,il
pas lemme à sa laisser démonter pour
si peu.
- Des tache, d'acide, dit-elle d'un
ton dégagé,., qu'est-ce que cola prouve?
tout au plus que Gandep a pu déposer
,]uns man u,binet le toilette le bidon
qu'il avait appuis, - mais le rois
ne pas q, soit cd ,,. riLorsque
J'o ccident est entré, ja me niais préci-
pilée sures poivre René, je l'ai aidé .I
r Miel son chapeau et son pardessus
,laiIl s d'acide et roi 'eléees uh'ets dans
le cabine[... de II. les mrhes. v'qus en
trou rame, certxineuaeot d'autres surdi-
vara pairie de l'appartement.
On vérins et lin ne trouve rienéta.itp
Mais
la sy.stémc de l'inouipée n at as
moins sontenable, et si les preuves
rit
morales abondaient, ou continuait à
a.quer de preuves matériellr:s.
Loi, et eroh:, le cocher qui avaitcoo-
dn,t il _U 1 If 1,e ot 1{-n Gras, la
u t I ,
1- ans. On voulait -or
i I tact prétexte, plausible on
15h10, la ion me Grue, agréa être de,-
cnlourde va,. moi et t L lés le
la gn sl¢, ,tin de , la t ta de
G mlry. Par
Il coch r, on r iL peut être
,,a savoir c' qui s était passé entre les
doux
e,
complices, au moment de cette
fuitAI
igné
1n.-
herches,om malgré le poin-
tage fait Cpagnie générale et
dansisles Compaglu,as seearidairrr de
l'a v, malgré les elleebs publiés dans les
journaux, ce cocher n'a pu ému re-
trcrevé.
L'a femme Gras fi imnphail et ne son-
geait plus qu'à sa faire gallo polir rnle-
ver Les jurés le jour da l'audience.
Son ti'R, Radn'a pas été de langue
durcie ; bl tracé, le commissaire de
police aux délégua... ,oa I
'iaires, qui
coeleit M. Melon dans 1'e -du
de celte ,Raire, n plus d'une corde f1,
son arc. Après mue série de patientes
et persistantes recherches, IL est arrivé
h tr,100 la personne qui avait fourni
aridene.
Cette personne est lin parent de Mus
Crus, lin Il avrior dorenr' sur métaux.
sl'n' Gras lui avant dca,audé un peu
d'hsfle de vitriol pour nettoyer, disait.
elle, de, vieux objets de cuivre quelle
avait chez cite. Le dorenr s'c up,esso de
loi remettre une hile d'acide. L t
celui qui a servi à deb net la ,-
titre.
Ainsi, 1 n.l t n osait bien ea
de voir ce O. f -sur l'rnst gateur et
l'auteur pitre pIl du crime. Anjound'lui,
non-seulement sa enlpabihté mais encore
la puémédimluee, sont démonteras.
Dans quelques loura, tontes les pièces
de procédure vont être rernires a la
Ghsmbe, des misés en accusation. Dans
eau Pièces burent le plan du cabinet et
le plan général de la maison, dressés
par M. Louvai, architecte.
- l'luareurs jommaus annonces tille
,'la je do la Gmme 0,c doit venïl le
Ib de ce mes tenaat W cour dassises.
11 est int. M. le juge dinstrue-
l pas enl,osc rendu son ordo-
e.all a mémo entendu hier de Imm-
cou. témoins.
La sauté du gaude L I bmuf ,'a.
Oéhlee, et il y a ,alliais bwi des char-
'es
sérieuses de la sauver.
L'instruction de l'alaire continue avec
soio et .civile; chaque jour, depuis le
crime, M. le loge d'instruction Delovi-
gue s'est tra eportésoit à Elbeuf, soiLaux
Autbien x, soit aaz environs, pour y
suivre les pissas qui lui sont indiquées
par Caulib(e If ou pur des témoins.
U. individu, sur lequel pesaient des
oupçons assez graves, a été arrêté;
mais Confluent, à qui il a été présenté,
a déclaré formellement ne pas le cocou-
aaitre pour, un de ses agresseurs.
La lutte dans laquelle le garde a suc-
combé a duré phis d'un quart
d'heure, et, malgré le sang qui I'aveu-
g1aiL i1 a pu conserver des traits et de
l'aspect des deus braconniers un souve-
nir assez précis pour être affirmatif sur
leur identité.
L. recherches ont continué hier toute
la journée, d'après d'autres indicelions
et elles nue direction nouvelle. Nous
espérons que cette fois la trace est bon.
, et que le coupable sera bientôt aux
mns de la justice.
ai
- L'/scho du Nord rapporte que l'on a
arrêté dimanche soir, à la gare de
Lille, pour port d'armes prohibées, u
Prussien, le signe Léon Mollet, âgé de
vingt-trois las, .é à Niédorseuiren, d
e disant garçon brasseur. Il anisait de
Paris par le bain l u , I l
et ne devait, dit-il, que Passer à Lille.
Le vérificsLrue des douanes, trouvant
dans ses bagages un revolver, lui de-
nnda s'il était rhargé. . Ne., répos-
0,1 daller, .
Au même moment le véeifieatesr prrs-
sait sur la détente, i u coup de feu
partit, envoyant aile balla dans le nu or,
à l'extrémité de la salle.
On a trouvé dons les malles de
Mulla n secoa1 revolver chargé
et fus,ldomoaté. Il s'est odcit
Il.
à payer les droits de douane,
qui a été fait, litais alors s'est peéson té
l'oggarennt de tir cureté, es permanence à
la , qui lin l'ait conduire mu commis-
'l ne porteur d'a un es de guerre.
On a trouvé sur loi des papiers qui ant
fait couuiaitre sen nom et sa nationalité,
11 est détenu momentanément ce ailen-
dont les résull.,ts de J'repos e.
- Nous flous dans la jeune Repobli-
gnc, de Moisante
. Vendredi dernier, à hait heures do
matin, sl.,losoph )liard, pation-pécheur,
faisait au sud de l'Ile-Verbe, il la Ciotat,
la pêche au cnngrc, lorsque, an moment
de retirer ses paniers, il sentit une réOn-
tance assez forte. IL amene ainsi, mou
lis peine, jusqu'à neuv d ciel
., e ne pes,nt plu sonos, uI, i7 hu'. O
k aglionmee, et parsemée de corail. Les
.quotient, Ion phi richement datés ne
doivent pas ra avoir beaucoup de sem-
blables. n
- On se nappellr. qu'au écolier de
quinz. ans et demi, Félix Froiéhe, fils
eu prnfessenue de physique IL d'histoire
au I rée d'Air oub?me a 1
assassiné,
11 murs Ber.ara 1a Joule servante de
la maison, Aimé, Lucaton, âgée de dis
.cet ans.
L'état moIjoo de Félix Plaide. a été
s
à bl. .gran! de Sarde, suède-
,lu de l'Irospiac de Ri,Pec, Le savant
spécialiste a déclaré dans son rapport
que l'accusé n est ai aliéné permanent,
imbécile, ni idiot, mais qu'il n des
troubles inlelleeuels temporaires exh'é-
mement damgerouz ; ,le
'il , si ,,pu'
0recl[nte au premier jour
qûil ceisaiirait .min être relia. à a
famille, et qu'il y u lieu dans l'intérêt
de l'ordo. public et de I. sùreté dols
porsnmics soin molli' à la disposiliou
de l'autorité adeinislrative,
Ce malheu,,,, enfant u été acquitté,
mais l'arrdt dc; la Cour ordonne q,i il
sera retenu dans une maison de correct
tien jusga5 sa majorité.
- LEuénemenl parie d'une tereinante
oveituee qui vre d de se passer rue de
la I'. rehem lieue.
Des .a habit meublé, avaient lieu les
nte,vn,s clandest lies d'in sl Ai _ is
de
u avec une femme mariée, Mme
X...
0e, osant hier soir, vers dis heures,
Mme X,.., étant sire on amant tut
subitement prise d'en êtourdissemact.
M. de V..., la voyant s'évanouir, envoya
chercher un médecin, le docteur As.
trou.
Celui-ci a riva juste comme Mme
X
,venait succomber à une anr de
du
du .mur. M. . Leclorq
commissaire
e de
police fat Immédiatement prévalu, et,
après voir dressé procès-verbal, fit
avertir le mari.
;L
de V..., fou de terreur, à la pen-
sée e Ix terrible explication qui allait
s ensuivre, a pris la fuite, et on es 1'a
pas revu drpnis, On craint qu'il ne se
soit icitlé
Quelle leçon ! '
,lux s «talles. - Depuis plu-
senr, années, ont l'ait usage eu Autriche,
n Ilnngrie, et dans la lianle-lialie, d'un
système Je signaux .lui a déjà rendu,de
grands services et dont le bot est m-
pé,fler les accidents qui pourraient se
produire le plus fréquemment sur les
ligues
fermées
à voie unique, et notam
i t la collision de deux trains lancés,
p. erreur inadvertance, à la rencon-
tre l'a. de L'note.
Ces signaux sont dits à cloches, parce
quo le système consiste à faire frapper
electriquement, et, par salir, simultn
émeut, au o t où ua trait) part
d'une gare, des cloches, ou plutôt des
timbres de grand diamètre placés au-
deasusde cloque maison de garde jus.
Lu à la gare suivante, rI doux cette gare
cite- mème.
Or, comme le nombre de coups fi .p.
dén ont
différent pe Itcchacune des deux
avoir entendu l'anuo.ce d'Un slotinl vre
ont d'une direction donnée, les agents
reçoivent le signal annonçant un train
allant en sens roniraier, ils peuvent
prendre immédiatement les mesures né-
cessaires pour arrêter les deux trams et
empêcher une collision.
Vars la ne sc bene pua util té du
systeme. Las tdochea pouvant également
servir soit à demain an signal d'alarme
prescrivant d'arrêter tous les traites
quand un accident dangereux pour la
culation se produit sur la ligne, soit
a (demander la machine de secoure lors-
qu'un train vient à se trouver en dé-
tresse.
En outre, ce n'est pas des gares sou-
tes que les signaux peuvent être faits ;
ris peuvent l'are encore, eu cas de
besoin, de chacune des maisons do gar-
de, et des précautions, qui ne saut ja-
mais en défaut, sont prises pour, empé-
cher des abus qui ne présentevient
dit reste aucun danger, mais qui au-
ient l'inconvénient d'occasionner des
retards aux trains et de rendre les
agents moins attentifs. Enfin, en con-
çoit qu'en groupant les coups de cloche
de différentes manières, il est facile de
eomposor une espèce de langage très-
simpla et néanmoins assez complet pour
répondre aux principales nécessités du
e,
se
Tels sont, en résumé, les renseigne
morts que nous trouvons dans une in
téressante étude relative à ce système,
faite par M. P. Maigri, IL publiée deus
la Revue de la France,
On voit, par ces courtes indications,
quelle sécurité les signaux à cloches
sont susceptibles de donner à la mar-
che ries trains, surtout sur les sections
à
e
unique, et que relativement à
cettedernièee destination, qui est celle
à laquelle ils sont le plus généralement
siêeclés, ils sui infiniment préférables
ans signaux à van, disques, drapeaux,
lanternes, eto, Ceux-ct ae frappent pas
'cessziremenl, en effet, l'organe au-
quel ils s'adressent, taudis que le son
des cloches d'on assee fort diamètre,
outre qu'il s'entend à de grandes dis-
tances, appelle toujours l'attention des
agents même les plus distraits.
Ces 00antages nstatés, comment se
fait-il qnc lorsque les siaux i;,
loches
ont d'un u aga
endralgnchez
lusieurs
de nos voisins, la France n'ait pas encore
songé à les expérimenter, au moi.s sur
quelqu'une de se, liges ? C'est ce que
nous e saurions expliquer; mais ce
lac taus appne Onu avec plaisir c'est
que la compagnie Paris-Lyon-Méditer-
ranéc prend mates les dispositions né-
e
r faire 1 a de csys-
lé ause, la pouIignc
du IIt 1 u Monl-
Cenrs, arme les gaies de Celui, et de
Seint-Michel, et que cette in...ation
pourra être inaugurée des Arcs à Vin-
nmille, à l'ouverture du service de
l'hiver prochain.
Raaalsl.e lccb r. - suer. - liter
matin, I
ouces,
le colonel du
,oix mon
11isade ligne,
'
,. rvl de son ordonnance,
longeait le boulevard de Strasbourg,
lorsque arrivé eu face de la Sella, un
craboirna voitures sépara le ,admet
IL
sà s
oss
en ordonnance. Celui-ci voulut
ulut le
,clenche and même
tel quand , et, se roiee
luccartout.
l'omnibus qui fart le service en
tre le chemin de fer de Montrouge, il Ii
e chute juste sous la prsmiére ro
do véhicule. Le cocher, très préoccupé,
se 'en aperçut qu'au cri général :
Arrêtez ! Mais il était trop tard : lia
lourde voiture lui avait littéralement
passé sur le corps.
Transporté té à e pharmacie voisins,
en 'amont de tentes parts 'hercher ,
médecin et ce fat le colonel lui-même,
e,
qui avant fait reconduire les chevaux
pour prendra une voiture, revint le pre-
mier, accompagné du chirurgien.major,
Malgré les sains qui furent prodigués
au blessé, an ne put arriver à lui faire
reprendre connaissance, et à midi et
quelques minutie, il rendait le dernier
soupir,
-un incendie dont la cause 'est in-
connue vient de détruire une partie de
la blanufaoturo des tabacs, à Venise ;
les pertes sont évaluées à 650,000 fr,
Ou craignait que ce sinistre se mit sur
la pavé 1,800 ouvriers mais te direc-
teur a fait évacuer d'autreslocaux, et le
travail a été repris aussitôt.
rie nom osons. - On lit dons la
Gazelle de fhsonnilie :
IL n'est malheureusement que trop
a.élé. que la trichinose a pris des pro-
portions vraiment enrayantes parmi no-
tre garnison, Jusqu'à hier lu ,. r,pas moins
de ON soldats, .datais de cette terrible
maladie, ont dù être conduits à L'hôpi-
tal militaire,
Un de es malheureux a déjà eue-
combé, et l'eaamen, après autopsie, fait
du microscope, a constaté la présence
dans les chairs du cadavre d'une
i 6nité de trichines. Il nous n été, eu
effet, sain que les cas de décès ne
'étendront plus que sur quelques-uns
s
des malades et que les autres ont tout
espoir d'être sauvés.
- D'es un salon :
- Avez-vous remarqué combien le
mois de mai est latal aux ministères?
- C'est vrai ; ci Le mois de mai
est celui de la naissance des feuilles,
,'est bien aussi celui de La chute des
portefeuilles 1 n (F+fyaro).
Voici le so aile de la I nais.
(10 juin 1877) do Cor p d l rovn
périodique paramso.L le 10 et le 20 d
choque mois :
Léopold de Gaillard. 1. - L,
deux politiques. - Let,, à un ami d.
pl.vimo.
Arable ][.anglais. - Il, - Lit passa
eenlanpoeine. - 1.
Louis Vie., - 11, - Montesquieu
- Sa sic et ses ouvrages, d'aprè, dc
dormnenL, nouvcaus. - Fin.
lieue du Qnesnoy. - IV. - lors,
More, IV.
Vicier Fournil. - V. - Le, 'Vomi,'
et les Domnues, ,nulle, dit théâtre, de
la huerai I . et il', laits.
Nunill- I ri' 1y n VI. - I.e_
Pnblicet. américains 0t la voisine.
taon des Ptnis llmis, - IV.
C. Ilonnefoy. VII. fhtietuphe
Ilemi de Parvüle. - VIII. - le-
des sciences.
l'. Douhain. - IX. - slélanges, -
histoire de la guerre de Crimée, par C.
Ilousset, de l'Académie Irancaise:
Il. de Laccombe. - Pensierosa, par
Flamen.
Auguste Boucher.- X. -Quinzaine
politique,
Prix de ' ,ssimm.enl : Pais, dépar.
et
t union osbde un an 35
lamenta p
fr., six mois, 10 fr., étranger, le prit
de la poste en sus,
Oa 'abonne à Paris, ans bureaus
du es ondan6 rie de gournen 29,
Ga p
dans desx poste et chez
toua
les l les
les
libraires,
es des
départements. an
en adressant directement
rai
poste
te à M. Jules
uerveiT, gérant
t d
du
Correspondant, 29, rue de Tournon.
CAUSERIES SCIENTiFiQUES
Dangers que présentent les us-
tensiles de enivre
Le cuivre est ma métal qui s'altère ai-
sément sous
l'in ducure d'un grand
nombre de corps qti an emploie jmirart.
ellemeot, et se transforme ainsi en dif-
férents composés rxlrément vé nl eux.
a
ruta de qui poiseut out d'entant plus
redoutable
qu'on
peut en prendre L ra
que jour de 'ici-Petites
quantités et ne
s apercevoir de leurs mata quo lorsqu'il
'est plus temps d'y remédier, Ce que
us allons dire dit cuivre s'applique
surtout an cuivre, pur on cuivre
rouge; mais les digérants alliages de
cuivre, bris que le osiers jaune ou laiton,
le enivre blanc, le moillechorl, etc., sont
aussi te ss eus.
Le cuivre, exposé à l'air humide, se
couvre promptement d'une matière ver.
'ut oimproprement nommée eer6 de gris.
C
C'est a corps qui résulte de l'action
t 'ruu
et
sur le roivrr; l'oxygéna,
l'eau et l'acide carbonique ,amicaux
dans L'air ; il présente à peu prés la
,imposition que la malachite, au-
ter carbonate de cuivre hydraté, qu'on
trouve dans la nature et qui sert à fuira
des objets d'anormal,.
Tous les acides, tels plus fai-
bles, leu corps gras, par exemple, atta'
quant le cuivre eu présence dl'air ; lo
'naigrggn'on peut regarder c'. mme nu
mélange d'eau ci d'n,, acide énergique,
l'acide a éiigne, peut dissoudre des gaam
Lités ..fables de suivre, surtout quand,
'près ravoir fait choalfer dans n vase
de enivre, on l'y laisse refroidir. Le vin
est toujours ne peu acide et peut silo-
quer les cannelles de roivre ; ennui
doit-mn nettoyer celles-ci avec :oie, les
foi seétamer mn leur substituer des ,an-
nelles de bois. Le marc de ra 'n peut
produire, par la fermenmtion de l'avi-
de rétique qui forma e, le cuivre
le véritable vers-de.gris (acétals de c
vre bnsigne ); c'est ainsi qu'ors fabri-
que la vert-de.gris aux env ,s de
Mentpelliae. Ce corps, redisons dans sri
vinaigre bouillant, donne de baanx ,ci,-
ta.. verts qu'on nomme Cristapm oc-
Venus on Verdet; c'est un acétate non.
tre de enivre.
Les corps gras attaquent lentement le
cuivre, même'' froid ; aussi voit-on
fréquemment l'huile des lampes se ce-
force en art au ontacc des pinces de
cuivre. L'eau salée corrode en pan de
temps le saivre, comme le prouve 1a
destruction rapide des feuilles de uui-
50e duel ou revêt la coque des novices.
On trmnve encore quelques person-
nes qui conservent une belle teinte ver-
le aux épinards, cornichons, etc., eu
jetant dans le vase où ton les prépare
un gros sou rougi au leu, Il est évident
que rie. a,st plus dangereux que cette
.cette, car tous Ira composés de cuivra
sont des poisons violents, aussi bien
ceux qui peuvent se former eu présence
des matières alimentaires que ceux
qu'on trouve dans le commerce, comme
le nel-de-gris, 1-i le silriel bleu
(sulfate de enivre), et toutes les cou-
leurs à base de cuivre (cendres vertes
on bleues, vert de Schvs¢iefnrl, lie).
Les symptômes d'un empoisonnement
par le cuises sont ceux déterminés par
les poisons les plus lutants. Le malade
éprouve à la gorge une saveur Ocre et
,,oivreuse, et quelquefois un resserre-
ment spasmodique ; la langue est sèche
et la soif vive. Des douleurs déchirantes
se font sentir à la région précordiale ci
dans tout l'abdomen, qui est souvent
ballonné, IL y a des vomissements de
matières bleuâtres, des selles abondan-
tes et mucoso-sanguinolentes, des cra-
chotements continuels, me ,!.finir cé-
phalalgie, de 1. dyspnéee ; le pouls est
petit, fréque.t, irrégulier, La mort est
précédée d'une insensibilité presque
complète au de ,euaneme.ts nnnsslsifs,
et même de secousses tétaniques. A l'au-
topsie, on trouve la muqueuse digestive
venge, épaissie, rugueuse, quelquefois
érodée, Dans quelque, cas, on a rencon-
tré des points gangrenés et des perfora-
tions. Lorsque la substance vénéneuse e
été ingérée avec les aliments, et c'est ce
qui
,,il" le plus souvent, les accideots
ne se déclarent guère que plusieurs heo-
ces après le repas.
Le Iraitement consiste d'abord à ner,-
fraliser le poison au moyen de l'nlbu.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

mine. Pour Cela, on fait prendre u
malade la plus grande quantité passible
d'une Solmine, de 6à 8 blancs d'maïs dans
1 d eau. Après quoi, en provoque
le 'd', 'm aine rat sou 1 I est m le mal -
r o lames dans l'este a Si II s
t dj p sse dans l'inle4 n o ad
1 un purgatif. Les coliques éteint
g , eral le symptbme q p , le le
plus longtemps, tes Vais ,tag
ne uses emoilienles les ubrns hudeu-
P
'es e les lavemcnlx hoilce, Sont alors
particnlibr,.col indiqués.
On emploie aussi comme contre-puin
la limaille le fer, carre métal
jurait de la proPriéte' de séparer i médiatement
le eurvro des composés dans
lesquels il entre; et quand le cuivre est
ouru ^ m b à l'état métallique dans
l'intérieur des organes, il est presque
sans danger.
Les aonsileu de cuivre, employés
dans las cuisines, doivent film, étamés
intérieurement. L'étamage loi! Pire renouvelé
souvent, aussitôt que l'on commence
à distinguer lu teinte rouge du
Cette précaution prise, on se
va,1t'a à lbri du danger.
Ils terminas[, signalons les moyens
chimiques trés-simples et à la portée de
taus, qui permettent de reeononiiee la
pneeenec des plus Iégéres [races de cu1-
.Lorsqu'il s'agit d'une liqueur, de
vanaig e, par exempta, qu'on soupçonne
enfermer du cuivre, eu y ajoute quel.
inc, gouttes d'une dissolution de
uynnol'ereuna de potassium (prussiate
,tous' de potasse). S'il osiste, eu effet,
du cuivre dans lu liqueur,elle prend une
coulera d'an bran pourpré, et mime, Si
la quantité de cuivre est un peu aa,nsiébeublu,
la liqu eue ne troehle et laisse
déposer osa matière d'on brun marror.
Pour bien juger de la coloration, il
est bon d'opérer dans nn verre placé andessus
d'une feuille de papier blanc, à
coté d'un second verre contenant seule
ment la liqueur à essayer et servant de
terme de comparaison. En opérant ainsi
ec le vinaigre ordinaire, on truiva
qu'il contient presque toujours un peu
de wivrc
Quand il s'agit de rechercher da roi-
sendans des aliments solides, on emploie
a uaCUS 11n e lame de couteau bien
trace polieset surtout bien ne8oyée de toute
de corps gras avec de là cendre
o de la potusse ; celle lame est plongée
dans les aliments suspects où un la
laisse pendant quelques beurra ; quand
on la retire, on aperçoit à sa surface
des traces rougeftres de cuivre métallique,
si tes matières essayées contenaient
du uivre.
Malgré les ouais vénéneux du c ivre,
l'ancienne médecine employait tassez
sauvent des remèdes à base de cuivre,
tous abandonnés aujourd'hui, à l'exception
du Sulfate do cuivra dont on se sert
quelquefois à l'extérieur comme d'un
caustique léger.
Ccsnsns PIYRONnsn,
pbormacien à lubneleue (Tarn).
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rue du Tour; Labragnerir, f9, ru des
F'ilatiers ; Gouap, 3, r. des Arts ; Frédéric
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de P. Si ou ichne Jeun
19, rue SL Ettenne venue Ronbmhon,
ciné et 16, rue ales Chapeliers; MM.
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que est v,°,wni z;5 b. Louisiane par arr.°,
Grand raté
f9 ér16, place eau à 5ttroncs use
Duprat. rréres ; Emmanuel l'autnc,idrar
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l'otens, Rlav rte, rue Alsace-
Lorraine; Rapt, rue de>a Lois, 5 , - l'ana
c. Déjeuners ,î Décemps, rue Riguepels, 31 ; J. D'Y',
ôâ 1. c nu: r,(..D. 3.
Dinars et soupers à la carte (5, rue des Lois.
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Tnmu, qoe aa l'Iaao ont an l' Iaaae- Vins de premiers cle.ment
foi Ue 1,l U., dont nu nlole Méditerranée, 1809.56, gai.., I
- ... .. Car .. Gaa (Union des)ac t 500 à'. t. p. F . . ... .. ... ..
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Joussance mai .............. M': ....1. ....1 Paris-Lyon-Médi4 (Fusion)... - sse a:a ea Mines de Carmauz............ I . p, . . .. .... .. l'entes Phases u'0 la poliliquc air,
ou ssance 16 mai..,..,.... f. o. ro+ +v rob er Italien. B 010 ................. cpl. eo ao as so
4886...... eetob. sso .. sse air .. Mi nes de Nalfidano, oct. 6W 4., I. p.. rie rlu .. ce songe nullement à se e.r écr
d' autres
Banque de France. J. jan v..... f, 5 .
SI .. aosa .. Jouissance f. e. as sa ea a0 Vietorvl4mmanuel. gai....... - ...
no Cail ................... ........... ..
difllcnltés en tournant Iris regards vers
7ouissn a p janvier-juillet..... f. c. , nus Irae .. Delta Turque. 6 010..,........ a .. s MédOC ..................... Janvier ana .. Car no Fivea-Lille. oct. 500 lr. I. p.......... fOrienl,
ngae de ... ........ I. e . ana bc e+> ao Jouissance jenvier-juillet..... f. C. 0 .. ... Midi, . par ITtat ........ - axa aa Liverdnn (!orges de), oct. 600 (r., I. P. .. a
Nord ......................
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Jouissance ,,a,. janvier-juilet..... - - l
f.0. aan .. e+s se Crédit roncier d 'Autriche......
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Perpignan-Prades,3 010, remb. BW Ir ..
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Les fousol,:.
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J ouice ssan mrslembra... f. c. +ao .. Autrichiee ................... api. 4 ea don +sa ab Orléana-Rouen. (sect. .......... Sud) e+ .. Liverdnn (forge de), ob.800 250t. .. .. n u haussa de 5 8 à !I5 1 8.
Comptoir 1,î d'Escompte......,... cpt. f ana .. sso an BW fr.-louis. jenvier.juillet. I. c. nu .. ana re Vesdt g. par l.... - sua .. osa ,. OmniLna de Paria.................. .... e0, eo La plupar t Jcs .sUchId étrangers
600 . -]ouissasce aodt.... . °. ..... ..... Sud Ale, -J e Lombard......., ana .. no .. Vendée ................ troth. septem
r B .. ++s fa Immobiliére ....................... sa .. .. sont assez l'ormes, les plucrs allemandes
Prédit Foncier ................ pa,
sso .. aan .. BW (r.-Jowes.novemb. L874. t. c. rno .. r3> na Autrichienb, ancien réseau... aeptem ... ..... TrS ansatlantiques, 7nt. 25 à 500 f. +so .. I nl ua ont envoyas Jès le dé à des lu-
250tr.-
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par Ics cours.
BW Ir. -JOUis n 511e11873.. f. C. var SI sSI a' pampel-BarceI J. juillet [866.. ept. .,. .... Nord de 1Enpagne .......... octob. ... anr .. FONDS ÉTRANGERS
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Romaine, -l,
octobre 1866.... pt e0 aa Portu ais janvier a3 fan Delta auldchienne 3070 .. jannier
n 3 + 5 U10 1 01 , 7U, 1U4 , 95 et dermm
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s sud .. Saragoses ..................... api. bob .. Remauaa ................... Jan. 73 .su .. as. be Emprunt danubien 8 1870....... 00..... - ,
1. , .- 104,77.
................ oi.., .. ept. ras b na¢ >e BUO tr.-e JOUie. jenvier.tailla i.
Ï o, ICI ua >n Moi tl0 $arag0as0..,............... Janvier as >n ana >n 8mprvnt égyphen, (87 ..... ^i é l d i nnnnt
BW Ir.- Io t cs mai..... -
Les Recettes n ra es ev c
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Octeh sis a o ., nmplélemenl nulles, b,Of10 de 3 010 et
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6W fr.- .....................
JOU ieaance mai..... I.
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Péruvien 8 010............. juif. l5 ..... sso .. Les escompt
es , rhiffrcut par [3,000
0le . S, u,
.. .. .. .. de i 010 et 25,000eJo
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BW Ur.-JOUis.jenvier-juillet. f. c. ...
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L'Italien, suivant ses haLimdrs, a fait
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Orléans............ ........... . ota .. osa,. YDIe de paris, 1856-60, 3010. m a. ao
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lente nrlairrlle I 'art se
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¢ Parisienne du Gaz.......... cpt. Is+s .. caca sa - 1875, 4010, r. 5W. 15 oct.
200fr.-JOnissaaae octobre,. J.C. lino .. fana rb - 1876 tout payé... - ICI
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... .. Rmprunt hongrois........... tamier x ra 101 xn emmi p u e raiJ uer
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fW Ir.-Jouta. jenvier-jui00t. e 800 .. L yon, Si 3 OiO ................ droit, . bar .. 39r .. ouest - ................. 100 .. .. .. BOna méridiOnauI........... janvier .. .....
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