mais dont les sectes et les orthodoxes brutalement furent exclus à la fin du XVI e siècle parla Confédération de Varsovie (1572) et l’Union de Brest (1596). Quant aux juifs, ils bénéficiaientd’un régime d’autonomie très favorable 5 . Cependant, avec le mouvement de laContre-Réforme, soutenu par le roi Sigismond III, puis les guerres du XVII e siècle, les a-catholiquesfurent de plus en plus assimilés à des traîtres, alliés des envahisseurs suédoispour les réformés ou de l’ennemi russe pour les orthodoxes. Dès le règne de Jean-Casimir,le catholicisme devint « religion d’État 6 . »Il ne suffisait cependant pas d’affirmer cette doctrine et, en 1650, le roi dut confirmerles droits des évêques orthodoxes de Przemysł et de Chełm, Łuck et Witebsk 7 . L’interventionrusse en Ukraine conduisit à l’accord de Perejasław, en 1654, qui divisa la hiérarchieorthodoxe entre ceux que les Russes contrôlaient et les autres (Biélorussie, Lwów, Łuck etPrzemysł). À la fin du XVII e siècle, la situation à l’est, entre l’État et les orthodoxes, étaitentièrement dégradée ; le Traité d’Andrusowo (1667) faisait de la Russie le protecteurofficiel des orthodoxes polonais 8 . D’autre part, le Traité de 1705, entre la Suède et lesmembres de la Confédération de Varsovie, prévoyait la confirmation des droits des protestantset leur non-comparution devant les tribunaux sous l’accusation d’arianisme. Cetexte – jamais appliqué – laissait le sentiment d’une collusion entre les a-catholiques etl’ennemi, en particulier, après l’échec de Stanislas Leszczyński et des Suédois à Poltava en1709 9 . La Diète, dite muette, de 1717 ratifia le Traité de Varsovie mais en ne garantissantplus la paix entre les religions ni la protection judiciaire ; les temples construits avant 1674furent déclarés illégaux. Les candidatures de réformés, à des fonctions publiques, ne furentadmises que s’il n’y avait pas de candidat catholique 10 . L’évêque de Cujavie, Felician-Konstanty Szaniawski 11 , proche collaborateur du roi, affirmait que celui-ci ne pouvait régnersur deux religions d’autant que le luthéranisme et le calvinisme étaient des intrus. Cethème fut repris par le père Jan-Kazimierz Ancuta, dans son Ius plenum religionis catholicae,1719 12 , qui ajoutait qu’en matière publique, il ne pouvait y avoir plus que de la tolérance– et non de l’égalité – car les protestants étaient plus dangereux que les juifs et5Voir : Daniel TOLLET, Histoire des juifs en Pologne du XVI e siècle à nos jours, Paris, 1992, P.U.F., 320 p.6Wojciech KRIEGSEISEN, Stosunki wyznaniowe w relacjach państwo-kościół między Reformacją a Oświeceniem, Warszawa 2010, Semper, voir p. 619.7L. BIENKOWSKI, « Organizacja kościola wschodniego w Polsce », dans Kościòl w Polsce, t. II, pp. 849-850, Kraków, 1969.8P. WAWRZENIUK, Confessional civilising in Ukraine. The bishop Iosif Shumlansky and the introduction of reforms in the diocese of Lviv, 1668-1708,Huddinge, 2005, pp. 51-141. Et aussi, Zbigniew WÒJCIK, « The orthodox church and the Polish reason of state in the XVII th century » dans Nuovi studihistorici, 17, Le origine e lo svilupo della cristianita slavo-bizantina, 1992, pp. 425-435.9Jòzef FELDMAN, Sprawa dysydencka za Augusta II, Krakòw, 1924, 30 p., voir p. 5.10W. KRIEGSEISEN, Stosunki wyznaniowe…, op. cit., p. 655.11F.-K. SZANIAWSKI (1688-1732) évêque de Cujavie-Poméranie puis de Cracovie, proche collaborateur du roi Auguste II, prêtre zélé. Voir : Piotr NITECKI,Biskupi w Polsce, slownik biograficzny, Warszawa, 1992, p. 199.12Voir Encyclopedia Katolicka, Lublin, 1973, t. I, coll. 523, Jerzy-Kazimierz Ancuta ( ?-1737) et aussi : Voir S. ORGELBRAND, Encyclopedia powszechnia,Warszawa, 1898, t. I : J.-K. Ancuta a été suffragant de Wilno et prédicateur. Il est mort en 1737 avec le titre d’évêque Antypatrenski. Ennemi desdissidents, il a publié en 1719 : Jus plenum religionis catholicae in regno Poloniae et M. Ducatu Lituaniae. L’œuvre a été détruite par les dissidents, mais,en 1767, elle fut republiée par Léon PRUSZANOWSKI, en polonais, sous le titre : Prawo zupelne wiary katolickiej w koronie i W. K. Lit. Voir aussi ZALUSKI,Dwa miecze, 1731 et dans A. KRAUSHAR, Sprawa Z. Unruha. Relacja zarliwosci et Cracovie, Bibl. Czartoryski, Ms 205.34 Dan i e l To l l e t
capables de convertir des catholiques. Tolérer les dissidents, c’était tolérer le mal, et deconclure que la « Liberté dorée » n’était pas compatible avec la pluralité religieuse 13 . Il fautcependant, noter que des catholiques s’opposèrent à la limitation des droits des dissidents.Parmi eux, l’évêque coadjuteur de Wilno, Maciej Ancuta 14 qui estimait que lesdissidents n’outrepassaient pas leurs droits. Pourtant, l’évolution était inéluctable : en1733, les protestants furent empêchés de siéger à la Diète de convocation et de même,en 1736 à la Diète de pacification 15 .Si l’on pouvait alors considérer que les protestants avaient disparus de la scène publiquedans la Couronne, il n’en allait pas de même des orthodoxes en Lituanie et en Ukraineoù l’uniatisme se latinisait après le synode, tenu en 1720, à Zamość. La Confédérationn’était même pas, selon le souhait des catholiques « zélés », entièrement chrétienne : ilsubsistait des Tartares musulmans 16 , des karaïtes 17 et de nombreuses communautés juivesparticulièrement nombreuses dans l’est de l’État. Ajoutons, qu’il semble qu’au XVIII esiècle, les évangélistes aient obtenu de meilleurs résultats que les catholiques en matièrede conversion 18 .De longue date, des catholiques considéraient les juifs comme un danger pour leschrétiens. En 1621, Sebastian Słeszkowski avait publié à Braunberg (Braniewo), un ouvrage19 où il proposait la séparation géographique des juifs et des chrétiens, la destructiondes livres juifs, la diminution de leurs droits, le tout dans le but de les obliger à se convertir.Il ajoutait à ces propositions l’obligation d’entendre des sermons hebdomadaires.Mais, ce ne fut qu’au XVIII e siècle que ces arguments furent entendus et que l’on proposade prononcer des sermons, non plus dans les églises, mais dans les synagogues. Lalettre pastorale de Mgr Jan Skarbek, évêque suffragant de Lwów 20 , rendue publique le4 juin 1717 21 , reprit l’argumentaire de Sleszkowski : « Les juifs mènent les chrétiens à laruine. Ils se multiplient malgré les décrets du Concile de Latran (III, can. 36), du Concile deMilan et les décrets pris en 1660 par Mgr Jan Tarnowski 22 , archevêque de Lwów, notre13Voir les instructions de la Diète de Sieradz du 25 VIII 1718 dans Zbiory Akad. Umietności, p. 116.14J. KOPIEC, « Konstanty Felicjan Szaniawski (1668-1732), mąż stanu za panowania Augusta II » dans Rzeczpospolita wielu wyznan, pp. 179-190. MaciejAncuta (1650-1723), évêque coadjuteur de Wilno était le frère de Jerzy-Kazimierz Ancuta (1650-1737).15J. DYGALA, « Kwestia dysydencka w Rzeczypospolitej doby bezkrólewia 1733 roku » dans Zapiski historyczne, 62, 4, pp. 45-67 et W. WEINTRAUB,« Tolerancja i nie tolerancja w dawnej Polsce, H.H. Caroll-Najder », dans Twórczosc, 28, 1972, 12 (329), pp. 72-88.16Voir : Jan TYSZKIEWICZ, Tatarzy na Litwie i w Polsce, Warszawa, P.W.N., 1989, 343 p.17Voir : Stefan GĄSIOROWSKI, Karaimi w Koronie i na Litwie w XV-XVIII wieku, Kraków-Budapest, 2008, Austeria, 538 p.18J. GOLDBERG, « Zydowscy konwertyci… », op. cit., p. 200.19Sebastian SLESZKOWSKI (Slescovius), Odkrycie zdrad zlośliwych ceremoniej, tajemnych rad, praktyk szkodliwych żydowskich (la révélation des trahisonsjuives), en polonais, Braniewo, 1621, impr. G. SCHÖNFELS, voir chap. XXI & 24, et sur l’auteur, Roman POLLAK, Nowy Korbut… , t. 3 pp. 247-248.20Jan Skarbek (1661-1733), évêque suffragant de Lwów (1696) puis archevêque de Lwów (1733). Il a étudié à Rome puis est devenu chanoine à Lwów. Il aveillé à la discipline au sein du clergé et à la construction de bâtiments religieux ainsi qu’aux finances de l’Église.21Kraków, A.M.K., Edicta et mandata diocesis Cracoviensis ( 1737-1772), ff° 39-43., texte en polonais.22Jan Tarnowski ( ?-1669), archevêque de Lwów (1654). Jeune, il avait été militaire puis il est devenu chanoine de Włocławek, Przemysł, Varsovie,archidiacre de Cracovie. À Lwów, il a multiplié les œuvres caritatives, construit la résidence épiscopale de Stawczany et fut chargé par Jan-Kazimierzde ramener la paix après les révoltes de l’armée de 1662.L’effort de conversion des juifs de la Confédération polono-lituanienne au XVIIIe siècle35
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