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Y-mail 50 - mars 2025

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Y-mail 49 - novembre 2024

TRANSFORMATIONSLes

TRANSFORMATIONSLes urgences en chantierAvec 29.000 patients en 2024 – soit 20 % de plus qu’en 2019 – la fréquentationdu service des urgences du centre hospitalier Jan Yperman continueà progresser. Pour répondre à la pression croissante, le département vabientôt ouvrir une nouvelle zone ambulatoire.Maarten Delaere (infirmier en chef des urgences) : « Dans le passé, lestraumatismes mineurs – les entorses aux chevilles, aux poignets et auxorteils – étaient pris en charge par les urgences aiguës qui pouvaientaccueillir quatre patients assis avec leur accompagnant et un patient alité.En exploitant de manière optimale l’espace situé entre les urgences et laradiologie ainsi qu’un petit bout de couloir, nous avons créé une nouvellesalle d’attente séparée pour huit personnes avec leur accompagnant etdeux boxes de soins. Nous sommes ainsi en mesure de continuer à aidernos patients de manière rapide et efficace. »Maarten Delaere,infirmier en chef des urgences057 35 60 20maarten.delaere@yperman.netDISPATCHING SOINSOreillers à prêterPour veiller à ce que les oreillers etcoussins d’allaitement ou depositionnement sortant de lablanchisserie arrivent dans lesservices qui en ont besoin, ils sontdésormais centralisés audispatching soins de l’hôpital,depuis lequel ils sont redistribués.Les collaborateurs logistiques et lepersonnel infirmier du service desurgences, par exemple, peuvent serendre au dispatching soins pouremprunter du matériel (de soins)supplémentaire.Nadine Uytgeerts,responsable du dispatching soinsnadine.uytgeerts@yperman.netQUALITÉPetit déjeuner avec des patients gériatriquesUne fois par semaine, l’ergothérapeute Emma Callens organise un petitdéjeuner collectif pour les patients du G0 qui vivent encore chez eux.Emma Callens : « Cela me permet d’évaluer leur degré d’autonomie.La maladie de Parkinson, une chute ou le processus de vieillissementpeuvent entraîner une détérioration cognitive ou fonctionnelle. Quandils prennent leur repas en chambre, cela ne se remarque pas toujours :les repas chauds et froids sont préparés à l’avance. Lors de nos petitsdéjeuners collectifs dans la salle de jour, nous utilisons des pots deconfiture et des barquettes de beurre « normales ». Cela permet devoir si quelqu’un ne parvient pas à ouvrir un couvercle ou tartine tropde beurre à cause d’un problème de vue. En cas de problème, nouspouvons intervenir en leur réapprenant à faire certaines choses, enleur fournissant des outils pour les aider ou en faisant appel à l’aidefamiliale. Le patient est ainsi armé pour rentrer chez lui. En outre, onconstate que les participants apprécient cette convivialité : ils discutententre eux et mangent plus. »Emma Callens, ergothérapeute057 35 83 89emma.callens@yperman.netJAN YPERMAN EMBAUCHEOffres d’emploiNotre centre hospitalier rechercheactuellement :- un(e) résident(e) ou fellow engynécologie (1 ou 2 ans)- un(e) étudiant(e) jobiste en obstétriquepour la maternité (vacances d’été)- un(e) infirmier/infirmière en chirurgiegénérale- un(e) infirmier/infirmière en chirurgieorthopédique- un(e) infirmier/infirmière pour l’équipemobile- un(e) médecin spécialiste enmédecine urgentiste- un(e) médecin spécialiste enmédecine physique et en revalidation- un(e) médecin spécialiste enanesthésieVoir tous nos emploisvacants sur jobs.yperman.net6

ALLERGIE À LA PÉNICILLINEL’équipe HOST (Hospital OutbreakSupport Team) a lancé une étude piloteau sein du service préopératoire.L’objectif : identifier les patients quipensent à tort être allergiques à lapénicilline. Ils sont nombreux.Label généralementpas justifié1.741patients interrogésEnviron 15 % des patientspensent être allergiquesà la pénicilline. Unerecherche inter nationale amontré que cette idée esttrès souvent fausse.Pneumologue docteureInes Malysse : « Beaucoupde gens pensent qu’ils sontallergiques à la pénicillineparce qu’ils ont eu unépisode d’éruption cutanéelégère, de diarrhée oud’infection fongique aprèsun traitement aux bêtalactamines.Mais ce sont deseffets secondaires générauxdes antibiotiques et pas lessymptômes d’une allergie àla pénicilline. Ces derniersse manifestent sous la formede démangeaisons, d’éruptionscutanées, d’une chutede la tension artérielle, dedifficultés à respirer et degonflement des lèvres, de lalangue ou de la gorge. »RISQUESUn label erroné comportedes risques. Les quinoloneset autres antibiotiques alternatifssont plus coûteux,ont plus d’effets secondaireset toutes les bactéries n’ysont pas aussi sensibles.Leur mauvaise utilisationaugmente également lerisque de résistance auxanti biotiques dans lapopulation.Pneumologue docteureAnn-Catherine Soenen : « Leprojet pilote HOST au seindes services pré opératoiresd’Ypres, Roeselare et Tieltest une première tentative dedélabéliser les patients quipensent à tort êtreallergiques à la pénicilline.Nous voulons par la suitedéployer ce système danstout l’hôpital ainsi qu’enpremière ligne. »docteureInes Malysseet docteureAnn-CathérineSoenen7

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