Anticoccidiens : chimiques - AQINAC

Contrôler l’entérite nécrotique et la
coccidiose par l’alimentation
Dr Jean-Philippe Doyon, m.v.

Plan
La coccidiose et l’entérite nécrotique : pourquoi
devons-nous recourir à la prévention?
Définitions sur les antibiotiques et anticoccidiens
L’utilisation des facteurs de croissance
L’utilisation des anticoccidiens
Bonnes pratiques à la ferme
2

Entérite nécrotique
Clostridium perfringens
Bactérie sporulante très prévalente et résistante
découverte en 1961 à Paris
Flore normale
Produit des toxines
Nécessite un débalancement/dommage intestinal
Contrôle de la coccidiose
Certains facteurs alimentaires
Kenneth Todar, PhD
Stress environnementaux (eau, air, litière) et maladies
immunosuppressives
3

Entérite nécrotique
Forme clinique : mortalités sans signe clinique
principalement à 2 ½ semaines d’âge et plus, suivi de
manque d’activité, fièvre et diarrhée (litière humide)
Lésions intestinales typiques
Perte de performance générale
Autres répercussions possibles : hépatites
Forme sous-clinique : elle joue dans le portefeuille sans
vraiment de signe clinique le plus souvent.
Lésions intestinales non-typique
Lésions microscopiques : perte d’absorption
Perte de performance générale
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Coccidiose
Eimeria spp. :
Parasite unicellulaire très résistant et très prévalent
découvert au début des années 1900
acervulina, maxima et tenella principalement
Cause des lésions intestinales/caecales
Favorisé par :
Chaleur et humidité (sporulation)
Densité d’élevage
Stress environnementaux et maladies
immunosuppressives
Merck
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Coccidiose
Forme clinique : parfois des mortalités, fièvre, manque
d’activité et perte d’uniformité
Lésions intestinales typiques
Perte de performance générale
Forme sous-clinique : elle joue dans le portefeuille sans
vraiment de signe clinique le plus souvent.
Lésions intestinales typiques
Perte de performance générale
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Antibiotique et anticoccidien
Antibiotique : désigne toute drogue ou tout mélange de
drogues, […], lesquels sont préparés à partir de certains
microorganismes, ou l'ont été antérieurement, mais sont
maintenant fabriqués par synthèse, et sont doués de
propriétés inhibitrices de la croissance d'autres
microorganismes (A.C.I.A.)
Anticoccidien : médicament vétérinaire utilisé pour
contrôler la coccidiose chez les animaux, qui agit en
limitant la multiplication du parasite responsable de la
maladie (O.Q.L.F.)
Ionophore : Antibiotique avec une activité sur les coccidies.
Considéré antibiotique en raison de la nature de leur action
antimicrobienne et de leurs sources microbiennes
Chimique : Non antibiotique
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Facteurs de croissance
Historique : Dans les années 50, afin d’accroître la productivité
Méthode d’utilisation :
Antibioprophylaxie à spectre d’activité sélectif (gram +) et à
faible absorption
Buts :
Prévention de l’entérite nécrotique clinique et sous-clinique
Accroissement du gain de poids et amélioration des conversions
alimentaires
Mécanismes :
Réduction population bactérienne intestinale (nutriments) et de
l’inflammation et contrôle de la prolifération de Clostridium
perfingens
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Facteurs de croissance : liste
Nom générique
Nom
commercial
Dosage (ppm)
Retrait
F.C. (j)
Prévention
Sous homologation
traitement
Virginiamycine Stafac 11 22 0
Disalicylate de Méthylène de Bacitracine BMD 4.4 55 0
Bacitracine de Zinc Albac 4.4 55 0
Bambermycine Flavomycine 2 ND 0
Penicilline Procaïne Pen-110 2.2 ND 0
Chlortétracycline Plusieurs 110 ND 7
Oxytétracycline Plusieurs 110 ND 7
Lincomycine
Lincomycin
Lincomix
2.2 ND 0
Phosphate de Tylosine
Hors homologation
Tylan/Tylosin 11-22 200 0
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Facteurs de croissance
Plusieurs produits à la portée de la main…
Ils sont tous uniques :
Mécanisme d’action et spectre d’activité
Propriétés secondaires intéressantes ou non
Classement d’importance relative pour la médecine humaine
Rotations à faire : éviter les formations de résistances
acquises
Choix basé principalement sur le programme anticoccidien
dans le cadre des rotations
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Facteurs de croissance : quelques
exemples
Virginiamycine (Stafac) : Classe 2
Bonne activité contre le Clostridium perfringens, à 22 ppm
spécialement
Amélioration des performances zootechniques
documentée
Protection contre les stress thermiques
Bacitracine (BMD/Albac) : Classe 3
Bonne activité contre le Clostridium perfringens, à 55 ppm
spécialement
Amélioration des performances zootechniques
documentée
Amélioration de la qualité des litières
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Facteurs de croissance : quelques
exemples
Tylosine (Tylan/Tylosin) : Classe 2
Bonne activité contre le Clostridium perfringens
Amélioration des performances zootechniques nonofficiellement
documentée (hors homologation)
Bambermycine (Flavomycine) : Classe 4
Effet uniquement indirect sur le Clostridium perfringens à
cause des faibles dosages utilisés
Amélioration des performances zootechniques
documentée
Réduction du transfert de résistance sur plasmide
(conjugaison - pili)
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Facteurs de croissance : la résistance
en bref
Comment prévenir la résistance?
Rotation
Complexe!!!
De l’intérieur : mutation
De l’extérieur : transduction-conjugaison-transformation
ADN Bactérien (chromosomes) Plasmide (bonus)
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Anticoccidiens : introduction
Il faut comprendre que la coccidie, Eimeria spp., est :
Protozoaire très complexe
Très résistante et bien outillée
Elle est très prolifique!
Cycle de multiplication similaire entre les espèces
Chaque espèce de coccidie se comporte différemment
face aux anticoccidiens
Lésions intestinales typiques chez les poulets
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Anticoccidiens : Cycle Eimeria spp.
15

Anticoccidiens : Cycle Eimeria spp.
16

Anticoccidiens : historique
Avant les années 30 : Aucun espoir contre ce “nouveau” fléau
Utilisation des poudres à base de soufre ou à base de lait.
Dans les années 40 : Les “Sulfa” et les dérivés arsenicaux
(organiques)
Dans les années 50 : les premiers chimiques
Dans les années 60 : l’Amprolium
Dans les années 70 : les premiers ionophores
Depuis 2000 : rien…
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Anticoccidiens : historique
Ionophore
Amprolium
Chimique
Arsenicaux
« Sulfa »
18

Anticoccidiens : les deux familles
Les chimiques : anticoccidien de synthèse avec une
action spécifique sur les coccidies.
Les ionophores : anticoccidien produit de la fermentation
par des microorganismes (ex : des levures) ayant un
effet sur les coccidies et les bactéries. Multiples autres
cibles.
Les ionophores potentialisés : combinaison d’un
chimique avec un ionophore pour avoir un effet
synergique (réponse supérieure à l’effet additif des deux
[2+2=5]).
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Chimiques :
Anticoccidiens : mécanismes
d’action
Mécanisme d’action diverse
Interfèrent sur certaines fonctions métaboliques
spécifiques et essentielles à la multiplication de la
coccidie
Agit généralement sur les derniers stages de la
multiplication des coccidies
Rupture des schizontes peu limitée
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Ionophores :
Anticoccidiens : mécanismes
d’action
Mécanisme d’action semblable
Interfèrent avec le fonctionnement normal des pompes à
ions (Na, K, Ca, Mg)
Appel d’eau (osmose) extrême et éclatement de la
coccidie
Résistance relative des cellules animales vs coccidies
Effet sur les Gram + principalement (Clostridium)
Agit généralement sur les premiers stages de la
multiplication des coccidies
Limitation des ruptures de schizontes : à mettre en
contexte
L’Attracteur
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Anticoccidiens : chimiques
Nom
générique
Nom commercial Dosage (ppm) Retrait (jour)
Décoquinate Deccox 30 0
Robénidine Robenz 33 6
Clopidol Coyden 125 0
Halofuginone Stenorol 3 5
Zoalène Zoamix 125 0
Nicarbazine Nicarb 100-125 4
Diclazuril Clinacox 1 0
Amprolium Amprol 125-250 0
Arsenicaux
organiques
3-Nitro 50 5
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Anticoccidiens : ionophores
Nom générique Nom commercial Dosage (ppm) Retrait (jour)
Ionophores
Monensin Coban/Monensin 99 0
Salinomycine Plusieurs 60 0
Narasin Monteban 70 0
Maduramicine Cygro 5 5
Lasalocide Avatec 105 0
Nicarbazine-
Narasin
Ionophores potentialisés
Maxiban 40-40 4
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Anticoccidiens : gestion de la
résistance
Les rotations d’anticoccidiens existent uniquement pour
prévenir la résistance.
Elle se traduit par des échecs de la réponse à notre
prévention.
Les ionophores génèrent de la résistance lentement.
Les chimiques génèrent de la résistance rapidement.
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Anticoccidiens : gestion de la
résistance
Pression de sélection :
Souche sensible
Souche résistante
IONOPHORE CHIMIQUE
Immunisation Pas d’immunisation
25

Anticoccidiens : gestion de la
résistance
3 classes d’ionophores.
La résistance croisée entre deux molécules de la même
classe est beaucoup plus probable qu’entre deux molécules
de classes différentes
Monovalent Glycoside
Maduramicine
Semduramicine
Monovalent
Salinomycine
Monensin
Narasin
Divalent
Lasalocide
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Anticoccidiens : principes
d’utilisation
Il existe 3 grands principes d’utilisation dans les rotations
1. Programme continu (« Full/Straight »)
Utilisation d’une seule molécule durant un élevage entier
2. Programme combiné (« Shuttle »)
Utilisation de deux molécules différentes dans un même
élevage
3. Vaccination
Avec ou sans ionophore
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Anticoccidiens : en continu
Chimique continu :
Peu utilisé sur base régulière
Utile pour faire un « nettoyage » de coccidies
1 lot maximum
Risque de cassure (résistance) de programme
28

- Cl
Anticoccidiens : pic d’infection
(chimique)
World‘s Poultry Congress , 2008
29

Anticoccidiens : en continu
Ionophore continu :
Peu utilisé au Québec
Contrôle acceptable de la coccidiose générale
Augmentation de la pression d’infection dans le temps et
perte de performance graduellement
Permet le développement de l’immunité
Bénéfice sur le contrôle concomitant des entérites
bactériennes
Situation de réutilisation des litières
30

- Cl
Anticoccidiens : pic d’infection
(réutilisation litière/ionophore)
World‘s Poultry Congress , 2008
31

Anticoccidiens : combiné
Combiné chimique-ionophore :
Programme le plus utilisé au Québec actuellement
Chimique 0-21 (ou 28) jours / Ionophore 22 (ou 29) jours et plus
Offre un contrôle bien balancé
Efficacité des chimiques sans trop les exposer à de fortes
pressions d’infection (jeune âge)
Efficacité des ionophores sur une pression d’infection
grandissante sans trop de risque de résistance et bénéficier de
leur effet secondaire bénéfique sur les entérites bactériennes
en période critique
Permet une immunisation partielle
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-
Oocystes par gramme de fèces
Anticoccidiens : pic d’infection
(Québec)
100000
80000
60000
40000
20000
0
7 10 13 16 19 21 24 27 30 33 36
7d 10d 13d 16d 19d 21d 24d 27d 30d 33d 36d
Âge (jour)
Merck
33

Anticoccidiens : combiné
Combiné ionophore-chimique :
Très peu utilisé
Bénéfice semblable à l’ionophore en continu avec quelques
avantages potentiels
Pas de bénéfice sur les entérites bactériennes en fin de lot
Considération sur les résistances à court terme
34

Anticoccidiens : combiné
Combiné ionophore-ionophore :
Idem ionophore en continu
Risques de résistance moindre uniquement si on utilise deux
classes différentes
Combiné chimique-chimique :
Idem chimique en continu
Moins de risque de résistance qu’en continu
Brûlure accélérée de notre coffre à outil déjà limité
Risque de cassure de programme encore très présent
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Méthode :
Pulvérisation en cabinet au couvoir
Principe :
Les poussins doivent ingérer les oocystes et faire
quelques cycles générationnels des coccidies incluses
dans le vaccin et atteindre une immunité contre ces
souches
But :
Anticoccidiens : vaccination
Réversion de la résistance
Sans antibiotique
Rotation régulière
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Bénéfices:
Réversion résistance
Sans antibiotique
Performance similaire
Négatifs :
Anticoccidiens : vaccination
Risque de réactions secondaires à considérer : coccidiose
clinique/sous-clinique seule ou en combinaison avec entérite
nécrotique et perte de performances conséquente (avec ou
sans ionophore)
Modifications à la régie de départ à apporter pour éviter les
réactions secondaires au minimum (chaleur, humidité,
densité)
37

OPG
Anticoccidiens : pic d’infection
(vaccination)
200000
150000
100000
50000
0
7d 13d 19d 24d 30d 36d
Age
Vaccine only Merck
38

Anticoccidiens : gestion des
programmes au jour le jour
Il faut prendre en considération :
L’historique d’utilisation des molécules
Le spectre d’activité de chacun de ces anticoccidiens
La saison
Les effets secondaires
Le facteur de croissance
Les temps de retrait
La meunerie
Résultats de nos méthodes d’évaluation du programme
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Anticoccidiens : évaluation de
l’efficacité des programmes
Méthode d’évaluation fréquentes :
Nécropsie, score lésionnel et comptage d’oocystes au
grattage pour lecture microscopique
Comptage oocyste par gramme de fientes/litière
(OPG)
TSA (“AST”) : Test de sensibilité aux anticoccidiens
Performances zootechniques
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Anticoccidiens : évaluation de
l’efficacité des programmes
Méthode évaluation
OPG Nécropsie
Variation échantillonnage OUI NON
Détermination de la pathogénicité OUI/NON OUI
Détermination de l'espèce OUI/NON OUI
Corrélation sévérité de l'infection OUI/NON OUI
Corrélation performance OUI/NON OUI
Nécropsie permet aussi le visionnement d’autres facteurs
essentiels à l’interprétation de la santé générale :
Gumboro, entérite nécrotique clinique/sous-clinique,
dysbactériose, conditions respiratoires et septicémiques, etc.
41

Anticoccidiens : évaluation de
l’efficacité des programmes
Merck
42

Anticoccidiens : évaluation de
l’efficacité des programmes
TSA : Vérification d’une souche de coccidie particulière
face aux molécules
Traitement
Dosage
(g/t) (ppm)
Gain de poids
(Poids) (%)
Conversion
alimentaire
Cote
E.
maxima
Mortalité
cocci (%)
Cont. Négatif 0 0 1398 A 100 A 1.496 H 0.0 D 0.0
Cont. Positif 0 0 947 H 68 H 2.140 ª 2.6 A 0.0
A 81.6 90 1181CDE 85CDE 1.806DEF 1.8B 0.0
A+E 81.6/45.
4
90/50 1266BC 91BC 1.665FGH 1.6B 0.0
B 60 66 1023GH 73GH 1.940BCD 1.5B 0.0
B+E 60/45.4 66/50 1152DEF 83DEF 1.806DEFG 1.5B 0.0
C 90.9 100 1028GH 73GH 2.098AB 1.8B 0.0
D 30 33 1329AB 95AB 1.622GH 0.7C 0.0
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Bonnes pratiques à la ferme
Litière humide augmente fortement les risques
d’avoir des problèmes d’entérite nécrotique et de
coccidiose.
Sporulation des coccidies
Multiplication bactérienne générale
Contrôle de la ventilation est primordial
État et régie du système d’abreuvement
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Bonnes pratiques à la ferme
Accès à l’alimentation sans interruption
Qualité de l’eau
Lavage-Savonnage-Désinfection-Fumigation :
1 à 2 fois par année préférablement
Diminution du microbisme général et diminution de la pression
d’infection des maladies immunosuppressives et autres
Aucun produit efficace sur les coccidies. Action mécanique
(dilution)
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Bonnes pratiques à la ferme
Vide sanitaire : quand le chat est parti, les souris dansent.
Quand les poulets sont partis, le party est fini.
Contrôle des ténébrions : porteurs
Densité d’élevage :
Plus la densité est élevée, plus il y a de multiplication des
pathogènes. C’est exponentiel et non linéaire!
Régie des conditions environnementales plus difficile
Programme de lumière : amélioration de la santé et des
fonctions métaboliques
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Conclusion
L’entérite nécrotique et la coccidiose sont des maladies
avec impacts importants pour l’industrie
Performances et programme préventif
On ne peut pas vivre sans, mais on doit les limiter au
maximum
De sérieux problèmes dans certains pays même encore
aujourd’hui
Moyens de contrôle actuels
Comment arrivons-nous à bien réussir? Différentes manières,
différents buts et objectifs
La régie à la ferme est primordiale à la réussite des
programmes
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Merci de votre attention
QUESTIONS ?
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