Théâtre - Le Maillon
Théâtre - Le Maillon
Théâtre - Le Maillon
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4 Poste photographies /<br />
03 88 27 61 81<br />
03 88 24 88 24<br />
www.le-maillon.com www.tns.fr<br />
graphisme<br />
5 /6 /7 /8<br />
juin 2008<br />
JEU<br />
VEN<br />
SAM<br />
DIM<br />
STRASBOURG<br />
FESTIVAL<br />
Premières<br />
JEUNES METTEURS<br />
EN SCÈNE EUROPÉENS<br />
e édition<br />
4
<strong>Le</strong>-<strong>Maillon</strong> est subventionné par la Communauté<br />
Urbaine et la Ville de Strasbourg, le Ministère<br />
de la Culture et de la Communication – DRAC Alsace<br />
« L’Union des <strong>Théâtre</strong>s de l’Europe bénéficie<br />
du soutien de l’Union européenne dans le cadre<br />
de la ligne budgétaire soutien à des organisations<br />
d’intérêt culturel européen. »<br />
Direction régionale<br />
des affaires culturelles<br />
Alsace<br />
Ont participé à la programmation du Festival Premières 2008 :<br />
Géraud Didier, Barbara Engelhardt, Bernard Fleury, Didier Juillard,<br />
Olga Tkachenko ; Gaetan Gromer pour la musique.<br />
Remerciements : Yannick, sa voiture jaune et sa grand-mère<br />
<strong>Le</strong> TNS est subventionné par le Ministère<br />
de la Culture et de la Communication<br />
Région de Omsk<br />
Premières, quatrième édition : rappelons les règles du jeu auquel <strong>Le</strong>-<strong>Maillon</strong><br />
et le TNS vous invitent. De jeunes metteurs en scène européens, juste sortis d’école<br />
ou au tout début de leurs parcours professionnels, sont conviés à Strasbourg pour<br />
présenter leurs premiers travaux.<br />
<strong>Le</strong>s spectacles invités sont ainsi de formes très variées : mises en scène de sortie d’école,<br />
premiers spectacles réalisés en compagnie ou bien au sein d’un théâtre-ensemble.<br />
Cette année, les élèves de l’école du TNS sont eux-mêmes de la partie avec deux<br />
spectacles de fin d’études, comme leurs collègues de Hambourg, de Berlin et de Zurich ;<br />
d’autres metteurs en scène viennent de créer ou d’intégrer une compagnie comme ceux<br />
de Bruxelles, Porto ; enfin, deux sont produits par des théâtres d’Omsk et Budapest.<br />
À chaque fois, par conséquent, des formes et des sujets, mais aussi des contextes<br />
nationaux de production et d’expression très différents. Ne percevrait-on pas, en même<br />
temps, une expression commune, comme générationnelle, du monde que ces jeunes<br />
artistes présentent et auscultent ? Pendant Premières, à travers eux, c’est aussi cet<br />
« en commun » européen – ou prétendu tel – qui sera l’enjeu final de notre imaginaire.<br />
Quatre jours de marathon théâtral auquel nous vous convions, spectateurs et professionnels,<br />
dans un esprit de fête et de nouvelles découvertes, de rencontres multiples entre artistes<br />
et public, au-delà des représentations et jusque tard dans la soirée…<br />
Stéphane Braunschweig<br />
Directeur<br />
TNS<br />
FESTIVAL<br />
Premières<br />
JEUNES METTEURS<br />
EN SCÈNE EUROPÉENS<br />
Bernard Fleury<br />
Directeur<br />
<strong>Le</strong>-<strong>Maillon</strong>
MAILLON-WACKEN TNS / Salle Gignoux<br />
Bobby Fischer<br />
vit à Pasadena<br />
de Lars Norén<br />
mise en scène Peggy Thomas Cie <strong>Le</strong>s Orgues Belgique<br />
jeu 5 juin 19h30 ven 6 juin 21h15 sam 7 juin 21h30 durée 1h30<br />
production <strong>Le</strong>s Orgues, compagnie subventionnée par la Communauté Française<br />
et accueillie en création par le <strong>Théâtre</strong> <strong>Le</strong>s Tanneurs, Bruxelles<br />
Sur un plateau à l’élégance toute minimaliste,<br />
ils ont la silhouette de leur personnage<br />
et sont quatre. <strong>Le</strong> fils, autiste, sort d’un séjour<br />
en hôpital psychiatrique. La fille, désœuvrée,<br />
affiche son réel problème avec l’alcool.<br />
Quant aux parents, ils s’évertuent à faire<br />
couple en dépit du désamour dont atteste<br />
leur vie commune. Ce qui réunit ce quatuor,<br />
c’est la famille. Ou plutôt une famille type<br />
de la bourgeoisie moyenne de la Suède de<br />
la fin des années 80. Un précipité d’individus<br />
que la relation contrainte a mis ensemble<br />
et que Lars Norén observe ici dans ce qu’il<br />
recèle de non dits, de tensions, d’intimité<br />
et de belles phrases toutes faites.<br />
Assauts et esquives. La pièce se joue comme<br />
une partie d’échec. L’humour en est le mode<br />
opératoire, dilatant le contexte jusqu’à<br />
atteindre cette forme de comique absurde<br />
qui force au constat et à la réflexion.<br />
Photos : D. R.<br />
Peggy Thomas, française, s’est expatriée en<br />
Belgique pour se former au métier de comédienne.<br />
En 2001, elle intègre le Conservatoire de Mons.<br />
Elle y mène parallèlement un travail de recherche<br />
sur la réappropriation des principes du théâtre<br />
de Meyerhold. Assistante à la mise en scène<br />
d’un projet réalisé au théâtre Varia en 2005,<br />
elle signe avec Bobby Fischer vit à Pasadena<br />
sa toute première mise en scène.<br />
Four characters share a minimalist stage: an autistic<br />
son, an alcoholic daughter, and their parents,<br />
both decided on playing happy couple in spite of<br />
everything. These actors are brought together to<br />
depict the small world of the family in middle-class<br />
Sweden at the end of the 80’s. Lars Norén displays<br />
for us the absurd and farcical contest taking place<br />
behind closed doors, during which uneasiness<br />
and bottled-up feelings are everybody’s favourite<br />
ammunition. French Peggy Thomas moved to Belgium<br />
to train as an actress and joined, in 2001,<br />
the Mons Conservatory.<br />
4<br />
5<br />
O Nome das Ruas<br />
spectacle de Alfredo Martins Portugal<br />
jeu 5 juin 21h30 ven 6 juin 21h durée 1h15<br />
en portugais surtitré<br />
production teatro meia volta e depois à esquerda quando eu disser, Porto<br />
<strong>Le</strong> corps, par lui seul, est créateur d’un langage.<br />
Ici il prend place, construisant une imagerie<br />
scénique en s’associant à plusieurs domaines<br />
artistiques (danse, clown, arts plastiques,<br />
musique, littérature) comme autant de moyens<br />
de réflexion sur notre condition humaine.<br />
Portrait d’antihéros, ce spectacle cherche<br />
à comprendre comment s’articulent le social<br />
et l’individuel, comment les sujets sont isolés<br />
progressivement au sein de la société.<br />
Témoignage sur l’homme présenté en tant<br />
que paradoxe entre beauté et horreur, cette<br />
proposition, profondément visuelle, trouve<br />
son fondement dans un langage théâtral non<br />
réaliste et dans une logique de déconstruction<br />
de la narration.<br />
Photos : Filipe Silva<br />
meia volta, collectif fondé en 2005 et animé<br />
par Alfredo Martins et Sílvia Silva,<br />
anciens élèves de l’École d’art dramatique<br />
de Porto, développe un langage théâtral proche<br />
de la performance associant danse, vidéo<br />
et matériau littéraire. O Nome das Ruas<br />
est leur troisième projet créé à Porto fin 2006,<br />
après Vou contar uma história en 2005<br />
et Projecto-banheiro, projet pluridisciplinaire<br />
créé en 2006.<br />
Our body alone creates a language, that this piece<br />
blends with various artistic fields in order to explore<br />
the human condition within the framework<br />
of theatrical performances. Through the portrayal<br />
of an anti-hero, they explore the gradual isolation<br />
of the individual within society, and ask why man<br />
is under the permanent sway of both beauty and<br />
horror. Alfredo Martins and Sílvia Silva, both from<br />
Porto’s Drama School, co-founded a theatre<br />
company in 2005.
MAILLON-WACKEN MAILLON-WACKEN<br />
La Perspective Nevski<br />
d’après « Nouvelles de Pétersbourg » de Nicolaï Gogol<br />
mise en scène Timofey Kuljabin Russie<br />
jeu 5 juin 21h30 ven 6 juin 18h30<br />
sam 7 juin 19h dim 8 juin 17h durée 2h<br />
en russe surtitré<br />
production Drama Theatre, Omsk<br />
<strong>Le</strong> spectacle est construit à partir<br />
de quatre nouvelles de Nicolaï Gogol,<br />
<strong>Le</strong> Nez, <strong>Le</strong> Manteau, <strong>Le</strong> Journal d’un fou<br />
et La Perspective Nevski, appartenant<br />
au recueil Nouvelles de Pétersbourg.<br />
Un récit homogène ressort de l’emboîtement<br />
de ces histoires, grâce au travail dramaturgique<br />
du metteur en scène Timofey Kuljabin.<br />
Comme souvent chez Gogol, les petits<br />
personnages perturbent régulièrement<br />
le récit. Ici, ils l’envahissent au détriment<br />
des personnages principaux, au profit<br />
du grotesque et de l’absurde, dans la farce<br />
comme dans la tragédie. <strong>Le</strong> tout est servi<br />
par des comédiens rompus au théâtre russe<br />
de répertoire, parfois accompagnés de<br />
la musique d’Alfred Schnittke, compositeur<br />
soviétique « polystyliste » d’après-guerre,<br />
connu notamment pour sa Gogol Suite.<br />
Photos : Andrei Koudriavtsev<br />
Né en 1984 à Novossibirsk (Sibérie), Timofey<br />
Kuljabin a étudié à l’École du GITIS à Moscou.<br />
<strong>Le</strong> Nez de Nikolaï Gogol est son travail de sortie<br />
d’école qu’il reprit en 2006 avec les comédiens<br />
du <strong>Théâtre</strong> Drama d’Omsk, mais en élargissant<br />
le choix des textes ; ainsi est née La Perspective<br />
Nevski. Depuis, il a monté La Dame de Pique<br />
de Pouchkine, le Numéro mortel d’Antonov<br />
au théâtre La Torche rouge de Novossibirsk<br />
et Livejournal au <strong>Théâtre</strong> russe de Riga.<br />
This piece is built around four stories by Nicolaï<br />
Gogol: The Nose, The Overcoat, Notes of a Madman,<br />
and Nevsky Prospekt. This play is carried along<br />
by actors making full use of the strong Russian<br />
theatrical tradition, as well as by the accompanying<br />
music by Alfred Schnittke, a Soviet composer. Born<br />
in 1984 in Novosibirsk, Siberia, Timofey Kuljabin<br />
studied at the GITIS in Moscow. He created<br />
Nevsky Prospekt following his graduation work<br />
about Gogol at the Drama Theatre in Omsk.<br />
6<br />
7<br />
The Frankenstein Project<br />
texte Kornél Mundruczó et Yvette Bíró<br />
idée originale et mise en scène Kornél Mundruczó Hongrie<br />
jeu 5 juin 21h30 ven 6 juin 15h et 21h<br />
sam 7 juin 15h et 21h30 durée 2h50, entracte inclus<br />
en hongrois surtitré<br />
production Bárka Színház, Budapest<br />
Qu’est-ce que la « normalité » ? De quoi<br />
cherchons-nous à nous différencier ?<br />
Quand nous sentons-nous menacés ?<br />
Dans The Frankenstein Project, le « monstre »<br />
quitte les territoires dans lesquels nous<br />
l’enfermons d’ordinaire : dans des institutions<br />
sociales ou dans notre subconscient qui<br />
se garde bien de laisser remonter à la surface<br />
tout ce que la majorité catalogue comme<br />
« anormal ».<br />
<strong>Le</strong> cadre de vie : un container, dans lequel<br />
les spectateurs sont invités à prendre place.<br />
<strong>Le</strong>s protagonistes : en marge de la société.<br />
Une langue minimaliste, mais qui va droit<br />
au but. Mundruczó raconte l’histoire d’êtres<br />
humains, ce qu’ils deviennent au cours<br />
d’une vie, sans simplement accuser les<br />
circonstances. <strong>Le</strong> drame social ne l’intéresse<br />
pas. Au lieu de cela, il parvient, dans<br />
une troublante intrigue policière à révéler<br />
l’intériorité des personnages. Car nos<br />
démons, nous les créons nous-mêmes.<br />
Photos : Erdély Matyas<br />
Kornél Mundruczó, né en 1975, suit des<br />
formations au jeu et à la réalisation audiovisuelle<br />
àl’Université hongroise de cinéma et d’art<br />
dramatique. Depuis 1999, il réalise plusieurs courts<br />
et longs métrages. À partir de 2003, il s’intéresse<br />
plus particulièrement au théâtre. Il co-écrit<br />
The Frankenstein Project, avec Yvette Bíró<br />
et le crée en 2007 au <strong>Théâtre</strong> Bárka de Budapest.<br />
Deux de ses spectacles, The Ice et Nibelung-<br />
Residency, ont été présentés à l’étranger.<br />
The world is here delimited by a container, and we,<br />
the spectators, are in the middle of it. In an unsettling<br />
balance between theatre and reality, Kornél<br />
Mundruczó tells us how circumstances, and Man<br />
himself, shape life. This is no social drama but<br />
a minimalist detective story that questions our<br />
relationship to the Other, to the Abnormal. Trained<br />
at the Hungarian University of Drama and Cinema,<br />
Kornél Mundruczó has been directing movies since<br />
1999 and has taken an interest in theatre since 2003.
TNS / Salle Koltès ESPACE KABLÉ / Studio<br />
Spieltrieb<br />
d’après le roman « La Fille sans qualités » de Juli Zeh<br />
adapté pour le théâtre par Bernhard Studlar<br />
mise en scène Heike M. Götze Suisse<br />
ven 6 juin 19h sam 7 juin 19h durée 1h20<br />
en allemand surtitré<br />
production Hochschule der Künste, Zürich<br />
Ada et Alev se disent « arrière-petits-enfants<br />
des nihilistes » : pas de valeurs, pas de morale,<br />
pas de besoins – ou du moins avoués. La vie<br />
n’est excitante que dans la manipulation des<br />
autres : le professeur Smutek est bientôt pris<br />
dans le jeu perfide d’un chantage sexuel.<br />
<strong>Le</strong> roman de Juli Zeh interroge notre système<br />
de valeurs par le biais de deux adolescents<br />
en butte avec le monde. Dans la mise en scène<br />
de Heike M. Götze, les regards jetés sur<br />
ces personnages complexes sont clairement<br />
chorégraphiés : les corps parlent d’eux-mêmes,<br />
le langage énergique et direct des mouvements<br />
et des costumes montre sans expliquer.<br />
Avec des comédiens qu’elle a délibérément<br />
choisis jeunes, la metteuse en scène crée<br />
ainsi des images et des métaphores pour<br />
un conflit qui ne permet plus de distinguer<br />
avec certitude le bien du mal.<br />
Photos : Bernhard Fuchs<br />
Après des études en ergothérapie et psychologie,<br />
Heike M. Götze, née en 1978, se forme à la mise<br />
en scène à l’École de théâtre de Zurich<br />
(Hochschule der Künste) à partir de 2004.<br />
Elle a, entre autres, été l’assistante de Luk Perceval<br />
et de George Tabori. Pendant son cursus, elle a monté<br />
des textes de Jelinek, Tabori, Anouilh et Bärfuss.<br />
Spieltrieb constitue son travail de fin d’études.<br />
Two teenagers calling themselves “the great<br />
grand-children of the nihilists” draw people around<br />
them into a vicious game, in which the lines<br />
between good and evil become gradually blurred.<br />
Acting is fast-paced and radically physical,<br />
allowing the director and her young actors to create<br />
a visual language that works complex characters<br />
out, without having to provide psychological<br />
explanations. Spieltrieb is Heike M. Götze’s<br />
graduation work from the Zurich Theatre School.<br />
8<br />
9<br />
Cris et chuchotements<br />
d’après Ingmar Bergman<br />
mise en scène Rémy Barché<br />
dramaturgie Pauline Thimonnier France<br />
ven 6 juin 19h sam 7 juin 16h30 dim 8 juin 17h durée 1h40<br />
production Atelier-spectacle de sortie de l’École du <strong>Théâtre</strong> National de Strasbourg<br />
Entrée libre. Réservation obligatoire au 03 88 24 88 24<br />
Trois sœurs, dont l’une est en train de mourir,<br />
se retrouvent dans leur maison d’enfance,<br />
en compagnie d’Anna, leur domestique.<br />
Dans cette situation extrême qu’est l’attente<br />
de la mort, Bergman confronte ses personnages<br />
à leur capacité à aimer, à donner du réconfort<br />
et à faire preuve de bonté.<br />
Dans le film, ces femmes d’une quarantaine<br />
d’années évoluent dans le contexte puritain<br />
de la fin du XIX e siècle, pétri de conformisme<br />
bourgeois, dans un intérieur abusivement<br />
rouge, étouffant et infernal, à l’image<br />
de l’incessant tic-tac des pendules.<br />
À une vision du cinéaste répond un univers<br />
scénique contemporain : des jeunes femmes<br />
d’aujourd’hui, élevées dans le confort<br />
d’une maison artificielle et pétillante,<br />
que tout destinait au bonheur…<br />
Photos : Élisabeth Carecchio<br />
Rémy Barché intègre la section Mise en<br />
scène/Dramaturgie de l’École du TNS en 2005.<br />
Il y crée <strong>Le</strong> Cas Blanche-Neige de Barker et assiste<br />
Daniel Jeanneteau et Marie-Christine Soma<br />
sur <strong>Le</strong>s Assassins de la charbonnière d’après<br />
Labiche et Kafka. Il a été élève stagiaire auprès<br />
de Stéphane Braunschweig, Frédéric Fisbach<br />
et Bernard Sobel.<br />
Three sisters meet again at their childhood home<br />
but one of them is dying. Confronting the terrible<br />
experience of death is a way for Bergman’s<br />
characters to question their ability to love and<br />
to show kindness to others. Whilst the oppressive<br />
atmosphere of the film can still be felt on stage,<br />
the set is contemporary. The sisters too, are of our<br />
time – three women who should have led happy<br />
lives. Cries and Whispers is the graduation work<br />
of Rémy Barché and Pauline Thimonnier, both<br />
trained at the TNS school.
ESPACE KABLÉ / Hall TJP / Petite scène<br />
Macbeth (inquiétudes)<br />
d’après William Shakespeare et Heiner Müller<br />
mise en scène Caroline Guiéla<br />
adaptation et dramaturgie Alexandre Plank France<br />
ven 6 juin 21h30 sam 7 juin 19h dim 8 juin 14h30 durée 1h45<br />
production Atelier-spectacle de sortie de l’École du <strong>Théâtre</strong> National de Strasbourg<br />
Entrée libre. Réservation obligatoire au 03 88 24 88 24<br />
Un royaume se décompose. <strong>Le</strong> vieux roi<br />
est assassiné. <strong>Le</strong> couple Macbeth s’empare<br />
de la couronne. Certains de leurs proches<br />
fuient. D’autres restent. Cécité. Jalousie.<br />
Trahison. Tous cherchent une issue. Siècle<br />
de l’inquiétude. Pour conserver le trône,<br />
les Macbeth assassinent. Amis. Femmes.<br />
Enfants. Un règne amer prend forme.<br />
Exaltation. Paranoïa. Accablement. <strong>Le</strong> couple<br />
se retranche. Se barricade. L’angoisse chemine.<br />
Conserver le pouvoir. Assassiner encore.<br />
S’aveugler d’autant plus. <strong>Le</strong> cauchemar<br />
s’immisce. <strong>Le</strong>s morts resurgissent. Agitation.<br />
Apathie. Dépression. Conserver le pouvoir.<br />
Dormir. Se barricader. Dormir. Conserver<br />
le pouvoir. Ne pas sombrer. Se barricader.<br />
Attendre. S’égosiller enfin. Faire sombrer<br />
avec soi l’immense univers.<br />
Photos : Élisabeth Carecchio<br />
Comédienne de formation, Caroline Guiéla<br />
intègre la section Mise en scène/Dramaturgie<br />
de l’École du TNS en 2005. Elle y met en scène<br />
Andromaque de Racine dans l’adaptation<br />
d’Alexandre Plank avec qui elle collabore<br />
régulièrement et assiste Richard Brunel à la mise<br />
en scène du <strong>Théâtre</strong> ambulant Chopalovitch<br />
de Simovitch. Elle a été élève stagiaire auprès<br />
de Guy Alloucherie et de Jean-François Sivadier.<br />
A kingdom is breaking down. The old King<br />
is murdered. The Macbeths seize the crown.<br />
And barricade themselves in. Distressing days<br />
of anguish follow. Hold on to power. Sleep. Holler.<br />
Eventually taking down with them the vast<br />
universe. For this TNS school graduation work,<br />
Caroline Guiéla stages Alexandre Plank’s<br />
adaptation from Shakespeare and Müller’s texts.<br />
10<br />
11<br />
don’t wanna die<br />
watching Spiderman 3<br />
spectacle conçu par Antú Romero Nunes, Simon Bauer<br />
et Nils Kahnwald Allemagne<br />
ven 6 juin 21h30 sam 7 juin 15h durée 1h<br />
en allemand surtitré<br />
production Universität der Künste, Berlin / Hochschule für Schauspielkunst Ernst Busch, Berlin<br />
Qu’est ce que Spiderman et Donald ont à voir<br />
avec nos projets de vie ? Pourquoi, lorsque<br />
nous pensons à l’amour, ne défilent souvent<br />
dans nos têtes que des films ? L’amour n’est-il<br />
finalement rien d’autre qu’un sentiment<br />
comme la peur – que l’on peut dominer ?<br />
Dans leur performance drôle et pertinente,<br />
les deux comédiens Simon Bauer et Nils<br />
Kahnwald et le metteur en scène Antú Romero<br />
Nunes interrogent les images de l’amour,<br />
de ce qui est « romantique », de la famille,<br />
du « parcours biographique idéal » que<br />
nous traînons derrière nous. <strong>Le</strong> cinéma<br />
commercial d’Hollywood, mais aussi l’art<br />
et la philosophie nous offrent une iconographie<br />
de l’amour – avec toutes les représentations<br />
que cela implique du héros charmant,<br />
qui nonchalamment sauve le monde<br />
et conquiert les cœurs.<br />
Photos : Antu Romero Nunes<br />
Antú Romero Nunes, né en 1983 à Tubingen<br />
(Allemagne), met en scène, joue et écrit pour<br />
des compagnies indépendantes allemandes.<br />
Assistant sur des productions théâtrales<br />
et cinématographiques au Chili, il intègre en 2005<br />
l’École de théâtre Ernst Busch à Berlin pour<br />
se former à la mise en scène. Il est sollicité par<br />
les deux acteurs Simon Bauer et Nils Kahnwald,<br />
tous deux élèves-acteurs de l’Universität<br />
der Künste à Berlin, pour les accompagner<br />
dans un projet de fin d’études.<br />
Cinema, literature, and comics: we are bombarded<br />
by images which affect us in the sense that they<br />
shape our notions of love and family, or hint at<br />
what steps we ought to take in order to live the<br />
ideal life. Two student-actors from the Berlin<br />
University of Arts (UdK) and their student stage<br />
director from the Ernst Busch School in Berlin,<br />
play with these grotesque representations of<br />
our feelings in a comical and surprising way.
TJP / Petite scène TNS / Salle Gignoux<br />
Sinn<br />
de Anja Hilling<br />
mise en scène Alice Buddeberg, Alexander Krebs, Nina Mattenklotz,<br />
Hanna Müller, Carola Unser Allemagne<br />
sam 7 juin 21h30 dim 8 juin 14h durée 2h20<br />
en allemand surtitré<br />
production Thalia Theater Hamburg / Theaterakademie Hamburg<br />
Cinq sens, cinq scènes : la jeune auteure<br />
Anja Hilling entrelace avec art des histoires<br />
d’amours et d’amitiés, des rencontres<br />
et des liaisons. Cinq jeunes metteurs en scène<br />
les portent sur le plateau, de sorte que<br />
les récits prennent chacun une dimension<br />
qui leur est propre tout en entretenant<br />
une forme de dialogue les uns avec les autres.<br />
Intitulés « Yeux », « Nez », « Peau »,<br />
« Oreilles » et « Langue », ils nous parlent<br />
du fait d’être aveugle, de sentir, de couper,<br />
d’entendre, de se taire et de goûter. <strong>Le</strong>s moyens<br />
étant minimaux, le jeu durant ces cinq duos<br />
est d’autant plus saisissant : dix jeunes<br />
gens explorent leurs cinq sens jusqu’à<br />
de dangereuses limites, car ce n’est que<br />
dans l’extrême que le monde peut être<br />
ressenti et, au sens premier, faire sens.<br />
Photos : Simone Scardovelli<br />
Alice Buddeberg (*1982), Alexander Krebs<br />
(*1978), Nina Mattenklotz (*1980), Hanna Müller<br />
(*1983) et Carola Unser (*1974) sont les cinq<br />
étudiants metteurs en scène qui forment<br />
la promotion sortante de la Theaterakademie<br />
de Hambourg en 2008. Chacun a mis en scène<br />
un des cinq tableaux constituant la pièce de<br />
la jeune dramaturge Anja Hilling, commandée<br />
pour un projet parallèle entre la Theaterakademie,<br />
le Thalia Theater de Hambourg et la Comédie<br />
de Saint-Étienne.<br />
The five senses have five directors for five intense<br />
pieces telling us extreme but poetic stories about<br />
love, friendship, and chance meetings. Entitled<br />
“Eyes”, “Nose”, “Skin”, “Ears”, and “Tongue”,<br />
each of these pieces drives one of our senses<br />
to the limits, often in an unexpected manner.<br />
All five directors have just graduated from<br />
the Hamburg Theatre Academy.<br />
12<br />
13<br />
Chuck Norris doesn’t<br />
sleep, he waits…<br />
conception, mise en scène et interprétation Danai Anesiadou,<br />
Hans Bryssinck & Diederik Peeters Belgique<br />
dim 8 juin 19h30 durée 1h10<br />
production Margarita Production pour The Other vzw, Bruxelles<br />
avec le soutien de Vlaamse overheid, het Brussels Hoofdstedelijk Gewest<br />
Qu’est devenu le charme discret de<br />
la bourgeoisie ? Dans leur pièce au titre<br />
énigmatique, ces trois artistes<br />
pluridisciplinaires incarnent, chacun<br />
à leur tour, la décadence des icônes<br />
cinématographiques. Au centre de ce projet<br />
composé de tableaux vivants aussi absurdes<br />
que strictement chorégraphiés, on trouve<br />
la représentation filmique de l’ennui<br />
aristocratique. Nos innocents protagonistes<br />
tombent dans un labyrinthe infernal de codes<br />
archaïques et de rituels hermétiques,<br />
un tunnel sans fin d’antiques et grotesques<br />
horreurs passées en boucle jusqu’au<br />
burlesque. Cette mise en scène surréaliste<br />
et décalée de l’effroyable quotidien stimule<br />
l’imaginaire en oubliant toutes les conventions.<br />
Photos : Giannina Urmeneta Ottiker<br />
Hans Bryssink, formé aux Beaux-Arts<br />
de Gand et à l’Institut DasArts d’Amsterdam,<br />
a travaillé comme costumier, dramaturge<br />
et performeur avec <strong>Le</strong>s Ballets C. de la B.<br />
et le Wooster Group. Diederik Peeters, diplômé<br />
en arts visuels à Gand, a joué avec G. Cassiers,<br />
A. Platel, J. Fabre,… Ensemble, ils ont réalisé<br />
plusieurs spectacles et installations. Pour cette<br />
création, ils ont été rejoints par la costumière,<br />
scénographe et plasticienne Danai Anesiadou,<br />
également formée aux Beaux-Arts de Gand<br />
et à DasArts.<br />
Why are the rich and famous no longer an attractive<br />
example to follow? Hans Bryssik and Danai Anesiadou,<br />
both graduates from Gant’s Beaux Arts and from<br />
DasArts in Amsterdam, and Diederik Peeters,<br />
a graduate in visual arts from Gant, investigate<br />
and embody, each in turn, the aristocratic-like<br />
decadence of past icons with the support of various<br />
film techniques, creating pieces that are as absurd<br />
as they are tightly choreographed.
« Premières nouvelles »,<br />
le journal du festival<br />
Depuis deux ans, le département des Arts<br />
du Spectacle de l’Université Marc Bloch,<br />
en collaboration avec le TNS et <strong>Le</strong>-<strong>Maillon</strong>,<br />
propose à ses étudiants de concevoir, rédiger<br />
et réaliser un bulletin quotidien Premières<br />
nouvelles autour des spectacles et des artistes<br />
du festival. Disponible tous les jours dans<br />
les différentes salles.<br />
« OutreScène » n°10 et 11<br />
Deux nouveaux numéros de la revue du TNS<br />
OutreScène 10 TNS 2000-2008 : Récits d’acteurs<br />
À l’occasion du départ de Stéphane Braunschweig<br />
du TNS, ce numéro donne la parole aux acteurs<br />
pour raconter leur travail au cours des 15 spectacles<br />
créés par la troupe du TNS depuis 2000.<br />
OutreScène 11 Pouvoirs de l’émotion<br />
Ce numéro interroge la nature et la place<br />
de l’émotion théâtrale dans un paysage politique<br />
et social constamment traversé de courants<br />
émotifs (entretiens avec Alain Buffard, Guy Cassiers,<br />
Jacques Delcuvellerie, Wajdi Mouawad,<br />
Joël Pommerat et avec le sociologue Éric Fassin).<br />
outrescene@tns.fr<br />
Brunch-rencontre<br />
Samedi 7 juin à 11h30<br />
Entrée libre<br />
<strong>Le</strong>s grands récits du répertoire théâtral<br />
constituent-ils encore une source pour<br />
les jeunes metteurs en scène d’aujourd’hui ?<br />
Par « les grands récits », nous n’entendons<br />
pas seulement les grands classiques (Sophocle,<br />
Racine, Shakespeare, Molière…), mais aussi<br />
Tchekhov, Brecht, Ibsen, voire Beckett, Bond, Vinaver.<br />
Il s’agit de parler ici, bien sûr, du personnage<br />
et de l’acteur, du texte et de la re-présentation,<br />
de ce qui se passe sur scène / ce qui se passe<br />
dans la vie aujourd’hui. Quel est le rôle alors des<br />
« grands récits » dans cette affaire : un vieux<br />
souvenir, une source d’inspiration, un exercice<br />
incontournable, le lieu d’une redéfinition ?<br />
Sous la conduite de Hugues <strong>Le</strong> Tanneur,<br />
journaliste aux Inrockuptibles, nous souhaitons<br />
demander témoignage à quelques jeunes metteurs<br />
en scène invités pour Premières afin d’ouvrir<br />
ensuite le débat avec le public et les professionnels<br />
qui sont cordialement conviés à cette rencontre.<br />
Ateliers / échanges<br />
Premières, c’est aussi l’occasion d’échanges entre<br />
élèves de différentes écoles de théâtre en Europe<br />
dont celle du TNS. Depuis plusieurs années,<br />
des stages se mettent régulièrement en place,<br />
notamment à la PSWT de Cracovie, au DAMU<br />
de Prague, à l’école du Piccolo Teatro de Milan, etc...<br />
permettant ainsi aux élèves metteurs en scène,<br />
dramaturges, mais aussi acteurs de découvrir<br />
d’autres pratiques.<br />
14<br />
15<br />
MAILLON-WACKEN<br />
Yorgui Loeffler Trio<br />
feat. Pascal Schumacher<br />
Clôture du festival<br />
jazz manouche / vibraphone première française<br />
dim 8 juin 21h11 durée 1h30<br />
coproduction LCTO – CCRN<br />
Yorgui Loeffler, jeune guitariste manouche,<br />
révélation 2003 du Festival International de jazz<br />
de Juan-les-Pins, a constitué avec Gigi Loeffler<br />
et Gino Roman un trio qui revisite le répertoire<br />
du swing manouche avec une virtuosité<br />
et une énergie toutes nouvelles. De nombreuses<br />
compositions prouvent que manifestement<br />
les héritiers de Django n’ont pas l’intention<br />
de rester dans l’ombre du maître. Son premier album<br />
a été salué par la critique et l’on se réfère<br />
à lui comme à l’un des guitaristes les plus<br />
intéressants de sa génération. <strong>Le</strong> vibraphoniste<br />
luxembourgeois Pascal Schumacher a déjà, quant<br />
à lui, trois albums à son actif et des tournées<br />
qui l’ont mené jusqu’en Australie et en Afrique<br />
du Sud. Il s’est vu décerner de nombreux prix,<br />
parmi lesquels le Django d’Or 2005 dans la catégorie<br />
New Talent.<br />
Photo : Martine de Lagardère<br />
« L’on sent de suite la sensibilité et l’ouverture<br />
d’esprit de chacun de ces musiciens à la présence<br />
et à la maîtrise irréprochables, la joyeuse confiance<br />
avec laquelle ils se plient aux exigences et aux idées<br />
de chacun. Pascal Schumacher se pose en poète<br />
insatiable, basculant sans effort apparent de<br />
la partie soliste, brillante et indépendante, à celle<br />
de l’accompagnateur discret et convaincu, ou même<br />
du trouble-fête, superposant avec à-propos des idées<br />
totalement originales et inattendues au discours<br />
très typé de l’ensemble manouche. De son côté,<br />
le Yorgui Loeffler Trio, loin de se laisser dérouter<br />
par ces incursions, relève le défi avec le sourire<br />
et accueille le musicien luxembourgeois avec<br />
une générosité et une entente extraordinaires. »<br />
Luxemburger Wort, Isabelle Trüb, 12 Avril 2008
ENTRÉE LIBRE<br />
LES ++ DE PREMIÈRES<br />
<strong>Le</strong>s ++ de Premières, c’est désormais une tradition :<br />
tout ce qui vous attend en plus du marathon théâtral, pour continuer<br />
à réfléchir, ressentir, prolonger les discussions, mais aussi vous reposer,<br />
++<br />
ou bien faire la fête avec des DJs et groupes invités.<br />
TNS / salle de Peinture<br />
sam 7 juin à 14h<br />
«28»<br />
texte <strong>Le</strong>slie Six<br />
lecture dirigée par l’auteure<br />
durée 1h30<br />
réservation obligatoire au 03 88 24 88 24<br />
Qui a dit un jour : on est trop petit face à trop<br />
grand ? L’homme a, gravé en son cœur, des rêves<br />
immenses, énormes. Bien trop grands.<br />
Deux espaces en surimpression : un bureau<br />
de journalistes et une bulle intime. Un va et vient<br />
entre deux champs de bataille où l’on crève<br />
d’une solitude innée, tout en s’acharnant à croire<br />
en l’autre et à mener les foules.<br />
Sortie de l’École du TNS en 2005 (section<br />
dramaturgie), <strong>Le</strong>slie Six est assistante à la mise<br />
en scène pour S. Braunschweig et L. Hemleb,<br />
et dramaturge pour N. Kerzenbaum, N. Bigards<br />
et C. Rauck. Elle collabore à la rédaction<br />
de la revue du TNS OutreScène depuis 2003.<br />
MAILLON-WACKEN<br />
<strong>Le</strong>cture Brunch-rencontre Concert<br />
Photo : Coline Six<br />
16<br />
17<br />
sam 7 juin à 11h30<br />
Avec les metteurs en scènes invités : voir page 14<br />
Exposition<br />
du 5 au 8 juin de 14h à 23h<br />
« Premières 2007 »<br />
photographies<br />
Alexandre Schlub<br />
Répétitions. Représentations. Arrivées. Artistes.<br />
Sourires. Débats. Textes. Fatigue.<br />
Pause au soleil. Spectateurs. Départs. Formes.<br />
La fête. <strong>Le</strong>s fêtes. Danse. Rencontres.<br />
Dans le désordre, mais Premières, c’est un peu<br />
tout ça. Saisi par l’objectif du photographe<br />
Alexandre Schlub durant l’édition 2007 du festival<br />
et à retrouver au bar du <strong>Maillon</strong>-Wacken.<br />
ven 6 juin à 23h<br />
Mix / DJ<br />
++<br />
Chispa Orchestra<br />
musiques cubaines,<br />
salsa, latin-jazz<br />
Chispa, comme l’étincelle qui met le feu aux<br />
poudres d’une fiesta… <strong>Le</strong>s huit musiciens<br />
de l’orchestre serviront aux festivaliers salsa,<br />
merengue ou son, histoire de les plonger dans<br />
des danses endiablées.<br />
ven 6 juin + sam 7 juin<br />
à partir de minuit<br />
Emmanuel Abela<br />
À partir d’échantillons puisés dans les hits<br />
intemporels et les nouveautés pop, post-punk,<br />
electro et soul, Emmanuel Abela, programmateur<br />
de la webradio européenne flux4, vous livre<br />
un set vitaminé et compulsif.<br />
www.flux4.eu
18<br />
19<br />
INFOS PRATIQUES<br />
TARIFS<br />
LOCATION ET VENTE<br />
À PARTIR DU 5 MAI<br />
CARTE PREMIÈRES<br />
10 € : carte d’adhésion (tarif unique)<br />
La carte Premières donne droit à un tarif<br />
préférentiel de 5,5 € sur tous les spectacles<br />
(au lieu de 10 €), y compris pour le concert<br />
de clôture Yorgui Loeffler Trio.<br />
BILLETS À L’UNITÉ<br />
10 € : plein tarif<br />
5,5 € : cartes Culture, Atout-Voir, Saphir,<br />
cartes Printemps, bénéficiaires du RMI,<br />
professionnels et demandeurs d’emploi<br />
ENTRÉE LIBRE<br />
Macbeth (inquiétudes) et Cris et chuchotements<br />
(ateliers - spectacles de sortie de l’École du TNS) :<br />
Réservation obligatoire au 03 88 24 88 24<br />
les ++ de Premières (voir pages 16 et 17)<br />
POINTS DE VENTE<br />
(CARTE PREMIÈRES + BILLETS À L’UNITÉ)<br />
PAR INTERNET*<br />
TNS : http://billetterie.tns.fr<br />
LE-MAILLON : www.le-maillon.com<br />
PAR TÉLÉPHONE*<br />
TNS : 03 88 24 88 24<br />
LE-MAILLON : 03 88 27 61 81<br />
* Règlement par C.B. Billets à retirer sur place,<br />
15 min. au plus tard avant chaque représentation<br />
EN VILLE<br />
TNS<br />
1 avenue de la Marseillaise<br />
Lundi : 14h - 18h / Mardi - samedi : 10h - 18h<br />
En dehors de ces horaires, le guichet est ouvert<br />
45 min. avant le début de chaque représentation<br />
MAILLON-WACKEN<br />
Parc des Expositions, Place du Wacken<br />
Lundi - samedi : 14h - 20h<br />
Pendant le festival : 14h - 23h<br />
ESPACE KABLÉ** 18 rue Jacques Kablé<br />
TJP / PETITE SCÈNE** 1 rue du Pont Saint-Martin<br />
BOUTIQUE CULTURE<br />
1 place de la Cathédrale / Mardi - samedi : 12h - 19h<br />
** Billetterie uniquement ouverte 45 min.<br />
avant le début de chaque représentation
RESTAURATION<br />
PATIO DU<br />
MAILLON-WACKEN<br />
À PARTIR DE 19 H<br />
Pastillas au poulet, couscous,<br />
M’semen (crêpes farcies), Harira<br />
(soupe marocaine), crudités…<br />
Mais aussi thé à la menthe,<br />
pâtisseries orientales…<br />
<strong>Le</strong> Marrakech, traiteur à Saverne,<br />
vous propose ses spécialités<br />
marocaines.<br />
Plats principaux à partir de 9 €.<br />
NAVETTES GRATUITES<br />
VEN 6 JUIN<br />
20h30 <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
k vers le TNS<br />
(O Nome das Ruas à 21h)<br />
20h50 Espace Kablé<br />
k vers le <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
(Bobby Fischer à 21h15)<br />
SERVICE BAR OUVERT<br />
DÈS 14H<br />
Petite restauration également<br />
au bar : paire de knacks, 4 €.<br />
Pluie et intempéries ?<br />
Qu’à cela ne tienne, les tentes<br />
et chauffettes sont là pour vous<br />
tenir au sec et bien au chaud !<br />
SAM 7 JUIN<br />
13h30 <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
k vers le TNS<br />
(28 à 14h)<br />
16h TJP<br />
k vers l’Espace Kablé<br />
(Cris et chuchotements à 16h30)<br />
18h10 Espace Kablé<br />
k vers le <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
(La Perspective Nevski à 19h)<br />
k vers le TNS<br />
(Spieltrieb à 19h)<br />
IMPRO CAFÉ /<br />
TNS<br />
DE 11H À 0H30<br />
Plats du jour, salades...<br />
sur la terrasse du TNS le midi,<br />
et tapas le soir.<br />
DIM 8 JUIN<br />
16h20 TJP<br />
k vers l’Espace Kablé<br />
(Cris et chuchotements à 17h)<br />
k vers le <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
(La Perspective Nevski à 17h)<br />
20<br />
21<br />
LIGNES A+D<br />
LIGNES B+C<br />
4<br />
3<br />
LIGNE B<br />
ARRÊT RÉPUBLIQUE<br />
ARRÊT WACKEN<br />
LIGNES B+E<br />
ARRÊT LANGSTROSS-<br />
GRAND’RUE<br />
LIGNES A+D<br />
2<br />
LIGNES C+E<br />
LIGNE E<br />
1<br />
ARRÊT LYCÉE KLÉBER<br />
1 MAILLON-WACKEN<br />
2 TNS<br />
Parc des Expositions<br />
1 avenue de la Marseillaise<br />
Place du Wacken, Strasbourg<br />
Tram Lignes B et E / arrêt Wacken<br />
Tram Lignes B, C ou E / arrêt République<br />
3 ESPACE KABLÉ<br />
4 TJP / Petite scène<br />
18 rue Jacques Kablé<br />
1 rue du Pont Saint-Martin<br />
Tram Ligne B / arrêt Lycée Kléber<br />
Tram Lignes A ou D<br />
arrêt Langstross-Grand’Rue
FESTIVAL<br />
Premières<br />
CIRCUITS<br />
LE-MANS : CIRCUIT COMPLET 10 SPECTACLES<br />
DU VENDREDI AU DIMANCHE<br />
MONACO : CIRCUIT 7 SPECTACLES<br />
DU VENDREDI AU SAMEDI<br />
INDIANAPOLIS : CIRCUIT 7 SPECTACLES<br />
DU SAMEDI AU DIMANCHE<br />
MONZA : CIRCUIT 7 SPECTACLES<br />
DU SAMEDI AU DIMANCHE<br />
22<br />
23<br />
JEU<br />
5<br />
VEN<br />
6<br />
SAM<br />
7<br />
DIM<br />
8<br />
19h30 à 21h Bobby Fischer vit à Pasadena <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
21h30 à 22h45 O Nome das Ruas TNS<br />
21h30 à 23h30 La Perspective Nevski <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
21h30 à 00h20 The Frankenstein Project <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
15h à 17h50 The Frankenstein Project <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
18h30 à 20h30 La Perspective Nevski <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
19h à 20h20 Spieltrieb TNS<br />
19h à 20h40 Cris et chuchotements Espace Kablé<br />
21h à 22h15 O Nome das Ruas TNS<br />
21h15 à 22h45 Bobby Fischer vit à Pasadena <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
21h à 23h50 The Frankenstein Project <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
21h30 à 23h15 Macbeth Espace Kablé<br />
21h30 à 22h30 ...Spiderman 3 TJP / Petite Scène<br />
23h ++ Chispa Orchestra <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
00h ++ Emmanuel Abela <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
11h30 ++ Brunch-Rencontre <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
14h à 15h30 ++ 28 TNS<br />
15h à 16h ...Spiderman 3 TJP / Petite Scène<br />
15h à 17h50 The Frankenstein Project <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
16h30 à 18h10 Cris et chuchotements Espace Kablé<br />
19h à 20h20 Spieltrieb TNS<br />
19h à 21h La Perspective Nevski <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
19h à 20h45 Macbeth Espace Kablé<br />
21h30 à 23h50 Sinn TJP / Petite Scène<br />
21h30 à 23h Bobby Fischer vit à Pasadena <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
21h30 à 0h20 The Frankenstein Project <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
00h ++ Emmanuel Abela <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
14h à 16h20 Sinn TJP / Petite Scène<br />
14h30 à 16h15 Macbeth Espace Kablé<br />
17h à 19h La Perspective Nevski <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
17h à 18h40 Cris et chuchotments Espace Kablé<br />
19h30 à 20h40 Chuck Norris… TNS<br />
21h11 Yorgui Loeffler Trio... <strong>Maillon</strong>-Wacken<br />
++ Entrée libre : rencontre, concerts, lecture, exposition, DJ...<br />
LE-MANS<br />
MONACO<br />
INDIANAPOLIS<br />
MONZA