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- Page 23 and 24: les à ces derniers hommes ! Nous t
- Page 25 and 26: 7. Cependant le soir tombait et la
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- Page 31 and 32: Ils ont voulu savoir si Zarathoustr
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- Page 39 and 40: Je prends grand plaisir aussi aux p
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- Page 43 and 44: En vérité, il est difficile de d
- Page 45 and 46: Mais le corps est pour eux une chos
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- Page 51 and 52: désert parce qu’ils étaient fat
- Page 53 and 54: Mais autre chose est la pensée, au
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Dès lors il attend et il ne cesse
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Mais par mon amour et par mon espoi
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Mais eux seuls sont réfutés, ains
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De la guerre et des guerriers Nous
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Vous ne devez avoir d’ennemis que
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Tout en lui est faux ; il mord avec
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Mes frères, voulez-vous donc étou
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Demain il aura une foi nouvelle et
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Ils bourdonnent autour de toi, mêm
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De la chasteté J’aime la forêt.
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Nous avons offert à cet étranger
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En son ami on doit voir son meilleu
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Mille et un buts Zarathoustra a vu
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Évaluer c’est créer : écoutez
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De l’amour du prochain Vous vous
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Je vous enseigne l’ami qui porte
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Hélas ! il y a tant de grandes pen
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Il y a des hommes à qui tu ne dois
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Des femmes vieilles et jeunes « Po
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honneur d’aimer toujours plus que
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La morsure de la vipère Un jour Za
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Enfin, mes frères, gardez-vous d
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Que ceci soit le sens et la vérit
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De la mort volontaire Il y en a bea
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Il y en a qui manquent leur vie : u
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De la vertu qui donne 1. Lorsque Za
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Notre chemin va vers les hauteurs,
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cette folie et cette méprise : ell
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Vous dites que vous croyez en Zarat
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L’enfant au miroir Alors Zarathou
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Je suis devenu tout entier tel une
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Dans les îles bienheureuses Les fi
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Tout ce qui est immuable - n’est
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Des miséricordieux Mes amis, des p
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Mais on devrait entièrement suppri
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Retenez aussi cette parole : tout g
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Aux fers des valeurs fausses et des
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Sur le chemin qu’ils suivaient, i
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Que tous les secrets de votre âme
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Nous ne mordons personne et nous é
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De la canaille La vie est une sourc
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Péniblement et avec prudence mon e
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Des tarentules Regarde, voici le re
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Voici cependant le conseil que je v
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Il faut que dans la beauté, il y a
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Et maint puissant qui voulait accor
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Vous ne voyez que les étincelles d
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Le chant de la nuit Il fait nuit :
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Que sont devenus les larmes de mes
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Le chant de la danse Un soir Zarath
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Peu s’en fallut que je ne lui fis
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Le chant du tombeau « Là-bas est
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nuit glacée ! Je n’ai fait que l
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Oui ! il y a en moi quelque chose d
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C’est vous, ô sages parmi les sa
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Et la vie elle-même m’a confié
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Des hommes sublimes Il y a une mer
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Son action elle-même n’est encor
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Du pays de la civilisation J’ai v
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Car c’est ainsi que vous parlez :
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De l’immaculée connaissance Lors
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Où y a-t-il de l’innocence ? Là
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Regardez donc comme l’aurore pass
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Je suis trop ardent et trop consum
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Crois-tu donc qu’en cela il ait d
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Ils n’ont pas assez pensé en pro
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Des grands événements Il y a une
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Je te tiens tout au plus pour le ve
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Enfin, il finit par se taire et ses
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Le devin « … et je vis une grand
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J’avais renoncé à toute espèce
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En vérité, pareil à mille éclat
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De la rédemption Un jour que Zarat
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Et lorsque mon œil fuit du présen
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Ceci, oui ceci seul est la vengeanc
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nétrait comme une flèche leurs pe
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Hélas ! si j’étais sur mes gard
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En vérité, il y a un avenir, mêm
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L’heure la plus silencieuse Que m
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Alors l’Autre reprit sans voix :
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Cependant je vous ai aussi appris
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Le voyageur Il était minuit quand
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Mais celui qui cherche la connaissa
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L’amour est le danger du plus sol
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- car vous ne voulez pas tâtonner
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Dans une telle maxime, il y a beauc
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Ainsi parlais-je et d’une voix to
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Ô mes frères, j’ai entendu un r
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Je suis donc au milieu de mon œuvr
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Hélas ! pensée venue de mon abîm
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Avant le lever du soleil Ô ciel au
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chaudron : - timbalier en colère,
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Le monde est profond - : et plus pr
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Je vois partout des portes plus bas
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Je passe au milieu de ce peuple et
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« Nous avons placé notre chaise a
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Ce que vous omettez aide à tisser
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Sur le mont des oliviers L’hiver,
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Le long silence, lui aussi, est une
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Qu’ils m’entendent gémir et so
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Ils sont froids et ils cherchent la
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On t’appelle mon singe, fou écum
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Ont-ils perdu courage parce que la
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Était-elle blottie là avec une au
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Le temps n’est-il pas depuis long
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« Avec droiture et franchise, tu p
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temps, pend aujourd’hui, déchiqu
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Des trois maux 1. En rêve, dans mo
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Eh bien ! Voici mon promontoire et
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« Ôte-toi ! » - jusqu’à ce qu
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Les faux sages, cependant, tous les
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té, ennemi juré, ennemi né ! Où
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Surtout l’homme vigoureux et pati
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tenir debout, à marcher, à courir
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Toute discussion sur la vertu leur
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3. C’est là aussi que j’ai ram
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Celui qui ne peut pas se commander
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Ils cèdent, ces bons, ils se rende
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Puis on se méfia de tous les devin
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12. Ô mes frères ! je vous invest
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Ceux-là se mettent à table et n
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16. « Qui apprend beaucoup, désap
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Ce n’est pas en vain que vous ave
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19. Je trace des cercles autour de
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21. J’aime les braves : mais il n
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Seuls les oiseaux sont encore au-de
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Le tremblement de terre révèle de
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Les bons - furent toujours le comme
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Et si vous ne voulez pas être des
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Le convalescent 1. Un matin, peu de
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trouva son odeur agréable. Alors l
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Et vous, - vous en avez déjà fait
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Je les ai vus nus jadis, le plus gr
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Tu parlerais sans trembler et tu po
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Du grand désir Ô mon âme, je t
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- n’est-ce pas au donateur de rem
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L’autre chant de la danse 1. « J
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À côté de moi maintenant ! Et pl
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che sonner les heures à minuit, tu
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Les sept sceaux (ou : Le chant de L
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Jamais encore je n’ai trouvé la
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5. Si j’aime la mer et tout ce qu
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- « toutes les paroles ne sont-ell
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L’offrande du miel - Et de nouvea
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Surtout le monde des hommes, la mer
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comme d’une limite météorologiq
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meure et pardonne qu’un vieillard
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qui revient à la lumière, sortant
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Entretien avec les rois 1. Une heur
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Nous ne sommes pas les premiers et
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2. Les rois se délectèrent de ce
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La sangsue Et Zarathoustra pensif c
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C’est à cause de la sangsue que
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- « Comme le prouve l’évidence,
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chassé par toi, pensée ! Innommab
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Donne des mains chaudes, donne des
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t’ai entendu gémir : « On l’a
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ité, un vase de sagesse, un saint
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Hors de service Peu de temps cepend
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Ainsi parlait le vieillard et il re
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fatigué de vouloir, et il finit pa
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Car ce Dieu ancien ne vit plus : il
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ien d’humain - quelque chose d’
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M’en veux-tu de ce que, depuis tr
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Mais toi-même - garde-toi de ta pr
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Le mendiant volontaire Lorsque Zara
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visage changea. « Quel est celui
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Populace en haut ! Populace en bas
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L’ombre Mais à peine le mendiant
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Mais c’est toi, ô Zarathoustra,
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les criminels en prison ? Ils dorme
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Il ne me ferme pas les yeux, il lai
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Silence - » (et en cet endroit Zar
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La salutation Il était déjà trè
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Hébergés par moi, aucun de vous n
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Il arrive maintenant que la solitud
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vous êtes tors et difformes à mai
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La cène Car, en cet endroit, le de
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« Sois de bonne humeur, répondit
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Devant Dieu ! - Mais maintenant ce
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Surmontez-moi, hommes supérieurs,
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Non ! Non ! Trois fois non ! Il fau
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Ce que la populace n’a pas appris
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12. Vous qui créez, hommes supéri
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Et parce que vous avez manqué de g
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Écartez-vous du chemin de tous ces
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- même la pire des choses a de bon
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Le chant de la mélancolie 1. Lorsq
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me semble que j’aime Zarathoustra
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ien portant, colorié et beau comme
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De la science Ainsi chantait l’en
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Et ce ne sont pas ceux qui vous con
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Parmi les filles du désert 1. « N
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tour de lui, calme et sage, en croi
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cette faute de langage !) - je suis
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Amen. Le désert grandit : malheur
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Mais qu’importe ! Ce sont de viei
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vu. Mais, merveille des merveilles
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La fête de l’âne 1. En cet endr
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« Et toi aussi, dit Zarathoustra a
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Le cœur de chacun de vous tressail
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Le chant d’ivresse 1. Mais pendan
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2. Lorsque ceci se passa avec le pl
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Déjà je suis mort. C’en est fai
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7. Laisse-moi ! Laisse-moi ! Je sui
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9. Vigne, que me joues-tu ? Ne t’
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11. Toute joie veut l’éternité
- Page 477 and 478:
Le signe Le matin cependant, au len
- Page 479 and 480:
En voyant tout cela, Zarathoustra n
- Page 481 and 482:
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