SEQUENCE : LE SALAIRE DU SNIPER. D. DAENINCKX. - site de l ...
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Séance 1 : La vie quotidienne <strong>de</strong> Jean-Yves Delorce, reporter <strong>de</strong> guerre.<br />
Problématique : Quelles sont les conditions <strong>de</strong> travail du reporter ?<br />
Support : Incipit du Salaire du sniper. Durée : 1H<br />
Dominante : Lecture analytique.<br />
Objectifs : - Fonction <strong>de</strong> la <strong>de</strong>scription<br />
- Fonction d’un incipit.<br />
Déroulement : Classe scindée en <strong>de</strong>ux, et en binômes avec pour objectifs <strong>de</strong> relever les informations<br />
du texte qui concernent :<br />
- Les éléments <strong>de</strong> présentation du héros et son état d’esprit du héros.<br />
- Ses conditions <strong>de</strong> vie et les manifestations <strong>de</strong> la guerre.<br />
Les membres du groupe donnent à tour <strong>de</strong> rôle leur relevé.<br />
Trace écrite :<br />
Qui est-il ? Il s’appelle Jean-Yves Delorce, il est dans une ville fictive, Kotorsk.<br />
Son état d’esprit : Il s’est installé dans une routine et s’est habitué à son cadre <strong>de</strong> vie très misérable :<br />
petit réchaud et petite casserole pour faire chauffer <strong>de</strong> l’eau et pouvoir boire un café soluble.<br />
Il a une vie sexuelle misérable et n’accor<strong>de</strong> aucune importance à cette relation.<br />
Le bruit <strong>de</strong>s armes lui semble familier ce qui prouve qu’il connaît bien le terrain et qu’il connaît les<br />
points dangereux.<br />
L’indication 1623 ème jour indique qu’il s’est installé dans la durée et qu’il vit au rythme du conflit en<br />
oubliant sa vie d’avant. Il ne semble pas regretter sa vie d’avant, ni avoir <strong>de</strong> remord.<br />
Il est installé dans un hôtel avec <strong>de</strong>s conditions <strong>de</strong> vie difficiles :<br />
- « matelas posé à même le sol » donc condition <strong>de</strong> vie précaire.<br />
- « souleva en vain la comman<strong>de</strong> du mitigeur » signifie qu’il n’y a pas d’électricité toute la<br />
journée mais uniquement à certaines heures.<br />
Il y a la guerre :<br />
- « Il n’y a rien <strong>de</strong> pire qu’un conflit qui s’éternise ».<br />
- L. 10 à 14 : le bruit <strong>de</strong>s mitraillettes qui résonnent.