Mais qui sont-ils? - Les Cuisines Leblanc

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cHAPitre i Nouvelles des Chapitres montréal tHoMAs Green Président SCPPQ/Chapitre de Montréal Après un été dont la température ne nous fut guère clémente, nous voici déjà de retour et en force pour la prochaine saison. Certains chanceux auront eu des vacances, repos bien mérité, alors que d’autres devront rester attelés au travail jusqu’à la tumultueuse période des fêtes… Est-ce grand Dieu possible ! Je commence ma chronique d’aujourd’hui par de chaleureux remerciements adressés à Sœur Angèle pour une hospitalité qui ne se dément jamais. En effet, elle a tout récemment permis à notre conseil d’administration national de se réunir chez elle dans sa petite maison champêtre du boulevard Gouin. M. Hilly Diamond, vice-président des Opérations chez Custom Diamond international, en compagnie de Thomas Green. Plus que des partenaires… des amis ! Nos partenaires économiques sont souvent plus que des collègues. Au fil du temps et des services rendus, la plupart d’entre eux deviennent aussi des amis. Ces entreprises sont nos supporteurs les plus sûrs et nous les apprécions beaucoup. Il faut bien se rappeler cependant que ces chefs d’entreprise et ces représentants investissent en nous. Ils comptent sur nous et nous font confiance, s’attendant à ce qu’en retour nous les encouragions. Quoi de plus légitime ? Vous savez, cette confiance qu’on nous porte et qui va sans cesse en augmentant, c’est un peu comme ces parts qu’on investit à la bourse. Il est logique qu’on en attende des dividendes. Si je vous dis ceci, c’est que je sais pertinemment qu’il y a des partenaires qui se demandent très sérieusement ce que ça peut bien leur rapporter d’être associés à nous. Et il ne devrait pas y avoir lieu à ce qu’ils se posent de telles questions. À ce propos, mes collègues du conseil régional et moimême aurions des suggestions dynamiques à proposer et espérons pouvoir les apporter au national à un moment donné. Par exemple, pourquoi ne pas mettre sur pied un programme de rabais pour nos membres en règle ? 6 PotauFeu volume 19 numéro 3 AutoMne 2008 Quelle belle rencontre ce fut là ! Elle fut précédée d’un excellent et copieux petit-déjeuner qu’avait préparé notre fidèle ami Pasquale Marzano et conclut par un buffet non moins savoureux concocté par le service traiteur de notre collègue René Derrien. Le tout s’est bien sûr déroulé sous l’efficace houlette de nos amis Francine Girouard et Gilles Deschênes. En compagnie d’une camarade de toujours, Sœur Angèle. Ça serait un bon début, n’est-ce pas ? Utiliser les produits et les services offerts par nos partenaires économiques, tant dans nos commerces que sur nos menus et ne pas hésiter à promouvoir ces compagnies, leurs dirigeants et leurs représentants. Voilà qui serait à l’avenir tout un changement d’attitude. joindre le geste à la parole… Chez nous, à Montréal, nous faisons tout notre possible afin de créer et de sauvegarder ces étroites relations que nous établissons avec les partenaires de la SCCPQ. Tout récemment, l’exécutif du chapitre a eu le grand plaisir d’être reçu dans les locaux de Clic international et d’en visiter les entrepôts. Les dirigeants nous ont fait savoir d’emblée leur intérêt pour notre société et leur désir d’établir des relations créatrices entre eux et nous qui sommes les artisans de l’industrie, ceux-là même qui utilisent leurs produits. La visite fut fort intéressante et très éducative. Personnellement, j’ignorais qu’ils offraient une si vaste gamme de produits secs ou transformés. Le chef Gilles Deschênes, profitant de son poste de consultant culinaire à la Société des alcools du Québec de Laval, y fait déguster le riz sauvage pré-cuit de Clic.
Selon moi, ce fut aussi une rencontre qui a mis à jour le prochain grand défi de la Société des chefs du Québec. En effet, c’est bien beau d’avoir des supporteurs et des commanditaires, mais nos membres professionnels les encouragent-ils vraiment ? Nous avons envers ces autres professionnels que sont les représentants et les chefs d’entreprise une responsabilité, celle de les encourager et de les inclure prioritairement dans nos listes de fournisseurs. À l’avenir donc, en élaborant vos commandes, faites donc appel à vos vrais amis… cHAPitre ii en Hygiène et salubrité, il est moins cinq… Voilà qui est fait, la loi officielle en Hygiène et salubrité du MAPAQ prendra vigueur à partir du mois de novembre Québec PHiliPPe cAstel Président SCCPQ/Chapitre de Québec/ Vice-président SCCPQ pour l’est du Québec Voici une fin de saison radieuse pour la pluvieuse période estivale qu’on vient de traverser. En deux mots comme en quatre, une saison extraordinaire pour les gens de Québec, c’est bien évident, mais plutôt ordinaire sur le plan température. Ma chronique d’automne sera cette fois-ci très brève car, après un mois de vacances en France, les attentes au travail sont nombreuses et la pression est, disons, pour le moins assez forte. Il nous faudra remanier tout le processus de production et de distribution, ce qui en soi n’est pas une mince affaire, réviser des carnets de tâches des cuisiniers, les horaires de travail, etc. Bref, on est dans l’JUSSSSS… Tout d’abord, une révision rapide Un début d’été en trombe (d’eau… Ha! Ha!…), grâce au lancement du livre Québec Capitale Gastronomique. D’ailleurs, un photo-reportage assez complet dans le présent numéro de votre Pot-au-Feu couvre l’évènement. D’autre part, une affluence touristique hors de l’ordinaire pour la région a apporté énormément de travail aux restaurateurs et autres chefs de tous acabits. Entre des festivités annuelles gonflées à bloc par un 400 e fort réussi et des spectacles diversifiés, mais toujours de haut calibre, il y en a eu décidément pour tous les goûts et pour tous les âges. La visite dans la capitale de plusieurs chefs internationaux de haut calibre a piqué l’intérêt des chefs de la région, et tous ont échangé à souhait, ce qui, d’autre part, les a encouragé à partager avec leurs pairs, tout en les orientant plus que jamais vers l’élaboration d’une gastronomie distinctive. Par contre, du côté des activités de chapitre, ça allait plutôt au ralenti. Tout de même, le brunch familial annuel de septembre a donné lieu au dévoilement de nos Chefs cuisinier et pâtissier régionaux pour 2009. On se réserve le plaisir de vous les annoncer dans la sortie de décembre. Notre tournoi de golf au Grand Portneuf s’est tenu le lundi 22 septembre. Nous vous en ferons rapport aussi à la prochaine sortie du Pot-au-Feu. 2008. Il faudra alors retrouver dans tous les établissements, à chaque quart de travail, une personne détentrice d’une certification garantissant qu’elle est bel et bien gestionnaire et 10% des employés sur place certifiés « manipulateur ». Avis est donc lancé à tous les chapitres ! À Montréal, nous somme prêts à vous offrir ces formations à prix plus que modique et ce, en tout professionnalisme. Si cette offre vous intéresse, veuillez s’il vous plaît contacter M. Gilles Deschênes pour informations et réservations, au 450 978-1964 ou par courriel à gilles.deschenes@videotron.ca Bon retour au travail à toutes et à tous ! À venir… Nous allons tenir notre assemblée générale de chapitre au début d’octobre. Une partie des administrateurs du chapitre se retrouveront alors en élection. En début novembre, se tiendra le Buffet annuel Adaptavie. Nous comptons instamment sur un autre grand succès. Nous prévoyons le souper convivial de l’automne chez l’un de nos membres. Au moment de mettre sous presse, le lieu n’était pas encore sélectionné. Sur le plan national, la Fête Bières et Saveurs de Chambly nous a encore une fois permis de rencontrer des collègues de toutes les régions du Québec. On y a échangé abondamment. C’est tellement enrichissant de partager sur le métier et sur la façon de travailler dans des milieux si différents. Je souhaite à toutes et à tous un automne agréable, plein de bonnes surprises. cHAPitre iii laurentide robert cHolette Président SCCPQ/Chapitre des Laurentides Salut à tous les professionnels de l’hôtellerie et de la restauration qui ont travaillé si fort durant la période estivale. J’ai une grande compassion pour ces cuisiniers qui s’activent, souvent dans des conditions extrêmement pénibles. Entre autres parce que, par les temps qui courent, comme on manque beaucoup de gens compétents dans le domaine, on se rabat souvent inconsidérément sur le personnel en cuisine, pour que l’un ou l’autre des employés vienne pour boucher les trous. Beaucoup trop de gestionnaires cultivent encore la sotte mentalité qu’en restauration, n’importe qui peut faire n’importe quoi… Et lorsque les employés partent, découragés, en claquant la porte, ils restent tout étonnés. Bizarre, n’est-ce pas? Dans son ensemble, la cuisine professionnelle est pourtant un métier des plus complexes. Il est très important aujourd’hui d’être bien formé. Il est aussi primordial d’avoir fait ses classes auprès de mentors qui auront su transmettre à leurs pupilles des années et des années d’expérience. AutoMne 2008 volume 19 numéro 3 PotauFeu 7
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