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Communiqué<br />
Pour diffusion immédiate<br />
31e saison / 2010‐2011<br />
YANNICK NÉZETSÉGUIN DIRIGE SA PREMIÈRE SALOMÉ<br />
SALOMÉ<br />
de Richard Strauss<br />
Salle Wilfrid‐Pelletier, P<strong>la</strong>ce des Arts<br />
CHANTE POUR MOI, SALOMÉ !<br />
Montréal, le 7 mars 2011 – L’Opéra de Montréal poursuit sa 31 e saison avec une des œuvres les plus<br />
marquantes du répertoire lyrique du XX e siècle : Salomé de Richard Strauss. À l’affiche les 19, 23, 26, 28 et<br />
31 mars 2011 à 20 heures, à <strong>la</strong> salle Wilfrid Pelletier de <strong>la</strong> P<strong>la</strong>ce des Arts. Pour faire rutiler les mille couleurs<br />
de cette partition f<strong>la</strong>mboyante, un des chefs les plus bril<strong>la</strong>nts de l’heure, Yannick NézetSéguin, qui dirigera<br />
l’œuvre pour <strong>la</strong> toute première fois de sa carrière. Après ses triomphes sur tous les podiums de l’Europe et de<br />
l’Amérique, du Festival de Salzbourg au Metropolitan de New York, « l’enfant prodige » est de retour à l’Opéra<br />
de Montréal, à <strong>la</strong> tête de « son » Orchestre métropolitain. Une nouvelle coproduction Opera Theatre of St.<br />
Louis, San Francisco Opera et Opéra de Montréal.<br />
Pour interpréter <strong>la</strong> sulfureuse princesse Salomé, une spécialiste du rôle, Nico<strong>la</strong> Beller Carbone, qui l’a chanté<br />
sur plusieurs grandes scènes européennes. Si dans le passé certaines divas se faisaient doubler pour <strong>la</strong><br />
mythique « danse des sept voiles », Nico<strong>la</strong> Beller Carbone, elle, met à profit sa p<strong>la</strong>stique impeccable et assume<br />
le rôle jusqu’au bout ! À ses côtés, le baryton britannique Robert Hayward fera ses débuts à <strong>la</strong> compagnie<br />
dans le rôle du prophète. Les autres rôles principaux sont assurés par des valeurs sûres de <strong>la</strong> scène lyrique<br />
canadienne : <strong>la</strong> légendaire mezzo Judith Forst fera parler sa longue expérience dans le rôle de l’odieuse<br />
Hérodiade, avec à ses côtés John Mac Master en Hérode. Le metteur en scène Seán Curren est aussi<br />
chorégraphe, atout fort utile dans le cas d’une œuvre qui comporte une scène dansée d’une importance<br />
capitale. Il fera évoluer les personnages dans les décors et les costumes de Bruno Schwengl, sous les<br />
éc<strong>la</strong>irages de Paul Pa<strong>la</strong>zzo.<br />
LES PULSIONS LES PLUS DÉLIRANTES<br />
« …Or, lorsqu'on célébra l'anniversaire de <strong>la</strong> naissance d'Hérode, <strong>la</strong> fille d'Hérodiade dansa au milieu des<br />
convives, et plut à Hérode, de sorte qu'il promit avec serment de lui donner ce qu'elle demanderait. A l'instigation<br />
de sa mère, elle dit : Donnemoi ici, sur un p<strong>la</strong>t, <strong>la</strong> tête de Jean Baptiste... » (Matthieu, 14, 3‐11)<br />
Cet épisode de <strong>la</strong> Bible, qui avait inspiré Gustave F<strong>la</strong>ubert pour un de ses Trois contes, donna aussi à Oscar<br />
Wilde l’idée d’écrire une pièce en français destinée à être créée à Londres par Sarah Bernhardt… L’événement<br />
n’eut pas lieu, mais Richard Strauss s’empara du drame de Wilde et composa une partition d’une intensité<br />
rarement égalée dans l’histoire de <strong>la</strong> musique. Au son d’un orchestre poussé au paroxysme de ses possibilités,<br />
des personnages en état de transe se <strong>la</strong>issent aller à leurs pulsions les plus délirantes.<br />
Au terme de l’incroyable « Danse des sept voiles », mé<strong>la</strong>nge de rythmes orientaux et de valse viennoise,<br />
Salomé, enfant gâtée cruelle et sensuelle, aura enfin son jouet : <strong>la</strong> tête de Jochanaan, dont elle baisera<br />
goulûment <strong>la</strong> bouche. La mort est partout, sur scène et dans les coulisses : le soldat Narraboth se suicide sous<br />
les yeux indifférents de Salomé, Jochanaan est décapité, Salomé elle‐même finit écrasée sous les boucliers des<br />
soldats d’Hérode.<br />
UN STRIPTEASE À L’OPÉRA<br />
Lors de <strong>la</strong> création à Dresde en 1905, les spectateurs en délire rappellent les artistes 38 fois ! Succès de<br />
scandale, mais succès quand même, qui se répétera à Berlin, Mi<strong>la</strong>n, Turin, New York – malgré les efforts de<br />
censeurs et moralistes qui tentent de faire interdire une pièce aussi sulfureuse.
L’œuvre provoque admiration et perplexité de <strong>la</strong> part des collègues de Strauss. Le compositeur français<br />
Gabriel Fauré parle de « dissonances cruelles qui défient toute explication ». Mais les cantatrices se <strong>la</strong>issent<br />
tenter par ce rôle de Lolita – elle est censée avoir 16 ans ! – à <strong>la</strong> voix de wagnérienne, même si elles doivent<br />
danser et se faire entendre au‐dessus d’un orchestre déchaîné.<br />
L’AUTRE STRAUSS<br />
Tout le monde connaît au moins quelques mesures de <strong>la</strong> musique de Richard Strauss : l’impressionnant appel<br />
de cuivres, extrait de son poème symphonique Ainsi par<strong>la</strong>it Zarathoustra, utilisé dans le film 2001 : Odyssée de<br />
l’espace, a été repris depuis dans plusieurs publicités.<br />
Né en 1864 à Munich, d’un père corniste dans l’orchestre de l’empereur Guil<strong>la</strong>ume, Richard Strauss compose<br />
pour orchestre dès l’adolescence et démontre très tôt une passion pour les couleurs, les effets et les subtilités<br />
de l’orchestration. Il tarde à venir à l’opéra, préférant de vastes compositions appelées poèmes<br />
symphoniques : Don Juan, Till l’espiègle, Mort et transfiguration… Après deux essais peu concluants, c’est <strong>la</strong><br />
tornade Salomé en 1905, suivi de l’ouragan Elektra en 1909, deux œuvres qui secouent le monde musical.<br />
Suite à quoi, il s’assagit considérablement, avec des opéras à l’orchestration tout aussi chatoyante, mais<br />
beaucoup moins provocateurs : Ariane à Naxos, Arabel<strong>la</strong>, Capriccio… Richard Strauss va connaître une carrière<br />
longue et prolifique, et mourra en 1949, non sans avoir composé les merveilleux Quatre derniers lieder.<br />
ARGUMENT<br />
Tout le monde désire <strong>la</strong> belle princesse Salomé, y compris son beau‐père Hérode. Mais elle éprouve à son tour<br />
une attraction fatale pour le prophète Jochanaan, prisonnier d’Hérode. Salomé danse pour son beau‐père qui,<br />
fou de désir, lui promet tout ce qu’elle veut. La belle réc<strong>la</strong>me rien de moins que <strong>la</strong> tête de Jochanaan. Quand<br />
elle l’obtient enfin, elle tombe dans une ivresse érotique qui atteint son paroxysme au moment du baiser<br />
qu’elle donne sur les lèvres du prophète. Hérode, enfin horrifié, ordonne à ses soldats de <strong>la</strong> tuer sur‐le‐champ.<br />
Opéra : Salomé de Richard Strauss<br />
Genre : drame<br />
Structure : en un acte (découpé en quatre scènes) SANS ENTRACTE<br />
Langue : allemand, avec surtitres français et ang<strong>la</strong>is<br />
Livret : du compositeur, d’après <strong>la</strong> pièce d’Oscar Wilde, écrite en français, traduite en allemand par Hedwig<br />
Lachmann<br />
Création : Hofoper de Dresde, le 9 décembre 1905<br />
AUTOUR DE SALOMÉ<br />
P<strong>la</strong>ce à l’opéra<br />
Salomé de Richard Strauss<br />
Une œuvre coup de poing, abordée sous divers aspects : <strong>la</strong> musique de Strauss, le livret, l’œuvre de Wilde.<br />
Avec extraits vidéos.<br />
Invités : Louis Bilodeau, professeur de littérature au Collège Ahuntsic, Georges Nicholson, conférencier,<br />
musicologue et auteur, Tabitha Sparks, professeur de littérature à l’Université McGill.<br />
Grande Bibliothèque (auditorium) : jeudi 10 mars 2011, 19 h 30<br />
Centre Segal (EspaceCinéma) – en ang<strong>la</strong>is : mardi 15 mars 2011, 19 h 30<br />
MétrOpéra<br />
Autour de l’opéra, par les chanteurs de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. Date : le mercredi 16 mars à<br />
16 h 45, station Berri‐UQAM. Gratuit.<br />
En col<strong>la</strong>boration avec<br />
PréOpéra<br />
…/2
Conférence sur l’œuvre, donnée par le musicologue Pierre Vachon avant chaque représentation, à 18 h 45 au<br />
Piano Nobile de <strong>la</strong> PDA.<br />
…/3
LES ARTISTES<br />
Salomé<br />
NICOLA BELLER CARBONE, SOPRANO (ALLEMAGNE)<br />
Nico<strong>la</strong> Beller Carbone étudie d’abord l’art dramatique avant de se tourner vers le chant. En 2003, elle donne sa<br />
première Salomé, orientant ainsi sa carrière vers des emplois plus dramatiques. Cette prise de rôle lui vaut un<br />
énorme succès, au Deutsches Nationaltheater de Weimar, au Teatro Regio de Turin et au Grand Théâtre de<br />
Genève. Ses engagements des dernières saisons l’ont amenée à chanter plusieurs autres grands rôles, dont<br />
Marie/Mariette (Die Tote Stadt), au Teatro Massimo de Palerme, et Gutrun (Götterdämmerung), au Teatro La<br />
Fenice, tout en gardant à son répertoire celui de Salomé pour le Deutsche Opera am Rhein, notamment. Cette<br />
année, on pourra l’entendre en Freia (Das Rheingold) à La Fenice, en Marie (Wozzeck) au Santa Fe Opera et en<br />
Marie/Mariette à l’Opéra de Francfort. Dernière présence à <strong>la</strong> compagnie : Tosca (2010)<br />
Jochanaan<br />
ROBERT HAYWARD, BARYTON (R.U.)<br />
Il s’est fait app<strong>la</strong>udir au Royal Opera House‐Covent Garden, au English National Opera, au Bayerische<br />
Staatsoper, au Scottish Opera, au Festival de Glyndebourne, au Houston Grand Opera et au New Israeli Opera.<br />
Son répertoire est vaste : Wotan et le Voyageur (Le Ring), Amfortas (Parsifal), Kurwenal (Tristan und Isolde),<br />
Jochanaan (Salomé), Figaro et le Comte Almaviva (Les noces de Figaro), les rôles‐titres de Eugène Onéguine et<br />
Don Giovanni, le Hol<strong>la</strong>ndais (Le vaisseau fantôme), Iago (Otello), Ford (Falstaff), Scarpia (Tosca), Marcello (La<br />
bohème), Escamillo (Carmen), Tomsky (PiqueDame), Khovansky (Khovanshchina), Nick Shadow (The Rake’s<br />
Progress), Mandryka (Arabel<strong>la</strong>) et Go<strong>la</strong>ud (Pelléas et Mélisande). Débuts à <strong>la</strong> compagnie.<br />
Hérodiade<br />
JUDITH FORST, MEZZOSOPRANO (CANADA)<br />
De son immense répertoire, on retient surtout Stéphano (Roméo et Juliette), Siébel (Faust), Lo<strong>la</strong> (Cavalleria<br />
rusticana), Bersi (Andrea Chénier), Preziosil<strong>la</strong> (La forza del destino), Hänsel et <strong>la</strong> Sorcière (Hänsel und Gretel),<br />
Giulietta (Les contes d'Hoffman), Donna Elvira (Don Giovanni), Mère Marie (Dialogues des carmélites),<br />
Kabanicha (Káťa Kabanová), Ade<strong>la</strong>ide (Arabel<strong>la</strong>) et Kostelnička (Jenůfa). En 2011, elle créera le rôle de Pauline<br />
Johnson dans Pauline pour le City Opera Vancouver. En 1991, elle a été nommée Officier de l’Ordre du Canada.<br />
Dernière présence à <strong>la</strong> compagnie : Jenufa (1997).<br />
Hérode<br />
JOHN MAC MASTER, TÉNOR (CANADA)<br />
Depuis son remarquable Canio (Pagliacci) au Glimmerg<strong>la</strong>ss Opera, John Mac Master est très en demande dans<br />
le répertoire de ténor dramatique. Parmi ses récents engagements : Florestan (Fidelio) avec le London<br />
Symphony Orchestra, ses débuts au Semper Oper de Dresde dans Ca<strong>la</strong>f (Turandot), ses débuts remarqués au<br />
Metropolitan Opera dans Canio, dont une représentation faisait partie des radiodiffusions du Met, Tristan<br />
(Tristan und Isolde) au Welsh National Opera, soliste dans le Requiem de Verdi au Centre national des arts à<br />
Ottawa, Égisthe (Elektra) à <strong>la</strong> Canadian Opera Company, Canio au Vancouver Opera et une <strong>version</strong> concert de<br />
Tristan und Isolde en Italie, en France et en Allemagne. Dernière présence à <strong>la</strong> compagnie : Le Ga<strong>la</strong> (2008)<br />
Narraboth<br />
ROGER HONEYWELL, TÉNOR (CANADA)<br />
Le magazine Opera Now dit de Roger Honeywell que sa voix « a exactement le timbre fougueux qui convient<br />
aux rôles héroïques ». Parmi ses récents engagements, notons Danilo (La veuve joyeuse) au Lyric Opera de<br />
Chicago, Don José (Carmen) au Pittsburgh Opera et au Fort Worth Opera, Pinkerton (Madama Butterfly) au<br />
Phi<strong>la</strong>delphia Opera, Captain James No<strong>la</strong>n (Doctor Atomic) au Metropolitan Opera et au Lyric Opera de Chicago,<br />
Macduff (Macbeth) à l’Opéra de Montréal, Cavaradossi (Tosca) au Florida Grand Opera et Troilus (Troilus and<br />
Cressida) au Opera Theatre de St. Louis. En 2010, il a participé notamment à <strong>la</strong> première mondiale de Life is a<br />
Dream au Santa Fe Opera. Dernière présence à <strong>la</strong> compagnie : Macbeth (2009).<br />
Chef d’orchestre<br />
YANNICK NÉZETSÉGUIN (CANADA)<br />
Yannick Nézet‐Séguin connaît une ascension fulgurante depuis quelqes années sur <strong>la</strong> scène internationale.<br />
Apprécié des musiciens, du public et des critiques pour sa musicalité, son engagement et son charisme, il<br />
s’illustre autant dans <strong>la</strong> musique symphonique que dans l’opéra, auprès des meilleurs orchestres du monde.<br />
En juin 2010, il accepte le poste de directeur musical désigné du prestigieux Phi<strong>la</strong>delphia Orchestra, poste<br />
pour lequel il entrera en fonction en septembre 2012, tout en demeurant directeur musical de l’Orchestre<br />
Phi<strong>la</strong>rmonique de Rotterdam et chef invité principal du London Philharmonic Orchestra. Il poursuit ses<br />
activités avec l’Orchestre métropolitain, dont il est le chef attitré depuis mars 2000, relevant<br />
considérablement le niveau artistique de l’orchestre et sa popu<strong>la</strong>rité, et insuff<strong>la</strong>nt aux musiciens une passion
contagieuse pour <strong>la</strong> musique de toutes les époques. Dernière présence à <strong>la</strong> compagnie : Madame Butterfly<br />
(2008).<br />
…/4
Metteur en scène<br />
SEÁN CURRAN (É.U.)<br />
Il fait d’abord sa marque en tant de danseur étoile du Bill T. Jones/Arnie Zane Dance Company. Il a reçu le New<br />
York Dance and Performance Bessie Award pour son interprétation dans Secret Pastures. Il a aussi été de <strong>la</strong><br />
distribution initiale de Stomp présenté Off‐Broadway à New York. Il réalise des chorégraphies en danse et à<br />
l’opéra, et a récemment mis en scène Salomé au Opera Theatre of Saint Louis et au San Franciso Opera, The<br />
Taming of the Shrew, Much Ado About Nothing et A Midsummer Night’s Dream à <strong>la</strong> Shakespeare Theatre<br />
Company, de même que The Ghost of Versailles et Nixon in China au Opera Theatre of Saint Louis. Débuts à <strong>la</strong><br />
compagnie.<br />
Décors et costumes<br />
BRUNO SCHWENGL (AUTRICHE)<br />
Peintre, Bruno Schwengl est d’abord concepteur de décors et de costumes à l’opéra et au ballet, pour des<br />
productions au Teatro La Fenice, au Teatro dell’Opera de Rome et au Los Angeles Opera. Il signe des<br />
productions comme Ariane à Naxos, Gianni Schicchi, Guerre et paix, Le chevalier à <strong>la</strong> rose, Idomeneo, Norma, Il<br />
trittico, Salomé, Madama Butterfly et Un bal masqué pour des maisons comme le San Francisco Opera, le<br />
Seattle Opera, le Houston Grand Opera, Opera Colorado, le New York City Opera, le Santa Fe Opera, l’Opera<br />
Theatre of Saint Louis, l’Opéra royal du Danemark, l’Opéra de Monte‐Carlo, l’Opéra royal de Suède et le Royal<br />
Opera House‐Covent Garden. Dernière présence à <strong>la</strong> compagnie: Ariane à Naxos (2004).<br />
Éc<strong>la</strong>irages<br />
PAUL PALAZZO (É.U.)<br />
Paul Pa<strong>la</strong>zzo travaille pour l’opéra, le théâtre et le ballet partout dans le monde. Sur Broadway, il fait partie<br />
d’équipes de concepteurs d’éc<strong>la</strong>irages pour des comédies musicales comme Sunset Boulevard, Phantom of the<br />
Opera, Miss Saigon, Big et Falsettos. Il a travaillé au Houston Grand Opera, au Los Angeles Opera, au Port<strong>la</strong>nd<br />
Opera, au Minnesota Opera, au Wolftrap Opera et avec plusieurs troupes de théâtre nord‐américaines. Il a<br />
aussi conçu un système d’effets spéciaux – le EFX Plus – qui a remporté le prix du produit de l’année lors de<br />
l’International de <strong>la</strong> conception des éc<strong>la</strong>irages en 1998. Il conçoit également les éc<strong>la</strong>irages pour des<br />
expositions de plusieurs grandes compagnies et événements. Débuts à <strong>la</strong> compagnie.<br />
OPÉRA DE MONTRÉAL | SAISON 1011<br />
Tous les opéras sont présentés en <strong>la</strong>ngue originelle, avec surtitres bilingues projetés au‐dessus de <strong>la</strong> scène.<br />
SALLE WILFRIDPELLETIER DE LA PLACE DES ARTS (PDA)<br />
STRAUSS – Salomé | 19, 23, 26, 28, 31 mars 2011 à 20 h<br />
PUCCINI – La Bohème | 21, 25, 28, 30 mai & 2 juin 2011 à 20 h, & 4 juin à 14 h<br />
ABONNEMENT POUR LES 18 À 30 ANS : LA BANQUE TD T’EMMÈNE À L’OPÉRA<br />
Grâce au soutien de TD Canada Trust, l’Opéra de Montréal poursuit son offre spéciale d’abonnement destinée<br />
aux jeunes de 18 à 30 ans : 30 $ le billet avec l’abonnement ! Achat minimal requis de deux opéras de <strong>la</strong> saison<br />
régulière. Abonnements offerts dès le 23 août 2010 à <strong>la</strong> billetterie de l’Opéra de Montréal, et dès le 15 octobre<br />
2010 à <strong>la</strong> billetterie de <strong>la</strong> P<strong>la</strong>ce des Arts.<br />
BILLETS À LA PIÈCE<br />
Sur operademontreal.com<br />
Billetterie de <strong>la</strong> P<strong>la</strong>ce des Arts : 514‐842‐2112 • 1 866 842‐2112<br />
OPERADEMONTREAL.COM<br />
Pour obtenir plus de renseignements sur les productions, les événements spéciaux et les programmes<br />
éducatifs, les formules d’abonnement, le prix des billets simples et de groupe, les forfaits PRIMA et corporatifs.<br />
‐30‐<br />
MEDIAS : ALAIN LABONTE COMMUNICATIONS<br />
514.523.9922 | a<strong>la</strong>in@a<strong>la</strong>in<strong>la</strong>bonte.ca