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leS SanS-tireuSe fixe<br />
leS SanS-tireuSe fixe<br />
On le sait tous, la Bénichon, <strong>à</strong> Ecuvillens,<br />
c’est une institution... Certains sont<br />
même aller jusqu’<strong>à</strong> l’appeler, sans rougir,<br />
la plus grande bénichon du monde.<br />
Après un week-end pleinement réussi<br />
malgré la météo désastreuse, quelques<br />
motivés se sont retrouvés au bar chez<br />
Gumi, le dernier ouvert...<br />
Il y avait d’ailleurs quelques membres<br />
de la société de jeunesse, qui après avoir<br />
tout bien rangé et nettoyé, décidèrent<br />
d’aller en boire une dernière. Mais malheureusement<br />
pour eux, arrivés au bar,<br />
l’horreur. Il n’y avait plus de fût.<br />
Panch (Nicolas Panchaud) et le rouge<br />
(Eric Chavaillaz) craignant de mourir de<br />
soif ont alors eu une idée mémorable.<br />
En effet, ils ont décidé d’aller chercher<br />
Écho de la fête<br />
un fût dans le camion frigorifique que<br />
Papaux leur avait prêté pour le weekend.<br />
Il est vrai que ce fût était ouvert<br />
mais pas terminé...<br />
Ni une ni deux, ils se rendirent donc<br />
au camion qui était stationné prêt de<br />
l’église. Quelques minutes plus tard, les<br />
sans-tireuse fixe étaient de retour chez<br />
Gumy, pour le plus grand malheur des<br />
gens travaillant au bar... Le fût fut alors<br />
branché et la bière put <strong>à</strong> nouveau couler<br />
<strong>à</strong> flot.<br />
Mais voil<strong>à</strong>, la famille Gumy en avait marre<br />
de ce long week-end. Ils décidèrent<br />
donc de fermer le dernier survivant de<br />
la fête, leur bar. L’histoire ne dit pas ce<br />
que les derniers lurons sont allés faire<br />
ensuite. Sûrement se reposer. En effet, il<br />
faut aussi savoir s’arrêter <strong>à</strong> la bénichon.<br />
Les sans-tireuse fixe, une nouvelle mode? Pas vraiment... Pourtant, une information a circulé<br />
concernant quelques jeunes qui étaient en possession d’une tireuse et de fûts, mais<br />
qui n’avaient pas d’électricité.<br />
En effet, ils se seraient rendus <strong>à</strong><br />
la cabane du terrain de foot et<br />
auraient «pomper» l’électricité<br />
du club depuis la prise extérieure.<br />
Heureusement pour eux, ils ont<br />
pu terminer leur besogne sans<br />
être dérangés. On ne saura malheureusement<br />
jamais qui sont<br />
les coupables. Certainement des<br />
jeunes gens un peu trop culottés.