POLITIQUE ET LITT RAIRE - Bibliothèque de Toulouse

églementaà
circonseripn
patentéégal
m'étmvoais
Mardi ter Décembre 1874.
é
P DN AN .... 40 h. DN to ... 60
ISIX Mo
M016.... ff
1
pasoaw,
six MOta.... Pd9
TROIS MUIB, . .s T. Le MOIS, . f4
t EIEam da no..daftrs.
POLITIQUE ET LITT RAIRE
QRNS DES
Départ.
Setm,
le ligne . 0 Pr. soi Dépara: rive..
Ir(sap ). S .
lit (d at 13h45M 30 to;d vent) lh Il
M
6 .. MaUS (Aga) 8 f YS
erra Urvms.... ....... f
â ie é Il
00
a
sa, a..
Soir, 1 E E5
boa (Aben), 6 SO Sort. t0 h0
Ip * u soaeSTE airn mUIS DRN *WMOEG[8
,Ë s
10, R. un. xTOULOUSE Si-,
SONT ARÇQR4 CEEE lAVAI canna ET C.
f. «.-- Puce n. u Dopua, PARIS
Toulouse lier Décembre
laépéohetl télégraphignef
BrÊC.A1 u- l.AC.ncs anus).'
(snovrcc
Ifiu-doJaneiro, 28 novembre.
Des troubles religieux ont éclaté dune
les proviocee. Le prétexta du sonlévemeat
est la condamnation des évêques
de para et de I'ernambuco. Le gouvernemsul
a envoyé des troupes et des navires
de guerre de Pernambuco à Bahia et
1110 Grande. Grive auz mesures prises
il est probable quo l'ordre sera bientôt
rétabli.
Madrid, 29 novembre-
La tberia dit que le prochain départ
du muré fil'[ Serranu pour l'armée du
Nord praline que le gouvernementJe a..,,
p é a. p. un moirent, que lare
1 ger ee :arlisto. 11 roc à
ne époque plus tranquille la diacuanias
dea ques0uns poli lignas, Pour remé.
ôter aux -mus 'loi al'iligeut l'Espagne.
folle, 28 novembre.
La Voce delta Veràta de ce matin rire'
lionne le bruit qm' le pape serait malade
de la févr.. Ce bruit vol sans fondesnen
8 a v libre.
.Vilaine,
Éli mati , Ils lr -s g,on[as de la
ma
jorrné tiendront é Peur di,-ou,
wmrles n .s pro 1 .s à ce naëd i,,
la cris,' uumurmgoe. 11, la cor ri, i n
préa, abl i troua iu! nmd hul, ils lot réaprès
un court débat, de nommer
soin,
r t c p é d 1
I -,a
b m
la aux
I. b ine i tisituu. lino les ,r
s .re P
k n'inut dé la p nul n t que
l., pl
.I r
1
t 1, oo
1 t d 1 I l'' t
derrert Ponsni
S'aelemeut à
qnaient.
In Noi v
sgir da s 1.
rot et le
.il gn'iis i,a.
7{'indsor, 28 novembre,
La reine ç, t
andsevice le cool. de laruat, hl C,m.
myn, mimslr d'Espugue, et ces ministres
du l'ar.gnay est de Celluloïds.
lrcrlie, 27 novembre.
Les vieux catholiques de Berlin ont
Bétel, aujourd'hui pour la première foie
le service divru d:,na la nouvelle église
évangélique. Ln Professeur Weber, de
'Lu i la
,mneiuii (I aiégt vi ox é cetlh,',liq
3011vlpernonnls assistaient 3
celle cérémonie.
Borne, 29 novembre:
La commission du budget est rompu.
née de vingt membres de la droite et
de dix de la uche1, k?
Lefutlvenai peo(et'du redrétem$nt de
LIEra da Wtle.
Wt (direct) 3440 M t (cure,) 8455
M t 5 65 M toi.( pr_) 10 30
l'armée, déposé hier à la Chambre, étau . -
ET DES RAIVEES DES TAINS DES CDCEDSS DR 1 11 DU (MIDI 1R D'ORLÉANS
arriver:
an,
oie ducat), l4
E.6Ena da "1.....
Ih/b
a l1
es
TOULOUSE
SJEia da roll.
06luù : grrïré.
M liai IhlO Matie, 8hil
Sein t soir, 0 f0
kir, 6 Mli0nir, l 40
Lta.. d'OrIMrr, L.saoFatlhl.
Mtin, 6h i0 Metn, lhIE
M t., 10 h0 4 7 a7
Men, lh 10 Met 1 te.), oh33
al te oi(Pa , 9 t0 so (P ), 1 S5
Soir, 1 66 s r, 6 61
S i S YU So 7 E5
5o e (M rit ),rve h0 So 9 55
hliten princier. l'obligation générale du j Le même journal évalue ainsi le couservice
militaire et la r éation d'une seil municipal de Paris : 4& membres
milice territoriale aven quelques légères de l'extrême gauche, 20 de ta gauche
modifeullons aux lois existantes. L'api- modérée au du centre ganche, 9 cosser.
ne dit que le m nistre de la guerre (valeurs.
eo limitant ainsi snn projet repéra qu'il
ocra. uallume
sera plus promptement volé par le par-
lament.
°LORAPHIE
Paris, 30 novembre, 5 h, 57 soir.
Paris, 30 novembre, 8 h. 50 soir.
Le lettre adressée par M. le ramie de
Chambord à es amis de l'Assemblée
nationale a été apportée par 6L Cozenove
de l'r.din,,a
M. le comte de Chambord exprime,
dans cette have, la confiance que ses
is défendront les intérêts du pays et
lancame de la royauté. Le prince a
L'Assemblée nationale s'est réunie
aujourd'hui. A l'ouverture de la séance,
été p ressé plusieurs fils de dovuer son
M. Je Ciuiey, ministre de la guerre, a
s lu, la situe
1
i1 ne
déposé les ploylls relatifs à l'or
rnouvrou iimua n faste,
garica 'vent pas faire
lion de l'armée active et de l'armée i mais il pense que le devoir de tout boa
Lerri lor ia le,
On a procédé ensuite u tirage a
sort des bureaux, La séance; après
relie opéraC a été levée D. iu
mardi ama lira la nomination du bueeau,
Le centre droit a nommé hL Rocher
son président.
Le centre gauche a décidé de ee pas
nier contre M. Buget Pour la peSaidomce
de l'Assemblée, et ,le ae eoncerr
-l
t bs- g p. d.l g cbn
11 't i
t é d 4s
f.ea b. nul I I v I', t t pour 51
B Il t. L+ dm l il.re, I p MM,
id,-, de
l'Anse oblée ; tell . se e,oor'el
fera avec les autres groupes de la
droite.
Mans la é 1. n d .s .hevou légers,
M dr La B. 1 tue alun I tl d
M le rornD d 7.h mbin l e g gon L ces
Is à ne rien G+ re Gril I I
de, le eétablmsacmeul de la mon rut ire
Le conseil des m rustres s'est occupé,
nmtin, d. message, leuluel n'est pus
définitivement arrêté.
La banque d'Auglalerre a élavé lies'
compte à 5 0/0.
AUTns ntrConln.
Paris, 50 novembre, 5 h. 40 soir.
Le Tempe dit qu'on député du centre
ganche
lu,
a l'intention de provoque la
nation d'une c ii lion exlra-
parlnm .taire chargée de rerlrcruher les
buses d'anp entente entre Ies fncti'.a
rnodaheées de l'Asseumblée, rn vue de la
discussion des lois coenlitu:ionnellee.
La Commiesioa omprendrait douve
ambres : trois le la ganche, trois du
.entre gauche, trois du centre droit,
trois de la droite modérée. Elle aurait
de pleins pouvoirs pour discuter et
proposer nn projet d'entame,
royaliste est de ne rieu faire qui puisse
rumrder le rétablissement de la monar-
chic. La l Iter été confide rliellement
mmnmquée à plusieurs députés de la
droite nmdérée,
Aurnr.
uéeécn.
Bi vivo, 30 novembre
Lu Bmchstag a continué la discussion
d l dhet d'AI l
Les dépolis Als e . r ic, ot
cou balla le Jt
t
CI ! e
d la dol dron de l uniaees LL d SI as
1 ig et les contribatiom
Ilég t qne ci, p jet sert
ment 1 i ntérét d IE Spire,
e
1 mers,
l sar-
Af. de liismuirck a répliq mé qui il s'ngissa
t i;i de l'i,Lérét de I Ea t t nos
I y 1
pas de I,va,e.e. n Dans 1. ga"re
ris étions dons le cas 1 lé t e
date se, a-t-il dit, nous avons
q ris
i; pays p Sur `intérêt de 1 Empire .t
e opère voit a
anû a jouté que lexielenca d'on parlement
'alsacien serait aue eause d'agitation
permanente et pourrait créer des
dancem pour la puis-
Despvement aux questions sçulairea,
dit:
. ?oms avoue procédé énergiquement,
nous devrons probablement redoubler
d'énergie: Il est impossible dn tolérer
dans les écoles les éléments travaillant
à abrutir l'homme. J'espère qnn la
jeune génération aura lappeéomlion
p111 lac o,lu eu lisant qui il fallait
veinez. niin d'avoir de bonnes école,,
Le Ileischtag a adopté définitivement
le traité postal international aveu Berne.
Marché de Parù du E0 neeembra,
spiritueux,
55 'e
so5 l0 14
Marseille, 50 novembre.
Marché calme.
Arrivages 21,255 hectolitres.
Ventes 21,380 hectolitres.
Mariaoopoli 128124 à fr. 31 70.
Danube f 2tin 21 9 0e. 2J 25.
Berdianska 128/12& à 0e. 32.
Taganeock dur 130/120 à fe, 3& 25,
LOCALE
Dans le scrulis de ballolage de
dimanche, h' section du canton Nord
M. Paeseeie6 a été élu par 741 vor ,
contre M. C,esm, O4&.
reste, Et l'en comprendra sans peine
que, pour ou propre compte, la veuve
do colonel em garddt le secret-
Le Ministre du commerce nient d'adresser
aux Chambres de commerce la
circulaire suivante
e Meseeors,
Le ministre lu commerce a repu,
dans ces derniers temps, plusieurs dem:mdes
de de chambres de
commerce, doue des départements qui
0ont déjà dotés de cette, iaatitutiou.
Ces dehland'a saut géaéralement matit
1 Bceslilé de donner aux in.
tcréls dlderente q ir rnl compris dans
lev Diverses pat fies d'une méme nircons-
'Ii pli n u erepeésenm tien spée.iale.
L j uprudeee d;i cooneil d'L'tat
i51 taule, 'n 111,1 lie conlroirc à lu Leup
:grande multiplicité des chambres le
nour e , à rail.. méme du caractère
qu s ch ambres doivent avoir.
Les 1 bres de eo nnmerce ne sont
pas 0l d blé appeléesà
r.p ter les t éts pé iaux dune
h' b e de commerce ou d'in 10510m ;
IUS rs aunI pas les organes de tel on
L I térël' local ; cites s aL la représentation
des intérêts généraux da comm
a ut de l'industrie.
Or, limiter l'étendue de leur rit.
eouseeiption an territoire d'mrarrondisament
ou évidméme d'un centre industrel
rait, emment, enlever .eux dëlibirstioas
de ces chambres l'autorité qu'il
imp te de leur conser0ee.
il est cependa,Il à désirer que les
intérêts différents qui pe vomi être e
prés. e dans ..il méme
lion aient une représentation au sein
de la ahambrn a laquelle ils rassortlsa'.C
. Il u semblé qii e serait préférable,
sans recourir Ies êci ion de n ouvelles
chambres, de hercher duos la révision
des
qui régissent l'institntic',
une solution qui répondit aux exigences
d'intérêts légitimes,
.Trois points liai
fixé Petleutian du
Comseil d''Lat et de l'administration :
a I^ La substitution du vote par se
lion territoriale a. vola par scrutin de
11
,.Blasa. .. ...Sises
dun .euoe io snay 8h ]tt b, vn ;mY YLa. h. lS h. e.
94.116?m ;1, 4,Ch s
Caorx-Dn,.au.-LOnu,, 8 b. 1P 57n.'; a L. e. p h m.; 1 b. e h. a
B.uue, l'emboaehvn, s h. 1P L. em. ; 6 h, a. 9 L, m ; 1 L. e
olnAVx, par la CdPMrv, ' h e, , h e
ah.1li m.; 3 h 112
L.ron.vrm, 8 h. 1P M1. m ; S h. e. 9 L m. ,1 h 6 5. e.
aonanw,pnlvpovid.f.s. las m., 05e
r1L.m,411 e.'
Nx,uur,pnetex ritaeellu, 7h,m 3 h.a 8h. lion
lh.lt
5armtluna, Cor.ouN; d h.m ; l b, 4 h, e. 7 h ll h m. ; 3 h
Buam,w, eau.evy 7L h. m.; a,. 8M1 112m 114 r.
14 1
11Y
eP,a;m.l,, 'a,n, CUrun, 7 6 lOmh. ,., n h e 8, 1;Rm ,411
.
tlon.-Duw'LLn, 7 b. es. h. e
tlna. - b, voulu e. me ai..vaa,ae. 1 s a 4a
lu M lait d ! A, tas
f2 Toaloa typ. M.nuau
liste, pour la nomination des membres i des différences considérables dans les
dach2nmhres; élément. dont es diverses listes se
La révieian du sysleme des mem- composent, différences Gâcheuses, lorsbres
correspondants
que la liste général est formée de listes
5° La modification dans le mode de partielles. Aussi s'est.il rencontré, dans
formation des listes électorale.. telle localité, où les patentée sons 50 0.
. Dans le vote. par scrutin de liste, beaux mais exerecul des commerces peu
pour la des membres des importants, qu il sul'ét de payer une
chumbree de commerce, la patente descendant 912 le. pour 6gn-
.ce peut apartenir, à ra on du nombue
des électeurs, à tel ou tel centre,
qui devient, à lût seul, l'arbitre des
élections. En substituant à ce mode de
v Uutinn le scrutin par circonscriptions
déterminées, et en proportionnant à
l'importance om rciale de chaque
section le nombre des membres qui
devraient reprlxenter chacune de ces
-
'e fions dans la chvmbee, o rail
à donner satisfaction à tous Ies intérêts
d at la représentation duit être grec'
p00.
q . c ndrail il de reretr au
< Ea admettant que l'on ne s areête
p h lu p position que je viens d'insystéme
de 1852, eu ce qui touche les
mmnbeos supplémentaires pur arro.dismeuy
sa f à l'améliorer P L'oedon-
8a c dia 1d juin'1852 et l'a rrété du 19
juin 1848 auloe,saieny dans chaque département,
l'élection d'un membre spécial
eu tue des membres élus au chef
lien, Le décret du 50 eut 1852 a s,bslitné
h ce .ystéme celui des membres
ornespoedante; qui ne paraît pas avoir
été apprécié par les chambres de eu.
meeo
. , on peut se demander si le
modo actuel de formation des listes électorales,
tel qu'il est déterminé par le
dé t du 22 janvier 1872, répond auz
é " t d la situation. Aux termes
d I t le 1= de ce décret, un prend;
pour l élection des h bres de oommerce,
les listes d Bées pour 1 élection
des tribunaux de commerce: mais corne,
gonéralement, c tribunaux lie
'étendent qu'il 1-arrondissement et que
les chambres de commerce ont une cmceipliou
plus étendue, ajoute à
la 1 ste du tribunal ou des tribunaux os de
commerce aue ou plusieurs antres listes
drossées pour la partie de la ain
conscription o3 il n'y a pas de tr!buual,
ll en résulte que la liste générale, qui
sert pour la chambre de comme, ce, se
empesa de plbsieura listes distinctives,
juxtaposées. Sous le régime du décret
de 1852, lus listes pour l'élection des
membres des chambres de commerce
étaient dressées par lev préfets ; le aombre
des notables n'étant pas usé, le
préfet pouvait proportionner ce nombre
à lite oetaoce commerciale de chaque
arrondissement
< Aujourd'hui, les listes doivent comprendre
un nombre d'électeurs au
d isiéme du nombre des s, quelle
poe Picola
es
pois [ode n la, errote Il penrésulte
- Y songes-W
- Il m'aime.,, sou. le savez, mon
pérs,et, pour votre part, vous lui en deir
la li ate électorale,
tandis qne,
ducs itelle autre localité de la éme
eircanscripliov, où les négociants étaient
besuconp moins nmubreus, une patente
de 250 fr, au moins était nécessaire
pour être inscrit sur la liste des éleeleurs.
< Ne serait-il pas préférable, dés lors,
dans toutes les hyputhéses, que les ci,.
consreiptioms des chambres comprennent
un seul arrondissement ou sa o.poeut
d'a rrmnlissements divers, de faire
dresser la liste électorale par une seule
et même commission, Pour l'ensemble
de la circonscription ? N'obtiendrail'on
pas ainsi une lista plus homogène et
répondant mieux aux intentions du lé.
gislateur lui-méme ?
. Ces différentes mesures doivent être
examinées avec soin avant de préparer
une solution qui nécessitera la modifi.
lotion des règlements eu vigueur. J'ai
pensé que les chambres de commerce
pourraient elles-méme. émettre Il et s
sors. Ladminietr rtion 'a qu'un but :
donnée aux grands intérêts du commerce
et de l'iuduslrie 10111.. Ils garanties
que ces té. d ls seront le mieux possible
epeénen dans les e,bambees auzq ;el-
les est attribuée 1 impormute messon
d'éclairer le gouvernement sur les gnes.
lions de leur ressort.
de viens, eu conséquence, sons prier,
messiema , de me faire c.n.aitee vos
observations sur les questions que je
signale à votre attention, Le cercle de
es questmns n'est d ailleurs pas fe mé.
Vous pourrez me soumettre toutes les
dispositions que sous jugerez
me communiquer dans l'ordre
que motive cette circulaire.
a Recevez, etc,
utile de
d'idées
< Le boinstre de l'agriculhn-e et du
sois,
L, Cmvnnr.
Des procès verbans ont été dresxls
contre tris individus, pbrir tapage roctm'ne
; et contre le nommé agé de
30 ans, pour camps et bleasures envers
s. femme.
Dimanche matin, vers huit heures et
demie, duos la rue de Voyons., un omnibus
allant à Plaisance, a cr ché et
eesé la jardinière de M. Dejean,
propriétaire à .Aucamville, air laquelle
il était monté avec trois antres persanlies.
Il n'y a pas eu d'accident. La hue.
Teutb.nene ou JOURNAL ris TOULOUSEqui était, hélas ! hie. Ici. de son tueur.
Celui de Aime Désaubruy ne s'y trompa
Du 1^' Décembre 1876, qu'à demi,
Ce surude hiver, si long pour toue, il le
fut pour Dernard,
111°A
A la signa ture de la paix, lorsque le
ehemin de la France se rouvrit aux prico
Le blessé de
iers, le sovant ocnlislr, hésitait en
LE BLESSÉ DE GRAVELOTTE
Ami re à pronoucersmr
Cnvelotle'nttendil,
IX (Suite).
Les vainqueurs ouatantiéie range les conf.
t 1 I- d citégoein
d p r q le .marnaient re,
pitai n 1 Lsua d mm tn1e tut a
le pitaine enu étei ne protesta pas ,
ca
11 sentit ans yenns'éteindre. On tuf avait
parlé, cumme suprême espoir, 'a du c é-
Alt, léhré man' ocolis', s..... C'était à Uresde
qu n. l'envoyait,
Ilés i..Butin. le lendemain de san arrivée, la
ut lieu. Mais çe fat en
vain qu'il s'efforça de lire un pronostic
air le visage du docteur. La fringue du
voyage avent encore aggravé son mai. Il
voyait mémo plus cens pur lesquels
ilr hait touché.
Entre autres recommandations, le nié.
deci. loi enjoignit de garder cu.stam-
ment fru Lamluau su: les yen s-
ll . y eut entre eux lime scène décbi
V là pourtno i les lettres
de Ber-
vante.
sa 4 étairnt pins de son écriture. ll
Espère e ee 1 I ditmette, lors-
.aue .hart à dmssimuler ors de usble ;
l rt 1 é, Ne te reste-si,
rl parlait de tout, hnrmix de lu bine-.9 Q ri ta mi,rep dos amis, la furttiue, la
e ebnt la guérn ae 1. "a IL tant p Jeunesse s
s
attendre.. Quand iso
1 dernier espoir me ...
sera ravi, pensaitmile ma mère l'appren- - Mais Jeanne, ! murmura Bemard
dru toc jours assez tilt ! e Et cherchant
31 u( revp er le chan^e parfois méme
a rr09 OR d an0 o aisée t ai t une 8 aiat8
s cm
P
L!n jour enfla le docteur se racounut
impuissant.
- Parte. I dit-il à l'aveugle, qui
s'écria
- Aiais je sois duel condamné !
Prr lu sen.rme.a enIci'il
le médecin, li sons reste le recours eu
Dieu.,, lui sa.l peut faire des roira
"sI
de sombre folie, Il ne pouvait se résu.-
dre au départ, il n'usait écrire. La
pensée do ,wicidu lui vint, Ne radait-il
pas mieux que sa cille apprît qu'il liait
neti
On se rappelle commwt Afine Désaubray
connut .non la vérité, Ce fut elle
qui écrivit a sua fils
- Je suis tout t... Atmnds-moi, j'arrive
!
Jeanne ! c'était
X,
1. pensée ....imite,
c'était le plus amer regret de l'avn
1
lim',,tait d'en parler,,, et cependant
il en parlait toujours.
so mère AvaiL dir lui répéter l'histoire
du trstan,rnL, du vuyagr, toutes Ies
seénos qui s'éWien[ passées au ulrttrou
i.llc avait appm lé la lettre de val' de
'Crdvclec, et .'émit, pour ainsi dire,
un mémorial Je sa nouvelle vie. Snuent
Bernard en redem;.ndoit la lceturc.
I7 u l .u p d' o ,
d t 1 mont. la 0jemnI e t tc
lame r motait ses allions, les peosecs,
pins nn mot rait allu
qui nappe n rclte tenmtr en
13ernard out un accès de désespoir danse et Ilésaobrny, cette première re to rnce qui
avait été la caille
d tout le
-Ce qui mec .soie, disait dorme
Bermn'd, c'est que Je:mne r nuire mon
arnonr, rien ee l'empêchera é (ter lieu'
"Ici,
U 'était mis en route, on revenait
à petites journées par da Suisse,
là, du moine, un attendrissement
especluenx, de vives sympathies se
y g
1 tient sur lepassab d , L
L Id d C lt p
t le e1 'fr e l gin si
je.,,
uni uamnt Ies frimes, Les
hommes se décunvra lent dus pa adle
pauvre rné'e Iii amenait l pays sou
fils privé de la lumière dn c:ol.
lin soir, à Berne, ils Suaient assis
tous les deux sur cette promenade do
la.Plale-forme, d'où l'on découvre un sL
inagninque panorama des momagues de
1'Obeeland.
- Vuit.00 Ies cimes blanches ? ques.
tionna Bernard.
- Oui, : répondit Madame Désaubroy.
Pas la muibdre beurre à l'lrorizon
I
Après un silence, sPa'mag mnirmle reprit
- Je sens sur mes mains la chaleur
des rayons du .lait couchavt... Les
glaciers doi^cet resplendir , n'est Ce
pas ! Oeeole-moi sera le Jungl'rau, ma
mère.,.
- Puis, quand elle se fut prêtée à ce
désir
le me Bgure maintenant tout le
panorama I dit d. Ah ! je le connais
sais li bien, et je l'aimais mut ! Ici ,
le l'Eiger... le %V'tt bol....
Il u v o d'autres enture , et
us Ies voilr r; il semblait Ies reeonnailer.
li leur souriait comme à d'ant-
taus,Cu scu,
suis, disait-il eu méme temps,
u sais, rua mère ,combien de fois je
les ai renouvelées, ces rscursies alpestres
I... C'était la grmmde fête de mes
à et
vouvenir'e lie clalgrt ïmprevs le
que, n 1001, l presmou
du paysage sy reproduit., Ne bovgeo.s
pas'! e parlt ! lari, e regarda 1
il ve P plus , se laissant aller à
1n ra5veec. fibil d t L dans cette
imnrobil te : I I d sommeil
Pendant qr Iq r tees, l'a ttenlion
de Mou Uésaubeay fat attirée p.r les
z ébats des enfants 9ni e -
s
sou tas mnrrunnicrs. s
retournant, elle aperonl le v sage de
son fils inondé de larmes.
- Dernard I s'écria-telle , qu'as-tu
donc Y..,
no cinquiéte pas , répon
dil'il, je me rappelais
Quoi ?.
- L'n rêve auquel je me complaisais
l'an dernier... a sais... je . iteulais
épouser Jeanne I ... e pro-
Iis, a l'exemple des Buneés suisses, qne
uns feriova notre vuya^e de noces dans
l'Obrelaod... Ah I je disais bien , c
c'était qii n. rêve !
- Mou calant I
- Il se réalisera peutmétra pour elle
.ver, u autre l acheva Bernard , et
emmonc uje lui alois so ont pa lré de
rs Paye , mon sr v .vie teav 'e a de
le iCe eu taons sue pensée. Elle dira :
Ce pauvre parrain ! . si toutefois elle
ae m'a pas déjà oublié I
Yen I Jeanne ri était pas de celles qui
.nblivnt
Elle avait couru présenter à M. de
Trévelec 1a teilla a....çart lu fatal,
uvelle- A peine en eut-il pris cou'
naissance 9 son tour qu'elle lui
- Mon père , ne m'avez'vous pas
conté que , lors de la guerre contre
l'Anlric!ie, de jeunes Imlien nea s'étaient
engagées d'honneur s'épouser qu'on
soldat blessé, mutilé ea défendant so.
pays °
En effet ! rerouaut le comte.
- Ee vous approuviez cela, n'est-ce
pas 1
- Voulez-vem me permettre lia en.
mblable à l'égard !du Ber-
Oui,
gagemem
I?upuivaient
nued Bésvobray
vez de la reconnaissance,
- Moi!
- Dame ! sa.s cet amour, on en se.
rait à l'ouvrir, on ne l'aurait peut-élre
jamais ouvert ce testament qui suris a
reudn voire fille.
- Eh ! tint juste, fit le père CI.u.
de, qui se trouvait l9.
- Mais, observa le comte, Bernard eat
aveugle !
- Raison de pins pour l'aimer t répligna
gravement Mlle de Trévelec.
-Prends garde, ma Jannne, d'avoir
à regrellerplustaed ce généreux dé.
nûment 1
- On ou guette jamais d'avoir fait
son devoir. Cest vous encore qui me
Pavez dit, monsieur le comte !... Je n a-
girai e aholr votre assevti tiovl .. Mais
le. e changera ma résolution... J'si la
tête d'une bretonne !
- Et le .mur aussi ! répondit en
l'embrassant on père. Lorogr'ils seront
de ret.ur à Aiais, oit ,je conserve des
r latines, je te le di,.l..tusque-là, réBéebis.eneore...
et patience 1
Jeanne attendit sans reparler de son
espoir, mais il brillait dans ses yeux.
Quelque chose de grave et de 'c eilli
dans l'attitude, unes te de sénérité
répandue sur ses traits, les sai-tesjoies
de s conscience et de l'amour douent
un charme de plus, comme une
auréole à su beauté.
Chaque matin, du regard, elle inter.
geais le comte,
-Ils sonl arrivés 1 lui dit-il colis.
Parlons-nous ?.., domand. Jeanne,
(la cuite d demain).
Ce, DESLYS.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

disiérr a ,et s;.url,.eut Ls brancards v S'i ,fit été, E.pagrnl, nous l'amiral bligae française elle.même ne me paraît porte le mol) la présidence septennale prévoyait.. L'imprden, . me réponditfi
Ire.. jugé, et très.prohablem'od t'nsilé ,nm- pps d'une orthodoxie absolue car ,ai, les aura pour, adversaires carme M. de; il. C'est encore là ce qti il y a de plus
. 1 1, F
. [ p I II p des ! IS gl 1 prenant 'ah d't tt sage à faire.
dmn l I i i ,, f I 1 f. Il s q t equ'avec 1
pi
gI,mJ
(Presse)
{
1. l qI .I .1 1J tl f n
11.
d 11 g
r
.is t i pl lé é Le id Srir g
i
t.:
Ii1 u t 1 p
{ ([ai' I .y.ié ts e Il i tq Il tll d: y
Le loarul [ Dé l tp t
,oc
I. à f l te F I II. I I L, 1 tas t J' t
'ai'
ili,tr
mennu
I
V;
I fiai , il !i il e
IrrlF tarai t {I en
l::1oce,
pile p,h 1 dl de 31. la majorité dit 21 .ai etd 20 01 L. ré mite l,m e ol, ries'
ua'I t f 1 si le allumé M m t n Ber 1 tirs de Mvl U f, bel il ne restait pisses lie a renoncer ami t I t I tétai d s f s se s ni e,
suc,.,. I.. sac .cc. le viri p ta enpdéputé
l i 1. é p Pendant, Vl L I D g nt I etc y qui I Iras can,Utntlauuelles, et à ,Ivre cubé.
-- 1 flot A à l II t d l) j n'ont ja ma 1 s:é pour des ,établi- rament sm la IuI de la prorogation des
.t y u , y la planmt des députés
le
I
I , (Nec rr r). Aa s , onO. are
e
, oins bien farouches ponvnirs du mmecla I de Mac Nlahon, oui P"' , t doit I fie qu'ils t c
1 fl 0 (1('lljgt9 mal, le retiendrons en état d'or ces. Suu cette liste tic G le .'un } former une nouvelle ti dont, I té il le d-p 1. - t '.t f
oIi
g, Il pas qu'à majorité
r,tl Ilsme et le 1 rn i arfm
a ss n ., + vauouar, lotion jnsgn't la lin de nos opéra. de M. C,lémencrau, le manade am-strr
I
r
bos.
mé,noire qui administrait Montmartre
!Z91, .. 1m rsnveeaabre. 9189a V ill a )Jumelle' Je p ; le te mars. Le Journal dm Débuts , In i,
--- fat 1 s. le ,ai. haute t ne et est encore plus [quo tons ses +ollé
n nr :104 s de ma considération la plus datcha. gara de la république coassesntriee. Il
guée débbérémmlt éliminé tout
ce
qui
k.
e l n Le générai comrnandant la était peu ou prou suspect de rad,csm
7r
A ' n d'r e,opeinlrons sar Ilsme, et s'est eavement rallié scia eue-
-___ f .ulcè didatures simplement libérales. Su liste,
' h--- .
3larquisltir
Var Escia,. à quelques ...a Pnés , et ces noms
8
7" s. 8 . nus OSO insens
' p R . Véra, 2h novembre n'ont pas une grande importance, s
fU" s /or i t beau. _-E , id. digère pas sensiblement de celle dçs
,0 1 73,31 1ti faible. antres journaux parement conserva -
O`o1n 7a l,!b . 111 7 aiid S.Stir: ,nd
lha anus écrit d'Aloi f 27 n- leurs, tels que le :Ifonitear uniuersel ou
s (and),
1 ,1' . 1.. .2 ili'2.1 r la Presse
vot
te
8
Il.,La.
.1
. I.
- .'-"-".._ - - ".-« Un .lépl érable occident qui a coûté la
11 serait haurenx qii une alliance fiéee
r plusieurs personnes et Luit
refile se généralisât et fut tran sportée
i i, uI la v rou I é dit' lu minaimoll ds .1 d 1
d I: d L [ t d S t
politique. C'est d'a Items ce In ne
li
Il i de It ,[I n à 1 { t ,m
t I..s tarder à r: us apprendre les
mas llrngnims, 1 4 kilomètres ,Alois. P I iras réunions parlemee asr ,
es
uspi-
Vers les six heures et demie fin ma.
lesgnelllrs s ent sous
ds
r^s mi
tin, des nnvriers a:
ombre de sept,
s z eit. erra nos Mans le méme
Ili
Extrait des b I i ts
q s f+ !' l - f I 1 t f let
1 J I Co e J d p nce,i dont te pro
se ,geo
il
par M. th d + nté. i l I , t I il, do Itt Le
a été en e Le ce
ce.
, il,
de lu-Giv tl A I . . 1l1 t ,,m.
nue,
n
,,ll
I
1 p 'la l I f I ell est placé iasous Iii dieu'.
1 1d
i en, aiii I 'ou pou'1 1 fit in tf shn
1 ale. Ni. 1 iot Monfpayroux. Il apyre.
lie, I .
dr d 't soi.
hr,.t à la a
race centre gauche fusion
e , ....lins ti-a a de maunhondi
'!r et p . t à titre, rendre de
u' 2,611 main de ,murex, allait R Il Le p ogiamme qi
r ,
P,. clac c.m..fil
est, ailleurs des
pi
ins
t ,, voie qu II [ Le
L
sm,
f0 ,t 1 l nu il e
et
a heurt
cuntilfat5.
il
l
a
d indiquaient s ffsn e t son passage,
yen les ouvriers cheechérest à évit
se pl ç t tir la voie de gauche.
ail e Ira, . e t, ils ne peu ont pas
,garde gn'em cuisant cette ligue, ils couraient
ris grand danger.
Blettit, le train des
oyageurs n'
,I .
03 qui port d'Alos à 6 e.
30, venait
a
mémo instant croiser te train de marchandises
et fondre sur
les
ouvriers qui
furent jetés à plusieurs mètres de distance.
Ils ces sept malheureux ..,.fers on
seul, le nommé Pongy, e
été quitte
ont ététués sur le
pour la peur.e
1.1
.Jnlabiat. Lest 4tautres art ,,ça
dl,bar.t
fusions assezgraves et leur état est de
;tore à inspirer quelques inquiétudes.
Informés de cet accident, M. liassis, juge
d'instruction, et Ni. Tenlon, substitut
du procureur de la république, se sont
transportés ,or les lieux pour procéder
à une instructioujudieiaire-
! 126
d fod f, t . 44
n.mhln de pluie o é ans la
jmarcée drr
20, 2mi',n, t tub e d
Du 0 , Lue
Therm. crut g d * , i +12 5
id. I. t o
te la
neerra. runanérer. 01,
r 'I'l loolTs
9 h. m. 0 73 rou rou foi lai
midi. 0 ,734 3 id. id.
Le baromél.re baisse; il
est amdese
s rie g [ p f ie.
1 Ienp 1.11 'i elle Il ille,ham.
'l. i,i:i;a l,:rr i midi, I1,2
DJPARTEMENTS
Villemur, 30 novembre.
Voici le résultat du scrutin de bellotoge
qui a
eu lieu pour compléter nos
élections munirai pales. 11 y avait quatre
lou seilhrs à élire :ont été mmés
M. Fonvleille, menuisier, 453 voix
fils-ty, propriétaire, 4112 ; Castella,
ie', 43I ; 4
Pélus rrappueienaient à3
1a
liste conservatrice.
Veu nmut ensuite: MM.
nérai, ieur.
conseiller général, 338
tune
eveux, conseiller sortant, 314
ale
vit ;
Arnal, propriétaire, 305 ; Penderies,
conseiller sortant, 283.
Auterive, le 22 novembre.
Les élections de
bnlloluge comprenaient
quatre candidats;
1 n'p .,ait
P. muius de trois listes, déposées ou
n au Parquet (Vous voyer que l'on
precède ici co ice dans les seclinna
ont de Tonloaile). Las loustics les
uvaient dénommées de le f,çon suinte
:
. Giste conservatrice, de quoi?
u Liste
'étonnante,
de qui?
. intiassigcanlr, pourquoi ? .
Ouf été narrés à ce second torr de
.lin :
NI.11. 7'roy Toueeetle, liste
républicaine.
I,apése, bottier, liste républicaine.
j,sti be (Jean), liste répunlicaine.
Lirais, forgeron, par nnnéfice d'âge,
de la liste ronserrutriee.
E. résumé, le second fane n'a rien
changé 3 la situation
des choses et la
grande majorité reste acquise ana rédu-ln9,mrmbs,
de
snept coh'epister,unmrvatr
1. Manrx.
Château de la
Nl:i,I,,(!,i:
L'adjudication dn magasin de harnaeement
et d'alimentant qui devon avoir
licol e,
l'école il'.,fi1Ici lit de Castres, est
er avoyée au 10 décembre.
11 y u égnlcmeul ajournement momeut:mé
pour l'adjudication des travaux de
baraquement du 0' d'artillerie.
(L'Écho fin Tern).
U. assassinat suivi de vol es été commis,
à Beaucaire, vendredi dernier, vers
sis heures du hoir.
La femme Banchfo, d'origine espagnole
(province de Turagese) , habitait
depu nilgleelque temps Beaucaire avec
sa
Vendredi, arrivaient à ,Insulaire les
mmés François Sanchio, âgé de trentrctroislras,
beau.frère de la femme
Sanchio et Joseph Vaquer, 9gé de
trente sis sus, tons Ies deux Espagnols.
H se présentèrent an domicile de la
femme Sanchio, et après avoir éloigné
le mari anus an prétexte
quelconque,
ils la poignardèrent et s'emparére.nt
Site d'une sommer de 7,200 friture,
qu'ils savaient probablement en eu possession.
La femme Sanchio était enceinte de
quatre mois. Lu avortement s'est
prodoit
par suite de ses blessures ; eepe'-
.ant son fart ne parait pas désespéré.
.It
Imuet apr ès la Lion
n,
i ls
du cri mon, ils
pr
s
prirent
le train n
de
de Cette
qui arrive à Montpellier St
quatre
h ré.
roua
malin. Mafiairs par lae,
dans , ru mari de l a inies,
le train, du -
time, présence furtoite puisqu'à
c moment
il ,peur. en ,e. le meurtre
1 coulèrent sur
:.turfs snr ue femme,
i
Is voie ferrée à peu de distance de
Montpellier.
Vaquer se blessa assez griément
en tombant, et est à grand
peine
"' il puy amer 'aide de
complice, se erainer,iusqu à une auberge
da faubourg de \imes à
N1ontpel-
Iicr.
C'est là que, quelques Instants après,
sur la dénonciation de
l'hiatelier; qui
vafi mes
dent
crime ira
ayant cil dru.
hommes dont l'un était blessé,
ils turentorr&és
par lu police, qui oe se don- I
uni oe nouvel en
lait pas dés i'ahord de l'importa mer, de I 9 gagament qui corsa
capture, car elle, ne fut avertie que
présent le premier a 'ectîeot abouti oosqu'à
vers onze heures du malin par le par. j 'eh
grèsent ? A mou d ' e l l
i f
. La remord
r s-
gnetdu Nimes.
sri des Trente, absout pas mém
se
Croyant la femme 5amctif, morte ils I mettre directement à re et aborder
,
on[, nous assure-t-un, 4 jusqu ïcf le
l
question capitale
de
e
la Chambre h mrc
'ine qui leur est reproché. L'un d'eux
te
e lirejeta sur la loi électorale, s'y
rété trouvé nanti d'une somme de 5,500
attarda tant qii elle pût et eénesit à
.
francs.
gagner les vacances de Pâques sans avoir
Hier, dimanche, ils ont été dirigés
i
rien proposé, ni résolu ;mais sa résers.r
Nimes par le main do '.une heures 1 vo timide fut inutile, et
bisa qu'ele
eut réduit
le travail constitutionnel au
du matin(Messager du :Midi ).
-
.
I
minimum possible, ce minimum Put .
cocatrop pour l'Assemblée. La
"je'!
té du 24 mite se rompit du rmup ; ton-
VERSAILLEPARIS te unepnrtiedeladroitedéclaeaqu'elle
ne vantait pas entendre parler des lois
constitutionnelles, même de celle qui
Qorraponduea p.rliculUra touchait le moins à l'organisation du
pou oie exécutif et du pouvoir législre
Paris 20 novembre
lit .Pas d'organisation de la prs
éidence
,.
Au moment eh je vous écris Paris septennale ; rien rien de er qui pour
,,-
voie t selon son Labihide avec le plus rait ajourner h sept a la restanragrand
calme en dépit d'une rafale ef-
fion de lu monarchie légitime et faire
L'Assemblée va reprendre sa session,
.upiés des vacantes de ,lustre mois qui
au o t permis à tous ses membres,
s'ils l'ont bien voulu, de se faire mn
idée exacte de l'état du pays, ouf de tefléchir
sur ce qu'ils ont à l'aire uxmémes
pour replacer la France dans
ituafion mieux assise et plus as-
$crée.
Nous ne lemmes pas de remis qui
lent avec in uiétudo et regret le rou
tour, des débats parlementaires :
nous
ne ls regreherioms qne s'ils
devaient
rester stériles.
Tout régime cousu l,,-
tionnel éompuete vu certain mouvement,
qui trouble parfois les intérêts maté
fiels, mais a..quels ceas-ci
doivent
s'habit.erro; car, à la
pi
longue, il leur est
ns pfitable que la l.
décev:.te
Ainsieur,
t du églme
dictatorialm
ynilLé
que l'Assemblée discute des gnealians
qu'elle
n'a
le droit d'ajourner et
que le pays s'émeuve de discussions qui
auront ur son sort e grave Intenace,
sc'est de quoi tiens n no.s
plaignons pas. N'en soplaindrions
si les questions qui vol `ldonser tien à
ces débats de la chambre et à "lie
motiu1 du pays; sedt.nmaient, au bout
.en .met
'us
orageuse, dans le sméme lita1
ratée et
aû elles
sont
à la fin des v
Alors, nous l'avouons,
I'optniodc `n
tromperait pas en pnrtat sur l'Aaseme
],fête de 1871 ou jugeaient sévère, et,
dan
le cas air la mauvaise humeur du
pubs
lic. tons havait sur le régime parle-
,enLaire tout entier, ses, l'a
défen-
's de ce régira
aime serions assez
embareuysén fin répondre.
L'Assemblée, par un .loi votée dans
les premiers murs de 4873,
s'est engagée:i
smtuer 9 le pouvoir exécutif,
sule pouvoir, Iégislaliy s e les
des deux pouvoirs et leur mode de
transmission, e pueticnliéremrnt nul
use Chambre hante et sur la lai électorale.
Qli a-t.elle
fait jusqu'ici pole tenir
cet engngmne.ny qui date de Ii gt
nuis ? Elle a fait nue seule chose, trés-
Importate i l est ,,ai, elle a donne a
pouvoir exécutif, dans la personne
ée
maréchal -0o Mae-Naho,, une
durée
lise.
La loi du 20 novembre a, disons
trac lyds-ggronde importa,,,, mis elle
appelle sainement un nSmest,
elle
J'appelle
avec une
telle
lle urgence
non
dut l'indiquer dans la loi même et
que la
nmlotion immédiate d'une
satin.
pu., l'examen dgs lois
onstiluti...elles fut stipulée eh même
temps queles pouvoirs du maréchal de
bloc -Mahon étaient prorogés pour sept
Il programme fût précisément ces lois q is 1
t t t II d t li ira
1 t d p g Iu étants.
tans I
rune
I I la 1 6 tll d-
mmi leu
b
éme gauche, ni l'extrême d ILe,
t des lois . t f t
ni les
onapartistes.
propos -
Le prernier part: est plein ,51 permis p:rd u, ,, tomme le bruit s 'eu est roi
faut éter'a et il n permis !d n, les diverses fractions lemem
des'ynerne
pe
qmite
ue
si
si, de toute nécesmtaures
neuf d'avis de ,.annoncer à dise
muter les lois sur l'armée dés 1
1 l
trée
té, o
,e peut faire autrement. Certes,
et d'a orner ê s de a
ubsence des lois constitutionnelles len.
ie spr s Ira
i
sl
de
ambre. Les
drscussuon des projets con_t t t nets,
mole point la loi dit
s
spollens
du maréchal de a out !lent l'examen peut donner heu à des
restmd, dans cette
hypntliheus
ése,
tout
mmdentil qui peuvent amener des
redéfectibles
jusqu'au 20 novemdroits
iuugi'is à prévoir, le certes
bec 1880, tout assai hors d'atteinte, Irait, raegela à cette .piai... Tonix
ils ne sont pas pourvus de cet or tefois, al ne parait point van. pro.
ganisme eouatituhonnel qui fait les gou- Ire 1 'initiative de la demande de ev
versements réguliers , et la t...smrs- nouvel ajournement.
est plus réglée
ils ne donnent
11 ressset, dit encore le Jarr,nal des
doue
en
pas nu
pays
toute laséoarté pos- Débats, des conversations échangées
cible, et ils laissent l'avenir dans un dans cette séance que Iis membres du
fnqurétente incertitude. Nous a "airs droit sont disposés à se montrer
d 'me cuiras de dire que ee premier 'irncil ante et qu'un certain nombre de
puni n'est admissible que si les cierous- députés de a droite qui, avant les val
s 1 p t mh olmrnt.
rances ne voulaient à au.un prix e.
L esero d part
hnuomenf
préférable
tendre parler du septennat impersonnel,
en cor, supposé que la majorité au ont cnmplétemen modifié leur première
oins du centre gauche iendea se rade voir.
joie lie rit centre droit. Or, Jusgdà
m Néanmoins, il impure d'ajouter que
présent, les membres du premier de plusieurs mc b s de la droite et d,
groupes ont posé comme condition
roue droit
i
.sidèrent
1 nq ii faut ait
de ]nain. avec l'autre la reconnais pas immense a
saxe e définitive de la République: Si les
ins en se ,allant à J 'idée i
t ansm s
v,teurs
Ji bécane u oeeptaaeny ils
lma des pou,,irs à ,m 1m miéme filé
p 1 nt aussitôt l'appui de Is droite
s dont de In Ilepnbligne, dans le cas de
i .décan, et ne seraient pas plus ara.-
décés, on de démission fin maréchal de
tés qn avant, car ils ne peuvent réelle.
Mae-hon, c'est-à-dire à la transmisma
pas aller demander l'orgauisnhon
si.. des pouvoirs aeinement pour la
de la présidence septennale à l'extrême
période septennale.
gauche, qui d'ailleurs ne l'accorderait
port.
celle cet la difficulté sur laquelleoos
honorables représentants doivent
avoir
médité pendant
leurs quatre .lis de
vacantes. lis ne la résoudront pas si
les
se font eu ,sinon t : s puisqusil
nous
été impossible de rétablir
ce France le pouvoir néréditafreet que
nous devon
héréditaire, rans sarvautli donnern pouvoir non
, mieux à celuici
le ,ara t gnr'e. gouverr,.,et aonstilulionnel
que de le
d
réduire à l'état
e
dictature ; e si les autres .e sir disent :
. Un gouvernement non héréditaire,
organisé de ,..cerf avec les conserved'une
réte.re,
rat beaucoup plus près
I Irait
P,tbltdémocratiel
eévolutioeaarirte,trmu ou
vaut donc accepter le premier que de
courir les hasards des ,raz ares..
Voilà en que nous voudrions
quel,
on ne
dit dans le centre deuil, dans la droite
m é antes,
modérée et dans le centre
d
gens mo-
Mais se trouvera-til assez
e
dérés qui se le diront pour l'emporter
tir les partis eatrêmen qui
se diront
le contraire ?
(.1fesiteur)
Léo Jouaxne.
- Hier, à la réunion du centre droit,
dit le Courrier de Frnnee,
le duc de
Brogltiea déclaré que le clef e Irait
devai
rester un gruape ouvert à toutes
les nuances de l'opinion conservatrice,
agir en portait accord avec les membres
de la réunion Celbcrt, dont il os
e trouvait séparé que par d'infimes
antes, et. tendre la main aux députés
du centre gauche qui seraient disposés à
accepter la devise du centre droit ;
l'ordre, dame par, et nues in liberté,
M. Batbie a confirmé les paroles de
M. le duc de Bregtie, en ajoutant qu'il
serait peut-il,, utile de Paire quelques
sacrifices, pour eu obtenir d'autres
pins eonsiddrables de la part des
ires
groupes, et que le centre droits
roit était
d'autant pins dans son rôle en ,agissmnt
ainsi, qu'en affirmant le septennat il ne
posait pas la gnextiou de principe sur
la ferme du gouvernement.
- Les députés présents à Paris, misant
partie des bureaus des trois
fractions
de la gauche, se sont réunis hier
après-midi chez M. Ensile Lenuill, l'un
des
vice-présidents de centre gauche.
On s'est d'abord entretenu du brait ce.
latif à l'i.tention de Ni. Buffet de remuser
la candidature à la présidence de
l'Assemblée nationale. Cette
nouvelle,
qui s'est répandue subitement nier à
Parie, est assomment dénué de
fa..
tiennent.
Co s'est demandé enspile
s'il y annuit
lieu ur les rou es de la a
'hou, de déposer d0g interpellntiovsgsoil
à peuple de ce yn{ s'est passé
lors des
électiune, soit au sujet de politique in-
Lérienre. I;opflia. uné anime de la eéuon
a été qii à cotte paque de l'un
e il faut, avant tout, éviter la moindre
cause d'agitation qui serait de
nah,re à troubler les affaires, et que
d'ailleurs la
oi sur les cadres, qui a nn
intérêt patriotique, doit nécesmu rament
plat dominer. Dés fors,
il p adieu de
laisser discuter celte loi avant de réclamer,
si elle n'est pas drmandée dhntre
partais discussion des diaer,
projets de
Joie eonstitutiomrelles.
'tel es été le sentiment de toue les
membres
dite bureauni des trois
gaache6, et que cimaises ,'euz eut eLargé
de faire connatlre à son groupe
dans les réunions qui asrwl lieu demain
et lundi. On âest en outre occupé
des choix à fuir, pour le renouvellement
dubureau, de l'Alsnmhlée nalioaales
auquel
il sera procédé lundi et mardi
à Versailles; mais la réa ion a été
d'avis d'ajou...rces citais jusqu'à lundi.
(In
lit dans I, doarnal de Sainf.Sdbnsnen
:
Les carlistes
cet menacé l'intendant
des
propriétés que l'impératrice
Eugènie psséde à Arleaga, en
Biscaye,
de couper tous les grands arbres qui
e'y trouvent, s'il ne leur payait les cnn-
In halions dont il a reçu la nom détailfée..
Le général marquis de Val de Espina
a adressé la lettre suivante à N1.
de
Nuit
mille,
préfet des Passes-Pyrénées
:
H.. Monsieur le préfet,
Fram;ais, Théophile Gnyon, de
Pleina-Fnngère (hile.et-F'ilaine), a été
surpris par ..s avant-postes au moment
u
il essayait de pénétrer dans leur,
en forçant notre ligne de blocus à
l'ouest de cette
ville.
Au lieu de s'arrêter au s qui-vive v
de nos sentinelles, il a cherché à fuir
et n'a été p 's que par la force.
.Interrogé sur ses
intentio.s et sa
présence, il
n'a pu fournir d'explications
p
plausibles o
acceptables.
u
Il.,
réf
yi
réf papiers consistent
en
u nn congé
orme, dilpan à Toulon, le Si
.cambre 1873, par le conseil d'administration
du 4^ régiment d'infanterie
de marine, et des actes roua
ainsi qu'une lettre établissant que cet
urrier horloger se trouvait à
Bretagne le 11 n embre 1874.
< ses allures et sa teatatiee rosi on répmbh.ams dilféremt presque toutessur et nous tenons quo tort ministère qui om e pohhque actuellement eu dis. i que Io concours de la,rote modérée est
p. peut pls suspectes. J fin certain nombre as noms et la Hépu voudra constituer pu organiser (pou im ponibilijé. Je lui demandais ce qu'il j absolument indispensable à la formation
d'une nouvelle mujorilé, et qu'il n'a
jamais pu venir à lm'esprit de personne
d l'exclure d ég t s qui
cent I droite modérée a lon-
J I l'il I s t lut:unnelles,
t t. ale et Inès-
[ 4 1 Il, 1. l l I vous eu -t.
rt m.,osrm i 1 I tunage.
(If r L .meoei).
Ni. 4ot I f 1 1 1 t
noté de Seine ! 0 [ f I
1 ses Os 'teu s I In dosa
lus c, slon s prstu s pat ait
I ,lut
on,
t
s
i
trayons les p gel suivant .
< Il y et un an, je m anis prononcé
contra I.s prcut de t ara DOn un
narcmyue. C'l de fonder la
république de I 1 Il I t être
déf t t étable dans t .
,y%
,,ai j'si
Ja défendre
pou des prem,m p.
ter, et ] ule, la prrpusitiun
qui e donné patte
pi ait, les P.iilo,,i,,
de Président 1 I d ue 31 -
boue. C'étatbien I Fiance que
de mettre a tel celui qui, ,]ans
'e sans tonus, repuésent
tant
d'éclat les glaires et las malheurs le la
patrie.. .. . Une tus cette
de sécurité publique aiom pl J i
pas cessé de travailler à la prépmrahon
des lois conwhlul'nun tien.. .. .
. Il ii a pas dépendu de toi qu'elles
ne fussent voltes. Quand, le 16 ma!,
le ministère a demandé 1.
priorité ce
i
jeun sains fidèle à mon programme,
je me e culs prononcé pour la toiordé.
< le c, sis cra'iI 3 a tout à perdre et
pie, a p gner : bumaure la France en face
de I'iuc.nau, 'I 1 rxpieutionldes po, voies
dus nés a , maréchal de
Mae-M...
dans
cette ver, l'ai proposé un amendement
dites l,qucljr I
le et qui est ainsi
,,,,,a : < Le L t de la Franest
coup é de, deux Chamb es et
- le d'un Président de lé pebligne élu pair,
sept ans, ']ai t ',éligible. .
. L Arvemblée Ns tiuualc n'étant du ei,.
rée constituante, ellene nie parait
pan
pas
voir refuser au pays
un
s n, Constitua
o
tinhe et puisque la éterur qui permet ée
do la rou sar comas e.lent est pr je ne
par les ripnels qua' euz-mémos, Je ne
comprends pas qu'une Constitution républicaine
sait
refosée, tomme autre
semblant aujourd'hui pouvoir être
Coite.
,, Toutefois, désireux d'un accord,
mettene encore plus d'importanolice h
mettre pendant sept ans Ies fnwtit
de la France à l'abri de tout
chaogegomeet,
et, pour moi, les partisane
si.-
réels de la république sont encore plus
intbressis à lui assurer pendant sept
ans la
la feradmer,vselle peutrrmériter n1.
confiance du pays.
. Aussi j'appelle de tous .en vains,
sous une forme ou Bous 1'ut
are, lu créa
in
d'une vicepréside.c qui serait de,.-
tinte à conférer, eu
,as
s de besoin, à
celui Gai l'exercerait, la continuation,
jusqu'en 1880 des pouvoirs présidentiels
du maréchal de Mae-Mahon. Il
importe
que la nation, pan, fier pleinement vus.
sucée, sache par avmme par qui cl le -
rait gouverner, si elle
avait le malheur
d'être privée des eervices de l'illustre
chef qui préside
ses destiné",.
< Pel pourraite,tre te programme de
rapprochement des
modérés, que
j'ai te. mars cherché à faire réussir
e
me ralliant, sana souci d'une vaine popularité,
à une politique, eécolûment
conservatrice.
. Il n'y a que cette politique qui puis.
se écru le passeport
,'nue république,
et qui soit, araut tout, l'instrument de
salut de la France. .
M. Pocher, député du Calvados, a
en hier une longue conférence are. Ni.
le ministre do l'intérieur et M. Cornélis
de Wilt.
- Le Constiltuhennet dit que 1.
députés du groupe de l'appel au pettplu
ndi eà
,eu irmai
>or
la
P".ce doin
lu
e
M. le baron I?schaesérfnux.
- M.de Fonrtnu, qui avait eu, jeudide,
u long entretien avecle président
la Pép.blique, n fait, hier, ..a -a.
selle visite à l'Elyués.
- Tout nous ,"",me que le Message
présidentiel affirmera
r
nettement,
ome nous l'avons dit, la nécessité des
lois constitutionnelles, colis
même
temps la résolution du mméchal de n
pas subordonner l'exercic
r
.Lee d20 e sonnove
pomur
u noie de ces loisbre1873,
la Chumbre a créé un pouvoir
inconditinund dans sa dorée et
qui
reste
aujourd'bui eu-dessus de toutes
les vissieitud,e et de contes les difficultis
de majoriti.
Uans Ies cercles parlementaires où
les résolutions du maréchul sot couelles
ont produit généralement
bulle impression, On se rappellé 'lac la
prétention de l'opposition an moment
où la Chambre. discutait la loi du 20
novembre, l'année dernière était précisément
d'âssnj'l'il la peur,,, et, des
pouvoirs fin Président samoan préalable
des loi' constitutionnelle,. Legmrrernement
et le maréchal lui-même'
par
un Moussu e, repouasérent cette
prélenl'royable
qui
-il rage depuis 'e malin, légalement obstacle an retour du comte Quoi qu'il eu sait, l'Assemblée va se tien qui ((ri breécartée par ls majorité: de
Demain donc, ou peut-être ce soir .il. de Chambard ! . Tel Put alors le mot réunir plus au complet qui elle ne l'a la Cham. 11 est doue impdasihle
me, nous pourrons savoir si la sagesse d'ordre de cinquante-deux royalistes. i été depuis longtemps. 11 n'y s en ce
!
qui elle renaisse aujourd'hui, puisqug'elle
e la modéra ion des électeurs si En se ev li anl ove, a, hou
t t J'tu- a s r la g , c et Ies hi - moment que sis sièges v anis, e est ,..traire à la lettre autant
n
tià
bile discernement de leur choix va ira amis es ils renversèrent le m i
er- t aillé. m Lanl velu , e M. Itanc et celui de . 1 es rit de la loi du 20 no em
P P a P p are.
mettre de continuer l'expérience qui se rou du duc de Breglie et mirent, pour le ! NI. Bimirnnrf. S'il ri y avait ni absents, ( Lrs dispositions des l'racfioas crnser ,autorisés, le ministre revendiquait pour
ologe depuisdt ans, Paris 'on- moment'
fui
elo parlementaire sur toute ni malades, le mn,bee des voletais pour- valrices de l'Assemblée sont favorables l'autorité administrative la connaissance
limeprrna
à être
aministrérois
pasrïses
osait. organisati.n du gouvernement. rait être de 732. i à une ..tente avec le centre gauche. I de leurs demandes d'indemnité.
ind,
lacs muniripanz élus. Nous n avons élis ont changé d'avis de liais, en taule réserve, par n mot ;Nous disons les fractions ,onserva- Le rapport de c alfairrx, qui soute-
Loa Latea publiées pur les je 'aaa. depms ; an fond, nous ne le croyons pas, profond quo me datasse ce matin un tries, poco, qu il est ban évadent valent des questions idrmiquee, a été
présenté par NIM. Groualle, Moine, Las
ceux, mercier et L'Hôpital, membres du
La conjonction des rentres ne fera-t-
Ile 7 Ces choses-là ne sent faites noue
lorsqu'elles sont prouvées, conlieméea
rt affirmées par un serntin. lusques-là
il est patriotique de la désirer, il est
P r dent de rester dons le doute.
U:ms tons les cas, soyez bien pernarlé
d'uns chose, lest que le septennat
impersonnel, rie.
en ''Çà, mais
rien au.delà non plus, est
le seul terin
de conciliation possible. On ne fera
jamais aller plus loin le centre droit,
psrce que sil
allait plus loir, il se réparerait
de la droite modérée, ce qu'il
ne fera pas.
Je ,nus ai dit que quelques membres
de m groupe important auraient l
velléité de s'en détacher an besoin
peue
r
évder la dissolution
sans migenisahon.
sont
Maiste"
d'être re déci dés à franchir ce
Itubicou.
Q laque l'on fasse et quel lise on
dise,
, le centre droit suivra en masse le
gouvernement, et le gouvernement, vous
pouvez ce être persuadé,
ne dettessaura
jamais le septennat finl. 1.
C'est la limite extrême à
laquelle
lle il
arrivera.
La question n'est pas seulement dans
les sémitious du centre gauche qu'il
est
en
n c,i s si d'amener en p elle sur
ce terrain, si l'on ,cet arriver à u
résultat pratique et 9 politique
affirmative.
peut espérer que les
.décès de
ce
ce groupe se contenteront
fin septennat ' npereon.el, ans Répit -
bligne proclamée, sans République définitive,
quand ils verront' que cette
dernière concession ne peut leur être
faite.
Ces obstacles .ou venus, comme je
vous l'ai déjà dit, peuvent surgir sur
ce teernie, du côté de la droite rodé.
rée. C'est sur elle qI il est alibi et nagent
d'r, c'est à elle qu'il est indispensableagi
de faire comprendre qu'en
erfnsant son corenres au seple..nt ira.
personnel ellecommetlrait une faute Ira.
mense, doue les conséquences ponn'aient
être fatales.
Malheureusement il est à -boire
que ce groupe ne soit trop disposé à
faire celte faute. C'est lai alors qui
porterait la responsabilité des évolue.
Le tribunal des conflits a tenu filer
sas audience de rentrée meus la
prés{-
de.ce de M. le ministre de la justice.
O. sait que cette jurJoli IlOu., composée
d'élémenLS empruntés an conseil d'État
et à la cour de cassation, a peur mis-
'. de régler les compétences eu cas de
confit entre la
juridiction administrative
et l'autorité judiciaire.
Le tribunal a d'abord jugé u
ronhit
élevé
pur
le préfet de la aute-Garenne
tir une demande en dommages-i.téréts
formée devant le tribunal civil de Ton.
fouet, parles administrateurs du journal
la Ad/ rune centre le
général Lapasset,
qui .vaut suspendu ce journal eu verlu
de l'état de siège. Le rapport de I'alfaire
a été présenté par NI.
..aile,
pré.
sident de section au conseil d'Elsa
M rinzon s'est présenté pour le
journal
la Réforme. Conformément aux
c .c laus
de M. Blanche, avo t-général à
la cour de cassation, l'arrêté de conflit
a été confirmé.
Pais est venue une série d'importantes
affaires smdevéen par
l'application de
la loi du 2 aolt 1872 sur
l'expropriation
des fabriques d'allumelten chimique,.
Le miaistéredes
filsnces soutesuit
ru cette lai et la o
j
e
m élancePPu-
P
qutertrc 9 uéllea instituée ne s'a l'-
vent
u",ut induatriols don la
que a use existence légale et confoeme
ces
u810 i(SQuen
fin décret du 45 octobre
1810
1. uant
t aux follab vanta non
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

tribunal. M° Sabotier, avocat, s'est pré. - La Cour d'appel de Paris vient de - On annonce que la soirée d'inaugu d'abord été iléve du collège Chaplol, dictins à la fi. de chaque tome, et les Tome IV de l'édition originale
santé dans l'intérêt des fabricants d'ai- Prononcer mi jugement qui maintient ration du nouvel Opéra sera composée pois snceessivenoent mécanicien, relieur, Preuves qui suivent les oies, voilà les
91 volume de I. momalle, édition. -
lumettes. la dissolution de la Société du Petit d'après le programme suivuut: seul ytrm, garçon de reslaurany zouave premiers obstacles qu'il Fallut vaincre.
Livres fume à CXXIY' de l'hlir g
Le tribunal des connils, am èe avoir Journal, et la nomination de M. HI- 1....c,LUre de la Muette, d'An ber, p°"trficat soldate Paris pendant le Après de longues réllszicns, il l'ut re- nérale Lan c.
entendu les cem;lsiens de M. Lafer- rouet, IiyuiJateur. ].e premisr et Io denziéme acte de lie singe, commis libraire It rotin employé connu yne le format il le de l'on 10° volnnm - Note. Il pn .. vos de
r aux
riére, rnmmissai re de tau oioe, d'Halévy, avec M"^ K.U. et M. chemiserie, rue Laffrtte. 11 a dé ori le r ait icnntes conveni ces
sait J'Etat, de blvl.ullesreehor et - Une troupe de dis-huit carlistes, Villaret. clore qii il avait toujours manqué de déti Iles mains de uns mporains et
boit livres.
Blanche, avocats généraux à la tune de ruant de B.yn..I et se rendant eu Vaste de la cathédrale de Punst, de direction, gne sa mère loi avait ensei- aux rayons étroits des bibliothèques 1 Tome V de l'édredon ung0enls. -
ssatiun, a noté les arrêtés de con- Itclgique, ou ils ont demandé à rési- , Gonuod, avec M"° Nilusnu et M. Fanre. gué des pratiques funestes, qu il avait modermea. M. Privat adopta le format 11° de lo n,,,,. e'b ,?
i
Il't et a inter. lu compétence de fer, a traverse Paris samedi. Parmi Le troisième et le quatrième acte toojonrs pense qu il irait au bagne nu in t°, qui est à la fois élégant, mamin- L er \\\l
X
III
rir.i,ir c'rél'autorité
Julmrarre, sauf à l'antorle lux sn trouve no etfomee supérieur, uni, d itumlet, de Thomas, avec hl' Ndssoo moulinait sur l'FcbaYand, et qui rl avait
file et très dense. Ou sait que chacun rote d. Lingucrlo .
arlininialralive à statuer alfa Parement de don Carlos , don Itamon Llovaa Y et M. Fauve. ndn acheté, le 11 jura, un teau de des cinq volmnes dent se cqompose l'é- 12° r lame. - Notes et preons de
r la queatiue d'existence légale des Olmor. f Ue celle façon tous les inléréts, toua 1 le. 4!ï e., afin de satisfaire acouu besoin dition des bénédictins correspond à une ces neuf livres.
1'uhrigees, dans le cas où l'autorité, jndi-
1m s
les
snsceptibililén seront sauee- de tuer quelqui undes grandes périodes de l'histoire de la -
u taire jugerait yne cette questi.n est -- Ils flaire Jn général de \Vimptteu goedés, et tontes r s gl rie,n lyriques Sei, 0v cinq
mois
et demi qu'il a été Province. Quoique le formol de la non- On unit avec quel soin 'particulier on
impliciteou'nt réservée pur la loi d° 2 outra le P«gs vient de sortir de vile. !auront leur part dans cette magnifique niimitiensemrnt observé dans les prisons velte édition sot différent, M. Privat s est, dans la mesure dn pnsmblr, alfa.
auid 1812. C'est M° Jules loure qui plaidera pour représentation. :e la Seine, an dépôt de la préfwAUre voulut respecter les divisions et l'ordre cllé à reproduire la prundne édition.
le général i et a Mszas, Thouviot n'a jamais témoi- primitif, en faisant c...esondre à clin None ne saurions assez jouer Si. l'rivnt
Drus une note spécial él 1 -Un tournai annonce qn'a l'occa gué d'inquiétude, d'imotiou , de ce' grrr volume in-folio n nombre déter- d'avoir sacrifri à e M a ex, It 'ut, pensée
n strc dx l a gnm ce a iousigm tins loir - 1 dinar annuel offert r le résien
d° l'ouverture der nouvel Opéra, mrds, et i l è est cenelrmmem, montré miné do volumes °o aine, les dora ses goûts personnel l 1. uns I. la
Pa' P éédé ar lord II h fi d
d
tt a âsesi
re am u e
t fions on orguer na, ' a lue,
a
points ner Ies, nets il est en désacard p maire dl, Londres, ainsi boue la célébrité, J§taliU; vt ealroe. Il d
Premiers tomes de la nouvelle édition
ceux qui auraient voulu ic vine s al ran-
I fat de la Serins au résident dit conseil
nvi
oc Ix rapporteur du projet le lui cela-
irai a été fart brillant.
qn aux g chie de ces attaches.
1 t
gén
mestres da Bivxellra, de B,; clin
et
de naA couvert et signait aes
dessinees.
i rent' dictierns;meIes le
tailles
111I
111 de IV et
celle
V
l
des Bé.lit
tome
Le XIIP vahrnie appartient, ainsi que,
l t expnsé
lr , x sales, e
e es "".Bien s Les h°nnenrs étaient laits par Ni- et Vienne. 7'Aonaiot l'ussa,iin , et alertait de 1 ' ' '
qui l'mnpéchent d'adhérer cou, pli,tenre°t Mme Ferdinand Suant. LU u
IL Eu un mot, M. Prive[ a prtendu yne
le suivant, à la présente é diti on. Un
i nyslénux de la rmnmissinn. Celte n - pnx I s J'honurne étaient a
air lendemain de l'nurerpré le, lord pose; pour un honnête homme. Il ri a la réimpression pût tenir
l'
lieùt
é de jédi- sait que l'histoire de Langnel un- ri.
le, ,lyi est imprimée, sr a disliihuée M
laPare assis mare sera reçu par le préfet e la jar s
d'une
le crime et àéfait lion originale' t I ton tirs été terminée; M. Ernest Itnscharh
sur dé mtris à i uuvertir er de 1:1 session.
. général de r,,r,e d W Tour, mi" Seine le maréchal e t blac-Meliun 'preuve d'une insouciance a égale a
e
gu'i
que
pas
J ni. tee da l'intérieur, et H. Fautrain, nnera é alement une t'éle en l'hoir franchise !
qui Possible de se reporter de l'une à I au- a été chargé de combler cette lacun
do
e ;
é 1 t dr:. l'r 'i le conseil é éral.
g tee. Dans ce bat, il fat décidé que la le savant archiviste de ,e
l'hidel
il le
I
re grnérslé de
- .e néral de l rsae
Pr sir an g n 1 Heur du lord maire et de Indu Si. de Raille
d'abord
p a été conduit a In t' de l'ancienne édition serait de Toulouse écrit l'histoi
gF y, ministre de Les mrnbrxs 1U F- bllf. Bé- ,rasa, clémence, d'abord ar le crime lui-rné-
Pagina ton
a mu t d, Louis
la guerre, logeant qu'il était absolument dard, I de
l'Ileredia, ilartial B- On affirme ae les détails rF,limi-
P m:eirgnée e.I marge de la nouvelle. Com- la Province depuis l
nécessaire i us les enga P' conlitionuel.v j nard, Albert Ueha min, tilt. Léon
Berem
q P me, qui ne [voulue ruile part son Il fil- , lest fvrnuil à, 1 i
e er ° voir, l ri était Pas Xlll jusyu én f î90, et, d'a prés rloelgm:s
I H l ires de cette réception, qui promet ation, puis par les faits suivants : 11 y p et mm unicalin8 bienveilmnles yni nous
de dedxiéme .nuée qui :aspirent aU gra- .anlt, de Bullenmut, secrétaire-genérat d'être des lus brillantes, ont été nou
parenr's
de 1 .a. lias loin le res
o
de Ae suna-lieutenant liaire ae - I de la fecsurr, de lice ; Curnélis
P a dix ans Thouviot, travaillant alors pour le rmgnilen ue travail qui nousr ont été faites, cette p,11tie de l'o:uvre
.anus autre le préfet et le secrétaire box rut fabricant d'instruments de pré- égué par les religieux de la Gong é- présentera un trés-g d intérêt.
sent à la hairlenr des fendions qu'ils
misse
re
lit
- de \Vilt, sous- ecrétuiIr d'at a s mi. du lord maire. cisioa, été d'un éblouissement,
`-i
volume contiendra
Le XIV° et dernier
roof pion tard appelés à rrnplir, vient aislérede l'intérieur; Tambour, secrépris
galion de Saint Maire.
est tombé à la renverse et a perdu les Preuves du récédent et tus 'fables
de rcrzim oi ndce aux dilYéren(s chefs de taire-général de la préfecture de la - On est sur la des voleurs du connaissance. Ueux ans après étant Les caracléres furent choisis avec un P
corps tic I,, initier à tous les déuits de e; puis tous les
directeurs
PIM. tableau de Murillo de la cathédrale de ar on de salle dais un restaarant , il soin tout parlieulier ;afin de consol- Générales.
gphand, des travaux de Paris; de Nec Séville les instigateurs
seraient
A g ç ver à la réimpression c ufum d'ar- Flot dl a'oute1 que, décidé à n'éviter
rra
cepem
théorique danl néliger leur Alux, , d l'Assistanc
instruciio publique Ber- glais; mais le vol aurai[ été elYectud
descendit un jl ar à la cave tt rat trouchaisme
plait faut oui amis des aucun sanr fo
vea
ic,,
tes
voulant
g og
pavant tout hirx
n faveur file., NI, Privat ornera ce magnegnifg
A cet , Ii t, u ecra alter- [rand des finaces, Ciéroenceau de par des 1°pageols. Ils n'ont pas emporté
vi évanoui et la l'ace contre terre.
limes,
vit sa dé
de
termina e
ca
9u
Eu 1869, :u Havre, étant aide de
de ceractéres
elzéviriens tondus péril-
II
o orage é ra 1li Je
nativement ewisacrée àaleur faire revoir Sain4Julien, de l'octroi, et Cochet, du toute la toile ;ils n'ont nlevé e la
cuisina,
',Ii
perdit connaissance, et tait.
le couva y,i ils ont suivi lan dernier et Montde-Piété. figure de Sain[Antoine de P adoue; en- lit se brû1ler à ses fournauz. En 1872, toutou pour sou édition. On ait c m- planches, de sceau. et de Donna es et
appligaer sur le, terrain les prfnmpes Après le dîner, il n'y a pas eu rée uite, a après laeu d'un des compli- enfin, étant soldat au 1^^ zouaves , en hier ces Veau: typs, à part leur phy- de vues des principaux m moments de
p p sinnomie accusée et sévère, donnent de 9°e
t topographie I leur u drmes, ceptinn, ces, ils font cou ée en deux peur onue
il lui est arrivé uatre foie de
la Provimca Y11 est certaine
t'était
[soirs quo pendaul loutra semaine i!a Le préfet 'est retiré de bonne heu. voir l'emporter plus facilement. q netteté à l'i, cession. Tous nos édi- là un complét néseae l b et qui
t
des r g, d'éprouver
leurs

midi,
i
renvois, vomissements, méme en grossesse,
constipation, diarrhée, dysenterie,
coliques, phthisie, toux, asthme, étouffe.
rois,étonrdissements,oppression,can-
'restlon névrose in nins mélan
Aiabéte, faiblesse, épuisement, anémie
chlorose, flous désordres de la poümne,
gorge, haleine, voix, des b .h .., ves
sis, fore, reins, intestins, n } s, ter
net sang. 75,0110 suros, y comprr
elles de Madame ta Duchesse de Casilesluart,
le dot de Plnskow. Madame la
marquise de Rréhan, lord Stuart lette.
cies, pair d'Angleterre, Rte., etc.
Cure n^ 65,311. Vervant, ta 28 mars 1866.
5lonsieur Dieu soit béni I votre Re
valescière nia ,misé la vie. Mon tem é
rament, nota elli.ment faible, était i r iné
pur exil m d'une bol rible dyspepsie de plut
s traitée s.ms résultat6vw aLlc par les
médecins qui déclaraient que je n'avais
phis quo quelques mois à vivre, quand
l'émùlento vertu de votre Itevalesciére
vo l r endu la santé,
A. Bauvs neL+Rn, cure.
Ce,. o' 78,300.,
et Mine (Léger, de Maladie de fade,
dr are'bée, came et eumise nsost.e.
Cure n^ 08,714.
)I. l'abbé Pierre Gasteili, d'EpraiaemenF
'olnplol, à l'âge de gnalre-vingt-crnq ans;
la liueadeerière l'a rajeuni.. Je prêt he,je
cmdL=se, (r visite les malades, je fais des
oyagrs :rasez longs à pied, et je me amw
l'esprit timide et la mémoire 11'atche. .
. ,=..a ,11 vie, ,elle
foule odeur siaènerase en se levant,
après certains
ans, ail,
ou
plate cnmprnmelhlflie
etc., ou boissons alcooliqûes,
uréme après le tabac. - La Reea-
Ieeaière ehavetatée, en botte. de 2 fr. 2 5
e. de 576 tasses, 60 fr. - Envoi contre
bue de Pente, les bottes de 32 et 60 fr.
franco. - Dépôt' chas Vida1-Abadie ,
ppharmacien; Sigalous, rue Lafayette, 5;
Chenebleiu-Poteine, rue du Tanr 46
rue Austerlitz, 2; GF.Îaberl
Alp. Ileglm+ ; Rouzonl ; Deville ; Berb.
g lél b St P ol, et chez
5 ki
rs. Dl; Rensr
( place Yendôme, Paris
Q I st 1. (lie des farcir ginenx s
L, ripons, rat Liile: hs pilules et
dragée.» sont d'une déglnliliou difficile
et traversent smivrnt l'rsboml,e et les
intestine s:ms ltrL' disaeutes: lev poudres
pilules et sirops à base, soit de fer rédaiJ
soit de laclule de fer, ou d'iodure de fer
nircissenl les dents, en altèrent l'émail
et r neul la candi!satio
1
I Ib i t. 1. 'a 1. L
s é con Il , nilsaveur
Irv-cnicntn , il tst hqu d , ale; ne, a
tore ris minérale, "rai en
0t
de fer, en mélange très-bien avu es
enferme dans sa composn tee éléaots
des os et du sang, et est adopté .i
par l'élite Jas niéde,:ins, pour la
1 11 des maux d'entame, polea rouleurs,
P 9
p .Su
appaureiasezneal dos snng, auxquels les
dames et les jeunes filles délicates sent
vent sujettes. - Dépôt dans les
principales pharmacies et Drogueries.
Deaueoup de personnes ne tolérer
l'Huile de Foie de Morue ; qu'elle
soit LlancLe on brune, épurée on uou,
additionnée de snbsmners qui tendent à
nasgom son fout et sou odeur, elle n'en
est pas moins trés-sauve-nt vomie ou mol
apportée. Nous sommes heurtas d'apprendre
qu'après un grand nombre d'ex-
,es d.
de
Do, i
: t; 4'.il.. aie. 25 ; plupart dry médecins Pari, ont adopté.
8 fr.:1/4 k 1 Nd , 7 fr.; 19 kit. +10 G.- le Sirop de RAifort iodé, préparé
Les Btatü le (lataiesnare, en boites de e 6froid, de Grimanlt t C' e
7 t f .(lissent la bon jus Ieremplalant aveiavant iq. D.1 td s
lé nt Ics saucées et les pr neipales phat maties et deoouenea.
P e en gr, .sse ou
que toue. t irritation et
ENFANTS
Oses l'allaitement i...M...t et le serraça.
Le sont qui, avec la lait, contienne tau. las
principes euenuiel, à l'enfant. - Guérit et
driant la diarrhée. - Consulter on, eaddefu.
-1 insu la batte. Ph"m et EpiCertes-
Cnos, col. Paul Caey, drag. à 'f051055e
D ENT'IS TL Il r ., 1tIG.41S
n nIIJ. 'n!s
5 I r u. d. 52 i
fi.". le H Ad L t Ai i. ro,l
5 Le Cab t .at ..t 1
h n
ves de matas a 5 heures do sa
BOU Ii SR DE PARIS
du 50 novembre.
A. Cour-.r.
ealears di,
c. prie.
5 0 6 61 c 80 61 70
4 112 0/0 88 75 88 40
5 0 / 0 97 97 1/2 98 ..
A Tenue.
3 0/0 1^' cours 61 62 61 80
3 0/0 cours 61 80 VI 80
5 0/0 1^ cours 97 85 98 02
0 0/0 da cour) 98 .. 98 ..
5 0/0 Ital. 67 55 67 55
Banque 3880 .. 5890 ..
Foncier 835 .. ..
Mobilier 358 76
lob. Espag. 666 2J
165 '.
690 ..
Cnnums os Fi:a.
Orldana 852 50 851 25
Nord .
870 .' ,870 ..
Midi
Autrichiens 683 75 686 25
Lombards . . ..
I l S DE COULOUSIs
de 30 novembre
Au
CuveravT.
3 U)0 61 80
5 0'0 98 ..
60/0 Marge G" ceupuer 516 ..
Lyon Méditerranée 670
Midi 666 75 645 .
Carmaux 850 .
Onm,mnaTioes UIVr.R.srn
Midi
Ottomanes (1863) C'' C^ 595 .
cuité al5 ..
maumsemnu en 15 novrncae..
AuDirFiea 585
\(obilier Français 365.
Bulletin Commercial
MARCHE DR TOULOUSE.
De 30 n°vembrn 1874.
Riés t } ue t f à ,fil eè
1. r t é . _
1 g éo l rs Je, h.i
III. ifs ,.ruilas
ose
1.aDerre
cYl
DIS fin ou Dladette suP. 80 2 25
PRiI
Iau nnnRBa
Piae
h^m
22 75
BI 7 lie honne.. ... .. 80 21 60(22 00
Blads.tte ordinaire. 80 21 Ii0 Y1 60
Blé nriladin fin...... Si) 20 50 21 00
Blé niitadin ordinaire 8e 20 OOi20 20
Seigle .............. 75 16 25 14 75
Orge nonrelle........ 60 12 50 13 50
Avoine ............. 50 12 50 15 00
Mais roux........... 75 13 t'O 14 00
Mais blanc.......... 77 12 CO 14 00
Haricots............ 78 25 01152 00
fois ............... 78 00 00 O0 00
Lentillea............i 82 001
00 00 00
Pèses ..............I 56 15 75 16 R5
Vesces noires....... 80 2U iii 00 00
Vesce, rousses. .....-30e 22 00 R3 OU
Graine de lue....... 66 19 OU 19 50
Colza ............... 65 20 50
(Sainfoin). 50 l2 00
fté0e tBB 105 0
En crics de choix, l'affaire la plus
saillante à citer est celle de 5,600 liecl'O,
13
115 0
Sainfoin (gra 110 lino 0
é'uln nouveau les50 " kil, 16 25 7 00
Scie Ali o, onvean 7 2'u. 8 011
Losern r, 0 00 0 iii;
ledit, - 011Jj 000
Paille, -- 2 50 3 CO
..il A
Dois stère I" qualité ne ça 22 1 0 00
lit 2' qualité 21 C0' 0 01)
id les 50 kit. de I col 0 00
Marché de Revel du 28 rinrembre 1876.
Prix du bétail sur pied.
13mat', les 50 kilos, 39 50
A I e, id., 27 50
40 ,
31 id, ho ,
It I s i d , 28 .
te Il,
Pézenas, samedi 28 novera tire.
du jour,
te, 69
Coulent,
fr. &J
fr.
rrtlonirre,
fr.
Disponible pour Celte, fr.
Disponible peur Désires' fr. 70
lourant
fr. 70
lie mers,
Ir.
Premiers,
te.
3/6 marc, te. 47
Eau-de-vie
ôa
VINS ET 3/6
Conl,inoalion de calma précédemment
mrnatalé, et dent rien ne nous permet
de prévoir le terme. La plupart des
achats qui se font ont la chaudière pour
destina0on, et le nombre est grand des
'os qIi nn examen taus soit Peu sévère
classe dans les produits uniquement
bons à livrer aux flammes.
talitres du domaine da Mus de Garrie,
Cela Mère, vendus titi
titres sur place.
fr. les 7 brotu.
Rien ne ncus a été signalé en dehors
marnes es nsuae de cette alfntrr, la plupart des lots
Qualité S. (rninnt), la
traités pnrteld, soir dea quantités relotihalle
(Sde S) 122 k. 11214C Se
vement insignifiantes aux prix précéf^
445040 50
sots, s:
2° m. (SF-S8) 42 UOI44 00 Petits nins légers, le muid, 45 et 50
Bésiil. (1011-RB} 128 00132 CO Vins moyens, 60 et 70
Repassés, 118 IM2 00 Alonlagne 1e' choix, 100 et 105
Sons - 12 50113 00
2^ choix, 80 et '10
Vins, couleur Narb...R I.tra,130 et 140
36
Dziers, 27 novembre 1876.
Nous avons II en na mouvement assez
vil' de re prise su+r tee cours,
à notre
marché de ce jour, reprise provoquée
par l'importance et l'urg¢nce dcs ordres
d'achats arrivée dans la semaine et qu'il
a fallu Exécuter quand méme.
La mercuriale do 316 bon geid dis.
poomble a été fixée à 70 te. Une quantité
assez considérable de marchandise
est enlevée, ' e prix qui, finalement,
a 1lérhi sous l'al'llurnre dea ouvra de
1 L p l si e Ilé le D
f) t lai l I l la on,
r 'Il létu-
hspit bled au ti a t 11111101 5(0
que 200.
On n'a pas signalé d'engagement à Ilr,
Janvier et avril ne rut l'objet
d'aucune proposition formelle d'achat
la, vendeurs ne muligDerail.t probablement
pu
Eu 36 marc rePriels a été moins
arccomtes ' mais elle sera pIns durable.
Le s. roues n'a pas euété axé. Qnelqu 6 lots
Dent . Ce
re,Ie à h6, 47
et 48 fr. Ce dernier deier prix reste acquis et
se maintient.
inTout
indique ne r,feu, di faveur sur
cet article avant peu. Le prix de 50 Ir.
e peul guère tarder à a'im poser ; oo
le pressent, il est dans les données de
la situation, surtout après la hanse du
3/6 bon goût.
SPECTACLES UU 1 LEMME 1876
rnkaeuo oo csrtrcae 8 essais .
Avec la concours de Mu, ARNAL
Le hart dal, opéra comique en 1 acte,
Lea dragons da Valises, P. c. eu 3 oct.
5185,5 ors -otre a s 8 Mante .I.
Par Droit de Conquête, Gara. en 5 art.
Le Chapeau de Paille d'alalie, vend. 5 n.
ROULerlan S.ttvt-An,IN.
Grand C6'gae Milanais
Directeurs: S. Prierai et G. Pierantoui:
Aeprdantafiou loua les Boire.
CASINO DE TOULOUSE
Tous les soirs, à 8 heures, epecloele
co ert.
Représentation de 111M. Darbaravi et
Ghiaruu.
Annonces, Publications Lé=gales e: Avis Divers
A VENDRE
bora A'tign, u° nglo-nnrnndr.
Siidiesser porto
SI-l:limmr, .. (250)
A VENDRE rit aval
teille
g[ Ianl, bma1 e
d 1 tt.l t s ru ds
d rr
I , ra L n>, 1. (252)
IIONVI AFFAIRE--
A VENDRE
e de'
"'ancer
amie n are, eu hou état. (2611)
TOULOUSE PLACE ET AVENUE LAFAYETTE TOULOUSE
-RESTAURANT DE LA COMME
'IS
ID:T:TJNERs à 2 fr. 50 o., au Rez-de-Chaussée, de dix heures à midi
TOUS LES Ji NAIS - V u)Olabies A la mode de Toeton¢e IO iF i .i JI 17 Fa xP A la mode
T(1115 I.i,b MEl{,; Il1;Dlb : e::n rs seeaslo¢ de Castelnaadare DII'S I.t'F ILIa C e..lra,.s rt de Strasbourg
3DIJ " :E _S à 3 fr. 50 à l'Entresol, de 5 à 8 heures
nfes,umrant Ps la CArtu ot éAsrloane s l'1?n Lroaoi 1 aer dea HAlone par la grande P t roetsarar)
Bières Anglaises CAVE APPROVISIONNÉE DES VINS DES MEILLEURS CRUS Bière de Strasbourg
CONSOMMATIONS DU CAFÉ TOUTES DL PREMIER CIIOIX
A VENDRE J.!Il,:;i.`
dites àfarseiliaisee, :(fées or 6
taille d n. 5U, propres
n Irait et à la selle. -S'arosser
au
.
concerge, u"
J'urgule, 1. (251)
Les frères
CHANVRIL
informent MM. les
amateurs gaie pour celle fuira,
lis auront un grand assortiment
de chevaux Jet s grues.
Trulours, cule du Mariner,
C ubourg Saint Cyprnen, Toublouse.
(255)
P I AR :
'H'QAf IR Q9E1t'u :
CIICVPox 1 -... ,.. s .lï ."s à£% 11 5 aD s - 5
.. t
n°erruquue, luul r e . ne 9 ii Cas t) ,Ira a a lua.G f. r a,re. I 'edé à 1 te, des inllneubles
bl 1.I,lAl,l I1, III, tillI I (; }f o UN. Il i`l'.' a 1 dépt dont de lu suc,ession de
FABRIQUE SPÉCIALE DE POSTICHES
Iruu et Pomm i. i Y,.i1ARE Q rr' t c
.r, E
ii,
a. 9 e "
1 Premier ot. - DOmafue
Grande Nouvoaeté de Posttahcn nonl., m. d-1, ve: Aeseru .n, de [
TOÙ7' Riz' if / 0 I. f4 i I ,' r. r,t.\I 1
NI. JOYAUX,
d 1 hev
u ef bou-
ICVerd St A I et ielle
en tl nos D' d 1. vient.
i
de I x:evnll I DLS beau Lt
lans-nun,brcux (convoi de chevaux
Uc tous gçorce. (254)
JOLIE
HABITATION
A VENI11111, pris Daxiége, liges
de Celle d TotelaVtse, avec beau
parc, nrbree séculaim.s, sources
intarisealllest contenance 66
1 .t U n t r Courage n
11é i et
;
qu, t I I agi: I lie les James
s . l'he rouf. Prix fixe,
2,it00 fr. l'hectare. M. Bourh,
10, rue des Pr6fres, 'tenta tse,
on M^ Datan, notaire.
une aaoho
A VENDRE dr. race bordelaise,
âgée de de 6 ans, très.
bonne laitière. - Plaie Saint-
Georges, 20. (249)
gé'
A VENDRE b.e"PV6le s
las; taille 4 58; e
amite
et.s'e si-l; el ..a belle
uns; tact e 4 selle, 9gé, d 7
ans; taille 1 59. - Sadresser
rue Véloce, 16. (248)
Chevaux
d tendre. - Rue
St-Auoe, 6. (260)
VINS FINS, LIQUEURS
SIROPS COGNAC , I1111M , IïlllClt , Et'C,
G
M ZI]ÈEE
19, IiUE DU MAN, et RITE rE1neiIEl'IPTR, cm
TOULOUSE
POUR 50 FRANCS
Un joli service de table, en porrelaine de 1 imogeil,
peur douas pereannee, posé de foc pdéo.ea,
Chez M. DOUSSAIN
Raie Craie - Raragnon, 15, Toulouse.
Grand chois de Services à dessert peints et dorés, a
mime pris ; Cristaux ordinaires et de Liut dsie ; Caves à
liquems, Cache-Clos à des pris 41.
EHx
ta Llvr. n,'au
dINGERIE POUR DAMES -- C
Breveté S. 6
La {L 15JY IL )R Sui. tIQt rail
lin _Il nrnl ail".vedA
"I',
,boa a d'uniylo=unem o,. ,
Etitde de Me 1. SOLIRENE, DONNE AFFAIRI'J
Ii°encié en droit, avoué à
Auoh.
A VENDRE dai'cnaon
VENTE DE BIENS DE MINEURS 1 , l R 1 1 1 1 5 stars
0.1. I.é.,Ii Daam nood
vrvalt, proprcon
à Laodon, Irat d Auclt t
de L:mdon.
Mise à prix,
62,000 fr.
Deuxième lot. - Métairie
de Pnnsan.
Mise à prix, 22,000 te,
S'adresser pour les renseignements,
à Ill. Cmim;ev de
Lune le a ocat à Auch, et à
a SunnrAnR, avoué pa rsuivut.
(195)
GOUVERNEMENT Du PÉROU
DREYFUS FI1ÈRF8 & C'°
ir, a coa Il,'la ooe,1XX
Seuls Ooncoseionnaires da
GUAIVO
DU PEEOti
b
de famille, un plot
Le samedi deux f lnvler mit b k à mi cheval,
boit cent soixante gmnrr, mnlbue 3 quatre plaies
DISSOUS
GUANO DU PÉROU IA
oral NI llSO\ a t I 1 I.., l'mI .e dea i tees dure bu UIh4ri i gr, nd fui -
10"l1 I - Il et 1 dAuch, il sera pie gon-brenrk, puer le dnsaacomme
l'on décrire Rgilidue
cas voiùo,cs d'actes nn, on les
vendra ` des prix fabuleux de
boa na thé
Cher él. Arquré, Ole, breveté
(S. G. U f, ), rue tlélial, 2
et rue
.136
Tout rase.
52
Gland assortiment de volta
neuves, aana coules I
modes. Échangea, Iéparatio
et 1 alions (243)
A VENDRE
paiered bonoe
Visibles ue da
A-1 O
'
. - S'adresser r e des
Trots limmrds, 5. (271)
Il a Gué iroavé !em' é
n brücclr/, St Agne. -
A TENDRE
I a d 9gé l 5 s
1 ! t II. 1 60 ll l t
det à
sse
I La1ou,8. (267)
S'adresuer à la Société généra-
1 R-1d A (noua 20, roua des
e . (261)
LOUER Bandite' te
m"-
gasin de la rie Dlyard, 2,
et boulevard de Strasbourg.
Ce megasta est garni de ses
boiseurs, comptoirs à m-f
breux tiroirs, vitrines, Calcul-
1e, moulins, oharioy gaz ; e
Ion ot, pnrfaitemeut untillé à',
veuf. On peuant le devis^r e
deux, et on per s le prendre
8 l'eeaal pmsr un temps phis
long. - t'xcdités
pour le paiement.
S'adresser à M. Estenave,
allées Latayatle, 6, (112)
1
l
7ILId". 3.Zz 77m
18 u ti lut A l i d T 11, f ul , es
D' p d 1 1 1 1 M I T A d. !` t y
0I.. NI 1 .Ih D T p po e 11 D D
T J ,e 1 l lao Je u, i lt_ae 1.
t F Plu] 6100 up
VIANDE-FER-OUINA
e, l., .,erse
VIN FERRUGINEUX AROUD
Si il0p O'fl0U i ttïl OUI )A o
Toulouse, dans toa1,0 les bonnes pharmacies.
ALADIES DE POITRINE °ma;ra11
h I v
rsdmale drab
1. 1 9 11 d l 4( I FI. lit
Inné allll I
t
ILI AIl uo' M 0,3 Il 1 11 51 0 f
11, drng rm I iii ms 3r,Ular l.e lh. oct. d2'Jil)
IMPRIMERIE
PH. M O N T A U
R
13
l'etlte rue es' If e.nQ 1, '1'oulonee
N
C ss M 1 vol e dois pl elcav+es, secondée n
personnel
a 11 ardnom m ma.t' i l
idprabl t o ai c g dit plus grands trav
S
x airécédom ntlÎ
ét bu dea bt tout. c
I
iCf
1
nn ebeaaI
A VENDRE de sella et
de et eso die e g amies
alla I.I I Ins taille 1 I.
50; 0gé de 5 ns t de
S'adresser allée St M Lhel, 1.
I
(260)
i0. VENDRE rbeanl ris " do
cinq ans, bal brun tulle
115, t'attelant sent .t 1 d i.
Place
'es
Carmes, 60. (2741
A VENDRE h billards
é
`;' d à I ti iéré genu'al
d A m,es 20, rue
des IJ lames.
A VENDRE n 1 Val,
bar - bri,
àgé de Jans ; tailla 1 m. 49 ;
à deux fins. - 8"adresser rue
des poli- 12. (2d11)
A VENDRE
oY's
deus rbeaanr de Tarbes, do
G ;i[ a III plraélora à balll.vtres,
un p:wier.
(202)
INSTITUTION BOSC
'Lien DaitTlL,,rnoe, 42
TOCLOCSE
Buaeutnneéut te lettres et dasaencea.
LI ait présenté 8 clé.
ves à l de uvembro
tbl 6 reçus déliai.
riveii
volọvc.
Los cours de révision pour
la session d'avril, 1-d é,
b l t le 1
'
d
l
Soins p t , Ilirrs pose Ire
élévcs retardés. (l'rospecdls).
C. Gér af L. JOLGLA.
Touioaae, (apr.
Montaubiq
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés