Embrun 2008 Le Floch ... enfin !
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Spécial <strong>Embrun</strong>Man<br />
n°2<br />
Charlotte Morel<br />
s’offre le court.<br />
<strong>Embrun</strong> <strong>2008</strong><br />
<strong>Le</strong> <strong>Floch</strong> ... <strong>enfin</strong> !<br />
Gratuit, chaque Jeudi, chez vous<br />
Toute l’actualité du triathlon<br />
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Sommaire<br />
Edito<br />
2.3 Edito Cela s’appelle l’effet de surprise.<br />
Une idée, un pari, un clin dredi dernier c’était Em-<br />
Être à l’heure, réactif… Ven-<br />
4.5 Hexagone<br />
d’oeil des proches et le « pourquoi<br />
pas » donne naissance au après, le numéro deux de<br />
brun. Moins d’une semaine<br />
Périgueux... Monaco<br />
6.11 Reportage<br />
numéro un.<br />
Triathlon Hebdo est chez<br />
<strong>Embrun</strong> 25ème anniversaire<br />
vous. Entre temps, il y a eu<br />
<strong>Le</strong> numéro deux, c’est autre un déplacement en Belgique<br />
chose. <strong>Le</strong> pari est ambitieux, (que vous découvrirez dans<br />
le timing est serré. Nous souhaitons<br />
offrir à un magazine textes, la mise en page<br />
le prochain), l’écriture des<br />
Triathlon Hebdo<br />
la réactivité d’Internet tout en du mag et une source<br />
un concept Phidias<br />
gardant le plaisir d’une mise d’inspiration : vous.<br />
en page soignée.<br />
Rédacteur en Chef<br />
Impossible n’est pas...<br />
Thierry Clemens<br />
t.clemens@free.fr<br />
La rédaction
Hexagone Monaco 70.3<br />
Périgueux<br />
haut en chaleur<br />
Source Périgueux Organisation - Reporter d’1 Jour<br />
Pour la 12eme édition du triathlon de<br />
Périgueux, le grand changement était le déplacement<br />
de l’organisation du plan d’eau du<br />
Rosier, situé à une quinzaine de kilomètre de<br />
Périgueux.<br />
Des nouveaux parcours, une nouvelle logistique<br />
et un invité suprise, le soleil...<br />
<strong>Le</strong> Découverte disputé le matin<br />
voyait Paul Estival, local de<br />
l’épreuve et membre du club<br />
organisateur, s’imposer en menant<br />
la course du début à la fin.<br />
Il passe la ligne en 31m59s<br />
avec 1m15s d’avance sur Rémi<br />
Buccellari de Saint Astier Triathlon<br />
et 1m34s sur Benjamin<br />
Chiron du triathlon Club de Gatine.<br />
Chez les féminines, c’est<br />
la prometteuse périgourdine<br />
qui l’emporte en la personne<br />
de Nina Granchamp, également<br />
licencié au Club Athlétique<br />
Périgueux Triathlon.<br />
38° à l’ombre<br />
Pour le Courte Distance de<br />
l’après midi, les organismes<br />
allaient être menés à rude<br />
épreuve à cause de la chaleur<br />
qui avoisinait les 38 degrés sur<br />
le parcours de course à pied. <strong>Le</strong><br />
palois Alexandre Guerin sorti en<br />
tête de la natation devait laisser<br />
passer son partenaire de club<br />
Pierre Gaspariau à cause<br />
d’ennuis mécaniques durant la<br />
partie cycliste. A la fin de cette<br />
deuxième épreuve, le jeune palois<br />
pose le vélo avec plus de 4<br />
minutes d’avance sur ces poursuivants.<br />
La course à pied allait<br />
livrer un bien joli spectacle avec<br />
de multiples rebondissements<br />
pour les places d’honneur.<br />
Ste Nina<br />
Avec deux passages à l’aire de<br />
transition avant de passer la<br />
ligne d’arrivée, les spectateurs<br />
ont pu apprécier l’évolution du<br />
classement et les pronostics<br />
allaient bon train pour connaître<br />
le tiercé gagnant. Au jeu<br />
du chat et de la souris, c’est le<br />
bergeracois Christophe <strong>Le</strong>nocher,<br />
Champion de France<br />
militaire en titre qui a tiré son<br />
éponge du jeu en remontant de<br />
la 5eme place à la 2nde en signant<br />
le meilleur chrono pédestre<br />
en 33m57s et en terminant<br />
à 5m20 de Gaspariau. Son<br />
partenaire de club Thierry Saux<br />
complète le podium.<br />
Chez les féminines, c’est<br />
l’Allemande Nina Kuhn, en<br />
stage professionnel en France<br />
qui s’impose devant la Bergeracoise<br />
Maud Wery et la Layracaise<br />
Virgine Gauger. Tout<br />
comme Nina Granchamp sur<br />
le Découverte du matin, elle<br />
signait ici sa première victoire,<br />
à croire que le 22 juin était la<br />
Sainte Nina.<br />
Devenez vous aussi reporter<br />
d’un jour à partir de notre site<br />
www.triathlon-hebdo.com !!!<br />
Qui pour inquéter Zamora ?<br />
Deux champions du monde Ironman seront au<br />
départ : Chris McCormack (Hawaii en 2007)<br />
et Thomas Hellriegel (Hawaii en 1997). A leur<br />
côté, Marcel Zamora Perez viendra défendre<br />
son double-titre acquis en 2006 et 2007 au<br />
Monaco Ironman 70.3.<br />
Des athlètes venant du triathlon courte distance<br />
s’essaieront également à l’Ironman 70.3<br />
pour cette 4ème édition. C’est le cas de Mike<br />
Aigroz qui a déjà fini à une belle 6ème place à<br />
l’Ironman France <strong>2008</strong> en juin dernier après<br />
avoir été en tête jusqu’au semi-marathon, de<br />
Ruedi Wild, champion d’Europe des moins de<br />
23 ans en 2005, et d’Andreas Raelert, champion<br />
du monde 2007 de la distance olympique.<br />
De leur côté, Stéphane Poulat et Nicolas <strong>Le</strong>brun<br />
porteront les espoirs français. Enfin, pour<br />
finir chez les hommes, deux représentants<br />
de la Principauté de Monaco devraient briller<br />
grâce à leur excellente connaissance du parcours<br />
: Hervé Banti (6ème et 7ème en 2006<br />
et 2007) et Cédric Amand (nouveau venu au<br />
Monaco Ironman 70.3).<br />
Mike Aigroz en 2007
Reportage<br />
Texte et Photos : Thierry Clemens<br />
<strong>Embrun</strong>, plus vieux d’un an...<br />
C’était trop tentant, faire de ce vingt-cinquième anniversaire<br />
un jeu de mots. Comme un air de tempête sur une épreuve<br />
qui nous a réservé quelques surprises. Zeus, Mars et Jupiter<br />
se sont invités à table, ont salué les héros modernes avant de<br />
couronner les plus courageux.<br />
C’est l’orage qui nous sort de<br />
la nuit, l’orage ou la tempête.<br />
<strong>Le</strong> ciel s’illumine pour laisser<br />
apparaître des tonnes d’eau.<br />
Nous pensons tout de suite aux<br />
triathlètes qui sont en train de<br />
se préparer, de prendre leur<br />
dernier repas d’avant course.<br />
Nous pensons à la coutume qui<br />
est, pour la plupart, de dormir<br />
sous la fine toile d’une tente.<br />
Nous pensons <strong>enfin</strong> aux organisateurs.<br />
Un instant le doute<br />
s’installe. <strong>Le</strong> parc doit maintenant<br />
se confondre avec le lac. La<br />
course va t’elle avoir lieu ?<br />
5 h du matin…<br />
<strong>Le</strong>s éléments semblent vouloir<br />
se calmer. L’orage a laissé la<br />
place à une timide averse et le<br />
spectacle est surréaliste. <strong>Le</strong>s<br />
triathlètes ignorent tout simplement<br />
le signe des dieux. Ils<br />
traversent le parking qui les<br />
conduit au parc comme si de<br />
rien n’était. Rares sont ceux<br />
qui lèvent la tête en espérant<br />
distinguer les étoiles, encore<br />
plus rares sont ceux qui, dans<br />
un moment de faiblesse, ont pu<br />
penser ne pas être au départ de<br />
ce vingt-cinquième rendez vous<br />
avec le mythe. <strong>Embrun</strong> célèbrera<br />
son anniversaire et ce n’est<br />
pas quelques malheureux centimètres<br />
d’eau aux pieds des<br />
athlètes qui vont empêcher de<br />
souffler les bougies d’un gâteau<br />
qu’ils préparent tous, organisateurs<br />
et concurrents, depuis<br />
plusieurs mois.<br />
6 h du matin…<br />
Comme chaque année la magie<br />
est au rendez-vous. <strong>Le</strong>s triathlètes<br />
sont en ligne face à euxmêmes.<br />
Comme chaque année<br />
le départ sera donné dans le noir<br />
et comme toujours, l’émotion<br />
et le plaisir se conjuguent avec<br />
la crainte de cette journée, de<br />
cette longue journée. <strong>Le</strong>s filles<br />
ont eu l’honneur de plonger les<br />
premières, il y a des absentes,<br />
mais la tête de course nous<br />
laisse présager un beau duel,<br />
Bella Comerford est revenue<br />
après une courte absence et<br />
Audrey Cleau aimerait, pour la<br />
deuxième année consécutive,<br />
inscrire son nom sur la plus<br />
haute marche du podium. C’est<br />
Bella qui prend les choses en<br />
main et se détache dès les premiers<br />
mètres, bien décidée à se<br />
mettre à l’abri des regards de<br />
ses poursuivantes. L’écart se<br />
creuse et, si Audrey semble plus<br />
à l’aise dans l’eau cette saison,<br />
rien ne semble arrêter la Britannique.<br />
Elle sortira devant, loin<br />
devant, un peu comme si elle<br />
craignait le retour des hommes,<br />
lancés quelques minutes plus<br />
tard à sa poursuite. Des hommes<br />
qui connaissent la course<br />
et font preuve de sagesse. <strong>Le</strong>s<br />
favoris occupent la tête sans en<br />
rajouter, simplement imposer<br />
un tempo qui peut laisser des<br />
traces dans l’organisme des «<br />
moins bon nageurs ». La journée<br />
sera longue, le travail de gestion<br />
commence dès les premiers<br />
mouvements de bras.<br />
La transition est plus longue<br />
que d’habitude, les gestes sont<br />
gênés par des flaques, véritables<br />
petits lacs, qui occupent<br />
la majeure partie du parc. <strong>Le</strong>s<br />
triathlètes, par prudence, ont<br />
également décidé de se couvrir<br />
un peu plus. Une veste vient se<br />
rajouter, les bras nus sont très<br />
rares et certains choisissent<br />
même de couvrir, au moins en<br />
partie, leurs jambes. Bella Comerford<br />
s’offre le luxe de partir<br />
avant certains favoris masculins.<br />
Audrey est bien placée.<br />
Filles et garçons s’élancent ensemble<br />
pour la partie cycliste,<br />
la rampe qui permet de sortir<br />
d’<strong>Embrun</strong> est avalée comme<br />
si les concurrents s’élançaient<br />
pour un sprint. La recette est<br />
simple, au moins pour la tête<br />
de course. Il faut avoir trouvé<br />
sa place dans la meute avant la<br />
fin de la première boucle vélo,<br />
au risque de s’installer définitivement<br />
dans un faux rythme.<br />
<strong>Le</strong> carrefour qui mène aux<br />
Orres propose un repère idéal,<br />
les favoris sont en tête à cet<br />
endroit et ceux qui manquent<br />
à l’appel ont déjà du souci à se<br />
faire. Stephen Bayliss, Xavier <strong>Le</strong><br />
<strong>Floch</strong>, Marcel Zamora, Patrick<br />
Bringer, Gilles Reboul… Ils sont<br />
tous là et d’autres habitués,<br />
comme Thierry Claes, Laurent<br />
Urban, Eric Monnet ou Thierry<br />
Zieger… mènent la chasse pour<br />
revenir au plus près. Chez les<br />
filles, Bella Comerford s’est installée<br />
en tête, Audrey Cleau la<br />
suit à distance et, derrière, un<br />
groupe espère une troisième<br />
place ou la défaillance des deux<br />
favorites. Nous reconnaissons<br />
Catherine Houseaux ou encore<br />
Aline Choretier. La course est<br />
lancée, tout le monde est à sa<br />
place et attend maintenant un<br />
autre épisode de la journée.
Reportage ... la suite<br />
8 h 30 du matin…<br />
mais une d’entres elles va survoler<br />
l’épreuve. Charlotte Morel<br />
est en grande forme, nous avons<br />
pu le constater, il y a peu de<br />
temps, du côté de l’Alpe d’Huez.<br />
Une fois encore elle va mener la<br />
course de bout en bout, laissant<br />
à Jeanne Collonge le plaisir de la<br />
seconde place et à Julie Gigault<br />
celui de compléter le podium.<br />
visage marqué, des tenues qui<br />
portent les traces du périple et<br />
quelques coudes qui trahissent<br />
une glissade non contrôlée.<br />
L’écran géant ne peut plus nous<br />
donner d’images en direct, la<br />
voix du speaker nous précise<br />
que Zamora est passé en tête<br />
au sommet de l’Isoard, tout<br />
comme Bella Comerford, mais<br />
pour cette dernière, nous nous<br />
en doutions un peu.<br />
<strong>Le</strong> temps passe<br />
Pendant ce temps-là, le départ<br />
est donné pour une autre course.<br />
Comme souvent pour célébrer<br />
son anniversaire, Gérald<br />
Iacono a pris soin d’inviter les<br />
plus rapides en proposant un<br />
triathlon courte distance. Nous<br />
revenons quelques années en<br />
arrière, l’organisateur a eu la<br />
sagesse de revenir au tracé qui<br />
a écrit les plus beaux moments<br />
du cd d’<strong>Embrun</strong>, le parcours qui<br />
a vu les <strong>Le</strong>ssing, Houseaux…<br />
s’emparer de ce qui était alors<br />
une manche de Coupe du<br />
Monde. Un CD qui permet aux<br />
grimpeurs de s’échapper et<br />
aux rouleurs d’espérer revenir.<br />
Nathan Shaw est le premier<br />
à sortir de l’eau. Il est suivi de<br />
près par les spécialistes de la<br />
distance. <strong>Le</strong> plateau est conséquent,<br />
le triathlon sera à la<br />
hauteur de l’événement. La<br />
chasse est menée et un homme<br />
en profite pour s’échapper.<br />
Franky Batelier aime ce genre<br />
de tracé, il signe le meilleur<br />
temps vélo et plus rien ne pourra<br />
l’empêcher d’accrocher une<br />
victoire. Derrière, l’Espagnol<br />
Frances Godoy conserve une<br />
place également acquise à vélo<br />
devant Sylvain Dodet et Cyrille<br />
Mazure, dans la même minute.<br />
Côté féminin, le plateau n’a pas<br />
à rougir. Au moins dix filles peuvent<br />
prétendre à la victoire,<br />
Mi-journée<br />
<strong>Le</strong> ciel a offert un répit aux plus<br />
rapides. Il a laissé les athlètes<br />
du courte distance nous offrir<br />
un beau spectacle et, véritable<br />
injustice, aux favoris du long, la<br />
possibilité de passer l’Isoard<br />
sans encombre. Derrière c’est<br />
une tout autre histoire. <strong>Le</strong>s nuages<br />
arrivent rapidement, l’orage<br />
menace à nouveau, éclate et<br />
invite le froid et la neige au sommet<br />
du géant. Nous retrouverons<br />
plus tard des athlètes au<br />
Ce serait oublier chacun des<br />
athlètes que de donner une<br />
heure de passage au parc. <strong>Le</strong><br />
temps passe, maintenant trop<br />
vite pour ceux qui luttent contre<br />
la mise hors délai. Trop vite derrière<br />
et trop lentement devant.<br />
Marcel Zamora est parti comme<br />
à son habitude, Gilles Reboul<br />
est à sa poursuite et Xavier<br />
<strong>Le</strong> <strong>Floch</strong> semble attendre son<br />
heure. Pour Marcel, les minutes<br />
s’étirent, la course devient<br />
longue, trop longue. Gilles<br />
et Xavier connaissent l’épreuve<br />
par cœur. Ils ont appris à la séduire<br />
avant même de prétendre<br />
la conquérir. Prendre un<br />
rythme, le tenir et respecter la<br />
course. Marcel Zamora réduit<br />
sa foulée, les deux hommes reviennent<br />
sur lui. A ce moment-là,<br />
Gilles Reboul doit espérer mais,<br />
à son tour, la course prend le<br />
dessus. Xavier s’envole, prend<br />
la tête. Il a su attendre son<br />
heure, tout comme Stephen<br />
Bayliss qui revient à la seconde<br />
place. Gilles ne connaîtra pas le<br />
même succès, le belge Bruno<br />
Clerbout lui volant la politesse<br />
juste derrière Marcel Zamora<br />
conservant, malgré une fin de<br />
course difficile, un pied sur le<br />
podium. Savoir attendre son<br />
heure. C’est certainement ce<br />
que c’est dit Aline Choretier. Car<br />
si devant les jeux son fait pour<br />
la victoire de Bella Comerford<br />
et la seconde place d’Audrey<br />
Cleau, pour la troisième place<br />
c’est la patience et la sagesse<br />
qui ont œuvré. Aline a su attendre,<br />
ne pas s’affoler, revenir<br />
sur les filles les unes après les<br />
autres et s’offrir le plaisir d’un<br />
podium mérité.<br />
Rendez-vous<br />
Il nous appartient, pour finir le<br />
récit, de ne pas compter le nombre<br />
d’abandons. <strong>Le</strong> 15 Août<br />
<strong>2008</strong> était un jour à ne pas<br />
mettre un triathlète dehors. Et<br />
pourtant ils étaient tous là, sur<br />
la ligne de départ. C’était il y a<br />
quelques heures, il faisait sombre,<br />
ils y croyaient tous. <strong>Le</strong> plus<br />
important est là. Un rendezvous<br />
magique. L’an prochain<br />
c’est certain, il fera beau !
Reportage ... Vu !<br />
Une vingt-cinquième édition marquée par la mise en place<br />
d’un véritable salon avec la présence de nombreux exposants<br />
et d’un public conquis<br />
Patrick Bringer n’aura pas pu profiter<br />
de sa forme <strong>2008</strong>, une blessure<br />
tenace l’ayant géné dans sa préparation<br />
Pour Marcel Zamora, une troisième<br />
place acquise au courage<br />
Unis également dans la vie... Bella Comerford et<br />
Stephen Bayliss ont décidé de se dire “ oui “ une<br />
fois la saison terminée.<br />
Ils ne se quittent plus !!! Ici avec leur entraîneur commun,<br />
l’Australien Brett Sutton.<br />
Prochain rdv Jeudi 28 Août<br />
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