book - Cabinet Dr.Goumot

« Good equipment provides a good image,
but only a good clinician will know how to read it. »
« Un bon appareil offre une belle image,
Seul un bon clinicien sait l’interpréter. »
Professor Jacques Reynier
Professeur Jacques Reynier
Cancer research has shown that it is possible to significantly reduce the mortality caused by the complications
of breast cancer if it is diagnosed early.
This result depends on a number of factors e.g. the equipment, the radiographer
and the radiologist. Together, they must operate as an experienced
team.
The mammography must be of excellent quality and must be interpreted
in accordance with a protocol that includes clinical and ultrasound data.
The decrease in doses of radiation, the ongoing improvement to quality
thanks to excellent resolution and the use of digitisation to improve image
quality still further (detail, contrast, pattern recognition and back-up) have
relegated conventional techniques to the “Middle Ages”.
Twenty years ago, the challenge was to improve the quality of mammograms
– that has now been achieved.
Other technologies currently on the horizon include 3D imaging, holograms
and pattern recognition.
For radiologists, this data will require a period of learning, but learning is a
lifelong process and part of his/her everyday responsibility.
This should not prevent a radiologist from listening to his patient and providing
her with the best possible service. She is a unique human being to
whom he should deliver the results face to face, explaining his diagnostic
approach.
The qualities required for a diagnostic approach to breast cancer (attention
and vigilance) are fundamental and they have only one aim - to avoid
missing the signs of breast cancer visible on a mammogram.
Modesty is another quality that results from this approach.
Dr Pierre-Alain Goumot
Radiologue, Paris
Les recherches sur le cancer ont révélé qu’il est possible de
réduire de façon significative la mortalité due aux
complications du cancer du sein si on le découvre
précocement.
Ce résultat dépend de nombreux facteurs : de
l’appareil, de la technicienne et des médecins
radiologues qui forment une équipe entraînée.
La mammographie doit être d’excellente qualité et
interprétée avec une heuristique associant les données
de la clinique et de l’échographie…
La diminution des doses d’irradiation, l’amélioration
continue de la qualité, une bonne résolution, l’apport
de la numérisation accentuant sans cesse la qualité de
l’image : finesse, contraste, reconnaissance de formes,
archivage ont relégué au « Moyen Âge » les techniques
classiques…
Le défi, il y a 20 ans, consistait à améliorer la qualité de
la mammographie, nous y sommes.
D’autres voies nous attendent : la 3D, l’holographie,
la reconnaissance des formes.
Ces données impliquent pour le médecin radiodiagnosticien
un apprentissage, une formation continue
qui engagent sa responsabilité au quotidien.
Cela ne doit pas empêcher le radiologue d’être à
l’écoute et au service de sa patiente, un être humain
unique à qui il se doit de délivrer oralement un
résultat en expliquant sa démarche diagnostique.
Les qualités requises pour l’approche diagnostique
du cancer du sein, attention et vigilance, sont
fondamentales avec, comme seul but, de ne pas passer
à côté des signes mammographiques d’un cancer du
sein.
Une autre qualité en découle : la modestie.