l'atelier sur l'adoption d'un plan de gestion et de conservation des ...

2. Les règlementations ne sont pas comprises ni appliquées
3. L’importance de l’implication des communautés locales
4. La coopération régionale
5. Les problèmes politiques
Il a été noté que le manque de communication est inhérent à tous les principaux thèmes.
Point 3 de l’ordre de jour: Synthèse des discussions de groupes et les priorités
1. Les données et les connaissances sont Actuellement partielles et non centralisées. Une
meilleure connaissance de la biologie des tortues à Madagascar est particulièrement requise.
M. Stéphane Ciccione a observé que les données et les connaissances sont actuellement
dispersées, un fait aggravé par la grande étendue du littoral de Madagascar. Il a souligné la
nécessité d'une base de données centralisée et des travaux de recherche.
2. Les règlementations ne sont ni comprises ni appliquées, apparemment, il n’existe aucun texte
juridique qui spécifie les lois sur les tortues marines.
Il semble que la réglementation existante ne traite pas spécifiquement de la conservation des
tortues marines et leurs habitats, et aucun texte visant à protéger les tortues n’est disponible bien
que les tortues marines soient répertoriées dans la liste des espèces dans le cadre de la législation
protective. La législation doit être clairement comprise par toutes les parties prenantes et doit donc
impliquer les communautés locales. Il existe la possibilité d'invoquer l'utilisation du Dina dans la
conservation des tortues marines, mais il doit se conformer à la législation en vigueur.
3. L’importance de l’implication de la communauté locale
L'utilisation du Dina à Madagascar constitue potentiellement un outil très important en raison du
fait qu'il est adopté et respecté par les communautés locales. M. Stéphane Ciccione a mis en
évidence l'intérêt de la conservation ascendante. Toutefois, il a été souligné qu’il ne faut pas créer
de Dina qui entre en contradiction avec la législation nationale en vigueur.
4. Nécessité d'une plus grande coopération régionale (expertise provenant de l'extérieur;
compétences locales et régionales), et d'établir un réseau national et régional qui est intégré
dans tous les secteurs pertinents touchant la conservation des tortues marines.
Il semble que la réglementation existante ne traite pas spécifiquement la conservation des tortues
marines et leurs habitats, et aucun texte visant à protéger les tortues n’est disponible bien que les
tortues marines sont répertoriées dans la liste des espèces dans le cadre de la législation protective.
La législation doit être clairement comprise par toutes les parties prenantes et doit donc impliquer
les communautés locales. Il existe la possibilité d'invoquer l'utilisation du Dina dans la
conservation des tortues marines, mais il doit se conformer à la législation en vigueur.
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