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Le JAZZ d' Hortense #78 - Les Lundis d'Hortense

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© Boris Breuer<br />

19h00 – 20h15<br />

Pascal Schumacher 4tet<br />

© JazzLab series<br />

20h45 – 22h00<br />

Rêve <strong>d'</strong>éléphant Orchestra<br />

Pascal Schumacher, vibraphone<br />

Franz Von Chossy D , piano<br />

Christophe Devisscher, contrebasse<br />

Jens Düppe D , batterie<br />

n e w c d Bang My Can (Enja Records - 2011)<br />

Pascal Schumacher a choisi le chemin difficile<br />

de l’artiste inventif. <strong>Le</strong> jeune Luxembourgeois se<br />

concentre sur son instrument dont il arrache des<br />

sons originaux qui ressemblent d’une part au style<br />

funky discret du Fender Rhodes, et d’autre part<br />

rappellent le tambour d’acier. La musique surgit<br />

tout en produisant un effet organique et énergique.<br />

Elle joue avec le passé, est enracinée dans<br />

le présent et se base sur une tenue de jeu qui est<br />

empreinte du jazz de chambre des années ‘80, du<br />

rock des années ‘90 et de la sincérité du présent.<br />

L’énergie du quartet est également bien présente,<br />

elle induit un potentiel de créativité complémentaire.<br />

Un répertoire compact et reconnaissable<br />

sans oublier son idée personnelle du son et<br />

suffisamment de sérieux, pour ne pas perdre<br />

l’humour dans les détails !<br />

> www.pascalschumacher.com<br />

Michel Debrulle, batterie, grosse caisse de Binche<br />

Benoist Eil, guitares, banjo / Pierre Bernard, flûtes<br />

Alain Vankenhove, trompette, électronique<br />

Michel Massot, tubas, trombone, voix<br />

Etienne Plumer & Stéphan Pougin, percussions, batterie<br />

n e w c d Pourquoi pas un scampi? (WERF - 2011)<br />

"A quoi rêvent les éléphants ? Barrissements<br />

écarquillés de tubas-trompes, éclats de pudeurs<br />

cuivrées, piaillements - poésie boisée -, bruissement<br />

des peaux, réverbération de cordes...<br />

A quoi rêvent les éléphants ? A la jungle ça va de soi.<br />

Celle de Duke ? Celle des D.J.’s ? Ellington n’aurait<br />

sans doute pas renié cette moiteur touffue, vitale.<br />

<strong>Le</strong>s compositions puisant leurs racines dans le jazz,<br />

l’improvisation et les musiques traditionnelles. Ces<br />

orchestrations interprétées avec l’authenticité de<br />

musiciens d’ici rêvant aussi… d’ailleurs. <strong>Le</strong>s Rêve<br />

d’Eléphant apportent au paysage jazzique une<br />

couleur nouvelle, un désir d’eau et de brume, une<br />

manière inédite de revitaliser l’order from noise.<br />

De s’abreuver aux racines du ciel." (J-P Schroeder)<br />

> www.collectifdulion.com<br />

> www.myspace.com/revedelephant<br />

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