20. Domtar, par exemple, a ferme son laboratoire de Lasalle, en banlieue deMontreal, pour construire de nouvel<strong>les</strong> installations plus grandes itSenneville. Son laboratoire de Cornwall a par ailleurs ete conserve. De lame me facon, Abitibi-Price (alors appelee Abitibi) transferait ses installationsde R et D de Sault Sainte Marie it Sheridan Park (Mississauga), et laMacMillan Bloedel regroupait ses chercheurs dans une nouvelle installationit Burnaby.21. c.A. Sankey, PAPRICAN: The First 50 Years (Pointe-Claire, Institut canadiende recherches sur <strong>les</strong> pates et papiers, 1976).Voir egalement Hull, op. cit.22. LA. Litvak, Canadian Trade Associations and the Promotion and Diffusion ofInnovations, Technical Innovation Studies Programme Research Report(Ottawa, ministere de l'Expansion industrielle regionale, 1985).23. Groupe de travail sectoriel, The Canadian Forest Products Industry (Ottawa,ministere de l'Industrie et du Commerce, 1978). Gouvernement duCanada, Reponse du gouvernement federal aux recommandations du Comiieconsultatif des industries [orestieres (Ottawa, ministere de l'Industrie et duCommerce, 1979).24. Voir D. Dingeldein, «One Very Weak Link», Canadian Research, novembre1978, p. 5; et RW. Kennedy, «Research: A Shortfall, but Who is Really toBlame?» Canadian Pulp and Paper Industry, janvier 1979, p. 18.25. Litvak, op. cit., p. 45-46.26. Les travaux du Laboratoire des produits forestiers de l'Ouest portant sur<strong>les</strong> precedes de mise en pate ont ete repris par Paprican, dans sa nouvelleinstallation de la Colombie-Britannique.27. Signalons en passant qu'une entreprise importante a laisse entendre quememe si <strong>les</strong> entreprises scandinaves ont pris <strong>les</strong> devants dans Ie developpementde l'equipernent de transformation du bois au cours des annees1970, notamment en ce qui concerne l'incorporation de la microelectronique,leur taux de progres technologique a plafonne car el<strong>les</strong> ontmis l'accent sur Ie recouvrement des couts en vendant des produitsexistants. Selon cette entreprise, l'occasion nous est aujourd'hui donneede bruler <strong>les</strong> Napes et de re<strong>prendre</strong> l'initiative dans ce domaine.28. J. Sorenson, «Innovative Rim Saw to Replace Bandmills», Canadian ForestIndustries, mai 1984, p. 12-14.29. P. MacDonald, «Computer Applications Unlimited», British ColumbiaLumberman, avril 1984, p. 30-31.30. Voir Smith et Lessard, op. cit., et Solandt, op. cit.31. Smith et Lessard, op. cit., p. 65.32. D.E. Barron, J.H. Smithy, K.L. Campbell et J.P. Martel, Depenses enamenagement forestier au Canada, 1977-1983, rapport conjoint de l'Associationcanadienne des producteurs de pates et papiers et du Centre forestierdes Grands Lacs (Montreal, Association canadienne des producteurs depates et papiers, 1986).33. R Hayter, «Research and Development in the Canadian Forest ProductSector - Another Weak Link?», Canadian Geographer 26 (1982), p. 256-263;Solandt, op. cit.34. Barron et a}, op. cit., p. 6.35. Voir Solandt, op. cit. Par exemple, un groupe de chercheurs du departementde biologie de l'Universite Simon Fraser a recemment fait l'essaipour la premiere fois de methodes de repression des ravageurs quicausent, annee apres annee, des dommages importants aux forets de laColombie-Britannique.144
36. En fait, l'experience acquise par la collectivite des ingenieurs-conseilscanadiens concernant la technologie des produits forestiers est telle qu'ilexiste une demande globale pour leurs services pour le choix des technologiesappropriees, le transfert de la technologie et la conception etl'installation des usines.37. Recemment, par exemple, FERIC et Paprican, en collaboration avecHymac, un fabricant de machines a pates, ont mis au point le precedePaprifer, concu pour utiliser <strong>les</strong> copeaux provenant des residus de l'abattage,des arbres entiers et des materiaux autrement non commercialisab<strong>les</strong>.38. Smith et Lessard, op. cit.39. Solandt, op. cit.40. Ibid.3. Le systeme de R et D et son fonctionnement1. Silversides, op. cit., p. 232.2. Ibid., p. 233.3. D.A. Tillman, Forest Products: Advanced Technologies and Economic Analyses(New York, Academic Press, 1985), p. 95.4. Par exemple, Schwindt, op. cit., a reussi a retracer <strong>les</strong> origines de 40innovations majeures et de 34 innovations mineures introduites auCanada entre 1950 et 1976. De ces nombres, 27 et 17 respectivementprovenaient des fabricants d'equipernent de partout dans le monde.5. R. Hohol, «Pulping Methods on the Threshold of Change». Pulp and PaperJournal, avril 1982, p. 14-16.6. Sankey, op. cit., p. 111.7. P.c. Mellgren et E. Heidersdorf, The Useof High Flotation Tires forSkiddinginWetand/or Steep Terrain, Rapport technique no TR-57 (Pointe-Claire, FERIC,1984).8. Ibid., p. 44-45.9. j.C. Sa<strong>les</strong>ky, «The Sawmill Improvement Programme - Instant Forestryat Work», Forest Products Journal, 35 (1985), p.6.10. Forintek,« Le programme de dimension des sciages de Forintek», Regardsur Forintek, mars 1985, p. 3-4.11. E.B. Kirbach, «Methods and Equipment Update for Stellite Tipping»Canadian Forest Industries, janvier 1986, p. B22-23.12. P. MacDonald, «Stellite to Become Standard on Mill Cutting Equipment»,British Columbia Lumberman, octobre 1984, p. 10-11.13. J. Soreson, «Untensioned Saw Blade Cuts at High Speeds», Canadian ForestIndustries, mai 1984, p. 16-18.14. Forintek, «Recherche d'envergure sur le sechage du bois», Regard surForintek, fevrier 1985, p. 6-Z15. Forintek,« La collection de micro-organismes de Forintek », Regard surForintek, mars 1985, p. 5-6.16. Par exemple, S. Globerman, «New Technology Adoption in the CanadianPaper Industry», Industrial Organization Review, 4 (1976), p. 5-12.17. C'est ce qu'ont revele Bengsten et al dans une recente etude portant surla diffusion du panneau de particule de charpente en Amerique du Nord:D.N. Bengsten, H.M. Gregersen et J. Haygreen, «Seesawing Across the145