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Rapport BioIndication ONEMA 2010 - Ifremer

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Partenariat <strong>2010</strong>..Qualité des masses d’eau littorales (eauxcôtières et de transition)Action 17Figure 6 : Représentation schématique d'une image hyperspectrale en trois dimensions (x,y, longueur d'onde).Une «image» hyperspectrale peut donc a priori, mieux qu’une simple photographie aérienne qui nepermet pas de différencier les différentes longueurs d’ondes (elle ne restitue, tout comme le perçoitl’œil humain, qu’une composition colorée de trois larges bandes spectrales s’inscrivant dans le«visible»), permettre d’identifier la nature des objets ou structures, à la condition que leur «signaturespectrale» soit connue. En effet, les objets ou structures n’absorbent pas tous de la même manière lalumière solaire incidente : l’absorption se fait à des longueurs d’ondes préférentielles, ce qui a pourconséquence que la réflectance mesurée (part réémise, ou réfléchie, de la lumière incidente) estvariable avec la longueur d’onde (on parle de spectre de réflectance). Ce spectre est dépendant de lanature et de la composition de la cible analysée. Chaque objet peut donc en théorie être identifié àpartir de son niveau de réflectance et du panel de longueurs d’ondes auxquelles il absorbe ou renvoiele rayonnement. Chaque type d’objet, chaque type de structure, possède ainsi une «signaturehyperspectrale» qui lui est propre (Figure 7).Figure 7 : La réflectance est la fraction de la lumière incidente réfléchie par la ciblePage 20 sur 28

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