Gilbert, AndréeGrandmont, GhislaineGuilbert, Marie-JoséeHuberdeau, Hermance LemaireJutras, Johane LamoureuxLabbé, GhislainLacharité, LucieLaflamme, BertheLaliberté MichelLamothe, ChantalLaplante, LouiseLebrun, DianeLeclaire, Céline GriséLeclerc, Lise CasavantLegault, RoselineLemaire, CélineLemaire, PaulineLemire, LucieLupiien, LucieMénard JacquelineMénard, LiseMichel, ChristianeNadeau, RichardPainchaud, BrigitteParenteau, Marielle LapréPerron, JacquesPhaneuf, SylvainPinard, FrancinePrince, GéraldPrince, Jacqueline AllardRaymond, MichelineRobitaille, FrançoiseRoy, CélineRuest, MartineSullivan, Lucette SylvainTessier, GhislaineTrottier, Alice BoireTrottier, Aline NadeauTrudel, AndréeVadnais, Lucille Lavallée
L’ INSTITUTRICEC’est une femme toute simple, célibataire ou mariée. Elle est choisieprincipalement pour enseigner aux jeunes les rudiments de la lecture, du langage,de l’écriture et de l’arithmétique. Elle doit enseigner aussi à prier.On la veut compétente, avec un diplôme du Bureau Central ou de l’École Normale.Souvent, les commissaires, qui ont cette charge de l’embaucher, vont, aupréalable, rencontrer le curé de la paroisse, pour obtenir des références à sonsujet. Il faut qu’elle soit «de bonne conduite».Dans ce monde de l’éducation, la place est grande pour toute personne de sexeféminin, qualifiée pour cette profession. À ce moment du début de notre histoire, ilest plutôt rare de voir un «monsieur» dont la carrière est entièrement vouée àl’enseignement.Ses conditions de travailElle enseigne toutes les matières au programme et à plusieurs divisions, dans unmême local (1 ère à 7 e année). Les commodités sont au strict minimum, les toilettes,le plus souvent, sont dehors, aux «quatre vents». Pas d’éclairage, pas d’eau, pasde chauffage, pas de papier de toilette, fin et parfumé.Hangar et cabinets d’aisance.Photo d’une « petite école » de rang.Le mobilier et le matériel didactique sont souvent incomplets ou manquants (globeterrestre, tableaux, cartes, bibliothèque).L’école, c’est une petite maison de bois, à pignons avec un petit perron, avec desfenêtres à carreaux. Elle est peinte en blanc et à l’air accueillant. Le solage est enpierre. Il faut la renchauser, l’hiver, pour garder le plus de chaleur possible.En y entrant, c’est un portique pour remiser le linge des enfants, le lunch, la boîte àbois, puis c’est la classe et la cuisine qui sert de chambre à coucher pourl’institutrice. Installé près de la cloison, un gros poêle à deux ponts, sert, nonseulement au chauffage, mais aussi à la cuisson. Les murs et le plancher sontpeints de couleur grise, ils sont mal isolés.Exigences de l’emploiEn plus des engagements signés par contrat, l’institutrice recevait des directivesassez sévères quant à son habillement, à ses sorties, à ses loisirs.
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