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forcer » à faire ce qui est bien, en nous mortifiant,<br />
en nous poussant contre notre volonté à faire ce<br />
que nous n'avons pas envie de faire dans le but<br />
d'aller au ciel ou d'éviter d'être perdu. L'équation de<br />
la croix vient avec sa propre source de puissance :<br />
« L'amour de Christ nous contraint [motive]. » (2<br />
Corinthiens 5.14 )<br />
Toute personne ayant vu Christ crucifié, et<br />
croyant en ce qu'elle a vu, ne peut encore être<br />
tourmentée par de vagues sentiments de remords,<br />
ni par la haine de soi après avoir fait ce qu'elle sait<br />
ne pas devoir faire. Le sentiment persistant du « tu<br />
dois » qui comme un lourd nuage noir encercle<br />
l'âme, est dissipé. Bien que je puisse avoir tort de<br />
dire qu'il devient facile de faire le bien (suivre<br />
Christ ne nous mène jamais vers le bas), il est vrai<br />
que l'amour de Christ que l'on voit et auquel on<br />
croit est une centrale électrique qui nous propulse<br />
sur le sentier qui monte vers le ciel. Les obstacles<br />
de la tentation s'aplanissent devant la puissance de<br />
cette nouvelle « contrainte ». Les décisions qui ont<br />
été horriblement difficiles pour nous deviennent<br />
simples quand on se souvient de l'équation de Paul<br />
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