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Le <strong>Yémen</strong> et le Cholera<br />
Fin Avril 2017 : début de l’épidémie<br />
favorisée par les bombardements de la<br />
coalition : « l’effondrement des<br />
infrastructures médicales et sanitaire »<br />
(Le Monde)<br />
L'épidémie la plus virulente jamais<br />
enregistrée :<br />
542 278 cas, 2 003 morts.<br />
La situation sanitaire médiocre due à la<br />
guerre et aux bombardements incessants a<br />
favorisé l’épidémie considérée comme<br />
incontrôlable<br />
«La prise en charge des patients est<br />
compliquée par des difficultés<br />
d’acheminement de l’aide humanitaire et<br />
les restrictions des déplacements des<br />
personnels. L’aéroport de Sanaa est fermé<br />
depuis un an et le fret ne passe que<br />
difficilement par le port d’Hodeidah»<br />
(Camille Delorme, cheffe de mission de<br />
l’ONG française Première urgence<br />
internationale)<br />
Au 31 mai 2017 : 65 300 cas et 532 morts<br />
dont 109 enfants,<br />
Une semaine plus tard au 8 juin 2017 : 100<br />
000 cas<br />
(Unicef)<br />
Juillet 2017 : 300 000 personnes<br />
contaminés<br />
(Le monde)<br />
Le 27 août : 500 000 cas de choléra et<br />
2000 morts au total<br />
@YoungMuslimThinkers
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