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Cinq ans après l’accueil mitigé réservé à<br />
« Combats ordinaires », revoilà le Yannick<br />
chanteur avec « Bonheur indigo », un album<br />
positif qui prône la générosité. Depuis le<br />
Guatemala où il terminait ses vacances,<br />
confidences d’un homme gagné par la sagesse.<br />
YANNICK<br />
NOAH<br />
EN TOUTES CONFIDENCES<br />
Cet album est tout aussi engagé<br />
que le précédent mais les<br />
messages ne sont-ils pas<br />
moins directs ? On se souvient<br />
que votre « colère » anti-FN<br />
avait agacé…<br />
C’est peut-être plus subtil, mais j’ai toujours<br />
la même envie de proposer une histoire avec<br />
une issue. J’ai eu envie qu’à la fin de l’écoute<br />
de cet album on se sente plus léger. Ce sont<br />
des mélodies avec de la sensibilité, du sourire<br />
et de la danse.<br />
Comment s’est créé cet album ?<br />
Pendant les premiers mois, on a travaillé à partir<br />
de maquettes, j’ai proposé des directions<br />
musicales, des phrases, exprimé des envies.<br />
Comment est née « Viens », le<br />
premier extrait de l’album,<br />
signé Boulevard des airs ?<br />
J’ai eu un coup de foudre pour la maquette<br />
qu’on m’a envoyée. J’ai craqué sur cette<br />
chanson mais je ne savais pas qui était derrière.<br />
Ce titre faisait partie des 15 ou 16 que je<br />
voulais garder. Et en mai juin, je suis revenu<br />
en France pour travailler en studio. J’ai passé
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