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La porcelaine Imari, objet d'échange. - Maison franco-japonaise

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Pour ne pas terminer sur cette lugubre histoire de vraies fausses <strong>porcelaine</strong>s, je<br />

voudrais ajouter que les imari ne sont pas le seul produit artisanal par lequel le<br />

Japon s'est fait connaître au monde occidental dès le XVII ème siècle.<br />

Un autre produit très recherché c'était les laques.<br />

Ici un coffre en laque dont le motif est un paysage imaginaire de la ville de<br />

Nagasaki. Imaginaire car on voit une montagne en arrière plan qui ressemble<br />

fort au Mont Fuji. Mais sur le panneau de droite on reconnaît l'îlot de Déjima en<br />

forme d'éventail qui ne laisse aucun doute sur le fait qu'il s'agit bien de<br />

Nagasaki.<br />

Diapositive 34<br />

34/50<br />

(<br />

, 1797<br />

Déchargement d'un navire hollandais Ishizaki<br />

Yushi, 1797. Bibliothèque nationale, Paris<br />

Une dernière image, en hommage à la VOC, la Compagnie Hollandaise des<br />

Indes Orientales, qui a fait connaître à l'Europe les <strong>porcelaine</strong>s imari, même si<br />

finalement cette <strong>porcelaine</strong> est arrivée par plusieurs autres routes.<br />

Conférence donnée à la <strong>Maison</strong> Franco Japonaise à Ebisu le 13 mai<br />

2009.<br />

22/22

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