« LA PARTIE QUE J'J'AIMAIS, I DU MOULAGE É ... - Cirque du Soleil

« CE EQUI Q
QUI
A É ÉTÉ É LE PLUS SPÉ SPÉCIAL ÉCIA
POUR MO MOI, I, CC’EST
’ES DE FAIR FAIRE E LES L S CH CHAUSS AUSSURES U DE MA FFILLE
ILLE.
JE LUI LAIS SAIS DES PET PETITS S MOTS MO MOTS À L’INT ’INTÉRIE ÉRIEUR UR « FAIT FAITS S AV AVEC C AAMOUR
DE E MAMAN »
OU UN GGROS
ROS R CŒUR ŒU EN ROUG ROU OUGE E SU SUR R RLES LE S É ÉT É IQUE IQUETTE TTES T ES » —HÉLÈNE LEFE
—HÉLÈNE LEFEBVRE, COUTURIÈRE AAUX UX CHAUSSURES CHAUSS & MÈRE DE CINDY WHITEMAN AN – ARTISTE A , POWER TR
WER TRACK “T
“THE MOST SPECIA ECIAL L TH THING ING FOR ME WWAS
S MMAKIN
AKING G SH SHOES OES FOR MY DAUGHTER. TER. I WOULD
LLEAVE
LITTL ITTLE E NO N TES INSI INSIDE DE – “MADE MADE WWIT H LO VE BBY
Y MO MOM” ” – OR PUT A BIG RED R
—HÉLÈNE LEFEBVRE, SHOE SEAMSTRESS AND MOTHER OF CINDY WHITEMAN – ARTIST, POWER TRACK
HEA HEART ON THE LLABELS
BELS”
« « S UR KKKÀÀÀ ÀÀÀ , TOUT L’AT ’ATEL ELIE LIER TRAVAILLA LAI AIT T AV AVEC MOI, C’ÉTAIT É T EXTR EXTRAORDINAIRE. RE. C’ÉT C’ÉTAIT É A
COM COMME ME U UNE
USINE DE CADE CADEAUX AU A DU D PÈÈRE
RE R NOË OËL Ë : T U PA PARS R UNE
JOURN RNÉE, ÉÉE
TU REVIENS, NS,
PUIS LES
TABLES LES SO SONT PLEINE NES SDE DE NO NOUVEAUX X TR TRUCS UCS UC CS QUI Q ONT É ÉTÉ É FABR FAB IQUÉ IQUÉS Q ÉS
DA DANS NS LLA
JOURNÉE. C’EST EST BIE BIEN IMP IM RESS RESSSIONN IONNAN ANT QUAN QUAND Q D TU AS AAS
ACCÈ ACCÈS SÀÇA. À ÇA Ç IL Y A DDES
ES GGENS
ENS
QUI Q SONT LÀ DEP DEPUIS UIS 10, 15 1 A NS, ILS ONT DE ELL
L’EXP ’EXP XPERTI ER ERTISE, SE, DE LL’
EXPÉ EX RIEN RIENCE CE À PAR PARTAGE AGER.
— PATRICIA RUEL, CONCEPTRICE ACCESSOIRES
C’EST ASSEZ INO
N UBLI UBL ABLE POU POUR R DE JEU JEUNES NES CONC CONCEPTE EPTEURS URS COMM COMME EMOI. MOI.
» A
“FOR KÀÀ, ÀÀÀ
, TH THE EENTIRE ENT
TEAM WORKED RKE WITH ME. IT WA WAS AMAZING ING. . IT WAS LIK L E SANTA’ NTA’S
WORKSHOP: P: YYOU’D
GO AWAY AW FOR A DAY, AY A AND ND WHEN W YOU CAM CAME BACK THE HE TTABLE
ABLE BLES S WWO
WOULD BE E
FUL F L OF ALL TH THE NEW THINGS NGS THEY T ’D MADE
THAT DAY. IT WAS QUITE QQUITE
IMPRE IMP
SSIV SIVE E TO T
HAV A E ACCESS TO ALL THOS HOSE PEOPLE. SOME OF THEM HAD BEEN THERE FOR 10 OR 15 YYEARS
RS,
AND HAD TREMEND ME OUS S EXPE EXP RTISE AND D EXPE EXP RIENCE TO SHARE. IT WAS PRETTY
— PATRICIA PATRICIA RRUEL,
UEL, PROP DESIGNE DESIGNER
MEM
ORAB O LE FOR OR YYOUNG
OUNG DES DESIGNE IGNERS R LIKE
ME.”
« LA PARTIE QUE Q J’ J’AIMA AIMAIS, I DU MOULAGE, C’ÉTAIT É LA RENCONTRE E AAVEC
L’ARTIST TISTE. E.
IL AVAIT UNE HEURE ASSIS SUR UNE CHAISE CHA
À SE FAIRE E TRAVAILLER LA TÊTE Ê
PUIS IL RELAXAIT. J’ÉTAIS É TOUT SEUL AAVEC L’ARTISTE, E, PAR LA DISCUSSION,
— DANNY BARIBEAU, BEAU, ACCESSOIRISTE
ON FINISSAIT PAR SE CONNAÎTRE. Î »
“THAT’S THE PART I LIKE KEDD BE BEST ST IIN
N MAKIN
KING NG TH THE CAST CAS C S OF ARTI ARTISTS’ STS HEA EADS. DS. THE ARTI A ST
WOULD SIT IN A CHAI CHAIR AND RELAX FOR R AN H OUR WHIL WHILE I WORK WORKED. ED I WAS ALL ALONE
WITH
— DANNY DANNY BARI BARIBEAU, PROP
HIM. AS WE CHAT ATTED, I GOT TO KNOW HIM.” M.” OP

« ON FABRIQUE QUE DES PERRUQUES Q SUR R ME MESURE, SELON LES PERF ER ORMANCES
ET SELO S N LES BESOIN S INS. S. ON PPEUT
FAIRE DDE S MÉLANGES É DE E COULEURS C
DIFFÉRENT É NT NTES, ES,
DES D LIGNES DE COULEUR ET DES MÈCHES È DE COUL COULEUR. ON PPEUT
POSER AUSS A S I
DAN ANS S LE LESS PERRUQUE
P QUES
DES OBJETS TS OOU
U D’ AUTRES MÉDIU ÉÉDIUMS
POUR DONNER DES ES EEFFET
FFETS S
DIFFÉRE FÉ NTS. ON PE PEUT TOUT IMPLAN PLANTER, TER, ÇÇA
Ç C’EST CHEVEU PAR CHEVEU EU NOUÉ NOUÉS S
SUR LE FILET, C’ES ’ESTT UN TRA TRAVAIL VAIL EXT X RÊME R MENT LON L G. » — SYLVIE GRATTON, N, PERRUQUIÈRE PRINCIPALE
“WE MAKE CUSTOM WIGS, TAILORED TA TO THE DEMANDS OF EACH PERFOR ORMANC M E. WE CAN
BLEND DIFFERENT COLOUR OURS, OR USE STREAKS OR HIGHLIGHTS. WE CAN ALS LSO ADD THINGS TO
A WIG, OR USE OTHER ER MEDIA TO CREATE DIFFERENT EFFECTS. SOMETIMES WE BUI BUILD LD A
WIG ONE HAIR AT A TIME, OR WE KNOT TWO OR THREE HREE TOG TOGETHE HER R AND
PLACE THEM.
— SYLVIE GRATTON, SENIOR WIGMAKER
IT’S EXTREM EMELY TIME-CONSUMING.”
“I ALWAYS THINK OF THE MAKEUP WE CREATE AS A BIT LIKE CHOREOGRAPHY.
A COSTUME IS SOMETHING TANGIBLE, IT’S SOMETHING YOU PUT ON, BUT FOR
CHOREOGRAPHY AND PERFORMANCE, YOU GIVE THE ARTIST THE TOOLS, YOU SHOW
HIM HOW TO DO IT AND THEN IT’S UP TO HIM TO DO IT PROPERLY EVERY NIGHT.
AND AFTER EVERY PERFORMANCE, THE MAKEUP GOES IN THE GARBAGE;
EVERY
NIGHT THE ARTIST HAS TO REDO HIS MAKEUP, REDO HIS PERFORMANCE,
REDO HIS CHOREOGRAPHY ALL OVER AGAIN. SO IF HE DOESN’T ENJOY DOING IT,
—NATHALIE GAGNÉ, MAKEUP DESIGNER
HE WON’T DO IT WELL.”
« POUR MOI, I, LLE
MAQU MAQUILLA Q ILLAGE GE, DANS UNE CRÉATION, É C’EST S UN
PEU COMME LA CHORÉGRAPHIE.
É
UN COSTUME, ME, IIL
EST LÀ, LÀ TU LE METS SUR TOI, ALORS QU Q E POUR LA CHORÉGRAPHIE
É
ET LE JEU, TU DONNES
À L’ARTISTE LES OUTILS, TU LUI UI EN ENSEIGNES TOUT ÇA Ç ET C’EST ST À LUI
DE BIEN LE FAIRE TOUS LES SOIRS. TOUS LES SOIRS, LE MAQ MAQUILLAGE
S’EN VA DANS
LE LES POUBELLES ; TOUS LES SOIRS, IL DOIT REFAIRE SON MAQ QUILL
U AGE, REFAIRE SON JEU,
REF REFAIRE A SES CHORÉGRAPHIES. S’IL NE PREND PA PAS S PLAIS ISIR À LE EFAIRE FAIRE,
,
—NATHALIE GAGNÉ, CONCEPTRICE MAQUILLAG
IL NE LLE
E FERA
PAS BIEN. »
« POUR MOI, LE PREMIER R CHOC EEST
PHYSIQUE, Q C’EST LE CONFORT. C’EST LE MOMENT
DANS LE SALON D’ESSAYAG AGE E DE 2 MÈTRES PAR 2 MÈTRES DE FAIRE LA SPLIT, TT DE FAIRE UN
SALTO, SI TU ES CONTORSIONN ONNISTE S OU PORTEUR, TOUJOURS AVEC LES BRAS VERS LE HAUT,
DE FAIRE CRAQUER Q LE COSTUME UME. ESSAYER EN POSANT DES QQUESTIONS
AUX GENS DES
COSTUMES ET AUX CONCEPTEURS UR OU AUX HABILLEURS. ILS NOUS ENCOURAGENT : VAS-Y,
CRAQUE Q LE, ON EST DANS LE TEMPORAIRE, ON EST DANS LE PROTOTYPE, LES COUTURES VONT
ÊTRE ÊT RENFORCÉES. ET C’EST T LA MÊME CHOSE MÊME POUR LES BESOINS ARCHI TECHNIQUES,
ET TDE DE
SÉCURITÉ.
IL FAUT QUE Q LES L SENS SOIENT LÀ. SOUVENT T SUR SCÈNE, ON A UNE
— RENALD LAURIN, ARTISTE, FLEUR SUR ALEGRIA
PERC RCEPTI EP ON DE L’ESPACE PAR AR NNOS
O OREILLES.
»
“FO “FOR R ME ME, ,THE THE
FI FIRST RS IMPR MPRESSI ESSION ON IIS
S PH PHYSIC YSICAL. A IT’S ABO ABOUT UT COM COMFORT FORT. . THIS
IS WH WHEN EN YYOU
O
HAV HAVE E TO DO TH THE SPLI SPLITS TS OOR
R A BACK BACKFLIP FL , IF YOU YOU’R ’RE A AC CONTOR
NTORTION TIONIST IST OR A CATCHE HER, ,
KEEPING PIN YOU YO R AR ARMS MS UUP
P IN THE TH AIR – ALL THIS IN A DRESSING ROOM THAT’ HAT S NO MOR MORE E
THAN 2 METR MET ES BY Y 2 METR MET ES – TO O TR TRY ON THE COSTUME AND PUT IT THRO ROUGH ITS S PA PACES CES.
OFTEN N WE AS K TH THE E CO COSTUM STU E PEOPLE
LE OR DE DESIGNERS OR DRESSERS AND THEY
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TI TEM T PORA RARY, RY, IT’S JUST THE PROTOTYPE, THE SE SEAMS WILL BE
RREINFOR ORCED CED. GO AHEA AHEAD, D, TTRY
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THE SAME THING FOR THE SUPER-
TECHNIC NICAL L REQUI
EQU Q REME REMENTS, NTS, EV EVEN THE SAFETY EQUIPMENT. Q
IT HAS TO WORK WITH ALL YOUR UR
SEN SENSES. SES. OF OFTEN, ON SSTAGE
TAGE, YYO U FEEL THE SPACE AROUND YOU WITH YOUR EARS.”
— RENALD LAU LAURIN RIN, ARTI RTIST, FLEUR IN ALEGRIA G