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T. Porchet<br />

Dans le pôle des métiers de la construction, la filière<br />

bois rassemble l’ébénisterie, la menuiserie et<br />

la charpente. Ces métiers offrent des perspectives<br />

professionnelles attrayantes, car ils mettent en œuvre<br />

un matériau dont le succès va grandissant en raison<br />

de ses qualités esthétiques, physiques et écologiques.<br />

entre tradition et modernité<br />

partage du temps entre l’entreprise et<br />

l’école professionnelle. Par contre, les<br />

apprenant-e-s ébénistes et menuisier-e-s<br />

ont le choix d’effectuer leur<br />

formation en école à plein temps ou<br />

en entreprise, la majorité passant par<br />

l’école. A noter qu’en première année,<br />

un tronc commun réunit tous les<br />

apprenant-e-s de la filière bois.<br />

L’admission à l’école passe par un<br />

concours d’entrée. «Nous avons suffisamment<br />

de candidats pour occuper<br />

les 70 places disponibles chaque<br />

année, relève Nicolas Ebiner, doyen<br />

de la filière bois au Centre d’enseignement<br />

professionnel technique et<br />

artisanal (CEPTA). Et tous ceux qui<br />

terminent leur formation trouvent du<br />

travail.» Outre cette excellente insertion<br />

professionnelle, diverses voies<br />

s’ouvrent aux jeunes professionnel-les<br />

après l’obtention de leur Certificat<br />

fédéral de capacité (CFC). Dans les<br />

trois professions, il est possible d’obtenir<br />

une maturité professionnelle,<br />

pendant ou après l’obtention du CFC,<br />

donnant accès aux Hautes écoles<br />

spécialisées (HES). Il est également<br />

envisageable de se mettre à son<br />

dossier<br />

par Bernard Dumont<br />

Eliane Schneider<br />

Jean-Noël Tallagnon<br />

compte, même si l’opération peut s’avérer<br />

un peu plus difficile que dans<br />

d’autres professions artisanales en<br />

raison d’un investissement en machines<br />

relativement important. Par contre,<br />

comme le signale Nicolas Ebiner,<br />

«il manque passablement de cadres<br />

supérieurs en Suisse romande» et les<br />

perfectionnements sont également<br />

nombreux et variés dans ce domaine:<br />

brevet fédéral de contremaître,<br />

diplôme de technicien d’une école<br />

supérieure, maîtrise fédérale, bachelor<br />

d’une HES en technique du bois,<br />

en ingénierie ou en architecture. ❚❚❚<br />

mars 2007 / options 65 / 7

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