26.04.2013 Views

Jazz manouche et chansons swing - Christine Tassan et les ...

Jazz manouche et chansons swing - Christine Tassan et les ...

Jazz manouche et chansons swing - Christine Tassan et les ...

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

<strong>Jazz</strong> <strong>manouche</strong> <strong>et</strong> <strong>chansons</strong> <strong>swing</strong><br />

www.christin<strong>et</strong>assan<strong>et</strong><strong>les</strong>imposteures.com<br />

Contact : Agence Danielle Lefebvre<br />

819-377-2608<br />

mailto:Danielle@agencedlefebvre.com


COMMUNIQUÉ POUR DIFFUSION IMMÉDIATE<br />

C’est l’heure de l’apéro…<br />

Un nouveau disque des plus pétillant<br />

signé <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures<br />

Montréal, 17 septembre 2012 – L’automne est peut-être arrivé, mais<br />

pour <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures, il n’y a pas de saison pour faire<br />

la fête <strong>et</strong> pour boire des p<strong>et</strong>ites bul<strong>les</strong>! Pour preuve, le sympathique<br />

quatuor de fil<strong>les</strong> sera sur la scène du Lion d’Or le 1 er octobre 2012 pour<br />

un 5 à 7 festif afin de célébrer la sortie de son nouveau disque C’est<br />

l’heure de l’apéro. Pourquoi bouder son plaisir lorsqu’il est possible de<br />

prolonger l’été avec ce nouvel opus composé de 14 pièces aux saveurs<br />

<strong>manouche</strong>s.<br />

Après avoir fait paraître De bon matin en 2007 ainsi que l’album Pas<br />

<strong>manouche</strong>, c’est louche qui leur a valu une nomination à l’ADISQ dans la catégorie « Album de l’année –<strong>Jazz</strong> création » en<br />

2010, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures sont de r<strong>et</strong>our c<strong>et</strong> automne avec un troisième album frais, pétillant, longuement<br />

mûri <strong>et</strong> savamment arrangé. Joyeusement intitulé C’est l’heure de l’apéro, le dernier-né des quatre musiciennes <strong>et</strong> chanteuses<br />

propose un heureux mélange de compositions origina<strong>les</strong>, de reprises, de pièces instrumenta<strong>les</strong> dans la tradition de Django<br />

Reinhardt <strong>et</strong> de <strong>chansons</strong> portant sur des thèmes qui sont chers aux membres de la formation : le voyage, la fête, l’amour, <strong>les</strong><br />

rencontres. El<strong>les</strong> font le pari de conjuguer légèr<strong>et</strong>é <strong>et</strong> intelligence tout en poursuivant leur exploration des différentes<br />

fac<strong>et</strong>tes du jazz <strong>manouche</strong>. Une véritable ode aux menus plaisirs de la vie.<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures est composée de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong><br />

(directrice musicale, guitariste soliste <strong>et</strong> chanteuse), Martine Gaumond<br />

(violoniste, chanteuse), Lise-Anne Ross (guitariste rythmique <strong>et</strong> chanteuse) <strong>et</strong><br />

Blanche Baillargeon (contrebassiste <strong>et</strong> chanteuse). La formation n’en est pas à<br />

ses débuts; avec plus de 400 spectac<strong>les</strong> que ce soit en salle ou dans le cadre<br />

de nombreux festivals, dont le Festival International de <strong>Jazz</strong> de Montréal, le<br />

Festival de jazz <strong>et</strong>c<strong>et</strong>era de Lévis, le Festival des guitares de Rouyn-Noranda,<br />

le festival April in Paris de Vancouver <strong>et</strong>, récemment, Les Déferlantes<br />

Atlantiques à Saint-Pierre-<strong>et</strong>-Miquelon, elle ne cesse de gagner l’estime de<br />

son public <strong>et</strong> de se faire de nouveaux adeptes. Au fil du temps, <strong>les</strong> quatre<br />

comparses ont partagé <strong>les</strong> scènes avec <strong>les</strong> grands du jazz <strong>manouche</strong>, dont<br />

John Jorgenson, Tchavolo Schmit, Angelo Debarre, Rodolphe Raffalli <strong>et</strong> David<br />

Reindhart, <strong>et</strong> ont vu leur concert enregistré <strong>et</strong> radiodiffusé par CBC à Montréal <strong>et</strong> Saskatoon.<br />

C’est l’heure de l’apéro sera en magasin dès le 2 octobre <strong>et</strong> disponible en téléchargement numérique (iTunes <strong>et</strong>c…).<br />

C’est l’heure de l’apéro, un disque vivifiant <strong>et</strong> riche de couleurs, de saveurs <strong>et</strong> d’odeurs, à déguster entre amis parce que,<br />

comme dit la chanson-titre, c’est l’heure de l’apéro, <strong>et</strong> c’est toujours notre heure préférée!<br />

Lancement à Montréal lors d’un 5 à 7 au Lion d’Or, 1676, rue Ontario Est.<br />

EN SPECTACLE<br />

Samedi 29 septembre – Festival de jazz de Sutton<br />

Lundi 1 er octobre, 17 h à 19 h; prestation à 18 h – lancement au Lion d’Or de C’est l’heure de l’apéro<br />

Samedi 20 octobre – Centre d’art de Sabrevois<br />

Samedi 10 novembre – Semaine culturelle de Magog<br />

Vendredi 23 novembre, 20 h – spectacle-lancement à La Basoche, Gatineau<br />

Dimanche 25 novembre – Les dimanches en douceur, Centre d’art la p<strong>et</strong>ite église, Saint-Eustache<br />

Pour en savoir plus : www.christin<strong>et</strong>assan<strong>et</strong><strong>les</strong>imposteures.com.<br />

– 30 –<br />

Relations de presse - Montréal : Dorothée Parent–Roy - 514.251.9111 - dorothee@courtemanchecommunications.com<br />

Relations de presse - Québec : Paul<strong>et</strong>te Dufour - 514.251.9111 - pdufourcom@videotron.ca<br />

Distribution SRI: Équipe Espace 21: Lise Boileau - 514 931-2672 - quebec@sricanada.com


Depuis déjà dix années qu’el<strong>les</strong> roulent leur bosse dans le milieu du jazz <strong>manouche</strong> <strong>et</strong> de la chanson revisitée, <strong>Christine</strong><br />

<strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures sont définitivement dans le paysage musical pour y rester. Véritab<strong>les</strong> pionnières dans un domaine<br />

d’ordinaire réservé aux hommes <strong>et</strong> précurseures de la vague <strong>manouche</strong> qui a déferlé sur le Québec, ces quatre musiciennes<br />

réinventent avec la singularité qu’on leur connaît une musique qui, loin d’être figée dans le temps, s’adapte au contraire à toutes<br />

sortes d’idées nouvel<strong>les</strong>. Des reprises aux compositions, <strong>les</strong> arrangements des Imposteures innovent, dépoussièrent, laissent<br />

place à la créativité débridée de quatre musiciennes chevronnées.<br />

Photo : Michel Pinault<br />

La réputation du groupe n’est plus à faire; avec plus de 400 spectac<strong>les</strong> en salle <strong>et</strong> en festival, dont de multip<strong>les</strong> représentations<br />

dans des évènements d’envergure <strong>et</strong> plusieurs tournées pan-canadiennes <strong>et</strong> françaises, il a su, depuis sa fondation en 2003,<br />

gagner l’estime <strong>et</strong> la fidélité d’un public toujours grandissant. On a ainsi vu <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures au Festival<br />

International de <strong>Jazz</strong> de Montréal, au Festival de <strong>Jazz</strong> de Lévy, au Festival des guitares de Rouyn-Noranda, au festival April in<br />

Paris de Vancouver, <strong>et</strong> récemment à St-Pierre <strong>et</strong> Miquelon; par deux fois, leur spectacle a été enregistré <strong>et</strong> radio-diffusé par<br />

CBC dans le cadre des «Concerts on demand», à Montréal <strong>et</strong> Saskatoon. Au fil du temps, el<strong>les</strong> ont partagé <strong>les</strong> scènes avec <strong>les</strong><br />

grands du jazz <strong>manouche</strong>, dont John Jorgenson, Tchavolo Schmit, Angelo Debarre, Rodolphe Raffalli <strong>et</strong> David Reindhart.<br />

Leurs deux premiers disques, «De bon matin» (2007) <strong>et</strong> «Pas <strong>manouche</strong>, c’est louche» (2010), ont connu un vif succès critique.<br />

Dès <strong>les</strong> premières semaines de sa sortie, «De bon matin» s’est classé au palmarès Coup de coeur de Radio-Canada <strong>et</strong> a<br />

décoché la première place du top4 de Radio Couleur <strong>Jazz</strong>. «Pas <strong>manouche</strong>, c’est louche», quant à lui, s’est mérité l’honneur<br />

d’une nomination à l’ADISQ dans la catégorie «meilleur album jazz création», auprès d’artistes reconnus tels que Jordan<br />

Officer, Julie Lamontagne <strong>et</strong> <strong>Christine</strong> Jensen.<br />

Sur scène, c’est à quatre musiciennes en pleine maîtrise de leurs moyens que nous avons affaire. El<strong>les</strong> improvisent avec<br />

aisance, interprètent leur répertoire avec dynamisme <strong>et</strong> chantent ensemble à quatre voix dans des harmonies raffinées. Mais<br />

c’est leur complicité indéniable <strong>et</strong> leur énergie communicative qui frappe d’abord. Les Imposteures, ce sont avant tout quatre<br />

amies qui unissent leurs forces <strong>et</strong> leurs voix pour faire naître, année après année, le fruit de leur créativité.<br />

Leur troisième album, dont la sortie aura lieu en octobre 2012, s’inscrit justement dans c<strong>et</strong> esprit vivifiant. Comme <strong>les</strong> deux<br />

précédents, il est tricoté d’un savant mélange de compostions <strong>et</strong> de reprises, de <strong>chansons</strong> <strong>et</strong> de pièces instrumenta<strong>les</strong>;<br />

l’évolution du groupe aidant, il s’annonce comme un album mûr <strong>et</strong> assumé. Il a été enregistré, mixé <strong>et</strong> masterisé chez Claude<br />

Champagne <strong>et</strong> subventionné par Musicaction à la production. «C’est l’heure de l’apéro» marque le début d’une nouvelle ronde<br />

pour <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures, qui parcourront de nouveau le Québec, le Canada <strong>et</strong> le monde pour présenter le<br />

spectacle pétillant <strong>et</strong> délicieux issu de leur dernière production.


Lise-Anne Ross – guitare rythmique, voix, arrangements<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> – guitare solo, chant, composition <strong>et</strong> arrangements<br />

À la barre des Imposteures depuis leur fondation <strong>et</strong> après plus de 20 ans de fructueuse<br />

carrière comme guitariste, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> est désormais une incontournable du jazz<br />

<strong>manouche</strong>. Fière ambassadrice du genre, elle en est aussi une des rares femmes<br />

solistes. Excellente compositrice, fine mélodiste, improvisatrice hors-pair, chanteuse<br />

sensible, c’est tout en finesse qu’elle mène sa barque, avec brio, aplomb <strong>et</strong> un<br />

dynamisme absolument contagieux.<br />

Charismatique <strong>et</strong> avenante, Lise-Anne Ross assure la fondation rythmique du groupe<br />

depuis ses tous débuts avec un talent indéniable. Dix ans au sein de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong><br />

<strong>les</strong> Imposteures <strong>et</strong> de nombreuses autres collaborations ont fait d’elle une musicienne<br />

solide comme le roc. Mais c’est sur scène, où elle allie force tranquille <strong>et</strong> humour<br />

décapant, que s’exprime le mieux toute sa personnalité de musicienne, au grand<br />

bonheur du public complice.<br />

Martine Gaumond – violon, voix, arrangements<br />

Violoniste remarquable, Martine Gaumond est une musicienne de haute voltige qui fait<br />

vibrer violon <strong>et</strong> public avec la même intensité. Excellente improvisatrice, elle manie<br />

l’arch<strong>et</strong> avec une facilité désarmante <strong>et</strong> ouvre le chemin aux plus bel<strong>les</strong> envolées lyriques.<br />

Elle sait aussi m<strong>et</strong>tre ses talents de choriste à profit <strong>et</strong> tricote de subti<strong>les</strong> harmonies<br />

voca<strong>les</strong> qui sont le sel de l’ensemble.<br />

Blanche Baillargeon – contrebasse, voix, composition, arrangements<br />

Forte d’un fructueux parcours qui l’a menée à jouer une variété impressionnante de<br />

sty<strong>les</strong>, musicienne accomplie, compositeure <strong>et</strong> arrangeure assumée, Blanche Baillargeon<br />

assure avec aisance <strong>les</strong> assises rythmiques du groupe tout en y allant de quelques solos<br />

bien sentis. Fine <strong>et</strong> délicate, elle manie la contrebasse avec une force <strong>et</strong> une soup<strong>les</strong>se<br />

surprenantes. Elle s’illustre aussi avec brio comme arrangeure au sein du groupe.


Description du spectacle «C’est l’heure de l’apéro»<br />

Durée : 1h30 en deux parties de 45min – Durée adaptable au besoin.<br />

C’est l’heure de l’apéro, <strong>et</strong> «c’est toujours notre heure préférée !»,<br />

dit la chanson titre du nouvel opus de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong><br />

Imposteures. C’est à un spectacle frais <strong>et</strong> pétillant que vous<br />

convient <strong>les</strong> quatre musiciennes mûres pour trinquer avec vous.<br />

Véritable ode aux menus plaisirs de la vie, el<strong>les</strong> font le pari de la<br />

légèr<strong>et</strong>é intelligente : de pièces instrumenta<strong>les</strong> en <strong>chansons</strong>, de<br />

reprises en compositions, el<strong>les</strong> livrent un répertoire qui régale le<br />

cœur comme l’esprit.<br />

Si l’influence de Django Reinhardt n’est jamais loin <strong>et</strong> <strong>les</strong> standards<br />

du jazz <strong>manouche</strong> toujours interprétés avec la même fougue, le<br />

répertoire du nouveau spectacle est riche de plusieurs<br />

compositions arrangées avec brio, autant des <strong>chansons</strong> que des<br />

instrumenta<strong>les</strong>, conférant au groupe un son original qui surprend le<br />

public. Quant aux reprises, el<strong>les</strong> sont soigneusement choisies <strong>et</strong><br />

majoritairement issues du répertoire québécois. C’est ainsi que l’on<br />

r<strong>et</strong>rouve des <strong>chansons</strong> de Raymond Lévesque (La vie de bohème,<br />

Quand <strong>les</strong> hommes vivront d’amour) <strong>et</strong> de Jean-Pierre Ferland<br />

(Je te cherche, audacieusement féminisée en «Tu me<br />

cherches»), ou encore de Gilbert Bécaud (la magnifique Maison<br />

sous <strong>les</strong> arbres, ici joliment harmonisée). Une recherche<br />

approfondie de style donne de l’ampleur au répertoire, alors qu’ici<br />

un tango (touchante Vuelvo al sur), ici une bossa presque cubaine<br />

(Un rom à Cuba), ici une ballade impressionniste (Lenteur tsigane) colorent audacieusement le concert.<br />

Un voyage musical vivifiant, donc, à l’image du disque, <strong>et</strong> dont la mise<br />

en scène est plus travaillée que jamais : <strong>les</strong> interactions entre <strong>les</strong><br />

musiciennes s’intensifient, <strong>les</strong> échanges musicaux virevoltent, <strong>les</strong><br />

ambiances, tantôt intimistes comme dans un obscur bar de jazz, un<br />

verre à la main, tantôt délurées comme sur une terrasse en été,<br />

bouchon de champagne sautant, contribuent à entraîner le public<br />

dans le plus agréable des 5 à 7 en bien charmante compagnie.<br />

C’est l’heure de l’apéro ! Santé !


Se sont notamment produites dans différents<br />

contextes dont:<br />

2012<br />

Espace culturel de Magog<br />

La Basoche – Gatineau<br />

Verdun Montréal-Nord Ste-Thérèse<br />

Sabrevois St-Eustache<br />

Festival de jazz de Sutton<br />

Festivoix de Trois-Rivières<br />

TD Sunfest '12 – London, On<br />

Maison de la culture Frontenac<br />

La Mitaine, Joli<strong>et</strong>te<br />

Rogue Folk Festival - Vancouver<br />

Le P'tit bonheur - Saint-Camille<br />

L’Ardoise - St-Casimir<br />

2011<br />

La Station, Joli<strong>et</strong>te<br />

Rogue Folk Festival - Vancouver<br />

Le P'tit bonheur - Saint-Camille<br />

L’Ardoise - St-Casimir<br />

Centre culturel Stewart Hall - Pointe-Claire<br />

Déferlantes Atlantiques - St-Pierre-<strong>et</strong>-Miquelon<br />

Ville LaSalle Repentigny Vaudreuil-Dorion<br />

TD Sunfest '11 – London, On<br />

Festival du bateau classique - Montréal<br />

Festival de la musique à Tremblant<br />

Festival de <strong>Jazz</strong> de Sudbury<br />

Grand théâtre de Québec<br />

L’Grenier - Maskinongé<br />

Salle Amal’Gamme - Prévost<br />

Maison de la Culture Villeray St-Michel.<br />

Théâtre Belcourt - Baie-du-Febvre<br />

2010<br />

Gala des Prix Opus<br />

Festival International de <strong>Jazz</strong> de Montréal<br />

Festival de <strong>Jazz</strong> de Lévis<br />

Théâtre Broadway – Saskatoon – Radio-Canada/CBC<br />

Northern Light Boreal Festival – Sudbury<br />

Midi SunLife – Montréal<br />

Marieville St-Léonard Terrebonne Ville St-Laurent<br />

Longueuil Anjou Pointe-aux-tremb<strong>les</strong><br />

Blue Skies Festival – Clarendon, On<br />

Fête de la St-Jean – Toronto<br />

2009<br />

Festival Montréal en Lumières<br />

Maison de la culture Villeray<br />

Festival des guitares du Monde d’Abitibi-Témiscamingue<br />

Maison du jazz <strong>Jazz</strong> club Dièse Onze<br />

St-Adolphe-d’Howard Greenfield Park Gatineau<br />

St-Alphonse-Rodriguez St-Basile-le-Grand<br />

Sherbrooke Festival des guitares de Lac-au-Saumon<br />

Festival du bout du monde – Gaspé<br />

Rimouski Richelieu<br />

2008<br />

Francofête en Acadie<br />

Le Domaine Forg<strong>et</strong> St-Irenée<br />

La Chanteaufête de Charlevoix<br />

Amqui I<strong>les</strong>-de-la-Madeleine<br />

Festival Acadien de Caraqu<strong>et</strong><br />

Ste-Thérèse Théâtre La Marjolaine d’Eastman<br />

St-Donat Mont-Laurier St-André Argenteuil Laprairie<br />

Longueuil Kiosque Edwin-Bélanger, Québec Trois-Pisto<strong>les</strong><br />

Festival International de <strong>Jazz</strong> de Montréal<br />

Festival des guitares de St-André-<strong>les</strong>-vergers – France<br />

Festival Manouche Factory – France<br />

Festival Sainte-Rose en blanc<br />

Centre culturel Pierrefonds<br />

Joli<strong>et</strong>te – Espace culturel l’aube des saisons<br />

St-Jean-sur-Richelieu – Cabar<strong>et</strong>-Théâtre du Vieux St-Jean<br />

Festival de <strong>Jazz</strong> de Sutton<br />

Marine Cabar<strong>et</strong> – Sorel-Tracy<br />

2007<br />

Festival Romani Yag Maison de la culture de Rivière-du-loup<br />

Centre Culturel Vanier à Châteauguay Côté Cour de Jonquière<br />

Festival des violons d’automne de St-Jean-Port-Joli<br />

Carrefour mondial de l’accordéon de Montmagny<br />

Festival de jazz de Lévis<br />

St-Placide Brossard Saint-Bruno Sutton Weedon St-Eustache <br />

Terrebonne St-Hyacinthe<br />

Kiosque Edwin-Bélanger, Québec Moulin Flemming<br />

Salle Pauline Julien<br />

Festival des guitares du monde d’Abitibi-Témiscamingue<br />

Le P<strong>et</strong>it Bar de Jean-Louis – Théâtre de la Ville de Longueuil<br />

Festival Montréal en Lumière - La Nuit des Gitans du Lion d’Or<br />

Cégep André-Laurendeau<br />

2006<br />

Maison de la culture Plateau Mont-Royal Ahuntsic-Cartiervillle<br />

Nuit Europa de Coup de cœur francophone<br />

Centre culturel de l’arr. Saint-Laurent – Lancement de saison<br />

Réseau Scènes – Coup de cœur de Johanne Aubry<br />

Off du Festival d’Été de Québec<br />

Concert d’été de la Ville de Boucherville<br />

Agora Strathcona de Sherbrooke<br />

Maison des Arts <strong>et</strong> de la Culture de Brompton<br />

Festival Tout Pour la Musique – Berthierville<br />

2005<br />

Festival du Monde Arabe<br />

Off Festival de <strong>Jazz</strong> de Rimouski<br />

Festival International de Lanaudière<br />

Fête du faubourg de Québec<br />

Women’s Voices Festival – Ontario<br />

Festival d’accordéon Le Printemps des Br<strong>et</strong>el<strong>les</strong><br />

Télévision<br />

Global – « Focus Montreal » - Avril 2012<br />

Global – « Focus Montreal » - Juin 2011<br />

Radio-Canada – « Des kiwis <strong>et</strong> des hommes » - juill<strong>et</strong> 2008<br />

France 3 – Journal télévisé – mars 2008<br />

Global – « This morning live » - mars 2007<br />

Radio<br />

CBC Radio2 – « Concert on demand » - Oct. 2010<br />

Radio-Canada – « Je l’ai vu à la radio » - 16 janv. 2010<br />

Radio-Canada – « Samedi <strong>et</strong> rien d’autre » - 23 janv.2010<br />

Radio-Canada – « François Dompierre » - 29 nov. 2009<br />

Radio-Canada – « A la semaine prochaine » - 21 nov 2009<br />

Radio Canada – « Monique Giroux » – 17 juin 2009<br />

CBC Radio2 – « Concert on demand » - Fév 2008<br />

Radio-Canada – « Studio 12 » - décembre 2008


Coup de cœur Je Chante<br />

CD <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> imposteures<br />

« C’est l’heure de l’apéro »<br />

Autoproduction pdi 0312<br />

Québec 2012<br />

www.christin<strong>et</strong>assan<strong>et</strong><strong>les</strong>imposteures.com<br />

Je chante Magazine<br />

A paraître dans l’édition de janvier 2013<br />

(magazine français)<br />

Par Francis Couvreux<br />

Troisième disque pour la guitariste-chanteuse <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> ses p<strong>et</strong>ites camarades<br />

québécoises ! Lise-Anne Ross, guitare rythmique, voix, Martine Gaumond, violon, voix <strong>et</strong> Blanche<br />

Baillargeon, contrebasse, voix ; un quart<strong>et</strong> tendance <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong>, soudé, joyeux <strong>et</strong> complice où<br />

chacune a sa place.<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> signe moitié des 14 titres, de solides compos à l’inspiration diverse, dont <strong>les</strong><br />

mélodies font toujours mouche, qui alterne instrumentaux <strong>swing</strong>ants (La mauresque, Délit de fuite<br />

ou le nerveux Et que ça saute, illuminé par <strong>les</strong> chorus <strong>et</strong> <strong>les</strong> questions réponses enlevés des<br />

demoisel<strong>les</strong>) mais aussi ballades (lenteur tzigane) <strong>et</strong> <strong>chansons</strong> légères à l’humour omniprésent (cf<br />

c’est l’heure de l’apéro). A signaler le très réussi Une étoile pour chaque note, chanson-hommage à<br />

Django Reinhardt co-signée C.<strong>Tassan</strong> pour la zique <strong>et</strong> Guylaine Saint-Pierre pour <strong>les</strong> paro<strong>les</strong>,<br />

ponctuée de courtes citations de thèmes de l’illustre <strong>manouche</strong> après chaque coupl<strong>et</strong>.<br />

Question reprises, ça va des <strong>chansons</strong> de la belle province (Tu me cherches de Jean-Pierre<br />

Ferland, le judicieux La vie de bohême de Raymond Levesque ou la maison sous <strong>les</strong> arbres, jolie<br />

chanson sentimentale de Delanoë-Bécaud) à des instrumentaux divers <strong>et</strong> variés (Impromptu de<br />

Django, quelque peu revu <strong>et</strong> corrigé, le sublime Vuelvo Al sur de Piazzola où <strong>les</strong> solistes conjuguent<br />

finesse <strong>et</strong> inspiration, ou c<strong>et</strong>te version de toute beauté de Quand <strong>les</strong> hommes vivront d’amour de<br />

Raymond Levesque.<br />

Chanteuse sensible au joli brin de voix, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> est aussi l’une des rares femmes solistes<br />

dans le style <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong> ; <strong>et</strong> elle a tout compris, son beau phrasé limpide <strong>et</strong> chantant étant<br />

toujours au service de la musique dans des chorus intelligemment construits. Ses p<strong>et</strong>ites camarades<br />

sont au diapason : maitrise instrumentale, mise en place, harmonies voca<strong>les</strong> aux p<strong>et</strong>its oignons,<br />

arrangements soignés, <strong>swing</strong> léger, dynamisme contagieux…ça joue, quoi ! Bref, voilà une gal<strong>et</strong>te<br />

bien rafraichissante ! Normal me direz-vous à l’heure de l’apéro ! Bravo <strong>les</strong> fil<strong>les</strong> ! Vivement qu’on<br />

vous (re)voie de ce côté-ci de l’Atlantique. Pourquoi pas à Samois ?<br />

Francis Couvreux


Coup de<br />

cœur<br />

Publié par Stoche, 2 Novembre 2012<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures<br />

C’est l’heure de l’apéro<br />

Encore une belle réussite que ce troisième disque pour <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> ses<br />

Imposteures : C'est l'heure de l'apéro, tout un programme, aligne bon <strong>swing</strong> <strong>et</strong> jolies<br />

<strong>chansons</strong> avec toujours beaucoup d'humour <strong>et</strong> de délicatesse. The woman's touch...<br />

!<br />

Voilà déjà dix ans que <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> comm<strong>et</strong> ses joyeuses impostures <strong>manouche</strong>s de l'autre côté<br />

de l'Atlantique au Québec. Pour son nouveau disque, C'est l'heure de l'apéro, la gracieuse guitariste a fait<br />

appel à son équipe habituelle : Lise-Anne Ross à la rythmique, Martine Gaumond au violon <strong>et</strong> Blanche<br />

Baillargeon à la contrebasse. Avec plus de 400 spectac<strong>les</strong> à son actif <strong>et</strong> trois disques, la cohésion du groupe<br />

n'est plus à faire : ça tourne, c<strong>et</strong>te affaire !<br />

L'ouverture sur le morceau/titre (C'est l'heure de l'apéro) donne bien la tonalité générale l'album : énergie du<br />

<strong>swing</strong>, fantaisie des paro<strong>les</strong> <strong>et</strong> de l'interprétation, qualité des arrangements, maitrise instrumentale <strong>et</strong> efficacité<br />

des chorus... tout cela emballé d'un joli son d'ensemble ; on sait qu'on va passer un bon moment en<br />

compagnie de ces dames. Le répertoire alterne reprises <strong>et</strong> créations, <strong>chansons</strong> <strong>et</strong> instrumentaux dans un bel<br />

équilibre. La contrebasse de Blanche Baillargeon s'impose avec autorité (Délit de fuite, Impromptu) <strong>et</strong> la solide<br />

rythmique de Lise-Anne Ross déroule le tapis aux envolées de Martine Gaumond <strong>et</strong> de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> qui<br />

lorgnent vers le blues (Tu me cherches), la bossa <strong>manouche</strong> façon Rosenberg (Un rom à Cuba dont <strong>les</strong><br />

chorus ont des accents "stochelien"...) ou la mélancolie de Piazzola (bel arrangement "tsiganisant" de Vuelvo<br />

al sur). Mais le fond de commerce, ça reste bien sûr le <strong>swing</strong> ; l'unique reprise de Django ne manque pas<br />

d'audace (Impromptu est loin d'être le thème le plus aisé du maître...) <strong>et</strong> <strong>les</strong> tempos élevés n'effraient pas ces<br />

demoisel<strong>les</strong> (Et que ça saute, qui porte bien son nom est l'occasion de bel<strong>les</strong> joutes instrumenta<strong>les</strong>). Les<br />

reprises sont toujours de bon goût (touchante Maison sous <strong>les</strong> arbres de Bécaud) <strong>et</strong> m<strong>et</strong>tent à l'honneur le<br />

talent d'auteur/compositeur du québécois Raymond Lévesque (La vie de Bohème, Quand <strong>les</strong> hommes vivront<br />

d'amour). Enfin, <strong>les</strong> <strong>chansons</strong>, souvent très drô<strong>les</strong>, bénéficient d'arrangements recherchés autant du point de<br />

vue instrumental que vocal (on croirait parfois entendre <strong>les</strong> Andrew Sisters...) : on adore par exemple le<br />

traitement quasi-psychotique du Désordre ou <strong>les</strong> savoureuses transitions en forme d'hommage d'Une étoile<br />

pour chaque note, qui conte avec beaucoup d'esprit la vraie fausse histoire de la guitare à Django !<br />

Bref, encore un disque très réussi à m<strong>et</strong>tre entre toutes <strong>les</strong> oreil<strong>les</strong>, <strong>et</strong> comme dirait Couvreux, un quart<strong>et</strong><br />

attachant qu'on aimerait bien voir à Samois l'année prochaine !<br />

Source : http://www.djangostation.com/C-est-l-heure-de-l-apero,1603.html


CD ALBUM - <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures "C'est l'heure de l'Apéro"<br />

REDACTEUR : DANIEL AUBRY – 29 octobre 2012<br />

Voilà un groupe qui nous vient du Canada, un groupe de fil<strong>les</strong><br />

qui chantent <strong>et</strong> jouent des guitares, contrebasse, violon, <strong>et</strong> qui<br />

sortent depuis le début d'Octobre de chou<strong>et</strong>te disque festif à<br />

savourer avec des amis de 5 à 7..."C'est l'heure de l'Apéro"<br />

disponible en magasin depuis le 1/10, également en<br />

téléchargement sur BandCamp.<br />

Voilà déjà 10 ans qu'el<strong>les</strong> roulent leur bosse dans le milieu du<br />

<strong>Jazz</strong> Manouche en intégrant de jolis textes chantés avec bonheur<br />

dans une énergie <strong>et</strong> une complicité sans faille.<br />

L'aventure n'est pas banale dans ce style où peu de femmes y<br />

pointent le museau, <strong>et</strong> c'est bien dommage car on découvre là un<br />

talent bien installé <strong>et</strong> une créativité débridée qui procure bien du<br />

plaisir.<br />

Leurs deux premiers disques "De bon Matin" 2007, <strong>et</strong> "Pas Manouche, c'est louche" 2010 ne sont pas passés<br />

inaperçus au Canada puisque l'un a été récompensé par le Palmarès Coup de Cœur de Radio Canada, <strong>et</strong> l'autre<br />

s'est vu attribué une nomination de l'ADISQ pour la catégorie Meilleur Album jazz Création, auprès d'autres<br />

artistes comme Jordan Officer, Julie Lamontagne ou Ch. Jensen.<br />

Sur scène, el<strong>les</strong> ont gagné l'estime du public auprès de grands festivals tels le Festival International de<br />

Montréal, celui de <strong>Jazz</strong> de Lévy ou encore le Festival des Guitares de Rouyn-Noranda <strong>et</strong> celui d'April in Paris<br />

de Vancouver.<br />

Ce nouvel album arbore un coté festif comme en témoigne le titre, <strong>et</strong> c'est une véritable invitation aux partages,<br />

à l'échange, à la rencontre, ainsi qu'en témoignent certains titres comme "Rom à Cuba", "Lenteur Tzigane", "La<br />

mauresque", ou "délit de fuite".<br />

D'ailleurs, sur <strong>les</strong> 14 morceaux de l'album, 7 titres sont de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, 1 d'Astor Piazzolla, bien sûr un joli<br />

morceau de l'univers Reinhardtien "Impromptu" nous rappelle qu'en 2013 cela fera 60 années que Django nous<br />

a laissé.<br />

Dans chacun de ces titres, on peut savourer pleinement la qualité des musiciennes; le <strong>swing</strong> est bien là, <strong>les</strong><br />

chorus de <strong>Christine</strong> nous annoncent un phrasé particulièrement limpide <strong>et</strong> créatif, talent que déjà dans la sphère<br />

des aficionados bien des guitaristes ont repéré.<br />

A noter également que, coté guitares, outre une Di Mauro <strong>et</strong> une JP. Favino, c'est un luthier Français,<br />

Francois Vendramini, que Chistine a choisi pour travailler c<strong>et</strong> album.<br />

Source : http://www.laguitare.com/guitare-guitaristes-christine_tassan-<strong>et</strong>_<strong>les</strong>_imposteursc_est_l_heure_de_l_apero-7815-0.html


25 octobre 2012<br />

Par Christophe Rodriguez<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures - C'est l'heure de l'apéro<br />

Parce que le <strong>swing</strong> surtout version Django est essentielle pour que la « sauce » prenne, faisons<br />

confiance à la guitariste/chanteuse <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> ses coéquipières. Avec c<strong>et</strong>te nouveauté au<br />

titre prépondérant : C’est l’heure de l’apéro, plus besoin de se poser de question <strong>et</strong> que la fête<br />

commence. Alternant <strong>les</strong> pièces instrumenta<strong>les</strong> qui roulent sur un « train d’enfer », entendons par là<br />

un <strong>swing</strong> irréprochable combiné à la joie de vivre <strong>et</strong> des <strong>chansons</strong> qui s’inscrivent dans la tradition<br />

poétique des Leclerc, Ferland, Gauthier, Delanoë : C’est l’heure de l’apéro évidemment, Une étoile<br />

pour chaque note, La maison sous <strong>les</strong> arbres, le compte y est pour de bon. Délicieux !<br />

Pour voir un extrait de C'est l'heure de l'apéro au Lion d'Or, cliquez ici<br />

Pour en savoir plus : christin<strong>et</strong>assan<strong>et</strong><strong>les</strong>imposteures.com<br />

Source: http://www.sortiesjazznights.com/1/Menu_Haut/cdjazz#138


Montréal 157<br />

Blogue de Jacqueline Mall<strong>et</strong>te – 8 octobre 2012 – ServicesMontreal.com<br />

CD C’est l’heure de l’apéro, jazz <strong>manouche</strong> vivifiant, tendre<br />

<strong>et</strong> jovial<br />

Quel bouillonnement de bonheur ce 5 à 7 de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures maintenant sur CD depuis<br />

qu’el<strong>les</strong> ont lancé leur troisième album intitulé C’est l’heure de l’apéro.<br />

Vivifiant, tendre <strong>et</strong> jovial, le jazz <strong>manouche</strong> de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong><br />

<strong>les</strong> Imposteures : on se déhanche au son des pièces instrumenta<strong>les</strong><br />

à la façon Django Reinhardt ; on nourrit la passion Piazzolla ; on<br />

sourit à une réponse taquine mais trop réaliste à une chanson de<br />

Jean-Pierre Ferland, ce chanteur québécois qui aime tellement <strong>les</strong><br />

femmes <strong>et</strong> qui a bien été obligé de prendre sa r<strong>et</strong>raite il y a quelques<br />

années ; on partage avec el<strong>les</strong> une joie de vivre <strong>et</strong> on chante en<br />

chœur ou peut-être en chorale La maison sous <strong>les</strong> arbres, chanson à<br />

l’essence tellement féminine qui était le thème d’un film français<br />

oublié des années 1970 à laquelle <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> donne une<br />

nouvelle vie, une nouvelle tonalité.<br />

La manière <strong>manouche</strong>, c’est un p<strong>et</strong>it plaisir à s’offrir quotidiennement. Avec leurs guitares rythmées, violon<br />

suave <strong>et</strong> contrebasse ultime, le CD de 14 <strong>chansons</strong> se termine par une version instrumentale de Quand <strong>les</strong><br />

hommes vivront d’amour qui risque de s’ajouter aux autres coups de cœur.<br />

Source : http://montreal157.wordpress.com/2012/10/08/cd-cest-lheure-de-lapero-jazz-<strong>manouche</strong>/


Yves Bernard, 5 octobre 2012<br />

Disque - <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures,<br />

C'est l'heure de l'apéro<br />

À r<strong>et</strong>enir<br />

Chanson <strong>swing</strong><br />

C’est l’heure de l’apéro - <strong>Christine</strong><br />

<strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures<br />

Indépendant<br />

Ce sympathique quatuor montréalais est l’un des rares groupes complètement féminins de musique<br />

<strong>manouche</strong> au monde. Pour son troisième disque, l’art de Django reste presque toujours présent avec un<br />

timbre de la guitare lead ou un solo qui rappelle le maître, un passage de violon à la Grappelli ou c<strong>et</strong>te pompe<br />

qui maintient le rythme. Mais <strong>les</strong> Imposteures donnent moins qu’auparavant dans <strong>les</strong> mélanges de style <strong>et</strong><br />

s’éloignent un peu plus du <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong>.<br />

L’esprit du bistro du coin de la rue reste le même, tout en chanson. Les quatre musiciennes chantent dans la<br />

bonne humeur en se répondant, en s’harmonisant <strong>et</strong> en riant. La manière est toutefois plus personnelle: plus<br />

vieux jazz, même sur ce fond de vielle gaule, <strong>et</strong> plus intime, dans la musique comme dans le propos. La<br />

signature est plus affirmée <strong>et</strong> c’est tant mieux. Le disque est vendu, entre autres, au<br />

christin<strong>et</strong>assan<strong>et</strong><strong>les</strong>imposteures.bandcamp.com


François Houde, Edition week-end 7 <strong>et</strong> 8 juill<strong>et</strong> 2012 – Section Arts <strong>et</strong> culture<br />

Il faisait chaud


Yves Bernard, jeudi 10 Mai 2012<br />

Les nouvel<strong>les</strong> impostures<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures se produiront demain soir à Montréal<br />

Photo : Claude De Maisonneuve<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> a créé un univers<br />

parfaitement singulier tournant autour d’une<br />

formation à deux guitares, un violon, une<br />

contrebasse <strong>et</strong> quatre voix.<br />

À r<strong>et</strong>enir<br />

Au Upstairs, demain à 20 h 30.<br />

Renseignements : 514 931-6808.<br />

El<strong>les</strong> s’appellent <strong>les</strong> Imposteures à cause des impostures musica<strong>les</strong> qu’el<strong>les</strong> créent à partir du jazz<br />

<strong>manouche</strong>. Et el<strong>les</strong> ont aussi plusieurs <strong>chansons</strong>. Mais demain soir au Upstairs, à Montréal, el<strong>les</strong> proposeront<br />

un répertoire instrumental qui convient au lieu : trois segments de 45 minutes qui leur perm<strong>et</strong>tent de faire le<br />

tour des compositions de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> de quelques classiques. Avant de s’attaquer à d’autres<br />

nouvel<strong>les</strong> impostures.<br />

Si, depuis 2003, l’année de leur création, <strong>les</strong> Imposteures montréalaises furent peut-être <strong>les</strong> seu<strong>les</strong><br />

femmes à avoir créé un groupe de <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong> dans le monde, la situation aurait tendance à se<br />

transformer quelque peu. La fondatrice <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> a rencontré quelques fil<strong>les</strong> qui commencent à suivre<br />

<strong>les</strong> traces du grand Django : « Il y a peut-être maintenant des groupes en France, mais le phénomène<br />

demeure quand même encore marginal », constate-t-elle.<br />

Avec ses collègues, l’auteure-compositrice-guitariste a créé un univers parfaitement singulier tournant<br />

autour d’une formation à deux guitares, un violon, une contrebasse <strong>et</strong> quatre voix. La formule révèle deux<br />

mondes qui s’entremêlent : celui du <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong> que <strong>les</strong> consoeurs détournent joyeusement <strong>et</strong> celui de la<br />

chanson qu’el<strong>les</strong> habillent de rythmes <strong>et</strong> de pompe <strong>manouche</strong>.<br />

Sur <strong>les</strong> deux disques du groupe, on traverse donc, souvent avec beaucoup d’humour, le blues, la<br />

valse, la rumba, le vieux <strong>swing</strong> américain, le tango, <strong>les</strong> <strong>chansons</strong> françaises <strong>et</strong> québécoises, <strong>les</strong> extraits<br />

d’opéra, <strong>les</strong> airs canail<strong>les</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> délicieuses harmonies voca<strong>les</strong>. Ainsi, le Plume national est accompagné<br />

d’une bonne dose de franchouille, Carmen de Biz<strong>et</strong> est harmonisé sur Swe<strong>et</strong> Gerogia Brown, le thème de<br />

Mission impossible est accouplé à James Bond, Le temps des gitans est passé en mode tango, Piazzolla est<br />

arabisé <strong>et</strong> Les nuits de Montréal, hymne célèbre d’un certain quartier des spectac<strong>les</strong>, vibrent sur la planète<br />

Tren<strong>et</strong>.<br />

A cela s’ajoutent <strong>les</strong> surprises que nous réserve un troisième album à paraître en octobre prochain. A<br />

quel genre d’évolution faut-il s’attendre ? « Je crois qu’on s’en va vers quelque chose de plus personnel. On<br />

reste accrochées au jazz <strong>manouche</strong>, mais on pousse un peu plus sur ses frontières pour aller vers des choses<br />

un peu plus jazz. On se donne aussi plus de liberté par rapport aux autres sty<strong>les</strong> qu’on incorpore à notre<br />

musique », répond <strong>Christine</strong>.<br />

Elle parle aussi de la maturité atteinte par son groupe au bout de presque dix ans d’existence : « On<br />

conserve notre côté festif, mais en même temps, on est capable d’aller vers des choses plus sensib<strong>les</strong> <strong>et</strong> plus<br />

intimes. En tant que solistes, on a évolué, on ose faire des choses qu’on ne faisait pas, on n’y pensait même<br />

pas, on n’avait pas la même maîtrise. » Voilà qui est de bon augure pour la suite des choses.


By Tony Montague, April 19, 2012<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> defied gypsy-jazz conventions<br />

Despite the name of her quart<strong>et</strong>—Les Imposteures—<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> adds a special authenticity to the<br />

April in Paris festival in Vancouver this weekend. She<br />

was born and raised in the French capital, where she<br />

began her musical journey as a teenager, playing<br />

classical guitar and singing her own compositions.<br />

Though she was aware of the work of <strong>manouche</strong><br />

<strong>swing</strong> guitarist Django Reinhardt, who died in 1953,<br />

gypsy jazz was no longer popular in the city where<br />

he’d spent most of his career.<br />

Ironically, it wasn’t until a few years after <strong>Tassan</strong><br />

moved to Montreal in 1995 that the music really hit<br />

home. “I’ve always been interested by music that’s<br />

improvised, and around 10 years ago I heard some <strong>manouche</strong> gypsies perform,” she recalls, reached at<br />

home. “That was it—I was compl<strong>et</strong>ely hooked.”<br />

<strong>Tassan</strong> started playing with three of her female friends, and though they didn’t intend it to be an all-girl group,<br />

things turned out that way. “Now it’s become a selling point for us and som<strong>et</strong>hing of political significance as<br />

well. There are very few women who play gypsy jazz. A Roma guy said it was not well regarded in his culture<br />

for a woman to be playing guitar on-stage, which made us all the more d<strong>et</strong>ermined.”<br />

It also suggested Les Imposteures’ name. “We’re girls and we’re not <strong>manouche</strong>,” <strong>Tassan</strong> explains. “Plus we’re<br />

not purists in that music. We love the style but come from pr<strong>et</strong>ty diverse musical backgrounds and try to bring<br />

som<strong>et</strong>hing of that vari<strong>et</strong>y to our music. We’re drawing on a large repertoire, which is not necessarily <strong>manouche</strong><br />

jazz in origin, though we interpr<strong>et</strong> it in that style.<br />

“Our inspiration comes very much from Django and [his longtime musical partner] Stéphane Grappelli, but you<br />

can feel influences from elsewhere,” she adds. “We mix genres a bit—for instance blending Django’s ‘Minor<br />

Swing’ with ‘Le Reel Mattawa’, written in a Québécois traditional vein. We compose quite a lot ourselves.”<br />

<strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures have released two albums of standards and originals. Le Journal de Montréal<br />

claimed their 2007 debut De Bon Matin was “b<strong>et</strong>ter than Prozac”, citing its joie de vivre. Critics nominated<br />

2009’s Pas Manouche, C’est Louche for an ADISQ award, the Quebec music industry’s equivalent of a Juno.<br />

It features a greater number of <strong>Tassan</strong>’s compositions, including the Latin-flavoured “La Chic Rumba”, and<br />

“Dingo de Django”, a witty paean to Reinhardt. “The stereotype for <strong>manouche</strong> jazz is songs played at<br />

breakneck speed all the time, but we want to show that there are other fac<strong>et</strong>s,” the guitarist says. “We like to<br />

cover a range of different emotions in the shows, so there are tender songs and ballads and tunes that groove<br />

too. The genius of Django for me is the freedom we sense in his music. It flows so easily, it feels so natural,<br />

like there’s no effort involved. It’s beautiful and melodic, and whatever it is you listen to, inspiration seems to<br />

fall out of the sky.”<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures play St. James Hall on Saturday and Sunday (April 21 and 22), as<br />

part of the sixth annual April in Paris festival.


Une belle <strong>et</strong> douce folie<br />

Opinion Écrit par Pierre Lauzon<br />

Laurentides, le 14 novembre 2011<br />

Si <strong>les</strong> Diffusions Amal’Gamme ne cessent de nous étonner par <strong>les</strong> découvertes<br />

qu’ils nous perm<strong>et</strong>tent de faire depuis plusieurs années, le public n’a jamais été<br />

aussi heureux que samedi soir dernier. Le bonheur se lisait sur <strong>les</strong> visages des<br />

gens. Les grandes responsab<strong>les</strong> de c<strong>et</strong>te espèce d’euphorie étaient <strong>Christine</strong><br />

<strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures, sans oublier leur jazz <strong>manouche</strong>.<br />

Ce type de jazz, ce <strong>swing</strong> des années trente, né en France <strong>et</strong> popularisé par<br />

Django Reinhardt <strong>et</strong> Stéphane Grappelli, se caractérise par l’absence de<br />

percussions <strong>et</strong> de cuivres. Quand nous pensons jazz <strong>manouche</strong>, nous avons<br />

immédiatement en tête tous ces hommes qui lui ont fait traverser toutes ces<br />

décennies, dont The Lost Fingers plus près de nous. Donc, quand quatre femmes prétendent vouloir jouer sur c<strong>et</strong>te patinoire musicale,<br />

il y a peut-être lieu de crier à l’imposture. Toutefois, c’est avant de <strong>les</strong> avoir entendues <strong>et</strong> surtout vues en spectacle, comme le bonheur<br />

nous fut donné dans la salle des Diffusions Amal’Gamme, à Prévost. Ces imposteures, ce sont <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, d’origine française,<br />

mais aujourd’hui totalement québécoise, à la guitare soliste <strong>et</strong> à l’inspiration du groupe, puisque huit des dix-huit pièces au programme<br />

de samedi soir étaient <strong>les</strong> siennes <strong>et</strong> rivalisaient fort bien avec toutes <strong>les</strong> autres. C’est aussi Martine Gaumond au violon <strong>et</strong> à sa touche<br />

toute personnelle, Lise-Anne Ross à la guitare rythmique <strong>et</strong> à son énergie à vendre, Blanche Baillargeon à la contrebasse <strong>et</strong> à sa<br />

vigueur étonnante.<br />

Nos quatre imposteures ont aussi en commun de chanter <strong>et</strong> d’avoir un sens inné pour la fête <strong>et</strong> pour la belle <strong>et</strong> douce folie. Dès leurs<br />

premières notes, dès leurs premiers mots, dits le plus souvent en stéréo ou dans un mouvement de la parole qui voltige de l’une à<br />

l’autre, comme dans leurs <strong>chansons</strong>, le public ne pouvait être que charmé. Pas une déprime, même automnale, ne saurait résister à<br />

l’énergie <strong>et</strong> à la joie de vivre qu’el<strong>les</strong> dégagent.<br />

Nous avons eu droit, toujours avec beaucoup de justesse <strong>et</strong> de virtuosité, au « Minor Swing » de Django Reinhardt, au « Libertango »<br />

d’Astor Piazzola <strong>et</strong> aux compositions enlevantes de <strong>Christine</strong>. Mais si je vous disais que « Les nuits de Montréal » de Jacques<br />

Normand <strong>et</strong> Char<strong>les</strong> Tren<strong>et</strong>, « Le rendez-vous » de Claude Léveillée <strong>et</strong> Gil<strong>les</strong> Vigneault, « Les blondes » d’Anne Sylvestre, « La<br />

maison sous <strong>les</strong> arbres » de Gilbert Bécaud, sans oublier une composition de Raymond Lévesque, « La vie de bohème », étaient à ce<br />

menu musical, me croiriez-vous ? Ce fut pourtant le cas <strong>et</strong> ce, au plus pur ravissement du public nombreux.<br />

Tout au long de c<strong>et</strong>te soirée, ce fut un feu roulant de c<strong>et</strong>te musique si particulière, mais si conquérante. Contrairement aux hommes du<br />

jazz <strong>manouche</strong> qui ont l’habitude de jouer d’une façon statique à leur place, nos quatre imposteures ont constamment des fourmis<br />

dans <strong>les</strong> jambes. El<strong>les</strong> n’hésitent pas à se déplacer fréquemment sur la scène <strong>et</strong> à aller même jusqu’à descendre rejoindre leur public<br />

pour leur communiquer, si c’est encore possible, leur belle folie. Lors du « Minor Swing » de Reinhardt, el<strong>les</strong> sont justement<br />

descendues de scène pour transformer c<strong>et</strong>te œuvre classique du maître en reel typiquement québécois <strong>et</strong> faire ainsi danser une jeune<br />

fille de la première rangée. Pendant ce temps, il était fort amusant de voir Blanche Baillargeon assise avec sa contrebasse <strong>et</strong> en jouer<br />

comme si c’était une grosse guitare. Vous l’ai-je dit que c’était une douce <strong>et</strong> belle folie ?<br />

Par ce cadeau des Fêtes avant le temps, par c<strong>et</strong>te si belle énergie <strong>et</strong> virtuosité, nos imposteures n’ont cessé de nous charmer<br />

également par leur humour, spontané à nos yeux <strong>et</strong> à nos oreil<strong>les</strong>. El<strong>les</strong> sont quatre bel<strong>les</strong> femmes, quatre musiciennes de très grand<br />

talent, quatre artistes qui nous donnent le goût de vivre <strong>et</strong> de dire que, malgré tout, mais surtout grâce à des gens comme el<strong>les</strong>, nous<br />

vivons dans un monde merveilleux. N’est-ce pas, Louis Armstrong ? Vous regr<strong>et</strong>tez, n’est-ce pas, d’avoir raté ce rendez-vous<br />

exceptionnel ? Soyez aux agu<strong>et</strong>s pour une prochaine visite près de chez nous ! Ne laissez pas c<strong>et</strong>te folie vous échapper ! En<br />

attendant, si vous écoutez le poste radiophonique sur le FM, Planète <strong>Jazz</strong>, au 91,9, vous aurez peut-être ce bonheur de <strong>les</strong> entendre,<br />

comme je l’ai eu en roulant sur la Quinze nord samedi dernier. Ce fut la joie de vivre au volant.


SAINT-PIERRE ET MIQUELON : au coeur des Déferlantes Atlantiques (2) - Par Henry<br />

Tilly – Juill<strong>et</strong> 2011<br />

Une énergie pour le moins contagieuse <strong>et</strong> pourtant une grande sensibilité<br />

dans <strong>les</strong> blues <strong>et</strong> ballades<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> ses complices sur la scène du chapiteau pour la soirée d'ouverture<br />

Ah ! Oui vraiment ! Riche idée que de faire ouvrir le bal<br />

par « <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> imposteures » ; il ne leur<br />

faut pas longtemps pour m<strong>et</strong>tre le feu au chapiteau. «<br />

Imposteures » ! Bon, comme c’est el<strong>les</strong> qui le disent, je<br />

veux bien <strong>les</strong> croire mais au moins au 3ème degré (si<br />

vous êtes sages je vous donnerai l’explication de ce<br />

qualificatif, telle que me l’a confiée <strong>Christine</strong> ellemême).<br />

Quoi qu’il en soit, tout le monde est bien d’accord, ici,<br />

pour dire que s’il y a imposture quelque part, elle n’est<br />

assurément pas musicale. Un <strong>swing</strong> à faire danser tout<br />

un cim<strong>et</strong>ière : présence scénique bien équilibrée,<br />

cohérence totale, belle technique, répertoire chaud<br />

constitué d’un bon cocktail de standards <strong>et</strong> de pièces<br />

plus rares dont un bon nombre de compositions<br />

origina<strong>les</strong> signées ou co-signées <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> … Une énergie pour le moins contagieuse <strong>et</strong> pourtant une grande<br />

sensibilité dans <strong>les</strong> blues <strong>et</strong> ballades.<br />

Ce quart<strong>et</strong> irrésistible a décidément beaucoup d’atouts dans son jeu….plus un. Qu’el<strong>les</strong> se m<strong>et</strong>tent à chanter, <strong>et</strong> el<strong>les</strong><br />

chantent beaucoup, alors on comprend tout de suite que ces quatre fil<strong>les</strong> puissent se faire « la vocale du diable » :<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> (guitare solo <strong>et</strong> voix); Line- Anne Ros (guitare rythmique <strong>et</strong> voix) ; Blanche Baillargeon (contrebasse <strong>et</strong><br />

voix) ; Andrée- Anne Tremblay (violon <strong>et</strong> voix, remplaçante de Martine Gaumont).<br />

Rappels <strong>et</strong> re-rappels ! On ne veut plus <strong>les</strong> lâcher mais le programme a ses exigences <strong>et</strong> il faut bien se résoudre à se<br />

quitter. Pour ma part, j’ai une consolation de taille : je <strong>les</strong> r<strong>et</strong>rouverai à Miquelon dimanche soir.<br />

Source :http://www.francomag.com/SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON-au-coeur-des-Deferlantes-Atlantiques-2_a363.html


Donc, nous voici au bar- dancing « Entre-Nous », chez<br />

Denis Revert, attendant le début du concert prévu à<br />

21h30. Nous sommes arrivés à Miquelon ce soir<br />

même par le « Cabestan » <strong>et</strong>, ignorant <strong>les</strong><br />

avertissements des amis sur <strong>les</strong> habitudes<br />

particulières du lieu, nous sommes ponctuels.<br />

SAINT-PIERRE ET MIQUELON : au coeur des Déferlantes Atlantiques (3) - Par Henry<br />

Tilly – Photos Henry <strong>et</strong> Françoise Tilly – Juill<strong>et</strong> 2011<br />

Les Imposteures peuvent revenir, el<strong>les</strong> sont désormais attendues<br />

Aïe! Si le bar est assez bien garni, la salle est<br />

quasiment vide. C’est une belle salle dont l’acoustique<br />

semble avoir été soignée, d’une capacité respectable<br />

pour un bourg de 600 âmes.<br />

La scène est d’une largeur <strong>et</strong> profondeur acceptab<strong>les</strong><br />

pour des groupes allant jusqu’au sext<strong>et</strong> voire sept<strong>et</strong>,<br />

compte tenu du matos nécessaire, mais en contre<br />

partie, un artiste seul ou un duo ne s’y sentiraient pas<br />

perdus. Face à la scène, un parqu<strong>et</strong> de danse, en<br />

chêne clair est entouré sur trois côtés par des tab<strong>les</strong>; au fond, face à la scène, la console sono qui semble de bonne<br />

capacité.<br />

Peu à peu, la salle se garnit <strong>et</strong> c’est à 22h30 environ que le spectacle peut commencer, à l’étonnement des artistes, un peu<br />

déroutées par c<strong>et</strong>te longue attente. Les spectateurs, désormais nombreux, occupent toutes <strong>les</strong> tab<strong>les</strong> mais restent<br />

soigneusement en bordure de piste, comme craignant de poinçonner le parqu<strong>et</strong> de danse avec <strong>les</strong> pieds de chaises, malgré<br />

<strong>les</strong> invitations pressantes des musiciennes qui, on <strong>les</strong> comprend, aimeraient avoir le public devant el<strong>les</strong>.<br />

La magie fonctionne à fond parce que ce sont des magiciennes<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> une merveilleuse guitariste <strong>et</strong> une personnalité rayonnante<br />

Rien n’y fait; alors la machine à <strong>swing</strong> se m<strong>et</strong> en route <strong>et</strong><br />

c<strong>et</strong>te belle musique, toutes oreil<strong>les</strong> il faut bien le dire,<br />

exerce encore sa magie. Attention! La magie n’est pas<br />

forcément au rendez-vous.<br />

Il faut aussi que <strong>les</strong> musiciens soient à la hauteur <strong>et</strong> là, dire<br />

simplement qu’el<strong>les</strong> le sont serait un euphémisme. La magie<br />

fonctionne à fond parce que ce sont des magiciennes.<br />

Et, tout comme à St-Pierre, deux jours avant, el<strong>les</strong><br />

enflamment la salle avec « It don’t mean a thing », « All of<br />

me », des standards de <strong>Jazz</strong>, des saucissons, comme on dit<br />

… mais dont on ne se lasse pas pour peu qu‘ils soient<br />

revisités avec talent, ce qui est le cas : « Les nuits de<br />

Montréal »( Emile Prudhomme/Jean Rafa- André Hornez/Paul Misraki), « Dingo de Django » (Clotilde Seille/<strong>Christine</strong><br />

<strong>Tassan</strong>), <strong>et</strong> même « La foule »( Michel Rivgauche/Angel Cabral), immortalisée par Piaf <strong>et</strong> rhabillée ici d’un bel arrangement;<br />

« La chic rumba », hommage de <strong>Christine</strong> à Chick Corea, en clin d’œil à « Armando’s rumba ».


«Les Imposteures» ont encore conquis un nouveau public ; si el<strong>les</strong> reviennent, el<strong>les</strong> seront attendues<br />

Blanche Baillargeon. : comme <strong>les</strong> croque-morts chantés par Steve Normandin, la<br />

bassiste n'a pas congé.<br />

Dans une soirée <strong>manouche</strong>, surtout dans ces conditions de relative intimité avec le<br />

public, il est difficile, pour <strong>les</strong> musiciens (musiciennes, en l’occurrence), d’échapper à «<br />

Minor <strong>swing</strong> »; ce n’est sûrement pas moi qui m’en plaindrai quand ça me perm<strong>et</strong><br />

d’ajouter à mon anthologie personnelle une nouvelle version rafraîchissante.<br />

Perm<strong>et</strong>tez-moi d’en profiter pour tenir ma promesse <strong>et</strong> vous livrer <strong>les</strong> confidences que<br />

m’a faites <strong>Christine</strong> sur l’origine de l’appellation « Imposteures ».<br />

Le monde <strong>manouche</strong> serait plutôt un tantin<strong>et</strong> macho <strong>et</strong> il y serait plutôt inconcevable que <strong>les</strong> femmes deviennent<br />

musiciennes; de là à considérer ces quatre fil<strong>les</strong> qui ont osé transgresser, même si el<strong>les</strong> ne sont pas <strong>manouche</strong>s, comme des<br />

imposteures, il n’y avait qu’un pas qu’el<strong>les</strong> ont franchi el<strong>les</strong>-mêmes !<br />

Vu sous c<strong>et</strong> angle, je serais tenté de dire très fort que lorsqu’on écoute une musique de c<strong>et</strong>te qualité <strong>et</strong> dans une<br />

présentation scénique à la fois si conviviale <strong>et</strong> si stimulante, on n’est pas tenté de s’interroger sur le sexe des anges qui en<br />

jouent.<br />

Les anges en question ont pris le public sous leur charme <strong>et</strong> si, l’heure tardive aidant, quelques spectateurs ont décroché<br />

pour cause de travail ce lundi matin, l’essentiel est resté <strong>et</strong> <strong>les</strong> rappels se succèdent. « Les Imposteures » ont encore<br />

conquis un nouveau public ; si el<strong>les</strong> reviennent, el<strong>les</strong> seront attendues. « Les Déferlantes » ont encore marqué un bel essai.<br />

Source : http://www.francomag.com/SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON-au-coeur-des-Deferlantes-3_a364.html


Le 10 mai 2011<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures s'amènent à Saint-Casimir<br />

Écrit par Valérie Paqu<strong>et</strong>te<br />

Lancée par la charmante Emilie Clepper puis soutenue par le<br />

bluesman Martial Sancey, la série Coups de Cœur 2011 de<br />

l’Ardoise prendra fin ce samedi. Alors que <strong>les</strong> planches du centre<br />

d’alphabétisation se feront c<strong>et</strong>te fois fouler par <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong><br />

Les Imposteures, <strong>les</strong> murs, eux, en profiteront sans doute pour<br />

ouvrir grand leurs oreil<strong>les</strong> <strong>et</strong> vibrer au rythme du jazz <strong>manouche</strong> du<br />

quatuor.<br />

Vous ne connaissez pas <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures?<br />

Sachez tout d’abord qu’on dit de la formation toute féminine qu’elle<br />

rassemble des musiciennes qui s’éclatent <strong>et</strong> qui savent livrer un<br />

concert endiablé <strong>et</strong> virtuose. Fascinées par la musique du célèbre<br />

Django Reinhardt, père du jazz <strong>manouche</strong>, <strong>les</strong> quatre complices<br />

qui débarqueront sous peu à Saint-Casimir prom<strong>et</strong>tent donc de<br />

livrer bon nombre de pièces instrumenta<strong>les</strong> <strong>et</strong> de <strong>chansons</strong> qui<br />

seront autant d’hommages à leur idole.<br />

Avec ses deux guitares, sa contrebasse, son violon <strong>et</strong> ses quatre voix, la formation à laquelle donnent vie<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures ne cesse d’impressionner. Et il y a de quoi! Les musiciennes ont présenté<br />

plus de deux cents spectac<strong>les</strong> dont certains lors d’événements d’envergure nationale <strong>et</strong> internationale. Festival de<br />

<strong>Jazz</strong> de Montréal, Festival de <strong>Jazz</strong> de Lévis <strong>et</strong> Carrefour mondial de l’accordéon de Montmagny sont d’ailleurs de<br />

ce nombre! À l'heure où la France peut déjà se vanter d'avoir reçu le quatuor en ses terres, gageons que <strong>les</strong><br />

responsab<strong>les</strong> de l’Ardoise sont plus que fébri<strong>les</strong> à l'idée d'accueillir à leur tour l’énergie <strong>et</strong> le talent de son ultime<br />

Coup de Cœur de l’année.<br />

Si vous êtes un adepte de la première heure du quatuor, vous connaissez sans doute déjà « De bon matin ».<br />

Alors que le premier album signé <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures a connu un succès enviable auprès des<br />

amateurs de jazz, le second opus des complices, « Pas <strong>manouche</strong>, c’est louche », a été mis en nomination au<br />

Gala de l’ADISQ 2010. C’est donc dire que l’aisance avec laquelle improvisent <strong>et</strong> chantent <strong>les</strong> quatre femmes fait<br />

tant le bonheur du public que de leurs pairs.<br />

Lors de leur passage à Saint-Casimir, il faut s’attendre à ce que <strong>les</strong> quatre joyeuses musiciennes poussent<br />

l’humour <strong>et</strong> l’énergie de leur jazz <strong>manouche</strong> au maximum. Avec des <strong>chansons</strong> origina<strong>les</strong> aux riches harmonies<br />

voca<strong>les</strong> <strong>et</strong> des reprises qui surprendront même <strong>les</strong> plus avertis, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures prom<strong>et</strong>tent<br />

de faire voyager <strong>les</strong> spectateurs de l’Ardoise sur <strong>les</strong> chemins de traverse. Vous laisserez-vous tenter par l’univers<br />

coloré <strong>et</strong> surprenant de ces quatre grandes « imposteures »?<br />

Ce samedi, soit le 14 mai, c’est à 20 h 00 que débutera le spectacle. Le coût des bill<strong>et</strong>s <strong>et</strong> de 10 $ pour <strong>les</strong><br />

membres <strong>et</strong> de 15 $ pour <strong>les</strong> non membres. Pour réserver le vôtre, composez le 418 339-2770 ou le 1 855 339-<br />

2770 (sans frais)


L’Action Régionale, Montérégie<br />

Le 30 novembre 2010<br />

Quatre musiciennes en territoire <strong>manouche</strong><br />

Laurence Guay-Char<strong>et</strong>te<br />

Culture > Arts de la scène<br />

Les Français connaissent déjà le style tandis que <strong>les</strong><br />

Québécois le découvrent. Ce style, c’est le jazz <strong>manouche</strong><br />

qu’interprètent <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures, de<br />

passage à Mont-Saint-Hilaire à la salle Arts Station.<br />

«Chacune a sa place comme chanteuse <strong>et</strong> comme<br />

musicienne.» C’est ce que raconte la directrice musicale <strong>et</strong><br />

guitariste soliste du groupe, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, à qui le Journal a<br />

parlé.<br />

Le groupe est formé de quatre musiciennes qui manient aussi<br />

bien l’improvisation, le chant <strong>et</strong> <strong>les</strong> instruments. Martine<br />

Gaumond au violon, Lise-Anne Ross à la guitare rythmique <strong>et</strong><br />

Blanche Ballargeon à la contrebasse complètent la formation.<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> a été inspirée par Django Reinhardt, un des grands noms du jazz <strong>manouche</strong>. C<strong>et</strong> artiste a laissé<br />

sa trace dans <strong>les</strong> années 30 <strong>et</strong> 40 en mélangeant le jazz, le <strong>swing</strong> <strong>et</strong> l’influence gitane. Beaucoup disent de<br />

Reinhardt qu’il est le père du jazz <strong>manouche</strong>. Pour <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, «c’est un génie, un très grand compositeur.»<br />

Le jazz <strong>manouche</strong> est beaucoup plus connu en France à cause des origines françaises de Django Reinhardt.<br />

«C’est une musique assez <strong>swing</strong>, qui se danse quasiment. C’est du jazz donc il y a beaucoup d’improvisation <strong>et</strong><br />

c’est en même temps très accessible», explique <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>.<br />

«C’est une belle musique à écouter, une musique vivante», de dire la guitariste à propos du style musical de son<br />

groupe. Elle affirme n’avoir jamais eu de problème à faire connaître <strong>et</strong> accepter sa musique qui était tout d’abord<br />

du jazz <strong>et</strong> qui a tranquillement évolué. Au moins 250 spectac<strong>les</strong> de <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures ont déjà<br />

été présentés, estime-t-elle.<br />

Depuis l’âge de 11 ans, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> écrit, compose <strong>et</strong> interprète des <strong>chansons</strong>. Elle a une formation en<br />

guitare classique <strong>et</strong> en blues. «J’ai papillonné à travers différents sty<strong>les</strong>», avoue-t-elle. Elle a appris de façon<br />

autodidacte, ce qui est souvent le cas dans le domaine musical.<br />

Depuis 2003, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures se promènent dans diverses vil<strong>les</strong> pour y présenter leurs<br />

spectac<strong>les</strong>. Une tournée en France a même figuré dans leurs plans en 2008. Leur dernier album, Pas <strong>manouche</strong>,<br />

c’est louche, a d’ailleurs été chaudement accueilli par la critique.<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures seront à Arts Station à Mont-Saint-Hilaire le 4 décembre. Pour plus<br />

d’informations, visitez le www.artstation.ca.


CBC Saskatchewan presents <strong>Jazz</strong> Manouche - October 1, 2010<br />

CBC Saskatchewan and Radio-Canada are proud to present an evening of gypsy jazz<br />

performed by two amazing groups on Saturday, October 1st, 7:30 PM at The Broadway<br />

Theatre in Saskatoon.<br />

The two acts represent both English and Francophone musicians with roots on the<br />

prairies and in Quebec. The Hot Club of Edmonton is a group of four spirited players<br />

mainly from the Alberta capital. <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> & <strong>les</strong> Imposteures are an all-female<br />

gypsy jazz and vocal ensemble from Montreal.<br />

Tick<strong>et</strong>s are available in advance for $15.00 at the Box office and by calling (306) 652-<br />

6556 or at the door for $19.00.<br />

The Hot Club of Edmonton is led by guitarist Clinton Pell<strong>et</strong>ier and Daniel Gervais on<br />

fiddle. The group's repertoire is strongly influenced by the steamy music of the Thirties<br />

as popularized by the great Django Reinhardt and Stephane Grappelli. But the four<br />

musicians also bring to the table a rich musical background. Clinton is a guitar virtuoso<br />

with M<strong>et</strong>is roots and a strong connection to the Prince Albert region of northern<br />

Saskatchewan. He has toured extensively with the world-renowned group Barrage. Daniel is a phenomenal musician and<br />

composer. His musical roots range from traditional French-Canadian and Métis fiddle music to jazz and classical.<br />

Backed by a solid rhythm section - Keith Rempel on bass and Freddie Pell<strong>et</strong>ier on rhythm guitar - Daniel and Clinton have<br />

created an amazing amalgam reminiscent of Django & Stéphane's early ground-breaking work but with a distinctly new<br />

approach and fresh energy, a throwback to the music of the Hot Club of France with a unique Prairie twist.<br />

The story of <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> & <strong>les</strong> Imposteures is equally fascinating. <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> emigrated from her native Europe<br />

to Montreal in 1994 bringing her love of the great French standards and <strong>Jazz</strong> Manouche. She eventually teamed up with<br />

traditional and classical violinist extraordinaire Martine Gaumond, jazz guitarist Lise-Ann Ross and bassist Blanche<br />

Baillargeon (Marc Dery, Mimosa). The name "Imposteures" is a not-so-subtle jab at the long-standing tradition of Gypsy<br />

<strong>Jazz</strong> as a male-only domain. Brushing aside this taboo, these four talented young women were so smitten by this infectious<br />

acoustic jazz music that they dove into the genre headfirst and formed Canada's only female Gypsy jazz ensemble.<br />

They arrange and play gypsy jazz classics in their own unique way but they also have a beautiful repertoire of French vocal<br />

standards that they perform marvellously, often in four-part harmony. Their stage act is full of spirit, humour and<br />

camaraderie and they readily engage the audience, often venturing into the crowd while playing, making for a very down to<br />

earth but uplifting musical experience.<br />

The musical me<strong>et</strong>ing of these two groups on the Broadway stage promises to be breathtaking. An evening where jazz,<br />

chanson francaise and other musical influences that have shaped these great performers rises and shines to create an<br />

unforg<strong>et</strong>table evening of Gyspy <strong>Jazz</strong> on Broadway!


11 août 2010 Québec<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures au Festival <strong>Jazz</strong> Etc<strong>et</strong>era de Lévis<br />

Avant d’avoir le coup de foudre pour le jazz <strong>manouche</strong> <strong>et</strong> de fonder <strong>les</strong> Imposteures,<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> (à droite) a joué de la guitare classique <strong>et</strong> fait de la chanson, ce qui l’a<br />

amenée en finale du Concours de Granby. Photo : Pierre-Alexandre Poirier, FIJM<br />

Régis Tremblay, collaboration spéciale Le Soleil –<br />

(Québec) On peut être précurseur tout en étant résolument rétro! En<br />

ressuscitant chez nous le <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong> de Django Reinhardt, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong><br />

<strong>et</strong> ses Imposteures ont montré la voie aux Lost Fingers. «On se fait dire qu’on<br />

surfe sur la vague <strong>manouche</strong> soulevée par <strong>les</strong> Lost Fingers... alors que nous étions là dès 2003!», tient à préciser la guitariste<br />

<strong>et</strong> chanteuse.<br />

2003. C’était l’année du 50e anniversaire de la mort de Django Reinhardt, le guitariste <strong>et</strong> acolyte du violoniste Stéphane<br />

Grappelli, qui ont inventé le jazz <strong>manouche</strong>, dans le Paris des années 30. Car c’est bel <strong>et</strong> bien de France que le <strong>manouche</strong> a<br />

déferlé sur le monde, <strong>et</strong> c’est encore là qu’il a ressurgi en ce début de troisième millénaire, grâce à des ensemb<strong>les</strong> comme<br />

Les Pommes de ma douche.<br />

«En 2003, je suis allée au Festival d’été de Québec pour assister à un spectacle hommage à Django, avec Romane, Angelo<br />

Debarre <strong>et</strong> Stochelo Rozenberg. Je suis revenue à Montréal si excitée que je n’en ai pas dormi pendant trois jours! Et c’est à<br />

ce moment-là que j’ai décidé de fonder Les Imposteures», raconte <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, une Française d’origine italienne<br />

(comme Grappelli) qui a émigré au Québec en 1995. Les bel<strong>les</strong> «Imposteures» seront au Festival <strong>Jazz</strong> Etc<strong>et</strong>era de Lévis,<br />

dimanche, à 14h, sur la scène extérieure Desjardins.<br />

Pendant que <strong>Christine</strong> Tissan joue de la guitare solo à la Django, c’est Martine Gaumont qui joue du violon selon Grappelli,<br />

alors que Lise-Ann Ross tient la guitare rythmique <strong>et</strong> Blanche Baillargeon, la contrebasse. Un quatuor tout féminin est chose<br />

rare <strong>et</strong> précieuse, pour ne pas dire unique <strong>et</strong> curieuse, en jazz comme ailleurs. «En jazz comme en musique populaire, il y a<br />

beaucoup de fil<strong>les</strong> qui chantent, mais très peu sont instrumentistes, contrairement à ce qu’on r<strong>et</strong>rouve sur la scène<br />

classique. Il est donc très rare de trouver des fil<strong>les</strong> capab<strong>les</strong> d’improviser avec un instrument», raconte la guitariste Tissan,<br />

qui dit «espérer susciter des vocations».<br />

Beaucoup de liberté<br />

Il faut savoir cependant qu’une prestation des bel<strong>les</strong> Imposteures comporte aussi beaucoup de chant. «Nous jouons sur<br />

l’humour, en reprenenant à notre façon des <strong>chansons</strong> comme Les blondes, d’Anne Sylvestre, ou L’hiver de Plume<br />

Latraverse. On le fait parce qu’on aime ça, en toute complicité. On se perm<strong>et</strong> beaucoup de liberté, on change même un<br />

tango en <strong>swing</strong>, tel le Libertango d’Astor Piazzolla!», ajoute <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, qui ne se gêne pas non plus pour parler au<br />

public, entre chaque prestation.<br />

Le <strong>manouche</strong>, c’est entraînant, enlevé, optimiste : en un mot, c’est <strong>swing</strong>. Mais c<strong>et</strong>te musique comporte parfois une note<br />

nostalgique, très perceptible dans des pièces célèbres comme Nuages <strong>et</strong> Le Manoir de mes rêves. «Les gens apprécient<br />

beaucoup ce côté plus sentimental, <strong>et</strong> ce sont souvent ces pièces qui soulèvent <strong>les</strong> applaudissements <strong>les</strong> plus chaleureux»,<br />

témoigne la guitariste <strong>et</strong> chanteuse.<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures promènent leur <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong> à longueur d’année, mais el<strong>les</strong> sont avant tout des<br />

«fil<strong>les</strong> d’été», faisant tous <strong>les</strong> festivals en plein air, que ce soit à Montréal, à Toronto <strong>et</strong> même en Europe. C<strong>et</strong>te année, el<strong>les</strong><br />

ont célébré la Saint-Jean-Baptiste sur une scène... torontoise, avant de se faire remarquer au Festival international de jazz<br />

de Montréal, le 2 juill<strong>et</strong>. Les bel<strong>les</strong> Imposteures seront donc tout à fait à leur aise sur la scène extérieure du Festival <strong>Jazz</strong><br />

Etc<strong>et</strong>era de Lévis, dimanche après-midi.


9 août 2010<br />

Des « imposteures » qui ont bien leur place!<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, la leader du groupe, prom<strong>et</strong> une<br />

performance dynamique. (Photo:Jacques Pharand)<br />

Daphnée Tranchemontagne<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> imposteures<br />

débarquent à Saint-Léonard<br />

Attachez vos tuques avec de la broche, une vague d’énergie<br />

déferlera sur Saint-Léonard! Le quatuor féminin <strong>Christine</strong><br />

<strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> imposteures sera au parc Wilfrid-Bastien pour<br />

nous livrer leur jazz <strong>manouche</strong> le 10 août prochain à 20 h 30<br />

dans le cadre de l’événement « Plein la vue en plein air ».<br />

Bien qu’encore peu connu des Québécois, le courant <strong>manouche</strong> se taille, depuis quelques années, une place dans notre<br />

paysage musical. En eff<strong>et</strong>, le jazz <strong>manouche</strong> est très populaire en Europe, particulièrement en France où tout a débuté. Il<br />

s’agit d’une musique <strong>swing</strong> acoustique qui s’inspire de la tradition gitane. <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> imposteures se distingue<br />

des autres formations <strong>manouche</strong> parce qu’elle est entièrement composée de femmes. « Dans le monde du jazz, il est rare<br />

de trouver des femmes. Il y a quelques chanteuses mais très peu de musiciennes », déclare <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>. Au début, c’est<br />

par pur hasard qu’el<strong>les</strong> se sont r<strong>et</strong>rouvées à n’être que des fil<strong>les</strong> dans le groupe. Toutefois, c’est maintenant rendu leur<br />

marque de commerce.<br />

Des « imposteures » qui ne se prennent pas trop au sérieux<br />

Le groupe, qui roule sa bosse depuis 2003, ne se prend pas trop au sérieux. Étant des femmes dans un milieu d’hommes <strong>et</strong><br />

ne descendant pas d’une longue lignée de gitans, <strong>les</strong> fil<strong>les</strong> se décrivent comme étant des « imposteures ». Cependant, <strong>les</strong><br />

quatre musiciennes ont su trouver un équilibre en alliant humour, virtuosité <strong>et</strong> en mélangeant différents sty<strong>les</strong> qui<br />

proviennent de leurs influences musica<strong>les</strong> distinctes. « Chaque membre du groupe apporte son bagage <strong>et</strong> ça nous perm<strong>et</strong><br />

de nous renouveler », confie la leader de la formation. C’est parce que le jazz <strong>manouche</strong> laisse une grande place à<br />

l’improvisation que ce style colle si bien au quatuor.<br />

Un spectacle pas comme <strong>les</strong> autres<br />

Lorsqu’on lui demande à quoi peuvent s’attendre <strong>les</strong> Léonardois lors du spectacle du 10 août, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> répond : « Il<br />

s’agit d’un show varié, on passe par toutes sortes d’émotions. Ce qu’on souhaite, c’est amener <strong>les</strong> gens avec nous sur le<br />

chemin des gitans ». Fidèle à la tradition métissée des gitans, la principale intéressée nous prom<strong>et</strong> une performance<br />

dynamique où se côtoieront <strong>et</strong> surtout, se mélangeront divers sty<strong>les</strong> musicaux. « On a beaucoup d’énergie à évacuer sur<br />

scène. Quand on joue, on joue! » renchérit la leader du groupe.<br />

Pour avoir plus d’information sur le groupe <strong>et</strong> <strong>les</strong> arrêts de la tournée, visitez leur site Intern<strong>et</strong> à l’adresse suivante :<br />

www.christin<strong>et</strong>assan<strong>et</strong><strong>les</strong>imposteures.com<br />

« Pas <strong>manouche</strong>, c’est louche! » Lieu : Parc Wilfrid-Bastien Date : 10 août 2010 Heure : 20h30<br />

Coût : Gratuit


France, le 7 juill<strong>et</strong> 2010<br />

A l'occasion du centième anniversaire de la naissance du guitariste virtuose Django Reinhardt, père du jazz <strong>manouche</strong>, le<br />

Festival international de jazz de Montréal a présenté c<strong>et</strong>te année une nouvelle génération de musiciens qui dépoussièrent<br />

le style. Avec leurs habits d'époque, <strong>les</strong> membres de la formation parisienne Caravan Palace semblent tout droit sortis d'un<br />

film des années 1940. Le sextuor, qui combine parfaitement le jazz <strong>manouche</strong> aux rythmes électroniques, a donné deux<br />

concerts gratuits devant des milliers de Montréalais. "Beaucoup de guitaristes de ma génération ont été charmés par le<br />

style <strong>manouche</strong>. C'est une musique acoustique, qui perm<strong>et</strong> d'improviser partout", remarque le guitariste du groupe, Arnaud<br />

Vial. Les membres de Caravan Palace se sont ainsi érigés en anthropologues des bel<strong>les</strong> années du jazz <strong>manouche</strong> <strong>et</strong> du<br />

<strong>swing</strong>. "On aime le son des vieux gramophones <strong>et</strong> l'on veut r<strong>et</strong>rouver la texture sonore des années 1930 <strong>et</strong> 1940 dans notre<br />

musique", dit à l'AFP la chanteuse du groupe, Sonia Fernandez Velasco. Jean Reinhardt, mieux connu sous le nom de<br />

Django, était un guitariste <strong>manouche</strong> belge qui a fait carrière en France.<br />

Durant <strong>les</strong> années 1930 <strong>et</strong> 1940, il a créé une toute nouvelle façon d'aborder le jazz, à la tzigane. Sans batterie, le style est<br />

principalement rythmé par <strong>les</strong> guitares acoustiques. Django Reinhardt est mort à Samois-sur-Seine, au sud de Paris, en<br />

1953. Son p<strong>et</strong>it-fils, David Reinhardt, était lui aussi présent c<strong>et</strong>te année au Festival de jazz. Il a rendu hommage à son grandpère,<br />

accompagné du guitariste Christian Escoudé <strong>et</strong> de l'accordéoniste Marcel Azzola. Même s'il reconnaît son importance,<br />

le jeune musicien de 23 ans ne veut surtout pas qu'on lui colle l'étiqu<strong>et</strong>te du jazz <strong>manouche</strong>. "Je ne veux pas réinventer le<br />

style de Django, j'essaie d'inventer le mien", explique-t-il. "On me demande toujours de faire des hommages à mon grandpère,<br />

je commence à en avoir marre. J'enregistre avec une orchestration différente, avec une guitare électrique à<br />

l'américaine", poursuit-il. Trio de jazz <strong>manouche</strong> originaire de la ville de Québec, The Lost Fingers a adopté un style qui<br />

respecte à la l<strong>et</strong>tre l'héritage musical de Django Reinhardt. Ce qui <strong>les</strong> rend si spéciaux, c'est qu'ils reprennent des morceaux<br />

issus du répertoire pop des années 1980. Depuis quelques années, ils parcourent la planète pour présenter des classiques<br />

de Samantha Fox ou Michael Jackson, à la sauce gitane. "On reprend souvent des pièces qui ont mal vieilli. Toutefois, le jazz<br />

<strong>manouche</strong> leur donne une nouvelle peau. La musique acoustique est universelle", indique le guitariste Byron Mikaloff.<br />

Le quatuor <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> <strong>les</strong> Imposteures propose quant à lui un jazz <strong>manouche</strong> 100% féminin. Influencée par la<br />

musique classique <strong>et</strong> la chanson française, la formation aborde le style avec humour avec le spectacle "Pas <strong>manouche</strong>, c'est<br />

louche". "Dans la tradition gitane, <strong>les</strong> femmes ne sont pas autorisées à jouer de la guitare en public. On veut montrer<br />

qu'el<strong>les</strong> sont capab<strong>les</strong> de faire du jazz <strong>et</strong> d'improviser", explique la chanteuse <strong>et</strong> guitariste <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>. "La musique ne<br />

doit pas rester figée. Django lui-même avait une grande liberté. Il piochait dans la musique classique <strong>et</strong> dans le jazz<br />

américain pour créer une oeuvre assez simple <strong>et</strong> festive", dit-elle. "Si l'on doit parler d'une figure incontournable, Django<br />

est un des musiciens <strong>les</strong> plus influents de l'histoire du jazz, soutient le directeur artistique du Festival de jazz, André<br />

Ménard. "Même s'il n'est pas Américain, je le m<strong>et</strong>trais presque à la hauteur de Mi<strong>les</strong> Davis." Le 31e Festival de Montréal<br />

s'est terminé mardi soir.<br />

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/07/07/la-nouvelle-vague-du-jazz-<strong>manouche</strong>-a-deferle-sur-le-festival-demontreal_3246_88_42913051.html


Montréal, 29 juin 2010<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures: Django au féminin<br />

JESSICA ÉMOND-FERRAT - MÉTRO -29 juin 2010 22:46<br />

Voilà une dizaine d’années que <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> a découvert Django Reinhardt... <strong>et</strong> le jazz <strong>manouche</strong> du même<br />

coup. «J’étais déjà guitariste, mais il y a une telle virtuosité dans c<strong>et</strong>te musique qu’il a fallu que je réapprenne<br />

toute la technique!» se souvient la musicienne. Mais <strong>les</strong> défis n’ont jamais fait peur à <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, qui adore<br />

la variété <strong>et</strong> qui joue avec plusieurs formations musica<strong>les</strong> de sty<strong>les</strong> différents.<br />

Blanche Baillargeon (contrebasse), Lise-Anne Ross<br />

(guitare rythmique), Martine Gaumond?(violon) <strong>et</strong><br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> (guitare solo) forment le quatuor Les<br />

Imposteures.<br />

«Le fait de faire plusieurs genres de musique, ça<br />

nourrit l’inspiration, explique-t-elle. Mais ces temps-ci,<br />

je me consacre principalement aux Imposteures.» Les<br />

Imposteures, ce sont quatre fil<strong>les</strong> qui font du jazz<br />

<strong>manouche</strong>. Leur second album, Pas <strong>manouche</strong>, c’est<br />

louche, est paru en novembre dernier.<br />

«Le fait que nous ne soyons que des fil<strong>les</strong> est un<br />

hasard. Nous étions simplement des copines qui<br />

faisions de la musique ensemble, mais maintenant, ça<br />

fait partie de notre concept, raconte la guitariste. On<br />

fait beaucoup d’instrumental dans nos spectac<strong>les</strong><br />

parce qu’on ne veut pas devenir un “groupe de chanteuses”. Il y en a tellement, alors que des fil<strong>les</strong> qui font du<br />

jazz <strong>manouche</strong>, il y en a très peu!»<br />

Québécoise d’adoption mais Française d’origine, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> évoque beaucoup le Québec dans ses<br />

<strong>chansons</strong>. «La musique <strong>manouche</strong> n’est pas encore très bien connue ici alors qu’en Europe elle existe depuis<br />

des dizaines d’années, rappelle-t-elle. C’est donc important pour nous que notre musique ait une particularité<br />

québécoise.»<br />

La musicienne est très enthousiaste à l’idée de jouer au Festival dejazz, où le groupe aura comme invité spécial<br />

le pianiste François Bourassa. «En spectacle, nous misons beaucoup sur l’humour. Nous avons une belle<br />

complicité entre nous, <strong>et</strong> je crois que ça se sent, dit-elle, ajoutant qu’elle espère que le festival leur perm<strong>et</strong>tra de<br />

faire connaître leur musique à des mélomanes curieux. À bon entendeur...<br />

<strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> Les Imposteures<br />

À L’Astral<br />

Vendredi à 18 h


1 5 m a r s 2 0 1 0


LE P R E S S E / L E D R O I T , 2 j a n v i e r 2 0 1 0<br />

Par Marc-André-Joanisse


L E J O U R N A L D E M O N T R E A L , s e p t . 2 0 0 9<br />

P a r C h r i s t o p h e R o d r i g u e z


L E D R O I T , 3 1 o c t o b r e 2 0 0 9<br />

P a r M a r c - A n d r é - J o a n i s s e


L E S O L E I L , 1 0 o c t o b r e 2 0 0 9<br />

Par Michel Truchon


L E D E V O I R , 1 6 o c t o b r e 2 0 0 9<br />

Par Yves Bernard


D J A N G O S T A T I O N . C O M , o c t . 2 0 0 9<br />

Par Stoche<br />

publié par stoche sur DjangoStation.com (Site intern<strong>et</strong> français)<br />

Après l’excellente surprise du premier opus De bon matin, <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong> <strong>et</strong> ses Imosteures nous reviennent c<strong>et</strong><br />

automne avec une nouvelle production made in Grand Froid qui annonce la couleur : Pas <strong>manouche</strong>, c’est louche !<br />

F N A S A T - G e n s d u v o y a g e - O c t o b r e 2 0 0 9<br />

F é d é r a t i o n n a t i o n a l e d e s a s s o c i a t i o n s s o l i d a i r e s d ' a c t i o n<br />

a v e c l e s T s i g a n e s e t l e s G e n s d u v o y a g e<br />

p a r F r a n c i s C o u v r e u x<br />

Leur premier disque avait apporté une bouffée d'air frais dans l'univers très masculin du <strong>swing</strong> <strong>manouche</strong>. <strong>Christine</strong> <strong>Tassan</strong>, la<br />

chef à la jolie voix <strong>et</strong> à la guitare itou, <strong>et</strong> ses p<strong>et</strong>ites camarades (Lise Anne Ross, guitare d'accompagnement, voix, Martine<br />

Gaumond, violon, voix, <strong>et</strong> Blanche Baillargeon, la p<strong>et</strong>ite nouvelle à la contrebasse) confirment avec ce nouveau disque tout le<br />

bien qu'on pensait d'el<strong>les</strong> ; si <strong>les</strong> demoisel<strong>les</strong> ont progressé sur tous <strong>les</strong> plans (harmonies voca<strong>les</strong> aux p'tits oignons, mise en<br />

place, niveau instrumental), el<strong>les</strong> ont conservé leur fraîcheur, leur humour <strong>et</strong> leur enthousiasme ; un peu <strong>les</strong> frères Jacques au<br />

féminin avec le <strong>swing</strong> de Tren<strong>et</strong>. Le répertoire très varié alterne <strong>chansons</strong> <strong>swing</strong>uées (cf Dingo de Django que ne renierait pas<br />

un Sansévérino) <strong>et</strong> instrumentaux (cf l'île au lilas où <strong>les</strong> fil<strong>les</strong> sont très en verve), compos origina<strong>les</strong> <strong>et</strong> reprise inhabituel<strong>les</strong>.<br />

Mademoiselle <strong>Tassan</strong> signe ou cosigne 8 titres sur <strong>les</strong> 13 de l'album ; <strong>et</strong> ça tient la route ! (cf Blues for fun, La chic rumba, Bord<br />

de seine, remarquable ballade où violon <strong>et</strong> guitare rivalisent de sentiment, ou La charmante, valse très inspirée de Muréna). Si<br />

elle a des doigts (cf son chorus enlevé sur Les chemins de traverse), <strong>Christine</strong> a surtout un son, assez roots, <strong>et</strong> une sensibilité<br />

très féminine qui s'exprime dans un joli phrasé détaché <strong>et</strong> chantant.<br />

Ca nous change un peu des killers de la 6 cordes qui confondent trop souvent musique <strong>et</strong> gymnastique. Au niveau des<br />

reprises, le choix est judicieux : Puttin on the ritz, le temps des gitans de Goran Bregoviuc, <strong>les</strong> blondes d'Anne Sylvestre dans<br />

une version très réussie avec un joli solo d'un pianiste invité (un vibraphoniste <strong>et</strong> un sax sont aussi venus donner le coup de<br />

main sur quelques titres), Rimes de Nougaro <strong>et</strong> A.Romano dans une relecture personnelle avec chorus <strong>et</strong> contrechants<br />

poétiques. A la fin du disque, attendez un peu car il y a un morceau caché en bonus, un Minor <strong>swing</strong> d'excellente facture qui<br />

vire d'un seul coup au trad irlandais. Bref, une gal<strong>et</strong>te rafraîchissante qui donne bigrement envie de revoir ces délicieuses<br />

imposteures de ce côté ci de l'Atlantique.<br />

Francis Couvreux<br />

Source: www.fnasat.asso.fr

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!