LE FER ROUGE - Bibliothèque de Toulouse

Ylepuis q ne les Semoules
Y
les enfantsurméme.t à l'article 1341 du code civil
abandonnent da'otir on jonc l'inslia- sera mise à la disposition de
trier laique, F,ollo école tombe d'elle. ! tr:,tion pour faim, droit à la demande
nmmu; oa0elo qu lqu s .t l up
preeam r sera titrée, 11 n y a
an-
lu,
uun obsal I1 agit d r L L: e a
fait accompli et de n,nttve n école
e
pleine de vie et d'aven ir à la pleur d'nup
école morte,
Cette, t t t f - I r
lement sans bourse deli mais cornu ed
réalisation des
Lcon,mies,En
anal l'Ccele
laique actuelle colite pour l'inslitntrice,
1,000 pour une adjointe, 700 fr. ;
pour bidet cité de logement, 100 7e. ;
Total, 1,800 le.
Or, aux termes de la délibération du
conseil de fabrique, 1,700 fr, sufdront
pour vous assurer le concours des reli-
«troues qui desservent l'école congréga-
niste.
Reste nue dernière question. Que 1'e-
ent.vous
du
local dans lequel. était et..
ôtée l'école b ,que, local que vara payez
630 fr. ; d'après Is renseignements qui
nous ont été donnés rien ne sera plus
aisé que de le sous-louer moere ove' bé-
néfice. Et dans ee cas, il n'est pas " Il.
file de faire ressortir l'économie et le
profil réel que vous réaliser..
Agjourd'bui .cote école de Croix-D,,.
rade est une de celles où l'enseignement
est
le plus cher. Il
revient à
5U c. par élève. Dons la nouvelle école
qne vous allez acquérir, le prix de ce-
rienL de l'éducation sera bleu ara-des.
us de la moycune ordinaire. Eufte,
Messieurs, compterez. vous pour une
de satisfaire les Pipai, boun
Ilfer
des chocs qui les m,conmnt st
tP bas z, Imorer van; loraqu'clls ce
ce
lavant de fréquenter des émblisscmenLs
qui vous content si char et nulles ,
prononcent pour d'autres écoles qui ré-
pondent mieux à Ima's aentiniants et à
leurs croyauees, Les bh'uneece.vous de
n'accorder point leur conflanee à nue
inatitutriee qui n'a mémo peint le dé-
vouement de , établir ail milieu d'elles
et de partager leur exislrncc, lai aile
lite faire de l'éducation une affaire se-
condaire, et se egarde comme exilée
près des enfants
rqu'elle
devrait adop-
ter 7 Vous n'auriez aucun profit, à agir
de la aorte et puisque les habitants de
Croix-Ilaurade et la nouvelle école des
sieurs s'entendent si Itiea, vous devez à
outre leur vous entendre avec toua deux
et adopter cet état,iscemm,t dont ira
directrices toril de léducation de leurs
élèves l'.Ouire de touer leur,iouevée, que
dis-je?... do toute leur vil.
Votro sous-colnmïssi uu proposme doue
il la Commission n
fo
,',pale 8:uepter
l'ogre de la lobs'ci u Je /:rois.Daurade,
IL d'autoriser l'adwinistration à 'ali-
c, d'mio part, la supprssion de l'école
laque ozisante et, du l'onlrr, l'érection
en école c, mmmfale de la maison où
vont presrntcineut établies l'a Servantes
e rapportant, comme o
de M ri
i
l'a déjà téularé, dans des cas sembla
bics , à ra s erse ,;t l'activité de la
municipaIité et toi laissant la latitude
lié i terni. traiter
. :.file atout cette
Ils avec 1 t itéx académiques
et. qm touche la suppression de l'é-
cole i i'le actuellement existante.
Lescouclusions de Iz sous-commission
sont adoptées.
A. nom de lahsou,-commission
cliargéu d'ex.minm la réelmuatiun des
Iahita l I Id
d bu r b taus 1
I
.e.
ui d d,
t
[nm d
4 t 8
r In et d. cette partie boulevard,
AI l a p i 1,11,!; i bslen adop-
i la tel u L t
Lonsid tard qu'il est de 1 intéeét d0 la
ville dov n r eu aide des les limites
du possible aux nou0uaux quartiers;
Vu le plan dressé par N. l'ingénieur
de le ville IL sa lettre en date du 22
maï curaturant :
Qu'il existe des prises d'eau pensant
sans nouvelles dépenses alimenter les
tmisseaux compris entre la rue Si lier-
tnier et le rue des Chalet,.
Quo les Gais à faire pour le nivelle.
mea IL l'eudévemeot des terres me s'é-
Iéveraient qii ii la somme de 100 fr.
Un crédit de pareille somme imputa-
ble enr les rondo libres esi voté à rv8'et
de faire droit à la demande des habitants
du cu léé nord boulevard d'Alcoln.
Au acte de la s us-commission char-
gée d'examiner la demande de à ine Mil-
leva
t tondant à Pire remboursée de la
vol- des teeeuieu cédés par elle à la
ville par l'éla'gissement de la rue des
Chalets, M. Cessa propose cela commis-
sion adopte la délibération suivante:
Attendu qu'In 1961) il l'ut procédé
sur cette v ublil ue à des travaux
de voirie considérabÎes ,consistant en
égofds, lerrasaements, alignements et
parages, et que la dame Millavet s exé
cota gracieusement en autorisant à
rontbler le Cassé et sur sen terrais la
limite extrême de. la rue, ce ,laid cons-
titue it son é' dte une perte e te -
r n r
vain de 130 pin. J20 carrés;
Aüendrt que, jouir, e pas retarder
les travaux, la me illavet a consenti
à céder au prix de 9 Ce. 011 des terrains
qui avaient été payés 10 fr. p.r la ville
dans des conditions analogues et aan.
ta«ruses;
Qu en prenant pour bas. de l'unité
le é de dn e fr. le mètre
tre carré aug-
eninté
de 1 l'. b pour la .casino vo
plu.tas ia à l'amiabl le dont il e été parlé
plus haut ainsi que pour le temps couru
depuis 1869, ..as arrverons à 9 fr. BO
le mètre carré qui, à cotre avis, repré-
sente la juste indemnité due et récls-
coca par la dama pétitionnaire ; i n
d la d. Mllavet et p él vée sir le
illuit o ei us 'r's ,,,,,,I'.
Au no de la so s- m s ,bar.
bue d'examiner la tropimbon faite par
il, Achille Blairsy de céder à la ville,
moyen ...t une somme de 300 Il. e
p e d n te _
Main d'1 Eugène Briserai,
Cst p t ge rt 1 L mmissiou
ednpm 1 d I bérebou ante:
Yn la lettre de AI, le conservateur du
Musée consulté, déclarant quo l'acquisi-
tion de copies n'euriubiera pas beaucoup
notre r-ollreliun ;
V'u le nombre des tuiles originales de
mérite réléguéeu dans les magasins, fau-
te d'espace ;
Il n'y a pua lieu d'accepter lu propasi-
ti n de M. Achile Blairsy.
La séance est levée,
Réer matin, vers Troie heures un quart
Un violent incendie s'est déclaré dans
la scierie mécanique de M. Burussel, rue
des Amidonniers, 37.
Aussitôt l'alarme donnée, Irs Pma-
pires d'Arnaud-ücruard et Je Capitole
se sont rondos sur les lieux. Malgré la
promptitude due secours, les flamme
=Rude
fait des progrès tellement
rapides ryu'Ou a dit se borner ù son cen-
tra l'incendie dans son foyer pose pré.
serve, les maisons voisines.
A cinq heures (out danger avait dis-
paru et à fi Imurn+, il ,te restait plus
que des d t u l 1,
On uc t pas vm t'
a
t
,
roi
clic le
ncorruie 1 irait etc p muet
ledef e-dnpreu, eétg
.,n
levuvaitune quantité assez considérable
de marchandises confectionnées en plu-
cage et antres bois de toute espèce.
Les pompes de la manufacture les
tabacs du Bacmle et grand nombre d'ou
mers des usines voisines qne mis uv
louable empressement à porter des se-
coure.
De local Incendié il ne reste plus que
les murs. Le inécapisaoe, Ibutillaga et
une grande quantité de bois des ,leu, tel
que palissandre,
acajou'
noyer, chêne
du Nord, bois de rune, etc., ont été la
proie des gammes. M. Duruxsel n'a pu
scauver que son grand livre et la main
rance de ses affaires.
[,es pertes sont considérables et i:ou-
veetes par tne assurance.
Une
enquIête
est ma-tu sise les car-
ses de ce sinistre. Il n'y a pas en d'ac-
cident.
Une ,allie trouvée avant-6ier Si Pli.
nuit dans os parc à 1.1 Croix-de-Pierre,
o été retirée par un volais. La réels mer
au de polies de Saint-Cypricu.
OBSERVATIONS MÉTÉO1IOLOG[QUES
FAlre A
»on. ta «. 10 ..P,._b_ 19114.
assrmsst : 194 ^'.
au, - --
Il e.
.
101.
7sm
f0sm
f^s.
éss.
rnaa°
Orne
vearv.
244,8 19^,3 onv. IjOSO faible,
743,4 18°,0' beau. (INOtr-faib.
inv. s is.
il .N c
N(1
'
7 ., 1 f7^D,cff1 il'aihYm
740 1 Y d. la .
, N
2 1°
74G 3 8 id. NN(1 and.
716 12°5 id. jjONO id.
TA-
.dg,. cmtiprod.:
Aiaximum dn 9.,....... Y.°,2
,tioim. de la nuit suivante 15, 0
dans la matinée du 10.
DÊPARTEMENTS
te'
Montauban, 9 septe.mbee.
Le Conseil municipalviolet d'uecep-
ter le legs fait â là ville, par M. ,il als,
de sa collection, moyennant une somme
de 3,000 Ce.
Il a dévidé, en qu'une Sables.
tion de 130 francs ait accordée ma
futur directeur eu théâtre , pour ,bu.
que représentation dan. laquelle serait
joué un opéra-comique. Le directeur
devra donner dans rePrémntataons par
semaine.
Un a,, ...re pour dimanche prochain
l'arrivée à Castres de la 11a et la 3°
batterie du 9° d'artillerie qui viennent
lenir garnison dans cette ville.
Ua télégraphie de ,fée :
Qu'aire n nveaux mandats d'amener
viennent d'être lancés; un mandat d'ar-
rêt est décerné contre l'un des individus
me fuite.
Noue ero nus ouvoir affirmer
l'aBairil
viendra probablement lundi
prochain devant le tribunal correction-
nel do Montpellier, à l'audience des va-
Conseil de. guerre
B° "Il,, niLt'fA[.es s ANT A
nntiseu.lr.
Attendu qne le temps couru depuis
4809 constitue une perle sensible pour
la dame Millacet et que le non vouloir
dont elle a l'ait preuve mérite qfi il soit
fait au plus tôt droit à sa drnnande ;
Vu le rapport de M. l'ingénieur de la
ville à la date du 7 mai dernier, aaider que
le plan et estimation annexé;
Vu l'impossibilité de .igue, de.s la.
quelle se trouve la dame Millavet illé-
tréc
Paires auxquelles l'accusé répond d'une du devoir accompli, il a, d'une vois pourra , mai' qui cause un peu partout
voix assurée, sur la demanda du prés,- émue, mais mâle, tarir, entraînante, ré des appréhensions plus ep moins fon-
gax également rives.
dent du conseil; il toit la molleton de clamé contre Boss la sévère applientton dés, quel
ce qu i s est passé, d'après lui, à propos de la loi... En revanche, il a abandonné Ton tex an dri les plus extesordinai-
de l'arrestation de Jaurel et la part l'aemtsation à l'endroit de Blond dont il ces qui ont été répandus un mmiien6 à
qu'il y a prise. Iifie la cause à la sagesse du tribunal. l'nrcaxmn de la première mission
d, re.pueaixsent sous
M. Rose passait dans la rue Breteuil, L'aodimee est renvoyée à demain Ilatefeld à Molli
s
s'en
s rlas ,let
le sair, vers les sept heures, devant pour lia plaidoirie de M° Nornboslel, dé. des formes plu p Pnont
oison dont Jaurel, brigadier do
policee,
, fenscur de Buse. mémo aux esprits les plus calmas et ires
était eonc(«f gn. Un fort rassemülmnent - plus impartiaux.
stationnait la Perte il ce de- Avdien du nordi 8 aepteinbra. Plusieurs ja...aux parlent d'une pré.
manda lu eanse on lui dit qu'un pro. L'au fiente est ouverte à bail heu. tendres minn:on qne remplirait en ee
cédait à l'erlesation d n agent de rus. ,,,,ai à pat is un agent du graver'
police. 11 Ravinsa ausait,l la fente, , M° üarnbostel, défenseur de Bosc, croient antriehiee, qui a longlempe bue
pénétra dans la maison, trangnilisa la déclare qu'il ne s'occupera que de son bilé la France où il est connu par des
femme qui se désolait, lui com- 'lient, et ion de la compétence du rits diplo,natiques. Il s'agit de M.
seillamt de laisser spu mari se montrer conseil qu'il admet parfaitement. Il dit Kadsko. Je trouve qu'on parle beau.
la foule, lui promettant du reste que 'le passe et le présent du préve- coup teop de cette mission peur qfi et
d'user de sou fodumme à la préfecture e u protestent contre l'accusation de le suit sérieuse. Du aie, il suffit de
pour le faire rendre immédiatement à Idrheté civile lancée par le -Poissai- rappeler que M. Kladsko adonné sa
la liberté. en du gouvernem,intitulaient.
réclame en ter- démission de sous-directeur au ministè-
L'aele d'accusation relate les faits mes émus son acquides affaires étrangères d'Autriche-
tels qii ils se sont passés d'après les té- Le commissaire du gouvernement Hongrie, au mois d'outil 1870, et que
gans
moins. ,fais Base, lui al'Grma n'avoir réplique et maintient ses conclusions. depuis celte époque il a voya d
,,11
mais vu Jaurel, n'avoir jamais conlri
réplique
Hornbostel garantit, comme avo l'Italie mérédionalee sans aucune attache
bué à son et encore motos cet e[ personnellement, l'hoaaétem de politique. La premiére gneatfon an se-
au pillage dela maison, pillage auquel Bosc. Jet de sa missioa seras[ donc de savoir
il n'a pas assisté du cale et qu'il su' Le covseü, entré dans la salle des dé- de qui elle émane ; or, sur ce point,
rait hautement désapprouvé s'il eu avait libérations à dix heures en quart, eu
,j'avoue queje ne sais rien du tout.
été témoin. Il nie énergiquement avoir sort à dix heures trois quarts rappor- On se félicite beaucoup dans nos ré.
conduit Juillet à la préfecture et n'a tant un verdict d'acquittement pour gions officielles du langage qua Mou
jamais prononcé la phrase que Farce- Bosc, à la minorité de fureur, et à l'u- à Paris le grand duc Constantin lors de
sation, M. et M°'° Jaurel lui prêtent. lfnimim pour Braud. son passage dans noire capitale pour
Son passé d'honnételé établit une ga- ,Use fouie considérable attend pose à se rendre à Biarritz. Le frère de l'em
rancie suffisante de In franchise et de I. .sortie, clin! l'ait une ovation. ppereur de Bassin aurait déclaré de la
là véracité de ses aftirmaitons An momesl de la lecture du jugement fanon I. plus catégorique que la Peau-
I: inleerugatuiee de B.
se termine bar Rls, assis derrière le défenseur, ce ue serait pas attaquée par l'Ale-
milieu de l'allestion toujours sou. sanglotait et s'est évanoui. Cet incident mage' et
".'elle pouvai t vaquer sans
trame de l'auditoire, a produit nue vive émotion dans l'audi. préoccupation à l'ouvre de ses inslitu-
Celuf de ü sud, quo[ rye mens cric foire. bons Ce langage est d'aa-
e . nt peul.cire sous le evppuet de la tact plus significa que le grand-duc
pe.umnalité en jeu, mérité pourtant
-
+
- Ceoslaalui,
,.ommetif
Je trou vuus l'a-
d'être mentionné. V E R .h A I L L E S-PA R I S var déjà du, repréaenle la traction
toute
Braud août onna, avec une franchise de la ..
usse qui, par ses alliamu
eestn naïve, de se vair accusé
de
e l'al- avec les Leuclfteulhies est sensée
e
e
insta il'Un homme dont 1 était le Corrupaedaeca psrtésuJike. fesser des ecmpathies planun mormoins
voisin
et
t, sinon l'ami, do moins le ça _- vives à l'égard de la famille Duil il.
.lurette. Sa femme, liée d'amitié avec Il parait ee confirmer qu'an des ré-
M.
Jettent'
entretenait ,avec la famille
Y septembre.
artiste p rincipaux dl a vlsfle que M.
,,éveil. lit, d'une intervention pros.
de l 'godier de profile des relations ae ep Espagne excite, dans le cote Routier vient de faire à l'ex. impératrice,
d'excellent yoistn.ge. Bien que en ne politique, des préoccupations l'messdit soraI rédaction d'an acte causer le
soit pus l'avis de Janret et encore mules
tes
le prince Napoléon, senle-
celui de sa femme, Braud prélevé qû l Upe dépvs tu de Santauder assure que ment ect ante ne saurait avoir aucune
.leur ee'ective, si la lui .,vile, .i le
'est pas venu dans la .. n de es i
l li t ti é b n
a
es car st on r
eu sur un n ¢
dernier pour l'arrête,, mais bien pour droit politique ne pouvant
êtreprince
miné
croya nt q ue s a m bassad eurs d':tllema-
m'm
le délivrer des .airs de Internés qui et d'A tl' h t o rai nt Celte contre la liberté d'action du prince Na'
[
assiégeaient la maison,
gouvet[. reuw ire Îci beaucoup d'in.
petto..
Ou commence l'audition des témoins
a rissege
Les leeleurs du Se,uu2,Soee nous s
cool gré de né leur donner, des décla-
rations de celle-ci , dans toute c tte
af.,iee des arresalim,s de Marseille,
que
Il'
pooiIl,a.ili..ts .a sérieux. Le
cadre du journal Il nous permet pas de
dessiner Ir côté fantaisiste plus u
os pi44oesgne due gneaiuns gui se
résourlrunl an s n du c sait. Aussi
est-es avec mou rigoureuse et laeonfgne
gdélilé opte nous esgnissrrons les frits
qui nous paraitrout de Harare à dire
retenus.
Le témoin Jarret, la victime de l'or.
restation illégale de 5 septembre , st
appelé 11 SMe fort long di s
style e b t d it l t. ts
qui mtiv t 1 ffliouol 1 pe'L,t
sur les accusés Busc et B'. 1. Il est tees.
agras(Lif à l'endroit de ce dceuior et par
indretiont conbro Busc dont il affirme,
d'après leu fudicatiou précises de sa
femme, la ,ma plût, culpabilité. B-,
brterpellé par M. le président, nie éner.
:
pent 1 s d lanrrL , qu'il
I
métend n, ta de e[n'aveueu
tir t 1 ns l'auditoire
n
aLa
vu.
Juillet, e bonne femme
air, épouse dévoué,, p vent ses qua
rance boitqu'avec an, vivacité toute
pyréué s e (elle est du côté de Per-
le i) se présente devait le seil
dr. g re armée de pied en cap
g
d'énro -
fiunsettde stcs pl.a ma muras ex-
pressifs à l'endroit des accnsés. Elle
re avec une volubilité prsqu¢ lac
muyante, mais muser claire cependant
puur être supportable, les faits duel
elle a été> le léonin et son mari la
victime. sa mémoire lui sert mer.
vaille pour tracer l'historique dàes faits
q 'ellegroupe à sa façon, mais avec nue
méthode qui failli... ur à la lucidité
de aessouvetueu et son amour eeuju-
gal. Elle foudroie de son regard mouillé
de larmes les deux accusés, qub de leur
tété, nient plus qne jamais leur parLt-
crédules, mais, em la supposant inexacte
Jajoute que dans M.
on peul craindre que le simple fait de
Alauriel Richard aurait l'ivteation de oe
sa mise en circulation n'indique de la Porter candidat en remplacement de M.
part de certaine puissance le projet ou
de Puvelules et confie le c:mdidat sep-
tout au moins le désir de se créer des
teoualiste qai parait devoir aire décr
our une iutervenlion
dément M. Afalley banquier à paris.
milil'a sul'OsveIs p
en Elles
'
En Eo ce q. i
l'ineideut de Gue-
taria ou Lumaya, il est à noter qu'une
dépêche ofl,cielle carliste confirme le l'nit
n al'lirmanl que les chaloupes prnssien-
a cherchaieniâ opérer un débargae-
veot, aminé auus prétexte de promunede,
quand un a limé sue elles.
On parait fort inquiet en Angleterre
des conséquences que peuvent avoir ces
incidents. Jusgm'mi la presse officieuse
llemande a été fort leseevér,mois nous
ne ter levons nos a savoir, parle langa-
ge quelle tiendra, si Ai. de Bismatk
veut, oui ou uun, s' ngagee dans une
entreprise qui a coùlé si cher à Napo-
léon I
Gu conseil des ministres a été tenu
ce modo à l'Élysée u la présidence
do maréchal do, Mac-Mahon.
Le départ du est toujours
h2 évadé et son retour i, mardi.
C -t ou. les hauteurs situées près du
p d Reliant qû il passera dimanche
et
lundi 'iv
er revue les troupes qui vont
Lo n i.e.. les grandes mamnuvre dans
les plairas situées entre Arras, Lille et
SaintOmer.
Le maréchal repartira pour Lyon
,jeudi enu.vendredi de la semaine Peu'
hain
Le Camante serait, dit-
,bel de cabinet de ministre
de lai ai
f
é
ineo eu remplacement de M.
Rainuré qui partira dans quelques se-
maines pour aller prendre le comman-
dement de la Cuobinchise,
J'avais raison de considérer hier com-
me douteuse l'acceptation de la capot.
dature de Seine-et-Oise par le mar.
quis de Chambou. Il est inexact que
l'ex .préfet de 6eine-et.Oise ait accepte.
Paris, le 9 septembre 1874.
Bien des gcvs sont persuadés, même
dans le monde diplomatique., que si le
maréchal-président a remplacé le voya-
ge purement civil qu'il comptait fuira
dans le Midb par des inspections mili.
taures, il faut e chercher la
'uns,
dans la situation qui ,est
transfmmée depuis moins de qusxe
joues. Quelle que soit la vérité à ce
sujet, c'est ,,ne ju,[ice à revue lu
e la
d'été llera l'âtlenl'lyoa soc
lesgarde
l'Allemagne vis-à.vie de l'Espagnu eu
ailleurs, elle se borne à citer les jour
nx anglais ers évitant autant que pos-
ible de commenter leurs informa.
tions.
Catle réserve est commune à tous an.
joureau et eu ue saurant trop y .à.
laudtr. Seulement les feuilles de Leu-
dresqui admirent autant quo pe,smfne
la prudente et le sang.leoid dont fat
pienve cette verveine les organes de
l'opinion en France, ne ,explfyuenl
pas ommenl, dans les circonstances
a.tneiles, les partis extrômea semblent
pregdre iv làche, pur dé.. Ultra.
tiona aussi bien que par leurs incite-
.a de bisa c nsater a yeux de
l'Europe que la France est ptua divisée
que jamais et partout l'rappse d'impuia.
salles.
Vers savez qu'il a été dit que M. de
Bismarck, dans s sollicitude Jouir
l'Espagne vain .Ira et au maréchal
Serrant de faire couvrir eu Prusse Fluor.
ppevut vainenmut proposé fx uapila-
listeu anglais pur SI. Camacho. Les let-
tres de E'ravcf'oet et de Hambourg, aux,
ai bleu que elles de terre bol marchés
monétaires allemands confirment cette
nouvelle et donnent sur les causes du
non succès de la proposition du chan-
celier germanique le, curieux rensei.
gnements suivantstlatz: Cest
M. de ield qui, lors de son
mier vo a e à Madrid, fit c naitrc
1as conditions du couleurs financier
de ans gouvernement. La Prusse, dé.
clara-t-il, se marchanderait pus les eux-
ditious de l'arrangement. Seulement,
elle v niait un gage, et ce gage était
Porlu.Rico, étant bien entendu qû en
cas de non-paiement le gaga deviendrad
la riété du créancier.
Malroheureusement
ce marché, imagf-
cipatima personnelle dans cette hagar'
Paria, 9 septembre 1874.
re.
MAf. Achard Ourlet et Hubert Les ornons allemands sont encore
lir,
amis
viennent
affirmer
er chacun
dans
leur
Inur
s
sens tris-sobres de réflexions sur le conflit
ce qu'ils ont vu et entendu. Ce duernier qui a eu lieu entre les carlistes et les
constate la présence de Busc sr les caaon.iéres prussiennes devant Gueta-
lieux de l'arrestation tout es an tenant via. Ici o est Pas sans inquiétude
sur la réserve quai à l'intention qu'il sur les r. de Bous auxquelles peut être
lui suppose, intention, d'après lui, plu. amené M. de Bismarck par cet inmdent,
tôt bienveillante qu'hostile b Jssret. clj'entends dire quetoutes le' puissances
La liste des témoins à décharge cités s'emploient au même degré pour détour.
à la rajuéle de la défense, ,TAI. Givo- Per l'Allemagne d'une intervention plus
m(g, Ilivuire, Menait, Reluquai, Béziers, étendue dans les affaires d'Espagne.
sont à leur tète. Un comprend que de Os an rappelle qu au moment où le
vifs et récieu éloges vont être don cabinet de Berlin se décida à l'ennui des
à M. Rdse. aurxl'Imnmabilité de son pas. deux canonnières l'Albatros et le Nuuti-
nécivil et la loyauté de son présent las il déclara officiellemen4 yû il n'avait
commercial. rat vue que la protection des sujets al-
Ici se plate ce incident assez vif. Immonde, et rien de plus , ce qui permit
Al. le commissaire du ggouvernement aux autres puissances de s'associee à
e, sauf 'ails de la défense, à cette démonstration.
l'audition des témoins à décharge, ac- Le gouvernement français prend ea
e,fa-t et olbema.t l'r,ihéee b on o ra- ce moment des mesures teès.éaerg;gnes
bilité de Bosc, mais jusqu'au 1 septem- pour assurer la neutralité de sa tenu,
e
seul
omeet. I fière, et l'adminislratien des douanes
M^
Hoeubostel se lève alors, e4 dans f deus Is Basses-Pyrénées déploie une
quelques mots chaleureux, il réclame
peu. loti client l'h...rabilité pleine et
e[ entière de tons les jours, jusque et y
compris l'heure peéxenle. Il conclut
écoin à l'audition des témoins à déchue.
ge qui viendront corroborer son dire et
le laver des terribles accusations qui
pèsent air lui.
L'audition des témuies est commencée
et se termine.
Ici ne place le réquisitoire de M. le
commissaire du gouvernement.
Il a été court mais précis, clair, cour. repasser ; en un mot, la politique du
gique et d'une allure rode, miliaire. redoumble chancelier se confond de plus
Il a repris l'accusation, l'a fouillée, l'a I en plus avec celle de Napoléon P' après
Asséi née mn peu de mots pour Iaf- Tilxitt Le prince de Dismarck est Tancé de donner un nouveau et large ecu.
M. Aleaeet 11.11, neveu de M0° De.
saine est, dit-on, compris dans le pour.
suite judir-iaire :motivée par l'év:,siuu de
B.,zaine, et il a été cité à compavaitee le
i
1. devant le tribunal torrectmnael de
Crasse. On dente généralement gtiil
be'i'I à 'aile cit'On` Quant à M°'s
Bazame elle 6girrera, dit-on, dans Is
procès, comme témoin à décharge en
faveur du colonel Villebe. Quoi ge'it
en soit, on s adee9 a ce que les avocate
des prévenus déclineront le compéten-
ce du tribunal et e efforceront d'établir
vo l'affaire est de ressert de le Cour
8assise..
La Bourse a réagi en Naisse enjeu'.
d'hni, pur 'te de plusieurs ordres de
vente ve..a de la province.
Les nouvelles sur la santé de ,1. Guizot
sont on ne peut plus
auvaises. Tout
espoir semble à peu prés perdu.
On dit M. Thieen très.souffeant d'un
atarrhe. Le Dieu public, duel en cornait
l'assiduité à l'hôtel Bagratioe , affirme
au contraire que la santé de l'ancien
président est excellente.
M Luchaud prend, en soir
le train
express de Lyou, pour se rendre dires.
fument à Grasse, và Il désire entretenir
le colonel Villelte et le domestique
Bureau, dont il .sculpté la défense.
Une dépé he carliste Transmise à la
Gaaetie de France , reconnail que les
carlistes cet tiré sur les ¢anonniéres
allemandes, IL ajoute avec une intention
évidemment comminatoire à l'égard du
gouvernement de Berlin, que . les Irou-
pue royales, eu reconnaissant ancuue
of binaison diplomatique de Serrant
et de ses complices, feront toujours res-
peUCr, le teeeilm re nspaghol, et reports'
seruut tonte bravade..
Gom me cette serte de déclaration de
guerre à l'Allemagne est reproduite par
fa '-11, à titre .officiel. , il s'en nui'
vrail que don Carton ne reculerait pas
devant un liée formel au peine. de
BLsmare.k. Cette déclaration ea pas été
sans produire au certain effet sur la
méculaliun qui sali comment le chan.
calier de l'empire allemand exploite tons
les prilreles qui peuvent servir ses
vues cimbilieusea.
Un roreespondaut du Timer, qui, voit
de près ce qui se passe, écrit dBen-
daye
p% ès
que t?"P. les efforts
du µouveeeement frueeuuur garder
la ligne des Pyrénés sont déjdouésl'par
la em,eivencn des populations e une
et de l'antre frontière. Il reconnait que
les agents de la douane et de la police
-cuteot pmntuellemen les ordres
qui Icur sont donnés, unis leur zèle
est i, peu prés ini file. 11'autre part, Is
e.s de l'Ori/lmn e, si oclunes, si
.iér
ont
ii lances gn'uuler ont, o réussi
pnini à empêcher
sr
le ravitaillement ,des
carlistes pur les nombreux petits porte
de la Biscaye.
Sur l'un et l'autre élénfent la ontre-
baude est à pua prés insaisissable, et il
est sert delta.. que lia demi ,anon.iA-
es Ri nssien, 1 . N nulle et I Aléabae,
pareieene.t à établi, t na .leur an
blocus f ace. Cri e d.uit les gents
solaires et armes qne le gomemea.
mnt allem:ufd a envoyés dans nos dé.
percements da Alidi paraissent croire
re qne la surveillance exercée par
les auturdés frsnçain sur les asse-
nents des -Rails et de [tours ami.
ponrr»it Pire pins efficace. Elle se sa.-
at IL s n1 minutieuse
ue celle à laquelle es émus .,='.cols
q
ed t nous-mêmes.
D pro une p d i.e de Berlin
l N u lils c
s
(Deufaehe Naor-
Ircn), il circule
ess
en ce ornent dans
les cercles diplomatiquea de celle -
ritale ,lit bruit d'une nature tort sé.
vienne, que cette correspondance cap.
porte sans toutefois en garantir l'exao-
titude : ° Le m uvernemeet allemand,
dit-elle, attrait reçu de s agents des
renseignements sur les personnes [lui
ont le plus contribué à s tenir les
carlistes par des envois de divers go..
r
Us lu notait n salé : uel
ques.unes dune on était loin de
go.ner me, participation quelconque
sn semblable conunrrre. On
va
jusgifa
prétendre que plusieurs d'entre elles
'
se sont entendues pour orgatser omcvè
système de complicité, ce bu,,
ajoute-t-on, pourrait bien amener le
gununenrnfent allemand à taire de nos-
lies diplomatiques à,
Versailles.
le [IeascAe NrwAréahnen répète sur
un ton de réserve affecté qu'elle ne
saurait prendre surprennent la r s
ponsabililé de ces rumeurs, et qu'elle
se borne à les reproduire au voulant
bien supposer que, de moment où 1.
gonven.emeal français aurait reçu eus-
saissame des menés eu queulios, il
'empresserait de prendre de nouvelles
mesures, plus sévères encore, pour ent-
continuent.
pécher que ces .leu
Nous ne nonnes tenus de savoir
aucun gré à In orses neevesce berlinoi-
se de ses prudentes réserves et de s
bienveillantes suppositions. Noua .tus
permettrons an contrai le lui faire ,a-
mes 0cm qu cela semble professer d'oser,
ét,a nomes doctrines eu matière de droit
des gens. Si la France ne remplissait
pas à l'égard de gouvernement evus.
.ai,,,,, butseles devoirs que ladluirmter-
naliouale lui impose, ûest à celui-ci
.p,,arecoment et rien qu'à lui qu'il ap-
partiendrait de a'e. formaliser et de
n plaindre, et, avant de s'ingérer
d'ana aes affaires et de le prendre sous
sa tutelle, l'Allemagne devrait au moins
atle.dm qu'elle en soit priée.
s'il fallait prendre à la lettre Is as-
sertions aventurées
et
les i s' uxtions
machiavélique de. fenilles nofficieuses
de Berlin, on Rairait par être persuadé
que 1, gouvernemeai allemand n'a d'au-
tre objet que de tenir l'Europe dans
une continuelle inquiétude en créant
e de mvellea dif6cnllés ou
eu élevant d'inadmissibles prélnstiuns.
, ,
gramme pour le session des conseils gb
(Journal des Débat,).
Une somme de 1.074 fr, 90 I. augmen Pane-elles facilement jusqu'au fend de . finner et la creuser davantage. Après dans une sorte de blocus continental 1
tic des frais nécessités ar le la $el e. ctn i e e né aux.
l t Après le, esto is rtélimo- avoir hxrdimcut revmidi ué l'honneur enté-ultramontain ,. ni produira c û il r
P
1
! 1 I q I P 4
Présidence de M. le colonel Rusons,
du 83° de I;gne.
Fin de l'audienec da lundi 7 eeplenrbre.
Ce rapport est religieusement écouté
' '
d un hein à l autre. Aussi, lorsque lis-
terrogatoire de Ruse commence, ses ré-
povss claires nettes précises puemien-
activité considérable pour dérouter
tontes lea iuvesligations prussiennes de
M. Mouton.
Mais malgré toutslles précantiens ,on
ne'peut répondre de rien. M. de Bismarck
est de plus eu plus excité. Il e pulse
sans mesure du territoire allemand tout
Il qui le gène. Les Danois du Ble"7, ig
sont chassés, au mépris des traités es
prétres catholiques de tous les pays, à
peine ont-ils mis le pied sur la frontière
prussienne, qu'ils sont invités à la
né à Berlin, agréé à Madrid, n'a pas été
'..d. même mil de l'autre côté de
l'Atlantique. Si sympathiques qu ils s
soient montrés pour l'Allemagne, les
Américains des Elals-Unis n'entendent
pas raison sur les acquisitions de ter-
ritoire faites par les états européens,
soit sur le continent américain, suit
dans les groupes d'iles qu'ils considé-
lent comme en dépendant.
A la nouvelle de la négociation enga-
gée entre M. de Bismarck et Serrant ;
la presse américaine ton emiére s 'rat
émue ; à son loupage, les n'gociateurs
ont compris que peursnivre l'exécution
de leur projet ce serait â exposer à quel-
que fdcheuse aventure, le gouvernement
de l'Union Américaine devant évidem.
meut suivre l'i ... pulsion de l'opinion pu-
blique. M. de Bismarch a duel dû, en
fonçant h réaliser le marché projeté,
aviser à l'effet de trouver un autre
moyen de fournir à l'Espagne un gage
de sa sollicitude.
On s'occupe au ministère de l'ivtérieur
Y
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