LE FER ROUGE - Bibliothèque de Toulouse

`Oe Année, Nq 0 ilUB.RAOX . fine atnt-Iier 1-; A1,
àIOURAL DE TOULOUSE
MANIEMENTS sxMOIS .,
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US ANNONCES 10, Rois mas TODL0081
SONT ISLÇD1a o\aB O. DAVAe. LAPPITS \T C'
1. Puas s. sa Bossais, PARIS
Toulouse Il Septembre
Dépéehe Télégpaphlgaes
(eisavlc] Do L'Adaece sens).
Prague, 9 septembre.
L'Empereurs reçu hier différant« députations,
le clergé, la noblesse, les
anlorités militaires et civiles, le comité
permanent de la Diète provincial. et 1.
municipalité conduite par le maire.
L'Empereur a recuite assisté an tir et à
une représentation théâtrale. Il n été
partout acclamé avec enthousiasme.
Aujourd'hui, "Empereur est parti pour
Rrandeïs, où il assistera à de grandes
moauvres.
Le Ksy Poxnanaki annonce que le
jugement du tribunal du cercle de Cru-
1 été notifié au chanoine Eorythowski,met
que cet ecclésiastique purgera
probablement à Galber( sa cendamnation
à ..le année de prison.
Londres, 9 septembre.
Le patriarche syrien jacobite d'Anaioche
est arrivé tri afin d'obtenir du
'Ice
-elle de sn juridiction ans les chrétiens
de Saint-Thmnas (côte de Mah:bor). Le
patriarche la apporte des reoammo.dationx
ministre des affaires étrangères ile
Turquie et de l'ambassadeur anglais à
Coastantinople.
Lisbonne, 9 septembre.
L'envoi de tro upes à Extremoz, qui a
été ......' hier soir, a pour objet de
ramener à Lisbonne, sir ils auront je.
gé's, sas centaine de lancters compro.
s le mois dernier dans une afaira
d'insubordination.
Stockhahn, 9 septembre.
Le roi de Suède a fait inviter le voyageur
autrichien au pèle nord, M. Payer,
a venir faire nue visite à Stockhahn.
Cette invimtinu a été laite télégraphi.
quement ter l'entremise du consul d'Autriche
à Lhristemm.
T$L8aRAPHIE PRIVE
Parie, 10 septembre, tl h. matin.
Le comte de Parades de Las Novas, 111.
du général Zarala et aide de am:p do
maréchal Serrano, actuellemce à paris,
a envoyé, hier, des témoins à M. Veuillot
qu'il demander satisfaction de sait article
considère injurieux non-seulement
pour le maréchal Serrano, amis pour
tout le peuple espagnol.
M. Vcnilloi o répondu que aon article
étant erelaaivemmtt politique et visant
acclament l'homme public, il cavait
aucune aalisfaction à a :urder et la refuserait
à Serrano lui-même.
Le train Do ses A déraillé entre
Charmay et La Porté; sept voyageurs ont
été blessés.
rxosLLxron nu JOURNAL na TOULOUSE
Dn 11 Septembre 1874.
LE FER ROUGE
M. d'Aigurral n'avait pas été sous
"outrer dans le inonde de es gens
hnbilrs qui ont toujours uns affaire superbe
à à proposer aux naifs, qui font
mire ses yo u éblouis quelque lointain
pactole où il ne s'agit que de pui-
:r. Il avait été t'IL, plus dune fois
d'en o claie la été
Ici au lune, comme on dit ;
.rat inattnct l'avait arrétk:
ce i nsidérant avidement l'app21, il
ait deviné le piège. 11 était trop fin,
tant, non, élue dupe, et trop fnnciérement
honndtc pour devenir fripon.
C'était peut-ètre après avoir fait cette
double. observnlimy que aon socle l'avait
déclaré tout à fait impropre aux
I Iaires.
Il ne lai restait qu'on moyen légitime
l'acqu&ir qu'il prisait un-dessus
de toi 1, c'était ce de faire n riche ma.
riage. ('Suait été, de tout temps, le rêve
le sa mère. Mme d'Aigueral était perensilée
ipm pour y parvenir, il n'avait
q:i1 vouloir. Ne vivait-il pua, eu effet,
au l'autre des belles ooca.inna, d'rue ce
Madrid, 9 septembre.
Le général Pavie est entré à Alcanin.
L'opinion publique "prouve haute.
ment le gouvernement Fnive uUnivers. s au Au-
jatde la suspension de l'
Legouvernem allemand a appVrouvé
la conduite du commandant de l'Aléa.
Nerv-York.
La Bévue jaune s'étend rapidement au
Sud. L'application rigoureuse de la
quarantaine est ordonnée.
800 Cubains net été battus à Yarayya.
bol ils ont eu 36 tués au nombre des'
quels Calixte Garcia.
Brême.
Basencleeer, chef du parti décollera.
tique socialiste, a été condamné à trois
mols de prison pour injures adressées à
M. de Bismarck. Il a été arrêté hier
oir.
nurse nk,Ecu..
Paris, 10 septembre, 7 h. matin.
Le Journal Officiel publie un décret
nommant M. le comte d'Ilarcourt ambassadeur
de France en Suisse, en rernplacement
de M. le marquis de Bouillé,
admis, sur as demande, a plume, ivité de
sort grade,
Aurne Déei:cna
Darcelnne, 8 septembre.
Au combat de Castella de Nuch, où
out pris part 6,000 carlistes, un brouil.
lard épais couvrait les combattants. La
troupe de Savalls, s'étant trouvée entre
deux feux, fat décimée ; les carlistes ,
dispersée, se rallièrent à ISipoll $ous le
cumniandemenl de Savalls, ayant perdu
leur artillerie.
La colonne républicaine en 12
morts et une centaine de blessés; 70
morts carlistes nui été relevés sur
champ le bataille. Savalls, furieux, a
déclaré à tripoli qu'il réduirait Puycer.
da en cendres.
Iluuré'Modame, 10 septembre.
Les carlistes se sont réunis dimanche.
au uomLre de 6,0(al environ à la poila,
' 12 lieues de marche de Puycorda.
Lundi, la culomm Loi>. Dammgue
l'ornant trois divisions, a emporté leurs
positions , les a baltes , dispersés et
poursuivis de tons les côtés.
Auras DLrécue
Paris, fO Septembre, 3h. soir.
Il;lao de la Banque de France
Augmentations : comptes du Trésor,
12 millions ; comptes particuliers, 14
millions.
Dimmu lieus : encaisse, 4 millions ;
parlefeu;lle, 11 illions; circulation
des billets, 37 million,.
Merlin, 10 septembre.
La peste bovine a éclaté dans la protnce
casse de Souwalki ; mille têtes
de bétail soot mortes dans deux cercles.
L'Allemagne o interdit aussitôt
t'importatimt du bétail russe.
Paris où affluent les riches héritières,
les veuves opulentes 1... Itobert, qui
d'abord avait fait fi de ce moyen, n
vair pus tardé à nmitre que s
vair ai ,at r qu'il devait ru.
]garder autour de lui autrement qu'avec
s yeux distraits et rêveurs de la jeuo
Ilse
avait cru s'apercevoir, depuis long.
temps, que sa cousine Noémi, la fille
du banquier, avait nu faible pour lui. Il
I, était abstenu d'un profiter par grau.
leur d'âme ; revmmnt à des sentiments
plus humains, il se. mit tout à coup à
lui faire la cour. Il avait, pour cola,
toutes les facilités qu'il pouvait désirer
; mais so. oncle, ayant remarqué
quelque chose, lui défendit sa perle et
loi dit d'un W. paternel, co le congédiant
Elle pourra t'épouser, si elle le
veut encore, quand elle aulora ses vingt
et un ans ; mais souviens- i de ce. que
OMtafee es, DAK& \p\
RSDRRS Ok3 DEPSRTS ET 11.1 ARllYtEs DES TR.IY$ DES! CDRMINS DR [M1 DU MIDI ET D'ORIXOS
..umu, Waa.m, 11 le a.I06..g4h. 7 i. r e 1. )lai
5uar oa 55e le d4pEe., 00, aY.ll h. a. 7,1 Ta, ..
71. 11 h. D'ash.7g. e. ah.la h. As.y a
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Dépvia Surinée: fJpae d. Cola. .fessas, Par l'lmboaehaea, 71,111. . 117h. r. aa1, 0, .14
Cnsan, Prr la CfPHra, 00. h... 4 Y. a. ]1.1p .Ina.e)A
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Bou, 4 Sou, 10 If ,hdLo fhltl Matin, 4h11
Monaoeua, pse le ooeald. eee, a h., e.l l 5. Y lob- .a h.I'h
4hh. e..
b.11771
Sol, 6 tu Sou (dir.oy, f 1 ail Soie, ] n o s oh, f 50 parle. vilanlle, 5 b llf.. a Ib. --î.
fou, G 20 oie, 1 40
auarW.me rgnamy I b. 1.1 0 L. b ien a 51.11
uavmraa, Î'rauaa W 71... i 4 h. i. 5 Solin a. { 3 a 1
Wpae a. \»T-
eamemAao, CUau.r, lb, Y17. 10h, e.. Ih.lp .17
U . a'OrléafaM. Bdesoo-UhI.
7 h. .
ou 1.
Malin (dires0 l] h lf Matin (direoq Ih ]3
Matin, 6 70 Matin (Agas), 3 D
Matin (expr.), If Soie (expe.), t D
Soir, / Il soir, 3 lai
foin (Aise), B 70 leu, ID I0
LI\aa aie CetN.
Matin (direct) 3 h 60IMafin (gare.), l Sils
Malin. S 65 Mails iexoe.l fo 30
Il
Madrid, 10 septembre.
Le seul navire autriuhien croisant
dans les eaux espagnoles o M. l'ordre
de revenir eu Autriche.
La et Laion officielle de MM. llatzfeld
et Ldolph, ambassadeurs d'AIlemagne
tt d'Autriche, aura lieu os.
medi.
ADrna D$Pfdas
Malin, 6 h 90 Mat, jidonle.), 1h 36.
Matie, 9 l0 Sort (Pan), I 20 Patin, 64 f0 Matl.. 1h13
Matin, Il Il soi, 1Bayoa.), 3 32 Maan, 10 40 gon, 1 17
Soir (Pan), I ]0 cil (Baysu';, 6 36 Soie, 1 53 Soir, l 54
Scie Monle,i, f 40.oir. A 85 scie. e 10 Soir. 11 20
Parte, 10 septembre, 61., 80 du soir.
Le bruit court que M. Lavedan, pré'
tet de la Lotre-Inférieure, serait nommé
directeur de l'imprimerie nationale.
Les avis de Berlin confirment que le
gouvernement prussien n'a pas l'intention
de donner Boite à l'incident deGuetaria.
Aucune nouvelle lof rmation d'ESpagoe
n'a cooliemé jusqu'à présent la nou-
velle du que les carlistes auraient
tiré sur un train, rroyant que les 0m
bassadeurs '.-es d'Allemagne et d'Autriche y
étaient
axone DérBcue.
Marseille, 10 septembre, 7 h. 5 soir.
Le Conseil de guerre, à son audience
d'hier soir, a jugé le nomé m Meure t,
accusé d'arrestations illégales et de vol
qualifié; il l'a condamné à 3 ans de
prison et à la privation des droits ci.
vils pendant D uns.
Le Conseil o ensuite jugé le nommé
Converser, âgé de 44 ans, inculpé de
complicité de recel, de pillage de la
préfecture, le Li septembre 1870. M' de
Pleur, avocat, a présenté la défense de
l'accusé; il a donné lecture de certifi.
rats ce faveur de son client.
Après la réplique de commissaire du
gouvernement, le Conseil a cmtdamué
Connreaet à 2 ans de prison, 2001'e. d'amende.
11 n aura as d'autre séance avant
la semâine prochaine.
Aurnn nérrrue.
Paris, 10 septembre, Il h. 25 soir.
Moreaa , herboriste à Saint-Denis
accusé devoir empoisonné deus femmes
avec, du sulfate de cuivre, a été con.
damné , par la Cour d'assises de la
Seine, à la peine de mort.
Badin, 10 septembre.
La Gonade du Nord dément comme
étant uu mensonge ridicule, l'assertion
d'un télégramme carliste que les caères
allemandes avaient eu le
projet d'opérer un débarquement.
Rome, 10 septembre.
Des mesures sont prises pour que la
condamnation à six jours de prison
prononcée contre l'évêque de Mantoue
peur offéuses envers le Roi, soit exécutée.
La Pou de la fruits nuit(. eue allocution
du Pape prononcée, lundi, devant
les élèves du eéminai s r..ai..
Le Papa comparé l'histoire de Joli
à la sil.,. ( evé actuelle de Home. Il
déplore la levée militaire, les f.. pli.-
Néanmoins, ses aspirations n'avaient
pas cessé d'être les mômes. Il approchoit
de ses vi.gl-sept ans. Il sentait
très-bira que ce n'était pas dans les bureaux
de M. stèle qu'il pouvait se préparer
un ruche avenir. Une rage sourde
commençait à fermenter en lui. Il re.
gardait la société de ce mauvais mil jet
;optique tant de délermiualions husnrdées
un funestes ; colin il était plus que
jamais dévoré du besoin de 'ouur, et
songeait avec désespoir qu'il était condamné
à végéter duos L'ombre, lorsque
tout à coup la Frac". déclara lo guerre
à la Prusse.
Nos rapides désastres vinrent le réveiller
eu quelque sorte DL l'arracher
ripes , les immoralités , 1°abolition des ,
auxaipensées dangereuses qui l'envahis. Prusse, -*Y trouvaient déjà réunies et
scet de plus timides. I1 soublia loi' comme entassées pôle-méle.
méme pour os songer quY: s m pays. 11 s'agissait' pour lu quart d'heure,
On demandait de tous cfités des jeunes de caser les nouveaux ooua, et tous les
Vendredi '11 Septembre 197-!
9+ou.l.Ss-daan, 7 a. a. 5 0.1171
boxa, - 0. .Rets de A. 1Mh eaaxeee d 7 A. 4. ". M pan d 11. des
Le train de plaisir dé Toulouse à
corporations religieuses,
impôts. e
le poids des Foix, pour les fêtes de celte dernière
cille, A emporté 180 voyageurs.
L Pape a invité les élèves à prêcher
laPénitence, répétant avec Job : Si nous
avons reçu de Dieu les biens, pourquoi
ne recevrions nous pas la résignation
aux maux, aux Déaux.
La Pape, enfin, les a invités à prêcher
par l'exemple en se préparant à de nou.
velles tulles.
Marché de Paria do 10 septembre.
Spiritueux, 71 GO
Marseille, 10 septembre.
Marché calme.
Arrivages 4,384 hectolitres.
Vestes 12,800 hectolitres.
Mariauopoli Iris 128/10 à fr. 36.
d'AzoIf 126/121 à fr. 32 50.
Toganrock dur 430/44G à fr. 34.
Danube 128124 à fr. 31.
CHRONIQUE LOCALE
La Musique de l'Ecale d'artillerie ne
jouera pas Patronale sur les promenades de Toulouse,
dimanche prochain, 13 septembre,
parce quelle doit participer à la
181e
de Foix.
Sur la rapport présenté par la L.M.
minion do réuegameation de l'armée,
le ministre de la guerre a décidé qu'un
c raie nombre de volontaires d'un an,
ebuieis de préférence parmi les éludianls
en droit, ponreonl recevoir, après
un examen préalable et . stage de
deux anc dan, les bureaux le l'iulendancq
nn brevet d'adjoint d l'intendance
à titre auziliatre, o'est-à-dire un grade
équivalent à celui de sous-linulesent.
Pendant leur année de volontariat,
ces jeunes gens auront bu faculté da
suivre les cour. de droit.
C'est mardi prochain, 15 septembre,
que commenceront' à la préfecture de
la Haute-Garonne, les examens pour
l'admission au voloulariat d'un au, et
un le 14 septembre, comme nous l'avue
annoncé hier par erreur. jus_
Les jan ces gens que se sont fait
1111a la préfechre sont au nombre de
113, ainsi répartis
Première série (griculture), 4H
Deuxième série (commerce)), àt
Troisième série (tndastrin), 14
L'Observatoire de 'poulouse a adressé,
le 7 septembre, à l'Académie des Scion.
ces de Parie une dépêche sig.Ila.t la
présence, à la surface du soleil, d'..
grand nombre de corpuscules culot.
les.
Le hasard, qui présidait alors eu toutes
choses aux Aestinées de la l'ea.ce,
amena, non pas la compagnie, mafia la
bande de,jeunrs gens indisciplinés que
commandait le capilaioe Bobert d'Aigueval,
dans une ville du Nord d'une cer.
tains importance commerciale, t qui
par sa sitaation, p raisn de devoir échapper
à l'invasion allemande. Des troupes
de toute espèce, gardes ..Imopeles mubiles,
volontaires, cavalerie aonvclle,
ovni en voie de f'ormalion, solin tous
les éléments de ces armées improvisées
avce
qu'on se fattaitd'npposav succès
aux armées si bien organisées de la
gens exercés au maniement des armes, édifices ayant été leanaformi+s eo caser-
des hommes spéciaux pour organiser la lies,
'1 ne restait plus d'autre ressource
)e te dis : je ne lui donnerai que m - i défense, pour larme, des suldals du jour que de les luger chez l'habitant. L'babi.
malédiction..
malédiction.
au lendemain.
L'oncle allait sans doute un peu loin ;
Il
il n était pas méchant, en somme, et ne
leur aurait peut-gtre pas donné sa nualédictiou,
mais il Lit été bien capable
de ne leur rien donner du tout.
Du reste, Robert ne partageant pue
les sentiments tendres qu'il inspirait et
songe Is il n'avait fait attention que
par calcul et à la derniére e.stré:mté,
n éet pas beaucoup de peine à se cunso-
Per de Co premier échec.
envoya sa démission tant s'empresse oedinaieemrat d'enau
ministre des affaires étrangères, et voyer à l'auberge eu à l'lii telles seldats
se vont à la disposition du ministre de qu on le charge d'héberger mois les
l a guerre.n O eueil l f Pasai l iguir de auberges et les hotels émut plexus, il
ce côté fut nommé d emblée heute- Yollait' cette fous, se résignera exécuter
cool de uobilos; il passait capitaine à la lettre la pénible obligation qu'im-
an bout d'un rouis, et, la .hoccos le
favorisant, il était:en train de devenir
général ii ie guerre avait doré quelque
Nuit jours
à
Papis
La Compagnie dos chemins de farde
Parie à Orléans organise un train de
plaisir à prix réduite de Toulouse,
Montmiban, Laguépie et stations inter'
péliades son Paris.
Déraar de Toulouse t Vendredi 18
septembre, à 1 h. 5S M. du soir. Arrivée
à Paris le samedi 19, à 3 h. 36
m. di, sir.
RLTOr de Paris : Départ, lundi 2 Arrivée
septembre à 1 h. 10 m. du soir.
à Toulouse, le mardi 29, à 3 h. 14 M.
soir.
Pria, aller et retour: 2 classe, 53
fracs : 3= classe, 38 francs.
un bureau télégraphique de l'IAoI, à
service limité, vient d'être ouvert à
Grenade (HauteGaronne).
Le nornu,é Laissas ((tienne), Agé de
101 ans, ancien soldat anus le premier
empire et Sainte qui portait avec fierté sa médaille
de Hiléne, est mort mer.
avent, à 5 heures dans son domicile, rue
des Coffre., 17. Ce vieillard n'avait aucune
Infirmité et jouissait Ue toutes ses
facultés.
COMMISSION MUNICIPALE
-o-
(Soits et P. de la séance du 22 juillet)
s'ingéniait, au contraire, à éluder l'arrêté
municipal. Il est vrai de dure que,
parmi les nouvelles recrues, il y eu avait
qui étaient plus propres à faire tram.
bleu le bourgeois que l'ennemi, Ou se
racontait tout bas, avec terreur, les
excès auxquels s'étaient portés certains
mobiles dans les localités voisines, et
les citoyens aisés aimaient beaucoup
"eux recevoir chez eux des chefs, des
officiers, que Lentde
simples soldats. Les demandes
hem sujet pleuvaient à la mairie;
mais les employés ne po.vaient
satisfaire
le monde, damant que de
gins bourgeois, des personnages in.
fluents, asmégoaient quelquefois en.-Lot
de ville
et s'emparaient du chef qui leur con-
e
Todosel typo Moisraerse'

Ylepuis q ne les Semoules
Y
les enfantsurméme.t à l'article 1341 du code civil
abandonnent da'otir on jonc l'inslia- sera mise à la disposition de
trier laique, F,ollo école tombe d'elle. ! tr:,tion pour faim, droit à la demande
nmmu; oa0elo qu lqu s .t l up
preeam r sera titrée, 11 n y a
an-
lu,
uun obsal I1 agit d r L L: e a
fait accompli et de n,nttve n école
e
pleine de vie et d'aven ir à la pleur d'nup
école morte,
Cette, t t t f - I r
lement sans bourse deli mais cornu ed
réalisation des
Lcon,mies,En
anal l'Ccele
laique actuelle colite pour l'inslitntrice,
1,000 pour une adjointe, 700 fr. ;
pour bidet cité de logement, 100 7e. ;
Total, 1,800 le.
Or, aux termes de la délibération du
conseil de fabrique, 1,700 fr, sufdront
pour vous assurer le concours des reli-
«troues qui desservent l'école congréga-
niste.
Reste nue dernière question. Que 1'e-
ent.vous
du
local dans lequel. était et..
ôtée l'école b ,que, local que vara payez
630 fr. ; d'après Is renseignements qui
nous ont été donnés rien ne sera plus
aisé que de le sous-louer moere ove' bé-
néfice. Et dans ee cas, il n'est pas " Il.
file de faire ressortir l'économie et le
profil réel que vous réaliser..
Agjourd'bui .cote école de Croix-D,,.
rade est une de celles où l'enseignement
est
le plus cher. Il
revient à
5U c. par élève. Dons la nouvelle école
qne vous allez acquérir, le prix de ce-
rienL de l'éducation sera bleu ara-des.
us de la moycune ordinaire. Eufte,
Messieurs, compterez. vous pour une
de satisfaire les Pipai, boun
Ilfer
des chocs qui les m,conmnt st
tP bas z, Imorer van; loraqu'clls ce
ce
lavant de fréquenter des émblisscmenLs
qui vous content si char et nulles ,
prononcent pour d'autres écoles qui ré-
pondent mieux à Ima's aentiniants et à
leurs croyauees, Les bh'uneece.vous de
n'accorder point leur conflanee à nue
inatitutriee qui n'a mémo peint le dé-
vouement de , établir ail milieu d'elles
et de partager leur exislrncc, lai aile
lite faire de l'éducation une affaire se-
condaire, et se egarde comme exilée
près des enfants
rqu'elle
devrait adop-
ter 7 Vous n'auriez aucun profit, à agir
de la aorte et puisque les habitants de
Croix-Ilaurade et la nouvelle école des
sieurs s'entendent si Itiea, vous devez à
outre leur vous entendre avec toua deux
et adopter cet état,iscemm,t dont ira
directrices toril de léducation de leurs
élèves l'.Ouire de touer leur,iouevée, que
dis-je?... do toute leur vil.
Votro sous-colnmïssi uu proposme doue
il la Commission n
fo
,',pale 8:uepter
l'ogre de la lobs'ci u Je /:rois.Daurade,
IL d'autoriser l'adwinistration à 'ali-
c, d'mio part, la supprssion de l'école
laque ozisante et, du l'onlrr, l'érection
en école c, mmmfale de la maison où
vont presrntcineut établies l'a Servantes
e rapportant, comme o
de M ri
i
l'a déjà téularé, dans des cas sembla
bics , à ra s erse ,;t l'activité de la
municipaIité et toi laissant la latitude
lié i terni. traiter
. :.file atout cette
Ils avec 1 t itéx académiques
et. qm touche la suppression de l'é-
cole i i'le actuellement existante.
Lescouclusions de Iz sous-commission
sont adoptées.
A. nom de lahsou,-commission
cliargéu d'ex.minm la réelmuatiun des
Iahita l I Id
d bu r b taus 1
I
.e.
ui d d,
t
[nm d
4 t 8
r In et d. cette partie boulevard,
AI l a p i 1,11,!; i bslen adop-
i la tel u L t
Lonsid tard qu'il est de 1 intéeét d0 la
ville dov n r eu aide des les limites
du possible aux nou0uaux quartiers;
Vu le plan dressé par N. l'ingénieur
de le ville IL sa lettre en date du 22
maï curaturant :
Qu'il existe des prises d'eau pensant
sans nouvelles dépenses alimenter les
tmisseaux compris entre la rue Si lier-
tnier et le rue des Chalet,.
Quo les Gais à faire pour le nivelle.
mea IL l'eudévemeot des terres me s'é-
Iéveraient qii ii la somme de 100 fr.
Un crédit de pareille somme imputa-
ble enr les rondo libres esi voté à rv8'et
de faire droit à la demande des habitants
du cu léé nord boulevard d'Alcoln.
Au acte de la s us-commission char-
gée d'examiner la demande de à ine Mil-
leva
t tondant à Pire remboursée de la
vol- des teeeuieu cédés par elle à la
ville par l'éla'gissement de la rue des
Chalets, M. Cessa propose cela commis-
sion adopte la délibération suivante:
Attendu qu'In 1961) il l'ut procédé
sur cette v ublil ue à des travaux
de voirie considérabÎes ,consistant en
égofds, lerrasaements, alignements et
parages, et que la dame Millavet s exé
cota gracieusement en autorisant à
rontbler le Cassé et sur sen terrais la
limite extrême de. la rue, ce ,laid cons-
titue it son é' dte une perte e te -
r n r
vain de 130 pin. J20 carrés;
Aüendrt que, jouir, e pas retarder
les travaux, la me illavet a consenti
à céder au prix de 9 Ce. 011 des terrains
qui avaient été payés 10 fr. p.r la ville
dans des conditions analogues et aan.
ta«ruses;
Qu en prenant pour bas. de l'unité
le é de dn e fr. le mètre
tre carré aug-
eninté
de 1 l'. b pour la .casino vo
plu.tas ia à l'amiabl le dont il e été parlé
plus haut ainsi que pour le temps couru
depuis 1869, ..as arrverons à 9 fr. BO
le mètre carré qui, à cotre avis, repré-
sente la juste indemnité due et récls-
coca par la dama pétitionnaire ; i n
d la d. Mllavet et p él vée sir le
illuit o ei us 'r's ,,,,,,I'.
Au no de la so s- m s ,bar.
bue d'examiner la tropimbon faite par
il, Achille Blairsy de céder à la ville,
moyen ...t une somme de 300 Il. e
p e d n te _
Main d'1 Eugène Briserai,
Cst p t ge rt 1 L mmissiou
ednpm 1 d I bérebou ante:
Yn la lettre de AI, le conservateur du
Musée consulté, déclarant quo l'acquisi-
tion de copies n'euriubiera pas beaucoup
notre r-ollreliun ;
V'u le nombre des tuiles originales de
mérite réléguéeu dans les magasins, fau-
te d'espace ;
Il n'y a pua lieu d'accepter lu propasi-
ti n de M. Achile Blairsy.
La séance est levée,
Réer matin, vers Troie heures un quart
Un violent incendie s'est déclaré dans
la scierie mécanique de M. Burussel, rue
des Amidonniers, 37.
Aussitôt l'alarme donnée, Irs Pma-
pires d'Arnaud-ücruard et Je Capitole
se sont rondos sur les lieux. Malgré la
promptitude due secours, les flamme
=Rude
fait des progrès tellement
rapides ryu'Ou a dit se borner ù son cen-
tra l'incendie dans son foyer pose pré.
serve, les maisons voisines.
A cinq heures (out danger avait dis-
paru et à fi Imurn+, il ,te restait plus
que des d t u l 1,
On uc t pas vm t'
a
t
,
roi
clic le
ncorruie 1 irait etc p muet
ledef e-dnpreu, eétg
.,n
levuvaitune quantité assez considérable
de marchandises confectionnées en plu-
cage et antres bois de toute espèce.
Les pompes de la manufacture les
tabacs du Bacmle et grand nombre d'ou
mers des usines voisines qne mis uv
louable empressement à porter des se-
coure.
De local Incendié il ne reste plus que
les murs. Le inécapisaoe, Ibutillaga et
une grande quantité de bois des ,leu, tel
que palissandre,
acajou'
noyer, chêne
du Nord, bois de rune, etc., ont été la
proie des gammes. M. Duruxsel n'a pu
scauver que son grand livre et la main
rance de ses affaires.
[,es pertes sont considérables et i:ou-
veetes par tne assurance.
Une
enquIête
est ma-tu sise les car-
ses de ce sinistre. Il n'y a pas en d'ac-
cident.
Une ,allie trouvée avant-6ier Si Pli.
nuit dans os parc à 1.1 Croix-de-Pierre,
o été retirée par un volais. La réels mer
au de polies de Saint-Cypricu.
OBSERVATIONS MÉTÉO1IOLOG[QUES
FAlre A
»on. ta «. 10 ..P,._b_ 19114.
assrmsst : 194 ^'.
au, - --
Il e.
.
101.
7sm
f0sm
f^s.
éss.
rnaa°
Orne
vearv.
244,8 19^,3 onv. IjOSO faible,
743,4 18°,0' beau. (INOtr-faib.
inv. s is.
il .N c
N(1
'
7 ., 1 f7^D,cff1 il'aihYm
740 1 Y d. la .
, N
2 1°
74G 3 8 id. NN(1 and.
716 12°5 id. jjONO id.
TA-
.dg,. cmtiprod.:
Aiaximum dn 9.,....... Y.°,2
,tioim. de la nuit suivante 15, 0
dans la matinée du 10.
DÊPARTEMENTS
te'
Montauban, 9 septe.mbee.
Le Conseil municipalviolet d'uecep-
ter le legs fait â là ville, par M. ,il als,
de sa collection, moyennant une somme
de 3,000 Ce.
Il a dévidé, en qu'une Sables.
tion de 130 francs ait accordée ma
futur directeur eu théâtre , pour ,bu.
que représentation dan. laquelle serait
joué un opéra-comique. Le directeur
devra donner dans rePrémntataons par
semaine.
Un a,, ...re pour dimanche prochain
l'arrivée à Castres de la 11a et la 3°
batterie du 9° d'artillerie qui viennent
lenir garnison dans cette ville.
Ua télégraphie de ,fée :
Qu'aire n nveaux mandats d'amener
viennent d'être lancés; un mandat d'ar-
rêt est décerné contre l'un des individus
me fuite.
Noue ero nus ouvoir affirmer
l'aBairil
viendra probablement lundi
prochain devant le tribunal correction-
nel do Montpellier, à l'audience des va-
Conseil de. guerre
B° "Il,, niLt'fA[.es s ANT A
nntiseu.lr.
Attendu qne le temps couru depuis
4809 constitue une perle sensible pour
la dame Millacet et que le non vouloir
dont elle a l'ait preuve mérite qfi il soit
fait au plus tôt droit à sa drnnande ;
Vu le rapport de M. l'ingénieur de la
ville à la date du 7 mai dernier, aaider que
le plan et estimation annexé;
Vu l'impossibilité de .igue, de.s la.
quelle se trouve la dame Millavet illé-
tréc
Paires auxquelles l'accusé répond d'une du devoir accompli, il a, d'une vois pourra , mai' qui cause un peu partout
voix assurée, sur la demanda du prés,- émue, mais mâle, tarir, entraînante, ré des appréhensions plus ep moins fon-
gax également rives.
dent du conseil; il toit la molleton de clamé contre Boss la sévère applientton dés, quel
ce qu i s est passé, d'après lui, à propos de la loi... En revanche, il a abandonné Ton tex an dri les plus extesordinai-
de l'arrestation de Jaurel et la part l'aemtsation à l'endroit de Blond dont il ces qui ont été répandus un mmiien6 à
qu'il y a prise. Iifie la cause à la sagesse du tribunal. l'nrcaxmn de la première mission
d, re.pueaixsent sous
M. Rose passait dans la rue Breteuil, L'aodimee est renvoyée à demain Ilatefeld à Molli
s
s'en
s rlas ,let
le sair, vers les sept heures, devant pour lia plaidoirie de M° Nornboslel, dé. des formes plu p Pnont
oison dont Jaurel, brigadier do
policee,
, fenscur de Buse. mémo aux esprits les plus calmas et ires
était eonc(«f gn. Un fort rassemülmnent - plus impartiaux.
stationnait la Perte il ce de- Avdien du nordi 8 aepteinbra. Plusieurs ja...aux parlent d'une pré.
manda lu eanse on lui dit qu'un pro. L'au fiente est ouverte à bail heu. tendres minn:on qne remplirait en ee
cédait à l'erlesation d n agent de rus. ,,,,ai à pat is un agent du graver'
police. 11 Ravinsa ausait,l la fente, , M° üarnbostel, défenseur de Bosc, croient antriehiee, qui a longlempe bue
pénétra dans la maison, trangnilisa la déclare qu'il ne s'occupera que de son bilé la France où il est connu par des
femme qui se désolait, lui com- 'lient, et ion de la compétence du rits diplo,natiques. Il s'agit de M.
seillamt de laisser spu mari se montrer conseil qu'il admet parfaitement. Il dit Kadsko. Je trouve qu'on parle beau.
la foule, lui promettant du reste que 'le passe et le présent du préve- coup teop de cette mission peur qfi et
d'user de sou fodumme à la préfecture e u protestent contre l'accusation de le suit sérieuse. Du aie, il suffit de
pour le faire rendre immédiatement à Idrheté civile lancée par le -Poissai- rappeler que M. Kladsko adonné sa
la liberté. en du gouvernem,intitulaient.
réclame en ter- démission de sous-directeur au ministè-
L'aele d'accusation relate les faits mes émus son acquides affaires étrangères d'Autriche-
tels qii ils se sont passés d'après les té- Le commissaire du gouvernement Hongrie, au mois d'outil 1870, et que
gans
moins. ,fais Base, lui al'Grma n'avoir réplique et maintient ses conclusions. depuis celte époque il a voya d
,,11
mais vu Jaurel, n'avoir jamais conlri
réplique
Hornbostel garantit, comme avo l'Italie mérédionalee sans aucune attache
bué à son et encore motos cet e[ personnellement, l'hoaaétem de politique. La premiére gneatfon an se-
au pillage dela maison, pillage auquel Bosc. Jet de sa missioa seras[ donc de savoir
il n'a pas assisté du cale et qu'il su' Le covseü, entré dans la salle des dé- de qui elle émane ; or, sur ce point,
rait hautement désapprouvé s'il eu avait libérations à dix heures en quart, eu
,j'avoue queje ne sais rien du tout.
été témoin. Il nie énergiquement avoir sort à dix heures trois quarts rappor- On se félicite beaucoup dans nos ré.
conduit Juillet à la préfecture et n'a tant un verdict d'acquittement pour gions officielles du langage qua Mou
jamais prononcé la phrase que Farce- Bosc, à la minorité de fureur, et à l'u- à Paris le grand duc Constantin lors de
sation, M. et M°'° Jaurel lui prêtent. lfnimim pour Braud. son passage dans noire capitale pour
Son passé d'honnételé établit une ga- ,Use fouie considérable attend pose à se rendre à Biarritz. Le frère de l'em
rancie suffisante de In franchise et de I. .sortie, clin! l'ait une ovation. ppereur de Bassin aurait déclaré de la
là véracité de ses aftirmaitons An momesl de la lecture du jugement fanon I. plus catégorique que la Peau-
I: inleerugatuiee de B.
se termine bar Rls, assis derrière le défenseur, ce ue serait pas attaquée par l'Ale-
milieu de l'allestion toujours sou. sanglotait et s'est évanoui. Cet incident mage' et
".'elle pouvai t vaquer sans
trame de l'auditoire, a produit nue vive émotion dans l'audi. préoccupation à l'ouvre de ses inslitu-
Celuf de ü sud, quo[ rye mens cric foire. bons Ce langage est d'aa-
e . nt peul.cire sous le evppuet de la tact plus significa que le grand-duc
pe.umnalité en jeu, mérité pourtant
-
+
- Ceoslaalui,
,.ommetif
Je trou vuus l'a-
d'être mentionné. V E R .h A I L L E S-PA R I S var déjà du, repréaenle la traction
toute
Braud août onna, avec une franchise de la ..
usse qui, par ses alliamu
eestn naïve, de se vair accusé
de
e l'al- avec les Leuclfteulhies est sensée
e
e
insta il'Un homme dont 1 était le Corrupaedaeca psrtésuJike. fesser des ecmpathies planun mormoins
voisin
et
t, sinon l'ami, do moins le ça _- vives à l'égard de la famille Duil il.
.lurette. Sa femme, liée d'amitié avec Il parait ee confirmer qu'an des ré-
M.
Jettent'
entretenait ,avec la famille
Y septembre.
artiste p rincipaux dl a vlsfle que M.
,,éveil. lit, d'une intervention pros.
de l 'godier de profile des relations ae ep Espagne excite, dans le cote Routier vient de faire à l'ex. impératrice,
d'excellent yoistn.ge. Bien que en ne politique, des préoccupations l'messdit soraI rédaction d'an acte causer le
soit pus l'avis de Janret et encore mules
tes
le prince Napoléon, senle-
celui de sa femme, Braud prélevé qû l Upe dépvs tu de Santauder assure que ment ect ante ne saurait avoir aucune
.leur ee'ective, si la lui .,vile, .i le
'est pas venu dans la .. n de es i
l li t ti é b n
a
es car st on r
eu sur un n ¢
dernier pour l'arrête,, mais bien pour droit politique ne pouvant
êtreprince
miné
croya nt q ue s a m bassad eurs d':tllema-
m'm
le délivrer des .airs de Internés qui et d'A tl' h t o rai nt Celte contre la liberté d'action du prince Na'
[
assiégeaient la maison,
gouvet[. reuw ire Îci beaucoup d'in.
petto..
Ou commence l'audition des témoins
a rissege
Les leeleurs du Se,uu2,Soee nous s
cool gré de né leur donner, des décla-
rations de celle-ci , dans toute c tte
af.,iee des arresalim,s de Marseille,
que
Il'
pooiIl,a.ili..ts .a sérieux. Le
cadre du journal Il nous permet pas de
dessiner Ir côté fantaisiste plus u
os pi44oesgne due gneaiuns gui se
résourlrunl an s n du c sait. Aussi
est-es avec mou rigoureuse et laeonfgne
gdélilé opte nous esgnissrrons les frits
qui nous paraitrout de Harare à dire
retenus.
Le témoin Jarret, la victime de l'or.
restation illégale de 5 septembre , st
appelé 11 SMe fort long di s
style e b t d it l t. ts
qui mtiv t 1 ffliouol 1 pe'L,t
sur les accusés Busc et B'. 1. Il est tees.
agras(Lif à l'endroit de ce dceuior et par
indretiont conbro Busc dont il affirme,
d'après leu fudicatiou précises de sa
femme, la ,ma plût, culpabilité. B-,
brterpellé par M. le président, nie éner.
:
pent 1 s d lanrrL , qu'il
I
métend n, ta de e[n'aveueu
tir t 1 ns l'auditoire
n
aLa
vu.
Juillet, e bonne femme
air, épouse dévoué,, p vent ses qua
rance boitqu'avec an, vivacité toute
pyréué s e (elle est du côté de Per-
le i) se présente devait le seil
dr. g re armée de pied en cap
g
d'énro -
fiunsettde stcs pl.a ma muras ex-
pressifs à l'endroit des accnsés. Elle
re avec une volubilité prsqu¢ lac
muyante, mais muser claire cependant
puur être supportable, les faits duel
elle a été> le léonin et son mari la
victime. sa mémoire lui sert mer.
vaille pour tracer l'historique dàes faits
q 'ellegroupe à sa façon, mais avec nue
méthode qui failli... ur à la lucidité
de aessouvetueu et son amour eeuju-
gal. Elle foudroie de son regard mouillé
de larmes les deux accusés, qub de leur
tété, nient plus qne jamais leur parLt-
crédules, mais, em la supposant inexacte
Jajoute que dans M.
on peul craindre que le simple fait de
Alauriel Richard aurait l'ivteation de oe
sa mise en circulation n'indique de la Porter candidat en remplacement de M.
part de certaine puissance le projet ou
de Puvelules et confie le c:mdidat sep-
tout au moins le désir de se créer des
teoualiste qai parait devoir aire décr
our une iutervenlion
dément M. Afalley banquier à paris.
milil'a sul'OsveIs p
en Elles
'
En Eo ce q. i
l'ineideut de Gue-
taria ou Lumaya, il est à noter qu'une
dépêche ofl,cielle carliste confirme le l'nit
n al'lirmanl que les chaloupes prnssien-
a cherchaieniâ opérer un débargae-
veot, aminé auus prétexte de promunede,
quand un a limé sue elles.
On parait fort inquiet en Angleterre
des conséquences que peuvent avoir ces
incidents. Jusgm'mi la presse officieuse
llemande a été fort leseevér,mois nous
ne ter levons nos a savoir, parle langa-
ge quelle tiendra, si Ai. de Bismatk
veut, oui ou uun, s' ngagee dans une
entreprise qui a coùlé si cher à Napo-
léon I
Gu conseil des ministres a été tenu
ce modo à l'Élysée u la présidence
do maréchal do, Mac-Mahon.
Le départ du est toujours
h2 évadé et son retour i, mardi.
C -t ou. les hauteurs situées près du
p d Reliant qû il passera dimanche
et
lundi 'iv
er revue les troupes qui vont
Lo n i.e.. les grandes mamnuvre dans
les plairas situées entre Arras, Lille et
SaintOmer.
Le maréchal repartira pour Lyon
,jeudi enu.vendredi de la semaine Peu'
hain
Le Camante serait, dit-
,bel de cabinet de ministre
de lai ai
f
é
ineo eu remplacement de M.
Rainuré qui partira dans quelques se-
maines pour aller prendre le comman-
dement de la Cuobinchise,
J'avais raison de considérer hier com-
me douteuse l'acceptation de la capot.
dature de Seine-et-Oise par le mar.
quis de Chambou. Il est inexact que
l'ex .préfet de 6eine-et.Oise ait accepte.
Paris, le 9 septembre 1874.
Bien des gcvs sont persuadés, même
dans le monde diplomatique., que si le
maréchal-président a remplacé le voya-
ge purement civil qu'il comptait fuira
dans le Midb par des inspections mili.
taures, il faut e chercher la
'uns,
dans la situation qui ,est
transfmmée depuis moins de qusxe
joues. Quelle que soit la vérité à ce
sujet, c'est ,,ne ju,[ice à revue lu
e la
d'été llera l'âtlenl'lyoa soc
lesgarde
l'Allemagne vis-à.vie de l'Espagnu eu
ailleurs, elle se borne à citer les jour
nx anglais ers évitant autant que pos-
ible de commenter leurs informa.
tions.
Catle réserve est commune à tous an.
joureau et eu ue saurant trop y .à.
laudtr. Seulement les feuilles de Leu-
dresqui admirent autant quo pe,smfne
la prudente et le sang.leoid dont fat
pienve cette verveine les organes de
l'opinion en France, ne ,explfyuenl
pas ommenl, dans les circonstances
a.tneiles, les partis extrômea semblent
pregdre iv làche, pur dé.. Ultra.
tiona aussi bien que par leurs incite-
.a de bisa c nsater a yeux de
l'Europe que la France est ptua divisée
que jamais et partout l'rappse d'impuia.
salles.
Vers savez qu'il a été dit que M. de
Bismarck, dans s sollicitude Jouir
l'Espagne vain .Ira et au maréchal
Serrant de faire couvrir eu Prusse Fluor.
ppevut vainenmut proposé fx uapila-
listeu anglais pur SI. Camacho. Les let-
tres de E'ravcf'oet et de Hambourg, aux,
ai bleu que elles de terre bol marchés
monétaires allemands confirment cette
nouvelle et donnent sur les causes du
non succès de la proposition du chan-
celier germanique le, curieux rensei.
gnements suivantstlatz: Cest
M. de ield qui, lors de son
mier vo a e à Madrid, fit c naitrc
1as conditions du couleurs financier
de ans gouvernement. La Prusse, dé.
clara-t-il, se marchanderait pus les eux-
ditious de l'arrangement. Seulement,
elle v niait un gage, et ce gage était
Porlu.Rico, étant bien entendu qû en
cas de non-paiement le gaga deviendrad
la riété du créancier.
Malroheureusement
ce marché, imagf-
cipatima personnelle dans cette hagar'
Paria, 9 septembre 1874.
re.
MAf. Achard Ourlet et Hubert Les ornons allemands sont encore
lir,
amis
viennent
affirmer
er chacun
dans
leur
Inur
s
sens tris-sobres de réflexions sur le conflit
ce qu'ils ont vu et entendu. Ce duernier qui a eu lieu entre les carlistes et les
constate la présence de Busc sr les caaon.iéres prussiennes devant Gueta-
lieux de l'arrestation tout es an tenant via. Ici o est Pas sans inquiétude
sur la réserve quai à l'intention qu'il sur les r. de Bous auxquelles peut être
lui suppose, intention, d'après lui, plu. amené M. de Bismarck par cet inmdent,
tôt bienveillante qu'hostile b Jssret. clj'entends dire quetoutes le' puissances
La liste des témoins à décharge cités s'emploient au même degré pour détour.
à la rajuéle de la défense, ,TAI. Givo- Per l'Allemagne d'une intervention plus
m(g, Ilivuire, Menait, Reluquai, Béziers, étendue dans les affaires d'Espagne.
sont à leur tète. Un comprend que de Os an rappelle qu au moment où le
vifs et récieu éloges vont être don cabinet de Berlin se décida à l'ennui des
à M. Rdse. aurxl'Imnmabilité de son pas. deux canonnières l'Albatros et le Nuuti-
nécivil et la loyauté de son présent las il déclara officiellemen4 yû il n'avait
commercial. rat vue que la protection des sujets al-
Ici se plate ce incident assez vif. Immonde, et rien de plus , ce qui permit
Al. le commissaire du ggouvernement aux autres puissances de s'associee à
e, sauf 'ails de la défense, à cette démonstration.
l'audition des témoins à décharge, ac- Le gouvernement français prend ea
e,fa-t et olbema.t l'r,ihéee b on o ra- ce moment des mesures teès.éaerg;gnes
bilité de Bosc, mais jusqu'au 1 septem- pour assurer la neutralité de sa tenu,
e
seul
omeet. I fière, et l'adminislratien des douanes
M^
Hoeubostel se lève alors, e4 dans f deus Is Basses-Pyrénées déploie une
quelques mots chaleureux, il réclame
peu. loti client l'h...rabilité pleine et
e[ entière de tons les jours, jusque et y
compris l'heure peéxenle. Il conclut
écoin à l'audition des témoins à déchue.
ge qui viendront corroborer son dire et
le laver des terribles accusations qui
pèsent air lui.
L'audition des témuies est commencée
et se termine.
Ici ne place le réquisitoire de M. le
commissaire du gouvernement.
Il a été court mais précis, clair, cour. repasser ; en un mot, la politique du
gique et d'une allure rode, miliaire. redoumble chancelier se confond de plus
Il a repris l'accusation, l'a fouillée, l'a I en plus avec celle de Napoléon P' après
Asséi née mn peu de mots pour Iaf- Tilxitt Le prince de Dismarck est Tancé de donner un nouveau et large ecu.
M. Aleaeet 11.11, neveu de M0° De.
saine est, dit-on, compris dans le pour.
suite judir-iaire :motivée par l'év:,siuu de
B.,zaine, et il a été cité à compavaitee le
i
1. devant le tribunal torrectmnael de
Crasse. On dente généralement gtiil
be'i'I à 'aile cit'On` Quant à M°'s
Bazame elle 6girrera, dit-on, dans Is
procès, comme témoin à décharge en
faveur du colonel Villebe. Quoi ge'it
en soit, on s adee9 a ce que les avocate
des prévenus déclineront le compéten-
ce du tribunal et e efforceront d'établir
vo l'affaire est de ressert de le Cour
8assise..
La Bourse a réagi en Naisse enjeu'.
d'hni, pur 'te de plusieurs ordres de
vente ve..a de la province.
Les nouvelles sur la santé de ,1. Guizot
sont on ne peut plus
auvaises. Tout
espoir semble à peu prés perdu.
On dit M. Thieen très.souffeant d'un
atarrhe. Le Dieu public, duel en cornait
l'assiduité à l'hôtel Bagratioe , affirme
au contraire que la santé de l'ancien
président est excellente.
M Luchaud prend, en soir
le train
express de Lyou, pour se rendre dires.
fument à Grasse, và Il désire entretenir
le colonel Villelte et le domestique
Bureau, dont il .sculpté la défense.
Une dépé he carliste Transmise à la
Gaaetie de France , reconnail que les
carlistes cet tiré sur les ¢anonniéres
allemandes, IL ajoute avec une intention
évidemment comminatoire à l'égard du
gouvernement de Berlin, que . les Irou-
pue royales, eu reconnaissant ancuue
of binaison diplomatique de Serrant
et de ses complices, feront toujours res-
peUCr, le teeeilm re nspaghol, et reports'
seruut tonte bravade..
Gom me cette serte de déclaration de
guerre à l'Allemagne est reproduite par
fa '-11, à titre .officiel. , il s'en nui'
vrail que don Carton ne reculerait pas
devant un liée formel au peine. de
BLsmare.k. Cette déclaration ea pas été
sans produire au certain effet sur la
méculaliun qui sali comment le chan.
calier de l'empire allemand exploite tons
les prilreles qui peuvent servir ses
vues cimbilieusea.
Un roreespondaut du Timer, qui, voit
de près ce qui se passe, écrit dBen-
daye
p% ès
que t?"P. les efforts
du µouveeeement frueeuuur garder
la ligne des Pyrénés sont déjdouésl'par
la em,eivencn des populations e une
et de l'antre frontière. Il reconnait que
les agents de la douane et de la police
-cuteot pmntuellemen les ordres
qui Icur sont donnés, unis leur zèle
est i, peu prés ini file. 11'autre part, Is
e.s de l'Ori/lmn e, si oclunes, si
.iér
ont
ii lances gn'uuler ont, o réussi
pnini à empêcher
sr
le ravitaillement ,des
carlistes pur les nombreux petits porte
de la Biscaye.
Sur l'un et l'autre élénfent la ontre-
baude est à pua prés insaisissable, et il
est sert delta.. que lia demi ,anon.iA-
es Ri nssien, 1 . N nulle et I Aléabae,
pareieene.t à établi, t na .leur an
blocus f ace. Cri e d.uit les gents
solaires et armes qne le gomemea.
mnt allem:ufd a envoyés dans nos dé.
percements da Alidi paraissent croire
re qne la surveillance exercée par
les auturdés frsnçain sur les asse-
nents des -Rails et de [tours ami.
ponrr»it Pire pins efficace. Elle se sa.-
at IL s n1 minutieuse
ue celle à laquelle es émus .,='.cols
q
ed t nous-mêmes.
D pro une p d i.e de Berlin
l N u lils c
s
(Deufaehe Naor-
Ircn), il circule
ess
en ce ornent dans
les cercles diplomatiquea de celle -
ritale ,lit bruit d'une nature tort sé.
vienne, que cette correspondance cap.
porte sans toutefois en garantir l'exao-
titude : ° Le m uvernemeet allemand,
dit-elle, attrait reçu de s agents des
renseignements sur les personnes [lui
ont le plus contribué à s tenir les
carlistes par des envois de divers go..
r
Us lu notait n salé : uel
ques.unes dune on était loin de
go.ner me, participation quelconque
sn semblable conunrrre. On
va
jusgifa
prétendre que plusieurs d'entre elles
'
se sont entendues pour orgatser omcvè
système de complicité, ce bu,,
ajoute-t-on, pourrait bien amener le
gununenrnfent allemand à taire de nos-
lies diplomatiques à,
Versailles.
le [IeascAe NrwAréahnen répète sur
un ton de réserve affecté qu'elle ne
saurait prendre surprennent la r s
ponsabililé de ces rumeurs, et qu'elle
se borne à les reproduire au voulant
bien supposer que, de moment où 1.
gonven.emeal français aurait reçu eus-
saissame des menés eu queulios, il
'empresserait de prendre de nouvelles
mesures, plus sévères encore, pour ent-
continuent.
pécher que ces .leu
Nous ne nonnes tenus de savoir
aucun gré à In orses neevesce berlinoi-
se de ses prudentes réserves et de s
bienveillantes suppositions. Noua .tus
permettrons an contrai le lui faire ,a-
mes 0cm qu cela semble professer d'oser,
ét,a nomes doctrines eu matière de droit
des gens. Si la France ne remplissait
pas à l'égard de gouvernement evus.
.ai,,,,, butseles devoirs que ladluirmter-
naliouale lui impose, ûest à celui-ci
.p,,arecoment et rien qu'à lui qu'il ap-
partiendrait de a'e. formaliser et de
n plaindre, et, avant de s'ingérer
d'ana aes affaires et de le prendre sous
sa tutelle, l'Allemagne devrait au moins
atle.dm qu'elle en soit priée.
s'il fallait prendre à la lettre Is as-
sertions aventurées
et
les i s' uxtions
machiavélique de. fenilles nofficieuses
de Berlin, on Rairait par être persuadé
que 1, gouvernemeai allemand n'a d'au-
tre objet que de tenir l'Europe dans
une continuelle inquiétude en créant
e de mvellea dif6cnllés ou
eu élevant d'inadmissibles prélnstiuns.
, ,
gramme pour le session des conseils gb
(Journal des Débat,).
Une somme de 1.074 fr, 90 I. augmen Pane-elles facilement jusqu'au fend de . finner et la creuser davantage. Après dans une sorte de blocus continental 1
tic des frais nécessités ar le la $el e. ctn i e e né aux.
l t Après le, esto is rtélimo- avoir hxrdimcut revmidi ué l'honneur enté-ultramontain ,. ni produira c û il r
P
1
! 1 I q I P 4
Présidence de M. le colonel Rusons,
du 83° de I;gne.
Fin de l'audienec da lundi 7 eeplenrbre.
Ce rapport est religieusement écouté
' '
d un hein à l autre. Aussi, lorsque lis-
terrogatoire de Ruse commence, ses ré-
povss claires nettes précises puemien-
activité considérable pour dérouter
tontes lea iuvesligations prussiennes de
M. Mouton.
Mais malgré toutslles précantiens ,on
ne'peut répondre de rien. M. de Bismarck
est de plus eu plus excité. Il e pulse
sans mesure du territoire allemand tout
Il qui le gène. Les Danois du Ble"7, ig
sont chassés, au mépris des traités es
prétres catholiques de tous les pays, à
peine ont-ils mis le pied sur la frontière
prussienne, qu'ils sont invités à la
né à Berlin, agréé à Madrid, n'a pas été
'..d. même mil de l'autre côté de
l'Atlantique. Si sympathiques qu ils s
soient montrés pour l'Allemagne, les
Américains des Elals-Unis n'entendent
pas raison sur les acquisitions de ter-
ritoire faites par les états européens,
soit sur le continent américain, suit
dans les groupes d'iles qu'ils considé-
lent comme en dépendant.
A la nouvelle de la négociation enga-
gée entre M. de Bismarck et Serrant ;
la presse américaine ton emiére s 'rat
émue ; à son loupage, les n'gociateurs
ont compris que peursnivre l'exécution
de leur projet ce serait â exposer à quel-
que fdcheuse aventure, le gouvernement
de l'Union Américaine devant évidem.
meut suivre l'i ... pulsion de l'opinion pu-
blique. M. de Bismarch a duel dû, en
fonçant h réaliser le marché projeté,
aviser à l'effet de trouver un autre
moyen de fournir à l'Espagne un gage
de sa sollicitude.
On s'occupe au ministère de l'ivtérieur
Y
-.R
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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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WM
Nous croyons avoir mnhtré qu'il
rait été zlremern.at flrlleux pour
notre gouvernement de hisser les jeté.
éL franç. es pr ,I et sols
d¢1 e,ar u d4on des l yr .rées. N. e
avens aven ILupngnc des rapports de
ions les instants. Nous tin pouvons ,
c ine l e honnie instar à e è
ous .
, p u pr s
G'est aafante, une mena de la raine Isabelle,
au ju ement de ces néee aiuservor
iéte sol- n u ne eul
e t i diité à
l g de »S,l .
p q g
m n n ents ce qm se
.
us
p
passe dans la l'éniasale. Nos nationaux dots tin nos dcuz armées rué edau et comparaissaiten a,mpagnie de sait mari, Le pl populaire de nos s, liante
rn
y sont engagés daus des proportions de Meh que nunc renvoyons ceux qui soi la prévention d'escrogaene; s IP n'hésita pas à sncrifier ses prémren-
enip.rtantes. L tin au peint de vue osent parler znjomd'huf de la restait, u e, saur de tin,, Fiam;ms d Assises, ces au salut do pays. N'y avait-il pas 1:1
politique, )ea événements d'Espagne ont ration de l'imper. a épousé u, polronais, le ' m,e Ga- ? e source d'enseigne ente, un excel-
tuujqurs exercé nue iofuence considéra- - lit dans le
,a,,.,! ; elle est ie d e ce n aréage et a te,nes e m do.
blé sur nus destinées.
n pic à suivrrlj Sans aucune de
e de
re v ote p:i
ai
épousé unsu
consul des
l des un,l Glatie-Unis
à
ur permm Lisbonucs. ,
I
l'fou ales 'olmson s
cté te en a
terr aussi
La question pour sous, n'était donc
E produisant la note par laquel it
Pour
mais elle
elle tout tuer
l'A,ere.ir
a :musue+qae ie pré- Sans a mes ressources pm'sonoelles
o
rs, srodui' drbonnes.
,
aj
pas d. savoir si nous devions, oui ou
aident de la ré ubli; ue allait a lister le sieur I'orkins vivait de
op t rois u I q P
, resaller des relations régulières
p
l
P e e à la', l'oie P II ne â agitpas do con
l
ti 1 damner te vexent sans appel mais
P
o
tomber, .et attendu en montant de ,entaient arrivés d'.jagjeteeee et desti- droit divin, mais on se comptait à lui pas là, en effet, un principe unique :
folm qû oa les m imosa-il eut Alletmgde, nos à remplacer les aucunes plions à supposer mille précautions surannées. mais un droit divin qu'on prétendait
comme plus tard les 34, 30 octobre et ualib re uni. Die u denses-t-il sagesse aux ans et ployer au.dessus de la vallon elle-
,
si ou prince qui au contraire ne
nafvaats leurs frères d armes de ! outl:nme aux autres '+ Le drapeau -Il
L at s e de Mots, n'ont eu qu nue vmx - Hier a deux Iremes s'est dénouée l -il tria d il accepté, r1ea'menu par veut rien ten e que de la volonté nalfo-
pm o
user de leurs défaites et de douant let I d p lice oerectf m- re m,un fer ne, taudis ,tue la vallon paie. Pourqu confondre deux drapeaux
leurs rs ion l'impeieoyance du gou- .Il!, une off are dont se pie iccupa,t vi. touera libeemm;t décider deses intérêts ! aussi dissebbll,les P On n'en garda pas
amant le publie par ,. Une réritaUle et de sais sort P C'est là une espérance I moins, dans les deux camps, eu ma.eere
eut de Napoléon It,
'
n ploswma corps ularis,ouxdépeaa d aile d,mle ton,
avec l'Espagne. Une pareille question
tex maneuves 1m
e
ouet toi- tirant des cou- tenant D.n htm l rue Boteve, ut h
ne polluait pas faire de doute saint un
d'armée, divers j
sC,rit sérieux, 11 étuit da taule évi
d séquences coup aires à lit vérité du ce- qui il doit, anjntmd'hui prés de 4(1,000
que nette U,macetin thrl' de l'- Dancs.
nous ne poavions as de" Lard
il..
r
nr. .eu, ue
P
p on
va a n'il se P l a c né l'.rkins en
porter :w vu'a c , ro - Le tribunal
... ondanu
6 I
il
à la
d.vions 1, as sacrifier uns
n:usuel dentreprendre dons le midi. eiuay de pris ma, à 100 fi. d'i:mmdd,
mauvaise
lime que hupeutmeur
nous
plus
causer
ou tonnes
leoles légf-
triste e11es ummss n mesure d'allumer t et
lt an Payement à la dame elihan de s-
état dans lequel as IL ailes la Péninsule,
que ce saut
desetmsgatiol
epurement la somme de t à fr. à Litre de in
q militaires u ont o ce,s
é le maréchal letulion. Quant Ix
dam,
e Per', o,
Fluents une fois .ans ne eo m q a ,i 6 Q
m es as
P il ellIe
de,lac-Nahma à le u tinsPI
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anl auoane revue contre
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'. 1 u'eté Je aisire
on 1a fin de
I.
sin-
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bo desurde
'
voit de u on te liera ée des s
Pis R Y pi
vols. a 'ailea
peuples, qnr. nous avoua exercée p en -
dans les principales villes du sud de la d, Nous publierons demain les détails
1 te.
dont quelques nées, nous a valu pen
France. (de cette almtel.
Le soeéchal-previdcul a mule, par
de, promu et beaucoup de désagré - Ausel.
m
i ooed'Lui mermsrdi. cunuuencé
Ini-même, se rendre compte des
onta : il faut y renoncer eue tais pour
lots quu pauvent produ%to ies
raondes
J
ndes devant Iu ur d':rss e tin la Saine le
tontes,
R
voyer
Don
s de êlur.au l'herboriste de Saint-
P
amer de l'état d'or
maumuvres e t sas
o
C n us devions rentrer en lisPa- llenis accusé d'avoir emPuisomré ses
ne et rem i IL
. ganiati.n des troupes; pour cela, il I
ver us f l d l' t
9 d A è I
, y jumelle. pour no
occuper de
ist eé
lime in,érète. Ce emier
point étant admis, de quelle pr
maNNN
vaiaft-il mieux arriverà Madrid? Ne ls
us
pouvions y arriver seuls ; noue Peuvent,,
y
arriver
en téteàtèteavec la Prusse; en
jamais pouvions y arriver avec le reste de
l'Europe. Arriver seuls eût été peut-étre
Il flatteur pour antre vanité ; mais nous
n'aurions pua tardé à payer cette petite
satesfaution d'amour-popes; car le leu'
demain, sinon le joli, milan, la Prusse yy
serait arrivée nomme noua, et le téta-à
téta aurait manqué de charme; un duel
e. serait engagé forcément entre l'in-
fenneeprussienneetla notre. Une pa-
aille éventualité, doux l'état actuel
des choses, eneait été extrémemont fà-
rhease, et nous ne pensons pas qu'un
bouton cessé puisse la regretter.
11 fallait donc rr er à Madrid avec
toute l'Europe Uéa lima nous sommes
dans la uonditiao des autres puissances.
Nous n'avons pas plus de respoosaLilflé,
et nous ne uournns pas plus de Jaugera
que l'Angleterre on l'Autriche. S, la
Penser veut exercer aile tes alaires d'Ks-
pagnc 'nus enanence xbnsive, les autres
cabinets étant représentés comme nous,
n'a pas héafté à reculer l'époque où il
compatit se rendre dans le midi.
Les populations de ces régions appré
r lit certainement le motif lai em-
péche le président de la république de
les visiter en ee moment, obligé qu'il
est de sa .naceer à l'examen de Dos
forces militaires.
- Voici, d'après le ,tiennent Univers
sel, la eompositfeu de la m,asion mili-
taire envoyée en Allemagne pour y eni-
vre les grandes manoeuvres :
Chef de la mission ', M. le colonel Sa-
in de Larclause, du 14' dragons ; en-
voyés : M. le lieut,...t-colonel d'Aeho,
du 82' de ligne ; M. le capitaine de lé-
or du génie Manier ; M. le capi-
taiae tleg.dit, du 10' hussards, ,,flicie,
d'ordonnance du ministre de la guerre.
Le de Jtni,e-et-Loire nais ap-
prend que depuis lut, Ji le comité bona-
partiste a f:dt placarder de n villes eaux.
uffches :m nom de M. Berger. Ce eau' . L'accusé' qui 'et .o homme dsossea
didal ne s'intitule plus eundid t eonser- ! Polit, taille, an front trés-développé,
nient, mais simaement ru didet de aux gons enfom'es, a tonte aa barhe ;
u
l'Avent nu veuille. C'est
mr
effroi, ce
^es sourcils sont relevés pi, le bout
ex emmes. pr n ecture e ac e
s
d'accusation qqui emmlut à la culpabilité
de l'accusé il est procédé h Yillteeeu-
glofer du p'évenu Gui répond avec une
extrême réserve aux gnes Duns dus pré-
sidant et garde couvent le silence. Ou
entend ensuite les déposilions de pla-
"enrs médecins qui ont saignéttribu
les deux
Me ' Moreau et qui ont aé lotir
décès à des maladies ordinaires,
La table des pièces à conviction est
chargée de bocaux, de divers ustensiles
d'trerborisle renfermés dans ou cha-
dron. Quatre de ces bocaux de erre
contiennent
trouvé
des organes des deux
femmes Moreau. Le corps de Félicité
Aubry fut dans .,n état de c
serration ordinaire ; il était momil'sé,
sec et ,jaune comme du parchemin. 1,a
méme
opération
lut pratiquée sur le
corps d'Adélaïde-Louise Lagneau et les
corps
émes précautions furent prises pour
le cas d'une ,xnrtre-expertise. On raft
ces tu rotes débris à nu à trt,vers les ba-
paravent ca,mme nunc exanuner ce gnose ramivelle d,-, théories couteanes dans sa Culeriem et donnent un nie etrange a
ont à faire. Qaelgees ligues de conduite 1 circulaire et qui net attiré à M. Berger regard. A lu dérobé.', ses veux se
que.
Yen
tienne,
`"s
s pas un hlfvae énergeque.,le la part du gou vers lea hoyaux placés à une
seuls la respoesabilit. iCest .an ailes- ruenenf du maéchal. petit, distance tin bans ce il est
nouslion
.
incontestablement meilleure pour e assis.
O pue&c
Ce n'est ras tout : le h asard a vou lu
i{j
- -_Nns
sil
nredansnsci nlecie,ents
articuliers
qu'une tirs grandes puissances, s lia R
eDu
P
que nais l'y ayons poussée le lia nsadu actes per mettant de douter que les pour- Î , '(
novae, etc refusé, malgré I, ,eus auflea e.mre le cumula de rappel a, , LA Ri;QxLK7.it9'C[ON
de la P, ls.e, de eeconniitre le g,uver- ' Peuple soient conifnnécs. I
i. n - A ce su 1 et ' des dissidences se s
ml Cette affaire pa
ment esp:ng
.duites ai. sein tin conseil des IV
raient Pr
L
,uc erL
sé ueut
i-
été pour la p olive1
q
a l'owasfcs, s n pas d'au èche,: (ee
e rait trop derè) mais d'mi meut.
li 'av.es-noas donc à
re
regretter ? Nous
avons
agi pour le minas des intérêts
francaia ; nous ne nous sommes pas Pli'
lés dans aile situation qui nus farce a
prendre des eexponsabilitév dangereuses
eu Nous or sommes
méme pas respuusahlos du petit déplai-
ir que la Prusse est allée. chercher à
Pdterabom'g- liussi.ns sous souhaité
mieux, si nous
avions
P. arranger les
'buses à notre convenance ?
(dnnrn.1 de Parie). Baille 1 ordouen.
On lit dans l'Avenir rriititaire :
Il
est dea dates qui, dans la vie d'un
peuple , ne eau ,e,t passer Iinaper-
ques. Celle qui Inons rappelle ls ha,
IaBle du 1'' septmnhre 1870 est de ce
nombre et il n'eal persane en Fiance
quf, et, voyant arriver led.uloulenx an-
bersafre, ne e soit senti profendé.
ment
ému par JIn souvenir du plus grand
désastre
,cil itaun qui ait jamais atteint
notre armée.
Sedau peesunnifieeo effet peur lino',
ocre Mole, toute celle guerre néfaste
qui a abouti an démbrmnent de la pa-
trie Les partis
premofitent
de cet snn -
versaire de
Stable
et de celui de la révo-
lution qui en a été Lu conséquence iné-
vitable, pour se renvoyer 1'mr à 'autre
la responsabilité de tes événements. Des
ré,,.., ations ,toute, les9uelles p rotes-
Lent ,,,a Poils, ne sauraient émouvoir I'o-
e. Elle a porté sua jugement sur
pinfn
cette époque et l'histoire ne le modifiera
sans doute pal.
'l'ont ce qui n'est pas égaré par l'es-
prit de parti, tant su France qu'eu Euro-
pe, a rende Napoléon III responsable due
malheurs de la France. Sauveraeu, 'est
lui ,loi avait la garde de l'armée fran-
çafse,etcomme tel, il devait savon, à
quels adversaires elle pouvait élis op-
posée. Il l'a jetée in :onsfdérémeut sir
uu million d'Allemands sou.... ,ent orc-
paréa â la guerre, et malgré leur vos.
rage, nos soldats ont fort,émeut s
combe dans cette lutte où le nombre et
l'
i des armes,organisation et
la pu s liane pour qû on puisse prémndre à prendre
ia tactique ont été contre nous. - Le différend qui était survenu en- rang parmi ceux qui sont à le tête de la
A cette immense sponsabilfté tre le lapon et la Chine parait e voie
nation.
d'une guerre follement déclarée, à la d'accommodement. tune umbossude bu
o due e imprévoyant, des premières e est ortie I'it olcis Pé. Il faudrait donc que la co mar.
n p
uI`
e n t ti nn.efs p polo, , pour
ha'e légitime Put de ... vau Prendre
de o c n ognr . lp go Cette
ambassadedeém
sassai agitée
c
P
opérations ki
nementeel'mut, air eue ai celle
lve e.r
lu tin général Lesais gé. La presse englai- passée tans et pays, quelle spiratl le
.ait
pérae'u -regordua assumé, celle de la sc excepter, Pause g.,,al est que oses pris et se couforamit aux aspirateurs
narche sir Se Cette , pén,t
p
ion n ,ae réussira à arranger les choses présente'
tout
en corrigeant leurs
été imposée an .lié chal de Nlac M.ahan, 1 à l l'o'amiable
entre les deux gouverner écarts. Le ,,.,,a-telle P France,
et uautrlle ont abouts à faire cerner .enta, gouvernée librement pur
des
os fils les
miffil,
jacomce
rêve ,ladOmst
nos
q outre
curas, appar si il au 1 De grands préparatifs avaient été plus auturiaé soue un sceptre respecté,
souverain aa
unaemeilent,
de daii- 1 faits dans le cas .il la guerre sav aurait
.
t
ver le
segnagns ,o I'n,o
pitalati,m
.al- 1 été déclarée. L'arsenal de
Shang-haïate
poursuive, durant ce siècle, de la démo-
gré l'avis dn comnmdaet en chiai' P était eu pleine activité. A Kaon-Chnng, cratie couronnée.
éventions des masses, aou-
Ah f l'armée n'o pas besoin gra'nn également, on trnvaullait sans relâche. wMais soit Pl.
jugemeat vienne confirmer à l'ex-mnpe- Pendant le Unis derniers mois le venir du paé u e glmnenl de ceux
rose la respunsabilelé que, bien impru- ' travail en général avoir été suspeu qui prrfrndentouaen hulure les ailes do
""en" le
Parti
bonsp mine
.'
voulu da et tous les niions se concentraient temps, ,. ,o tic légitime semble
rejeter sur le générai de Wlmpleu. Les nue la production dea boulets et de la pparmi nous le parti le moins populaire.
80,005) hommes qui, du 2 su 8 sep. ' mitraille pour lea gros canons rayés ré- ou ne croit plus à sa.
ministr es. .
mI ue parti veut men nous peu.
- l'oies la teneur des résolutions. meC
hOre,
à l'exclusion de faut autre, t.
a
doptées par le Congrée des viex-ca- te régéuérftion stout unes
.vouscesf
tholiques actuellement réunis àFui' grand besoin. Examinons, sa i'- parlf-
bonrg : pris, Jusqu'à quel point ces prétentions
. Art. 1°1. - Les lieuxcatholiques sont Justifiées.
muintieanenl, ainsi qu'ils l'ont déclaré i parmNu ine savo
ans
ns ntons lue I laubiluJc Joue
uutérieueu leurs 1sréten- t n ville unmense. 11 e
Demi ois
eus aux binas eeeléaia de l's, et dl- e s t en cela des litote rococo des hodi.
Demi
la protection de 'Etut pour vidas. Néanmoins, la
ele
'r quanae lté hu-
sanvogardcr leurs,Irufts. 1.'umendmne le union est loin de outrequ'une
illusuubu
Mfciaelis nie a l'Egliee catholique le et il faut flic. rec.naaiee, à moula de
de
droit de propriété des églises et biens nier le mouvement, entrant le 01 le
leu Coastegnes, et le revendique puni phe grec, que nr habitudes soit le
les Gomu,nnes jouet de
ce
qu lin na,mne pli pi'eut u
. Ait. 2. -- Ils n'ont pus li sil-ee la 1lance a dù son unité,
euleprospéritéL
seculuêohar Ivre a Ires de célébrer le Iu monarchis : elle ue peul en perdre le
e
service divin. lis dena églises ,.Lholi sprats appeler de tous lents veux cette
quel, de partager les vases et objets forme de gé iti me, sise Cependant I.
sacrés servait a la célébration es e,-vis sure ee ligue, u le pays .cela-
,,, et d'avoir leur part dmis les béués nec avec atour, .
t que
-elle Vides Imu
free et PI'ébundes ecclésiastiques en verse en 1830 que n SI antres gouver
roporlfmr du nombre des fidèles. venants ? 0. vmdot iger le sfécle à
L'amenden,e,t Nichets déclare que la remaate son cours, et il enporm Vint.
vite; do Il ace, Mgr Neglf., ale- puissante digue qui prétendait lui faire
prés laquelle il est i..n,quemenl fol- obstacle.
possible qua les ,,athulignns se servent Aujourd'hui, la légitimité serait amis
dru églises ayant servi aux vienx-catho- doute plus à méme que B,ul. autre parti
tiques, est contraire aux perscintiuns de rn'ivcr les notions morales que nous
antérieures de l'Eglise qui a annulent uv ms le tort de trop oublier : mais on
permis l'usage ai+nultsné des églises). redoute généralement le retour d'abus,
r Art. N. - Ce nombre ne pourvu de préjugés qu'air ne saurait plus lolé
litre constaté qu'es nrocédanl à un ver. La France ne peut plus appmele-
vole dl loue les catholiques ; vote à une minorité d-heureux prlvl.i-
q exprimera ils reconnaissent la fils : le but évident de la civilisation
Constitution du té juillet 1870 uns' moderne est l'améli...lie. do sort des
cernant. l'int'aillibili té et l'omnipo- masses et les masses, u., le nuit,siai-
tence du pope. (M. l'etrf a ajouté u ment plus lesl'aaaeis de l':aveugle nasssau
umendmnent disant que le vole doit ce. Courbées sous le poids dujour, elles
avoir lieu parce qu'air parti religieux ont maintenant nue tension à ne plus éte-
ne pourra se former par le simple vote ver sur le pouces populaire que ceux
sur la négation d'au dogme daus une 1.'.. uununait autrefois les parvenus,
querella dogmatique.) c'està-dire ces élude leurs propres a-
.4. - L'F.ta,, a qui f.en.bc le sens qui ont exercés, romn,e elles,
devoir de protéger les vfeux-catholi- cmx nobles luttes du travail. fi suffit, en-
quis dans lenrs droits et de torr .s ,aire moins de nos jours qui au temps de
ver nue par t propuetfunoée des biens Bedeau et de Beaumaeebsis, de ne s être
ecclésfustiquea , cet également , bligé donné lion 1. peine de mitre, el, sans
d'ordonner ce vote partout où les droits tenir gran d compte des oripeaux sous
des vieux-catholiques sont lésés.. lesquels notre suite cherche à se dls
(Le Pranfaia), tanguer d'autrui, il est indispensable
quoi ait nue valeur réelle et personnelle
de le
bien do laü inspire, confiance et
diriger dans la meilleurs voie. q
.n, lieu d'an
isement
cent qui n'a fait dac-
malrr,
les
olaitacles,
le représentt
de parti étal6 résolument deeoendu
danun
s la lice si le demi-dieu lion voile
9
'eux alaires
maladroitement an. PoP
rait saisi le tiraami
nei'o, tet seau lieu de mea pros-
m'irc, les aspirations de la démocratie
le ra q. '11" ont de légitime, peut-étre
le pays serait-fI enfin sorti de ses face>
li tudes.
Mils an lieu de s'emparer du cour de
la F'rauee à l'heure l'ugitlne oà cela se
pouvait ou a préféré suivre
des impulsions. sans doute
tablas, mats qui n'ont fait qu'aigrir
les esprits et décourager des partisans
dont le zèle s'est
refroidi.
Inc nanvelles
défiances en sont nées. On n'a pas .a.-
'Jeté n'affirmer que l'avènement de la
légitimité ramènerait le règne des cour-
tissus an détriment des han, mus de va-
leur et des intérêts du pays, que l'Église
elle-méme, redevenant mtolérante, noua
porterait aux plus redoutables .vent.-
,es mis se d'avmemges parement tem-
porels. Ne sait-os pas combien les par-
tis sont injustes les uns envers les .o-
Ires? Laisser prise à le médis:mce, n'est-
ce pas faire .sites parfais les plus ab-
surdes calomnies P
Ah ! nous disait nu partisan sincère
de la légftimfti, su, sortant de son
. étroit giron, brisant les coteries qui
. l'étreignant, le prétendant s'émit ma
nsfesté au c nme n'eùt pas
manqué es le foire son ,lent
e
lb', sfis'e,aet inspiré des
besoimmns
de
s de
w temps, e'fl avait "'Il Il", confirmé
. les c es de la démocratie au lien
de
meller
mettre en cette grande
erré té de Lt
notion,
,
l
ldre ot la 11-
berc parmi n]ous n'anafeut pas ail,
. d indre de nouveaux
e l ongtemps, cra
naufrages. .
L'aveuglunnent des partis, produit le
plus souvent par la confunce lsans
eur mf-
on
Les qu'ils out en eux-mê'mcu, lever pli-
et -roctot de Inciter des osons do
passé et des nécress préseules. Cen-
dmnner en masse In démocrnte parce
qii elle traîne toujoursosé e sa suite finee
v table fémr comp dry ambitieux de
bas élo
d'
hgecLileet d1es
t-qu
pervers, était-ce faire
e.t mé,ne de sfm-
ple 'eûe
-il as été lus sa o
PLI
an omo l N'eit
de se montrer talrile méme divers
des ennemis, et
d'
d'essayer par là tir, ga-
gner le cour du pays t
en
de voir, de penser ; les défiances n
lurent point diminuées, et le bon vou-
loir de représentant de l'ordre en-
-veau ne parut guère servir à celui tilt
passé.
Aussi gaiest-fl salon gtmnd la lég9-
fis, malgré les conseils de ses par-
tienonues,
a cru devoir maintenir son mira.
peau 7 Les regards anxieux d'a -
a ont dirigés vers le prince
écllviaie/ se
ré qui sa si dignement rempli la
a la justice lui im o-
set qui eut qu J P
hommes qui doi-
re lin des
sa, et
vent inspirer le plus de confiance, au
pas Îe Christionanimneoqu'on oou'ag
'9
e et le
et ai bien noursuivi
u' nie
progrès
leur æuvre méconnue, que la liberté
des peuples ne' eut plus, de nos jours,
être contestée Les autocrates nx-
êmes sont dans la nécessité d'affran-
chir leurs serfs et de leur donner u
semblant de constitution. Quai de plus
naturel que les nations veuillent sauve-
garder elles-mémes leurs propres futé.
rets ? Il parait bien difficile, avec cette
manière d'envisager le droit nouveau,
d'en rayonnante un autre supérieur à ta
volonté des lotions. On n'admet plus
que le sort de tout lin peuple dépende
de la volonté d'un seul homme. N'est-ce
donc pas, si l'heure de la république
n'est pas encave sonnée, le gouverne-
ment constitutionnel qui doit l'empor-
ter parmi poux?
VI.
Au milieu de nos vives angoisses, le
cri du plus pur patriotisme qu'au ait
poussé a été celui d'une femme qu'on
ne pmrt plus considérer comme étran-
gère. Devenue souveraine par l'attrait
de la grille, elle méritait aussi de l'être
P"' son leur géuéeeux.. Sauves la
France sans vous préoccuper d'intérêts
dynastiques! s telles furent parmi
nous, les dernières paroles de la noble
espagnole, qui a redit plus d'une fois
qu'elle eut donné sa vie et celle de son
fils
peut,
raclmter
Il patrie d'adoption,
Certes, les partis n'ont pas ménagé l'Em-
pire quo n'a donné que op de pelle
critiques fondées.
Nétranmoins,
ou
comprend facilement qu'une errai d'é-
lite, comme celle de l'Impératrice, ait
pu rallier autour d'elle un groupe nom-
breux de partisans, parmi lesquels
on compte des hommes émmenm. Mais
il mat douteux, do moins gainant à pré-
sent, que le pays demande snn salut à
une dynasDe dont le dernier représen-
tant loi laisse un si funeste souvenir.
Un reste, en ce moment de constantes
hésitations, Il convient de ne rien pré-
juger ; les plus clairvoyants e troue'
est doux les revirements de l'opinion.
Lorsque lo r .,il
prince l.ouis-Napoléon dé:
,msece
r
f an
1
plage
banua su S Y
toute armée un
viranta ayant
feuillus tout m pays comma vii
ces
fou
toie end., pensé re pris
a
tt
tel prétendait, pût 'onb
être
val
sérient, Aaip, os l'oublions
lopas, l",
aies
girouette populaire qu'on nomme go us
ounet
qui
unble ne tourner quai
111e
ce qu'elle croitétireson iq e
n'est jais plus luneste à la
notienon
que
aucemn'ellame
,,..,sacre nue injustice un
sucres coupable qui la
démoralise
se
l'enrichissant. Ne nous lassons pas de
répéter qûil est des notions nngvelenres
auz intérêts matériels sans lesquelles la
cf flisati.. ne saurait échapper à la dé-
cadence. Les oracles antiques .,afeet
soi e dr. rdserIl ver le jour de llreprescrfp-
tfble j.,sthce,
fient peut.être pas sans
objet de remarquer, par ce temps de
scepticisme, que l.rsque nous sommes
tentés de l'oublier, la Provideuee se
charge de lieus le rappeler.
Non-seulement le pays poussa le prin-
ce-président au D.rnx-Déemére ; mai,
il amnistia le coupable et prit le forfait
à se charge. Sans doute on ne vit jamais
plus de richesse, plue d'apparente pros'
périt,. huais comment parvenir à faite
respecter d'autrui lia qu'on a violé soi-
-1Avec les meilleures intentions,
n fut impuissant 'à reconstruire l'édi-
fice qu'on avait soi-même renversé. La
France s'enrichit ; mais l'esprit public
s oblitéra ; et grand l'inévitable ehdti.
usent fut venu, le pays cent qu'il pou
voit en rejeter tourte la responsabilité
,or le souverain de s n choix. Ne fie-
ouvenir
mail-il pas p
équitableuniscitare
là méme
eue usus
avonslusEte
p p
I nous aviot,s péché4 ie l'on avant
min` affrm6 qui il n'est rien au-dessus
des jouissances matérielles, peut-êlre
funs-nous pas eu à subir toutes
lev lao
les hontes qui on semble si vote oublier.
N'y a-t-il pas là comme un nmuvel ro-
sergn de cette un il Pro-
vidence
ce
q qu'
u'or prétend aujourd'hui
urd'hui snp-
primer, etn'est-il pas prouvé une foi.
de plus que tout autre intérêt doit
s'incliner devant celui de la justice?
perdues polir personne.
Si la Fraaue,
Iibryment consultée, rappelait ta noble
exilée d'outre-manche, les conseillers de
m jeune fils sauraient sans doute é -
ter des foules dont nous a m i l aIt-
temps à soufrer. Mais Ces tant",
'onhlions pas, c'est à nous-mêmes que
nous Ils devons. Préférer le sneci:a
coupable a fa justice, D'est délaisser le
droit ehomin pour revenir à la barbarie,
c'est rejeter la nation divine sans la-
rpiello tant est néant. Vaila ce que ne
devraient jamais +rublfer a-eus quinc.-
de l'ascendant sur
leurs
sem-
blabins ou sont dépoei[asres d'une m,-
lueili Ilégiti,fto.
Mais, pour élyd équitable, reconnais-
sons aussi que parmi les
rageurs du
droit public qui se r-onanluren6 à
fi
i l e
gel,
er l'Gm r P
énsestanae ié. Ceus-
'cI
ne s'est
punPitetri
Plus
d", q
,
onv
là mfanes ryui répandirent s, spmmit,
do haut de la tribune ationalo, jeter
éloquence indignée, qui ufrmu .notre
sot
eque ,plaquant. P rouvé
de v
:w
ue 1t lé alitDur parvenir ae-
sis
p
ir, était8leur
Pmoindre souci, et
pouleq
qu'ils pouvaient duos l'ombre, vfole-
bonleesement ces lofs dont on tes av:di
cru les plue intègres défenseurs Il
suffit, dans notre malhesceux pays, qu'on
gouvernement de violence ait réussi,
pour qui il tasse naitre aussitôt les
plus étranges imitateurs, et ce sont, le
plus souvent, ceux geai n'étalent posés
en justiciers de le violation des loue,
lui s'empressent d'I,aile, le crime quels
dénouaient nagnére à la nation. Le
seins commun ne ferait-il Pas celle, bon-
ne justice de ,,ce larrons du sceptre
national? ou nous faudrait-it, coonee
l'Espagne, en vr-nir à fa guerre
et
consommer nous-mémes ta ruine de .ne
tee patrie? Quoi qu'If en soit, sous ne
pensons pas que la
cule d'du page
puisse
présentement tua
ln v
venir d'un uon-
vel Empire.
M.
P»
(La suite proelenimmoent).
Un décret rendu le 7 avril 1873répu
par
PI. Thiers, clora président de ta -
blique, a ditermfné, ainsi qu'a. se le
rappelle, que, sur le reste libre des of-
frandes nationales aux victimes de la
guerre, il serait attribué une allocation
de deux cents francs à chacune des or-
phelines des armées de terre et de .ce
e.ompeises dans un élut nomuatsf sou-
mis à la commission supérieure de se-
cours pur le comité de l'OEuvre des Or-
phelives t approuvé par le ministère
de la
gueerrn
Le méme décret preaoeiauit le verse'
ment du capital représentatif de ces .1
location. à la Caisse des dépôts et consf-
gnntions, qui doit eu servir l'intérêt à
h, go, annnellemmt capitalise au profit
des bénéfefafres,
Nous apprenons que le ministre des
finsnces, le directeur général de la Cais-
se dea dépôts ",consignations, ainsi
que tes préfets elles comftes dea dépar-
tements viennent d'arrêter, de concert,
toutes les mesures nécessaires pour que
Ire allocations inscrites au
n des o,-
aveline, quf viendraient à décéder,
d'avoir atmiut l'dge de vingt-cinq
soit
ana, sofl> avant l'époque de leur mariage,
ainsi que celles de ces allocations qui
n'auraient pas été réclamées duos le dé.
lai d'une année après l'expiration de
ces termes de eembonrse...t, XNeal em'
pur lieu entre des rpheli,ee envnii'anfea
avec les intérêts échus y afférents.
V,
Nous avons, connue l'Angleterre, pos-
sédé aussi notre maison de 1Lmovre .
mais nous ri;rvoos pas eu la sagesse de
la eunsercee, Ou ont beau reprocher à
la "louaitLil de ,juillet son origine et
sa préférence marquée pour la boue-
ie ses représentants sont restés à
,jumle titre populaires dans le pays. La
l'amillo d'Orléans, lin sein de laquelle
tans les héroïames, tontes les vertus
parent d'amer des exemples, favorisa
celle merveilleuse érlosmon des bd-
Ires et des arts duel la daté sera
conservée dans l'histoire de l'esprit bn-
'n. Mais un eut le tort de piéter des
arums aux anomie de la nouvelle amis-
tacrat.ie ne laissant ,,airs qu'avec Phr-
tas elle ,,avait se passer de tout autre
Dieu. Les bateleurs pohtaques, qui sont
de tous les temps, ne masquèrent pas
de pnmmrner l'avènement de ce qui on
nonanar aujourd'hui les couches noarvel-
les de la soufété, et, après avoir plongé
dans la plus allreuse misère cour qu'on
prétendait enrichir, es les poussa aux
journées de ,foin. In licence, comme
toujours, ions conduisit au despotis-
me.
()arts ne furent pas plus tard les es.
grecs deps gens sensés qui, pur incurie,
enl ennes cette désastreuse révolu-
Lion . ltion neet éth phis facile 9ue
e
d'acconapur alors sans secousse les
ré.
l'ormes ,pas nécessitait la .louche du
temp Mies c'eùt été là æuvre de ,m-
son, d, patrfotfsmq uhoae dont .,e se
sont jamais préoocupés ,la spéculateurs
rel'ermusess De
lv rois Luuis-Philippe et sa
vertueuse compagne, bue. des prévea-
tions ont disparu, et pleine justice a été
rentine à une famille dont l'atlclrnment
P", In Pranaa est cornu. Uès que l'on
sol, peordant que l'ennemi nous acc.-
blail, que les princes d'Orléans venaient
d'accourir au secours de I. patrie mn
deuil, on l'ut presque tenté de croire au
alul, conltao si le dévouement sans
bornes de quelques nobles canars ait pu
luter contre les peuples que l'astuce et
la haine avaient su armer contre nous Y
Quoi qu'il en soit, le pays ne revot
pas sans cime des princes qai avaient
vécu de sa vie et meut plus d'une focs
secondé ses modernes aspirations, Ce
n'étaient point des étrangers ceux qui
fuyaient la sécurim de l'exil pour venir
offrir leur sang à la patres et cicatriser
ses plaies : on se reconnut, on s'aima
comma en de meilleurs jours, Devons-
s rajouter que le grand parti conser-
vateur sentit remelte ses eapérances
d'natrefols ?
Il était logique de croire que la fur
aion des deux n ...chies Irae donne-
rait une nouvelle farce qui finirait par
vaincre les hésitations du pays. C'est
.
l'inverse qui s'est produit. Il n'y avait
- Il vient de mourir à Mette, un
homanu dontdia folie a eu pour origine
une passion es plus étranges.
Cet individu, nommé lustln, .tait
montreur de figures de cire à Mo-
trou-gel. Sa galerie se composait de céléhrl-
téscuutempoeanines et de grands crimi-
nels : la marquise de Urfnvilliers, Lacer
situ, le dalleur
Mme Lafaf-
ge coadeynient Abd-el-Kader, Schamvl,
la reine pomneé, etc
Ou voyait au milieu de cette galerie,
et placée en évidence aur une estrade
une figure de jeune fille parée avec une
grande élégance et remarquable par le
modelé des formes et la pe rection des
trait.. lJue chevelure abondante col..
tirait son front et tombait en longs au-
.eaux sur ses épaules nues.
Justin l'avait baptisée du nom d'Elmsa:
IL la trouvait si belle qu'il restait des
heures entières en contemptattoa devant
cette figure. A force de la regarder Il
lui semblait là voir s'animer, et ses yeux
bleus, voilés par de longs cils, répon-
de. à sou amour.
de cerrtte illusion, .luntin
à défaut de
Sous
,;i-Pi,'- e
t,é liea t sa rel's t
66
boniment, l' ne s'arrêtait plus devant
la porte. A l'aisance avait succédé la
pauvreté. Enfin, le moderne PygmaliS
ne pouvait plus su séparer d'Elisu Sa
femme étant obligée de coucher si
liun
matelas, et, lorsqu'elle tuai faisait des
remontrances, ll la maltraitait,
Cependant, em jour t d'injustes
celle-ci,
irritée de se vote
Pobjet
d'injustes sévi-
ces, s'emporta et brisa la fragile Idole.
A 1. vue des débris, Juslta poussa un
rugissement de fureur, Il saisit un man-
he à l et en frappa sa femme, il
l'eàt
infainfaflloblement
assommée si les
voisins, attirés par ces cris, n'étaient
aceomrus à son secours. On fut obliggé
de garrotter cet homme, atteint de dalle
furieuse.
Il tut 'emmené
'armé à B!offre pendant
l nés, et, jusqu'à ra deiae veuve,
il
e
.
a ,élu sous charme de .a vision,
eu extase
devant
nt l'image
mage
d'Eli
lisa.
(Deuil)
La gloire et l'effroi de m démagogie
front ta fortune de Napoléon e . Le
besoin de stabilité unes fit préférer le
dernier trône impérial aux tourmentes
M 1ea d'une liberté mal assise,
Mois
le
le despotisme, nomme tous les
s
s de vilence sont Il tel,
nier acte est d briser les tables de
I. lot, est peu fait it parte aider à la régé-
nérateondes peuples. L'exemple est plue
éloquent que la parole pose faire ies
porter les principes, et il est difficile
d'exiger d'autrui des vertus quoi a os-
tensiblementoutragées, Un autre péril
de ce gouvernement, , éat que les mas-
ses faisant par se désintéresser com-
plètement de leurs intérêts les plus lé-
gi0mea, Lu Dévolution étant vaincue, la
paix du loyer assurée, on n'hésite pas
à remettre le pays entre les mains d'un
seul homme. Avons'nous besoin d'en-
diguer les résultats ordinaires d'une
:aise coupable abstention?
De telles leçons ne devraient être
elmfa nu 7 aneraasne 1874
Caxaboune (Josepie-Français), 75 ans,
rue de la Chaîne, 19,
Saurai (Anne), veuve Suites, 81 aile,
quartier Saint-Simon.
Front", (Jemane-Catherine), épeuse
Bomsignac, 52 ans, rue des Balances, G.
Miquel (Marie), 1 an, au quartier de
la Colonne.
Andrea (Jr"-Marie), 11 mots, rue
V'illenouvelle, 9.
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SANTÉ A TOU$ r
1 sans m `0eesn
f l 1 hl lassos lies s nd de DO
Uaary le Londrv , dites
RFv LESC1F6lE
Vingt-sept ans d'on im'ariable sucrés
ombattanl les dyspepsies, mauvaises
stigestions, gastrites, gastr lgies,glairesents,aigreur,
acidités, pitaltee, nanséx,
renvois, vomissements, même en grossesse,
constipation, diarrhée, dyssep,eele,
calots pbtlusie, toux, étou0erments,
éimu d:esemente, eppress on, coin
gestion, névrose, insninnies, mélancolie,
diabslte' faiblesse, dpnixemcnt, anémie,
el4nrose, bora désor,des brondres de la poitrine,
g haleine, voixches,
àil, foie, clins, intestins, muqueuses, Lelw
n,.1 sang. - 75,0(8) cures, y compris
voiles de Madame la Duchesse de Gastleatuart,
le duc de Plnskow, 6fndanle la
marquise de Oeéhan, lord Stuart de Deesse,
pair d'Angleterre, etc., etc.
Cure n^ 65,476.
ê1. le, -- Comparer de dis-huit ana
de Gastralgie, de lîeasees de l'stona,
c, d'a ."f', faiblesse et sueurs une.
ternes.
Cure a^ 47,422.
Enm,e,nrv . - Baldwin, rte délabrement
le plus complet, de paralysie des
rmmnbres, par suite d'uxcés de jeunesse.
Cure n 75,448.
Verdun, 16 janvier 1872.
Depuis 5 ae souffrais de muas duras
le Pété droit et dans le oreax de
G 13c, de mauvaises digstioos, etc. Je
Pas k vans les titis-r star votre
Itecalsciere nia sauvé la vie.
N;urcxs'r Carré,
Musicien an li3^ de ligne.
1
M
1
Cure n- 68,413.
apare, de 7 ans de paralysie
Lotbes,_des
brus, et de 1. l inga e.
Pins nourrissante que la viande, elle
économise encore 50 foi. eau p@Ix en
médecines. En boite : 1/4 kit., 7 le. 25;
47e.: 512 kfl.1 kil.,7fr.;12kil.60le.-
Les piecuifa de Reueleacière, en boites de
l et 6l1 Yc, rafeutchissent la bonUkB
et l'estomac, enlèvent les ialunies et
amniseelnents, mémo eh grossesse au
n ainsi que toute irritation et
rouir. odeur fiév s en ee @