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Composer catalogue of André Jolivet [ pdf - 220 Kb ] - Gérard ...

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Photo : M. Seymour<br />

ANDRÉ JOLIVET<br />

<strong>Gérard</strong> Billaudot Éditeur


<strong>André</strong><br />

JOLIVET<br />

Catalogue des œuvres<br />

Catalogue <strong>of</strong> works<br />

Werkverzeichnis<br />

Catalogo de obras<br />

<strong>Gérard</strong> Billaudot Éditeur<br />

14 rue de l’Echiquier - 75010 PARIS - FRANCE<br />

Tél. : (33) 01.47.70.14.46 - Télécopie : (33) 01.45.23.22.54


ANDRÉ JOLIVET (1905-1974)<br />

est né à Paris, dans ce Montmartre dont il a gardé l’accent, le 8 août 1905. Sa<br />

mère jouait très honorablerment du piano, son père était passionné de peinture.<br />

Ces fervents ammateurs d’art n’admettront pourtant jamais que leur fils<br />

embrasse une carrière d’artiste pr<strong>of</strong>essionnel. Ils le savaient attirés par la poésie,<br />

la littérature, le théâtre, la musique, mais n’en tiraient pas de conséquences<br />

pour l’avenir. A treize ans, le jeune <strong>André</strong> met en musique un de ses<br />

poèmes , Romance Barbare ; à quinze ans, il compose un ballet dont il écrit la<br />

musique ayant fait son scénario, et dessiné les décors et les costumes.<br />

Il travaille le piano avec sa mère, le violoncelle avec Louis Feuillard , puis il<br />

étudie très sérieusement l’orgue, l’improvisation et l’analyse musicale avec<br />

l’Abbé Théodas, maître de la chapelle de Notre Dame de Clignancourt.<br />

Sa vocation est la musique, il le sait aveec certitude. ; il fera tout pour devenir<br />

compositeur.<br />

Ses parents exigent qu’il poursuive ses études, il les suivra valablement. Elève<br />

du Lycée Colbert, il est admis à quinze ans à l’Ecole Normale d’Auteuil.En<br />

1927, il commence à enseigner dans les écoles de la ville de Paris. C’est un<br />

travail absorbant, mais qui rapporte enfin l’indépendance matérielle.<br />

De 1928 à 1933, il travaille l’harmonie, le contrepoint, la fugue et les formes<br />

classiques avec Paul Le Flem.<br />

Dès 1930, grâce à Paul Le Flem, <strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong> rencontre Edgard Varèse. Ce<br />

fut la révélation : <strong>Jolivet</strong> se cherchait, il se trouva. Elève de Varèse, d’ailleurs<br />

seul élève européen du Maître, il en reçut une véritable initiation. Les pressentiments<br />

de <strong>Jolivet</strong> devenait réalité : techniques et langages nouveaux,<br />

recherche d’acoustique musicale, usage savant de la percussion lui furent révélés.<br />

<strong>Jolivet</strong> brassait enfin la matière de son Oeuvre.<br />

D’abord le Quatuor à cordes (1934). (La Sonate pour violon et piano (1932) a<br />

été retrouvée dans les archives A. <strong>Jolivet</strong> et créée en octobre 1989). S’il ne<br />

séduisit pas le public surpris par son originalité, il conquis Oliver Messiaen.<br />

Celui-ci voulut connaitre l’auteur, et ainsi naquit l’amitié forte qui unit les<br />

deux compositeurs.<br />

En 1935, A. <strong>Jolivet</strong> fonde une société de musique de chambre d’avant-garde,<br />

3


où il réunit Olivier Messiaen, Daniel Lesur, Georges Migot, N. Lejeune.<br />

L’année suivante, sur l’initiative d’Yves Baudrier naît le groupe “Jeune France”<br />

formé d’<strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong>, Olivier Messiaen, Daniel Lesur, Yves Baudrier, qui fut<br />

jusqu’à la guerre de 1939 le groupe musical français le plus actif et le plus<br />

sérieux.<br />

De cette époque datent les pemimères oeuvres très personnellles d’<strong>André</strong><br />

<strong>Jolivet</strong> :<br />

- son Quatuor à cordes (1934) où il pose pour la première fois ses principes de<br />

composition atonales ;<br />

- Mana, six pièces pour piano seul (1935), synthèse de données ésotériques,<br />

incantatoires, magiques dans une écriture pianistique fondée sur les résonnances<br />

aturelles ;<br />

- Cinq incantations pour flûte seule (1936) ;<br />

- Incantations pour Ondes Martenots (1937) “pour que l’image devienne<br />

symbole”.<br />

Ces oeuvres sont suivies rapidement par les :<br />

- Trois chants de hommes (baryton et orchestre, 1937) ;<br />

- Cosmogonie (pour orchestre, 1938) ;<br />

- Cinq danses rituelles (piano seul ou orchestre, 1939) ;<br />

toutes tournées vers le recherche de thèmes, de moyens techniques ou de langages<br />

nouveaux.<br />

La notoriété d’un musicien d’avant-garde lui est dorénavant acquise : il est<br />

joué à la Société Nationale, aux Concerts du Montparnasse, aux soirée de la<br />

Revue Musicale, à de nombreux concerts ; il dirige la partie musicale d’une<br />

revue littéraire et artistique, le “Nouvelle Saison”.<br />

La guerre - il est mobilisé à Fontainebleau où il écrit la Messe pour le jour de<br />

la paix, puis il monte en ligne au moment de la débâcle - n’interrompt pas<br />

son activité musicale.<br />

Sitôt libéré, il écrit :<br />

- Les trois complaintes du soldat (baruton et orchestre, 1940) ;<br />

- le ballet Les quatre vérités (livret de H.R. Lenormand, 1941) ;<br />

- des musiques de scènes ou de films ;puis,<br />

- son premier opéra Dolorès en 192.<br />

En 1943, il est désigné pour diriger à la Comédie Française les représentations<br />

du Soulier de Satin de Paul Claudel et d’Arthur Honegger. C’est son premier<br />

4


contact avec la Maison de Molière dont il deviendra le directeur de la<br />

musique, poste qu’il occupera jusqu’en 1959.<br />

Entre temps, une bourse de l’Association pour la diffusion de la pensée française,<br />

qui lui fut accordée grâce à Georges Duhamel, lui avait déjà permis<br />

d’abandonner enfin son métier de pr<strong>of</strong>esseur et de se consacrer entièrement à<br />

la musique. Les oeuvres nouvelles s’accumulent dès lors : ballets avec Guignol<br />

et Pandore (Opéra de Paris, 1944) et l’Inconnue (Opéra de Paris, 1950) ;<br />

musiques de scène, de films et de radio, oeuvres symphoniques avec Psyché<br />

(1946), Première symphonie (1953), Suite transocéane (1955), Huit concerti ;<br />

des choeurs, un oratorio.<br />

Il est conseiller technique à la Direction des Arts des Lettres (de 1959 à 1962)<br />

puis, Pr<strong>of</strong>esseur de Composition au Conservatoire National Supérieur de<br />

Musique de Paris jusqu’en 1971. Ses titres, ses récompenses et distinctions,<br />

son activité à la tête de plusieurs organisations (il est notamment Président<br />

des Concerts Lamoureux et Président d’Honneur du Syndicat des musiciens<br />

de France) et sa participation à de nombreux et éminents jurys le placent au<br />

tout premier plan de l’activité musicale en France.<br />

Montée à l’Opéra, jouée par les principaux orchestre symphoniques français<br />

et étrangers, constamment redonnée à la Radio, suivie attentivement par la<br />

critique musicale, l’oeuvre de <strong>Jolivet</strong> a depuis longtemps dépassé les frontières<br />

de sonpays natal. Lui-même a dirigé ses oeuvres ou parlé de sa musique en<br />

Allemagne, Angleterre, Belgique, Danemark, Égypte, Espagne, Italie, Japon,<br />

Liban, Mexique, Suisse, U.R.S.S., U.S.A. ou Yougoslavie.<br />

Si <strong>Jolivet</strong> doit à l’Abbé Théodas et surtout à Paul Le Flem les bases solides de<br />

sa maîtrise technique, c’est certainement à Edgard Varèse qu’il est redevable<br />

du “choc psychologique” qui lui a permis de prendre définitivement conscience<br />

de la voie qu’il allait suivre et qui a fit de lui le musicien peut-être le plus<br />

engagé de notre temps.<br />

L’art pour lui est un “moyen d’exprimer une vision du monde qui est une foi”.<br />

Ce n’est pas un simple divertissement, “c’est une nécessité vitale, cosmique”,<br />

c’est un tableau de la lutte ancestrale entre le spirituel et le matériel, et la<br />

musique “chant de l’homme” y joue un rôle primordial. Elle part de l’incantation,<br />

encore magique et primitive (Mana, Cinq incantations, Danse rituelle)<br />

pour aboutir d’une part au langage simple, directe et prenant des Trois<br />

Complaintes ou des Poèmes intimes, d’autre part aux images toujours dissem-<br />

5


lantes d’un même combat , d’une même aspiration (Concerto pour ondes,<br />

Concerto pour piano), à l’équilibre entre le magique et le quotidien (Sonates<br />

pour piano), à la synthèse de l’universel et de l’humain (Symphonies) à la paix<br />

de l’Epithalame.<br />

A cette diversité de but correspond une variété appropriée de moyens d’expression.<br />

Un langage atonal qui a pour pivot des notes, des accords, des<br />

groupes sonores, des rythmes-clefs, autour desquels la masse mouvante de la<br />

musique s’organise et s’épanouit. Des formes renouvelées où le développement<br />

prend une place prépondérante, développement élargi, par opposition,<br />

commandant aussi bien la mélodie que l’harmonie, que les groupes rythmiques<br />

ou que les masses sonores. Ecriture instrumentale elle aussi renouvelée,<br />

avec usage d’instruments à sonorités nouvelles, comme les ondes électriques<br />

ou les instruments exotiques.<br />

Dans les toutes dernières oeuvres, l’auteur préconise l’emploi sériel d’un langage<br />

modal élargi, utilisant les données essentielles des musiques des peuples<br />

primitifs.<br />

L’énoncé de ces buts et des moyens pour les atteindre explique la position isolée<br />

qu’occupe <strong>Jolivet</strong> dans la musique française contemporaine.<br />

Il n’appartient ni à un clan, ni à un groupe . Ce sont son instinct et sa maîtrise<br />

acquise, qui seuls le guidaient.<br />

<strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong> est mort à Paris le 20 décembre 1974.<br />

6


ANDRÉ JOLIVET (1905-1974)<br />

was born in Paris on August 8th, 1905. His mother tokk an amateur interest<br />

in music, and his father in painting. He first intended to be a teacher and,<br />

after studying in Paris Lycée Colbert, and the Auteuil Ecole Normale, he<br />

began teaching in a Paris State Grammar School.<br />

But he was gifted artistically and felt drawn to poetry, literature and the<br />

theatre, as well as to painting and music and sought to make his way in this<br />

direction.<br />

His real vocation was revealed to him at the age <strong>of</strong> thirteen when he tried to<br />

compose music for one <strong>of</strong> his own poems, a Romance Barbare. At fifteen, he<br />

had already composed a whole baller and designed the sets for it.<br />

Unsatisfied with these personal experiments, he studied piano and cello with<br />

Louis Feuillard and music (organ, improvisation, analysis) with Père Aimé<br />

Théodas <strong>of</strong> Notre Dame de Clignancourt.<br />

In 1928, his singer and painter friend, Georges Valmier, sent him to Paul Le<br />

Flem with whom he studied harmony, counterpoint, fugue and all classical<br />

forms unitl 1933.<br />

But it was as early as 1930 that he also became the pupil - the only European<br />

pupil - <strong>of</strong> Varèse, then living in Paris. It was Varèse who initiated him into<br />

new techniques and languages, into researches in acoustics and who taught<br />

him the use <strong>of</strong> percussion instruments. This meeting with Varèse confirmed<br />

<strong>Jolivet</strong> in what he had always felt to be the direction he should take.<br />

The performance <strong>of</strong> one <strong>of</strong> his work at the Société Nationale carried him<br />

Messiaen’s friendship.<br />

In 1935, he created “La Spirale”, an avant-garde chamber music society where<br />

he met N. Lejeune, O. Migot, Daniel Lesur. At the same time, he met Henri<br />

Prunières at the Tuesdays <strong>of</strong> the “Revue Musicale” and A. Artaud and Florent<br />

Schmitt at Varèse’s.<br />

In 1936, Yves Baudrier, Messiaen, <strong>Jolivet</strong> and Lesur founded the gruop<br />

“Jeune France” (Young France) which remained the most dependable and<br />

active musical group until the beginning <strong>of</strong> World War II.<br />

7


A that time, <strong>Jolivet</strong> composed his first very personel works :<br />

- Sonata for violin and piano (1932) (recently discovered in the Archives left<br />

by A <strong>Jolivet</strong> and given its first public performance in 1989) ;<br />

- String Quartet (1934) in which he first applied his principles <strong>of</strong> atonal composition<br />

;<br />

- Mana, 6 pieces for piano solo (1935) a synthesis <strong>of</strong> esoteric, incantatory and<br />

magical elements composed for piano on a basis <strong>of</strong> natural resonances ;<br />

- Five incantations for flute solo (1936) ;<br />

- Incantations for Martenot waves (1937) “for the image to become a symbol”.<br />

Those works were soon followed by :<br />

- Trois chants des hommes (Three songs for Man, baryton and orch., 1937) ;<br />

- Cosmogonie (orch., 1938) ;<br />

- Cinq danses rituelles (Five rituel deances, piano solo and orch., 1939).<br />

All those works were inspired by the search for new themes, new technical<br />

means ans new languages.<br />

From then on, <strong>Jolivet</strong>’s fame as an avant-garde composer never stopped growing.<br />

His works were performed at the Société Nationale, at the Concerts du<br />

Montparnasse, at the evenings <strong>of</strong> the “Revue Musicale” and in any public<br />

concerts. He became chief editor <strong>of</strong> the musical section <strong>of</strong> a literary and artistic<br />

magazine, “La nouvelle saison”.<br />

Then came the war. <strong>Jolivet</strong> enlisted at Fontainebleau, where he composed a<br />

Mass for the day <strong>of</strong> the peace, before being sent to the front, where the defeat<br />

did not interpt his creative work. After his liberation he composed :<br />

- Les trois complaintes du soldat (baryton and orch., 1940) ;<br />

- a ballet, Les quatre vérités (scénario by H. R. Lenormand, 1941) ;<br />

- Stage and film music, and then his first opera Dolorès in 1942.<br />

In 1943, he was choosen to conduct the Comédie Française production <strong>of</strong><br />

Paul Claudel and Arthur Honegger’s Soulier de Satin. That was his first<br />

contact with the House <strong>of</strong> Molière where he was soon to become musical<br />

director, a position he kept until 1959.<br />

Meanwhile, thanks to Georges Duhamel, he aws given a scholarship by the<br />

Association for the Diffusion <strong>of</strong> French Thought, which enabled him at last<br />

to abandon his teaching and to dedicate himself fully to music. From then<br />

8


on he produced music uninterruptedly : ballets with Guignol et Pandore (Paris<br />

Opera, 1944), L’inconnue (Paris Opera, 1950) ; stage and film music, music<br />

for broadcasting, symphonic works (Psyché, 1946) ; First Symphony (1953) ;<br />

Suite transocéane (1955) ; 8 concerti ; choral pieces and an oratorio.<br />

From 1959 to 1962, he was technical adviser to the Direction Générale des<br />

Arts et Lettres and, afterwards he taughts composition at the Paris<br />

Conservatoire until 1971. His titles, honours, rewards and distinctions, as<br />

well as his activities as chairman od several organisations (The Concerts<br />

Lamoureux, The French Musicain’s union, etc...) and also a member <strong>of</strong> several<br />

distinguishes juries, make him one <strong>of</strong> the most unstanding figures in Frenc<br />

music. Staged at the Paris Opera, performed by the most famous French and<br />

international symphonic orchestras, <strong>of</strong>ten heard on the radio and eagerly<br />

expected by critics, the works <strong>of</strong> <strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong> have long crossed the frontiers<br />

<strong>of</strong> his own country. He himself has <strong>of</strong>ten conducted or lectured about his<br />

own music in belgium, Denmark, Egypt, England, Germany Italy, Japan,<br />

Lebanon, Mexico, Soviet Union, Spain, Switzerland, U.S.A. and Yugoslavia.<br />

It is to Père Théodas, and even more to Paul Le Flem that <strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong> awes<br />

the firm foudation on which he has built up his technical mastery, but it is<br />

certainly Varèse who provided him with the “psychological shock” which<br />

definitely revealed to him the way he had to follow to become one <strong>of</strong> the most<br />

- maybe the most- “commited” composer <strong>of</strong> our time.<br />

Once his vocation was strongly established, he never hesitated about the meaning<br />

and possibilities <strong>of</strong> the art to which he dedicated himself. To him, “Art<br />

is a means to express a vision <strong>of</strong> the world which is an act <strong>of</strong> faith”. It cannot<br />

be considered as a mere hobby, for “it is a vital, cosmic necessity”.<br />

Art is the picture <strong>of</strong> the ancestral strugglr between spirit and matter, and<br />

music, “Man’s song”, plays one <strong>of</strong> the main parts in it. Starting from a magic<br />

and primitive incantation (Mana, 5 incantations, Danses rituelles), it leads on<br />

the one hand to the simple, direct, breathtaking language <strong>of</strong> the Trois<br />

Complaintes or the Poèmes intimes, and ont he other to the ever changing<br />

images <strong>of</strong> the same struggle, <strong>of</strong> the same inspiration (Concerto for Ondes,<br />

Concerto for piano), to the balance between magic and everyday life (Sonates)<br />

to the synthesis <strong>of</strong> Man and the Universe (Symphonies), to the peace <strong>of</strong> the<br />

Epithalame.<br />

To these various goals and aims there corresponds an appropriate variety <strong>of</strong><br />

9


means <strong>of</strong> expression : an atonal language pivoting on notes, chords and<br />

groups <strong>of</strong> sounds around which the moving mass <strong>of</strong> music organizes itself and<br />

opens up ; renewed forms in which development takes a predominant role,<br />

an expanded development which commands by opposition melody and harmony<br />

as well as rhythmic groups or even masses <strong>of</strong> sound ; renewal <strong>of</strong> the instrumental<br />

writing, too, by the use <strong>of</strong> exotic or new (electronic) instruments.<br />

In his later works, the composer propounds the serial use <strong>of</strong> an enlarged<br />

modal language based on the essential principles <strong>of</strong> primitive music.<br />

<strong>Jolivet</strong>’s aims and the means he uses to attain them provide sufficient explanation<br />

for his specific and isolated position in French contemporary music.<br />

<strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong> does not belong to any group or clan ; his innate musical instinct<br />

and his acquainted technical mastery are his only guides.<br />

<strong>André</strong> <strong>Jolivet</strong> died in Paris, on December 20, 1974.<br />

10


PIANO<br />

Romance barbare (1920)<br />

Durée : 4 mn 20 s.<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

En vente.<br />

MUSIQUE DE CHAMBRE<br />

Sarabande sur le nom d’Érik Satie (1925)<br />

Durée : 4 mn 30 s<br />

Tango (1927)<br />

Durée : 2 mn 15 s<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

Deux mouvements pour piano (1930)<br />

I. Prélude - II. Pastorale.<br />

Première audition le 26 avril 1990 au Festival de musique contemporaine<br />

d’Évreux par Frédéric Aguessy.<br />

Durée : 12 mn 50 s<br />

En vente<br />

Danses pour Zizou (1934)<br />

One step.<br />

Durée : 1 mn 05 s<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

11


ORGUE<br />

Sidi-Ya-Ya (1934)<br />

Durée : 6 mn 30 s.<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

Algeria - Tango (1934)<br />

Tango.<br />

Durée : 2 mn<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

El viejo camello (The old camel) (1935)<br />

Tango.<br />

Durée : 2 mn 30 s<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

Madia (1935)<br />

Rumba.<br />

Durée : 1 mn 10 s<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

Fom Bom Bo (1934)<br />

Biguine.<br />

Durée : 1 mn 10 s<br />

En vente dans le recueil “Pièces pour piano”.<br />

En vente.<br />

Prélude apocalyptique (1935)<br />

Durée : 9 mn 20 s<br />

12


Mandala (1969)<br />

Sept mouvements.<br />

Première audition en juin 1969 à Zwolle, Hollande, par Charles de<br />

Wolff.<br />

Première audition en France en juin 1969 à Bordeaux par Jean<br />

Guillou.<br />

Durée : 15 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Phillips N 6504039 et Arion ARN 38580.<br />

FLÛTE SEULE<br />

Incantation “pour que l’image devienne symbole”<br />

(1937)<br />

Pour flûte en sol (ou en ut).<br />

Première audition en 1937 par Jan Merry.<br />

Durée : 3 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Erato STU 70 332 - Adda 581055 et sur<br />

disque Accord 202 292.<br />

Ascèses (1967)<br />

Cinq pièces pour flûte en sol (ou en ut).<br />

Durée : 15 mn<br />

En vente.<br />

CLARINETTE SEULE<br />

Ascèses (1967)<br />

Cinq pièces pour clarinette en la (ou en sib).<br />

Durée : 15 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Styrinx 0777-008/9.<br />

13


VIOLON SEUL<br />

Incantation “Pour que l’image devienne symbole<br />

(1937)<br />

Première audition le 9 février 1967 au Triptyque par Devy Erlih..<br />

Durée : 3 mn<br />

En vente<br />

Enregistré sur disque Syrinx 0777-008/9.<br />

ALTO SEUL<br />

Cinq églogues (1967)<br />

I. Rusticamente - II. Cantate I - III. Ostinamente - IV. Cantate II -<br />

V. Rusticamente II et Postludio.<br />

Première audition le 24 avril 1968 à la Société Nationale de<br />

Musique par Serge Collot.<br />

Durée : 12 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur dique Adès 16013 et 16002, et disque Syrinx 0777-<br />

008/9.<br />

ONDES MARTENOTS<br />

Incantations “pour que l’image devienne symbole”<br />

(1937)<br />

Première audition le 30 juillet 1939 par Maurice Martenot à<br />

l’O.R.T.F.<br />

Durée : 3 mn<br />

En vente.<br />

14


DEUX PIANOS<br />

Choral et fugato (1932)<br />

Réduction pour piano à quatre mains.<br />

Durée : 5 mn 05 s<br />

En vente.<br />

Hopi Snake Dance (1948)<br />

Première audition le 10 août 1948 à Tanglewood, U.S.A.<br />

Durée : 8 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque SFP 91036.<br />

Patchinko (1970)<br />

Première audition le 17 décembre 1970 à la salle Gaveau par<br />

Geneviève Joy et Jacqueline Robin.<br />

Durée : 3 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Erato STU 70.810.<br />

FLÛTE ET PERCUSSION<br />

Une minute trente (1972)<br />

Pour flûte à bec ou flûte et percussion.<br />

Durée : 1 mn 30 s<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Accord 202 292.<br />

HAUTBOIS ET PIANO<br />

Sérénade (1945)<br />

15


I. Cantilène - II. Caprice - III. Intermède - IV. Marche burlesque.<br />

Morceau de concours du Conservatoire National Supérieur de Paris,<br />

en 1945.<br />

Durée : 16 mn<br />

En vente.<br />

HAUTBOIS ET HARPE<br />

Controversia (1968)<br />

Première audition le 5 novembre 1968 par Heinz et Ursulla<br />

Holliger.<br />

Durée : 10 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque C.B.S. - S 34.61142.<br />

TROMPETTE ET PERCUSSION<br />

Heptade (1971)<br />

I. Allegro - II. Vivo - III. Cantante - IV. Vehemente - V. Maestoso -<br />

VI. Semprestraingondo - VII. Vivo e ritmico.<br />

Première audition en mai 1972 au Théâtre de la ville, Paris, par<br />

Francis Hardy et Francis Dupin.<br />

Durée : 16 mn 05 s<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Erato STU 70.691.<br />

TROMPETTE ET ORGUE<br />

Arioso baroco (1968)<br />

Première audition en 1972 à Munich par Maurice <strong>André</strong>.<br />

Durée : 7 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Erato STU 70.689 et STU 70.691 - Ario ARN<br />

16


38580.<br />

VIOLON ET PIANO<br />

Aubade pour violon et piano (1932)<br />

Durée : 4 mn<br />

En vente.<br />

Autre version pour piano et quatre cordes.<br />

VIOLONCELLE ET PIANO<br />

Concerto pour violoncelle (1966)<br />

Réduction pour violoncelle et piano.<br />

Durée : 22 mn<br />

En vente.<br />

HARPE ET PIANO<br />

Concerto pour harpe (1952)<br />

Réduction pour harpe et piano.<br />

I. Andante volubile - II. Andante cantabile - III. Allegramente.<br />

Morceau de concours du Conservatoire National Supérieur de<br />

Musique de Paris en 1952.<br />

Durée : 17 mn<br />

En vente.<br />

TROIS INSTRUMENTS<br />

Suite pour trio à cordes (1930)<br />

Pour violon, alto et violoncelle.<br />

I. Prélude - II. Aria I - III. Aria II - IV. Fugue en rondeau.<br />

Première audition le 24 novembre 1938 à l’O.R.T.F. par le Trio<br />

17


Pasquier.<br />

Durée : 21 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Lyrion Music LY406.<br />

CINQ INSTRUMENTS<br />

Aubade (1932)<br />

Pour piano et quatre cordes.<br />

Durée : 4 mn<br />

En vente.<br />

Autre version pour violon et piano.<br />

Sérénade (1945)<br />

Pour quintette à vent avec hautbois principal.<br />

I. Cantilène - II. Caprice - III. Intermède - IV. Marche burlesque.<br />

Première audition le 7 novembre 1945 à l’O.R.T.F. par le Quintette<br />

de l’Orchestre National.<br />

Durée : 16 mn<br />

Partition de poche et parties séparées en vente.<br />

Enregistré sur disque Erato LDE 3 105, Erato EGR 4 004 et 4 504.<br />

FORMATIONS DIVERSES<br />

Ouverture en rondeau (1938)<br />

Pour 4 Martenots, 2 pianos et 2 percussions.<br />

Durée : 3 mn<br />

Partition et matériel en vente.<br />

Autres versions pour orchestre à cordes et petit orchestre.<br />

Le ballet des étoiles (1941)<br />

Pour flûte (prenant aussi le piccolo), hautbois (prenant aussi le cor<br />

18


anglais), saxophone alto, basson, trompette, batterie, piano, violon et<br />

violoncelle.<br />

Première audition par les Marionnettes de Jacques Chesnais.<br />

Durée : 7 mn<br />

Partition et matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Adda 581171.<br />

Petite suite (1943)<br />

Pour 2 violons, alto, violoncelle, contrebasse, piano et batterie (ad<br />

libitum).<br />

I. Ouverture - II. Introduction et valse - III. Contredanse.<br />

Durée : 7 mn 10 s<br />

En vente.<br />

Suite delphique (1943)<br />

Pour flûte, hautbois, clarinette, 2 cors, trompette, trombone, ondes<br />

Martenot, harpe, timbales, et 2 percussions.<br />

I. Prélude (Aurore magique) – II. Les chiens de l’Erèbe – III. Orage<br />

– IV. Repose de la Nature – V. Procession – VI. Joie dionysiaque –<br />

VII. Invocation – VIII. Cortège.<br />

Première audition le 22 avril 1948 à Vienne par les Solistes de<br />

l’Orchestre Philharmonique sous la direction du compositeur.<br />

Durée : 22 mn<br />

Partition de poche en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Colum120581171.<br />

Rhapsodie à sept (1957)<br />

Pour clarinette, basson, cornet à pistons, percussions, violon et<br />

contrebasse.<br />

I. Résolu - II. Hiératique - III. Incisif.<br />

Première audition le 13 novembre 1959 au Festival de<br />

Braunscheweig sous la direction de Zeebe.<br />

19


Durée : 19 mn<br />

Partition de poche en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Columbia FCX - Syrinx 0777-008/9 et<br />

Nippon Victor VX14 - Mélodia Victor VIC 28170.<br />

Douze inventions pour douze instruments (1957)<br />

Pour flûte, hautbois, clarinette, basson, cor en fa, trompette, trombone,<br />

violon 1, violon 2, alto, violoncelle et contrebasse.<br />

Première audition le 23 janvier 1967 par l’ensemble Ars Nova sous<br />

la direction de Diego Masson.<br />

Durée : 12 mn<br />

Partition de poche en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Fratelli Fabri Milano MM 1071.<br />

Cérémonial (1968)<br />

Pour 6 percussionnistes.<br />

Première audition en septembre 1969 à Lucerne par les Percussions<br />

de Strasbourg.<br />

Durée : 12 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque édité sous l’égide du Conseil Régional des Pays<br />

de Loire, 1984.<br />

20


ŒUVRES DESTINÉES À LA FORMATION DES<br />

INSTRUMENTISTES<br />

PIANO<br />

Chansons naïves (1951)<br />

I. En regardant les mouches voler - II. Noël du petit ramoneur -<br />

III.Chansons pour une poupée bretonne - IV. Villanelle - V. Carillon<br />

- VI. Danse des petits sioux.<br />

Durée : 8 mn 55 s.<br />

Recueil en vente.<br />

N°1 et 3 enregistrés sur disque Pathé DTX 269.<br />

Berceuse dans un hamac (1951)<br />

Première audition en 1952 par Christine <strong>Jolivet</strong> (exercice d’élèves de<br />

Lucette Descaves).<br />

Durée : 1 mn 45 s<br />

En vente.<br />

FLÛTE ET PIANO<br />

Cabrioles<br />

Durée : 1 mn 10 s<br />

En vente dans le recueil “La flûte - vol. II” de la collection<br />

Oubradous pour instruments à vent.<br />

Enregistré sur disque Pathé (épuisé).<br />

HAUTBOIS ET PIANO<br />

Chant pour les piroguiers de l’Orénoque (1953)<br />

Durée : 1 mn 45 s<br />

21


En vente dans la collection “Le hautbois” de la collection Oubradous<br />

pour instruments à vent.<br />

Enregistré sur disque Pathé (épuisé).<br />

CLARINETTE ET PIANO<br />

Méditation (1954)<br />

Durée : 2 mn<br />

En vente dans le recueil “La clarinette - vol. II” de la collection<br />

Oubradous pour instruments à vent.<br />

TROMPETTE ET PIANO<br />

Air de bravoure (1952)<br />

Pour trompette (ou cornet à pistons) et piano.<br />

Durée : 1 mn 10 s<br />

En vente dans le recueil “La trompette” de la collection Oubradous<br />

pour instruments à vent.<br />

Enregistré sur disque Pathé (épuisé).<br />

22


ORCHESTRE À CORDES<br />

Ouverture en rondeau (1938)<br />

Première audition le 2 juin 1938 par l’Orchestre Jane Evrard.<br />

Durée : 3 mn<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Autres versions pour petit orchestre ou 4 ondes Martenots, 2 pianos<br />

et percussions.<br />

23


MUSIQUE CONCERTANTE<br />

Suite en concert (1965)<br />

Deuxième concerto pour flûte et 4 percussions.<br />

I. Modéré, frémissant - II. Stabile - III. Hardiment - IV. Calme,<br />

véloce, apaisé.<br />

Première audition le 23 février 1966 à l’O.R.T.F. par Jean-Pierre<br />

Rampal sous la direction de Daniel Chabrun.<br />

Durée : 16 mn<br />

Partition d’orchestre et matériel en vente.<br />

Concerto pour harpe et orchestre de chambre<br />

(1952)<br />

I. Allegro volubile - II. Andante cantabile - III. Allegramente.<br />

Première audition le 12 octobre 1952 au Festival de<br />

Donaueschingen par Lily Laskine sous la direction de Rosbaud.<br />

Durée : 17 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

1.1.1.1 - 2.1.0.0 - et cordes<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Véga C 30 A 3, Mélodia D 017 995-8, Erato<br />

STU 70 430, Erato 9123/4/5 et Adès 14063.<br />

Deuxième concerto pour violoncelle (1966)<br />

Pour violoncelle, quintette à cordes de solistes et orchestre à cordes.<br />

Première audition le 6 janvier 1967 à Moscou par l’Orchestre d’État<br />

avec M. Rostropovitch sous la direction du compositeur.<br />

Durée : 22 mn<br />

Partition d’orchestre de poche en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Erato STU 70 509 et Erato 9123/4/5.<br />

24


MUSIQUE SYMPHONIQUE<br />

Sarabande sur le nom d’Érik Satie (1930)<br />

Pour orchestre.<br />

Durée : 4 mn 30 s<br />

Nomenclature des instruments :<br />

3.3.3.3 - 4.3.3.1 - sax A et T, célesta et cordes<br />

Réduction pour piano en vente.<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Choral et fugato (1932)<br />

Pour orchestre.<br />

Durée : 10 mn (5 + 5)<br />

Nomenclature des instruments :<br />

3.3.3.3 - 4.3.3.1 - sax A et T, 3 perc, célesta, pno et cordes<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Réduction pour piano à quatre mains en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Danse incantatoire (1936)<br />

Pour orchestre.<br />

Première audition le 3 juin 1936 lors du premier concert “Jeune<br />

France” à la salle Gaveau, Paris, par l’Orchestre Symphonique de<br />

Paris sous la direction de Roger Désormière.<br />

Durée : 8 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

3.3.3.3 - 4.3.3.1 - hp, pno, 2 ondes Martenots, 6 perc et cordes<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

25


Ouverture en rondeau (1938)<br />

Pour petit orchestre.<br />

Durée : 3 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

1.1.1.1 - 2.1.0.0 - piano et cordes<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Autres versions pour orchestre à cordes ou 4 ondes Martenots, 2 pianos<br />

et percussions.<br />

Symphonies de danses (1940)<br />

Pour orchestre.<br />

Première audition le 24 novembre 1943 au concours des<br />

Associations sous la direction d’<strong>André</strong> Girard.<br />

Durée : 17 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

2.2.2.2 - 2.2.2.1 - hp, pno et cordes<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Suite française (1957)<br />

Pour orchestre.<br />

I. Alerte – II. Très modéré – III. Vif – IV. Calme, puis allègre.<br />

Première audition à l’O.R.T.F. en 1958.<br />

Durée : 18 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

2.2.2.2 – 2.2.2.1 – timb, 2 perc, hp , pno et cordes.<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Enregistré sur disque Columbia FCX 724.<br />

26


Deux poèmes de Francis Jammes (1928-29)<br />

Pour voix et piano.<br />

I. Ne me console pas - II. Vous m’avez regardé.<br />

Durées : 2 mn<br />

1 mn 15 s<br />

En vente.<br />

Pour voix et piano.<br />

Poème de P. Reverdy.<br />

En vente.<br />

Pour voix et piano.<br />

Poème de Cl. Sernet.<br />

En vente<br />

Pour 3 voix de femmes.<br />

En vente.<br />

Faux rayon (1928)<br />

Durée : 1 mn 55 s<br />

Chewing-gum (1928)<br />

Durée : 1 mn 55 s<br />

Sonnets de Ronsard (1929)<br />

Durée : 2 mn 10 s<br />

La mule de Lord Bolingbrooke (1930)<br />

Pour voix et piano.<br />

Poème de Max Jacob.<br />

En vente.<br />

MUSIQUE VOCALE<br />

Durée : 2 mn<br />

27


Rondels de François Villon (1931)<br />

Pour voix et piano.<br />

I. Au retour - II. Mort j’appelle - III. Tu te brusles.<br />

Durées : 1 mn 30 s<br />

1 mn 30 s<br />

1 mn<br />

En vente.<br />

Mélodies sur des poésies anciennes (1931)<br />

Pour voix et piano ou petit orchestre.<br />

I. Couplets berrichons - II. Paroles de Marie à son fils - III. et IV.<br />

Deux rondels de François Villon.<br />

Durées : 1 mn 30 s<br />

2 mn<br />

1 mn 30 s et 1 mn<br />

Partition voix et piano en vente.<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Prière des 13 hommes dans la mine (1931)<br />

Pour baryton ou mezzo-soprano et piano.<br />

Poème de R. Hubermont.<br />

Durée : 2 mn 45 s<br />

En vente.<br />

Romantiques (1935)<br />

Pour voix et piano.<br />

I. La vie est plate - II. Marche funèbre - III. Voyage imaginaire.<br />

Poèmes de R. Boudry (I), G. Ribemont-Dessaigne (II) et V.<br />

Huibodro (III).<br />

Durées : 3 mn 30 s<br />

2 mn 40 s<br />

28


En vente.<br />

29<br />

3 mn 30 s<br />

Le chant des regrets (1935)<br />

Pour baryton ou mezzo-soprano et piano.<br />

Poème de L. Recolin.<br />

Durée : 3 mn 10 s<br />

En vente.<br />

Chants d’hier et de demain (1931-37)<br />

Pour baryton, chœur d’hommes et piano.<br />

Sur des textes de Marat, Robespierre et Jaurès.<br />

I. Où est la patrie ? - II. L’intérêt des faibles - III. Avec le socialisme.<br />

Durées : 3 mn 25 s<br />

3 mn 40 s<br />

3 mn 15 s<br />

En vente.<br />

Trois chants des hommes (1937)<br />

Pour baryton et grand orchestre.<br />

Poèmes de R. Boutry.<br />

I. Humanité - II. Rencontre - III. Appel des héros.<br />

Première audition le 4 juin 1937 à la salle Gaveau, Paris, par J.<br />

Bastard, D. Modesti et R. Désormières.<br />

Durées : 9 mn 25 s<br />

7 mn<br />

12 mn 30 s<br />

Durée totale : 30 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

3.3.3.3 - 4.3.3.1 - 4 timb, 2 hp, pno et cordes<br />

Piano-chant en vente.<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Matériel en location.


Poèmes pour l’enfant (1937) (2 versions)<br />

Première version.<br />

Pour voix et orchestre.<br />

I. Naissance - II. Adoration - III. Éveil - IV. Berceuse - V. Jeux.<br />

Première audition le 12 mai 1938 à l’École Normale de Musique<br />

lors du 3è concert “Jeune France” sous la direction de Roger<br />

Désormières.<br />

Durée : 25 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

1.1.1.1 - 0.1.0.0 - hp, pno, vl 1 et 2, alto, vlc et cb<br />

Deuxième version.<br />

Pour voix, quatuor à cordes et piano.<br />

I. Naissance - II. Adoration - III. Berceuse.<br />

Durée : 13 mn 05<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Adda 581171.<br />

La pêche miraculeuse (1941)<br />

Pour soprano, ténor, baryton et ensemble instrumental.<br />

Première audition par les Marionnettes de Jacques Chesnais.<br />

Durée : 3 mn 30 s<br />

Nomenclature des instruments :<br />

1 flûte (prenant aussi la petite flûte) - 1 saxo alto (prenant ausssi la<br />

clarinette) - 1 basson - 1 trompette - 1 batterie (prenant le célesta) -<br />

1 harmonium<br />

Partition en vente.<br />

Matériel en location.<br />

Autres versions pour orchestre à cordes et petit orchestre.<br />

Hymne à Saint-<strong>André</strong> (1947)<br />

Pour soprano et orgue.<br />

Première audition le 28 novembre 1948 par Sabine de Butler à la<br />

Chapelle des Dominicains.<br />

30


Durée : 5 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Arion ARN 38580.<br />

Ho ! Flibustiers (1949)<br />

Pour ténors, barytons basses, rythmes et basses.<br />

Poème de J. Mauclère.<br />

Durée : 3 mn 15 s<br />

En vente.<br />

Jardin d’hiver (1951)<br />

Pour chant et piano.<br />

Poème de G. Lefilleul.<br />

I. Aube - II. La maison du bonheur - III. Combien de bras - IV.<br />

Quiètude.<br />

Première audition le 27 avril 1951 par Bernard Demigny à la Galerie<br />

Devêche.<br />

Durée : 2 mn 35 s<br />

2 mn 35 s<br />

1 mn 30 s<br />

2 mn 50 s<br />

En vente.<br />

Épithalame (1953)<br />

Pour orchestre vocal à 12 parties (3 S, MzS, 2 CA, 3 T, Bar, 2 B).<br />

Première audition le 16 septembre 1956 par l’Ensemble Marcel<br />

Couraud à la Biennale de Venise.<br />

Durée : 20 mn<br />

En vente.<br />

Enregistré sur disque Columbia FCX 639, Pathé OUB 639, EMI<br />

0233 et CDM 7 698172.<br />

31


CANTATES<br />

Le cœur de la matière (1965)<br />

Cantate pour solistes (S, MzS, T, Bar et B), chœur mixte et orchestre.<br />

Première audition le 9 avril 1941 à l’O.R.T.F. par <strong>André</strong>e Esposito, Marie-<br />

Luce Bellary, Jean Giraudeau, Louis Quilico, <strong>André</strong> Veissières, les Chœurs<br />

et l’Orchestre Philharmonique de l’O.R.T.F. sous la direction de Charles<br />

Brück.<br />

Durée : 30 mn<br />

Nomenclature des instruments :<br />

3.3.3.3 - 4.3.3.1 - 3 perc, 2 hp et cordes<br />

Partition d’orchestre en vente.<br />

Piano-chant en vente.<br />

Matériel en location.<br />

32

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