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Sterilisation tubaire final

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STERILISATION<br />

TUBAIRE:<br />

« Législation gislation et état tat des lieux en<br />

France et ailleurs »<br />

Le 9 Mars 2005-inter<br />

2005 inter-région gion<br />

ROUEN<br />

Par Muriel HIRSCH (Amiens)


PLAN<br />

Introduction (définition)<br />

(d finition)<br />

1/ Rappels sur les techniques de<br />

stérilisation st rilisation <strong>tubaire</strong><br />

2/ Législation L gislation en France<br />

3/ Etat des lieux dans le monde<br />

Conclusion


INTRODUCTION<br />

Définition finition de la stérilisation<br />

st rilisation<br />

C’est est la suppression délib d libérée e et réfl r fléchie chie<br />

de la fécondit f condité sans atteinte des autres<br />

fonctions sexuelles ou endocrines (Palmer)<br />

Peut donc être tre appliquée appliqu e à la femme ou à<br />

l’homme. homme.<br />

Mode de contraception le plus répandu r pandu<br />

dans le monde: + de 150 millions de fê f<br />

stérilis st rilisées es


LES DIFFERENTES<br />

TECHNIQUES<br />

-Par Par Coelioscopie:(voie Coelioscopie:(voie<br />

d’abord d abord la<br />

+utilis utilisée e en France)<br />

pose de clips de Filshie ou de Hulka sur<br />

le segment isthmique de chaque<br />

trompe<br />

Les anneaux de yoon st peu utilisés utilis s car<br />

entraînent entra nent des douleurs pelviennes et<br />

risque hémorragique h morragique est + important.<br />

L’é ’électrocoagulation lectrocoagulation monopolaire est


TECHNIQUES(suite)<br />

Par laparotomie:<br />

Mini-laparo<br />

Mini laparo<br />

Sous A.L.<br />

Très Tr s répandue r pandue ds les pays en voie<br />

de dvpt<br />

Voie préférée pr e ds le post-<br />

partum(petite incision arciforme<br />

sous l’ombilic) l ombilic)<br />

Ligature-section Ligature section <strong>tubaire</strong> selon<br />

Pomeroy (schéma (sch ma ci-contre).<br />

ci contre).


Voie vaginale:<br />

Sous A.L. ou A.G.<br />

TECHNIQUES(suite)<br />

Incision au fond du vagin,repérer vagin,rep rer les<br />

trompes en vision directe ou par<br />

endoscope et de réaliser r aliser la stérilisation.<br />

st rilisation.<br />

Voie naturelle:<br />

Technique récente,peu r cente,peu developpée<br />

developp e<br />

encore en France<br />

Par hystéroscope hyst roscope et canal opérateur op rateur<br />

jusqu’aux jusqu aux ostiums <strong>tubaire</strong>s,pose de «<br />

stents » ds les trompes<br />

10% d’é d’échec<br />

chec a la pose<br />

Pas immédiatement imm diatement efficace,agit après apr s 3<br />

mois


COMPLICATIONS DE LA<br />

STERILISATION TUBAIRE<br />

-Mortalit Mortalité: très tr s faible:2 à 6/100000 cas<br />

Causes principales(Etude américaine am ricaine de<br />

Peterson et al entre 1977 et 1981):<br />

complications de l’AG,infections<br />

l AG,infections<br />

généralis ralisées(voie es(voie<br />

vaginale),hémorragies(voie vaginale),h morragies(voie coelio).<br />

-Morbidit Morbidité : faible<br />

Lésions sions vasculaires ou viscérales visc rales lors de<br />

l’introduction introduction du trocard ou de l’aiguille l aiguille en<br />

coelio.(Chapron)<br />

Brûlures Br lures intestinales


COMPLICATIONS(suite)<br />

ECHECS:Risque ECHECS: Risque de grossesse (il varie selon la technique)<br />

Recensés Recens s aux E.U. par une enquête enqu te prospective(1978-1988)<br />

prospective(1978 1988) étude tude<br />

CREST:Collaborative Review of <strong>Sterilisation</strong> Tubaire<br />

→18.5 18.5 grossesses sur 1000 ST sur 10 années ann es post-op post op<br />

Mais ds 1/3 des cas c’est c est une GEU(peut GEU(peut<br />

se produire même m me<br />

plusieurs années ann es après apr s une ST).Risq.+élev<br />

ST).Risq.+ levé chez les


CONSEQUENCES<br />

Cycle menstruel non perturbé perturb<br />

Pas d’influence d influence sur la sexualité, sexualit , les<br />

sécr crétions tions hormonales<br />

La LT diminue de 60% le risque de<br />

cancer de l’ovaire l ovaire chez les femmes<br />

porteuses de la mutation BRCA1


1ère re consultation<br />

CONSULTATION AVANT<br />

STERILISATION<br />

Un entretien approfondi avec la patiente ( et au mieux le couple) couple)<br />

doit avoir lieu pour discuter: de l’indication;du l indication;du choix de la<br />

méthode thode ;des risques encourus et les conséquences cons quences de<br />

l’intervention;balance intervention;balance bénéfice b fice-risque) risque)<br />

Remise d’1 d 1 livret d’informations d informations (obligation légale) l gale)<br />

C’est est lors de cette 1ère 1 re cs que le medecin dt informer de son<br />

refus ( et si possible orienter).<br />

Prudence si conflits conjuguaux<br />

Un délai d lai de réflexion r flexion de 4 mois est imposé impos par la loi.


1ère re CONSULTATION(suite)<br />

Qd la prise de décision d cision est difficile,on peut<br />

s’aider aider d’un d un score proposé propos par M.Lerat<br />

On peut accepter la stérilisation st rilisation qd score>6. score>6.<br />

Coefficient<br />

Age (en années) ann es)<br />

Parité Parit<br />

Age du dernier enfant<br />

Antécédent, Ant dent, pathologie mineure Hépatique H patique Diabète Diab te gestationnel<br />

Troubles psychiques HTA légère l re<br />

Contre-Indications Contre Indications des moyens de contraceptions modernes (OP,<br />

DIU) Varices Cholestérol Cholest rol élev levé OP mal supporté support DIU mal<br />

supporté support<br />

Nombre d'IVG<br />

Score pour l'aide à la décision d cision avant stérilisation st rilisation (d'après (d'apr s M. Lerat)<br />

1<br />

35<br />

2<br />

5 ans<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

1<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

1<br />

2<br />

36-38 36 38<br />

3<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

2<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

2<br />

1<br />

3<br />

39-40 39 40<br />

4<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

3<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

3<br />

2<br />

4<br />

≥ 40<br />

≥ 5<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

≥ 4<br />

nombre d'éléments d' ments<br />

≥ 4<br />

≥ 3


2ème me CONSULTATION<br />

A l’issu l issu d’un d un délai d lai de 4 mois:<br />

Un document écrit( crit( comme celui proposé propos par le<br />

CNGOF) dt être tre signé sign par la patiente et le<br />

médecin decin pr formaliser le consentement « éclair clairé<br />

».(le .(le consentement écrit crit du conjoint n’est n est pas<br />

obligatoire)


Rédaction : mai 2002<br />

STÉRILISATION TUBAIRE*<br />

(LIGATURE DES TROMPES)*<br />

* à l’exclusion des mineures ou majeures handicapées qui font l’objet d’une démarche spécifique<br />

1. Je soussignée, Madame ……………………………………, certifie :<br />

avoir sollicité le Dr …………………………………………, afin qu’il réalise sur moi une stérilisation <strong>tubaire</strong><br />

pour les raisons dont nous avons discuté en consultation le …………………………<br />

• avoir reçu une information réelle et bien comprise, notamment sur :<br />

o les différents moyens contraceptifs adaptés à mon cas, ainsi que sur les stérilisations masculine et féminine.<br />

o les différentes techniques de stérilisation féminine, en sachant qu’il s’agit d’une obturation ou d’une section<br />

des deux trompes, véritable intervention chirurgicale nécessitant une anesthésie générale, au cours de laquelle<br />

très exceptionnellement (0,5 à 1 pour 1000), des plaies des organes internes de l’abdomen (intestins, vaisseaux<br />

sanguins et voies urinaires notamment) peuvent se produire et nécessiter la réalisation dans le même temps<br />

opératoire d’une ouverture de l’abdomen comportant très exceptionnellement un risque vital ou de séquelles<br />

graves.<br />

o la possibilité exceptionnelle d’échec de la méthode qui peut se solder quelle que soit la technique utilisée par<br />

une grossesse intra ou extra-utérine (dans environ 0,5 % des cas suivant les statistiques mondiales).<br />

• accepter pleinement et entièrement le caractère définitif de la stérilisation sachant qu’une reperméabilisation n’est<br />

qu’hypothétique (grossesse obtenue dans 60 à 70 % des cas seulement) et envisageable dans des circonstances<br />

exceptionnelles.<br />

• avoir compris la technique envisagée dans mon cas, ainsi que ses avantages et inconvénients, en sachant que des<br />

difficultés techniques ou des contre-indications découvertes en cours d’intervention peuvent imposer l’abstention de<br />

l’opérateur ou une intervention à ventre ouvert.<br />

• enfin, avoir consenti librement à cette stérilisation en réitérant ma demande après quatre mois de réflexion (dans<br />

le respect des termes l'article 26 de la loi n o 2001 - 588, du 4 juillet 2001).<br />

Date ................................................... Signature ...........................................................<br />

2. Je soussigné, Docteur ……………………………………….,<br />

certifie avoir donné une information loyale et complète concernant cet acte avant d’accepter de le réaliser, après un délai de<br />

réflexion de quatre mois, dûment écoulé.<br />

Date ................................................... Signature...........................................................<br />

Modèle déposé. Ne peut être modifié sans l'accord du CNGOF.


LEGISLATION FRANCAISE (1/4)<br />

La loi a évolu volué récemment cemment<br />

HISTORIQUE de cette loi<br />

- 1er Juillet 1937: Condamnation pr coups<br />

et blessures par la Cour de Cassation des<br />

non-médecins non decins ayant éffectu ffectuées es des<br />

vasectomies (code Pénal) P nal)<br />

-En En 1998,Cour de Cassation retenait le<br />

caractère caract re « délictueux lictueux » de la ST.<br />

- Alors qu’en qu en 1996 on comptait en France<br />

30000 à 40000 stérilisations.<br />

st rilisations.


LEGISLATION FRANCAISE (2/4)<br />

Longtemps le Code civil précisait pr cisait ds<br />

son article 16.3 « il ne pt être tre porté port<br />

atteinte à l’int intégrit grité du corps humain<br />

qu’en qu en cas de nécessit n cessité<br />

thérapeutique<br />

th rapeutique pr la personne ».


LEGISLATION FRANCAISE (3/4)<br />

Mais en Juillet 1999,l’article 1999,l article 16.3 du Code Civil a<br />

été modifié modifi ,rendant admissible l’atteinte l atteinte à<br />

l’int intégrit grité du corps humain en cas de nécessit cessité<br />

médicale dicale (et et non plus thérapeutique).<br />

th rapeutique).<br />

Déjà en 1975,le Comité Comit des Ministres du Conseil<br />

de l’Europe l Europe recommandait de rendre la<br />

stérilisation st rilisation chirurgicale accessible en tant que<br />

service médical m dical.<br />

Un pas décisif d cisif est fait le 18 avril 2000 de la part<br />

de l’Acad l Académie mie Nationale de Medecine et de<br />

l’Ordre Ordre des Medecins (Pr Sureau)


LEGISLATION(4/4)<br />

Le pas vers la législation l gislation sera franchi par<br />

les déput d putés s à l’occasion occasion de la refonte de la<br />

loi sur l’avortement l avortement et la<br />

contraception en 2001.<br />

La législation l gislation française fran aise sera donc à partir<br />

du 4 juillet 2001 en harmonie avec les<br />

résolutions solutions du Conseil de l’Europe. l Europe.


LES TEXTES DE LOI<br />

LOI n°2001 n 2001-588 588 du 4 juillet 2001 relative à l’IVG IVG<br />

et à la contraception.<br />

Chapitre 3 « stérilisation<br />

st rilisation à visée vis e contraceptive»,<br />

contraceptive ,<br />

Article 26:article .2123<br />

Ne peut être tre pratiquée pratiqu e sur 1 mineur,<br />

Peut être tre pratiquée pratiqu e sur 1 personne majeure,<br />

Volonté Volont libre et délib d libérée, e,<br />

Info claire et complète compl te de la femme,<br />

Ne peut être tre pratiquée pratiqu e que dans des<br />

établissements tablissements de santé, sant ,


LES TEXTES DE LOI (suite)<br />

Consultation auprès aupr s d’un d un médecin m decin pour:<br />

- informer des risques et conséquences cons quences de<br />

l’intervention<br />

intervention<br />

- remise d’un d un dossier d’info d info écrit crit<br />

Délai lai de réflexion r flexion de de 4 mois après apr s la 1ere<br />

cas et après apr s la confirmation écrite crite par la<br />

personne concernée concern e de sa volonté volont de subir<br />

une intervention.<br />

Medecin non tenu de pratiquer ms doit<br />

informer la patiente de son refus dès d s la 1ère 1 re<br />

cs.


LES TEXTES DE LOI(suite)<br />

L’Article Article 27 concerne les handicapés:<br />

handicap s:<br />

« Stérilisation<br />

St rilisation à viséee vis ee contraceptive pt être tre<br />

pratiquée pratiqu e sur une personne majeure dt<br />

l’alt altération ration des facultés facult s mentales constitue<br />

un handicap qui a justifié justifi son placement<br />

ss tutelle ou curatelle que qd il existe un<br />

CI médicale m dicale absolue aux méthodes m thodes de<br />

contraception ou une impossibilité impossibilit avérée av e<br />

de les mettre en œuvre uvre efficacement ».


ETAT DES LIEUX DS LE MONDE<br />

L’am amélioration lioration des techniques entraîna entra na<br />

une évolution volution des mentalités.<br />

mentalit s.<br />

Depuis que les Nations Unies ont reconnu<br />

le droit au planning familial,de nombreux<br />

pays ont admis la licéit lic ité de la<br />

contraception (et de l’IVG). l IVG).<br />

La ST est considérée consid e comme un<br />

complément compl ment nécessaire n cessaire aux méthodes m thodes de<br />

régulation gulation des naissances.


ETAT DES LIEUX DANS LE<br />

Couples (âge de<br />

la femme 15-49<br />

ans)<br />

Total Stérilisation<br />

féminine<br />

MONDE<br />

Stérilisation<br />

masculine<br />

Pilule DIU Préservatif Injectables,<br />

diaphragme,<br />

spermicides<br />

Monde 899 57 17 5 8 12 5 2 8<br />

Pays sousdéveloppés<br />

710 53 20 5 6 14 3 1 5<br />

Afrique 97 18 1 0.1 6 4 1 2 4<br />

Asie et Océanie 545 58 23 6 4 16 3 1 5<br />

- Asie orientale 236 79 33 10 3 31 2 0 1<br />

- Autres pays 309 42 15 4 5 5 4 2 7<br />

Amérique latine 67 58 21 1 16 7 2 2 9<br />

Pays développés 189 72 8 4 16 6 14 2 22<br />

Autres<br />

méthodes


ETAT DES LIEUX DANS LE<br />

MONDE<br />

Quelques chiffres:<br />

Pourcentage de femmes en âge ge de procréer procr er<br />

utilisant la ST comme méthode m thode de régulation r gulation des<br />

naissance<br />

Stérilisation St rilisation féminine f minine<br />

Monde<br />

Etats-Unis<br />

Etats Unis<br />

Canada<br />

Nouvelle-Zélande<br />

Nouvelle lande<br />

Australie<br />

Grande-Bretagne<br />

Grande Bretagne<br />

Pays-Bas Pays Bas<br />

Suisse<br />

17%<br />

22%<br />

31%<br />

19%<br />

28%<br />

14%<br />

5%<br />

16%


DES CHIFFRES(suite)<br />

Pays en voie de<br />

developpt:20%<br />

Republique<br />

Dominicaine<br />

Corée Cor<br />

39%<br />

35%<br />

Afrique:1 à2% 2% chine<br />

34%


ST DANS LE MONDE<br />

ETATS-UNIS:22%; ETATS UNIS:22%; 700000LT/an.<br />

Ds 50% ,LT ds le post-<br />

partum(Pomeroy).<br />

Avant 1960,la ST était tait réalis r alisée e que<br />

pr indications médicales,ou m dicales,ou qd la<br />

femme n’é n’était<br />

tait + en âge ge de procréer. procr er.<br />

A partir de 1960,chgt culturel.


LA STERILISATION TUBAIRE<br />

PAYS PAR PAYS<br />

EUROPE(nord,ouest,sud):lois<br />

EUROPE(nord,ouest,sud):lois<br />

pemettent explicitement la ST.<br />

- Royaume-Uni:14%<br />

Royaume Uni:14%<br />

la ST a tjrs été considérée consid e comme<br />

licite,suffit le plein accord de<br />

l’int intéress ressé.(soumise .(soumise à aucun critère crit re<br />

et les medecins la pratiquent<br />

gratuitement ds le cadre du Service<br />

National de Santé. Sant .


ST DANS LE MONDE<br />

LES PAYS SCANDINAVES:6%<br />

Le Danemark(13 Juin 1973);<br />

La Suède(1er Su de(1er Janvier 1976) et<br />

la Norvège(3 Norv ge(3 Juin 1977)<br />

autorisent la ST sur demande d’un d un adulte<br />

âgé de + de 25 ans et domicilié domicili ds le pays.<br />

La Finlande:le 31 Janvier 1985,vote d’une d une<br />

loi admettant la ST sur demande ms avec<br />

l’une une ou l’autre l autre de ces conditions: avoir 3<br />

enfants, et âge ge>30 >30 ans


ST DANS LE MONDE(suite)<br />

Autriche:1%<br />

En 1934,la Cour Suprême Supr me considérait consid rait la<br />

ST comme délit d lit de blessures volontaires.<br />

Nouvelle loi (code Pénal) P nal) en 1975<br />

autorise la ST par un médecin m decin d’une d une<br />

femme de + de 25 ans.<br />

Luxembourg<br />

Loi du 15 novembre 1978<br />

Les centres de planification familiale st<br />

organisés organis s et subventionnés subventionn s par l’Etat. l Etat.


ST DANS LE MONDE(suite)<br />

Espagne:4%<br />

Loi de Juin 1983 autorise une personne<br />

majeure capable d’avoir d avoir recours à la ST pr<br />

contrôler contr ler sa fécondit f condité.<br />

Portugal:<br />

Loi du 24 mars 1984 organise l’é l’éducation<br />

ducation<br />

sexuelle et l’acc l accès s aux méthodes m thodes de<br />

planning familial:personne<br />

>25ans,consentemt écrit crit, , après apr s info.


ST DANS LE MONDE(suite)<br />

Allemagne Fédérale:10%.Depuis F rale:10%.Depuis 1976.<br />

Suisse:17 novembre 1981:résolution 1981:r solution de<br />

l’Acad Académie mie Médicale M dicale suisse(majeure,info<br />

préalable,consentemt<br />

pr alable,consentemt écrit) crit)<br />

Italie: peu utilisée. utilis e.<br />

Le régime r gime de Mussolini avait promulgué<br />

promulgu<br />

une loi prohibant la S.;cette dernière derni re est<br />

abolie le 25 Mai 1978 mais ce n’est n est qu’en qu en<br />

1987 que la Cour de Cassation donne<br />

accès acc s à la S.


ST DANS LE MONDE<br />

Belgique:pas de loi spécifique.<br />

sp cifique.<br />

Une Commission nationale nommée nomm e par<br />

le gvt en 1974 et conclut la ST volontaire<br />

comme une méthode m thode efficace, autorisée autoris e<br />

sur demande.<br />

Pays-Bas:5%<br />

Pays Bas:5%<br />

Ds les années ann es 60,l’image 60,l image de S. était tait<br />

négative gative (pays traumatisé traumatis par l’id l idéologie ologie<br />

nazie).<br />

En 1978, le Manuel des médecins m decins<br />

néerlandais erlandais précise pr cise que la décision d cision ne dt<br />

pas être tre prise par le médecin m decin ms par le<br />

couple.


Exemple de consentement au<br />

Canada


CONCLUSION<br />

La France a longtemps été ds<br />

l’ill illégalisme,les galisme,les médecins m decins se st battus pr<br />

faire que la ST ait une législation.<br />

l gislation.<br />

La ST à visée vis e contraceptive ne doit pas<br />

être tre assimilée assimil e à un droit mais à un moyen<br />

de contraception qui fait partie de l’arsenal l arsenal<br />

thérapeutique th rapeutique aujourd’ aujourd hui disponibles<br />

avec ses indications et ses CI.<br />

BALANCE BENEFICE-RISQUE<br />

BENEFICE RISQUE

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