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Dossier de presse expo TOPOR-LEHMANN ... - Ville de Riom

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DOSSIER DE PRESSE<br />

Exposition<br />

<strong>TOPOR</strong> – <strong>LEHMANN</strong><br />

Conversation<br />

Du 19 mars au 14 avril 2013<br />

Espace d’<strong>expo</strong>sition – Les Abattoirs<br />

1 Route d’Ennezat<br />

Ecole Municipale d’Arts Plastiques - <strong>Riom</strong> (63)<br />

________________________________________________________________________<br />

L’Ecole Municipale d’Arts Plastiques <strong>de</strong> <strong>Riom</strong> met en place <strong>de</strong>puis plusieurs<br />

années un ren<strong>de</strong>z-vous intitulé « Les invités <strong>de</strong> l’école ».<br />

Après Piotr Kalinsky graveur polonais en 2009, une <strong>expo</strong>sition collective <strong>de</strong> trois<br />

artistes français, Joé Fernan<strong>de</strong>z (peintures), Sylvie Denizot (peintures) et Fanny<br />

Paulik (photographies, <strong>de</strong>ssins) en 2012, ce ren<strong>de</strong>z-vous propose une nouvelle<br />

« aventure esthétique ».<br />

Conversation entre <strong>de</strong>ux artistes, Roland Topor (disparu en 1997) et<br />

Matthias Lehmann. Deux univers singuliers, <strong>de</strong>ux artistes majeurs <strong>de</strong><br />

l’illustration, <strong>de</strong>ux mon<strong>de</strong>s parallèles qui trouvent souvent <strong>de</strong>s points <strong>de</strong><br />

croisement et <strong>de</strong> convergence.<br />

Ces <strong>de</strong>ux artistes, en <strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s différentes, ont contribué à la « scène<br />

alternative et contestataire <strong>de</strong> leur temps ».<br />

Cette <strong>expo</strong>sition est une invitation dans un mon<strong>de</strong> caustique, ébouriffant et<br />

décapant. C’est la première fois que seront réunis ces <strong>de</strong>ux artistes et ceci grâce à<br />

la collaboration <strong>de</strong> l’artothèque Intercommunale Ouest Provence et <strong>de</strong> l’Ecole<br />

d’Arts Plastiques <strong>de</strong> <strong>Riom</strong>.


ROLAND <strong>TOPOR</strong><br />

Roland Topor (Paris, 7 janvier 1938 - Paris, 16 avril 1997) est un illustrateur, <strong>de</strong>ssinateur, peintre, écrivain, poète,<br />

metteur en scène, chansonnier, acteur et cinéaste français. Fils du peintre et sculpteur Abram Topor, le jeune<br />

Roland passe ses premières années à Paris, dans le 10 e arrondissement, rue Corbeau (aujourd'hui rue Jacques-<br />

Louvel-Tessier), puis en Savoie où ses parents, immigrés juifs polonais, se cachent <strong>de</strong> l'occupant nazi.<br />

Étudiant aux Beaux-Arts <strong>de</strong> Paris, Topor collabore au journal Hara-Kiri dont il partage le culte <strong>de</strong> l'humour noir,<br />

décapant et cynique mais aussi, dans une veine plus rose, au magazine Elle. En 1962, avec Fernando Arrabal et<br />

Alexandro Jodorowsky, il est l'un <strong>de</strong>s créateurs du mouvement Panique.<br />

Attiré par le cinéma d'animation, il collabore avec René Laloux. Après plusieurs courts métrages, le longmétrage<br />

La Planète sauvage obtient, en 1973, le prix spécial du jury à Cannes.<br />

La décennie 1970 voit également son roman Le Locataire chimérique adapté par Roman Polanski : sous le titre<br />

Le Locataire, en 1976. Topor collabore avec Fe<strong>de</strong>rico Fellini pour son Casanova, <strong>de</strong>ssinant les images projetées<br />

pendant la séquence <strong>de</strong> la « lanterne magique ».<br />

Topor travaille aussi avec son ami et complice Jean-Michel Ribes sur <strong>de</strong> nombreux projets. Ils écrivent<br />

ensemble pour la télévision Merci Bernard (1982-1984), puis Palace (1988)<br />

Topor travaille également pour la télévision sur la série pour enfants (démarrée en 1983) Téléchat, réalisée par<br />

son ami intime, le Belge Henri Xhonneux.<br />

Il a été nommé, à titre posthume, satrape du Collège <strong>de</strong> Pataphysique.<br />

Il laisse une œuvre foisonnante, originale, dont le temps n'a pas émoussé la virulence.


MATTHIAS <strong>LEHMANN</strong><br />

Matthias Lehmann est un illustrateur <strong>de</strong> BD et peintre français. Il produit une gran<strong>de</strong> partie <strong>de</strong> ses images sur<br />

<strong>de</strong>s cartes à gratter.<br />

Né en 1978, il se définit lui-même comme franco-brésilien. Il publie <strong>de</strong>puis dix ans <strong>de</strong>s histoires courtes en<br />

ban<strong>de</strong> <strong>de</strong>ssinée dans la <strong>presse</strong> alternative internationale.<br />

Il est édité Au Dernier Cri à Marseille, chez Acte Sud BD pour les ouvrages « Les Larmes d’Ezechiel » et<br />

« L’étouffeur <strong>de</strong> la RN 115 » ainsi qu’à l’Association pour « Isolacity ».<br />

Il <strong>de</strong>ssine et illustre également les pages <strong>de</strong> la <strong>presse</strong> nationale et quotidienne (et plus traditionnelle) comme<br />

Libération, Marianne, Le Mon<strong>de</strong>, XXI.


L’Ecole d’Arts Plastiques <strong>de</strong> RIOM<br />

La commune <strong>de</strong> <strong>Riom</strong> offre, avec son Ecole d’Arts Plastiques, un service unique dans le Puy-<strong>de</strong>-Dôme. Située au<br />

cœur <strong>de</strong> la cité, cette école propose une gran<strong>de</strong> variété <strong>de</strong> cours et d’ateliers d’expressions artistiques : <strong>de</strong>ssin,<br />

graphisme, peinture, sculpture, céramique et estampe. Ces cours sont ouverts à tous les publics selon leurs<br />

moyens. Ils sont adaptés selon le niveau : débutants ou avertis trouvent leurs places.<br />

Mais une école ne serait rien sans ses professeurs, et là encore l’Ecole d’Arts Plastiques offre un service <strong>de</strong><br />

qualité. Dix enseignants, tous diplômés d’une école supérieure d’art, encadrent les cours, et ont en parallèle une<br />

pratique artistique personnelle.<br />

Si l’école propose <strong>de</strong>s cours, elle a aussi pour vocation d’organiser régulièrement <strong>de</strong>s <strong>expo</strong>sitions « d’artistes<br />

invités ». En juillet 2012, elle invite une trentaine d’artistes américains et français <strong>de</strong> la scène alternative pour une<br />

<strong>expo</strong>sition d’estampes regroupant plus <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux cents œuvres avec <strong>de</strong>s artistes comme Barbarena, Les frères<br />

Hancoks, Tom Hunk, Julia Cullan, Marc Brunier-Mestas, Rémi, Ludovick Levasseur. L’<strong>expo</strong>sition intitulée « A<br />

l’ARRACHE », tout comme celle <strong>de</strong> l’artiste polonais Piotr Kalinsky en 2009 (qui <strong>expo</strong>sait pour la première fois en<br />

France) sont <strong>de</strong>s signes forts que l’EAP veut donner en direction <strong>de</strong> l’estampe ou <strong>de</strong> la « Print Culture ».<br />

Domaine très actif dans la création contemporaine, elle renoue avec une attention toute particulière à la<br />

diffusion <strong>de</strong> proximité, populaire et accessible à tous.<br />

C’est aussi pour l’Ecole d’Arts Plastiques le commencement d’un « tour du mon<strong>de</strong> » <strong>de</strong> l’estampe, que l’on<br />

pourrait définir comme le « PRINT ACTION » (l’impression active). Renouant ainsi avec <strong>de</strong>s artistes s’inscrivant<br />

dans la tradition « <strong>de</strong>s imagiers » producteurs d’images populaires.<br />

L’Artothèque Intercommunale d’Ouest Provence<br />

Elle est chargée <strong>de</strong> constituer un fonds d’œuvres d’art contemporain, <strong>de</strong><br />

le présenter et <strong>de</strong> le diffuser grâce au soutien <strong>de</strong> la médiathèque intercommunale.<br />

Elle prête au public l’ensemble <strong>de</strong>s 1 900 œuvres <strong>de</strong> son fonds, enrichi chaque année <strong>de</strong>puis 1983.<br />

Elle se compose d’œuvres originales dans divers domaines et techniques (gravure, sérigraphie, lithographie), <strong>de</strong><br />

la photographie, <strong>de</strong> l’impression numérique et <strong>de</strong> l’œuvre unique (<strong>de</strong>ssin, peinture, monotype et sculpture).<br />

Des <strong>expo</strong>sitions (à raison <strong>de</strong> trois par an, individuelles ou collectives, présentées dans une salle <strong>de</strong> 230m²<br />

environ) et <strong>de</strong>s actions pédagogiques accompagnent cette collection d'art contemporain.<br />

L’<strong>expo</strong>sition « <strong>TOPOR</strong>-<strong>LEHMANN</strong> conversation » reprendra une partie <strong>de</strong> la collection <strong>de</strong> l’artothèque et<br />

plus spécifiquement les œuvres <strong>de</strong> Topor que nous <strong>expo</strong>serons à cette occasion.<br />

Le contenu <strong>de</strong> l’<strong>expo</strong>sition


ROLAND <strong>TOPOR</strong><br />

L’<strong>expo</strong>sition présentera un ensemble d’œuvres <strong>de</strong> <strong>TOPOR</strong>, notamment la série qu’il a faite pour illustrer<br />

« Nouvelles en trois lignes » <strong>de</strong> Félix Fénéon (cf page suivante).<br />

C’est un corpus <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux séries <strong>de</strong> dix lithographies <strong>de</strong> la même image, une fois tirée en couleur et une fois en<br />

noir et blanc. Ces œuvres nous ont été généreusement prêtées par l’Artothèque Intercommunale <strong>de</strong> Miramas.


NOUVELLES EN TROIS LIGNES<br />

LITHOGRAPHIES ORIGINALES sur grand vélin d'Arches<br />

La rubrique intitulée Nouvelles en trois lignes était constituée <strong>de</strong> dépêches <strong>de</strong> <strong>de</strong>rnière minute reçues au journal<br />

Le Matin, et qui étaient publiées sous forme <strong>de</strong> brèves dans les pages intérieures du quotidien.<br />

Ces « nouvelles » étaient divisées en sous-sections en fonction <strong>de</strong> leur provenance géographique (banlieue<br />

parisienne, départements, pays étrangers), et portaient tant sur les faits divers que sur les flux <strong>de</strong> marchés<br />

financiers ou sur le commerce maritime. Le Quotidien pouvait ainsi se vanter d'être le seul journal français <strong>de</strong><br />

l'époque à pouvoir faire bénéficier ses lecteurs <strong>de</strong>s dépêches reçues par fils spéciaux du mon<strong>de</strong> entier.<br />

Les « nouvelles en trois lignes » se présentaient sous la forme d'une information rédigée <strong>de</strong> la manière la plus<br />

con<strong>de</strong>nsée possible, entre cent et cent-trente-cinq signes typographiques.<br />

C'est dans ce cadre qu'à partir <strong>de</strong> mai 1906, entre <strong>de</strong>ux dépêches anodines, les lecteurs du Matin pouvaient en<br />

découvrir d'autres, également authentiques, rédigées dans le style <strong>de</strong>s exemples qui suivent :<br />

« Madame Fournier, M. Voisin, M. Septeuil se sont pendus : neurasthénie, cancer, chômage. »<br />

« Le feu, 126, boulevard Voltaire. Un caporal fut blessé. Deux lieutenants reçurent sur la tête, l’un une poutre,<br />

l’autre un pompier. »<br />

Ces nouvelles anonymes, dont le caractère insolite <strong>de</strong> la présentation ne fut semble-t-il pas toujours perçu par le<br />

lectorat du Matin, étaient dues au critique d'art Félix Fénéon, qui s'était rendu célèbre douze ans plus tôt, alors<br />

que, accusé <strong>de</strong> complicité dans un attentat attribué aux anarchistes, il avait ridiculisé le tribunal par l'ironie<br />

cinglante <strong>de</strong> ses réparties. Loin <strong>de</strong> se contenter <strong>de</strong> rapporter <strong>de</strong>s faits divers <strong>de</strong> la façon la plus ramassée<br />

possible, Fénéon imagina pour les « nouvelles en trois lignes » qu'il rédigea, <strong>de</strong> mettre à leur service toutes les<br />

ressources <strong>de</strong> la rhétorique, d'en peaufiner le rythme et la prosodie.<br />

Dans les fragments <strong>de</strong> Fénéon, le contenu référentiel – malgré une prédilection marquée, sinon jubilatoire, pour<br />

les faits divers sanglants ou cruels – <strong>de</strong>vient secondaire par rapport aux virtuosités stylistiques, « l'ordre <strong>de</strong><br />

l'action se soumet à celui <strong>de</strong> la syntaxe» :<br />

« Rattrapé par un tramway qui venait <strong>de</strong> le lancer à dix mètres, l'herboriste Jean Désille, <strong>de</strong> Vannes, a été coupé<br />

en <strong>de</strong>ux.»<br />

Parfois, le drame porte en lui-même sa charge burlesque, et le travail <strong>de</strong> l'écrivain consiste à transformer l'ironie<br />

du sort en figure <strong>de</strong> style, comme dans ce malheureux acci<strong>de</strong>nt :<br />

« Le professeur <strong>de</strong> natation Renard, dont les élèves tritonnaient en Marne, à Charenton, s'est mis à l'eau luimême<br />

: il s'est noyé. »<br />

Comme on le voit par ces exemples, les « nouvelles » <strong>de</strong> Fénéon se caractérisent souvent par leur férocité et leur<br />

cynisme; le style elliptique, apparemment imperturbable et factuel, qui est à la base <strong>de</strong> l'«esthétisme déca<strong>de</strong>nt»<br />

<strong>de</strong> l'auteur, ne fait que les exacerber ironiquement.<br />

La juxtaposition <strong>de</strong> toutes les nouvelles en trois lignes <strong>de</strong> Fénéon, qui paraissaient originellement au milieu<br />

d'autres, <strong>de</strong> forme plus anodine, a conduit le critique d'art Jean-Yves Jouannais à les rapprocher <strong>de</strong> ce qui en<br />

apparence en constitue l'exacte antithèse car chacun <strong>de</strong> ces poèmes en trois lignes sont :<br />

« Autant <strong>de</strong> romans elliptiques », qui mis bout à bout, formeraient « une Comédie humaine con<strong>de</strong>nsée en un<br />

point d'antimatière où s'abîment sans espoir <strong>de</strong> réflexion les masses critiques du bovarysme, du burlesque <strong>de</strong>s<br />

idées reçues, du sordi<strong>de</strong> <strong>de</strong>s passages à l'acte. »<br />

Daniel Grojnowski qui a étudié la structure <strong>de</strong> ces fragments dans le cadre <strong>de</strong> son étu<strong>de</strong> sur « l'esprit fumiste »


fin <strong>de</strong> siècle, fait <strong>de</strong> Fénéon à la fois le premier « poéticien <strong>de</strong> la nouvelle <strong>presse</strong> », et le « déniaiseur » <strong>de</strong> celle-ci.<br />

Déjà en 1914, Guillaume Apollinaire voyait en l'auteur <strong>de</strong>s Nouvelles en trois lignes celui qui, avant les futuristes,<br />

avait inventé les « mots en liberté ».<br />

JEUX DE TABLE<br />

Deux autres séries empruntées à « L’Atelier Clot » à Paris seront présentées. Une série <strong>de</strong> six lithographies<br />

intitulées « Jeux <strong>de</strong> table » nous invitent à passer non pas à table, mais sous la table, pour y découvrir qu’il y a<br />

une vie toute particulière en ce lieu si souvent caché.<br />

<strong>TOPOR</strong> LINO<br />

La <strong>de</strong>rnière série <strong>expo</strong>sée <strong>de</strong>s œuvres <strong>de</strong> Topor se compose <strong>de</strong> dix linogravures<br />

<strong>de</strong> l’artiste qui en leur temps ont été regroupées dans un ouvrage intitulé<br />

<strong>TOPOR</strong> LINO. On y retrouve toute la force caustique et l’efficacité du trait <strong>de</strong><br />

Topor, que la technique <strong>de</strong> la linogravure exalte.


MATTHIAS <strong>LEHMANN</strong><br />

Vingt œuvres <strong>de</strong> formats divers réalisées dans sa technique <strong>de</strong> prédilection la carte à gratter sera présenté.<br />

La carte à gratter est un support pour <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong> <strong>de</strong>ssin pouvant s'apparenter à la gravure. Le terme carte à<br />

gratter désigne à la fois le support, la technique, et l'œuvre réalisée par cette technique. Partant d'un principe<br />

simple, la carte à gratter autorise un grand nombre <strong>de</strong> techniques différentes et il n'y a pas <strong>de</strong> règle absolue. On<br />

peut, en fonction du résultat souhaité, préparer la carte, soit pour la lisser au maximum, soit au contraire lui<br />

donner une « matière » plus rugueuse en y passant du papier <strong>de</strong> verre.<br />

Le <strong>de</strong>ssin préalable doit être aussi fin et précis que possible, aussi bien sur carte blanche que noire, car il est<br />

difficile à gommer ensuite. Sur carte noire, le <strong>de</strong>ssin au crayon graphite peut être suffisant car son brillant le<br />

rend visible, mais chaque artiste utilise sa propre métho<strong>de</strong>. Pour le grattage, la gamme <strong>de</strong>s outils est très large<br />

et là encore chaque artiste trouve ses propres instruments.<br />

Son travail est souvent comme une divagation, un rêve improbable où l’ordre et le désordre s’entrechoquent. Il<br />

nous invite à entrer dans un mon<strong>de</strong> poétique entre rêve, cauchemar et réalité, comme si nous étions pris <strong>de</strong><br />

bouffée délirante : nous ne savons plus vraiment si nous sommes en pleine réalité ou dans un état<br />

d’hallucination ou dans la torpeur d’un rite Vaudou.<br />

Des originaux <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ssins <strong>de</strong> <strong>presse</strong> ainsi que <strong>de</strong>s planches originales <strong>de</strong> ban<strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssinées complèteront la<br />

partie <strong>de</strong> l’<strong>expo</strong>sition consacrée à Matthias Lehmann.


Remerciements<br />

Madame Laverdure <strong>de</strong> l’Artothèque Intercommunale Ouest Provence<br />

Monsieur Bramsen <strong>de</strong> L’Atelier Clot à Paris<br />

Monsieur Barjole <strong>de</strong> La galerie Martagon<br />

Madame Bessot <strong>de</strong> la Bibliothèque intercommunale <strong>de</strong> RIOM<br />

Le Centre Culturel Le Bief, territoire d’Ambert<br />

Contacts<br />

L’Ecole d’Arts Plastiques <strong>de</strong> <strong>Riom</strong><br />

Lionel Zwenger 06 63 95 81 19<br />

Sylvie Echaubard 04 73 33 79 90<br />

ecole.arts.plastiques@ville-riom.fr ou 04 73 33 71 48<br />

Informations pratiques<br />

Exposition ouverte tous les jours sauf les lundis <strong>de</strong> 15h à 19h. Entrée libre<br />

Ouvertures exceptionnelles le 26 mars, le 28 mars et le 11 avril 2013 <strong>de</strong> 15h à 21h.<br />

Rencontre avec Matthias Lehmann le 11 avril 2013 à 20h30 à l’Espace d’<strong>expo</strong>sition, 1 Route d’Ennezat.<br />

Visites en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s horaires prévus ou pour l’accueil <strong>de</strong> classes, sur <strong>de</strong>man<strong>de</strong>.<br />

Tél. : 04 73 33 71 48 ou ecole.arts.plastiques@ville-riom.fr<br />

www.ville-riom.fr

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