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Dossier de presse - Société Foncière Lyonnaise

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DOSSIER DE PRESSE<br />

Mémoires contemporaines 2<br />

Felice Varini / Carré Edouard VII<br />

Contact <strong>presse</strong> : Nathalie Riché<br />

nriche@art-en-direct.fr / 01 55 35 25 12


Mémoires contemporaines 2<br />

Les œuvres <strong>de</strong> Felice Varini réinventent le Carré Edouard VII<br />

Inscrire son soutien à la création contemporaine dans la durée<br />

Après le projet IN/OUT, la <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong> s’engage dans la secon<strong>de</strong> édition <strong>de</strong> son<br />

programme d’art contemporain « Mémoires contemporaines » conçu en collaboration avec le<br />

Centre <strong>de</strong> Création Contemporaine <strong>de</strong> Tours et invite Felice Varini à investir le Carré Edouard VII.<br />

En 2011, dans le cadre du Projet IN/OUT, SFL a donné carte blanche à Per Barclay et Alain Bublex<br />

pour investir l’ancien bâtiment Thomson, une construction industrielle <strong>de</strong>s années 30 à Boulogne<br />

Billancourt, avant sa réhabilitation.<br />

Les artistes <strong>de</strong> renommée internationale ont créé <strong>de</strong>ux installations monumentales et éphémères<br />

symbolisant, chacune à leur manière, la transition entre une architecture industrielle et un édifice<br />

contemporain. Ces réalisations témoignaient <strong>de</strong> préoccupations chères à SFL telles que<br />

l’architecture et la mémoire <strong>de</strong>s lieux, et ont suscité un véritable engouement auprès <strong>de</strong> son<br />

univers professionnel et du mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong> la culture.<br />

Pour « Mémoires contemporaines 2 », SFL donne carte blanche à l’artiste <strong>de</strong> renommée<br />

internationale Felice Varini. Cette secon<strong>de</strong> édition participe à la réinvention d’un quartier, le Carré<br />

Edouard VII, appartenant à SFL et situé entre le théâtre Edouard VII et l’Olympia.<br />

Réinventer l’ensemble immobilier Edouard VII<br />

L’ensemble immobilier Edouard VII a été conçu par l’architecte Anthony Béchu il y a une vingtaine<br />

d’années, en créant plusieurs passages et cours intérieures, en aérant le site et en articulant<br />

harmonieusement les immeubles neufs avec les faça<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s immeubles haussmanniens classés.<br />

SFL a voulu capitaliser sur l’histoire du site pour mettre ce patrimoine en valeur et réinventer ce<br />

site exceptionnel. La <strong>Société</strong> s’est entourée du cabinet d’architecture d’intérieure DTACC et<br />

l’agence <strong>de</strong> <strong>de</strong>sign Saguez & Partners pour ancrer le Carré Edouard VII au cœur <strong>de</strong> la mo<strong>de</strong>rnité et<br />

<strong>de</strong> la vocation économique et culturelle du quartier <strong>de</strong> l’Opéra.<br />

L’intervention <strong>de</strong> Felice Varini prend place dans les cours du site sur diverses faça<strong>de</strong>s, au cœur<br />

d’un quartier rassemblant <strong>de</strong>s logements, <strong>de</strong>s bureaux et <strong>de</strong>s locaux commerciaux. Les œuvres <strong>de</strong><br />

l’artiste apportent ainsi une nouvelle dimension culturelle à un quartier déjà marqué par <strong>de</strong>ux<br />

lieux <strong>de</strong> spectacle emblématiques, l’Olympia et le Théâtre Edouard VII : celle <strong>de</strong> l’art<br />

contemporain.<br />

Ces œuvres inscrivent le site dans une nouvelle contemporanéité tout en plaçant le Carré Edouard<br />

VII au cœur <strong>de</strong> la réinvention et <strong>de</strong> l’animation <strong>de</strong> la ville.<br />

Améliorer le cadre <strong>de</strong> vie, <strong>de</strong> travail ou <strong>de</strong> passage<br />

L’intervention <strong>de</strong> Felice Varini met en valeur le Carré Edouard VII et ainsi améliore le cadre <strong>de</strong> vie<br />

ou <strong>de</strong> travail <strong>de</strong> ses occupants. Au-<strong>de</strong>là, ces œuvres, situées dans un espace privé mais ouvert à<br />

tous, s’adressent à l’ensemble <strong>de</strong>s parisiens, s’inscrivent dans le paysage urbain parisien et<br />

constituent aussi une démarche citoyenne pour SFL.<br />

2


Une intervention inédite <strong>de</strong> Felice Varini<br />

3 œuvres, 3 couleurs, 3000 points <strong>de</strong> vue...<br />

Après avoir investi les espaces publics <strong>de</strong> Gennevilliers, Cardiff, Nagoya, Saint Nazaire et Vercorin,<br />

Felice Varini s’empare du Carré Edouard VII, au centre <strong>de</strong> Paris.<br />

L’artiste franco-suisse <strong>de</strong> renommée internationale développe son travail et sa peinture en <strong>de</strong>hors<br />

du tableau. Les paysages urbains et les espaces clos, avec les éléments architecturaux qui les<br />

composent, constituent son terrain d’action.<br />

Dans les cours du Carré Edouard VII, l’artiste crée une installation qui prend la mesure du site.<br />

Felice Varini joue avec l’espace en faisant vivre trois œuvres simultanément, favorisant les<br />

perceptions multiples chez le visiteur.<br />

Trois œuvres, trois couleurs, trois mille points <strong>de</strong> vue...<br />

A découvrir fin septembre :<br />

« Quatre triangles pour <strong>de</strong>ux fenêtres »<br />

« Double trapèze pour quatre triangles »<br />

« Cinq ellipses ouvertes »<br />

Les trois œuvres, à la mesure du lieu, ont leurs points <strong>de</strong> vue respectifs situés à proximité <strong>de</strong>s<br />

entrées <strong>de</strong>s cours , à partir <strong>de</strong>squels le spectateur verra <strong>de</strong>s formes géométriques cohérentes.<br />

Felice Varini permet au visiteur <strong>de</strong> découvrir un lieu qu’il croyait déjà connaître. Il révèle les<br />

faça<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l’immeuble avec un ensemble <strong>de</strong> lignes et <strong>de</strong> formes, qui se construisent et se<br />

déconstruisent dans un jeu visuel en mutation permanente.<br />

Les œuvres <strong>de</strong> Felice Varini<br />

réinventent le site, tout en<br />

étant autonomes.<br />

Ces créations joyeuses<br />

contrastent avec l’architecture<br />

épurée du Carré Edouard VII.<br />

Elles offrent aux visiteurs une<br />

immersion dans un ensemble<br />

<strong>de</strong> lignes, <strong>de</strong> formes et <strong>de</strong><br />

couleurs, elles créent ainsi un<br />

spectacle permanent.<br />

Felice Varini<br />

"Quatre triangles pour <strong>de</strong>ux fenêtres"<br />

Mémoires contemporaines 2<br />

Square Edouard VII, Paris 2012<br />

Collection: <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong><br />

Photo André Morin<br />

3


A la fin du mois <strong>de</strong> septembre, la <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong> inaugure les œuvres inédites et<br />

monumentales <strong>de</strong> Felice Varini, et la métamorphose du Carré Edouard VII.<br />

SFL met à disposition <strong>de</strong>s invités un processus <strong>de</strong> médiation (application numérique et<br />

signalétique), afin que chacun puisse appréhen<strong>de</strong>r la démarche <strong>de</strong> l’artiste, l’aspect inédit <strong>de</strong>s<br />

œuvres et leur intégration dans le paysage urbain.<br />

La <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong> associe l’Olympia et le Théâtre Edouard VII à ce projet artistique à<br />

l’échelle <strong>de</strong> la ville. Ces <strong>de</strong>ux lieux emblématiques <strong>de</strong> la vie culturelle parisienne sont, eux aussi,<br />

<strong>de</strong>s puissances invitantes pour le vernissage <strong>de</strong>s œuvres.<br />

Pour chacun <strong>de</strong> ses publics, la <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong> organise <strong>de</strong>s ren<strong>de</strong>z-vous spécifiques.<br />

Inauguration<br />

• Le mercredi 26 septembre, la <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong> invite ses clients et partenaires au<br />

vernissage <strong>de</strong>s œuvres <strong>de</strong> Felice Varini.<br />

• Le jeudi 27 septembre, SFL, l’Olympia et le Théâtre Edouard VII convient les élus locaux, le<br />

mon<strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong> <strong>de</strong> la culture à découvrir les œuvres <strong>de</strong> Felice Varini.<br />

Grand public<br />

L’œuvre est accessible à chacun. Les cours sont ouvertes tous les jours.<br />

La réalisation inédite <strong>de</strong> Felice Varini fait partie du programme <strong>de</strong> la Nuit Blanche.<br />

Le samedi 6 octobre entre 19h et minuit, <strong>de</strong>s médiateurs seront à la disposition du grand public.<br />

Adresse<br />

Carré Edouard VII<br />

9, place Edouard VII<br />

75009 Paris<br />

Felice Varini<br />

"Double trapèze pour quatre triangles"<br />

Mémoires contemporaines 2<br />

Square Edouard VII, Paris 2012<br />

Collection: <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong><br />

Photo André Morin<br />

Vernissages<br />

Découverte <strong>de</strong>s 3 œuvres <strong>de</strong> Felice Varini<br />

Contact Presse : Nathalie Riché<br />

01 55 35 25 12 – nriche@art-en-direct.fr<br />

4


Felice Varini est né en 1952 à Locarno en Suisse.<br />

Il vit et travaille à Paris.<br />

Felice Varini<br />

Felice Varini a bénéficié <strong>de</strong> nombreuses expositions personnelles dans <strong>de</strong>s galeries ou musées en<br />

France et à l’étranger.<br />

Il a également réalisé <strong>de</strong> nombreuses œuvres dans l’espace public parmi lesquelles on peut citer<br />

ses réalisations pour le Théâtre <strong>de</strong> Gennevilliers en 2012, pour le village suisse <strong>de</strong> Vercorin en<br />

2009, l’Université <strong>de</strong> Nagoya au Japon en 2008, la ville <strong>de</strong> Saint-Nazaire à l’occasion <strong>de</strong> la biennale<br />

Estuaire en 2007 puis en 2009, « 3 ellipses for 3 locks » pour le barrage <strong>de</strong> la baie <strong>de</strong> Cardiff en<br />

2007, l’œuvre du MAC/VAL - musée d’art contemporain du Val <strong>de</strong> Marne à Vitry-sur-Seine en<br />

2005, celle pour le siège social <strong>de</strong> Peugeot situé 75 Avenue <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> Armée à Paris en 2002,<br />

ou encore celle du siège <strong>de</strong> la <strong>Société</strong> Générale à la Défense.<br />

Felice Varini<br />

"Cinq ellipses ouvertes"<br />

Mémoires contemporaines 2<br />

Square Edouard VII, Paris 2012<br />

Collection: <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong><br />

Photo André Morin<br />

5


« L'espace architectural, et tout ce qui le constitue, est mon terrain d'action. Ces espaces sont et<br />

<strong>de</strong>meurent les supports premiers <strong>de</strong> ma peinture. J'interviens in situ dans un lieu à chaque fois<br />

différent et mon travail évolue en relation avec les espaces que je suis amené à rencontrer.<br />

En général je parcours le lieu en relevant son architecture, ses matériaux, son histoire et sa<br />

fonction. A partir <strong>de</strong> ses différentes données spatiales et en référence à la <strong>de</strong>rnière pièce que j'ai<br />

réalisée, je définis un point <strong>de</strong> vue autour duquel mon intervention prend forme.<br />

J'appelle point <strong>de</strong> vue un point <strong>de</strong> l'espace que je choisis avec précision : il est généralement situé<br />

à hauteur <strong>de</strong> mes yeux et localisé <strong>de</strong> préférence sur un passage obligé, par exemple une<br />

ouverture entre une pièce et une autre, un palier, etc. Je n'en fais cependant pas une règle car<br />

tous les espaces n'ont pas systématiquement un parcours évi<strong>de</strong>nt. Le choix est souvent arbitraire.<br />

Le point <strong>de</strong> vue va fonctionner comme un point <strong>de</strong> lecture, c'est-à-dire comme un point <strong>de</strong> départ<br />

possible à l'approche <strong>de</strong> la peinture et <strong>de</strong> l'espace. La forme peinte est cohérente quand le<br />

spectateur se trouve à cet endroit. Lorsque celui-ci sort du point <strong>de</strong> vue, le travail rencontre<br />

l'espace qui engendre une infinité <strong>de</strong> points <strong>de</strong> vue sur la forme. Ce n'est donc pas à travers ce<br />

premier point que je vois le travail effectué ; celui-ci se tient dans l'ensemble <strong>de</strong>s points <strong>de</strong> vue<br />

que le spectateur peut avoir sur lui.<br />

Si j'établis un rapport particulier avec <strong>de</strong>s caractéristiques architecturales qui influent sur la forme<br />

<strong>de</strong> l'installation, mon travail gar<strong>de</strong> toutefois son indépendance quelles que soient les<br />

architectures que je rencontre.<br />

Je pars d'une situation réelle pour construire ma peinture. Cette réalité n'est jamais altérée,<br />

effacée ou modifiée, elle m'intéresse et elle m'attire dans toute sa complexité. Ma pratique est <strong>de</strong><br />

travailler "ici et maintenant "".<br />

Felice Varini<br />

La démarche <strong>de</strong> l’artiste<br />

Crédit photo : Florent Thibout<br />

6


La <strong>Société</strong> <strong>Foncière</strong> <strong>Lyonnaise</strong><br />

Avec un patrimoine, <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 3,4 milliards d’euros, concentré dans le Quartier Central <strong>de</strong>s<br />

Affaires <strong>de</strong> Paris et <strong>de</strong>s immeubles <strong>de</strong> première qualité, SFL attire <strong>de</strong>s entreprises à la recherche<br />

d’une implantation stratégique et <strong>de</strong> prestations <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> qualité. Son patrimoine est constitué,<br />

pour une large part, d’immeubles <strong>de</strong> bureaux totalement rénovés et <strong>de</strong> commerces exceptionnels<br />

par leur emplacement et leur qualité architecturale.<br />

SFL possè<strong>de</strong> une expertise très pointue dans la restructuration <strong>de</strong> grands ensembles tertiaires, la<br />

sélection et la gestion d’immeubles à fort potentiel <strong>de</strong> valorisation locative et la conduite d’une<br />

politique d’arbitrage dynamique. Ce savoir-faire, conjugué à un socle patrimonial inégalé sur le<br />

marché, contribue à faire <strong>de</strong> SFL un spécialiste et un acteur incontournable <strong>de</strong> l’immobilier<br />

tertiaire « prime » parisien. La qualité <strong>de</strong> ses actifs ainsi que sa culture d’excellence répon<strong>de</strong>nt<br />

aux attentes d’une clientèle exigeante pour laquelle l’implantation <strong>de</strong> bureaux constitue à la fois<br />

un cadre <strong>de</strong> travail contemporain, un outil <strong>de</strong> motivation <strong>de</strong>s équipes et une vitrine pour l’image<br />

<strong>de</strong>s entreprises.<br />

SFL a opté pour le régime <strong>de</strong>s sociétés d’investissements immobiliers cotées (SIIC) en 2003 et est<br />

cotée à la Bourse <strong>de</strong> Paris sur le marché réglementé unique Euronext Paris, Compartiment A.<br />

A travers son programme artistique annuel « Mémoires contemporaines », SFL invente une<br />

nouvelle façon d’exercer son métier, à la fois contemporaine et innovante, et <strong>de</strong> mettre en valeur<br />

<strong>de</strong> manière pérenne ses biens.<br />

L’intervention <strong>de</strong> Felice Varini dans le Carré Edouard VII s’inscrit dans le cadre <strong>de</strong> la secon<strong>de</strong><br />

édition <strong>de</strong> « Mémoires contemporaines ».<br />

Les événements prévus à la fin du mois <strong>de</strong> septembre sont l’occasion d’inaugurer ces nouvelles<br />

œuvres.<br />

Contact Presse : Nathalie Riché<br />

01 55 35 25 12 – nriche@art-en-direct.fr<br />

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