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SOMMAIRE<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
SOMMAIRE.................................................................................... 2<br />
LA PIECE....................................................................................... 4<br />
LE VAUDEVILLE MILITAIRE : PETITE HISTOIRE............................................... 4<br />
INTENTION DE MISE EN SCENE ............................................................... 5<br />
LE METTEUR EN SCENE ....................................................................... 6<br />
CHANTAL LADESOU........................................................................... 6<br />
LA COMPAGNIE DU MAGE .................................................................... 7<br />
FICHE TECHNIQUE ............................................................................. 8<br />
CONTACTS..................................................................................... 9<br />
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DITRIBUTION<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
Lina Vermillon Chantal <strong>La</strong>desou<br />
Comédienne. Une superbe plante de 35 ans,<br />
avec des renflements aux endroits souhaitables.<br />
Elégance un peu voyante de titi parisienne.<br />
Colonel Touplard Nicolas Saint Georges<br />
Il porte, avec vigueur, une petite cinquantaine<br />
robuste et un tempérament ardent qui se libère<br />
par une énergie dévastatrice.<br />
Capitaine Cromières Emmanuel Pleintel<br />
Camarade de promotion <strong>du</strong> colonel, joyeux drille<br />
se transformant en fauve rugissant<br />
dès que sa femme est en cause<br />
Le Bailleul Nicolas Pierchon<br />
Secrétaire <strong>du</strong> colonel. Pommadin précieux :<br />
l’élégance digne et raffinée <strong>du</strong> futur notaire<br />
Patard Julien Bouanich<br />
Pome Yann le Madic<br />
Salé Sébastien Boju<br />
Les trois dégourdis, tels qu’en eux-mêmes :<br />
un rond, un maigrichon et un naïf, tous trois ahuris.<br />
Hortensia Alycia<br />
Sœur <strong>du</strong> colonel : un bijou longtemps oublié.<br />
Elle est lyriquement tourmentée par la sève.<br />
Mathilde Anne-Sophie Pathé<br />
Epouse de Cromières. Discrètement sé<strong>du</strong>isante,<br />
vite effarouchée, terrifiée par la jalousie de son mari<br />
Isabelle Clémence Ansault<br />
Sœur de Mathilde. Niaise par é<strong>du</strong>cation,<br />
mais douée pour évoluer.<br />
Amélie Maïk Darah<br />
Minuscule soubrette, à l’énergie<br />
violemment disproportionnée<br />
Avec les cinq musiciens solistes de l’orchestre Ad Lib (trompette, tambour, trombone, clarinette et basse) et un<br />
pianiste<br />
Les chanteurs : Emmanuel Pleintel, Maïk Darah, Alycia<br />
Adaptation : Nicolas Pierchon<br />
Chorégraphie : Michelle le Bihan<br />
Mise en scène : Jean-Paul Bouron<br />
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LA PIECE<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
1939. Alors que l’Europe entière s’émeut des premiers troubles annonciateurs de la seconde guerre mondiale, le<br />
colonel Touplard est quant à lui entièrement préoccupé par la troupe de bras cassés sur laquelle il veille<br />
paternellement dans sa garnison de Bar-le-Duc.<br />
Il épuise ses hommes à la marche, pour s’épuiser lui-même et parvenir ainsi à respecter l’impossible vœu de<br />
chasteté qu’il a dû prononcer au chevet de sa femme mourante quelques mois plus tôt. L’arrivée au Grand<br />
Théâtre de la ville d’une superbe actrice, Lina Vermillon (interprétée par Chantal <strong>La</strong>desou), n’est pas pour aider<br />
cet homme bouillonnant à retrouver la paix.<br />
Pour ajouter à ses malheurs, il a accepté de faire jouer L’Orgie Romaine, pièce en alexandrins approximatifs de sa<br />
sœur Hortensia, restée vielle fille, par… ses soldats ! Après tout, une circulaire <strong>du</strong> ministère de la guerre n’a-t-elle<br />
pas ordonné au colonel de veiller à ce que ses hommes se distraient ?<br />
Les « dégourdis » recrutés par son ordonnance, bidasses ahuris, feront bien l’affaire pour les rôles masculins.<br />
Mais pour les femmes ? Faudra-t-il demander à Mathilde de monter sur les planches, elle, l’épouse de Cromières,<br />
alors que ce capitaine est si jaloux ? Et pour le rôle principal, qui d’autre que Lina Vermillon serait en mesure de<br />
le tenir ?<br />
LE VAUDEVILLE MILITAIRE : PETITE HISTOIRE<br />
Né au milieu <strong>du</strong> XIXème siècle, avec la mode des comiques troupiers, le vaudeville militaire connut son heure de<br />
gloire jusqu’à la fin des années 30. <strong>La</strong> seconde guerre mondiale mit fin brusquement à ce succès.<br />
Le style général de ces pièces n’était pas celui de Courteline dans Les Gaités de l’Escadron.<br />
Mais après tout, si les auteurs ne cherchaient pas à saupoudrer leurs œuvres de sel attique, n’est-ce pas que la<br />
caserne n’engendre pas le beau langage ?<br />
Vers les années 30, quand le cinéma commença à parler, la mode des vaudevilles militaires connut une seconde<br />
jeunesse. Dans tous les films, on chantait à cette époque-là et ce n’est pas une petite surprise que de voir certains<br />
futurs grands noms, alors à leurs débuts, chanter la gaudriole : Pierre Brasseur, Raimu et surtout Fernandel. Plus<br />
tard, les Charlot et Robert <strong>La</strong>moureux (dans la série Mais où est passé la 7 ème compagnie ?) dans les années 70 et<br />
d’autres moins talentueux tentèrent de redonner une nouvelle vie à ce genre populaire.<br />
<strong>La</strong> pièce des Dégourdis est un condensé des poncifs <strong>du</strong> genre : toutes ces pièces étaient de la même farine : des<br />
militaires demeurés se retrouvaient ordonnances chez le colonel où ils semaient la perturbation entre la petite<br />
amie <strong>du</strong>dit colonel, généralement chanteuse au café-concert de l’endroit, et son épouse légitime. Leurs loisirs<br />
étant occupés par les amours ancillaires. Tout ça n’était peut-être pas méchant sur le moment.<br />
D’accord ! Mais juin 40 arriva rapidement, tandis que les français se tordaient encore de rire aux joyeuses facéties<br />
de Fernandel dans Ignace qui a toujours un petit nom charmant.<br />
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INTENTION DE MISE EN SCENE<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
Difficile de s’appeler le Colonel Touplard et de devoir veiller paternellement sur sa garnison de Bar-le-Duc ! Une<br />
épouse mourante a fait promettre à cet homme bouillant de rester désormais chaste et voici qu’arrive dans les<br />
parages Lina Vermillon, une comédienne plantureuse qui n’est pas sans le troubler. Hortensia, sœur <strong>du</strong> colonel<br />
restée vieille fille, se console en écrivant une tragédie « en alexandrins d’à peu près douze pieds » et Touplard se<br />
résoud, pour lui faire plaisir, à faire jouer la tragédie… par ses soldats ! Il faut encore, pour ajouter aux malheurs<br />
<strong>du</strong> Colonel Touplard, lui adjoindre une équipe de bras cassés : les fameux « dégourdis », Patard, Pome et Salé,<br />
bidasses parfaitement ahuries<br />
<strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong>, que le public <strong>du</strong> Chesnay a pu applaudir dans To be or not to be, Les Précieuses ridicules ou<br />
encore Le Passage des Princes, ou le Café-concert Offenbach, relève aujourd’hui un nouveau défi : celui d’un vaudeville<br />
de Mouëzy-Eon et Daveillans, pièce de comique troupier qui exige de ses interprètes abbatage, humour et<br />
cohésion de troupe. Spécialiste <strong>du</strong> théâtre musical et des années rétro, la <strong>Compagnie</strong> fera revivre cette fantaisie<br />
militaire en y intégrant quelques chansons de l’époque. Gageons que ces Dégourdis, qui ont offert quelques-uns de<br />
leurs rôles les plus comiques à Fernandel et Pauline Carton puis à Robert Hirsh ou encore François Morel,<br />
sauront sé<strong>du</strong>ire un nouveau public par leur verve jubilatoire et assurer à la <strong>Compagnie</strong> un nouveau triomphe !<br />
Nous proposons de transposer l’action en 1939 (et non 1914), période de création de la pièce. Il n’est pas<br />
question ici de retrouver les facéties qui faisaient rire nos grands parents, et dont les références sont maintenant<br />
bien lointaines ; Il s’agit plutôt de porter sur ces œuvres un regard attendri et d’en retrouver l’esprit d’irrésistible<br />
drôlerie.<br />
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Jean-Paul BOURON
LE METTEUR EN SCENE<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
Jean-Paul Bouron s’est spécialisé dans le théâtre musical sous toutes ses formes, de la<br />
comédie-ballet à l’opérette. Il a été conseiller musical pour le film Vatel de Roland Joffé<br />
(2000), pour le téléfilm Un petit parisien de Sébastien Grall et responsable de la musique pour<br />
la série télévisée Alliés (British Paramount).<br />
En juin 2000, il a mis en scène Le Bourgeois Gentilhomme de Molière et Lully, dans sa version<br />
complète jouée, chantée et dansée, avec Howard Crook, Isabelle Desrochers, Olivier<br />
Schneebeli et Françoise Denieau.<br />
En juillet 2000, il présente Satie rit jaune, spectacle composé d’œuvres et de textes originaux<br />
d’Erik Satie, à Honfleur, au Moulin d’Andé et à Versailles.<br />
A l’automne 2001, il met en scène une nouvelle pro<strong>du</strong>ction <strong>du</strong> Bourgeois Gentilhomme, avec Jean-Paul Farré dans<br />
le rôle-titre et la Simphonie <strong>du</strong> Marais, dirigée par Hugo Reyne, pour la partie musicale, à l’Opéra Royal <strong>du</strong><br />
Château de Versailles et repris à Béziers, Nîmes et Montpellier.<br />
En novembre 2003, il met en scène Les Brigands, opéra-bouffe de Jacques Offenbach, au Théâtre Le Trianon à<br />
Paris, avec la troupe des Tréteaux Lyriques, spectacle qui sera suivi par Orphée aux enfers en novembre 2005.<br />
Il poursuivra l’aventure en 2007 avec <strong>La</strong> Belle Hélène à Paris et au Théâtre Impérial de Compiègne. <strong>La</strong> même<br />
année, il propose une nouvelle pro<strong>du</strong>ction de la comédie musicale To be or not to be, d’après le film d’Ernst<br />
Lubitsch, avec Francis Perrin, à Versailles et au Chesnay.<br />
En 2008, il fonde la <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong>, avec laquelle il va diriger une nouvelle version des Précieuses ridicules<br />
de Molière au Théâtre Nouvelle France <strong>du</strong> Chesnay en 2009 avec Chantal <strong>La</strong>desou et Le Passage des princes, ou le<br />
Café-concert Offenbach, représenté à la Grande Scène <strong>du</strong> Chesnay en 2010.<br />
Parmi ses projets, citons la mise en sène de Serpentin Vert, opéra d’Olivier Schneebeli qui sera créé en mars 2011<br />
et celle des Dégourdis <strong>du</strong> 101 ème , vaudeville militaire d’après Mouëzy-Eon, avec la <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong> en mai 2011<br />
à la Grande Scène <strong>du</strong> Chesnay. En juillet 2010, Jean-Paul Bouron a été élevé au grade de Chevalier des Arts et<br />
des Lettres.<br />
CHANTAL LADESOU<br />
Originaire <strong>du</strong> Nord, Chantal <strong>La</strong>desou s’est d’abord formée au Conservatoire<br />
de Lille, puis au cours Simon.<br />
Révélée au grand public grâce à l’émission télévisée <strong>La</strong> Classe, elle s’illustre ensuite<br />
dans une série de One Woman Shows, des spectacles écrits notamment par Pierre<br />
Palmade (« Y’a une femme <strong>La</strong>d’sou ») ou François Rollin (« Chantal <strong>La</strong>desou ».)<br />
Au théâtre, on l’applaudit dans Apostrophons-nous, Hôtel <strong>du</strong> libre échange, Ma femme<br />
est folle ou encore la série des Amazones. Au cinéma, elle joue dans Les Aristos de<br />
Charlotte de Turckheim, dans Number one de Zaccia Tahiri, etc.<br />
En 2010, Chantal <strong>La</strong>desou triomphe dans un nouveau One Woman Show, « J’ai<br />
l’impression que je vous plaît », repris au Théâtre Rive Gauche puis à Bobino.<br />
Elle aime travailler avec la <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong>, avec laquelle s’est confrontée<br />
pour la première fois au répertoire classique (Gorgibus dans Les Précieuses ridicules<br />
de Molière, mise en scène de Jean-Paul Bouron) en 2009 et qu’elle retrouvera en<br />
2011 pour interpréter le rôle de Lina Vermillon dans Les Dégourdis <strong>du</strong> 101 ème ,<br />
vaudeville militaire d’après Mouëzy-Eon à la Grande Scène <strong>du</strong> Chesnay.<br />
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LA COMPAGNIE DU MAGE<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
<strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> mage, compagnie théâtrale et musicale, est née <strong>du</strong><br />
domaine de prédilection <strong>du</strong> metteur en scène Jean-Paul Bouron : le théâtre<br />
musical. Cette vocation l’a menée à explorer tout ce qui – ni opéra, ni théâtre<br />
– ne rentre pas dans une case, de l’opéra-bouffe à la comédie musicale. <strong>La</strong><br />
troupe veut être un point de rencontre entre des artistes venus d’univers qui se<br />
croisent rarement.<br />
Ainsi, pour Le Passage des Princes, ou le Café-concert Offenbach<br />
(spectacle autour d’Offenbach, sur un texte d’après Philippe Beaussant), le<br />
chef d’orchestre a accepté de monter sur scène et son orchestre fait partie <strong>du</strong><br />
spectacle. To be or not to be (d’après Lubitsh) a permis de faire se rencontrer<br />
musiciens classiques et de jazz, comédiens, comédiens-chanteurs et danseurs.<br />
Partant <strong>du</strong> constat que ce sont les institutions et non les artistes qui dessinent de tels cloisonnements entre les<br />
genres, la <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> mage a permis des rencontres uniques, telle celle de Chantal <strong>La</strong>desou avec des<br />
musiciens venus de la musique baroque dans les Précieuses ridicules !<br />
Le répertoire de la Comédie <strong>du</strong> mage est avant tout un répertoire comique. On pourrait citer Offenbach, dont<br />
chaque opérette est un vrai moment de théâtre, comme le compositeur le plus représentatif des créations que<br />
propose la troupe. Molière, bien sûr, puisque son œuvre a imprégné toute la tradition de la comédie française,<br />
mais surtout les années 1850-1950 et leurs interprètes dans des domaines aussi variés que le music-hall, le<br />
théâtre, le cabaret, etc. et qui sont au cœur <strong>du</strong> répertoire de la <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> mage.<br />
Cette période « rétro », a toujours inspiré Jean-Paul Bouron, par son inimitable « esprit français » dont Sacha<br />
Guitry fut l’un des derniers héritiers. Elégance, raffinement, sont les mots qui caractérisent le travail de Jean-<br />
Paul Bouron dans un répertoire léger et trop souvent prisonnier de la vulgarité.<br />
Lorsqu’il s’agit de jouer un ouvrage parodique, le metteur en scène aime à rappeler la définition de la parodie, qui<br />
n’est pas une moquerie mais un détournement, et qui suppose donc de toujours rester dans la finesse, d’aimer ce<br />
que l’on parodie, respecter le texte et le sens, être fidèle à l’esprit. Il s’agit de rester dans les canons de ce que l’on<br />
prodie – et donc de les connaître !<br />
<strong>La</strong> troupe rassemble des apprentis comédiens tout autant que des artistes plus connus (Francis Perrin, Chantal<br />
<strong>La</strong>desou, Jean-Paul Farré, etc.), au contact de qui les jeunes comédiens ont l’opportunité de pouvoir travailler,<br />
autour de Jean-Paul Bouron, metteur en scène, et, pour les projets musicaux, <strong>La</strong>urent Goosaert, chef d’orchestre,<br />
unis par une même idée d’une musique classique jamais enfermée dans ses salles. Avec eux, un artiste doit être<br />
capable de faire <strong>du</strong> classique, <strong>du</strong> jazz, de la variété, etc.<br />
Depuis 2008, la compagnie est en résidence à la Grande Scène <strong>du</strong> Chesnay, où sont créés tous ses spectacles.<br />
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FICHE TECHNIQUE<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
<strong>La</strong> compagnie pour cette pièce est constituée de 11 comédiens, 6 musiciens, une costumière, un<br />
régisseur et le metteur en scène, soit 20 personnes.<br />
Montage/Démontage : décor en 3 panneaux de 2m x2m – fds noir – accessoires et meubles<br />
Durée <strong>du</strong> spectacle : 2h avec entracte<br />
Tous publics<br />
Lieux de diffusion : théâtres et salles de spectacle<br />
Personnel à fournir par le théâtre : 2 régisseurs plateaux – 1 régisseur lumière<br />
Ouverture de scène : 8 mètres minimum<br />
Profondeur de scène : 6 mètres minimum<br />
Coulisses (si pendrillons) : 1 mètre côté cour et 1 mètre côté jardin<br />
Loges : Une ou plusieurs loges pouvant accueillir 20 personnes.<br />
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CONTACTS<br />
Les Dégourdis <strong>du</strong> 101ème, d’après André Mouëzy-Eon<br />
par <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
Pro<strong>du</strong>ction : <strong>La</strong> <strong>Compagnie</strong> <strong>du</strong> <strong>Mage</strong><br />
Responsable : Jean-Paul BOURON<br />
jpbouron@cmbv.fr / 06.22.20.44.95<br />
Administration<br />
37 rue de Santranges 45360 Châtillon/Loire<br />
contact@lacompagnie<strong>du</strong>mage.com<br />
www.lacompagnie<strong>du</strong>mage.com<br />
Diffusion : Arnaud Millet<br />
millet.arnaud@gmail.com / 06.19.97.27.70<br />
www.myspace.com/arnaud.millet<br />
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