POLITIQUE ET LITTERAIRE - Bibliothèque de Toulouse

7' Année. -- Nu 1K7
tES AAAOACES ( 10, Boa eaa Bsuacm, TOULOUSE. lu V.»c.tta.
son BIÇUTS (/( Ob.s M11. IT.V W . L.f®t..o C° Ma05 (di...e) 3 h w Malt. (Cars), e la 55
5, Puu se u Buenos PARIS; atio, 8 le 30
Toulouse, 9 Juin
ULLITIN
Les débat. soc 1. collation de. gesdes
h la Chambre des députés set été
clos après 1a discussion de l'amendement
liaoul Durai; et pour terminer la
séance, ma a exécuté la proposition de
M. Dréolle, demandant l'abolition des
permis de chasse.
Le Sénat a continué 1. dise ... la. do
règlement P. deus lequel M. de Chantrmerle
a enfin faire introduire un article
additionnel relatif au 5iége obligé des
commissions à Versailles, article qui va
sans doute mettre de fort mauvaise bu.
.sur la gauche de la Chambre des
député,, dort la commission do budget
tient ses séances au palais Bourbon. Une
voix de majorité seulement a déterminé
la prise eo considération.
Le résultat du scrutin pour la Oxatfon
de la date à donner à la nomination
d'un sénateur inamovible permet de
conclure que M. flemmard Ira élu eu
remplacement de M. picard.
Las Braies de lIlo+nme avouent eu ter-
mes aggressire que:ia Souscription ou.
verte pour payer l'a frais de la délégav.tS.u
t Philuavlpl.ie u 40h-il
Le journal du socialisme fantaisiste s'en
prend naturellement aux bourgeois; ou
.ait qu'elle injure comporte ce mat so
la plume d,. prolétaires aussi lmvaiurure
que MM. Sigiamand-Laceoia, Bienvenu,
(AliosTuuchatout) et ,nues . blagueur.,.
comme eût dit Pruud'hoo, qui tout parade
de sentiments ultra radicaux. Le
journal de Ni. X... (autre peolRssire),
attaque vigoureusement le Français et le
Temps, à propos de cet insuccès signifi.
catif et il déclare, en terminant, que
les ouvriers pourraient bien le soir
conlraicts d'accepter la subvention du
gouvernement, malgré le désignation
ministérielle.
La dépêche de Constanlinople qui
aon onçail, hier, la co..l,sien d'un
miatfce entre la forte et les Ilerxégo.
amil. a été qu'imparfaitement coo-
Seméee Il ne -"a il pas, eu effet, d'uu
armistice, mais d'un délai accordé par
le sultan nus insurgés, pour reposer
leu s grief,. Un nouveau télégramme, en
droit du 6 mai. annonce eu effet, la
publication d'une sorte de manifeste dans
lequel les insurgé. sont i,nftés à faire
leur soumission, et à déposer ..ira les
moins des autorités locale. l'exposé de
leurs plaintes et de leur. désira. Une
mnnlslie complète leur sera accordée,
a[ pour leur permettre de s'entendre ,a Ta
entre eux sur la rédaction de
demandes et aussi pour laisser au gou.
vernement mondes, le temps d'eaamioee ces de.
une suspension d'armes de six
semaines leur est accordée, tout en 1,
snhordonoanl su ravitaillement de
Nikstck. Il n'y a donc pas convention on
contrat entre la Turquie et les insurgés,
seulement messin. voloutaies
de Ila part du sultan usuel de son
bon plaisir. La distinction .'est pas sans
portée.
Qaof qu'il eu soit, l'acte ea lui,même
e évidemment la caractère pacifique.
On P' -le ainsi, au moins à Londres. Le
Tomes dit,à ce propos, quel. résolution
de la Porte eai jugée favorablement
par les amis de la Turquie parce qu'elle
fait entrer In question duos une phase
nouvelle. Il est vrai que le camp opposé
"Penche à la déclaration du Vizir de
ne las contenir des garanties pour Ira
surgé, gré. qu'ils auront fait leur
nfasil .
11 est probable par conséquent qu'ils
refuaerant la suspension d'armes qu'on
l'or odro. 0n répond à cela que Musurus
Pacha ambassadeur de la Sublime
Poele à Londres, aurait manifesté au
cheeeheeaildunc eérieustMint à réaliser
unon tent
est plus réservé a. Allemagne
d'speès la Ghsetle de Calogne, o. Pl...
h Derlin que le réalisation de l'armistice
dont il est question en Turquie,
dépend bleu plus du gouvernement russe
nue du gouvernement turc, parce que h
Ilelgeade, Bosm.Sérai et Celligne s'inquiéteul
plus de ce qu'on pente àSaint-
Péterahoueg, que de ce qui se fait à
Constanlinople. Cette interprétation emprunte
d'ailleurs une certaine importance
à la dépêche de Berlia, du 6, disant
que l'empereur Guillaume ne partie pas
pour Ems où il devait avoir nom autre.
vue avec l'empereur Alesaudre.
Le limes rappelant ce qui a été déjà
dit à Londres, que l'opfoion publique eu
Fronce, depuis le retour de lord Lyon.,
était insorabee à l'attitude de l'Angleterre
ajoute : s Tout fait croire que la visite
do grand dot Michel de Russie à Paris,
ne modifiera pas cette disposition de la
France. +
C'est là u.e nouvelle preuve que le.
Anglais commencent à comprendre combien
l'alliance de la France leur serait
nécessaire. Quant au voyage princier
qui inquiète le Ti.,,, il est ma fait
acquis, car le grand dot et la grande
duchesse Michel de Russie son arrivés
à Paria le 7 au matin, venant
d'E.ms.
On démentait au Caire, le 6, le bruit
d'après lequel le khédive aurait été
mandé à Constanlinople.
Comme noua le disions hier, la Subi!.
me pulls n envoyé à tous ses vassexux
l'ordre de mettre à sa disposition les
troupes et le matériel dont ils pouvaient
disposer afin d'aider le Sultan à vaincre
les rebelles. Il est douteux que cet appel
ait un bon résultat ; mais pour ce
qui est de l'Egypte le tait est, dés au.
jourd'hui, nettoie. Sans parler do la malheureuse
expédition d'Abyui.ie, au
sujet de laquelle le jour commence à se
faire eu dépit de toutes les précaution,
prises pour cacher la vérité , il est
positif que le khédive n'enverra nt un
pomment ara fusil à son --fil. Ccrtafos
journaux disent même que d'ici
a quelque. jours le r ce roi d'Egypte
pourrait bien rompre le dernier lie. qui
l'attache à Constanlinople. Il serait fort
encouragé dans celte voie par l'Angleterre
dont eu sait l'ioflumnce ...sidéeabls.
Si ces prévisions me réalisaient, le
démembrement de l'empire filon., ai
redouté par l'Angleterre du côté des
Ralkan. s'accomplirait nous ses imtiga.
lions eu Afrique.
Nos lecteurs trouveront plus loin les
dont
lettre. importante. nous parlions
hier, ainsi que les correspo.dannen et
documents me rapportant à la révolution
de Cooslantiuople et à la mort du
Sultan.
TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE
Paris, 8 joie, 2 h. 30 M. soir.
Bilan de la Banque : A?gmwUtion.
e e 12 millions 112; susses 112
million ; comotes particuliers, 43 millions
1l4. Diminution,, portefeuille
21 millio05 ; ctrcnlatfou des billets, 48
f li ; compte du Trésor, 2 mill!..s:
M. Charles Blanc et Guatou Boissier
ont été élus académiciens:
Londres, S juin.
Le Times dit que tues le. pralina.
ai es de la marine au dessous de 55
ans ont reçu ordre de se tenir prêts
pour le service actif.
curas Déeécuz
PAHLEHENT
SÉNAT
Séance. - A l'occasion du procésverbal,
MM. de SaintVallier, Bernard,
Drnormandie et Magot. déclarent avoir
voté contre l'amendement Chnntemeele:
cabinet anglais l'espoir qu'il recevrait
Le général s'étonne q ue
m peu de n urelles communications' ou v te e assit pas mentiomé au
destinées à combler la lacune signalée Journal OJfloiel. M. le comte Rampon
dans le manifeste du grand Vizir. 0. 2 réclame un nouveau pointage. M. Clé-
8OREAOX s flot sent-atome; 43
POLITIQUE ET LITTERAIRE
ment et M, le général Robert combattriait
la motion Rampon.
La Sénat décide de passer àl'ordre du
Mal, (Bayoene) 0 h 20 Met. (Montr.), 9035
Mat. iBayonel 9 l0 sou IPau), 1 15
Soir, (Pool, 1 f0 500 (Baymme). 5 3x
Soir (Munuéj.), 5 40 Soir, 9 85
jour.
M. le colon.( d'AadPamelt
demande que,
contrairement à ehdement Chante'
merle, les commissions des lois militai'
ras ou celles qui ont besoin de docu
mena miniaies mntotions
puissent sa réunir e
Paria. La d'Amine rat renvoyée
h la commission.
M. Hérold demande qu'une feuille de
présence .lit signée au commencement
de la a élue, par les membres présents
comme une gar fie de leur. voles et
de leur assiduité. Cette molto. est Te-
t' M. e
M. Schalcher demande que les in
terpellations sur la politique iulérieure
ne puissent pas être renvoyées à plus
d'un ois.
M. le duc de Broglie demande que le
vole sur I milonce relativement non aux
projets du gaies-,mniti mais sua
projets émus. uut de l'initiative
duelle soit renvoyé à la séaoco suiv..[,,
M. Corne combat cette proposition
M. de Ventneon l'appuie.
Après un pointage l'amendement
Broglie est adopté par 140 lois contre
127.
Les membres de la gauche demandent
le vote à la tribune sur ]'ensemble de
l'article 89 modifié par l'amendement
Broglie. Cette proposition est adopfée.
ILe vole à la tribune commence,
L'article 89 modifié par l'amendement
Broglie est rejeté par 97 vois contre
96.
La suite de la discussion est renvoyée
à demain.
La commission sénatoriale des Tuilerie.
a entendu M. Cheistophle, ministre
des trnvinn public., et a décidé, d'accord
avec le ministre, de nommer une
commiseio. pour examiner si les claies
actuel. pourraient Sure utilisés pour la
recomtruction de l'peuvre de Philibert
Selorme.
dans les mwufactures Tes s'est fallu. prononcé,
contre 1. proposition
M. Paris
a été nommé rapporteur.
lion de MM. de Marty, d'Ornano, liment
je05, duc de Feutre.
M. Naquet soutient ro proposition Te.
].file aux modilication. de la loi sur
la composition du jury ; il combat les
onclusfona de la commission demandent
la moi-prise e. considération de la
proposition.
M. Baslid maintient Ira conclusions
du rapport et déclare que l'expérfeuce
de le loi de 1871 n'est pas encore compible.
M. Talandier appuie la proposition
Naquet; il combat le principe de
l'immuabilité des lois et reproche à
à l'Assemblée de n'avoir pas eucore assez
travaillé pour le pays.
M. Dufaure répond à M. Talandier à la
tribune. Le ministre reléve le reproche
adressée à la Chambre per M. do Talandier
e[ sentfenl Ire co.clusioua rapport.
Le ministre de la justice combat la
ment le lgouvenementtpouvait répondre
à nos proposifioo conçue dam des termes
aussi absolus. De son télé la commission
as pouvait pa. répondre autrement qu'elle
l'a fait.
Toue eu préconisant la loi de 1872
au, le jury, R, ministre défend ia
elrature atta réa Il dit que la
-g
maistrature des grandes
ea de la République (Vifs applau
dis il h droite) et ajoute que la
République oe vivra qu'en respectant
les loi. (Triple salve d'a ppl..disseme.t,
à gauche).
M. Dufaure combat le reproche de M.
Talandier relatif à l'immuabilité des
lofs et dit qu'il Te faut pas chaog.r les
lois pour do.oer simplement ara signe
ae vitalité. Le m nistre rappelle, e
terminant, l'incident de M. Robin I.I.
du jury du VI° arrondissement ; il déclare
le fait regrettable, mais ne le juge
pas suffisant po., foire abroger la
loi. La prise en conaidération de la pro'
position Nuquet est rejetée par 250 vais
contre 153.
M. Ferry demande l'urgence pour la
discussion du règlement.
L'Assemblée rate l'urgence et axe la
di eussio. à demain,
La Chambre prend eu considération
la proposition de M. Paul Brut erlntfve à
l'étude des moyens à empl,ytr pour
prévesuie les explosions de feu grisou.
L'autorisation des poursuites contre
Vendredi, 9 Juin 1876
oaulrtu d. amui.. (Montre d'été)
Sert., nraorto";o uaesmCa_.aaaasee:.ers< nao
Tonlo.,. II 1101. Toelow ]SCORES DES DIPABTS MT DES AItRMES DRS TRAINS DRS CHEMINS DE ?RB DU 11ID1 ET D'OBLIANs
anme 96.N
Aaruaa, Aaaareua,L nom. 9 h. 10 h.1l.s4.7 b. a. 8a h. Il hj,ti:8
ISOAAEIAEATS 4 °x mois:::: S. SixMOIS. ::: si
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. 1 60 Matie (.npr.), 11 Sair Suit, r.1, l 36
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36 soir, Io1
35 T.®R®a d. Rayooae,
5 10 soi,,
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00 b0-h 8 h. r.
armraonua, par le post d. Dem. 9 h. m.; fi h. e.
O,.a rasta, parla rllereilu... 6 h. 114 m.; 4fo
87 h. 1 h. 111 o
i ,
h. N
0a1nr- eluus, car.0nua.:. 1 8 h, li b. m. i 4 h.
i1 l4 h... i 8
Dupearnu, Plauaun..... ] h. m. 4 h. a. 8 h. lI! 5,,1 5 bll j iN
b
h 40 Matie Ex e). 3h20 8arara-Aae. Curanr..... 8 5. 10 .. 14. , a. I
141. , e..
Mal. (Belles), 5 Matin VilInle. , 9 OS.P....e ........ a , .. ] h. s.
19Ijdora.-Daoa'4n, . , ... t ] h. m.
a h. a.
Matinn, , 5 30 Sofr, ( ) 3
Mau (8anr)'12 SpII;(eapr).
t3
5
Soir (vdlétr.), 15;5^,.
M. Roulier est volée par assis et lavé
La séance est levée.
Aurai Dtctcuu
Paris, 8juin, 5 h. 20, soir.
La commission municipale de le Cham
bre des députés réunir ce malin chez
M. de Marcère, lui a fait part de $es délimons
et de ema opfelen au wjet de la
nomination des maires.
Aueu.. décision n'a été prise, le
minirtre a déclaré qu'il eomm unignerait
au conseil des ministres la disposition
de la commission:
Une nouvelle conférence avec le moins
tee de l'intérieur aura lieu ultérieure'
ment.
Mme oeerges Sand est morte ce
mafia à dix heures.
Aigre 8 juin.
Une répression aévére est pr,norcée
contre mûr. les réactifs d'E 1-Amri. Leurs
sequeatrés coilectivemeui, le
désarmement est ordonné i que
l'expulsion de l'oasis; enfin ils de.
urnes payer une contribution de guerre.
9 des rebelles sont déférés au conseil
de guerre ; vingt trais .eeunt internés
en Corse.
Le Caïd est destitué pour fmpré.
voyance.
AVTAr DAPAC.E
Paria, 8 juin, 7 h. 50 soir.
Aucun télégramme reçu 'ci are contome
le bruit répandu à Londres que
confiance
:a Serhie aurait dicltr le guerre h l
Turquie. On au contraire la
e
Serbie
que la
e écoute les conseils de
modéraliTa qui lui ont été donnés par
la Russie, l'Autriche et la Pranee. Ce
sentiment de détente marque dans les
eerclea politiques français l'espoir que
laapa.. e° 0 s se ne sera pas lrou-
0 DÊPécltn
Paria, 9 joie, minuit.
Rome, 8
La Commission du travail des enfants L'accueil fait par le Czar et le prince
Gorteclukoff à M. Nigra est t'êa.n.lteur
pour l'Italie et M. Nigra. Le Cour a
exprimé sa satisfaction de l'amitié de
CHAMBRE DES DÉPUTÉS
l'Italie.
La nouvelle de la mission de M. Nigra,
La Chambro valide sans débat l'élec.
d'accord avec l'Angleterre, est dém...
fie.
On croit que le Memorwdum os sera
paD us point. out été obtenus : 1. satfs.
pour l'attentat reuesue t le de Salonique et
l'armistice 'armisüce; le treisléme : g.ran
lie des réformes, qu'on attend spontanéme
t.
Maintenant les efforts diplomatique.
tendent a reprocher les différents ioté'
Tél. par le projet d'un inté,51 commun,
destiné à assurer la paix.
A la Chambre, M. Massarie interroge
M. Depretis sur les bruits d'armements
estenordinaires de l'Italie.
M. Uepretis répond que ces bruits
'ont aucun fondement ; à l'exception de
l'envoi d'une division navale dans les
eaux de la Turquie, le gouvernement
a pris aucune autre mesure pour
m'gmciale les forces de terre on de
mer.
M Depretis ajoute que personne si a le
droit de s'attendre à une politique de
paix à tout prix. Le gouvernement
prendra conseil seulement des intérêts
du pays.
l'Italie a besoin de pais ; le gouverent
cherchera à la maintenir. Il a
aussi mission de civilisation à laquelle
il per esonue n'a 1
ale droit de soupçonner
que le mfnfnére veuille adopter une politique
d'aventures.
Anrae D$rtcua
Paris, 9 juin, 4 h. 45 matin.
Le Conseil municipal de Paris a euteade
les observations sur le perce.
meot de l'avenue de l'Opéra. Ce projet
a re.conlré une grande adhésion et
une majorité d'intéressés et se présente
dans des conditions trés-favorables. Les
évaluation actuelles étant bien lofé.
rieures aux précédentes, le Conseil main.
tient mn conséquence les disposilioae du
projet.
Madrid, Sjufn.
Au Séua6Mgr l'évêque de Salamanque
dit que les prélats espagnols religieuse, émet
toujours la tolérance use, qui est
incompatible avec le calbolfcfame.
i6la...- Es tarm5, dam Pllm 5,055555. a 7 A. d. eau. soésso 'q A. dn
00010,+ Imu a.nraom.
Le Bhédive est attendu prochaine'
ment pour présenter ses hommages.
aura. DLrkcau
Paris, 9 juin, 6 h. 35, matin.
Le Journal e/Aciet publie la la.-
de
M. Letèvre Leboulaye comme
chef de cabinet du ministre des Rnan-
Tes. '
Mdrehé de Paris du 8 joies 4876
Spiritueux
47 50 à
CHRONIQUE LOCALE
[Vous publions aux 5' et A pages la
nouvelle marche des trains sur le. chemies
du Midi pour le service d'été, commençantdemain
10 jnfu:
A cité d'smélioratioos importantes,
dont nom avions annoncé la prochaiee
éaali.atfor, il y a quelque. lacunes sur
lesquelles nou. appellerons prochainement
l'aetenfion.
La Gasetfe du fangnedoc croit savoir
gmuu procès didamatiou va lui dire
infesté par eu M. de Bonne...t, ancien
préfet de l'Ariége, et que l'audience du
23 juin aurait ét6 fixée pour les plaidofrfea
de cette cause.
L'Académie des sciences, inscriptions
et belles lettres de Toulouse tiendra w
séance publique annuelle dimanche pro'
chai0, 1f juin, à une heure, au Capitole,
salle des
Cette séance a pour objet la d'encouragrement afan
butina dos médailles
et la lecture de l'éloge des académf-
'cie.s décédés.
PACn LTé Du DROIT Da TuELOma.
M. Burlhe soulieodra aa thèse pour le
doctorat, le vendredi, 9 de ce mois, à
5 h. 112 du soir, aur le sujet suivant:
s De la situation juridique et des
s droits de l'enfant co0çu. +
Nues aommes priés d'snroncee que
dimanche Il jet., de.' l'église du dama,
aura lieu la réunion des associés de
l'apostolat de la prière, à la messe de 8
hures célébrée par M. l'abbé de Vous,
vicaire-général. Les hommes sont spéci.lement
invités. Des places leur seront réserrées.
Procés-verbal a été dressé coutre les
nommés G..., âgé de 18 w. C..., àgé de
19 sus, F..., âgé de 19 ana, et D...,
âgé de 21 an,, inculpés de coups et bles.
ce. envers le sieur Mercadier,boulanger
àLardenne.
u
OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES
sscm. a a'esmnasms
Des 8 - 9 juin 1870
goum
Aarsva5a 110 .
7a s. 745,7 tr.nusg NO faible
105 s. 745,4
7 m. 763,3 15°,9 id.
10"m. 761,5 { 190,4 id.
4a c. 900,7 }16^ 2l-,3 id.
4s s. 700 Gt o id.
1 NO te. faib.
IESE faible
SE id.
NO te. faib.
NO modéré
rksrmemàl.. m8........ ... da:
Maximum du
. 25.0
5linfm. de la lit suivante proie
l5^G
te de e tombée deus la unit
due Quanti au 9I 3°.0
Pluie dans la situé. do 9.
80ni1 des aLarianone méleoevlotigae. Tain.
M. Da.ou: -Station A l'sslnimit ove
Sala Osai.-Allée. - Allflots .
Du 8 mai.
Tharm, centigr. maaim. d'hier : 20.-8
id mi.i.d.lepuit: 18,1
sommes eeaoaùoas tram on eue), Veuvs
9 h. m. - 0,7451 toue. SE mod
midi. 0,740, 1 cous. 0 failli.
Le baromilre baisse, il est sur pluie
ou eut.
Le temps est chaud et lourd, l'air uu
peu brumeus.
Il set tombé pendant la nuit de
Cooamrlioople, 8 juin.
Le Cheik-ul islam a interdit aux auftas
de porter des armes et de former'. Ploie.
des attroupements sur la voie publi- Température à midi, 21'O.
que.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
trio
su
sues.
DÉPARTE ENTS
Rodez, 6 juin.
Les vignerons des vallons de Marcil.
lac avaient tait venir de Decazeeulle deus
canons pour célébrer leur fête, plaisamment
appelée par rua de Saisi-
Naf ou de Suinl-Bnurecu, Ifa9e u
lundi de la Peatecble. Dimanche selr
au mi-
ils en Hrérent plusieurs coups
lieu d'une folle joie et des
plaisirs suas
pareils du dieu du pampre.
hier, de grand matin, las peocessinau
nombreuses et
des alentours arrivaient
l'entrée de chacune était saluée par une
évitable salve d'artillerie. Celle de
Val.y semblait exciter davantage les
artilleurs. Malheureusement uns pièce
éclata, et le nommé Lacaze, anctem artilleur,
fut atteint d'un éclat à la macbot.
rn ifé,I,,,"" Transporté immédiatemeet
à Rodez, il a reçu les sofas du
docteur Suentous. La blessure ne parait
pas dangereuse. On frémit en pensant
au danger qu'ont courn un grand aombre
de perron
tourna! ( de CAne vron9 Tarbes, 6 juin.
Le 30 mai dernier, à 9 heures du
soir, une leolative de meurtre u été
commise dans la commune de Itamonans,
parle nommé Fauslin 6.... os, sur
ta femme Anne Lafargue, venue Leurent.
L. gendarmerie prévenus s'est rendue
sur les lieu..
L'accusé nie énergiquement le fait
qui lut est fusillé, mais de ao.
celé la
victime affirme non moins 6...gfq.oment
qu'elle a reconnu celui qui l'a
frappée et que c rat bien Cou...l.
La femme Laurent a eçu sept fils.sures
ai le médecin déclare tris-grases
: c est nu bill. quia été l'faatrument
du crime.
Il résulte de l'euquéle que celte
leolative de areuetle avait été pcrétacé.
ditée.
(;canaux a été arrêté et conduit à la
prison de Condom : d'après le. témoins
entendu. cet individu set Irérredouté
dans le pays et passe pour ne homme
capable de tout. (App:.l au peuple).
Albi, 7 juin.
U. arrêté de M. le préfet du Tarn,
eu date du I., juin, lire ainsi qui suit
le chômage de la navigation do Tares :
Dan. Ira départements do Tar. et de
la liante-Garonne de 1e' juillet au 50
aeplembre. - Durée: 91 jours.
Duos le département do
ronne, do 1'r juillet au 51 août. - 61
Jours.
Les bateaux mont autorisés à circuler
à leur. risques et périls aferme delà dm
époques fixées pour la eture de la
.avigatleun partout où les cfrcom haouteur a .
permettront de mafineuir une
suffisante dira le. béat..
Les eau seront d'ailleurs baissées
seulement do.. les biefs où il sera recornu
nécessaire d'exécuter des travaux
dans la limite des nécessités absolues.
Aussitôt prés l'achévemeat de ces iravaux,
elles seront remises ou rives. de
la .avigalion.
Durant le chômage, les vannes de
décharge des usines pourront être levées
sens réquisition écrite des ingé-
.feurs.
Castres, 7 juin.
Samedi dernier, e femme de Gui -
filena,jenne eucore, voulut sauter de
sur la charrette qu'elle conduisait. Ce
saut lut malhe.reux ue des asana
uni e avaient laient été témoins, la .licou tirent
un devoir de ae rendre sur les lieux
pour la relever. Ce n'était plus qu'un
.du ce.
- La session de la Cour d'onc edo
ouverte le 5 juin, sous la présidence de
M. de Vil luger, e, ma eu gmune affaire
de viol à juger, attentat qui ;aurait été
commis par un homme de 60 uns qui,
sur le verdict négatif du jury, a été au.
quitté.
- A propos de la Cour d'assises, on
nova raconte l'histoire suivante
Un juré a écrit ou président pour
s'excuser de as pouroie assister à la
session, alléguant qu'il était obligé de
seiller nuit et jour sue sa jument pour
1'asaister dans ss délfvrmece.
Inutile de d'ajouter que la lecture de
celte lettre a fait tordre de rire le Tri.
bunal, le jury et l'auditoire.
- Que faufil faire à ce juré 7 aurait
dit le président.
- Il faut le rayer de la liste, aurait.
on répondu.
Et effectivement il a été rayé.
Ce pauvre homme poorfaut s'exposait
à une amende de 4 ou 500 fr,, ce qui

e ,&a veuve` cd1e11rae4
d t nul, p I I I nt plus que sa
j "t et V I 'lais le 'Tribu.
nul a r purdom,er à l igno-
iane,, ct i ousant. coure e il a ad; il
a bfsu fait. (folio du Tarn).
M elle m juin.
Un meut l'.. a rhe
ai)
il loua I :nies .
Deux mJ { 1
Il unvar nid t é u O.us
1111ill' , Iorsgii+RIP, d iue s -'61',D
cuir ces t r ,outil de pl o Incitas :
l'an deux[ t g de ou'
an ', Ia
feur a=s gr 1" d A'x p 1 à
l'autre, u d I" t d ne
plus venir f Il:' lui.
La dises, nscnuouima bienlôlà nu
e ! r d
ld p q p ri garni
P
.,.s
d'Il
-, d d e
q 1
c
[ da r Ire
l rue
YI mré V'bil, lé pl
au n é Stgha qui lait
devant iu , I il sale osai t ',r 1 r .il
le frappa u bis da la
plilipln
avec roi
couteau.
n
La victime transportée ;amsitôt à fion
dotmcile, If f rxldrsil, quel'
quel apte d:' 1 de I 1,1,.,,,,I,
rn.lgré Ira s empire é du docteur
l:,puent. Mal. Leusste et Briller, u . m-
iasvr s d pot t cependant eu le
temps de -,o i, I.a déelerations de
Slrphaoi. Quant à Pabre, il n Plis i
toit. stuc pués u, èt'
(Petttifars divin).
ETRA V G E il,
Ils disent que la Itossie ne manquera
d evoirs que luil:iuspoao a
ra safaim xde protectrice natente de la
race slave, mais vils u'omploiorait la
vinierce quo ai elle filait proralnée
elle .,a Ici-, de sec ,.,Mies, nu, vu-
ehant quo le Lumps est son allié ce
Orient coe'm.e a,1[,en s, elle ne désire
rien tant que le maintien du etlu quo
en Orient, à d t' r ro I.i da que
,loti, quo sort sopp: r,abl t .:o ira.
d ae autrement maire per des faits comme
ceux de'Salouique.
On écrit de Loaders à la Correapon
dance /locus :
Si la politique do remues ufrsances
vis-b ris de la queenoa d'Orient reste
encore incertains, l'attitude on qualquea
autres .e dessin., an contraire de Plus
eu plus.
An p,, .i,, r e de ,,a d ges
il faut
pla
a r la 'fur fuie et
ll'An'Anglle'
. I
terre. équilibre, qui est l'oblat de bien usa
le régime despotique et insensé dmspa,
La révnlubod` on Turquie, a été faite rammentaires et de bleu des prédmtiaua
contre les pcémntion.e d'fugéreree étron. en ares dises, mais qui, eu somme,
gère; depuis plus d'un mois elle était parait assez bien correspondre jusqu'ici
absolument décidée par le Parti de la à la pensée du public ::Ilemand. l'eut.
jeune l'uet rie, niai elle a été soudaine. être, au fard, les sympathies ...telles
aient précipitée dans la net du 19 au peur I Angl,t ire { e il., In e mcèa
30 mai, c'est que mes premetenrs avaient de sa politiên n« peut déranger I équi
découvert oertans faits que je vois libre rnnpen au détrim ent de l'Aile'
raconterai plus tard, desq I l ré. l c s " et t ne pronncer
lait, d'après sur, que l'isti.ité ae,,réle eoiiire ao
nIi
à pal Ion doi.
taont
et
x strn erre Abd, Ul p
Air ri l'un.- qui a LA I ,et de f,i.v mclartô, la
S
oui
eadeur d SI-ii d ssboarg r.o p e. t- le,ire a I . d 2ouple et de l'empe-
eir p v d, lift 'car le rr v s vent alleu` 1 t
tAb]li A I' 4 d If r
lu-
V I 1 I { I t t l Pp.
'ci t d 1 é u,, a L éf s i l I g é t 1'
i '
I gé eea . 'iigère lI, , evu fia d ua .,. entes . é d, ,t i vo par. i, dr
i
E
Se.bl
aorte dé. l .t r Il f -e ,t Oi q
O., Jécni d'Ems à la corrascondanc q 11. t f I t
v
,,,.as- (,il ,g l .r q peur la r é f
Navre: Il dt po q
a"d".
I i qrs d b t. et D I' t
Ilil,
La polit q u a représentée en smt é e' r p x r^ I I Juo, I: p er A
gesrlgesrs droits ro,Ame st agressive ,oc d net f ira -c t puurvuivre un t lia 7e-t é ale A.
ris de IO t revêt, Oe- I i but d dorer du .r. si - touer II
l engage ci s haut. personnages qii aller L'indé,P'eue. des provinces issue. ég-al--m,.fit r h bée lire d x
e
i
ci
le séjl . du c r Alexandre, u géra serait, dit elle, le ca in
méat pour an borner à an rôle do méhro'eur
allure pac 11 Il dune I,gnelle il set d'un démembrement fàl'Ietintégral Pac fagne.
bien pluisis n ie pua iu:fue de ban aile se mortel dose décidée à user r,c f nblic allemand délice d'aillent
00g--eu peur Va'n' ir. resolument des ressoaurcea métalllques plus te recels de c!te donblo rallier
leu aiplvmatia rosses 9étoi vent pi oveuaut do trésor prisa de l p f pie qu'il d mires ,
Huant tout de l'seevn I [ut pa ,"Angl.- pour répriie I rti 1 ,e dit m a si
t aire l'a dangers ciu ttq e
terre aux décisions de la eonfére.:ce de sù'e
de
serrés, e las eorr n mieatm.a bien plus quel l' n _ 1 pourvut pren.
Berlin. éteregérea av e les insurgés dfspua.la. dr, ue part active et eù et t p
Leur peée p- i m, à I fssae de la sert s{ncére mt. ,é, soit â aller cor rn s,, p p jeté.
eunférent, fit "t q'i après tout le bruit Cette politique tro de vives sym vêts rrr
co eh tt t ans .é. J I
'roué p, ente rencontre daa paOuea sep t& d g. ovnrnernevt et du lino lie, soit 1 1. er de 1 1 e
ministres des trois empiras, l'opinion peuple anal s q u', d antes part, pousse irré ur, I ,b'' ea e, déclarant
o ce..
putique I pv ne ,,,,,Il que la T. t c à f p p eo raz Iv lus t, I I
la rr,ntugi e
iJ
nurhé d'une sou ! éf p tl p t. t A t i Lé i t 1
ri Il f 1 t pur t 1 3 h I - t da S 1 t f o, . t le
Lare errp foi d t é qua d ,e gravas Suc ci tuclgne puis-
1
d t J tt hl - é é I' pp r I
ce,
sisvvent IA t. } t '40,ec sen.e v,' t: t la tI - -I quo 1p r
ment dt ro t 'pé t t t i r perte et ses i In révoltés LA pl r a ( Il a t. fois reçus du
Iire des é l i q, i P. p é col, Poursuit, en vif t, 'eu ff i AI
al
il
à leur avis, I m d= exigences maires user are résol,trois t ,net!. D nes ciecansmeeev, Il est
De,
léi d I1 J I éd déiialfi L n d
gitmese, irop'garo rg' r segnic.lives.esommes E rs f b{e de ve prononcer sur I eLtun-
un
olt.oc L h mes i'I:lut rus-
ses, rappetact l , lt t Produit
e Angleterre fa leib lI dn titre d ien-
péeatrices des ondes, pensent que M,
i
llieracli a o I pechrie de l'oecaeion
pour se rl n pop lu lé t q
'est dans cet aida' d'idé s qn al flot
cime,bve la ra,,l de ce br usque son.
brcmnt de la pnliti,iue :malaise.
L Anglet d et lis, obiecle qu'elle
st o de rte millions de
aham_tu I I I des, et so
deel e comma v m mléeêt est legas pas
se rnnntrer l'adveeaaiee da l'ism mieme
en Europe. lia répondent en lui retire'
.haut de sacrifier Ire intérêts chrétiens
et r ieilisutenra 1 l'intérêt spécial de sa
domination Pn Asic.
M;i gré donc les asmrances pncifigaea
do.Décr, il est évident que depuis long-
ts:anpa il ri y a pas u lien leeilatloa
iuri grande qu'en ce momeat entre
l'Angleterre nt la lteseia.
four terrier, la physiommmie de la
situation tulle gn'elle ressort de conver-
saliona politiques échangées à Ems, je
dois ajoomr que les diplomates russes
considérer avec calme lev
derniers événemmn, de Turquie, ils
reconoatssent que l'ex-sultan a été fatal
à sou pays et ils expriment hautement
le désir que son anceesaeur fasse spon-
urnément les réformes aécessrfres et
rende ainsi inutile une nouvelle inter.
ventionde la diplomatie européenne.
maillassiez au JO URMIB ne Tfoveo JS
Du B Juin 1876.
M 48
V
.
Et souriant encore J'espère, ajouta-
t-il, qne les coureurs de sanglier na voua
,aillent
pa.... Ils font bleu du bruit, ces
babita rouges !
Myriam le regarda. Cette gaieté 1a
déetrieait, Meus aueseml elle ee vit 1a
causa sublime et profonde. La pot. était
rentréc dans la c,uur du vieillard après
les derniers muges, ll lui apparut de
mnuvean transfiguré. Celle tien déchar-
nie avait relrenvé subitement toue aa
sérénité d'autrefois; la homme de s-
plCme,ennncemcert s'allumait dans ces
rides; l'espérance angusm illuminait ce
masque martaaire. La jeune femme vint
â agenouiller auprès du lit ; il passa
'ail sa coutume lu main an, sa che-
velure et, ae soulevant par un grand
effort, il ze pencha et lui mit roi boiser
au front.
'on geste alors, il congédia les avr.
ci
Dte lis.
- Chére fille, je ne pouvais partir
se as vous avoir revue. Je voua doia ma
bénédiction en retour des joies que roua
novae données.
Non,
murmura-telle, non, mon.
simir..., vous ne me devez plus que le
pardn.
- On a reconnu là-haut qu'il
fallait
ese
heulanmquea dégluerait gnhls
laisseront p J n L q'iils sent e
filet de trie, lac à L)utea les rrr -
a
tsialités. Il est à r marquer ryua le
canon anglais a reprïs, par celte, et.
t tude énergique, tante sa peprelnnlé,
et que le lJ.tceux incident da titre d 'im
pée m elon des Iodes est complétemeut
.a Il.
Ion Anglais bl t leurre disuo-
mnts in lérie.nrs oui ne fixer le
er
t se
Dilenl ton mur en
lieu
olitique étran-
gère, qui donne leu à de sieguliéiea
enquêtes.
Parmi W. fncfdoits qu'on commeole,
je tiens à en citer nn.
Les "autorités turque e Bnlgar'
auraient saisi sur des insurgés bulgare.
fume une carrespnudance t,ê,.i. le.
mole et d'où il résulterait que le.
cerfs du mnnvemant .ont carres.
La
ymourismal
Parts
lave.... te avec l'étranger,
La
Porte
e aurait commuoiqûé la copie
de tau, c . documents au Moreingu-
Ofive oh ,.elle découverte aurait pro-
duit naturellement t
1 "Il
'
"P"'
ai... Ou pense que clef fer. réfléchir
et l'oa espère que la Serbie floues
par recevoir d'Ems ou de Suint-l'iters-
bourg des conseils rhellement pacift-
que..
I?n'att'.dant, on remarque le soin
que met le cabinet de Berlin, dans les
circonstances présentes, à ne pas s'enga-
ger ni dam un sens ni dans l'autre, et
me laisser Du moins le loisir de payer
ma dette. Dieu est ban, voyez-vous ; il
n'a pas voulu que vous eussiez plus
tard à dire de Louis du Vnetaflles : Il
est parti comme un vflufu sans prendre
cmigMé.
- .axb ur, dit Myriam à voix bas-
se, vous es pouvez comprendre le mal
que vous me faites. Etea.vous sOc que
e mérite encore votre tendresse ? Sa.
ver vice. ai je sais toujours restée digne
du bien que vous m'avez fait et que sous
pensez de
avis
oi?
- Vous été ferme, loyale et
fidèle. Aussi la récompense vous ar-
rien...
- El ai j'avais cessé d'être loyale
des Si j'avais cédé une foi. à
des pensée.?,.. '
- Due fois. Avez.voua dit une
lofs
Et le marquis se remit à rire deu-
vemeai : Dien qu'ove fois I répéta-t-il,
Encore faufil v ayez beaucoup
,collier, peur voua être abandonnée à
oc
tic grand, aboie intérieure Y... Puis'
a savoir ai elle a été durable P.- Cam-
bies avez.vauou donné do minutes à ce
pêché noir t (Jan f,f d O purelé eber-
m.ule et a lute, quel dommage que la
vie doive te troubler un jour! Chère
folle, fais approcher la mignonne oreille,
Fr me les yeux pour écouter e qu'il
e reste à te dire,,. TU as été t'épouse
vans tacha d'an fasmme, ta seras J'époe-
se glorieuse du plus beau et du plus
noble des vivanla.
Oh ! fit-elle, après
ce que
je
viens
de vans dire...
- N'avive pas aujourd'hui le tt dé
cembre? reprit le vieillard.,, Deux pris.
temps, deux étés, deux automnes, pieu
que trois hivers, eh 1 le deuil mauaeade.
l'on espère ga'il fera servir, au moment
,cané, ea faveur de la paix, 1sulluence
enolératrice que lui aura donné 'cette
attitude réservé.
0, écrit de Berlin à la Corréapendnncu
J1-Dos :
L éei a L 10 itonl ci,, este
ut réi rl et "Jo.ée t-I
o p n'i l II l Calte ci, hat,s-
t é jusqu'à ptéseot à avoir au obfechf
f 't précis, t plus quel Parti
pr d ut 1
doit g ondes pnaaaan.
des qui s'il
il ont
., attentinu et ana
epool , La lutt et ,clin la Basa et
I hegleterre l'Une pelant établir ea
prépoadérav i- déaadn,, ,trama'
vo dans la déposition du sultan Abd.
ni Ac z et dains I énemeut ait ici),, du
sols^--n Mouesi 1, l tait he...c,c.eet
mpli at répondant au vicia du pays
tout eutfce. Parmi les musulmans et
i te, = 'e 1 g c'était u., cl'
retable enthous rima 0, él..it e.Gu
déb:,,-rassé d'in homme à qui, à tort
DU
à Pu iso., le peuple attribuait tuas
Ih= rs, Ps,s une vois ae ,rat
él é a faveur du souverain déchu lent
bl ne g onde l'impopular itâ dAbd
-Azil, d aa mère et de son fis l .r' a.
Tsout d'MLOrd, Pr avait fait courir à
drs m te bruit que le sultan était mort
subitement d'as la .ait. On avait cru
d p éc ver ainsi l'opinion publique
e et l'autre appuyant résolument e à la g de nouvelle du coup dT.ret
Orient un statu quo peut être difficile à Pré^anboa lunule I La capitale était
mafnlenfr. déjà ce fête et la cnllanhlaurad était
9IJ
ubi!a
Entre ces deux grenas influences, le
acclamé paeur tout uu peu
Abd
ple-aent.Azj
z filai
i t
raft avoir adopté li , Mort détrôné
chancelier fé Eral
d ,
j
P
l i éf d
l è
u souvera n dent e r ue n ont
aste
une+'DoLti9ue de réserve e R
de p q e
d q ad t eu IAII,m ga Taupins,
J ..t ,,et , la q. ét d é et
ici la manière ' tirer preht du eb..nga
ment de peilit!qua européenne motivé par
le ratas de I Angleterre d c pive le
T a die ip ze t
d'A"drmitre i.-.s ici é,oneannts out
I ie 111 nvé ts d'une
t 1
ti
il nt . J es lev
e D'autrnapart, lare des Lais poils,.
1 Autriche, semble depaf.
,quelques joues craiufre Ira eue égni ncea
dune polil,{ne d'rseluafvism, on elle
pourrait n'être pas la pars puissante,
si bien qua l'Allemagne doit se iioeiunder
elle mai ait pas an rand van à
remplir qui llieainn ralliora il erudiies
anglaises, itaes et a,- n eu
,
.ont l'initiative d'un veto
pre la W.
litique de 1854.
tilai,a ana LA vibre, n'Aen et-x,,Z as
xavnanunxr nu n avnau entrava
On nous écrit de Constantinople, 2
juin :
On est déjà revenu ici de l'émotion
causée par le grand événement da
c d
e
,niera jours, et qui fera date
dans l'hi.[.!,, contemporaine de la
Turquie. Tout s'est passé si tranquille.
.cet are, ai peu de bruit après le pre-
mier moment de stupeur que chacun .
Ils eep!:.nnmear«pzvenuecs
Si j'ajoute à tonte velte longue Duite de
jours les six mois écoulés depuis que
vous êtes devenue marquise de Varteilles,
je v,s aurai fait tristement atteindre,
oiEpargnrz-mof,
monsieur, je vous
en prix
- àlafs .",ai, marquise, la Noël de la
seconde Durée sors le jeu, de la ,,Dais.
éanee... Moi, je voue encouragera , je
vos auur{rei sous ma Pier - Cc
jour-I1 vous m'appurlerez dis finis, et
Èi; y avait an bouton sous le givre dons
mou jardin des roses, ce souvenir me
serait bien cher.,, Ne m'interrompre
plus Myriam... Il faut que je eonsnrvu
clos farces..- Sachez, enfant, que j'ai
tout prévu. - C'est moi qui veux régler
aire bonheur. Le méme lieu qui o vu
l'épreuve doit en voir le prix enfin ob-
temn... Vans l'aurez mérité taras tes deux.
C'est à Saintdléli., le 26 décembre dans
deus aus, qiv vous recevrez M. de
Briey ...
j formaient al ! 'ne bande joyeuse ;
- Vous êtes sans pitié, gir
vre. pan
q Myriam... Voua ne pansez pas 1
le baron Dicter Ini-méme gagné p,
qri je pourvoisl moral nui-méme l'rxrm pie, au milieu de enlm jeunesse,
mer le
te
auparavant de douleur etde
se déridait; on l'avait vu rire.
- Gardez,vous an bien, dit il, car il
me aurait demandé compte là-haut d'un
si
gretd dommage causé ici-has. On me
dirait : Voilà donc le hies que lit as su
faire I.-- N'm, ne ltulus pas deanandé
noua endre
Petto eerad.
S'fl a-
de ne s'â
-
gissait que de la
reprendere,
nous r
'fous pas besoin de toi.
-Pourtant, reprit-elle, votre bonté
m'accable. Et je sou. le die, elle me
tue.
- C'est ici que viendra le comas
Maxence, continua le marquis. Et d'a-
bord vous lui direz que je l'ai béai
comme je vous béais vous méme... olain-
teaanl, allez, ma fille. Mon heure est
rainveient pour le plus grand bonheur
du paye. 0. na s'informait pua de ce 1 meut à Abiui-Aziz eu mvfant ce der-
qii il était devenu, on ne voyait qri nue Ceire à se retirer au vieux sérail de Top
chose : l'avéaement d'un nouveau rut- poul,
t'a* 1
Il était de:ix heures du malin quand
dise u l ha t é P
.ci
I
Il faut maintenant gor,je vous B
eu quelques mots, de moelle minus j s f d raft t I t faut 1 é 1
:cet fait ce roua d'Emt dont lia jia'. fier, Ceat le e f 'es nuques qua
,'ci
maux dr. la çapïtala ont assez a transmis In terrible measag e
n
ment rapporté les détails et.q i, partout $ termes : , Un ,radé du
sul1
tan v
lais at de unes
u:lieurs, mût cté le signal de l.proscrit de q tt lo P
"
graves désordres et 8nae elfaniuv de
Lé i ha .. efil t a l d
t't é c Ça
q , .. I pl t et é.
p.
crus là closonc q i -. t
P'
o
pr
quria
mnaaer
'ti
on daa Srf.es,
1o
n char de Fatal
Ab 14' '1o1 -
p l oie pré me m. t
ile mi. fi l I pour f éi t r
1 us
d ét tà up t bI t
Pricar
e
ress.li-.P. il
p . } é 1 0 1
I t d jà 1 t b. 1 .t d M I
mo iP h I. r I P e".a-
' v t,dny ev t l d, ti-n à d
La grand ri r, Mébrmef htu.h ir Tacha
t le Ch'iii ai Islam Ha nul h I,ffrv:l i,
I é itai-et à sn allier su plein d'un
e o d'Etat dont ale redoutaient les cou.
al"
éq
t L qu'ils a'émient
dé dé r 1 ae cou et que le Chcils-ul Islam
s
avait d l
.a Nli.s lice, l
Cor,v
,bol nu 8,It u Ahi al As iv, virJ.el t
P I ci a
d h d f.. d- AI
[)à, m C H Avu portos
t devoir t [ t p é L.
sui,
n.v ud mie d. 1ariesc lag,r.iao,-
t çul s t t P
i prés à l lil- p- 1 il 1
no,sIr
d été terre, t d e q I
ei,
t d la ne proaat ses - e,
pore .o fuite garder les lssues du côté
1 I eor.u moyen ci,, e burefalions
de le Flotte. Le coup devait Aire oppé
mardi,t midi précis, et le prince hérf
tien n'nvaft été mie que hindi dans
le secret doue qui se tramail pour son
.,accrue il au Trône,
Ça J ue dà méme, lundi, le salien
t P ié de. air qu'un r avive de l'eaem'
r l, lie mgé de lnnnpes, était venu jeter
l'ancra anus les fanélrea du palâ e, vair
fait chercher llus,efa Avue pacha. Ce
dernier ar. t fait répondre qri al était
reteun ma SéranIciu,Il proie dis afaiens
de -vice et qu'il .ne rendrait le rem le
aloi. a.. ordres de S. M. Vars le soir,
Ifuasein Aval pacha reCevail 'la Sulten
u '''''«'auquel il seuil
réponds celte fois qu'il était malade,
mais qui avvit fait .aitre dans ion esprit
la ira lote d'une dénonciation possible
du cemplot. Sans perdre un instant, il
avait couru cirez le grand vizir à qui Il
avait full part de ses eDpeéheusions et,
il annvagnsit
Perdaatt a. sêra k emat
.Uchdi
à la hôte mus les membres du cabinet
et les hauts personnages du gouverne-
ment qui étaient dans le sacral de es
qui devait ae passer, le mivietee de la
guerre et celui de la marine comman-
lateot les cors{gais Peur mimait.
Le Sultan avait peul être en l'éveil ;
tout pouvail être compromis jusqu'au
lendemain ; il fallait donc agir cette
rive t+'e.^.r^,
plus proche que personne autour de
moi ne veut le croire et il me reste à
remplir envers nus le dernier des
devoirs, le plus difficile de tons,.. Avec
l'aida de Dieu ie l'accomplirai... Mon
Dieu, voua permettrez que avec lèvres e
se glacent point tropba vite... P,'eveu
volnis,
marquise, que la .sesoit
P"''"""'-i
et quo je revoie bientôt votre pire,
11 se mbla qui une puissance myslé--
rieuselai ,.,oysfld Piratant ana ,épar.
i: lis (rampes éclatèrent de l'an Ire
côté du la Veyle. Une partie de la chasse
reven.uit au chileen- Va grand repas y
vair fié prépara, la mole méme était
dansée et .apportait trente couverts.
Les ehaasooes entraient dans le bac
laissant derrière eux les piqueurs et lrs
valets qui fernient passer les aberrant et
les chiens. Apréa
il.'
rude journée,
excités par la :ourse, le plaisir et le
succès, ta, le sanglier avait été 'ris,
murmneté par cet appétit Dan,, ils
Me ,tin Bataille alors se fil vol, dans
le parc et ne dit mai un mut.
Seul M. de I{ernovenoy mit pied à
tenu, Le bac D'en relamrnu vers l'autre
bord. Les rires e'éteignaiev!, l'appétit
point. Le jeune comte Je I.izsuet proposa
d'aller 6urpeerdre la oLdtelaine de la
Vulandiére qui avait faneaé compagnie à
la chasse et s'était opili9Lrée à rentrer
chez Clle-
El le serait bien forcée de dépeupler
ses garde manger et ea cave.
Taon alors se réaeiérenl
- Il a vingt ans ! ft n'a peur da
rien !
Ne point souper pourtant, c'est chose
nuit-là mé,ne. A l'Imure indiquée, Ils et il ne lui manque plue que d'étre
avareadjoint l'a filé nes do lCochel nmlr
radi s,-'ondé a m +etree 1 mr
J ever son pays delabassemenl clos
terre, étalent à leur poste ai osa que les
marins de la flotte. Une deie.heure
'prés, Husaein ,ici pocha "fait e
persou.0
faire sel lie la pal- s le p. ici e
héritier et le condnifiatl ails b,lil m
Séraskiérat, où le prince étaie.': p
Iigfel fini tait loucher ove saunai' oIl
de fautes ci le despotisme du règne qui
tient de flair.
L lrvaexain dn ,,cap d'Elat, Abd-
ol Az s a adressé au nomenu Sella n,
S I t p u b e t . ta . fin éureliamt l'e que le Sultan le
os>
fie dr i fm,ir n,
G
de ânfir- 1 traiterait 'ver I A. bouté dont it
utsm es, de membres da cher
.,ait uu lui t, ,(.r ers ,e p'o ncvi 11
ce il, vivre
il a .,
m mepréu et de plusieurs uo+ I t 1 "II et net j d.
ara
m avl l ton de
, représenter le peuple, 0 t que le.: Ten. rerv a qu 1 t C 'il c .limé.
chas des unie lés no Im . } pote ses neveux S d r été Jmmé
.soientété invités à evv y d j ué ent satf,faet et ormi hier, i a
légués à ,,il. réunion et qu'ils avaient
é
filé
l teap
olé suer les ions de Top.
répondu à Oct appel par des fins de non Cil.ai,, dit hioaque dr. Teheragan.
recevoir. S iltant idu étal V a
L é nt d
un qu'il en soit das qu'il éva
a été
eau P tfé P n
ë-l t l
fil F
I
mé m
clamé
lamé .Iran Mourad V a do
nécoIs d e
à Tiédit acha, résident du I d p I S bl i me I T
joa u
P P d e up data( ev- l yé prés de
hi guerre, dn se eendre er palais d s 1
P
e ceter drarman du
Dolman Bat'hi at de rouiller flou avéne
divan impérial, L'a atalronnafres fran-
r don, vos ! res Sé i
i
d I,p Cal I 10rt. léIs-
t1 n lA
PI l pr t
s
àd.,
I t .ntle ri
d r nr n I ç
di, ci d 1{.: e l y
vole tous. tleg d pl I P.aé-
t' Lp at C t 1. I
p le A cont', Je u
in
icol
devant q i, I, veille c.. L bl s
t tl u et q p t
g d f btl: ti d t
p do sert. l, Q 1. vol a
té ale
Dieu t f t t il d t t é
i ed (ordre e réeaill éu
et sas vnfvnts, il é ,st taie-A habi,ler
et e,ndrire C 1 qui I tt ail. à
rob c dcie i P tais et q scorlé
per les e : lia tons de In fille, I a
lraa,porté au é I T p Ça
pool. Imméd t s t p è I
Il 'stt g'd pp à
DA., Bahtrh- o n il rç, tous lia
h- e gmive.n rat et les
1[. nuits .t 1 d u
tus m I L l y s
- Iris ion pé i.l, '. il ` i.sirs
r 'os la
lest post nyé lo ar t d
t 1 1, i - 1 't .,
ld v é saur t l6
t f t l .i t d C C p l
1 1bd ni A . C l é r qi l éio.
lo uit h un ch f ro fabuleux, eo. la I
qn en cinq cent mille livrez Ili et en
net mimons de Consolidés L lut n
été cacheté pour être envoyé aa mi-
nistre des teancvs, ainsi qnc' l'argente
e et las b.jnnx qui ont Clé troués à
Del ma Brht-tié et qui tant retour à
l'État, le Sultmt an Passant 'le. poasé
elle eu prope.
i er, un hall impérial a été In avec
H
Iv. inu à la Porte faisant eannaimre
fté
tes inteet'ona dr rouleau Sultan _
S. M. Mourad V promet à son penpio
tente anse sérte d'aLL.s réformes et au
noce qu'il l'ait ub.ndnu, au prcBl de
l'Elal, de tous lia revenus du la lissa
ivile. Ou avait voulu quo c.=. hall pos-
tout nu moins le principe d'une m i,, I'
avataliua nal.iaenle comme en l'avait
espéré., mais iil parmi que les ministres
de la Porto qu sont tous, par parentbé
se, confirmés dans loure postes respec-
tifs ue soal Pas encore tombés d D'l ord
sur ce point e' ceci est d'autant plus
regnltable gtiil anrsil fallu accu d
loot de suite les tendances libérales do
nouveau règne,
Je vous ai diL d'aille.,a, en deus mots
par la courrier, ee que c'était que le
ul
a
Mourad et ce que le pays attendait
de loi: 11 a too,ea les qualités qn 1
font tee bons souverains et sous sen ré
gue, la Turquie entrera bien ccrlaiae
ment dan. une ère de progrès.
li a un senlfinent élevé de ses de>oies
dore, quand ou a touer un sanglier. Le
plus vieux de la banda, un chasseur
quinquagénaire endurci, qui ne cachait
point sa mauvaise humeur, se mit à
gro meler entre ses longues dents, ae
geilérs sans espérance.
- Boie orsrod dit qu'il D'avoir jamais
mvoeuatréml, .mort au moment de se
mettre à table I s'écria M. de Lieeuet.
-in le crois bien, ft un autre. Cela
n'arrive pas heureosmoirvt tous les jours.
-Mais il ,ajoute que ce ne devreft pas
être uae vesou , coulinoo le jeune
homme, et que lieus aulious bien pu
souper à
sots faire de bruit.
Baiemerand, vous êtea féroce I
- Sans l'aire de bruit! répéta le
chmnr. Dnpeuaible 1
M. de KI,.ovenoy dévora les allées
do pore. Comme il c,elit drin, le logis,
deux serviteurs vinrent audevant de
lui pour le mieux informer de ce qui
s'était passé pendant son absence. 11 ies
écarta d'un geste. Oui' lui vantail.en ?
Ces gens avelent'ils la prlt, alfou de
l'éclairer eu do le consoler? Il y a ana
us lation qui se trouve toujours à la
portée de celui qui veut la sai'ar-.. Sans
doue, il aurait moins fait d'armer plus
Vite son pistolet, quinze ans auparavant,
à Eerrre noy, dans la chambre de In
Tour... Quant à cv nouveau coup donlsa
de.slfnée le t'rappnit, il devait bien le
prévoir. Mais il sun lait le mesurer de
ana yeux, il entendait ve iem appre
dr. que par Arrivé sur le
.suit de la chambre mortuaire, la pensée
lui vint pourtant de céder, de se déroher,
de .'limitait, d'aller s'caiermer à 1(er
novenoy, de laisser tout s'accomplir,
saur à se délivrer, .f la servitude de la
notére et le poids de sa défaite deve-
Dafent trop lourds. Mais il était trop
neveu u e lettre de féhcitatious,
çiis,anglais et italien ae sont empressés
de se pavoise, comme les navires de
la Ilatle o0omane. Ceux des représen
t t d 1 roi rs dn Nurd an s,,ai
. bsL ivs d ce Psirc enleva te.ci a été
Le géea ii al Iguatirff
ré a y
,,
était =r le poivl de pr ésevice à la Sa-
11 I rte le e'u coucamima du prince
nLo
G I k ff qa nd In coup d'Ltat a cu
I e,, C ria pe at é fa le retard que doit
Amar-
t dh cel!od
h i1 laie
i
c
h m e Is tr r antagri doi-
t U d { 1 g uverseuient
:m navra,. da
i
f e ea qu I ! renvoitde nouvel-
i,hl de . é ue
re. a ir n'anc nn-
V) le éenmé of,iel dt prucèa.
b i ltf to.é f It S lin
Abd 1 A': e tt ud t l l I t é-
t al q sa n. t expé
é
N a Ifé yq d d de
M J e ,
e
I 1 ff.t d
rnl. r la c'a edn le, é, e lai ici mp
Ab roui Ai z, Nl s a,olis rr vé un clips
t sec un
posé sur le pieu'
h:r, r ire état en d'un fige
i noua avens
_1 D
e,ufn ayvnl rl é col,
!'
I x 5 It. Ai 3 IlA T trs
le p r d. t . ! 1 ndrs e.t
f n I I t ries de sang
lé L r l lé . ! é pue n'
I t p 1 p pé fit e l A d.
I i I/ t .l pg
1 1 h. a 1 1): img-. let
dl rang cor mare t les bras t
bu polices.
:N. ers t té peu au dls-
E h.' F h- il'q code
t té de t l' d!e q :'rit.
t d pr f de I hue ls de
00lt pl' fit dé h q etés et irré.
gulme.., la d r, otiuu dn laplduma fit ait
de haut eu bas et dn deans eo
dehors. Les animes de cette réa cou
L -l pée kla(ecenlntnlepees-
qe u t'lieu de s a émergeere élut
verte au trois quarts de s suc libre.
ies
Au pli du bras droit, ions av,rs
f lé pl IégA t bl q
cou
ég l' nltadé b er , on
.os
tté d 151c 1 de
Cl d a u s
1. .d. prof d cité
trouva t de lésina quel surleu v nes de
oelit u,ulibc .es .Aéras étaient intactes:
Onnnusa présenté uni. pire dnoa,etns
de di. ee.ulambtecu de I, euurnr Lrds-
aiguisés dont l'uns des hrzncloes porte
o petit buutonlalérat près du somma t,
Ces ciseaux sont enaangl:ratés, et ri est 1
l'afd d net trstrumenl, colas dito e,
que feurex.autan Ahl-al-Aziz se semant
fait les plaies ci-dessus décrites. De ce
qnf précède, nous sommes unauime
ment d'avi, : t' que la mort de l'ez-
sulxan Abdnl AZ m a Cté occasionnée par
l'hémorhagie produite par la lésion des
vaisseaux des pics des bras ; i' que
l'instrument qui nnns a été présenté
cent parfaitement 1)md uirP ces birasu-
3e

-, gouvernements de Franco et d'Angle' pour abdiquer ensuite, L'umendemm+t le Elle est la distinction entre l'esprit reli- j Vans semez et récoltez pour l'arti,te, études, et que chacune de van doeos-
l
'
' '
Il m4 durs du T q p d pl largement; et, a rl y .,ait gueux et 1 esprit clé'la .
V t H° AI LU P3 . â l S à p, t h L n i t p bil,Le min stér, pur. La donné continue.
_..___ j L'I l 1 v. d la P L 1Ct, n t Ils mcit t d 1 Ire ,sise,- On an a rait I _ - -.,...,a - ,-
bl ! t N v le r ,1 e s r!ensemeot ,, I+ aatigne
u
l
" a I la ou
(d'arr'sapovadana, psrifeuüdrs) I moment, m ats elle mettra les cvbmets
' e,mt.odoisft dans le jury. Jusgo'! ce
Paris, 7 jein 1876.
Les nonvellea rr IaGves aux affairas de
Cn t t p! L nb e plus
qi pinab t ire 0 t q
t b e s t fois de la ;- t.
Il I r' t, t à t B. es, pl
il ,
b e l I s de L 1 et de
1 3 1 7 I pé I t st s_t
I
d "I' ,,,,I,,,
pl
es pour re,er du, iol. Il a été ir
lis! de beaux béotliees, et coe.ne ces
ré; al tufs ont été obtenus à l'aide des
veut; eo,irndictoieee auxquelles je
s de fuir,,, allusion, il n'y
a pis à
d inter que c:'. eu so(t conli,mé. Met-
tez dan, via le
,jcteunrsee.n
garde aurai bien
antre les cula pesa merles que ou-
Ire ceux qui tendent à l'.pii misme.
Les faits uniquement aaluis à l'heure
actuelle s'est que le gnuveenemens. du
nouveau Sultan est décidé à loisirs las
allusions mpatibles avec le ma
t en del'hitégelté do la Turquin et les
prérogatives da la Courouno, c'est que
l'Angleterre a conseillé et soutiendra
cette natal. do lu 1'a,quia. Tout le
reste, dispasitious conciliantes des trois
rs du Nord et otamment de la Rus-
e, docilité des insurgés à écouter Ira
aqn 1,2,r Ido,né
Semvmu de Ioonnund",',,i il
p.raft peu
vraiseenbl.lu.e queCepeles
-
i,le =de Iterlin, de
Vienne ce da SI'
Pétersboueg exigent dis Sultan
1'111 1
chose qua Sas d u
renon destinées à
ses la Irher, eeligleose 1t l'ég..li Lé cotre
chrétiens et mnsu!me s du.., tout,
l'étendue de son empire Mais, par con-
tre, il semble bien difficile d'ad,ereleee
Il lues de l'oeieni
des
réformes es
question et d'un mot d'ordre de la Marrie
pour pac,ller la Boanieet I ilerzegnarne.
Allie, este, là ce qui con..fila e 1,
p lin t noir et où gisent 1--s dilliimillés,
O s'en arme ,,, bran, dus renie, hissai
ti,t que la Porte aura proposé un armis
Lice, à l'impossibilité de le (,ire admet-
tre sans garmilics et méme aveu garai
Lies, tant Ils insurgés sont éparpillés et
.lot In, mobiles qui les l'ont agir sot
diSlennts.
Le projet d'organisation moniripule a
lit Osé la m',joeité répnhl,eoiue eu quatre
grau pcs hic. d litre 151 dabord 1.
pu,
mores qui paas,nt quo l'État doit se
attribuer Io droit de nommer
lev maires dos chef,.Iieux de canton
i bien que ceux d'a r,1s,:fs-lienx de
départementetd'arro,,disscment, ana u te
l
:eus qui .,.lent exchme lies chefs.
linos de ea.ten de ces attributions gen-
n
e.tale,, lima a x
qui , gent
il
11,
l'Ltat mn me an-le1 m rer de
Pari
iluu inde
Lyon' aida ,
demandcdent
deux vines
rolrént
nyne ces
drus le droit nmmnn,
,Iga'à présent, ,e eeieietéro n'a,
quoi peu cu ail dit, ri abandonné
de son ,n h Il presiela dua.. ses r
des n'ationa e l'égnrf de Is n e,loin
des s des rhel'ans
lieux
do e cuanton
et
il n'isustinallemene d'avis qu'il soit né -
w e de prncéd,e uu eeoouvellseneut
full ut d'a Conseils mucip. avant
In
nomination tins
matrasnr,
Ce renauvellelsent venant ,présectiles
élections générales, .prés les élons
de rnna illers généraux qui se sont
8teudurs à 1. plupart des départements,
lui paraît inopportun ci me sol ,lange'
Ira. au plume rte via da la paci.S-ati,m
les esprits. Voilà six m la que l'a
P lp'Onlioun urbaines et uvales .ont
saturées de poliliqun et ieuh loir les
agiter encore au moyen Il ... plu.
icipalas qui atteindraient toutes les
es de France saoris exception,
c'estnuisquer véerlablemt de porter le
tune blo dans les uOairea , sans profil
m,Loll
encan est dais
III rs d'I,!r .
Ovs'est irgalé!é,
durant le .",hé,
dis motifs qui ont pu amener l'empereur
Gui llnnme à renoncer an voyage qu'il
devait faire à Eus, pour I entetem'ir a,"
l' 'n erreur Alnxan duc, Cme, lion
50, èche petvéa reçue par n' gros
spérnlaleur dis
,
,se
Bourse prétend que
je czse a qui:tl on va quitter
Ems, o ourlet que les deux San.
verain.u e t plus lev mêmes vues
rlepaix l'intronisait d'us nouveau
sultan, à Conslantinopla.
Et les commentaires d'aller leur train 1
Je .e saurais Irop insister, à er propos,
sur la réserve que soue devez apporter
dans l'accueil de Ions ces brnus, en
levant compte des nhseeeotiaus que je
vous sonmrieues pl.,, haut.
(Autre enrraspendance).
Purin, 7juin.
la puis préciser un peu pins aujour-
d'hui les çho.es an sujet de l'espoir, qu'a
r,suça le gnnvcrnm,.ent de faire isser
u Sénat la loi relative nu retrait de la
collation des grades u esitnires pur
les jurys mixtes. Lev négociations pane-
m.arrea an sont donné à c, propos li-
bre cours depuis une semaine ,1 elles
parai ssent avoir abnnst à celle lorI oc.
tire que la for dont il s'agit ,tarirait
ana eerln ion mujoi ité assez cnnsidéc,hie.
1,.u, savez aujourd'hui exacü,mmrt ris
quoi consiste l'armisllee que la porta
Vient de dém'élar dan, les cca in-
surges de la Boa:l de l'it'en gunion
C'est à la fais nn armistice e, une
s msistie. Mais il faut à [pulls ces peu.
la, a se des gsrail lies, et l'amniilia p.r-
tienliArement doit se eoml,lélcl pur la
pleuve que 1, laits qu'il ,'il dit d'os.
hl,er, cent à dire la latte mire les
chrétiens et les Tores, n':mront plus
n de mitre:
Steoplc.clI..es f. Aateull
aura o',ipoeécire déjà le degré de l jour, les axan s polir les ie
agrégations
cnIes aresecx r easa nia rouis
bonne velouté eu présence duquel ils se le Ici écales s ont donné u 3 a
trouvent, oupçon sur l'impartialité des juges choi -
Des .si, de Vienne oflemont que la is pur le miurstre, On a pis Ien cou' Ce grand prix a été institué en 1871,
nonerata. du l'avril ambasea:,m d'Ain i ce J n- les examens qui ont cté Il est de 30, 000 francs, offerts par le
t Ifd I, I:r - t lé f Il local i . à p ses pair l'entrée dans la m>gstra- 1 ronseilB municipal, le Cercle de la rue
Ir, a
1 .t q I b,. 11t u L en et où des m,gis0 als out fait des ogrtln
etla Société des steeple-chases.
f. qfr I nt L( 1 ni pis. accru, nes exanune lis ira. La l1 tance mat de 8,000 mètres,
i ,ci,
Ouest an comte Aop,nyi qui vicia de Pin lu ou eu t-ou ainsi le prestige et la L'élite des steeple ,basera était va-
e, à V""." il a ombe à u situatmu des pi 01easenrs de 1Uainresrté? nue dAngleterre peur proche partà
mt1a liefa roue duot il souffrait d pois II nen sera rien. Les professeurs de lite lutte. Aussi, 1 aesistonce étaitelle
lui g;empa. I m 'lneignement secondaire or lont point fart nombreuse et la recette a-telle ai.
Il y u grande émotion en euinist ère passer d'examens, a sent ils mains teint le chiffre de 73,000 francs,
des travaux publics, Par suite des déni' écoulés ? M. le ['résident de la liépublique et
lion, qua la cpmmi,aloa du badg^t vient C,ax qui sont réduits an réie de oon- M" la duchesse de Magenta avaient
d prendre coutre L: secrétai,e général fdrenciers ça sont ces professeurs aux' tenu à honorer de leur présence cette
dont l'emploi est p=op,sé à la sua .er,- gool.s on ne lai .'a, aucune lib,rlé de eS' solennité hippique.
n et contre M. da Fronquevrue dont I rahode, auxgmils es trucs les program- Après deux levers de rideau, dans
leusecouer svoix dé 'onnlr.. L'hostilité es qu'ils dot lot suivre.
lesquels Duquesne, à M. Paul F'rémy, et
contre ces deux hauts funrtionneirIl Parme les affaire' de pays, celle qui Lustucru, a M. Page, ont été vain-
'est pas un fait nouveau : elle cxibmit est en discussion mit des plus graves '
qua., seize Counsesenls x051 reins
déjà sous l'emples. On m, dit que M. il fmllu trancheras dehors des ardeurs déot e devant les tribunes pour cru.
Trisserrec de Bort les a défendus av'c de
il
pnsama politique.
rie l'épreuve attrayante do grand air.
Il,.a.c0up d'élargie et q uil les dép'ndes II ne suffit pas d'une uerelle entre ,de rame. Ils étaient conduits par M.
encore à la tribune si la commission du ï université
ce
l'Église e q
t l'os doit .a flouai, le alerter, monté sur un petit
budget persiste dans ses résolutions. garder de dimmnlae, l'autorité et le pers.
poneyavatt ce lice huit chassa anglais
Lige de 'une et de l'autre.
etAhuit chevauxfr
Il faut conserver le patrimoine de
rès deux
fauxaiç
déa t Chienne
CHRONIQUE PARLEMENTAIRE grandeur intellectuelle de la France et p
p ! ^.
Y
mett I..mour de I patrie au dess,a Sweep a pris ce tête, suivi de N'a or,
M 0111, a été 1 ..j le I 1 s rival t de p- viii Borély, Ventriloque, Loriot et C,ureuse.
pa I ssm d é_,lem,ut au sujet C est I s cet esprit qui II faut faire de-Nuit. C'est dans cet orbe que la
des rapportaides deux Chambres et par' les .(faire. de pays. ( Très bleu 1 très rivière a été franchie la première fois
t.ieulièrelnent dans le cas d'an nouRit de bien !) devant les tribunes. Taus les chevaux
vote entre fuse et l'autre, Il a exerlm8 M, pool de Cassagnac dit, qu'il o parlé l'ont abordée franchement et l'ont sau-
l'opinio, qui en cas de coollit, il devait a catholique et qu'il est permis à îora- tés sana faire de faute. Borély seul a un
avoir toujonra lieu dira.
a réunir lu co ter d. parler en protestant. peu fléchi en retombant ; mass son
mi
Summers, l'a relevé avec nos
y
.
n
M- Banal Usuel répond qu'il me j0ckey,
NI. le mille. des sceaux a
demandé doit y avoir deus Ile débat ni protes. adresse qui lai a valu leu plus vifs -p
des esplicaliuns à 1. c eriasiou sur riant ai catholique (Applaudissements).
pinudissemeuts, Chimnry o pas cesse
dilfdrmts articles du réglomant. Dans cette quelt ou, il an faut être de mener le train, saisi de Lancet, Mas-
C a mbia't n
n rem
L t
e
CHAMBRE DES DÉPUTÉS
Séance du 7 juin 1676.
g
. a
orio
u français et c'e t nome tel que carat et
Îoratcur recommande l'adoption de son pue pouvoir suivre. A. talus eu terre,
amendement(Nouveanxapplaudissemenls Borée est tombé, mais son jockey est
wr plusieurs bancs)
remmtè et a repris lu chasse. La ri-
La péroraison de M. Raoul Balai est vibre a été de noserus franchie sous
vivement applaudie sur un grand eom- aucune faute. Spectre a alors pris eu
t tète et forcé la tram avec Mascara, que
d d
L' escen ai
bue de bancs.orateur, ce
Présidence de M. Gnévv. de'lo tribune, va s'entretenir ara, le suivaient Nestor, Lancet, Loriot, Chfm-
ministre de l'instruction publique. Sait ney et Cusenuea de'Nuit.
Pair de monde
aujourd'hui dons les dit em plissait, l'interruption de M En sentant au talus e terra pour, la
tribunes. ' Paul de Cassagnac a permis de cops ta' seconde purs, Nvt,e et Laacsl sa ont
J, Séval, qui tient mari séance, e fer dans le parti de I.ppel au pan pl e heurtés et sont taerrbés ; Daiatys est
de 'Mené à eu. profit n u puffin du l'existence de deux cuurants bien dis,
tombée aussi' La jockey de Nestor ne
vaut. La tribun. des sàomu ira est boots. Eu nllet, tandis que la réplique de s'est fait suons mal. Mars les de.x au.
presque m [(hument vide. li ios l'en- 51. Ilucul Duvet à son Interrupteur était iras se sont blessés assez grièvement.
,rota per ommtaier la plupart des applaudie par h1M. Dugufi de la Fancou. Cigarette, Borée et Borély s'arrétmt dé'
bancs aon, recul' dégarnie. Bon n m- nia rie Julrboil, Janvmr de la Motte, courages.
bue de membrr..s soue retenus dans les Ifaentjens, etc.,et,. MM. liobertjélilchell, A. dernier ta.,...l, Mascara, Chrm
Plusieurs dén,rtét, entra 'l'e,etaa Lambert appuyaient maviteste- oq, Counuse'de-Nuii, Loriot et Ventrr-
lotres,ss(1) f,mberger, Nsgnet, Bayer, ment par leur sileuco M. Paul de Cassa' loque étaient en let,. Coureuse-de'Nuit
Dnrfdrt de Civrua, air., vienuert tue' à gond et sa doctrine. semblait gagner facilement. Page, ao
h,,ar ee;,.lestte'!e osée le poe.id,ut do C'wt M. Bar.i, président de la ccm bsbile jockey,
croyait
avoir la course
t'Asse,nbllu. mission du Projet SVeddieglon, qui vient en
-aile, malgré les 80 kilos que
Fuies, a deox heures cingnaeie,
la réponire à M. Raoul Duvn1. Partait la vaillante jument, mais la
séaucc est ..verte. M, Bar ai dit s qu'il lui suffira de triomphatrice de tant de lunes a terni
fo pesta verbal est adopté suas dé- rappeler les arguments qui ont décidé tout d'au coup. Elle avait un boulet
bat. l'Assemblée Natronele à repousser l'a- presque débotté. Malgré cris elle et
M. Benolt présente le rapport dis .enflammai q...d il lui fut présenté, sauvée cingeiéme. Le bar.. Final, sou
hnrenu compétent, sur l'élection de M.
L'amendement
pane but de rendre propriélalre, fart là use grosse perte ;
Vignaneonrr, l'heurrusa concurrent de plia ieeontestéeal'impartialité des raa- le meilleur de ses représentants lui est
M Cl,,,,,,"", dans lev Basses-Pyrdsées, minuteurs eld'assurer l'égalité du grade. frisse. car je ne crois pua que cette
L'élection eue vnlidés sans débat, Ou Remplit-r1
.ai. bot et remédie-t-il à un blessure reçue au champ d'honneur et
.arque. que MM. E,11er et Bayer mulséricux t Dire que la femme de César sur le seuil de la victoire puisse être
voleur coudre la validation. au doit pas être soupçmnée, "est au guérie.
L'orlre dis jeu, appelle la reprise de oyen commode pour épudier une rienge tombe boiteuse et Loriot
la disnnasion sur le projet de loi relatif femme qui a cessé de plaire , sais renonce à une poursuite inutile. C0..
t la 'ail'',tion des grades. il le faut laisser ana Césars, ('(rés. grecs profila de tous ces accidente et
M. Wo,tAiegton eut uni en banc des bien !) Personne n'est à l'abri du serine auprès de Ch!..". Les deus
nie Ires, soupçon, 11 :agit seulement de savoir champions anglais sembla,eat gagner,
niM. Banal Naval monte à la tribun, t le soupçon est mérité. 0e, à cet lorsque Ventriloque .et venu les etla-
L'honnrable député développe un amen. égard, les professeurs de l'Université, quer et les battus facilement de deux
dament portant que les gr,ide.s seront rndépendauts, inamovible rat fait leurs Iogéneoes, Chrmney Sweep, second, pré-
plibli és par le de de l'instruction prennes. cédait COegreux d'une encolure. Mascara
publque sur le v nu
e
d'd'uon
ceetifieat délivré Si quelque partialité était à craindre écart gorleuèmn à une tète. Nia placés:
P., us jury nommé par lui. de leur part, Il serait plutôt pour tee Coureuse de.Nuit , Revenge , Lancel,
Cet amendement, selon l'a adversaires élèves qu'ils .'an, pas (urinés que pour Loriot, Dainly, Nestor, Borély, Mascara,
Ix-mêmes, n des côtés silursaots- Il a leurs propres élèves. Le jury émanation Lrltle-Tum, Cigarette, Wild-M.... cil
plus, il a en sa riveur de trèsfortes et du ministre tel que le propos. l'amen. Spectre, Borée.
très-solides raisons. .roulement ne .ara d'ailleurs pie plus à Le vainqueur, Ventriloque, est o ms
,La lui de 9873, glace qui concerne l'abri du soupçon que le jura actuel, de Ventre-Sainl'Grra, n'està-dire ne fré-
ta col laOo des grades, .',saut. Plat. Quant à l'inégalité de la v leur des
vu
de la Velue, qui lavait gagné ce prix
11 s'agit de r,;molacer les dispositions Brader, il faut complet sur la réorgami- l'année derrière. Il appartient h M. le
rérilablerrrent abrogeas par las diupasl. 'utoo de l'enseignement supérieur perse comte de Saint-Sanveue et était moulé
tiens conciliant la ' libellé ci les dr,,,its, la frire cesser ou l'atténuere. Cette Dar Gaddard, mis jockey de anisasses
i pour mieux dire, les dévot rs de réorganimlion doit être prompt et tue- française. Ventriloque a'. que quatre
l'Elet. Res. Ce jury d'El,] quels qui sas soient tes ous. Crise victoire Wons prouve qua
J.squ'à s réseat la liberté n'avait su' éléments, Ira toujours une commission nos chevaux ont plus de fond q
e
accés' dans l'enseignnmenl, L'Clat ministérielle, ce sera so. vice ; il .ouf'
crus de ou, rivaux d'autre Manrhe.
Imi
ient ,apa
i Aii Bieu de Imirs élèvessera
veisl e saignait et examnait.ujonr- frira de l'introduction de l'idmnslra-,. p-
dhui, la Ilherle est proclamée. Est-il lion ai de la politique dan. l'enseigne- bile de (aire 6,000 mètres à cet âge.
bon qua 1E,Iat eaéreuro le système ad,- nient. Cette double iaguener exista Depuis trois une que le grand steeple-
(arl des g,.],, ? L'orateur .e la peule déjà ; il ne faut pas l'augmenter. 0. a chyle de Paris est institué, nous l'avons
pas. puel6 de I'ageégatio et. de son jury, gagné deux fais et jan Anglors une
L'impartialité des
professeurs
de l'État mais l'agrégation n'est pas seule- faim
r pas toujours également ,ce la n- ment un examru, c'est aussi ne concours La Vonese de Aies inlernationade
ne sv
e
ctle
lie autorité morale en era ni. La dldérende est capitale. Quasi ana (7,500 francs et 4,200 mètres) a réuni
teinte, On pou a t ,:e cour préoccupés examens des écoles, ils Partent sur dea dix nsennnis, six français et quatre
d'assurer la prédomiuence do loues é!è questions techniques ,ur lesquelles
anglais. Nous .,vois encore ohlesu la
taus lev esprits sont d'encuvé, Là de.e,
avec Vichnou, à M. Maurice
114 est admis que l'enseignement sur le jury spécial n'offre aucun danger. IL Welter, monté Par Adams, quia gagné
Fronce n'a Pas donné tous les résultats serai',, quoi q.'on en ait dit, très.diffi.
de cinq loegueure: lacàal, eheval os-
qu'on devait ce espérer, 0. compte cil, de recruter In jury. On peut être gleis, monté par M. Cramhaw, a ma-
udxante'douze jurys exzmusaut pour trèo-s ont et n'avoir pan Iea aptitudes que de cæur loerqûif a fallu lutter.
las diverses bra.chas de la science. aéraasnires peur bien examiner, Cl si Consolation était mauvaise lreislème.
C'est là un danger. il y a une culs,. l'on admet que le ministre choisisse Non pincés : Trésorier, Bonifia Whea-
ce ésidente entre l,a facettés par la panai [,-a professeurs des facultés Ir.
,ercoek, Fille de Phsruae, Rofiua, John,
facilité des examens. bras ou eu revient eu jury mixte que IL Simon.
C'est ainsi que la ficalté de Caer 81i- repensa, M. Banal Duvet lnbmé,ne Adam, avait dit en mootaet Vichnou
seulement 1 '/ des élévos qui se Lui général on les professeurs seront qu'il dlannermt dix sas de se vie Pour
mien
préeolent. t) las Ici écoles pu éparaWlr'a très'jeunes et inexpérimentés, ou très' gagner
"" corsa d'obstacle ma Femmes.
da médecine et de pharmacie, en admet ienx et en dehors de mo.vement de la II a été servi h souhait,
tout le monde, science: Eu présence de ces diffiemités (Bulletin Français). E. Cavailhon,
' '
C,L état de ehoume appelle un ru mêle, t de ces danger', l orateur estime qu il
et ce remède, c'est le système employé faut larsaer aux prafesseuers de l'Uaiver
dans les examens pote Icgeegatio0 et ailé le droit de conférer les grades.
les grandel éeules du gauvernnrnant, Aurieo éldve de l'Ecole Normale, ancien
'est un joy .1 liai ma'.aie pur le mi- professeur arraché de la chaire le 2
outra et .0l-ont toutes les garanties de décembre, il remord sla ministre d'arc r
eo 0pérencaar d'!enuartialrté Ce système veagè IU,siversrté et l'écolo normale
présence fil dea dihOeultés d'exécmion ? des attaques dont ils ont été l'objet.
Le anounn carne, En 106'11, 2,068 d!plô (Applsudrssumenls à gauche),
es dedoctcue ou de hcmwié ont été 11 fille, en préseuce de la lutte cette
délivrés, Polir examiner lev 1,100 randl- l'esprit Inique et l'esprit , non pas
dais à l'École mrlimire, i lent jury religieux, r ais clérical, s'appliquer à
suffit rl il 00û'e à 1Lmt 30,000 fr, Ven. eoeeuv rt à relever l'Université.
u trois jurys, fmmtiunnaot en duhora M. lu due do La Bochefoueaud Bi
dos l'.acollés, suffiraient don, à toua ils sacc,a demande ce que l'orateur entend
Pour cela, il faut que le l'aria ,me- ' besoins et donneraient toute, l'a giran- par l'esprit clérical.
cède d'a rnslitnlions à es eujetr, an tins désirable.. Le recrutement du es M. Banni répond qu'il y a ,arc ,eh.
tenaient la mesure décrétée hier a, ta jo'pn ne r, t'oi,Iu reurt aucun,: difOcnllé gion qui console, qui bénit et fortifie ;
repoussée hantera, et par les teléressés- ,I:nu .otre paye en les hommss o p'bina elle est respeetsbte. Mais il y a une
Il est exact q ue dés hier, dans l'uprés I ne fous h.urensemeut pas défaut. I ,et migion qui persécute, qui est sysenime
midi, la dépêche offi,telle e- onçant LI droit de l'E,al, tel que le eom d'tolé,auce et de famatisme; elle est
cette mesure a été communiquée aux prend le projet de loi, s'exerce un jour détestable. (Applaudiaeemeuts à gauche).
AC,1pIiMIE FRANÇAISE
Voici la fi. du discours de M. Saint.
René 'taillandier, eu réponse à M.
Damas.
L'éminent orateur en arrive à parler
des beaux travaux scientifiques de M.
Damas; il le fait avec beaucoup d'art
et de façon à intéresser le public au-
quel il s'adressa
industriel, pour l agricu
pour l une façon irrésis-
teur, vertes sons l rmpo.se d
pour tous les .aldetu de l'armés do te.- j cible D Seutiqua des Ores arga-
,ai] Vous veilles sur l'enfa.t des collé. m ors ,ver démontré nom vérité
0,,i, sur l'apprenti u a manufaciai,s. A
voir toutes les aesao niions qae vous
présidez, toutes les entreprises de per.
l'ectt....... t social et moral duos vous
êtes l'inspirateur, on an connu le, ,la cer-
taies reproches adr à o re puys.
Nan, il n'est pus vrai que la 'a's seglo-
saxosne, que la société ,sol, la o
Ilions
eméricame ait le prialége des Il 61
où se déploie l'initiative privée, il si est
pas vrai que le Béai. de la Femme soit
impropre aux teaeaux de la liberté in-
disiduelle. Vous en étai une Preuve
vivante, et cette preuve, nous pouvons
la montrer à vos amis nme à nos ex.
,amis, vol,. activité t 'instruction une
sorte de ministère de l'instruction pu-
blique, nu mfruitère qui est à voua, qui
est votre murée, qsi craint pus les
icissitudas politiques, et qui, sans par-
ler da bien qu'il fut en ditail, sel un
eocou,.gement général et un viril
exemle.
s L'inventeur est quelquefois jaloux
et mystérieux. C'était le tort de [,a.-
crenue obtus ie, et Fontevelle e 1'a
peint dissimulé. Vues, monsieur, j vous
être
tout à tous. ad ruleenmt votre
scies, ti a point
de
e secrets, mais elle
e courage tous les efforts. Comble.
l'histoire voua e montre de ces cher-
chmrra de
génie, qui tombent à moisé
champ., (auto d'une main nlabla !
Ce ,,cours d'une
palhie
hre efficace,
Palais. qu'il voit
bina
en placé et alors
méme qu'il peut y avoir quelque.
tes .or 1. ..es tonal, vous ne le
e tu.
fusez jamais. Vola. entretenez la for st
et
l'espérece, puce qu'il y a en vous as
fond. de
éscieustque. J'en con-
nais de
bien
bien touchant. exemple. U.
jour, u. homme ae Plaisante chez roua
an ne. d'une famille dimlée. Le chef
de celle famille, un peinte. habile, a
jeté ses pinceaux
,ai,aé IL ses 'l",
t transformé non atelier ea laboratoire.
Que fu
cherche Vit ? Il a l'ambition de
saisi
(es
r les fuyantes images de la cham.
bue obscure, r1 prétend oser sur le mé
tel cette apparence, ce
, ce Lieu.
Il est fou, dit le boa
aens
u, 1-19a11--:. [e
début de ]['ui d;a...nce déjà nu
drame ; ce!qu demie à ce drame un
,meunière !Plus vif, plus de.[...en
c "st que vers le méme temps an
autee
re
inventeur, M. Mayas de Saint-Vmtor, à
qui M.
ul a roda de si éclatants
hommage., , poursuivait
nu
rdae de
.âme genre. Nous .avions ,aujourd'hui
que les deus chercheurs, I ssnus
.lors l'us
autre,
calot-ci plus savant,
celui-là,
plus
us artiste, devaient Être as.
,allés plus lard dans le succès de l'en-
treprise et dans la gloire d'une r ne
pense aatrouale mars à travers rs ce
premier donc pcov d'ove idée singu-
lière, qui duel pouvait """et' jas heu.
réa du grand soleil? 1l 1 cette., disait-
o., fou d'os folie ,qui va le perdre,
loi et les siens ! A cette pensée, quelles
anxiétés et bientôt quels désespoirs an.
tuer de lui 1 Qu'il s'obstine ides s
poursuite, osa .et fait nonaeulement de
so. modeste avoir, mais de sa rais..,
de aa ,noté, de aa vi peut-Etee. Ah !
ai sue .Attente autoeilé pouvait le sau-
er de lui-méme ! C'est alors qu'oa a
fart appel à votre sagesse, et c'est
alors aussi que commence pour vous us
véritable supplice de cosselence. Le
cas est grave, ltameeer à se, tableaux
ma
artiste qu'une illusion égare, lui
rendre l'atmosphère et le foyer de 1.
famille, asesrémest test mure, pue ;
mais quoi! Su l'idée de l'i.venleu' n'est
pas une chimère f Sr, dans ce grand
laboratoire de magie qu'an appel[. le
monde, il a 'entrevu certaines chose
dont personne ne ne doute ? S'il suit pus
à pas uoe trace demi-obscure, demi-
lumineuse, qui a échappe A tous les
regards t Ests, dùt-ul ae p.. toucher
le but, s'il peut, chemin faisant, comma
le. vieux alchimistes, rencontrer ou
provoquer des phénomènes dont pro
Otera la science ?Tout cela est possi-
ble ; est-il permis de faire obstacle à
ce qui est possible ? Voilà un homme
de fui ; arts, permis de décourager sa
fou I No ; ,prés sue délibération lon-
gue et poignante, ce fat là votre ré.
pose, non, cela .'est pas permis.
Quisae,années s'écoulent, qui.ze an-
née. d'efforts, de luttes, de croises et
d'espérance,, qui.ze années d'angoisses
dont le cotre-coup vous atteignit au
'mur.
s Un 'mur enfin Daguerre (je clora
en vérILn que avais oublié de pro.on-
cer eo. nom, mais qu'importe, Panique
chaco l'a dit ?) Dag.... I ruent à vous
raysn...t, transporté ; il tient à la
mai. sesmerveilleuse planchas. La voi-
là donc, cette chistéra 1 Et vous, mon-
ierr, avant de le féliciter, votre pre-
,lière pensée est nu élan de reco.lsu
nonce envers Dieu qui ,au, avait Inspi.
ré celle confiance héeoigon et l'avait
si pleinement justifiée. C'était, dans tou-
te la force de ce terme, un mouvement
d'action de geOnca à la fois pour 0a-
guerre et pour, voue. U. trait qui dou-
ble le prix de ce sentiment ai par, c'est
que Daguerre ne Ia jamais au. Je ne
connais rien de plus humain ni de plus
touchant. s
M. Saint-fané Taillandier parle eu.
.aile do falot d'écrivain de M. Bureau,
notamment des éloges qu'il a penno..
ces devant l'Académie des sciences.
affirmé déjà par 1 or à savoir
s Toutes ces pages so.t d'un écrivain,
quelq es-nes d'un
peintre
et d'un polie.
Voilà odes titres qui vans s'gaulaient
particuliirementan choix de l'Académie
française. Il y en a un plus précieux
encore, 'est votre philosophie. Vous
ez de la résumer en traits pleins de
grandeur, je l'avais trouvée déjà dans
choc rn de vas sernges. Elle est dans
vas Lstnnf de Philosophie chimique, dans
votre Eeeai de eloriq chimique des Pires
organisda, dans vas discours aux élèves
d'Alois, aux jeunes ingénieurs des éca-
les de Paris, aux apprentis des manu'
factures, comme dans ces grands Éloges
a On peut dire que le caraelire dis.
tiuc'.if et cantus de vos travaux net
l'application de la science à l'utilité
commune, Du haut de. sphères anpé-
'I'.'cs,janmis 'a as me perdez la terre
de 'e le. Vous n'êtes pu, un conquérant
égorete, vous voulez qu e Chacune de vos
victoires augmente le bien être de tous,
hisioriques applaudi. de l'Institut. C'est
quelle résulte eu effet de toutes vos
que dans la nrtara nain suc « orée,
rien ne se perd, tant se réduit à des
omhinaiuoe, perpétuellement renonve-
13es, Vous avez l à la s6 ainsi le transi
mis 'an de la via l f d globa-
C'eet ce que j apoela t t à I hseose, le
fond méme da .rnaset, Main or fond,
d'où vlent.ul t Ces éléments primas.
diais,dot formeni la vie do la pl.nlr,
da 1 arunal,
vie,
v
S rte
expliquent la vie, cool est les expli-
quer . Ami, ev toute chose, eu chimie,
a physique, en physiologie, chaque
déroulerta ramène la même questio :
Où est le nencnencement ? On croit tou-
cher le but, mu. ne fait que recaler la
ou plutôL nu arrive h la
limite de ces régrons où nul iuslrument,
nul agent, nul procédé n'a de prise. La
science qui veut tout soudera rencontré
l'insondable. Y !ciel quelque chose au.
delà ? Les sus nier,, les autres doutent.
ns, sans hésiter, 'nec ce ferme bou
sens
qui est la marque des grands va-
puits, vous concluez comme la tradition
humaine tout entière, et vous dites:
s An q dessus
.us de la sphère des phéromé-
ses
q
ous étudions et où omis aaa
tant de découvertes à poursuivre, il y
e sphère supérieure que ai.. méthodes
n peuvent atteindre, Nous commenças
à comprendre la vie des corps, la sie de
lame est d'un autre ordre,,
s C'est Ii grande tradition humaine,
et, comme notre France a eu la gloire
d'exprimer toujours les plus hantea pen-
Ees du genre humain, j'ajoute: t'eut
le grande lraditiou de la science franchi-
se. Sara parler du dis-ae ptiéme siècle
où dominent surtout les maihémxti-
ques, ,paillerai. Pascal et des, thé.-
,la dea trais ordre., .aes parler de Des-
cartes, de Feront, voyez Fontenelle, au
dix-xeptiéme siècle, jugeant les estura-
Iretes de son temps, et Buffon, leur nu-
rapt des perspectives sublimes. Quand
Fontanelle veut résumer la fromage de
Cassini, Il écrit ces belles paroles : a La
terre et las creux, qui encmtmt Il
gloi
re de leur Créateur n'en avaient jamais
pl0, parlé à peeuonve qu'à lui. s Quand
Buffon achève de peindre la majesté de
la nature, il le m aire à usaadistance
infinie de Dieu, il la montre ssubuedou-
.en au premier Elre, n'ayant commencé
d'agir que par son ordre, n'agissant en
re que par son concours et s
lentement, e Ouvrier divin, qui, tes.
vaillant loojoser sur le méme fonds,
bien lois de l'épuiser, la rend ieépursa-
blé, alla a pour moyens le temps, l'es-
pace et
lu
matière, pour objet l'univers,
pour but le mouvem
de
-'ai
et la vie. e Aveu
B ilfo
Lors moyens, ajoute
peut
u, que .e
lu nature ? Elle pourrait tout, .i
elle pouvait anéantir et créer, mai.
Dice n'est réservé cos de.x,alvéoles du
pouvoir ; anéantir et créer sa ai Ira at-
tributs da la toute-puissance... Tout a
donc été créé et rien encore un s'est
anéanti ; la nature balance entre ces
deux limite,, sans jamais approcher lai
de l'une ni de l'autre. s
s Voilà brun la doctrine que Lavoisier
commencé d'établir h sa allées, et
que vous avez confirmée par des preuves
éclatantes. A. delà de ce cosmos où rie.
.e se perd', ... apercevez toujours le
Créateur, comme Clavier, nomme Cerf.
froy Saint Ililaire,et l'on pourrait inscri-
re
en
tète de tous vas ...rages ses pue.
tique. parole. que Idole traçait à la
première page de son S'gsfama moisa, :
Feuillé soudain, pai vu passer le Die.
éternel, infini, toutssehantè tout-puis-
sant,je l'ai vu passer derrire eo. mu-
en je sois tombé ce exmse. Deum
"'
aemp
et., e
n lrrgo
ieuteme fmmnsun, msrgo
(Insistait-
rem
ufpof entem, esrupu .n
uidi vin si. .
a J'ai te... momieur,à insister sur
ces grandes choses, car eu re.ouant les
meneaux de celte chaîne d'or je rends
in hommage de plus h votre prédérea-
saur. O.u ae peut penser à M. Guizot
historien et philosopha ans penser ous
plus nobles .oma,à tloyor-Coliued,a Mon-
tesquieu, parfois même à Bnssnut ; en
ne peut parler de vous sans évoquer, lev
oms les plus illmtees, Clavier, Geof-
froy SaintHilaire, Lavoisier, Battant,
Liueé. C'est un ---'a'n lion entre
fauteur du course., la civilisation et
l'suteue'de Lapons de philosophie chimique.
Or, je n'sueis pas seulement à vousaon-
haiter la biepveaue parmi nous, j'étais
chargé de rappeler aux uns, d'expliquer
ous autres, de miras faire comprendre
à taus combien vous êtes olarel
iraient désigné pour ce glorieux hérita-
g.. Je crors'que la preuve est compléta
t que j'ai le doit de répéter avec plus
de confiance les paroles qui ouvrent e
discours. je Ire re dis mai.tenu ft à titre
de c...helro.
s Venez donc, monsieur, taraude. la
place qui vous spparlrent. Les membre.
de l'Académie française an félicitent de
vo.. avoir doo6 pour successeur à leur
grand et vénéré confrère. M. Guizotétalt
le premier daua .on ordre, vous êtes le
premier dan. le vivre. s
--
l.hensins de fleur des Midi.
fila". cru a. lus, .1 .r4876 A I11.1IR
nu 10 soin
1876,
.
fleures de départ de Toulouse pour :
Montauban. - 5 h. 3 m- malt.
(expr.) (1) ; 6 h. 25 m. matie ; 11 h.
mati. (épine.) (0), 2 In. 30 m. soir ; 6
h. 20 m. soir ; Il h. 40 m. sotr.
Moissac. - 6 h. 25 m. matin ; 11
h. matin (,apr.) (B) ; 2 h. 30 soi, ; 6
h. 20 m. soir ; I I h. 60 m. soir.
Agen. - 5 h. 3 m. matie (espe) (I),
6 h. 25 m, mati.; Il h. mati.(,spr.)
SB) ; 2 h. 50 m. soir ; 6 h. 20 m. soir ;
1 h- 10 m. soir.
1ooeius.-6h. 25m. matin; Il b.
matin (Expr.)(B), 2 h, 30 soir; 11 h. 10
soir ;
Marmande.,
G W 3 M. matin
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Expr.) 25 m, matin ; 11 h,
matin (Espr(B) ; 2 h. SO aoir ; 11 h.
40 va,
La féale, Langon. - 6 h. 25
matin 11 heures matin (Exp..) (B),
2h. 30 soir; ll h. 40 soir;
Bordeaux. - 5 h. 3 m. matin (Exp..)
(I), fi h. 25 m, matin il h. malin
2 heure. 30 m. soir; Il
(E m(ii),
Ihf 60 parts pour tarisparBordeaox.-
7 h, mafia ; 6 h, 3 soir ; 11 h. 50
soir.
A10 an Mirande. - 6 h. 25 m. ; 2
h. 30 soir.
Bains. t 6 h. 25 m. matin ; Il h.
matin (Exor) (B); 2 h. 30 m. soir.
Arcacl,m,. - b Ji. 3m. mata,, (nxpr.)
(f) ; 0 h. 25 m. mafia Il h. matin
(expr.) (B).
Custulnandaev, Carcassonne. - 19 h.
matin (1) (erre.); 5 h. 55 ai. matin;
G In 1:t matin; 1Ô b. matin; 2 h. soir;
)expr.) (D) ; 4 h. soir G h. 40 soir.
Nnrbmme, Délier.. - 12 h. 5 m,
morio (Expr.) (1); 3 h. 35 m, matin
6 h. 16 m. u ha ; 10 h. mati. 2
sain (espr,) (B) 4 h. aair.
Aide . - 3 h. 35 m. mati. 6 h,
15 (as m, matin ; 10 h, matie i h, loir
pr.) (B), 4h a ir.
Cette. - 12 h. 5 m. .,lie (,.p,.)
(1), 5 h, 35 m. matin 6 h 15 m.
utie; 10 h, mati. ; 2h. soir (expr.)
(D), 4 h, soir.
Rlnn o. , n, - 12 L, 95 m. mafia ; 5
h. '1lJ m. mcatin ; 9 L. 20 Un. matin.
1f h. 10 mutin(espr,) (A), 2 h. 10 soir ;
tl h, 50 ...ai,.
Ln lie.. - 12 h. 25 -1 in ; 5 h, 20
m. ; !1 h, 90 m, ; 11 h. 20 m. (D'a P-)
(Al ; 2 h. 10 noir,
Partais. -12 h. 25 matin ; 5 h. 20 m.;
1t h. 10. (Exil.) (A) ; 2 h. 10 aaie.
Lnnrdes, > Puu, Pierrefilte. - l I; 10
nlal;rr ; 11 11. III matin (A) ; `â
h. 10 soir.
Dayoane, Dal- - 12 h, 25 matin ; 5
h. 20 asti. a1 h. ID matin (Exp,)
(A),
`u r uwn le, son,
= 1 û ` ::: â â'
rénrlr .. û.oi ; àâ, emoô vvme
aef