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LOS PAJAROS PERDIDOS...<br />
(Les couples qui se sont perdus ...)<br />
Chanson argentine<br />
Musique <strong>de</strong> Astor Piazzolla<br />
Paroles <strong>de</strong> Mario Trejo<br />
Adaptation française : <strong>Alain</strong> <strong>de</strong> <strong>Caro</strong><br />
J’aime ces oiseaux venus <strong>de</strong> la mer, au loin...<br />
Cherchant leur chemin au petit matin...<br />
En se confondant avec un ciel<br />
Que plus jamais je ne reverrai...<br />
Tant <strong>de</strong> moments d’amour me reviennent<br />
Dans lesquels tout mon être j’ai donné...<br />
Ce ne fut donc qu’un rêve...<br />
Et nous l’avons perdu...<br />
Un rêve fragile et si court...<br />
J’ai voulu si souvent te retrouver<br />
En quelqu’un d’autre..<br />
Toujours ce ne fut qu’illusion déçue...<br />
Un adieu est un adieu...<br />
Mais mon amour, trop fort, ne peut l’admettre...<br />
La solitu<strong>de</strong> m’a rattrapé...<br />
Après le bonheur d’avoir été <strong>de</strong>ux...<br />
Ces oiseaux <strong>de</strong> nuit qui volent, aveugles, sur la mer...<br />
La nuit entière...<br />
Me renvoient à ma triste image...<br />
Moi-même ne suis qu’un oiseau perdu<br />
A la recherche <strong>de</strong> quelque chose qui n’est plus...<br />
DICITENCELLO VUJE<br />
(Dis-lui encore une fois que je l’aime)<br />
Chanson napolitaine<br />
Compositeur : Rodolfo Falvo<br />
Paroles : Enzo Fusco<br />
Toi qui part avec lui...<br />
Dis-lui combien j’en ai perdu le sommeil...<br />
Comment pourrais-je cesser <strong>de</strong> penser à lui...<br />
Lui qui était toute ma vie...<br />
Si seulement je pouvais le lui dire<br />
encore une fois que je l’aime<br />
et que je ne l’oublierai jamais...<br />
Mais il semble déjà trop tard...<br />
Regar<strong>de</strong> comme mon âme torturée<br />
me rend la vie douloureuse...<br />
Tu me regar<strong>de</strong>s <strong>de</strong> tes yeux tristes...<br />
Je t’en supplie...<br />
Dis-moi la vérité...<br />
BALADA PARA UN LOCO<br />
(Bala<strong>de</strong> pour un fou)<br />
Musique <strong>de</strong> Astor Piazzolla<br />
Paroles <strong>de</strong> Horacio Ferrer<br />
Je la vois arriver par la petite impasse...<br />
Comme chaque jour...<br />
Toujours la même...<br />
Soudain, je me présente...<br />
Pieds nus, les lignes <strong>de</strong> la chemise<br />
<strong>de</strong>ssinées sur la peau...<br />
Un vieux chapeau sur la tête...<br />
Elle seule le remarque...<br />
Je lui dis :<br />
«Je sais que je suis fou... fou... fou...<br />
Ne vois-tu pas cette lune éclairant notre rue...<br />
Et les enfants qui valsent et dansent<br />
autour <strong>de</strong> nous...<br />
Alors, viens... Danse... Vole... !<br />
Je sais que je suis fou... fou... fou...<br />
De ma cachette, je t’ai vu pourtant si triste...<br />
Danse avec moi...<br />
Viens... Vole... Partage avec moi...<br />
Ce caprice nouveau si fou...<br />
Fou... Fou... Fou... !<br />
Je te sais si seule...<br />
Jusqu’au pied <strong>de</strong> ton lit je me hisserai...<br />
Seulement avec un poème pour réveiller ton cœur...<br />
Fou... Fou... Fou... !<br />
Peut-être en découvrant ton sein,<br />
Je sentirais ton cœur et ton corps cette fois<br />
ivre <strong>de</strong> liberté...<br />
Bravo pour les fous qui ont inventé l’amour...<br />
Chante tout l’hôpital...<br />
Les mala<strong>de</strong>s qui sortent sont soudain beaux...<br />
Ils nous saluent...<br />
Mon rire dément leur répond...<br />
Et puis, je te regar<strong>de</strong>... Et je change à mi-voix...<br />
Aime moi, comme cela... Si fou... Si fou... Si fou...<br />
Viens vers un amour...<br />
Que nous allons inventer...<br />
Viens avec moi... Danse avec moi... »<br />
La la la la.........<br />
Fou <strong>de</strong> toi... Folle <strong>de</strong> moi...<br />
Fous tous les <strong>de</strong>ux...