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Plasma de Quinton.pdf - Aleage

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1<br />

Le <strong>Plasma</strong> marin<br />

La théorie scientifique est introduit par Louis-Charles Malassez (1842-1909 France) hématologue. Il détermine que la<br />

concentration en minéraux idéale pour l’injection est <strong>de</strong> 9 g/l. Plus tard, le nom <strong>de</strong> cette concentration <strong>de</strong>vient « sérum<br />

physiologique ».<br />

Georges Hayem (1847-1933 France) qui, pour combattre la déshydratation durant les épidémies <strong>de</strong> choléra, pratique <strong>de</strong>s injections<br />

<strong>de</strong> solutions salines synthétiques, préparées à partir <strong>de</strong> sel <strong>de</strong> mer commun, additionné <strong>de</strong> sulfate <strong>de</strong> sodium, à la concentration <strong>de</strong><br />

15g/l. Le soluté <strong>de</strong> Hayem est le premier soluté injectable inscrit à la Pharmacopée française avec celui <strong>de</strong> sodium et <strong>de</strong><br />

gélatine (1908)<br />

C’est Archibald Byron Macallum (1858-1934 Canada) éminent biochimiste et physiologiste qui émet pour la première fois<br />

en 1903 dans ‘On the Inorganic Composition of the Medusae, Aurelia flavidula and Cyanea artica », la théorie selon laquelle la<br />

composition minérale du sang <strong>de</strong>s êtres vivants reflète celle <strong>de</strong>s anciens océans.<br />

Il reprend cette théorie à nouveau en 1904 dans « The Paleocheistry of the ocean » puis en 1926 dans « The Paleochemistry of<br />

the Body Fluids and Tissues ».<br />

René <strong>Quinton</strong>, chercheur français (1866-1925) a le mérite d’avoir associé la théorie du canadien Macallum au savoir <strong>de</strong> la<br />

concentration isotonique <strong>de</strong> Malassez. Il prouve expérimentalement la similitu<strong>de</strong> entre la concentration isotonique <strong>de</strong> l'eau<br />

<strong>de</strong> mer à déconcentration minérale et le plasma sanguin <strong>de</strong>s êtres.<br />

En 1904 René <strong>Quinton</strong> publie son œuvre majeure<br />

« L’eau <strong>de</strong> Mer » - « Milieu Organique »<br />

Dans cet ouvrage il démontre comme examinateur <strong>de</strong>ux choses :<br />

Premièrement :<br />

- « le milieu organique » <strong>de</strong>s êtres se divise en quatre grands départements. (le milieu vital, la matière vivante, la matière non<br />

immédiatement vivante, la matière d’excrétion)<br />

Deuxièmement :<br />

- « la constance du milieu marin originel » est comme le milieu vital <strong>de</strong>s cellules.<br />

René <strong>Quinton</strong> décrit ses observations par la métaphore suivante :<br />

« Tout organisme animal est un véritable aquarium marin où continuent à vivre,<br />

dans les conditions aquatiques <strong>de</strong>s origines, les cellules qui le constituent. »<br />

Les travaux <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong>, visionnaire <strong>de</strong> son temps, ceux <strong>de</strong> ses collaborateurs et les travaux <strong>de</strong>s membres du corps médical<br />

actuel confirment l’i<strong>de</strong>ntité physique et physiologique entre l’eau <strong>de</strong> mer isotonique (9‰ <strong>de</strong> salinité) et le Liqui<strong>de</strong> Intérieur <strong>de</strong><br />

l’organisme vivant.<br />

Les données scientifiques objectivées par les appareils mo<strong>de</strong>rnes démontrent que ce plasma marin est un excellent complément<br />

en minéral total pour régénérer le milieu vital appauvri ou souillé.<br />

Bien entendu si les paramètres <strong>de</strong> qualité <strong>de</strong>s produits finis sont respectés.<br />

Aujourd’hui nous écrivons fin 2010.<br />

Abordons le cœur du sujet :<br />

« l’eau <strong>de</strong> mer sous une forme hypertonique ou isotonique va entretenir ou rétablir notre santé<br />

si la qualité <strong>de</strong> la solution marine en produit fini est absolument irréprochable.<br />

Différents laboratoires commercialisent <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer sous une forme hypertonique ou isotonique. L’intérêt du consommateur est<br />

<strong>de</strong> choisir la meilleure.<br />

Une gran<strong>de</strong> question : Quels critères <strong>de</strong> qualité objectifs et scientifiques <strong>de</strong>vons-nous prendre en considération ?<br />

Quels sont les paramètres <strong>de</strong> qualité et <strong>de</strong> sécurité<br />

<strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer en produit fini<br />

1. l’eau <strong>de</strong> mer doit complètement être dépourvue <strong>de</strong> micro-organismes vivants, peu importe leur nature (être<br />

stérile)<br />

2. le niveau <strong>de</strong>s endotoxines doit rester en <strong>de</strong>ssous du seuil <strong>de</strong> 5 unités par ml par kg du poids du corps à l’heure<br />

3. la solution administrée par injection (interdite en Europe et au Canada) doit être isotonique pour assurer<br />

l’osmose cellulaire<br />

Quand le consommateur, un client, un patient se sert <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer hyper ou iso, c’est parce qu’il envisage une amélioration <strong>de</strong><br />

sa condition « santé ». Il est donc absolument nécessaire <strong>de</strong> connaître les normes auxquelles doivent correspondre ces produits<br />

commercialisés. Choisissons <strong>de</strong>s solutions marines qui méritent la confiance, qui méritent d’être indiquées comme produit<br />

irréprochable.


Pour l’eau <strong>de</strong> mer, si une analyse micro-biologique à zéro colonies <strong>de</strong> germes (l’ensemble <strong>de</strong>s bactéries, <strong>de</strong> levures et <strong>de</strong><br />

moisissures) indique la stérilité <strong>de</strong> la substance, elle n’est dans aucun cas preuve <strong>de</strong> non contamination par les toxines<br />

dégagées par les bactéries mortes (<strong>de</strong>s endotoxines).<br />

Le premier paramètre <strong>de</strong> haute qualité pour l’eau <strong>de</strong> mer commercialisée doit rester la stérilité à 100%.<br />

Référons-nous au livre <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong><br />

2<br />

« L'EAU DE MER » – « MILIEU ORGANIQUE »<br />

René <strong>Quinton</strong> lui-même écrit : « La stérilisation <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer est d’une importance capitale ».<br />

Au « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » en Espagne, pour obtenir la forme isotonique <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer, une eau <strong>de</strong> source<br />

dilue l’eau <strong>de</strong> mer brute.<br />

Pour « <strong>Quinton</strong>-America Inc. » les dirigeants exigent une eau pour préparations pharmaceutiques (injectable).<br />

Un produit uniquement <strong>de</strong> qualité buvable peut contenir 1000 à 3000 colonies <strong>de</strong> germes par ml selon le pays. En France<br />

c’est 3000. Même une colonie se développe.<br />

Si une solution contient <strong>de</strong>s bactéries, nous sommes toujours exposés au danger d’une contamination bactérienne et<br />

d’une contamination par <strong>de</strong>s endotoxines. Et dire qu'il y a <strong>de</strong>s professionnels <strong>de</strong> la santé qui utilisent cette forme buvable<br />

pour <strong>de</strong>s soins par pieuvres, <strong>de</strong>s rinçages <strong>de</strong> cavités <strong>de</strong>ntaires ou irrigation du colon.<br />

Ce serait <strong>de</strong> notre part un manque d’éthique professionnelle <strong>de</strong> laisser le public ignorant du <strong>de</strong>uxième paramètre auquel une<br />

solution marine, digne d’être nommée irréprochable, doit correspondre pour préserver la santé humaine et animale.<br />

Nous allons vous informer du taux <strong>de</strong>s endotoxines. Elles sont un danger réel si leur présence dans <strong>de</strong>s solutions marines<br />

chauffées ou non chauffées est au <strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> 5 unités par ml.<br />

René <strong>Quinton</strong> au cours <strong>de</strong> sa courte pratique <strong>de</strong> 8 ans a toujours travaillé en injection. Voici ce qu’il écrit :<br />

« En définitive, le plasma marin est injecté. L'injection est suivie d'une réaction qui dure environ douze heures. A un moment<br />

variable le mala<strong>de</strong> est pris <strong>de</strong> frissons, souvent très violents, la température s'élève sans discontinuer pendant 4 ou 5 heures,<br />

quelques maux <strong>de</strong> cœur. Vingt quatre heures après l'injection, le mala<strong>de</strong> est trouvé généralement abattu, tant <strong>de</strong> la crise qui vient<br />

<strong>de</strong> se produire, que <strong>de</strong> l'insomnie partielle qu'elle a déterminée. Au plus tard le <strong>de</strong>uxième jour une amélioration se distingue, on<br />

assiste à une véritable résurrection du mala<strong>de</strong>. Le cinquième jour un état d'abattement occupe <strong>de</strong> nouveau la scène. La secon<strong>de</strong><br />

injection est alors pratiquée. Le cycle <strong>de</strong>s effets décrits se déroule à nouveau avec relèvement plus marqué. Les injections<br />

s'espacent ainsi naturellement <strong>de</strong> 5,6,7,8 jours selon la durée du bénéfice obtenu ».<br />

Aujourd'hui la raison <strong>de</strong> ces réactions au produit injecté et même en buvable est connue.<br />

C'était et c'est un problème d'endotoxines, <strong>de</strong> toxines qui se propagent quand les bactéries mortes se décomposent.<br />

L'étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s endotoxines remonte à 60 ans environ. Monsieur René <strong>Quinton</strong> et le Dr. Jean Jarricot, le partenaire dans la recherche<br />

et dans la pratique <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong>, ne connaissaient pas encore ce phénomène.<br />

La métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> recherche <strong>de</strong> pyrogènes éventuels présents dans <strong>de</strong>s produits finis a été introduite en France avec le Co<strong>de</strong>x <strong>de</strong><br />

1949 et elle est toujours pratiquée associée à d’autres techniques.<br />

A partir <strong>de</strong> la présence <strong>de</strong> 5 unité internationales d'endotoxines par ml par kg du poids du corps à l'heure, elles<br />

<strong>de</strong>viennent très cyto-toxiques provoquant à court terme un coup <strong>de</strong> froid, <strong>de</strong> la fièvre, une chute possible <strong>de</strong> la pression<br />

artérielle, <strong>de</strong>s douleurs diffuses, <strong>de</strong>s difficultés respiratoires, <strong>de</strong> l'arythmie cardiaque, <strong>de</strong> l'inflammation et le mauvais<br />

fonctionnement <strong>de</strong> nombreux organes.<br />

Voici un exemple : en administrant à une personne pesant 65 kg, une bouteille <strong>de</strong> 250 ml d’eau <strong>de</strong> mer isotonique où il se trouve<br />

6,5 unité d'endotoxines par ml, celle-ci reçoit en tout 1625 unités à l'heure ou 25 unité par kg <strong>de</strong> son poids à l'heure. Ce taux est<br />

hors <strong>de</strong> la limite maximale <strong>de</strong> 5 unités admissibles.<br />

La tolérance aux endotoxines à long terme n'est pas assez connue, les scientifiques sont encore en recherche. Mais la possibilité<br />

<strong>de</strong>s dommages à long terme se manifeste dans la défaillance et <strong>de</strong>s lésions <strong>de</strong> différents organes qui peuvent tuer le sujet en fin<br />

<strong>de</strong> course.<br />

C’est peut-être par intuition que René <strong>Quinton</strong> a écrit :<br />

« L'action thérapeutique <strong>de</strong> l'eau <strong>de</strong> mer est flagrante.<br />

Des expériences ultérieures <strong>de</strong>vront la mesurer et la spécifier.<br />

Il est possible que dans certaines affections cette action soit souveraine.<br />

Il est possible que dans d'autres, elle soit complètement néfaste ».<br />

René <strong>Quinton</strong> ne comprenait pas à son époque le pourquoi <strong>de</strong>s réactions infortunes par plusieurs <strong>de</strong> ses patients, injectés au<br />

« <strong>Plasma</strong> <strong>de</strong> <strong>Quinton</strong> ». La <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong>s sujets traités par le Dr. Jean Jarricot laisse penser aux endotoxines.<br />

Bien que la réglementation existante n'impose aucune limite sur le niveau d'endotoxines dans les solutions buvables, les<br />

sources scientifiques affirment qu'elles sont aussi nuisibles par voie orale que par injection.<br />

On peut avoir un <strong>Plasma</strong> Marin stérile micro-biologiquement mais qui est pyrogène, qui contient beaucoup d’endotoxines.<br />

La stérilisation thermique, qui rend la composition <strong>de</strong> la solution marine à 100% stérile, n’élimine pas complètement le<br />

problème <strong>de</strong>s endotoxines. Ce procédé nécessite beaucoup <strong>de</strong> savoir-faire et un équipement <strong>de</strong> très haut niveau.


Nous répétons la norme, une solution marine est irréprochable quand le taux <strong>de</strong>s endotoxines est en <strong>de</strong>ssous <strong>de</strong> 5 unités par ml.<br />

Les solutions BiOcean ® en contiennent au maximum entre 0.5 et 1.5 par ml. Elles sont totalement sécuritaires. Toutes nos<br />

affirmations sont appuyées par <strong>de</strong>s analyses officielles.<br />

Les autres laboratoires diffusent seulement <strong>de</strong>s analyses micro-biologiques ce qui n’assure en rien la non toxicité <strong>de</strong> leurs produits<br />

commercialisés. Malgré l’avertissement <strong>de</strong>s rapports alarmants <strong>de</strong>s contre analyses sur le contenu en endotoxines <strong>de</strong>s <strong>Plasma</strong>s<br />

Marins et <strong>de</strong>s solutions hypertoniques, la commercialisation <strong>de</strong> ces produits continue.<br />

En France, en Suisse, en Italie, aux Etats Unis, au Canada il y a <strong>de</strong>s personnes qui ont été traitées avec <strong>de</strong>s produits fabriqués en<br />

Europe du Sud. Elles ont été contaminées par <strong>de</strong>s endotoxines, quelques-unes d’entre elles sont encore mala<strong>de</strong>s. Les maux <strong>de</strong><br />

dos sont partis mais d’autres symptômes graves comme une tension oculaire, un dysfonctionnement cardiaque, <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong><br />

vessie, une extrême fatigue, ont du mal à être soignés.<br />

Concernant ces symptômes, ces choses n’ont rien à voir avec une réaction <strong>de</strong> guérison. Ceux qui le préten<strong>de</strong>nt ignorent<br />

l’existence <strong>de</strong>s problèmes majeurs <strong>de</strong> l’activité <strong>de</strong>s endotoxines dans l’organisme suite à l’administration d’un produit<br />

pyrogène.<br />

Sachons, lorsque les symptômes visibles sont causés par les endotoxines, que l’action néfaste <strong>de</strong>s endotoxines sur les organes<br />

majeurs persiste quelques semaines ou quelques mois ou même plusieurs années selon le niveau <strong>de</strong> toxicité en endotoxines du<br />

produit utilisé. L’analyse sanguine confirme la présence <strong>de</strong>s endotoxines par la réaction du système immunitaire avec la monté en<br />

flèche <strong>de</strong> globules blancs.<br />

Malheureusement, le corps médical en Europe semble sous-estimer ce problème et n’effectue pas les analyses nécessaires dans<br />

<strong>de</strong> nombreuses pathologies qui sont en fait reliées à ce problème d’endotoxines. Ces cas sont en fait très nombreux en France en<br />

particulier.<br />

De plus :<br />

La solution marine administrée en injection doit être isotonique avec une marge d’osmolarité qui doit se situer dans <strong>de</strong>s<br />

limites relativement étroites (entre 285-300 mol par litre). Si ce n’est pas le cas il existe un danger pour les cellules, elles<br />

peuvent éclater. Pour cela la forme hypertonique <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer ne peut pas être injectée. De toute façon, les injections<br />

sont interdites en Europe et au Canada.<br />

Si vous êtes intéressés par la rétrospective historique <strong>de</strong>s laboratoires fabriquant « du <strong>Quinton</strong> » :<br />

A partir <strong>de</strong> 1905, dans les villes majeures <strong>de</strong> France, plusieurs « Dispensaire Marin » voient le jour. Ces établissements sont<br />

gérés par la famille <strong>Quinton</strong>.<br />

Le Dr. Jean Jarricot, le beau-frère <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong>, gère celui <strong>de</strong> Lyon.<br />

René <strong>Quinton</strong> fon<strong>de</strong> « Laboratoires <strong>Quinton</strong> » pour exploiter ses expériences à <strong>de</strong>s fins commerciales. Le laboratoire<br />

fabricant se situe à Paris.<br />

René <strong>Quinton</strong> utilise son plasma marin exclusivement en injections.<br />

Le nom « <strong>Plasma</strong> <strong>de</strong> <strong>Quinton</strong> » est déposé en 1907.<br />

Entre 1925 l'année du décès <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong> et 1964 tout est administré par Madame Jeanne-Marie Guillot, veuve <strong>de</strong> René<br />

<strong>Quinton</strong> et leur fille mariée Madame Monod. « Produits Biologiques Carrion », l’établissement fabricant, mentionne dans sa<br />

publicité en 1932 « eau <strong>de</strong> mer stérilisée sans ébullition ».<br />

En 1937 le « <strong>Plasma</strong> <strong>de</strong> <strong>Quinton</strong> » apparaît dans le VIDAL.<br />

En octobre 1956 et en janvier 1957 l’Institut National <strong>de</strong> la Propriété Industrielle enregistre respectivement la<br />

dénomination « <strong>Quinton</strong> et <strong>Plasma</strong> » sous le n° 79882 , « <strong>Plasma</strong> <strong>Quinton</strong> » sous le n° 83417.<br />

La même instance atteste qu’aucun brevet, protocole ou procédé original n’ont été i<strong>de</strong>ntifiés au nom <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong>.<br />

En 1960 « Laboratoires <strong>Quinton</strong> » est transféré <strong>de</strong> Paris à Pessac tout près <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux où l'établissement « Dispensaire Marin »<br />

<strong>de</strong> la famille <strong>Quinton</strong> est implanté. Dans la même année, à Paris se constitue une « Association René <strong>Quinton</strong> » pour défendre la<br />

mémoire du célèbre chercheur.<br />

A partir <strong>de</strong> 1964 Madame Monod gère toute seule jusqu'en 1970 où elle cè<strong>de</strong> la totalité <strong>de</strong> ses droits à sa fille mariée Madame<br />

Schneiter-Monod-<strong>Quinton</strong>, unique petite fille <strong>de</strong> René <strong>Quinton</strong>.<br />

Dans la même année les nouveaux Visas apparaissent dans le VIDAL.<br />

« <strong>Plasma</strong> <strong>de</strong> <strong>Quinton</strong> » n° NL.5735 ; « Duplase <strong>de</strong> Quin ton » n° NL. 5736.<br />

En 1973 les Visas se transforment en AMM, la réglementation <strong>de</strong>vient plus stricte.<br />

En 1975 Monsieur René Anrep, prend le contrôle <strong>de</strong> l'ensemble et installe « Laboratoire <strong>Quinton</strong> » à Montoire, au centre <strong>de</strong><br />

la France.<br />

Au cours <strong>de</strong> l'année 1979 la notation sur les ampoules change, « <strong>Quinton</strong> Buvable » au lieu <strong>de</strong> « <strong>Quinton</strong> Injectable »<br />

Tout produit mentionné dans le VIDAL qui ne correspond plus aux nouvelles normes i<strong>de</strong>ntifiant la préparation, la<br />

conservation et la présentation <strong>de</strong>s médicaments perd la notation AMM. En France la recherche <strong>de</strong> pyrogènes<br />

3


(endotoxines) sur les produits finis est officialisée avec le Co<strong>de</strong>x <strong>de</strong> 1949,elle se pratique encore aujourd’hui associé à<br />

d’autres techniques.<br />

En 1981 le laboratoire géré par Monsieur Anrep éprouve <strong>de</strong>s difficultés financières.<br />

Moins <strong>de</strong> vente. Il dépose le bilan.<br />

Entre 1982 et 1989 le bâtiment du laboratoire reste dormant, il n’y a plus <strong>de</strong> fabrication d’ampoules. Les autres laboratoires<br />

produisent encore.<br />

En mai 1989 Monsieur Pierre Roux achète le fonds <strong>de</strong> commerce <strong>de</strong>s « Laboratoires <strong>Quinton</strong> » à la veuve <strong>de</strong> Monsieur<br />

René Anrep.<br />

La société opère sous le nom « Laboratoires <strong>Quinton</strong> - Océan Thérapie ». Le laboratoire « Biophélia » assure la fabrication<br />

<strong>de</strong>s ampoules, micro-filtration à froid, échauffement par tyndallisation.<br />

Dans cette même année Madame Biss, aujourd’hui avec son mari, propriétaire <strong>de</strong> « <strong>Quinton</strong>-America Inc. », achète pour la<br />

première fois les préparations <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer à Monsieur Roux pour utilisation dans sa clinique d’homéopathie au Canada. A cette<br />

époque la société <strong>de</strong> Monsieur et Madame Biss s’appelle « CMH Saguenay ».<br />

La société « Medis Coll CB » gérée par Monsieur Joan Miguel Coll-Bouisset est pour « Océan Thérapie » le distributeur en<br />

Espagne.<br />

Au cours <strong>de</strong> 1996 la société « Laboratoires <strong>Quinton</strong> - Océan Thérapie » fait faillite.<br />

Avant le dépôt inévitable du bilan, Monsieur Joan Miguel Coll-Bouisset <strong>de</strong> la société « Medis Coll CB » déci<strong>de</strong> la création<br />

d’un établissement « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » à Alicante en Espagne. Nous écrivons avril 1996. Monsieur<br />

Roux accepte. Le stock <strong>de</strong>s ampoules part à Alicante, le lieu <strong>de</strong> rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> Monsieur Miguel Coll.<br />

Malgré la vente <strong>de</strong> ce stock, la nouvelle société « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » finit l'année 1996 avec une<br />

perte. En octobre 1997 les bureaux <strong>Quinton</strong> Espagne s’installent à Carretera Almoradi, Rojales km 1. Nave 4, Almoradi,<br />

l’endroit où les installations du laboratoire se construisent.<br />

Pendant la construction du laboratoire en Espagne le laboratoire pharmaceutique français continue à assurer la<br />

production intermédiaire jusqu'en juin 1998. Comme déjà indiqué, ce laboratoire filtre à froid à 0.22µ avant remplissage,<br />

l'eau <strong>de</strong> mer subit une tyndallisation après remplissage et avant le conditionnement.<br />

En juillet 1998, le laboratoire « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » commence à produire <strong>de</strong>s solutions marines<br />

conditionnées en ampoule <strong>de</strong> 10 ml et en bouteille <strong>de</strong> 1000 ml. L’eau <strong>de</strong> mer commercialisée est uniquement rendue stérile par<br />

micro-filtration à froid à 0.22µ.<br />

La direction est bicéphale, assumée par Mr. J.M. Coll et Mr. P. Roux.<br />

En mai 1998 les dirigeants au Canada font la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’enregistrement <strong>de</strong> la marque « <strong>Quinton</strong> » pour le Canada. Après bien<br />

<strong>de</strong>s turbulences, ils obtiennent le nom en juin 2006.<br />

La société « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » connaît en plus <strong>de</strong> leurs problèmes financiers, dès fin 1998 le<br />

problème <strong>de</strong> qualité micro-biologique <strong>de</strong>s préparations. Cela est constaté par « CMH Saguenay » qui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> résoudre le<br />

problème en respectant la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> fabrication utilisée pendant la gérance <strong>de</strong> Mr. Roux (celle utilisée par le laboratoire fabricant<br />

« Biophélia »). L’eau <strong>de</strong> mer traitée et conditionnée par ce laboratoire n’a jamais donné <strong>de</strong> difficultés <strong>de</strong> propreté.<br />

En octobre 1999 la société « CMH Saguenay » change son nom en « <strong>Quinton</strong>-America Inc. ».<br />

Au cours <strong>de</strong> l’année 2000 <strong>de</strong>s difficultés d’entente entre les <strong>de</strong>ux gestionnaires (Mr. Coll et Mr. Roux) s’installent.<br />

La société « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » frôle la faillite, ne survit par <strong>de</strong>s mensualités d’un important client.<br />

A partir <strong>de</strong> 2001 la société canadienne « <strong>Quinton</strong>-Amerca Inc. » vole <strong>de</strong> ses propres ailes. Impossible pour eux <strong>de</strong> continuer leur<br />

travail clinique avec une eau non stérile. La société espagnole leur cesse toute livraison à partir <strong>de</strong> novembre 2000.<br />

En mai 2004 la société « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » fait la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’enregistrement du nom <strong>de</strong> la marque<br />

« <strong>Quinton</strong> » pour les Etats Unis. Le tra<strong>de</strong>mark office accepte le nom le 1 ier juillet 2008.<br />

Depuis il existe <strong>de</strong>ux entités qui ont une appellation « <strong>Quinton</strong> ».<br />

Une chose très importante :<br />

- il n’existe aucune dépôt <strong>de</strong> brevet ou <strong>de</strong> procédé <strong>Quinton</strong>, ni <strong>de</strong> protocole original pour la fabrication d’un <strong>Plasma</strong><br />

Marin<br />

- il existe seulement <strong>de</strong>s enregistrements du nom « <strong>Quinton</strong> » comme nom <strong>de</strong> marque<br />

• en Europe et aux Etats Unis pour « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International » (situés en Espagne<br />

• au Canada pour « <strong>Quinton</strong>-America » (Biocean ® est le nom <strong>de</strong> leur marque déposée en Europe et aux<br />

Etats Unis)<br />

- il n’existe qu’une seule façon <strong>de</strong> prélever l’eau <strong>de</strong> mer<br />

- il existe selon le laboratoire différentes métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> fabrication et <strong>de</strong> conditionnement<br />

- <strong>de</strong>puis 1982 il n’existe aucun <strong>Plasma</strong> Marin enregistré comme injectable<br />

4


Vous pouvez aussi tout apprendre sur les sujets suivants :<br />

5<br />

Où et comment prélève-t-on l’eau <strong>de</strong> mer<br />

L’eau <strong>de</strong> mer est collectée sur la côte bretonne à marée haute dans les courants marins très oxygénés. C’est un moment <strong>de</strong><br />

dynamisation extraordinaire et parfaitement connu. C’est la Compagnie Malouine <strong>de</strong> Navigation « O<strong>de</strong>mer » en France qui prélève<br />

pour différents laboratoires.<br />

Une fois recueillie, l’eau <strong>de</strong> mer brute subit dans l’atelier <strong>de</strong> traitement sur la côte une filtration à froid à 0.22µ. Avec cette opération<br />

l’eau <strong>de</strong> mer naturelle hypertonique a un taux <strong>de</strong> carbone organique total qui tourne autour <strong>de</strong> 1 mg/l. C’est la forme active du prébiotique.<br />

Après ce traitement <strong>de</strong> micro-filtration à froid, l’eau <strong>de</strong> mer est acheminée en véhicule iso-thermique en moins <strong>de</strong> 48 heures<br />

jusqu’aux laboratoires <strong>de</strong> fabrication.<br />

Où produit-on <strong>de</strong>s solutions marines<br />

Selon la marque commercialisée, la production <strong>de</strong>s solutions marines se fait dans différents laboratoires.<br />

Pour « <strong>Quinton</strong>-America Inc » <strong>de</strong>s laboratoires pharmaceutiques certifiés GMP contrôlent la totalité du procédé. Les ampoules sont<br />

fabriquées en France et les bouteilles en Belgique.<br />

Pour « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » en Espagne l’eau <strong>de</strong> mer est traitée dans leurs installations implantées à Almoradi<br />

avec l’autorisation NCF <strong>de</strong> l’état espagnol.<br />

Comment produit-on <strong>de</strong>s solutions marines<br />

Lors la production <strong>de</strong>s solutions marines BiOcean ® , qui est le nom <strong>de</strong> la marque européenne <strong>de</strong> la société « <strong>Quinton</strong>-America<br />

Inc. » au Canada, les laboratoires fabricants évaluent la qualité micro-biologique <strong>de</strong> plusieurs échantillons à <strong>de</strong>s étapes critiques.<br />

Le résultat <strong>de</strong> ces analyses a ses conséquences sur le taux <strong>de</strong>s endotoxines. Les endotoxines sont <strong>de</strong>s bactéries mortes ou<br />

<strong>de</strong>s fragments <strong>de</strong> bactéries mortes. La toxicité <strong>de</strong> ces toxines, qui se propagent quand les bactéries mortes se<br />

décomposent dans la solution en produit fini, est aussi néfaste ou même plus que la toxicité <strong>de</strong>s bactéries vivantes.<br />

Les solutions BiOcean ® sont micro-filtrées à froid à 0.22µ. Malgré la croyance populaire, l’usage <strong>de</strong> la stérilisation<br />

thermique, qui rend la substance marine stérile, n’affecte en rien la partie minérale active présente dans l’eau <strong>de</strong> mer. Le<br />

traitement thermique sans ébullition n’a aucune influence sur l’effet thérapeutique <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer. Le procédé <strong>de</strong> la<br />

stérilisation thermique est le fruit d’une longue séries <strong>de</strong> recherches menées par les dirigeants <strong>de</strong> « <strong>Quinton</strong>-America Inc.» et ceux<br />

<strong>de</strong>s laboratoires pharmaceutiques fabricants. Cet élément fait l’objet d’une entente confi<strong>de</strong>ntielle entre les <strong>de</strong>ux parties. Il nécessite<br />

beaucoup <strong>de</strong> savoir-faire ainsi qu’un équipement <strong>de</strong> très haut niveau.<br />

La société « Laboratoires <strong>Quinton</strong> International S.A. » en Espagne affirme par leurs dépliants publicitaires : « les produits <strong>de</strong> la<br />

gamme <strong>Quinton</strong> International sont composés d’eau <strong>de</strong> mer naturelle rendue stérile par micro-filtration à froid ».<br />

Aucune Pharmacopée ni en Europe, ni en Amérique ne reconnaît la micro-filtration à froid à 0.22µ comme suffisant pour<br />

assurer la stérilité absolue d’un produit naturel ou médicamenteux. Ce procédé rend la solution uniquement <strong>de</strong> qualité<br />

buvable. Selon la législation elle peut, selon le pays, contenir jusqu’à 3000 colonies <strong>de</strong> germes (bactéries, levures et moisissures)<br />

par ml.<br />

Quelle est la différence entre la forme hyper-et isotonique <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer<br />

Isotonic<br />

- 9 ‰ <strong>de</strong> sels minéraux<br />

- idéal pour soigner eczéma, psoriasis<br />

- efficace dans les soins gériatriques<br />

- renforce le système immunitaire<br />

Ni d’incompatibilité, ni d’effet secondaire, ni <strong>de</strong> contre indications si le produit correspond à une qualité irréprochable.<br />

Hypertonic<br />

- 33 ‰ <strong>de</strong> sels minéraux<br />

- idéal dans les cas d’épuisement, troubles <strong>de</strong> croissance<br />

- efficace dans les soins <strong>de</strong> convalescence<br />

- renforce la masse osseuse<br />

Effets secondaires<br />

- en cas <strong>de</strong> tension artérielle, d’affaiblissement du cœur, <strong>de</strong> problèmes rénaux, <strong>de</strong> graves problèmes <strong>de</strong> peau ;<br />

- en cas <strong>de</strong> non propreté <strong>de</strong> la substance.<br />

Quelles sont les caractéristiques <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer brute<br />

L’eau <strong>de</strong> mer brute, sans traitement, contient<br />

- 96.5% d’eau pure<br />

- passablement <strong>de</strong>s bactéries, 20.000 espèces différentes par ml


6<br />

- une petite quantité <strong>de</strong> molécules organiques inégalement reparties dans différentes zones <strong>de</strong> l’océan<br />

- très majoritairement (3.3%) <strong>de</strong>s sels minéraux sous forme ionique.<br />

Les pré-biotiques sont-ils d’une importance significative<br />

pour l’effet thérapeutique <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer<br />

Les pré-biotiques sont <strong>de</strong>s molécules organiques, généralement <strong>de</strong>s mono- ou polysacchari<strong>de</strong>s constitués d’enchaînements <strong>de</strong><br />

plusieurs unités <strong>de</strong> sucres. Ils échappent à la digestion dans l’intestin et agissent comme substance chimique sur laquelle agissent<br />

spécifiquement les enzymes. Cependant, toutes les molécules organiques présentes dans l’eau <strong>de</strong> mer ne sont pas <strong>de</strong>s prébiotiques.<br />

La présence quantitative <strong>de</strong>s pré-biotiques dans l’eau <strong>de</strong> mer brute traitée se reflète dans la teneur en carbone organique<br />

total. Une solution marine hypertonique buvable en contient environ 1 mg/l. Ce chiffre est le résultat <strong>de</strong>s rapports <strong>de</strong>s<br />

analyses effectuées pour la compagnie <strong>de</strong> pompage <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer.<br />

En gardant en mémoire que l’eau <strong>de</strong> mer brute est riche <strong>de</strong> 33 à 35 g/l d’éléments minéraux, alors il existe une très gran<strong>de</strong><br />

disproportion entre sa fraction organique <strong>de</strong> 1 mg/l et sa fraction minérale <strong>de</strong> 33 g/l.<br />

René <strong>Quinton</strong> n’en a jamais parlé, il parlait uniquement <strong>de</strong> la partie minérale <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer qu’il considérait comme agent<br />

thérapeutique, l’agent bio-disponible.<br />

Pour que les pré-biotiques puissent avoir une action thérapeutique et/ou diététique significative dans l’organisme, il faut<br />

en absorber 5 grammes par jour.<br />

Dans le cas d’une solution marine dont les pré-biotiques se reflètent dans la teneur en carbone organique d’un (1) mg par<br />

litre, cela revient à absorber 5000 litres d’eau <strong>de</strong> mer dans une journée.<br />

Comme déjà indiqué, la présence quantitative <strong>de</strong>s pré-biotiques se reflète dans la teneur en carbone organique total qui est <strong>de</strong>1<br />

mg/litre.<br />

Est-ce que ce 1 mg/l joue un rôle malgré tout dans notre organisme ?<br />

Jusqu’à aujourd’hui, ni l’éventuelle action thérapeutique <strong>de</strong> ce 1 mg/l <strong>de</strong> pré-biotique, ni l’interaction entre la partie minérale et la<br />

partie organique présentes dans l’eau <strong>de</strong> mer sont connues, démontrées ou scientifiquement prouvées. Peut-être un espace à<br />

explorer par la physique quantique !<br />

Il est très important <strong>de</strong> remarquer que dans les solutions marines BiOcean ® le carbone organique est conservé.<br />

La stérilisation thermique affecte-t-elle l’eau <strong>de</strong> mer,<br />

affecte-t-elle certains composants dans le <strong>Plasma</strong> Marin<br />

Le choix d’un traitement thermique n’affecte en rien la partie minérale active.<br />

L’effet thérapeutique <strong>de</strong>s solutions marines est dû aux minéraux et aux oligo-éléments, ils restent stables vis à vis d’une<br />

élévation <strong>de</strong> température.<br />

Référons-nous d’abord au livre du Dr Jean Jarricot.<br />

Il écrit en 1921 « <strong>Quinton</strong> a obtenu <strong>de</strong> beaux effets thérapeutiques avec une eau stérilisée par passage <strong>de</strong> 10 minutes à 105<br />

<strong>de</strong>grés. »<br />

Posons-nous la question : René <strong>Quinton</strong> allait-il à l’encontre du Co<strong>de</strong>x <strong>de</strong> 1895 qui décrit la mesure <strong>de</strong> stérilisation pour les<br />

injectables ainsi : « Elle consiste à laisser 15 minutes au ban-marie bouillant le soluté. » Cette mesure éliminait faisait abstraction<br />

du danger que représente la fièvre saline et les infections. Le Co<strong>de</strong>x <strong>de</strong> 1908 ajoute « Lorsqu’on dispose d’un autoclave, il est<br />

préférable <strong>de</strong> stériliser le soluté à 110°C pendant 10 minutes. »<br />

Le Docteur Dominique Lacroix <strong>de</strong> Montréal, qui donne en France beaucoup <strong>de</strong> cours à d’autres mé<strong>de</strong>cins sur la technique<br />

comment examiner par microscope le sang vivant, montre par <strong>de</strong>s images qu’après l’usage <strong>de</strong> BiOcean ® Isotonic :<br />

- on mesure une diminution <strong>de</strong> la <strong>de</strong>struction <strong>de</strong>s globules rouges (l’hémolyse)<br />

- on voit réapparaître la locomotion, le déplacement <strong>de</strong>s globules blancs neutrophiles ce qui favorise une grossesse<br />

- on note une diminution <strong>de</strong>s ‘ombres’ <strong>de</strong> neutrophiles.<br />

Le Docteur Richard Dillon (aux États Unis) qui s’est spécialisé dans les soins <strong>de</strong>s plaies graves et souvent infectées a conduit<br />

<strong>de</strong>s essais cliniques avec<br />

- la solution physiologique à 9‰ NaCl (eau salée) ;<br />

- avec l’eau <strong>de</strong> mer à 9‰ micro filtrée à froid ;<br />

- avec l’eau <strong>de</strong> mer stérilisée à chaud.<br />

Les plaies qui ne voulaient pas se fermer avec l’eau salée, se sont très bien fermées avec l’eau <strong>de</strong> mer micro filtrée à froid et avec<br />

l’eau <strong>de</strong> mer qui a subit après la micro-filtration à froid une stérilisation thermique. Il a démontré l’efficacité égale <strong>de</strong> la partie<br />

minérale contenue dans les <strong>de</strong>ux eaux <strong>de</strong> mer.<br />

Ni Monsieur <strong>Quinton</strong>, ni le Dr. Jean Jarricot, son beau frère, ni leurs successeurs n’ont travaillé sur la partie pré-biotique contenue<br />

dans les solutions marines.<br />

Quand René <strong>Quinton</strong> effectuait ses essais sur <strong>de</strong>s globules blancs, il affirmait que la composition minérale qualitative et<br />

quantitative <strong>de</strong> son plasma était primordiale pour leur survie. Il attribuait l’activité et l’effet thérapeutique <strong>de</strong> son plasma à<br />

l’ensemble <strong>de</strong> la partie minérale.


Il l’écrit dans son livre :<br />

7<br />

« Il existe une analogie entre la composition minérale du plasma sanguin <strong>de</strong> l’organisme vivant<br />

et l’eau <strong>de</strong> mer ramenée à l’isotonie plasmatique ».<br />

Quel est le rôle <strong>de</strong> l’osmolarité <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer isotonique<br />

sous une forme d’une crème<br />

Un produit est isotonique quand il correspond à l’osmolarité <strong>de</strong> la cellule.<br />

Les cellules <strong>de</strong> l’être humain baignent dans un liqui<strong>de</strong> à 9 ‰ <strong>de</strong> sels minéraux, le même taux salin quand il s’agit <strong>de</strong> l’eau <strong>de</strong> mer<br />

isotonique.<br />

En appliquant la crème OCEAU ® Marine Isotonic sur l’épi<strong>de</strong>rme, qui se comporte comme une véritable éponge, les ions<br />

<strong>de</strong>s minéraux océaniques bio-disponibles sont véhiculés vers l’hypo<strong>de</strong>rme où ils rentrent en contact avec les capillaires<br />

sanguins, ensuite ils sont diffusés par la même osmose dans les tissus du corps. Oui, le liqui<strong>de</strong> qu’entoure les cellules<br />

reconnaît immédiatement l’eau <strong>de</strong> mer isotonique, l’absorbe et le métabolise.<br />

La transmission informationnelle et nutritionnelle <strong>de</strong>s cellules se fait au travers <strong>de</strong> l’eau extra-cellulaire.<br />

L’environnement <strong>de</strong>s cellules donne le sens à leur enveloppe, détermine leur contenu et la continuité <strong>de</strong> leur vie.<br />

Ce Milieu Interne dans son équilibre minéral optimal est le paramètre principal <strong>de</strong> la santé.<br />

Document établi par Michel et Denise PIERS<br />

Importateurs France du <strong>Quinton</strong> América<br />

et <strong>de</strong>s crèmes OCEAU MARINE

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