VOTEZ LISTE - Vlaams Belang Bruxelles

V ités
Ruxelloises
B é
Mensuel dixième année - n° 98 - mai-juin 2010
Ed. resp.: Christian Marot - Place Madou 8/4 - 1210 Bruxelles
Imprimé électoral 2010
votez
liste
Belgique - België
B.P./P.P 1/1876
2099 Centre de tri Antwerpen X
Bureau de dépôt Antwerpen X
P605084
1

2
Table des matières
4 5
3 éditorial
4 Le Vlaams Belang
maintenant
5 Trop, c’est te veel!
6 Bonne Gouvernance?
8 Les Bruxellois et BHV
10 Chômage à Bruxelles
12 Respect et considération
pour les seniors
14 Chronologie
de certains faits
16 Crise financière
18 Liste
Chambre de Représentants
20 Liste Sénat
22 écolo, faux-cul?
23 Le MR, faux-cul?
24 La Belgique accueille,
accueille, accueille…
26 Islamisation
28 l’islam peut nuire
à votre liberté
30 Insécurité
32 Désinformation
36 Appel au vote
24
02/219 37 79

Aller à l’essentiel
Le gouvernement Leterme est tombé
sur la question de BHV.
Il est tombé parce que l’OpenVLD
l’a poignardé dans le dos. Le jeune président
de ce parti a cru habile de jouer ce
jeu, pensant que, du même coup, le tapis
rouge se déroulerait automatiquement
pour accueillir le retour triomphal de
Verhofstadt.
Certes, Verhofstadt est bien vu par
les francophones. Il est vrai qu’il est le
moins «dangereux» de nos politiciens. Il
met tout ce qui gêne au frigo. Il est passé
maître dans l’art de refiler l’ardoise à ses
successeurs. Quel courage! Quelle efficacité!
Cependant, est-il tellement différent des
autres? Tous fuient leurs responsabilités.
On amuse la galerie avec BHV, qui
n’est pas un problème politique mais qui
est tout au plus une question juridique,
qui partout ailleurs aurait été tranchée
dans l’heure. Mais, l’affaire présente un
gros avantage: pendant ce temps, on ne
parle pas des vrais problèmes. Ils restent
en suspens. On évite ainsi d’avoir à
prendre des décisions difficiles à propos
du chômage, de la crise économique et
financière, du régime des pensions, de
l’insécurité, de l’immigration galopante
et même de l’état des routes. C’est plus
confortable.
Nous, au Vlaams Belang, nous plaidons
pour un retour au réalisme et pour la
prise en compte, d’urgence, des vrais
problèmes, aussi dur soit-il de s’y atteler.
Cessons de dresser des rideaux de fumée
en créant des problèmes artificiels.
Assez de grimaces et de gesticulations
pour détourner l’attention des citoyens.
Au boulot!
Mais ne comptez pas sur les politicards
en place et qui ne songent qu’à le rester.
Ils sont des parangons d’égoïsme.
Seule compte pour eux la pérennité de
leurs prébendes et de leurs privilèges.
Le peuple n’est là que pour faire de la
figuration. Ils s’en moquent.
Nous, au VB, nous disons «le peuple,
notre peuple, d’abord». Nous sommes
la seule alternative. Pour en sortir, un
seul moyen: voter et faites voter Vlaams
Belang.
Frédéric ERENS
Président Vlaams Belang Bruxelles-19
3 ème candidat suppléant au Sénat
3

4
Immigration et intégration
Le Vlaams Belang maintenant!
Les années 2010-2020 serontelles
la décennie de l’immigration
en Belgique? Croissance
au quintuple par rapport aux
années’80? La réalité est déjà
inquiétante mais les prévisions
récentes sont encore davantage
angoissantes pour de nombreux
Bruxellois.
L’immigration massive hypothèque notre
sécurité sociale
La région de Bruxelles-Capitale compte
plus de personnes émargeant au CPAS
que la Flandre entière! Ceci est en premier
lieu dû à l’immigration massive et
incontrôlée. Dans ce pays, un seul jour de
travail légal suffit pour pouvoir bénéficier
de façon illimitée de la sécurité sociale.
Ceci n’est plus tenable.
Des personnes qui ont contribué durant
toute leur vie à la sécurité sociale ne reçoivent
actuellement qu’une toute petite
pension de retraite. Pour elles, il n’y a
plus d’argent. C’est un véritable scandale.
L’immigration massive nous coûte des
fortunes. Le Vlaams Belang a calculé que
son coût annuel s’élève à trois milliards
et demi d’euros pour la Flandre et il ne
s’agit là que d’une estimation prudente.
Le magazine néerlandais Elsevier évalue
le coût de l’immigration aux Pays-Bas à
13 milliards d’euros par an.
Si nous voulons sauvegarder notre sécurité
sociale nous devons décréter l’arrêt
de l’immigration.
Pour un arrêt effectif de l’immigration;
Pour le renvoi des illégaux et non pas
pour les récompenser par une régularisation;
Pour une interdiction du voile et autres
coiffures islamiques à l’école et dans le
service public;
Pour ne pas financer l’islamisation avec
nos deniers publics;
Pour subordonner l’octroi de notre nationalité
à la réussite d’un examen de citoyenneté;
Pour l’abolition du droit de vote des
étrangers aux élections communales;
Pour l’incitation à retourner dans leur
pays d’origine de ceux qui décrient nos
libertés et valeurs occidentales.
Votez Vlaams Belang!
Filip Dewinter
Tête de liste
au Sénat

VB: vote utile?
Trop, c’est te veel!
Il arrive que l’on m’interroge: «A
quoi bon voter Vlaams Belang?
Le «cordon sanitaire» vous empêche
d’agir.»
Eh bien, il y a toute une série d’exemples
qui prouvent le contraire.
-Suite aux graves émeutes de «jeunes»,
quelques communes bruxelloises ont
enfin introduit la tolérance zéro, avec
résultats. Ce fut Filip Dewinter (tête
de liste au Sénat) qui plaidait, il y a
dix ans déjà, pour cette méthode. Si
les autres partis nous avaient écouté à
l’époque, les citoyens auraient eu moins
de misères.
-Au mois d’avril, la Chambre a voté
l’interdiction du port des niqab et de
la burqa islamiques, vêtements dégradants
pour la femme. Ce fut Anke Van
dermeersch (2ème au Sénat) qui fut la
première à introduire un projet de loi à
cet effet.
-Tous les étés, nos domaines provinciaux
étaient terrorisés par des bandes
de jeunes allochtones. Depuis l’année
dernière, on s’attaque au problème avec
des contrôles d’identité, une présence
policière et de la vidéosurveillance. Ce
fut Jan Laeremans (8ème au Sénat) qui
a proposé ces mesures au Conseil provincial.
-Pendant des années, nos mandataires
féminines ont demandé l’interdiction
du voile dans les écoles, au Parlement
et dans les Conseils provinciaux et
communaux. Le succès est là: cette interdiction
est maintenant en vigueur
dans tout l’enseignement de la Communauté
flamande.
-L’année dernière, votre serviteur a fait
casser par le Conseil d’Etat les projets
de régularisation concoctés par Milquet,
Reynders et Di Rupo. Il saisira le
tribunal pénal si un prochain gouvernement
voulait encore essayer de «régulariser»
50.000 étrangers illégaux.
Déjà, 600.000 musulmans habitent
notre pays.
Trop, c’est teveel, ne trouvez-vous pas?
Filip De Man
Député sortant
Tête de liste à la
Chambre
5

6
Gouvernance
Vous avez dit gaspillage?
Les chiffres de l’OCDE sont sans
pitié. Selon eux, la gouvernance
belge (à tous les niveaux, fédéral,
régional, provincial, communal)
est l’une des plus coûteuses du
monde. Toutefois, la qualité de
vie des citoyens est loin d’être
en rapport avec l’importance
des sommes gaspillées.
La Belgique est classée antépénultième
pour l’efficacité de sa gouvernance.
Même la Grèce fait mieux, c’est dire!
Comment ce classement
est-il établi?
Pour établir ce classement, l’importance
de l’argent dépensé a été comparée à la
qualité de vie, telle que définie par «Human
Development Index» de l’OCDE.
Nous payons des taxes et des impôts
écrasants, et nous avons bien peu en retour.
Notre justice est en pleine déliquescence,
l’insécurité et la saleté constituent
des fléaux récurrents dans nos villes,
notre enseignement (francophone) est
un désastre (celui du Burkina-Faso, par
exemple, est meilleur avec des moyens
nettement plus modestes), nos armées en
sont réduites à la portion congrue et leur
matériel tombe en ruine, nos pensions
relèvent de l’aumône, nos routes sont
criblées de nids de poule (et même d’autruche!),
etc. etc.
Les causes de ce fiasco
Le trou est creusé, d’abord, par de folles
dépenses liées à l’immigration, notamment
illégale (voir dans ce numéro l’article
«la Belgique accueille, accueille,
accueille…»). Nous devons nourrir, loger,
soigner des dizaines de milliers de
gens qui n’ont jamais payé et souvent ne
paieront jamais ni taxes, ni impôts ni cotisations,
et ce, dans les meilleures conditions.
Et si nous n’y parvenons pas, nous
devons leur donner 500 € par jour et par
personne. Un illégal est soigné gratuitement
quand un résident légal doit faire
l’avance des coûts et n’est remboursé que
très partiellement (lunettes, soins dentaires,
etc.). Évidemment, cela crée un
appel d’air qui conduit à une aggravation
continuelle de la situation.
Autre cause, le clientélisme. Il y a en
Belgique quelques dizaines de milliers
de personnes casées au sein de fromages
publics ou parapublics et qui en vivent
plus que confortablement. Ces personnes
n’ont d’autre mérite et compétence que
d’être des copains de qui il faut. Un

exemple parmi de nombreux autres, l’exépoux
d’Onkelinx qui n’a d’autre qualité
que d’être soupçonné de trafic de drogue,
appartient à son cabinet et y émarge à
quelque 5.000 € par mois. Un conseiller
communal qui a la «bonne carte» sera
nommé dans une intercommunale ou
une ASBL où il n’aura d’autre tâche que
d’encaisser un chèque juteux à la fin du
mois.
Le revers de cette médaille peu glorieuse
est que la gestion publique, trop souvent
confiée à des incompétents, est de ce fait
mal assurée, et cela aggrave le mal.
En Belgique, nous avons 65 ministres et
que leurs cabinets comptent chacun de 50
à 150 collaborateurs.
Comment remédier
à ce problème?
C’est très simple: pour supprimer ces
abus et pallier cette mauvaise gestion,
il faut écarter ceux qui en sont responsables.
Pour cela, il n’y a qu’un moyen:
voter Vlaams Belang.
Carine
LOOTENS-STAEL
– VAN MOL
2 ème candidate
effective
à la Chambre
Voter Vlaams Belang,
c’est Voter Bien
7

8
Enjeux électoraux
Les Bruxellois et BHV
En quoi la question de BHV
concerne-t-elle les Bruxellois, et
plus particulièrement les Bruxellois
francophones? Si BHV était
scindé, qu’y aurait-il de changé
pour eux?
A vrai dire, pas grand-chose, sauf en ce
qui concerne la Justice qui y gagnerait incontestablement
en rapidité!
La Justice améliorée à Bruxelles
En effet, on l’oublie trop souvent, BHV
n’est pas qu’une circonscription électorale,
c’est aussi une circonscription judiciaire.
Tous les litiges de cette circonscription
aboutissent à Bruxelles, d’où
l’encombrement du rôle de nos juridictions
bruxelloises. Si BHV était scindé, le
Parquet, moins surchargé de travail,
pourrait se consacrer pleinement à la
criminalité bruxelloise, et nos juridictions
seraient moins sollicitées et
jugeraient mieux et plus rapidement.
En dehors de cela,
rien ne serait changé
Rien ne serait changé
quant au reste. Y compris
pour les franco-
phones de la périphérie.
Il faut ici faire litière d’un gros mensonge
colporté par les medias francophones: ils
prétendent en effet que les francophones
résidant dans cette partie du Brabant flamand
ne pourraient plus voter pour des
candidats francophones. C’est absolument
faux! Les francophones, où qu’ils
résident, peuvent toujours voter pour des
candidats et des listes francophones. Rien
n’interdit, en effet, à un parti francophone
de présenter une liste en Flandre ni à un
parti flamand néerlandophone d’avoir
Région
Bruxelles
Capitale

des candidats en Wallonie. D’ailleurs, en
2003 et en 2007, le Vlaams Belang a présenté
une liste en Wallonie.
De surcroît, des listes «mixtes» sont
toujours possibles. Elles ne sont interdites
que pour les élections au Parlement
bruxellois, uniquement. En dehors de
quoi, elles sont partout autorisées, y compris
dans la Région bruxelloise en dehors
des élections au Parlement bruxellois.
On voit d’ailleurs régulièrement de telles
listes, notamment dans les 19 communes
bruxelloises lors des élections communales.
Cessons de compliquer les choses et gardons
notre sérénité. Cette question de
BHV est, pour les Bruxellois, et même
pour les francophones en général, qu’une
question anecdotique, vraiment très secondaire
par rapport aux vrais problèmes
que nos politicards des partis rassis se refusent
à résoudre.
Débarrassons-nous d’eux et les choses
iront forcément mieux!
Bart LAEREMANS
Député fédéral sortant
3ème candidat effectif pour la
Chambre
9

10
Chômage
Le chômage baisserait à Bruxelles
Rassurez-vous, il reste des chômeurs
à Bruxelles! C’est un cri de
triomphe, une clameur, un délire.
Les médias ne parlent plus que
de cette «hénaurme» nouvelle:
le chômage a diminué à Bruxelles
en avril. Quel succès!
Cette diminution n’a pourtant rien de
spectaculaire. N’allez surtout pas en
conclure qu’il n’y a plus de chômeurs
à Bruxelles. Il en reste. Ils représentent
toujours plus de 20% de la population
dite «active». C’est un des taux les plus
élevés d’Europe. Bruxelles, c’est plus de
100.000 chômeurs et 350.000 navetteurs
quotidiens. Cherchez l’erreur!
Et pour faire baisser ce chiffre, tous les
moyens sont bons (en dehors du fait de
créer des emplois, car à l’impossible nul
n’est tenu). Par exemple, on radie, plus
ou moins légitimement. Ou bien, on
utilise les ressources de la cosmétique.
Nous vous racontions, dans notre dernier
numéro, l’aventure de Rédouane la Déglingue,
ce Schaerbeekois sorti de l’anonymat
et des statistiques pour un clip de
quelques secondes illustrant une chanson
nauséabonde dans laquelle il était question
de «b… la Belgique et d’épouser le
Maroc».
Pas étonnant que le chômage baisse à
Bruxelles avec de tels procédés!

Comment résoudre le
problème du chômage à
Bruxelles?
A Bruxelles, le problème du chômage
est gravissime. Il ne se résume pas à une
simple question de création d’emploi. La
preuve, les emplois existent à Bruxelles,
puisqu’il faut faire venir chaque jour
120.000 travailleurs de Wallonie et près
de 250.000 de Flandre. Le problème est
créé par l’inadéquation entre les emplois
proposés et la qualité des demandeurs
d’emploi.
Dans notre monde moderne, les activités
économiques font de plus en plus souvent
appel à des techniques de plus en plus
complexes. Le temps de l’ouvrier sans
autre capital que ses mains et ses muscles
est révolu. Le travail d’un ouvrier, aujourd’hui,
consiste avant tout à surveiller
et, éventuellement, à remettre sur le droit
chemin les robots qui transpirent à sa
place. Péguy disait qu’un manuel, «c’était
un intellectuel avec des mains au bout».
Jamais cette définition n’a été plus vraie.
Autant dire qu’un quasi analphabète n’a
aucune chance sur le marché du travail.
Or, les chômeurs bruxellois sont, le plus
souvent, très mal formés et très peu qualifiés.
Se pose donc en amont la question
de l’enseignement et de la formation.
C’est donc ce qu’il faut réformer en priorité,
et de A à Z. Et pour ce faire, il faut
tenir compte du fait que de (trop) nombreux
jeunes Bruxellois maîtrisent fort
mal le français (bien que la plupart soient
censés être francophones) – et ne parlons
pas du néerlandais… Le problème est
vaste, car il ne touche pas seulement aux
programmes. C’est aussi une affaire de
perception de la nécessité d’étudier, et,
peut-être surtout, de respect de l’autorité,
de l’ordre et de la hiérarchie. L’enseignement
francophone belge est l’un des plus
mauvais du monde, non point parce que
les maîtres et les professeurs sont particulièrement
déficients, bien au contraire.
Ils n’ont tout simplement pas les moyens
matériels et «sociaux» de pratiquer leur
métier. Comment transmettre un savoir,
quand on se heurte à l’indiscipline, voire
à la rébellion, à l’incompréhension et au
refus de recevoir l’enseignement dispensé?
Le chômage à Bruxelles, c’est donc bien
davantage qu’un simple problème économique
et social, c’est un problème de
société.
On touche ici du doigt la profonde détérioration
de celle-ci. Les politicards
en place en sont pour une grande part
responsables et ils ne font rien, bien au
contraire, pour corriger leurs erreurs. Il
faut donc commencer par les écarter. Et
le plus vite possible.
Anne-Marie
VANHAUWAERT
Conseillère communale
à Schaerbeek
11 ème candidate
effective à la
Chambre
11

12
Pensions
Respect et considération
pour les seniors
On vit de plus en plus vieux. Jonathan
Swift disait fort justement que «tout le
monde désirait vivre longtemps, mais
que personne ne voulait être vieux».
Swift vivait il y a trois siècles, et, depuis,
les progrès de la science, de la
médecine et de l’hygiène ont
augmenté considérablement la
longévité humaine, tout en améliorant
les conditions de vie de
ceux qui atteignent un âge respectable.
Cela ne signifie pas
qu’il n’y ait pas eu de vieillards
jadis. Le philosophe Fontenelle est mort
à cent ans bien sonnés, et bien d’autres
exemples de grande longévité pourraient
être cités parmi nos ainés. Cela signifie
seulement qu’aujourd’hui, atteindre un
âge avancé n’est plus réservé à une minorité
de chanceux épargnés par les aléas
de l’existence. Désormais, tout nouveauné
bénéficie de fortes chances de ne pas
voir son existence interrompue prématurément,
Ne dit-on pas qu’une fille sur
deux voyant le jour en ce début de millénaire
deviendra centenaire? La mortalité
infantile a reculé spectaculairement et
bien des maladies au pronostic hier fatal
sont aujourd’hui parfaitement curables.
Nous vivons de plus en plus vieux, mais
le fardeau de l’âge est de moins en moins
lourd. Il faut s’en réjouir.
Mais il y a de moins en moins
de naissances
Parallèlement, hélas, dans nos pays européens,
le taux de natalité est en
chute libre. Il y a donc de plus
en plus d’inactifs et de moins en
moins d’actifs pour subvenir aux
besoins de leurs ainés. Ce n’est
pas une question d’idéologie,
c’est un problème d’arithmétique,
que l’on ne résoudra pas
en se cramponnant à des utopies
fumeuses mais en faisant preuve de pragmatisme.
Telle est notre méthode de travail.
Le Vlaams Belang préconise d’agir à la
fois en amont, notamment par une politique
familiale audacieuse encourageant
la natalité, et en aval, en faveur des anciens
pour répondre à leurs besoins spécifiques.
Agir pour les seniors, et,
d’abord, revaloriser les
pensions
Là, les pistes sont multiples: il faudrait,
d’abord et surtout, remanier le financement
des pensions pour que leur montant
soit décent, et donc revoir le système par

épartition qui a atteint ses limites. Il faudrait
aussi cesser de dilapider nos budgets
«sociaux» en faveur de personnes qui ne
les ont jamais alimentés et les réserver
à ceux qui ont contribué tout au long
d’une vie active et honnête à la richesse
du pays. C’est l’une des principales revendications
du Vlaams Belang et l’un
de ses principaux combats. Notre peuple
d’abord!
Par ailleurs, il conviendrait de supprimer
les obstacles au travail des seniors. En
France, par exemple, un pensionné peut
travailler sans aucune condition ni limitation
tout en percevant sa pension pleine
et entière. Notre parti travaille sur toutes
ces questions.
Les seniors,
la richesse d’un pays
Car il faudrait enfin se rendre compte
de la valeur des seniors. Les entreprises
qui se débarrassent de leurs plus anciens
collaborateurs dilapident en fait un trésor
de connaissances et d’expérience qu’il
faudra des décennies pour reconstituer.
Picasso, pour faire plaisir à l’un de ses
amis, lui avait crayonné un dessin sur une
feuille de papier. Il le lui avait remis en
lui demandant une somme faramineuse.
A celui-ci qui s’étonnait de se voir réclamer
un tel prix pour un travail de dix
minutes, Picasso avait rétorqué: «Oui,
dix minutes… plus cinquante ans.» Tout
était dit!
L’apport des seniors est considérable;
ceux qui ont des activités bénévoles sont
justement appréciés. De nombreuses associations
se félicitent de profiter de leur
savoir et de leur expérience.
Le handicap
Il y a encore un travail énorme à accomplir
en faveur de ceux qui ont perdu leur
autonomie. Ce problème de la dépendance
concerne un certain nombre d’anciens
souvent fort âgés, mais la question
peut aussi se poser pour des personnes
plus jeunes. La dépendance coûte une
fortune à ceux qui ont besoin d’aide et
d’assistance en permanence. Là encore,
des mesures spécifiques doivent être
prises ; il serait trop long de les exposer
toutes ici, mais notre parti souhaite que
cette question soit prise à bras-le-corps
et que les moyens adéquats soient mis
en œuvre. Que l’on ne nous dise pas que
c’est difficile: notre gouvernement est
bien capable de trouver 500 € par jour et
par personne pour des illégaux!
Votre serviteur mène un ardent combat
en faveur des seniors depuis plusieurs
années et entend bien le poursuivre avec
votre aide et vos suffrages. Je pourrais
prendre à mon compte le mot de Gide:
ma vieillesse commencera quand j’aurai
cessé de m’indigner. Et ce n’est pas demain
la veille!
Raymond DE ROOVER
Conseiller communal
et CPAS à Anderlecht
Président Forum brabançon des Seniors
12 ème candidat effectif
à la Chambre
13

14
Insécurité
Chronologie de certains faits…
26 août 2009
Graves incidents avec des dealers de drogue
à Anderlecht.
27 août 2009
Graves incidents à Molenbeek: des agents
de police se font attaquer par des jets de
pierre, des voitures sont incendiées. Les
pompiers se font également attaquer par
des jets de pierre.
5 septembre 2009
Des agents de police découvrent une
kalachnikov, une arme de guerre, à
Cureghem. Ils se font attaquer par une
cinquantaine de jeunes. Lorsque les renforts
arrivent sur les lieux, l’arme a disparu.
7 octobre 2009
Après la énième agression d’une membre
du parlement européen, le chef du groupe
démocrate-chrétien au parlement européen,
Joseph Daul, exige que le problème
soit pris à bras-le-corps ou que le parlement
européen déménage vers une ville
plus sûre.
19 octobre 2009
Le journal allemand Die Welt qualifie
Bruxelles de «capitale européenne du
crime»
3 novembre 2009
Des policiers anonymes de la zone Sud
comparent Anderlecht et Molenbeek à une
zone de guerre comme l’Irak. (P-Magazine)
«Nous avons perdu les contrôle de
certains quartiers, nos collègues n’osent
plus y mettre les pieds, nous y sommes
considérés comme une force ennemie. Si
le ministre trouve tout cela normal et ‘ sous
contrôle’ je n’y comprends plus rien.»
20 novembre 2009
Lors de violentes altercations ethniques à
Forest et à Anderlecht, des voitures sont
incendiées et un cocktail Molotov est jeté
contre la façade de la maison communale
d’Anderlecht.
31 décembre 2009
Un étudiant bulgare se fait tabasser et voler
à la station de métro Porte de Namur par
une bande d’Africains qui le jettent ensuite
sur les voies, six mètres en contrebas. Les
autorités judiciaires attendent trois mois
avant de diffuser un avis de recherche.
30 janvier 2010
Un policier est grièvement blessé à coups
de kalachnikov à Laeken en tentant d’éviter
un braquage. Freddy Thielemans, le
bourgmestre PS de Bruxelles parle d’un
«fait divers».

1er février 2010
Selon un responsable du syndicat de police
SNPS de plus en plus d’armes de
guerre de type kalachnikov circulent à
Bruxelles. En vente à partir de 50 euros.
Fin janvier-début février
De graves échauffourées sont quotidiennes
à Anderlecht. La tolérance zéro
est décrétée.
3 mars 2010
L’ école supérieure ISIB quitte Cureghem
en raison de nombreux cas de vols et de
menaces à l’encontre de ses étudiants
perpétrés par des bandes de «jeunes».
5 mars 2010
Après le braquage d’une bijouterie
à Uccle une mère de
famille est assassinée parce
qu’elle hésite à céder sa voiture
aux malfaiteurs. L’auteur
du crime est un ‘agent de sécurité’
de la STIB.
1er avril 2010
Une bande tente d’attirer la police dans
un guet-apens place Lemmens à Anderlecht.
Une cabine électrique est détruite,
de l’huile versée sur la voie publique. La
police découvre une grande quantité de
cocktails Molotov, de pneus de voiture et
de bidons d’essence.
12 avril 2010
Un bijoutier se fait abattre lors d’une attaque
de son magasin à Ixelles. Quelques
heures plus tard un bijoutier se fait attaquer
à Schaerbeek. L’homme abat l’un de
ses agresseurs et est actuellement poursuivi.
13 avril 2010
De graves incidents à Saint-Gilles; des
«jeunes» se montrent solidaires d’un
gangster nord-africain abattu par la police
sur l’autoroute à Ittre. Le commissariat
est incendié.
19 avril 2010
Deux agents de la police du rail se font
attirer dans un guet-apens à la station
de métro Rogier. Ils se font attaquer par
une bande de 40 assaillants. Un agent se
retrouve en incapacité de travail de 10
jours, l’autre de 7 jours.
15 mai 2010
A Schaerbeek, mais également à Laeken
et Evere de nombreux incendies volontaires
de voiture sont remarqués. Onze
voitures sont ravagées par le feu.
Chaque jour
Les Bruxellois se font quotidiennement
attaquer, voler, agresser sans que les journaux
en parlent. De moins en moins de
victimes dénoncent les faits à la police
puisque, de toute façon, les auteurs des
méfaits sont si fréquemment relâchés.
Depuis des années le Vlaams Belang a raison:
l’insécurité doit enfin être attaquée.
Si vous voulez davantage de sécurité,
vous savez ce qui vous reste
à faire le 13 juin prochain: Voter
Vlaams Belang !
Christine PYNKET
Conseillère communale
à Evere
13 ème candidate
effective
à la Chambre
15

16
Crise financière
La Grèce, et après?
La Grèce a été frappée de plein
fouet par une crise financière
sans précèdent.
On craint aujourd’hui un «effet
domino», le premier qui tombe
entraîne les autres dans une
chute en cascade. Aujourd’hui,
c’est la Grèce, on annonce déjà
le Portugal pour demain, puis
l’Espagne, puis le suivant…
La Belgique ne sera pas épargnée, ne
nous faisons pas d’illusions.
belgique
portugal
L’euro, le grand mensonge
Souvenez-vous: l’euro nous avait été
présenté comme la panacée universelle,
la potion magique. Il devait mettre nos
pays et nos peuples à l’abri de toute déconvenue.
On voit ce qu’il en est advenu!
Monnaie unique ou monnaie
commune?
Une monnaie unique, comme c’est le cas
de l’euro tel qu’il existe depuis 2002, est
une monnaie qui se substitue aux autres
et les remplace toutes. Une monnaie com-
espagne
Grece

«L’Europe de Bruxelles»
n’a rien à voir avec la vraie Europe
mune est une monnaie qui coexiste avec
les monnaies locales existantes. C’est, en
quelque sorte, une monnaie de compte.
Le dollar est actuellement une monnaie
commune. Il sert pour les règlements
internationaux, mais ne se substitue pas
aux monnaies locales. L’euro, monnaie
commune, aurait pu, peu à peu, entamer
la toute-puissance du dollar et donc
conférer à l’Europe une certaine autonomie
financière.
Mais, dans leur folie idéologique, férus
de mondialisme, nos gouvernements
ont accouché aux fers une Europe difforme.
C’est un peu comme si un bébé
avait des bras différents, des jambes ne
se ressemblant pas, des organes dépa-
reillés. Ce serait un monstre et ne serait
très probablement pas viable. Or, aucun
de nos pays ne ressemble à son voisin,
ni économiquement, ni socialement, ni
fiscalement, ni juridiquement, même s’il
existe une culture européenne «de base».
Sortons de ce guêpier
Sortons de cette Europe qui n’a rien à voir
avec la vraie Europe, celle qui existait naguère,
malgré ses querelles internes. Elle
était diverse, multiple, mais se reconnaissait
dans une même civilisation forte et
féconde, surtout lorsqu’il le fallait pour
répondre à un grave danger menaçant sa
liberté et son existence. C’est cette Europe
qui a uni ses forces pour arrêter l’expansion
ottomane, d’abord à Lépante (1572)
puis devant Vienne (1683). Ce simple
rappel permet de constater fort crûment
que cette «vraie Europe» n’existe plus. Et
que de là découlent tous nos maux, présents,
et, plus encore, à venir.
Votez pour le Vlaams Belang, c’est votez
pour la restauration de
la «vraie Europe».
Philip CLAEYS
Député européen
21 ème candidat
effectif à la Chambre
17

18
Vos candidats à la Cham
1. Filip De Man
2.
Carine
Lootens-Stael -Van Mol
3. Bart Laeremans
4. Georges Gillis
Gerda
5. Van Hecke -Veldeman
6. Gunter Timmermans
7. Jörgen Noens
8. Dries Devillé
9. Suzy Jacobs
10. Ben Bessemans
Anne-Marie
11. Vanhauwaert
candidats effectifs
12. Raymond De Roover
13. Christine Pynket
14. Katie Van der Heyden
15. Gilbert Schoonjans
16. Nicole Depril- Pevenage
17. Nadine Motten
18. Carine Van Bael
19. Sofie Vanassche
20. Ann Frans
21. Philip Claeys
22. Joris Van Hauthem
La seule alternative

e de Représentants
1. Bart Laeremans
2. Marleen Fannes
3. Klaas Slootmans
4. Evert Hardeman
5. Inge Moysons
6. Eddy Van Calsteren
suppléants
7. Kristel Tourné
8. Billy Debacker
9. Vera Vandormael
10. Lucia Vanbaden
11. Anny Van Cleynenbreugel
12. Dominiek Lootens-Stael
19

20
1. Filip Dewinter
2. Anke Van dermeersch
3. Jurgen Ceder
4. Nele Jansegers
5. Karim Van Overmeire
6. Linda Vissers
7. Frank Creyelman
8. Jan Laeremans
9. An Braem
Annemie
10. Peeters-Muyshondt
candidats effectifs
Vos candida
11. Koen Ooms
12. Barbara Bonte
13. Wim Van Dijck
14. Johan Deckmyn
15. Wim Wienen
16. Sonja Warpy
17. Katty Tournoij
18. Hilde Raman
19. Geert Smets
20. Christel Heylen
La liste pour le Sénat se trouve dans l

ts au Sénat
21. Patsy Durnez
22. Karel Indeherberge
23. Hilde De Lobel
24. Freddy Van Gaever
25. Hugo Coveliers
suppléants
1. Yves Buysse
2. Nele Jansegers
3. Frédéric Erens
4. Werner Somers
5. Hilde Van Echelpoel
6. Goedele Van Haelst
7. Veronique Doucet
8. Roland Pannecoucke
9. Peter Pauwels
10. Martine Decannière
11. Nadia Van Beughem
12. Etienne Vlaminck
13. Reddy De Mey
14. Marijke Dillen
e collège néerlandophone: liste n°1
21

22
Mise à nu
Écolo, faux-cul?
Écolo se prétend de gauche,
mais il a désigné pour le représenter
au Centre pour l’Égalité
des Chances et contre le Racisme
une farouche réactionnaire,
musulmane radicale, proche de
Tariq Ramadan, Fatima Zibouh.
Elle sera la première femme voilée
en Europe à siéger dans ce
genre d’institution.
Qui est Fatima Zibouh?
Le Vif l’Express, dans son numéro du 25
septembre 2009, avait dénoncé le «militantisme
inspiré des Frères Musulmans»
de cette femme et l’avait même surnommée
«la Tariq Ramadan girl».
Elle juge «gravissime» la décision prise
par la communauté flamande d’interdire
le port du voile dans son réseau d’enseignement.
Pour Fatima Zibouh, c’est du
«paternalisme» et du «colonialisme».
Quant à la burqa, l’interdire dans l’espace
public, même pour des raisons de sécurité
publique, «cela touche aux libertés
individuelles».
Fatima Zibouh a signé une pétition pour
que le Hamas soit retiré de la liste des
organisations terroristes en Europe. Puis,
craignant pour sa carrière universitaire,
elle a retiré sa signature.
Mais elle n’en
pense pas moins…
Elle a aidé activement
Radouane Bouhlal
à mener à bien son
«putsch légal» au
sein du MRAX pour en faire, non plus
une organisation honorable combattant
les discriminations, mais une machine de
guerre pro-islamiste.
Elle est membre de Présence Musulmane,
organisation appartenant à la nébuleuse
inféodée à Tariq Ramadan et dont l’organisation
faîtière se trouve à Bruxelles, la
plaque tournante de ses activités.
Très progressiste, Fatima Zibouh milite
contre le droit d’adoption pour les
couples homosexuels, alors qu’Écolo se
bat en faveur de ce droit. Quand Écolo
est-il sincère?
Toujours très progressiste et féministe,
Fatima Zibouh prône l’idée de Tariq
Ramadan de mettre ne œuvre un moratoire
pour ce qui est de la lapidation des
femmes. Un moratoire seulement? N’allons
pas trop vite!
Les «accommodements raisonnables»,
en faveur desquels milite Écolo, c’est
donc cela: on peut condamner une femme
à être lapidée, mais avec sursis…
C’est un incontestable progrès!

Le MR, faux-cul?
Le chef du groupe MR à la Chambre
a interpellé la ministre compétente
au sujet de la nomination
au Centre pour l’Égalité des
Chances et contre le Racisme,
sur recommandation d’Écolo,
de Fatima Zibouh, islamiste bon
teint. Fort bien.
Javaux, faux-cul?
Jean-Michel Javaux nous bassine depuis
quelques temps avec ses convictions
religieuses. Il serait un fervent
catholique. C’est son droit. Mais,
lorsqu’il était à l’ULB, en chantait-il
l’hymne:
La Science immortelle
Éclaire la raison.
Rome tremble et chancelle
Devant la Vérité;
Serrons-nous autour d’elle
Contre la papauté!
De même, Denis Ducarne jure que lui et
ses amis n’accepteront jamais les «accommodements
raisonnables» qui ont
fait tant de dégâts au Canada où ils ont
été inventés. Parfait.
Destexhe a fulminé. On s’en réjouit.
Sauf à rappeler à tous ces braves gens que
cette scandaleuse nomination a été faite
par un gouvernement auquel leur parti, le
MR, appartient.
Sauf à leur rappeler que les Assises de
l’Interculturalité ont décidé de faire des
propositions pour que ces «accommodements
raisonnables» puissent entrer en
vigueur dans notre pays, et que lesdites
Assises ont été mises en place par le gouvernement
auquel le MR appartient.
Faites confiance au MR! Evidemment
que non, il est plus sur et judicieux de
faire confiance au VB.
Eddy VAN CALSTEREN
Président de la section
de Molenbeek-Saint-Jean
6 ème candidat
suppléant à la Chambre
23

24
Immigration
La Belgique accueille, accueille,
accueille…
La Belgique a reçu en 2009
261.000 demandeurs d’asile.
La France, le pays européen le plus
concerné en absolu, en a accueilli
47.600, soit un peu plus du double
que notre pays. La France a un passé colonial
en Afrique qui est l’une des explications
de ce chiffre. Observons toutefois
que la France compte 65 millions d’habitants,
soit 6 fois plus que la Belgique. La
Belgique accueille donc proportionnellement
3 fois plus de demandeurs d’asile
que la France. Et là, le passé colonial
n’est qu’une explication très secondaire.
La Belgique n’a jamais été impliquée
au Maroc ni en Afrique de l’ouest, par
exemple… L’Allemagne et le Royaume
Uni reçoivent environ 30.000 demandeurs
d’asile chacun. Or, l’Allemagne est
8 fois plus peuplée que notre pays! Et le
Royaume Uni supporte les conséquences
de l’existence du Commonwealth.
Autrement dit, la Belgique est champion.
C’est le genre de trophée dont on se passerait
bien!
Russes et Kosovars
13% de ces demandeurs d’asile en Belgique
sont Russes (8% seulement en
moyenne pour l’ensemble de l’Europe).
Or, la Russie est un pays démocratique.
Alors? Deux explications, qui ne s’excluent
pas, viennent à l’esprit. D’abord,
les Tchétchènes et autres Caucasiens islamistes
sont de nationalité russe et entrent
donc dans ce chiffre. Ensuite, on sait que
les maffias russes utilisent la Belgique
comme plaque tournante en Europe de
l’ouest. Ce chiffre est donc inquiétant.
Il y a aussi parmi ces demandeurs d’asile
12% de Kosovars. Ils ne sont que 5%
pour l’ensemble de l’Europe. Étrange,
non? On pensait que le fait d’avoir arraché
à la Serbie son cœur historique au
profit des Albanais aurait résolu le problème
et que tous ces ex-allochtones y
vivaient heureux et épanouis. Ou alors
on pourrait imaginer que ces réfugiés
kosovars sont des Serbes persécutés dans
le cadre de l’entreprise de nettoyage ethnique
pratiqué dans ce pays. Eh bien non,
ce sont très majoritairement des Kosovars
musulmans…
Que deviennent-ils?
La réponse est simple: des illégaux. Et à
90%. En effet, seulement deux tiers de ces
demandeurs d’asile s’adressent au Commissariat
Général aux réfugiés et apatrides.
Les autres ne prennent même pas
la peine de faire reconnaître officiellement

“ La
Belgique, champion
d’Europe pour
l’accueil d’illégaux
que leur «demande d’asile» est du pipeau,
qu’elle n’est qu’un prétexte pour poser le
pied sur notre sol.
Sur 14.365 décisions prises par le Commissariat
aux réfugiés, 11.460 ont été
négatives, soit 80%. Ces gens ont pour
la plupart reçu un ordre de quitter le territoire.
On sait ce qu’il en advient. Dans
quelques années, on s’apercevra de la
présence en Belgique de l’une ou l’autre
de ces personnes, et il sera impossible de
l’expulser – comme cela aurait dû être fait
immédiatement après le rejet de leur requête.
Il se trouvera des associations pour
protester avec virulence contre «l’injustice»
de cette expulsion, des trémolos dans
la voix et des larmes plein les yeux.
La solution
Il n’y en a qu’une: faire en sorte que la
Belgique soit moins attractive. Et que
dans ce domaine comme dans celui de
l’insécurité, la tolérance zéro soit effectivement
appliquée sans état d’âme. Mais
pour cela, il nous faudrait des politiciens
courageux, et il ne s’en trouve guère dans
les partis rassis qui monopolisent le gouvernance
de ce pays.
Dominiek
LOOTENS-STAEL
Député bruxellois
Dernier suppléant
à la Chambre
25

26
Islamisation
Le plus beau minaret d’Europe
C’est celui de la mosquée Madni,
de Bradford en Grande-Bretagne
qui, face à 52 autres concurrents,
situés dans 13 pays de
notre continent, qui a remporté
le concours du «plus beau minaret
d’Europe».
On n’est jamais si bien trahi
que par les siens
Qui avait organisé ce concours? Je vous
le donne en mille: le Parlement européen!
On n’est jamais si bien trahi que par les
siens.
Le jury était constitué de façon «multiconfessionnelle
et multiethnique» et regroupait
des membres issus de divers horizons,
dont un rabbin, une théologienne
protestante suisse, un prêtre de l’Église
anglicane et des représentants du Conseil
de l’Europe (selon le site du Figaro du 20
avril dernier qui semble bien être le seul à
avoir rapporté cette information).
Le but de ce concours?
Familiariser les Européens à la
présence de l’islam sur leur sol
Seuls les minarets édifiés depuis moins de
50 ans étaient retenus. Les minarets «historiques»,
comme ceux d’Andalousie, de
Bosnie ou celui de la Grande Mosquée
de Paris étaient exclus. En effet, il fallait,
selon ses organisateurs, que ce concours
soit lié à «l’islam issu de l’immigration
récente». Ce qui était dans la logique
même de ce concours, puisque, toujours
selon ses organisateurs, son but était de
montrer que «les minarets ne doivent pas
véhiculer des peurs et des préjugés». Si
les critères retenus étaient esthétiques, ils
portaient principalement sur «l’adaptation
du minaret au tissu urbain existant».
En termes plus clairs, ce concours était
de faire valoir «l’enrichissement» qu’apporterait
à l’Europe une immigration
musulmane massive et de familiariser les
Européens obtus que nous sommes à la
présence de l’islam sur notre sol.

«On va dans le bon sens»
Bien sûr, le concours n’a pas rencontré
que des partisans. Il a été vivement
critiqué, notamment sur Internet. Monsieur
Filiz, l’un des organisateurs (turc,
donc bientôt européen !?) de ce
concours a déclaré que cela
«montrait que notre travail dérange
et qu’il va dans le bon
sens».
C’est donc aller «dans le bon
sens» que de «déranger» les
Européens qui ne se pâment
pas d’admiration devant «la
théologie absurde d’un bédouin
immoral», comme le disait
un autre Turc, Mustafa Ke-
mal Atatürk, lequel voyait l’islam comme
«un cadavre putréfié empoisonnant nos
vies».
Fort heureusement, ils sont encore nombreux
les Européens à penser que leur
culture et leur civilisation méritent d’être
sauvegardées et qu’elles valent mieux
que cette idéologie véhiculant des principes
totalement antinomiques à nos valeurs
universelles,
C’est ce «bon sens» là qu’il faut suivre et
que nous suivons.
Anke VAN DER-
MEERSCH
Sénatrice
2 ème candidate
effective au Sénat
“Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux
cheikh arabe, et les interprétations abusives de générations
de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les
détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme
de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de
chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil,
la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses
coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes.
L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un
cadavre putréfié qui empoisonne nos vies.”
Mustafa Kemal Atatürk
En savoir plus sur le Vlaams Belang à Bruxelles?
Vlaams Belang - Place Madou 8 boîte 4 - 1210 Bruxelles
Tél.: 02/219 37 79 - Fax: 02/219 78 76
www.vlaamsbelangbruxelles.be
27

28
Liberté
L’islam peut nuire à votre liberté
L’islamisation de l’Europe progresse
rapidement. Déjà, l’islam
est devenu la deuxième religion
d’Europe. 50 millions de musulmans
y vivent, dont la moitié en
Europe occidentale.
Contrairement à ce que d’aucuns prétendent,
l’islam n’est pas une chose lointaine,
mais un élément qui a de plus en
plus d’emprise sur notre société. Les mosquées
poussent comme des champignons.
Dans les rues, on voit de plus en plus de
femmes voilées. Le voile leur est imposé
et il symbolise le rejet de la société européenne.
Dans les entreprises et les écoles,
on contraint les Européens à
tenir compte des règles
alimentaires «halal». Il
n’y a pas une semaine
qui ne se passe
sans que l’une ou
l’autre personnalitémusulmane
ne prédise
l’islamisation
de L’Europe,
chiffres démographiques
à
l’appui. Les
politiciens européens,
dans
leur aveuglement multiculturel, refusent
de reconnaître cette réalité.
Mohamed
En 2008, la croissance démographique
naturelle (c’est-à-dire par naissances) des
27 Etats-membres de l’Union Européenne
était à peine de 586.320 personnes. Par
contre, la croissance due à l’immigration
était de 1.548.720 personnes, le triple
(chiffres: Eurostat). Du fait de l’immigration
et d’un taux de natalité élevé, le
nombre de musulmans en Europe occidentale
a décuplé au cours des dernières
40 années. Dans bon nombre de villes, le
prénom le plus donné aux nouveaux nés
est Mohamed. A défaut d’une politique
d’immigration plus rigoureuse, l’Europe
sera majoritairement musulmane vers la
fin du siècle.

Responsabilité politique
Les partis du régime s’efforcent de présenter
cette immigration massive comme
un «enrichissement» de notre société. En
réalité, l’islam est une religion conquérante
et intolérante. L’islamisation croissante
a transformé des quartiers entiers
de nos villes en ghettos musulmans.
Nous devons arrêter l’immigration musulmane
dans notre pays, les musulmans
radicaux doivent être expulsés. En Europe,
il n’y a pas de place pour un pilier
islamique. Nous devons désamorcer la
bombe à retardement islamique avant
qu’il ne soit trop tard. Soyons clair : l’islam
peut nuire à votre liberté. Également
un des enjeux essentiels du 13 juin. Choisissez
votre liberté et votez et faites voterpour
le Vlaams Belang.
Frédéric Erens
Président Vlaams Belang Bruxelles-19
Conseiller communal
à la ville de Bruxelles
3 ème suppléant au Sénat
29

30
Insécurité
Là où il y a une nécessité
il y a un droit.
Et quand un gouvernement n’est
plus capable d’assurer la sécurité
des personnes et de leurs
biens, il serait normal que chacun
puisse se substituer aux
forces de l’ordre et prendre les
mesures appropriées pour sa
protection, celle de sa famille et
de ses biens.
La Justice baisse les bras
Plus de 50 bandes hantent les quartiers de
l’agglomération bruxelloise, ce qui faisait
dire il y a déjà 20 ans à un politicien
libéral que «Bruxelles c’est Chicago!»
Tout le microcosme des pourriticards
de l’époque s’était esclaffé. Mais depuis
trois mois les rires se sont tus…..
Parce que la pègre tue nos enfants, tue les
mamans, tue les commerçants. En bref,
ces malfrats (bien connus de la Justice)
tuent les honnêtes gens et le Pouvoir se
tait!
Et le Pouvoir ose encore prétendre que
les crimes et les délits sont en baisse!
Le Pouvoir est incapable de rétablir la
sécurité, première de nos libertés. Les
partis de la mafia socialo-écolo-libérale
se complaisent dans les bisbilles linguistiques
et s’éternisent en palabres stériles
“Cessons de transformer les
victimes en coupables
concernant la régularisation des sans papiers
«hors-la-loi»!
A Bruxelles: police partout,
sécurité nulle part!
Le 11 septembre 2007 on a assisté à un
déploiement hallucinant de police montée,
de canons à eau, de maîtres-chiens et
de robocops pour procéder à l’arrestation
des 150 manifestants (dont 6 députés européens)
qui commémoraient l’anniversaire
des attentats du WTC à New York
en 2001.

Mais si l’on constate une présence
accrue sur le terrain de
nombreuses «fliquettes» et un renforcement
de la protection autour des ambassades,
nul ne peut affirmer qu’il se sente
de plus en plus en sécurité. Il est dangereux
de prendre le métro, le tram, le bus
ou le train car les agressions sanglantes
s’y répètent,
Ne parlons pas de certains quartiers où il
vaut mieux ne pas sortir dès la nuit tombée,
ni du centre ville ni de la Gare Centrale
(in memoriam Joe Van Holsbeek
assassiné il y a 4 ans pour lui voler son
MP3…). Souvent la police reçoit l’ordre
de ne pas intervenir: c’est la réalité.
Le Pouvoir préfère punir encore les automobilistes
qui stationnent quelques minutes
de trop ou les citoyens qui ne trient
pas correctement les déchets de leur poubelle
…c’est affligeant!
L’auto-défense c’est
de la légitime défense
Oui, l’auto-défense c’est de la légitime
défense parce que les gouvernements et
leurs administrations successives sont
aux abonnés absents et que l’on ne peut
pas se laisser détrousser et tuer sans réa-
gir par des crapules sans scrupules.
N’oublions pas que 84% des personnes
interrogées avaient réclamé la libération
du bijoutier qui le 12 avril dernier
avait tiré sur les prédateurs armés, lors
du hold-up de son magasin, tuant l’un
d’eux. C’avait été lui qui s‘était retrouvé
derrière les barreaux! La victime avait été
transformée en coupable……
Pieter KERSTENS.
31

32
Désinformation
“Wooncode”, machine de guerre
anti-francophones?
C’est ainsi que la presse francophone
subsidiée et aux ordres
le présente. C’est un bel exemple
de désinformation destiné à alimenter
le conflit interrégional.
Le wooncode ne s’applique pas
partout en Flandre
En effet, il ne concerne en gros qu’une
commune flamande sur quatre. En dehors
des communes concernées par ce texte,
n’importe qui peut s’installer là où il le
désire en Flandre, quelles que soient ses
origines, sa langue, sa culture. Il faut
donc relativiser.
Le wooncode n’est pas discriminatoire,
mais protecteur
En vertu de ce texte, on ne peut s’installer
dans une commune concernée que si
l’on démontre des attaches avec ladite
commune. Ce peut être d’y avoir toujours
vécu, ou d’y avoir un emploi stable. Ceci
a pour but d’empêcher des personnes
qui n’ont d’autre vertu qu’un compte
en banque bien rempli d’acquérir à prix
d’or un appartement ou une villa dans ces
communes (notamment les communes
touristiques de la Côte) pour n’y passer
que quinze jours par an. Cela revient par
conséquent à limiter la demande, et donc,
de ce fait, à empêcher les prix de l’immobilier
de flamber. Si l’immobilier devient
trop cher, ce sont les habitants du cru qui
en pâtissent: travailleurs, pensionnés, et
autres personnes modestes ne trouvent
plus à se loger à des prix abordables.
De nombreuses communes touristiques
de France ou d’Espagne, par exemple,
pourraient s’en inspirer… Comme cela a
été fait à Pékin (voir encadré).

Le wooncode n’est absolument
pas anti-francophones
La presse francophone
nous narre régulièrement
les aventures de malheureux
francophones victimes
du sectarisme flamand.
Elle se garde bien
de donner une version
objective des faits. Elle
se garde bien également
de signaler qu’il y a tous
les jours davantage de
Flamands empêchés d’acquérir
par le wooncode
que de francophones! La
vérité est qu’aucun examen linguistique
n’est nécessaire pour acquérir un bien
dans une commune où s’applique
le wooncode. La seule
condition obligatoire
pour y devenir propriétaire,
encore une
fois, est de prouver
des attaches avec
cette commune. C’est
tout. Ainsi, un francophone
(ou anglophone,
ou germanophone,
ou autre),
propriétaire depuis un certain temps d’un
commerce à Ostende, par exemple, qu’il
exploite personnellement, n’aura aucune
difficulté à acheter un appartement ou
une villa dans cette commune.
Par contre, un Flamand
néerlandophone qui
vit à Anvers ou à Genk, et
qui n’a peut-être jamais
mis les pieds de sa vie à
Ostende, ne pourra y acquérir
une résidence. Récemment,
d’ailleurs, on
a vu un néerlandophone
qui projetait d’acquérir
un bien sis dans une commune
concernée par ce
code empêché de conclure cette affaire,
faute d’attaches avec la commune. Le
bien appartenait à… un francophone!
A cela on voit de quel côté on attise le
feu communautaire… C’est que les politiques
wallons ont bien trop peur que
la Flandre ne se lasse de les subsidier
à fonds perdus… alors, ils font tout et
n’importe quoi pour
nuire à l’image de la
Flandre.
Christian MAROT
Rédacteur en chef
«Pékin a dévoilé des mesures sévères pour freiner la hausse excessive des prix dans
l’immobilier» révèle l’agence Chine Nouvelle.
Ainsi, les personnes non résidentes à Pékin, ou qui ne peuvent pas prouver qu’elles se
sont acquittées de leurs impôts et contributions sociales dans la ville depuis au moins un
an ne pourront obtenir un prêt hypothécaire pour y acquérir un logement.
Cela ressemble furieusement au wooncode, non? En Flandre, c’est scandaleux, à Pékin,
c’est une excellente mesure sociale. Allez comprendre…
33

34
RECTIFICATIF
Dans notre dernier numéro, nous avons publié
(page 30) un article de notre ami Pieter
Kerstens intitulé la Belgique est un nonpays.
On y lisait que l’on pouvait acheter dans
certains endroits de Bruxelles des fusils
d’assaut (kalachnikov) pour 1.000 €. En
fait, dans son texte original, le chiffre était
100 €. Toutefois, ayant trouvé à plusieurs
reprise dans la presse (Vlan, DH, Het Laatste
Nieuws, etc) un chiffre tournant autour
de 1.000 €, nous avons pensé à une erreur
de frappe et nous avons «corrigé». Pieter
soutient que le prix de 100 € est bien le
bon. Nous lui en donnons donc acte, et nous
le prions de nous excuser pour cette rectification
intempestive.
Nous ne savons trancher le débat, n’ayant
pas une expérience suffisante du trafic
d’armes de guerre!
Nous attendrons donc que Test-Achats ait
donné son avis, ce qui ne saurait tarder,
vu l’importance économique que prend ce
négoce…
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V ités
B é
Ruxelloises
Mensuel dixième année - n° 97 - Mars-Avril 2010
Ed. resp.: Christian Marot - Place Madou 8/4 - 1210 Bruxelles
€500 par jour
L
a dure vie
du demandeur
d’asile
Lire page 8 - 9
www.vlaamsbelangbruxelles.be
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Belgique - België
B.P./P.P 1/1876
2099 Centre de tri Antwerpen X
Bureau de dépôt Antwerpen X
P605084
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Cher électeur,
Quand les partis découvrent subitement
des problèmes dont ils
ne parlent pas habituellement et
quand d’une façon non moins soudaine ils
se mettent à présenter des solutions proches
de celles du Vlaams Belang, alors on
sait que l’on est en période électorale. Ce
ne sera pas la première fois que nos adversaires
plagient le programme du Vlaams
Belang, pour le condamner de nouveau
après les élections.
Mieux vaut l’original que la copie !
Le Vlaams Belang continuera à dénoncer
les problèmes et ce sans aucun tabou. Le
Vlaams Belang continuera à présenter des
solutions réalistes qui ont souvent l’appui
d’une majorité de la population. Ainsi,
lorsque nous préconisons une politique
d’immigration sévère mais juste, ou lorsque
nous affirmons notre volonté de combattre
radicalement la criminalité ou lorsque nous
avançons des idées pour diminuer réelle-
ment les impôts.
Les faits confirment que le Vlaams Belang a
raison. Cela rend hargneux nos adversaires
qui mènent une campagne de haine contre
le Vlaams Belang. D’où le nouveau procès
pour priver le Vlaams Belang de son financement
public et d’où le cordon sanitaire
anti-démocratique des partis traditionnels
qui veulent écarter d’avance le Vlaams Belang.
Les partis traditionnels ne veulent pas
de changement, ils veulent continuer leur
politique habituelle, quels que soient les résultats
des élections.
En tant que têtes de liste du Vlaams Belang,
nous vous demandons votre soutien.
Dans l’isoloir, c’est vous qui décidez.
C’est là que vous pouvez montrer
qu’à Bruxelles la politique doit changer,
doit être meilleure. Les élections
sont l’occasion pour vous de dire
clairement que «trop» est «te veel»
et vice-versa.
Filip Dewinter Filip De Man
Tête de liste au Sénat Tête de liste à la Chambre