•Entrée Nimègue v3 •Entrée liste d'ascendance •Parentés ... - Filiatus

FILIATUS.COM
Filiatus Pro v4
Entrée Nimègue v3
Entrée liste d’ascendance
Parentés entre adhérents
Descendance « à l’ancienne »
Autres améliorations
Tutoriel
Michel Demorest
Mars 2011
Mode d’emploi simplifié de diverses nouvelles fonctions et autres améliorations du logiciel Filiatus Pro
V4.

Sommaire
Avant-propos ........................................................................................................................................... 3
A. Lancement de la fonction « Import Nimègue v3 » : .......................................................................... 4
B. Lancement de la fonction « Liste d’ascendance » : ........................................................................... 5
C. Parenté entre adhérents : .................................................................................................................. 9
D. La fonction « Descendance à l’ancienne » : .................................................................................... 13
F. Autres améliorations : ...................................................................................................................... 15

Avant-propos
Le but de ce tutoriel n’est pas de faire un mode d’emploi général de Filiatus mais de se cantonner aux
nouvelles fonctions et autres améliorations de la version 4 du logiciel.
Cependant, pour accéder à ces fonctions, il ne sera pas superflu de rappeler quelques éléments de
base de son utilisation, particulièrement à l’adresse des nouveaux utilisateurs qui auraient à batailler
avec quelques désagréments de la politique « tout sécuritaire » des dernières versions de Windows
(Vista et Windows 7).
Rappelons que Filiatus qui commande l’ouverture de Word et du Bloc-notes à distance, est lui-même
soumis au contrôle de l’administrateur que vous êtes. A cet égard il est impératif que vous donniez
vos autorisations par le truchement d’un clic avec le bouton droit de la souris :
1. Sur le raccourci de l’icône de Filiatus > « Exécuter en tant qu’administrateur » (pour activer
Word) ;
2. Sur l’icône de l’application de Filiatus > « Exécuter en tant qu’administrateur » (pour activer
le Bloc-notes) 1 .
Rassurez-vous, cette manipulation ne se pratique qu’une seule fois pour toutes.
Après avoir double-cliqué sur l’icône de Filiatus, situé en principe sur le bureau, la fenêtre de
connexion s’ouvre et affiche votre nom d’utilisateur et votre mot de passe crypté 2 .
Un clic sur OK ouvre la fenêtre d’accueil sur les différents boutons d’import, ou de fichier de travail.
1 Pour accéder à l’icône de l’application, il suffit d’un clic avec le bouton droit de la souris sur l’icône de
raccourci, puis d’un clic sur « Ouvrir l’emplacement du fichier ». Là, sur l’icône en surbrillance, refaites un clic
droit, puis cliquez sur « Exécuter en tant qu’administrateur ».
2 Ce mot de passe peut être décrypté par simple clic dans la case à cocher placée dans la case de saisie du mot
de passe.

A. Lancement de la fonction « Import Nimègue v3 » :
La fonction « Import Nimègue v3 » est une procédure qui va permettre à l’utilisateur d’importer des
fichiers CSV provenant de Nimègue, à la manière des fichiers Gedcom. Une fois importé, le fichier se
transforme en base FTS (Filiatus) et se gère comme n’importe quel autre dossier Filiatus. On peut dès
cet instant procéder à divers nettoyages, voire à éditer une monographie 3 .
Cette fonction qui pourrait aussi s’appeler le « MariaGed du pauvre » va, dans certains cas, se
substituer à la fonction MariaGed, afin d’importer tous les personnages du fichier Nimègue, sans
intervention du programme. Dans cette éventualité, le couple parental se verra répété autant de fois
qu’il y aura d’enfants. Il est impératif de procéder ensuite à la recherche de doublons dès la fin de
l’import 4 .
L’accès à la fonction « Import Nimègue v3 » se fait par le bouton entouré de rouge.
3 Une monographie peut être effectivement éditée dans le cas d’une liste de personnages non filiatifs, tels que
des participants à un concours, les membres d’une association, les victimes d’une catastrophe, etc.
4 Personnellement, ayant pratiqué les deux méthodes, je ne saurais dire cette pratique est meilleure que le
passage par MariaGed. Les algorithmes étant à peu-près les mêmes, le résultat devrait être similaire. Toutefois,
on peut imaginer que l’utilisateur se sentira plus en confiance dans cette dernière hypothèse, dans la mesure
où c’est lui qui orchestrera ses propres fusions.

B. Lancement de la fonction « Liste d’ascendance » :
La fonction « Liste d’ascendance » est une procédure qui va permettre à l’utilisateur d’importer des
listes d’ascendances issues d’un fichier TXT au format ci-dessous :
Colonne 1 Numéro sosa Obligatoire
Colonne 2 Prénoms et Patronyme 5 Obligatoire
Colonne 3 Date de naissance Conseillé
Colonne 4 Lieu de naissance Facultatif
Colonne 5 Nom du conjoint Facultatif car sosa
Autres colonnes Divers Facultatif
5 Patronyme en majuscules ; prénoms en minuscules, sauf les initiales.

L’accès à la fonction « Liste d’ascendance » se fait par le bouton entouré de rouge.
Après avoir cliqué sur le bouton, une boîte de dialogue s’ouvre dans laquelle il faut sélectionner le
nom de la liste d’ascendance (rappel : format TXT obligatoire).

Une fois le fichier sélectionné, et après avoir cliqué sur le bouton « Ouvrir », le programme ouvre une
fenêtre plein écran qui n’est pas sans rappeler l’écran d’import Gedcom.
Un clic sur le bouton « Importer » lancera l’import de la liste d’ascendance qui s’achèvera sur
l’affichage du message suivant. Pensez à décocher l’option « Vérifier l’ordre des unions multiples »
qui est sans intérêt dans cette procédure.
Un clic sur le bouton « OK » ouvrira l’écran principal sur lequel nous pourrons constater que le
personnage axial de Filiatus correspond bien au sosa numéro 1 de la liste d’ascendance.

Un clic dans la barre d’icônes sur le bouton représentant un arbre d’ascendance ouvrira l’arbre des
ancêtres du personnage axial.
Et, éventuellement, un clic sur le bouton « Arbre pour enfants » ouvrira les 16 quartiers de ce même
personnage axial, prêts à être imprimés par un simple clic sur l’icône représentant une imprimante.

Il ne reste plus à l’utilisateur qu’à travailler dans ce fichier comme dans n’importe quel autre fichier
Filiatus issu d’un import Gedcom, d’un import Nimègue ou tout simplement d’une saisie.
Toutefois, il existe une autre application de cet import de listes d’ascendances. Il s’agit de l’import de
listes d’ascendances multiples dont la finalité sera de retrouver la parenté entre différents
personnages, particulièrement axée sur la parenté entre adhérents d’un même cercle généalogique.
C. Parenté entre adhérents :
Ce qui est intéressant avec les membres d’un cercle généalogique, c’est que la plupart d’entre-eux
sont cousins par le fait même qu’ils s’auto-sélectionnent en s’inscrivant à un même cercle. C’est la
raison pour laquelle l’import de multi-ascendances additionné à la recherche de doublons va
permettre de détecter assez aisément les parentés entre ces personnes et de les éditer dans un
fichier Excel que chacun pourra exploiter 6 .
Après mûre réflexion, j’ai décidé d’expliquer, si ce ne sont les algorithmes, tout au moins la logique
de cette procédure.
6 Cette idée ne m’appartient pas. Je la dois au CGDT, à sa présidente et à ses collaborateurs, avec lesquels nous
avons pu défricher ce vaste dossier des parentés. Dossier qui, à mon avis, pourrait être encore plus poussé
dans des versions à venir ou, peut-être, par mes grands confrères, éditeurs de logiciels.

Commençons par ce qu’il ne faut pas faire. Déverser dans une immense base tous les fichiers
Gedcom des adhérents puis tenter de fusionner le tout. C’est un travail sans fin qui demande un
temps considérable ; mais surtout il ne sera jamais exhaustif.
Personnellement j’avais basculé toute la base dans Filiatus et lancé une procédure de recherche de
doublons. Ce fut extrêmement long et le résultat pas très parlant. Par la suite j’avais essayé une autre
formule qui consistait à extraire le fichier Gedcom de chaque adhérent (ce qui délestait ma base des
collatéraux et des isolés). Mais le résultat ne fut pas très probant non plus : une longue liste de
doublons dans un fichier TXT me faisant un peu perdre le fil de notre travail.
Pourtant, je me rapprochais de la bonne formule. Mieux qu’un Gedcom, la liste d’ascendance révélait
avec exactitude et sans redondance l’identité véritable des ancêtres d’un adhérent. De surcroît, le
numéro sosa situait précisément chaque génération. Donc, me disais-je, si l’on pouvait extraire la
liste d’ascendance de chaque adhérent (sosa n°1), accompagnée de ses numéros sosa, et que l’on
puisse importer en une seule fois (en un seul fichier) toutes les listes d’ascendances, nous
posséderions alors, dans leur intégralité, le fichier de tous les ancêtres des adhérents.
Puis en lançant une recherche de doublons appropriée nous afficherions dans un fichier Excel, et non
plus dans un simple fichier TXT, les couples similaires, donc communs, accompagnés de leurs
numéros sosa respectifs.
Avant de passer à un exemple concret, il me reste à vous expliquer comment on peut créer un fichier
TXT de toutes les ascendances des adhérents d’un cercle généalogique, alors que cette fonction
n’existe dans aucun logiciel ? Rien de plus facile. A partir de la base des adhérents 7 , il suffit de créer
autant de listes d’ascendance qu’il y a d’adhérents. Tous les fichiers ainsi créés devront être au
format expliqué précédemment puis réunis par « copier-coller » dans un unique fichier TXT. Ainsi, le
sosa numéro 1 de l’adhérent numéro 2 succédera au plus lointain ancêtre de l’adhérent numéro 1 8 .
7 Il est en effet indispensable que, dans le cadre d’une association généalogique s’entend, les adhérents
communiquent leur fichier Gedcom afin qu’ils soient centralisés dans une base commune.
8 Nous avons volontairement caché les identités des personnages en vertu des droits en vigueur.

Rassurez-vous, depuis une demi-dizaine d’années, le « Bloc-notes » peut maintenant supporter un
grand nombre d’octets, soit une centaine de listes d’ascendance (je n’ai pas testé plus haut). Dans la
mesure du possible, il faudra éviter de modifier les informations du fichier (rétablir les colonnes,
effacer les espaces, les signes qui vous semblent incohérents ou redondants), le bon timing de cette
délicate opération risquerait d’en souffrir.
Lorsque ce fichier aura soigneusement été créé, il ne vous restera plus qu’à l’importer dans Filiatus
comme il a été expliqué ci-avant, par un simple clic sur le bouton « Liste d’ascendance ». Un clic sur
le bouton « Importer » du module d’import permettra, en fin de procédure, d’accéder aux fonctions
de l’écran principal de Filiatus.
Le fichier qui me sert d’exemple pour ce tutoriel représente environ 90 adhérents. Il va générer
48468 personnages 9 tous issus des listes d’ascendance de chacun d’eux. En cliquant sur le bouton
« Rechercher » de la barre d’icônes, on ouvre la palette de recherche sur laquelle on peut constater
que tous les personnages portent un numéro sosa, parfois en double.
Pour lancer la procédure de recherche de parentés, cliquez sur le bouton représentant deux
personnages l’un derrière l’autre.
9 Information visible depuis la barre de titre de l’écran principal, juste au-dessus de la barre d’icônes.

Ce bouton affichera le message suivant :
En cliquant sur « Oui », la procédure se mettra en marche et une barre de progression s’activera,
vous permettant de visualiser le temps approximatif de l’opération.
Environ 10 minutes plus tard (dans notre exemple) la fin de traitement est annoncée.
Excel s’ouvrira alors sur la liste finale des parentés 10 .
10 Si le fichier s’ouvre dans le Bloc-notes et que vous désirez l’ouvrir dans Excel, procédez comme suit : Fermez
le fichier « Cousins.csv » (c’est son nom par défaut) en cliquant dans le menu sur « Fichier > Enregistrer sous
> Bureau > Enregistrer > Quitter ». Puis, par un clic avec le bouton droit de la souris sur le fichier dont l’icône
vient d’apparaître sur le bureau, vous afficherez un menu flottant dans lequel vous choisirez « Ouvrir avec >
Microsoft Office Excel ».

Dans les deux premières colonnes se trouvent, classés par ordre alphabétique, le nom et le prénom
du couple d’ancêtres dont le numéro sosa (de l’homme) est dans la troisième colonne ; le nom de
l’adhérent qui descend de ce couple est mentionné en quatrième colonne. Le nom du couple
d’ancêtres est répété autant de fois qu’il y a d’adhérents qui en descendent.
Dans l’exemple de ce tutoriel, volontairement flouté, 58 adhérents se répartissent 12077 ancêtres.
Certains sont cousins une dizaine de fois entre-eux.
D. La fonction « Descendance à l’ancienne » :
L’image ci-dessous représente un extrait de document ancien relatif à la descendance de la famille
« LE CHAUFF ». Il s’agit en l’occurrence d’une descendance agnatique par branches que Filiatus
excelle à éditer.

Cependant, on peut noter que dans cet extrait, outre la police qui diffère des monographies de
Filiatus, les sauts de lignes sont parcimonieux, tout en offrant une structure particulièrement lisible.
Et le gain de place est un gain d’argent pour l’imprimeur.
C’est tout simplement ce que j’ai voulu apporter dans cette « Descendance à l’ancienne », le gain de
place et la structure.
Voici, ci-dessous, un extrait de cette même famille réalisé par Filiatus Pro v4, option « Descendance à
l’ancienne ».

Dans la version standard de la descendance par branches patronymiques, il y aurait eu de nombreux
saut de lignes intercalés entre les enfants, et de nombreuses images interférant parfois un peu trop
sur l’architecture 11 .
Tous les goûts et les couleurs étant dans la nature, chacun choisira l’option qui lui convient le mieux
en fonction de ses images, de sa culture et de… son budget.
F. Autres améliorations :
1. Dates de vie des enfants dans les « Album » ;
11 La « Descendance à l’ancienne » ne retient qu’une image par descendance, celle de l’ancêtre ou du couple
d’ancêtres. Cette image est affichée en haut de la première page. Par ailleurs, cette descendance s’écrit
obligatoirement sur une seule colonne.

Ici, un petit rappel de la fonction « Album » est nécessaire. Après avoir cliqué sur le bouton
« Monographie » de l’écran principal, puis dans l’onglet « Filiatus Pro », un clic sur le bouton
« Album » ouvre la fenêtre ci-dessous.
Après avoir vérifié que la case « Citer les enfants dans la biographie des parents [Ne fonctionne
qu’avec l’Album et en ascendance par générations)] était cochée (elle l’est par défaut) ;
Après avoir vérifié que les patronymes, les lieux et les professions étaient paramétrés selon vos
souhaits.

Cliquez sur le bouton « Lancer la monographie ».
Quand la monographie est éditée, vous êtes en présence d’une sorte de dictionnaire ou les
biographies sont présentées sous la forme :
. Numéro
. Patronyme
. Prénom
. Profession principale
. Dates de vie
. Parents
. Mariage
. Enfants
Intéressons nous à la rubrique « Enfants ».

Comme vous pouvez le constater, les enfants sont classés dans l’ordre de leur naissance. Si la date
manque, ils sont classés dans l’ordre de la saisie ou de la modification. Pour modifier l’ordre des
enfants, cliquez sur le bouton longiligne face à la case « Enfants » dans l’écran principal. Une fenêtre
s’ouvrira alors. Il suffira de reclasser les enfants par simple « glisser-déposer ».
Il est également possible de corriger l’ordre des enfants d’une manière automatique pour toute la
base par l’intermédiaire du menu.

Le numéro entre crochet qui suit le prénom de l’enfant indique sa place dans la monographie. Depuis
la version 4 de Filiatus, les dates de vie de l’enfant, quand elles existent, sont insérées entre son
prénom et son numéro.
Ainsi, Etienne LIGNON, le fils aîné d’Anne DUPUIS, sera situé en 45 ème position, quelques pages avant
la biographie de sa mère qui possède, rappelons-le le numéro 94.
2. Saisie par numéro d’identifiant ;
Pour les utilisateurs qui connaissent le numéro d’identifiant d’un personnage, une case de saisie dans
la palette de recherche est prévue à cet effet. Elle permet de retrouver rapidement le personnage
sans passer par les cases « Patronyme », « Prénoms », etc.
Ci-dessous un extrait du fichier Gedcom où l’on retrouve l’identifiant 151I sous la forme 0 @151I@
INDI 12 .
12 Comme vous avez pu le constater, Filiatus est l’un des rares logiciel de généalogie qui conserve les numéros
d’identifiant et de couple originaux. C’est un gros avantage quand il s’agit de retrouver certains individus

3. Localisation des lieux belges via Google Maps ;
Sur une idée d’un des utilisateurs Belges, j’ai entrepris d’associer la modernité de Google Maps
au classicisme des monographies de Filiatus. Cette cartographie ne concerne pour l’instant que la
France, la Belgique et le Canada et s’enrichira peut-être au fil des versions, selon les desiderata
des utilisateurs.
De quoi s’agit-il exactement ? Tout simplement de relier la ville de BMS 13 d’un ancêtre à la carte
géographique correspondante par le truchement d’Internet, plus précisément de Google Maps 14 .
Pour localiser la ville d’un ancêtre, l’utilisateur aura à cliquer dans le menu sur « Affichage >
Dictionnaires > Lieux ».
comme expliqué ci-dessus ; mais, à contrario, cet identifiant est pénalisant dans la mesure où il risque fort
d’être utilisé par un autre fichier Gedcom, ce qui empêche toute fusion de fichier dans Filiatus. Mais le jeu
semble en valoir la chandelle, particulièrement dans la fonction MariaGed (voir le chapitre consacré à cette
procédure).
13 Baptême, mariage et sépulture ; également ville de naissance et de décès.
14 Logiciel de cartographie mondiale, dont Google Arth, fonction basée sur des vues « 3D satellite » de la Terre.

S’ouvrira alors une fenêtre récapitulant tous les lieux de la base.
Un clic sur le bouton correspondant au nom du pays concerné, puis sur le bouton « Google
Maps » affichera la carte recherchée dans son moindre détail.

Bien d’autres améliorations ont été apportées dans cette version 4 de Filiatus. Mais il est inutile de
les commenter dans ce tutoriel. Ces discrètes innovations ont en général pour but de rendre plus
convivial, plus rapide et plus moderne ce logiciel dont l’audience ne fait que croître.
Souvenez-vous qu’avant d’être un commerçant, je suis un informaticien, et avant d’être un
informaticien, je suis un généalogiste… comme vous.
Michel DEMOREST