2B. + Sauriez-vous réordonner ces images du film ? 1. ___ / 2. ___ / 3. ___ / 4. ___ / 5. ___ / 6. ___ A B C D E F Fiche pédagogique réalisée par Fanny Grosse 4
Fiche pédagogique réalisée par Fanny Grosse + À quel extrait du roman associez-vous chacune <strong>de</strong> ces images ? 1 ...cette fois-ci, elle s’est promis d’être irréprochable. Sa tenue est prête <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s semaines : petite robe noire, escarpins assortis, joli sac à main rose en forme d’arrosoir, original, charmant, plein d’humour. [...] <strong>Une</strong> sorte d’origami <strong>de</strong> paille rose piqueté <strong>de</strong> plumes multicolores. <strong>Le</strong> croisement d’un perroquet et d’une sculpture cubiste. C’est un chapeau extrêmement sophistiqué, et vraiment peu ordinaire. Ça ira très bien. 2 Elle lui met la chemise <strong>de</strong> nuit, et ferme un à un les boutons, sur le <strong>de</strong>vant. C’est une chemise <strong>de</strong> nuit <strong>de</strong> coton rose à fleurs blanches, très différente <strong>de</strong> la combinaison en <strong>de</strong>ntelle, soyeuse et raffinée. Comme si elle lisait dans ses pensées, Maddy fait remarquer : - Tu as vu cette horreur ? C’est Isabelle qui m’a acheté ça. Comme si c’était mon style ! Elle sait parfaitement que je déteste ces chemises <strong>de</strong> nuit <strong>de</strong> mémés, mais elle dit que j’ai besoin <strong>de</strong> quelque chose <strong>de</strong> confortable ! 3 - Bérengère, veux-tu être ma femme ? - Oui, je le veux. Et toi, Vincent, veux-tu être mon mari ? - Oui, je le veux. Bérengère, je te reçois comme épouse et je me donne à toi pour t’aimer fidèlement tout au long <strong>de</strong> notre vie. - Vincent, je te reçois pour époux et je me donne à toi pour t’aimer fidèlement tout au long <strong>de</strong> notre vie. 4 Peu à peu, Marie cesse <strong>de</strong> faire semblant <strong>de</strong> s’intéresser. Elle ne pense qu’à poursuivre avec Agnès la conversation interrompue tout à l’heure par l’arrivée <strong>de</strong> l’inopportune cousine. Elles parlent <strong>de</strong> tout et <strong>de</strong> rien, à bâtons rompus. [...] Elles ne se ressemblent pas. <strong>Le</strong>urs parcours et leurs existences sont très différents. Et pourtant, elles ressentent une bienfaisante impression <strong>de</strong> totale connivence. « On ne s’est pas vues <strong>de</strong>puis longtemps, et on a beaucoup <strong>de</strong> choses à se dire. » Elle a souri en entendant Agnès proférer ce mensonge éhonté. À cette heure <strong>de</strong> la soirée, elle se dit que, finalement, ce n’était peut-être pas un mensonge. 5 La <strong>pièce</strong> est tendue <strong>de</strong> velours rouge, éclairée seulement par une petite lampe posée sur une table basse. Il s’avance vers un coin plus sombre, et là, il découvre, dans un fauteuil, Nathalie endormie. Elle a la tête un peu penchée sur l’épaule. <strong>Une</strong> mèche bouclée tombe sur son front et glisse le long <strong>de</strong> sa joue ron<strong>de</strong>. Elle a l’air d’une enfant. 6 La <strong>pièce</strong> <strong>montée</strong> arrive, sur un plateau immense porté par <strong>de</strong>ux serveurs. Il voit osciller au rythme <strong>de</strong> leur marche cette tour <strong>de</strong> Babel en choux à la crème, sur<strong>montée</strong> du traditionnel couple <strong>de</strong> mariés. [...] Bérengère détache les mariés en sucre d’un geste gracieux, les brandit sous les applaudissements, et les dépose dans l’assiette <strong>de</strong> son mari. 5