Lettre Ouverte à MdC#255049.cwk

Michel del Castillo…lettre ouverte
Lorsque nous avons pris connaissance des articles de l’Express (16
octobre 2008), du Nouvel Observateur (6-12 novembre 2008), de
Paris Match (13-19 novembre 2008), de Sud-Ouest Dimanche (30
novembre 2008) et peut-être en oublions-nous (?) , chargés de faire la
promotion de votre livre “Le temps de Franco”, nous nous sommes
interrogés: sommes-nous sûrs d’avoir bien lu ? !
Il ne nous était pas possible de rester indifférents et silencieux devant
une entreprise qui vise à vous présenter comme celui qui “ rectifie les
erreurs des historiens partisans ”(Sud-Ouest Dimanche 30/11/08).
Pour éclairer vos lecteurs, nous avons fait le choix de reprendre certains
points de l’article de Sud-Ouest Dimanche signé Jean-Marie PLANES dans la
mesure où les trois autres relèvent du même registre, présentent la
même tonalité puisqu’ ils sont issus de la même inspiration…
Les journalistes de ces hebdomadaires n’ont eu qu’un seul tort: celui de
vous faire confiance.
Voici un extrait de l’article de Sud-Ouest Dimanche (30/11/2008)
“Il (c’est vous) établit que les gouvernements républicains n’avaient
cessé de bafouer la Constitution, que Franco n’est pas à
l’origine du soulèvement militaire auquel, dans son légalisme
constitutif, il ne se ralliera que tardivement. Il rappelle son
comportement roué, mais efficace pour l’Espagne, face à Hitler, puis face
aux Américains dont il a besoin pour reconstruire le pays. Il montre
comment le fascisme était viscéralement étranger à ce
catholique réactionnaire. Il ne nie pas la cruauté de la
répression mais rappelle les effroyables tueries des camps
républicains. Il rend hommage à la sagacité avec laquelle le
généralissime a préparé sa succession. Il voudrait que l’Espagne
renonce à déterrer ses morts et accorde à sa propre histoire lucidité et
équanimité. Puisse ce livre juste et beau y contribuer!”.
Mais avant de répondre à vos affirmations, nous devions chercher à
mieux vous connaitre. C’est ainsi que, vous concernant, nous avons trouvé
deux biographies:
L’une sur EVENE.fr.
Voici ce que nous y avons relevé.
“né à la veille de la guerre civile espagnole (02 août 1933), de père
français et de mère espagnole, Michel del Castillo doit très vite fuir le
régime franquiste. Parvenu dans le sud de la France, il est abandonné par
sa mère et est déporté dans le camp de concentration de
Mauthausen en Allemagne. A la fin de la guerre, il retourne en Espagne,
malheureusement le gouvernement franquiste considère d’un mauvais
œil ses antécédents et l’envoie en maison de redressement pendant

cinq ans. Sorti de ce “bagne” comme il l’appelle lui-même, il gagne Paris
et commence à se plonger dans l’écriture.”
L’autre dite “officielle” sur www.micheldelcastillo.com dont
voici un extrait.
“De 1942 à 1945…il passera toute la guerre en Allemagne, de camp en
ferme de travail. Il en reviendra brisé”.
Laquelle de ces deux biographies retenir? Pourquoi dans la seconde ne
parle-t-on plus de Mauthausen? Que faut-il comprendre par: “ de camp en
ferme de travail”…s’agit-il du S.T.O, à 9 ans?
Ces deux biographies, outre les questions qui précèdent, vont nous
permettre d’éclairer quelques zones d’ombre.
Commençons par celles qui figurent sur EVENE.fr. : “…déporté dans le
camp de concentration de Mauthausen en Allemagne”. Je vous invite à
consulter le Livre Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la
Déportation…(www.bddm.org/liv/search.php) dans lequel le nom de
Miguel/Michel del Castillo ne figure pas. Votre nom serait-il un pseudonyme?
Mais alors pourquoi ne vous retrouve-t-on pas non plus par votre date
de naissance? S’agissant de votre terrible expérience de ce “bagne” en
Espagne franquiste, nous aimerions que vous localisiez le/les lieux et
dates de votre détention.
Avez-vous vécu ce que dénonce Saülo Mercader, peintre renommé,
docteur en arts plastiques (Paris VIII), diplômé de l’Université de Columbia,
qui retrace son itinéraire dans son livre poignant: “les chants de l’ombre,
tragédie d’un enfant espagnol” (édité en 2000 chez Imago), dans son
témoignage “Las inclusas”?
Ce témoignage est paru dans Femme Actuelle, à la rubrique “la vie en
face” et doit être consulté sur :
Espagne au cœur,
http://site.voila.fr/espana36/articles/SMercader.html
MER47,
mer47.free.fr/spip.php?
…Permettez-nous d’en douter !
Et maintenant, venons-en à l’article de Sud-Ouest Dimanche:
Lorsque vous dites que “ les gouvernements républicains n’avaient cessé
de bafouer la Constitution…” , nous nous interrogeons:
Qui a promulgué cette Constitution le 9 décembre 1931 après la
victoire des Républicains aux élections du 12 et la proclamation de la
Seconde République le 14 avril de cette même année? Le gouvernement
issu de ces élections n’était-il pas le seul garant du respect de cette
constitution dont il était le maître d’œuvre?
Qu’a fait le Roi Alphonse XIII, une des deux références de Franco avec
l’Eglise ?… Il a abandonné le pouvoir et s’est enfui à Paris !
En revanche, nous sommes en accord avec vous lorsque vous dites que

“Franco n’est pas à l’origine du soulèvement militaire auquel…il se ralliera
tardivement.”
Nous n’ignorons pas en effet que les véritables fomentateurs du coup
d’Etat sont “les deux José”, à savoir : José Calvo Sotelo et José Sanjurjo
Sacanell, appuyés par le général Mola, Gouverneur militaire de Pampelune.
Après être resté dans l’ombre, Franco, chef de file des officiers
monarchistes au sein de l’armée espagnole, attendra des conditions
qui lui seront plus favorables, c’est à dire la mort violente “des deux
José”, le 13 juillet 1936 pour le premier, le 20 juillet 1936 pour le second,
puis l’échec de la “Junta de defensa nacional” de Mola que Franco
récupèrera à son profit pour prendre la direction du Golpe contre la
République espagnole.
Mais ce que vous oubliez de dire, c’est que Franco :
“transformera l’Histoire” à son seul avantage, à sa seule
gloire…puisqu’il va tout mettre en œuvre pour apparaître
comme étant le seul instigateur de ce coup d’état et que
jusqu’en 1975, année de sa mort, ce mensonge comme tous les
autres seront enfoncés dans le crâne des enfants en milieu
scolaire et dans celui du peuple espagnol !
D’autre part, nous nous accordons pour dire que, sauf à lire votre livre,
nous ne saurons jamais comment vous vous y êtes pris pour
démontrer comment le fascisme était viscéralement étranger à
ce catholique réactionnaire”.
Et puis nous relevons que, parlant des partisans de Franco, vous “ne niez
pas la cruauté de la répression” tandis que vous dénoncez “les
effroyables
tueries des camps républicains”.
De quels camps parlez-vous? Quels camps les républicains ont-ils édifiés?
Si vous vous êtes intéressé à cette tragique période, vous ne pouvez pas
ignorer ce qu’a écrit Joseph Pérez, professeur émérite de l’Université
Michel de Montaigne Bordeaux 3, dans son “Histoire de l’Espagne”, éditée,
comme votre livre, chez Fayard (1996).
Ce texte peut-être consulté sur:
Espagne au cœur,
http://site.voila.fr/espana36/articles/JPerez.html
Enfin, après qu’elle ait vécu 36 ans de propagande et de mensonges, vous
osez souhaiter pour l’Espagne et sa propre Histoire “lucidité et
équanimité” ! S’agissant de ce dernier terme, faut-il le prendre dans son
sens “d’indifférence” ?
Pour conclure, nous reprendrons votre citation trouvée sur le site
EVENE.fr:
“Les fautes n’importent guère dès lors qu’elles sont reconnues.”
(septembre 1987)

Permettez-nous de souligner qu’à notre connaissance, Franco n’a
JAMAIS reconnu les fautes atroces, horribles, monstrueuses,
abominables commises sous son autorité sur les combattants
républicains y compris ceux des Brigades Internationales, mais
également sur “las Rojas” (les femmes républicaines) et “les
enfants du diable” !
Enfin, plus grave, il poursuivra “les vaincus” de sa haine implacable
non seulement sur le territoire espagnol mais également
sur le territoire français, avec le concours du gouvernement de
Vichy !
Il est également remarquable que Juan Carlos, son héritier, puisque c’est
vous qui dites que “ le généralissime a préparé sa succession”, n’ait
jamais reconnu et condamné les crimes de celui qui l’intronisa.
Signatures:
- - -
Narcis FALGUERA, Président National de l’ Amicale des Anciens
Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI.).
Enrique LISTER, Docteur ès Lettres, Directeur du Département d’Etudes
Slaves de l’Université de Poitiers, fils de Enrique LISTER, général de
l’armée républicaine espagnole.
Saülo MERCADER, master of Art de la Columbia Université de New-York
(1982), Docteur en Arts Plastiques de l’Université Paris VIII (1986),
Chevalier des Arts et des Lettres du Ministère de la Culture française
(1986), Médaille de Vermeil de la ville de Paris (2004), auteur du livre
“Les chants de l’ombre, tragédie d’un enfant espagnol” édité en
2000 chez IMAGO, dans lequel se trouve son témoignage “las Inclusas”.
Charles FARRENY, site “Espagne au coœur“.
(09)
Michel ROBLES, Bonnac.
(11)
Ana BONET, fille de Combattant républicain espagnol, Chemin de l’Exil
Républicain Espagnol (C.E.R.E. 11).
(12)
Jean VAZ, Président de Memoria Andando, Decazeville.
(26)
Pedro NICOLAS, Divajeu.

(30)
Francisca DUFFAU SAN MARTÍN, fille de Manuel SAN MARTÍN,
Déporté à Mauthausen, matricule 4949.
Joaquim GARCÍA et
Anne GARCÍA, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France
F.F.I. (AAGEF-FFI Gard-Lozère).
(31)
Henri FARRENY, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France
F.F.I. (AAGEF-FFI)
Elena SORIANO, fille de Miguel SORIANO, guérillero mort dans les
maquis de Santa Cruz de Moya (CUENCA- Espagne).
Annie RIEU-MIAS, sociologue, membre de l’Association IRIS de Toulouse
qui travaille sur la Mémoire de l’exil espagnol, fille et petite-fille de
réfugiés espagnols.
Sylvie FABIA, fille et petite-fille de réfugiées espagnoles, Toulouse.
Denise LATASTE, graphiste.
Véronique OCANA, petite-fille de Déporté à Mauthausen.
Eve GUERRERO, étudiante, petite-fille de “CAMILO”, Toulouse.
(32)
Emile NAVARRO, auteur et réalisateur du documentaire “de la Retirada
a la Reconquista”, paroles de Républicains espagnols, Amicale des Anciens
Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Jeanne CHADELLE, Fleurance.
Raymond VALL, Sénateur-Maire du Gers, membre de l’Amicale des
Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Eva BENITO GUERRERO, Veuve de Tomas GUERRERO ORTEGA dit
“CAMILO”, commandant de la 35ième Brigade du Gers.
Tamara GUERRERO, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en
France F.F.I. (AAGEF-FFI).
(33)
Laure GARRALAGA LATASTE, fille de républicaine espagnole et
d’engagé F.F.I., Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I.
(AAGEF-FFI), Chevalier de la Légion d’Honneur, Chevalier des Palmes
Académiques.
Julia BERROCAL VILLAR, engagée dans la Résistance en France,
décorée de la médaille de la ville de Bordeaux.
Ángel VILLAR TEJÓN, engagé dans l’armée républicaine espagnole, et
dans la Résistance en France, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols
en France F.F.I. (AAGEF-FFI), décoré de la médaille de la ville de Bordeaux.

Bautista FERNÁNDEZ, combattant républicain espagnol engagé dans la
Résistance en France, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en
France F.F.I. (AAGEF-FFI), décoré de la médaille de la ville de Bordeaux.
Miguel OVIEDO BARRADO, combattant républicain espagnol engagé dans
la Résistance en France, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en
France F.F.I. (AAGEF-FFI), décoré de la médaille de la ville de Bordeaux et
Marie MINVIELLE OVIEDO.
Pedro PEREGORT, combattant républicain espagnol engagé dans la
Résistance en France, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en
France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Manuel DIAS, Président du Réseau aquitain histoire mémoire de
l’immigration (Rahmi).
Jean RITTENER, membre de la Ligue des Droits de l’Homme (L.D.H) et de
l’ACER.
Conchita LACUEY, Députée-Maire de Floirac.
Marcel MIRANDA, Président de “¡Ay Carmela Pessac!”.
Marianne ALCALÁ BERNARD, “¡Ay Carmela Pessac!”, Amicale des
Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Maria LUBEIGT, “¡Ay Carmela Pessac!”, fille de républicains espagnols
exilée de Bilbao à Southampton (Angleterre) sur le Habana qui
transportait 2000 enfants.
Encarnación CUBEROS, fille de républicains espagnols exilée de Bilbao
à Southampton (Angleterre) sur le Habana qui transportait 2000
enfants.
José-Louis GARCÍA, “¡Ay Carmela Pessac!”.
Jean-Pierre DARMENDRAIL, “¡Ay Carmela Pessac!”, Amicale
des Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Yvon HADJADJ, Inspecteur d’Académie honoraire, Officier de
l’Ordre National du Mérite, Officier des Palmes Académiques.
Elisabeth
GONZÁLEZ
RAMÍREZ,
professeur,
petite‐fille
d’officier
républicain
espagnol
réfugié
en
France.
Elisabeth
ARNAUD,
retraitée
de
la
Fonction
Publique
Hospitalière,
Chevalier
de
l’Ordre
National
du
Mérite.
Gilles
BORY
et
Mireille
GUAMIS
BORY,
fille
de
républicains
espagnols.
Anita
BENEDICTO,
Magistrat
honoraire,
Psychologue
clinicienne,
fille
de
réfugié
politique
républicain
espagnol.
Antoine
VÁZQUEZ,
fils
de
combattant
et
réfugié
politique
républicain
espagnol.
Myriam
VÁZQUEZ,
petite‐fille
de
combattant
et
réfugié
politique
républicain
espagnol.
Pilar
SAEZ,
fille
de
déporté
à
Mathausen.
Raymond ARNAUD, cinéaste, Conseiller Municipal.

Joseph NAVARRO, fils de républicain espagnol, Carbon Blanc.
Dominique COURREGES, assistante, Bordeaux.
Jean-Jacques CRESPO, fils de combattant républicain espagnol,
instituteur en retraite.
Marie-José GUITARD, fille de Emilio ALVÁREZ MONGIL, “el MANCO”
Républicain espagnol-FFI guerilleros españolesR3, Déporté à Buchenwald
matricule 43612.
(34)
Nathalie OCANA, petite-fille de Déporté à Mauthausen.
Marc LIGNEUREUX, syndicaliste.
(47)
Jean MONTANO, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France
F.F.I. (AAGEF-FFI), Mémoire Espagne Républicaine (M.E.R.) et site
“MER 47”, Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
Michel SANZ, Mémoire Espagne Républicaine (M.E.R.).
Michel MAZA, Mémoire Espagne Républicaine (M.E.R.), Amicale des
Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Luisita SAN MARTIN, fonctionnaire territoriale, membre de Mémoire
Espagne Républicaine (M.E.R) et, en qualité de fille, de la Fédération
Nationale des Déportés Internés Résistants et Patriotes (FNDIRP) et de la
Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD).
Francisca SAN MARTÍN, Veuve de Républicain Espagnol, membre de
Mémoire Espagne Républicaine (M.E.R.), de la Fédération Nationale des
Déportés Internés Résistants et Patriotes (FNDIRP) et de la Fondation
pour la Mémoire de la Déportation (FMD).
Jesús GARCÍA, Exilé républicain, Résistant, Condezaygues.
Maïté URRUELA FAYET, revue ANCRAGE, membre de Mémoire Espagne
Républicaine (M.E.R).
(64)
Emile VALLÉS, Vice-Président de l’Amicale du camp de GURS.
Virgilio PENA CÓRDOBA, Résistant, Déporté à Buchenwald, Vice-
Président d’Honneur de l’Association Départementale des Déportés
Internés Résistants et Patriotes (ADIRP) et de la Fédération Nationale
des Déportés, Internés, Résistants et Patriotes (FNDIRP).
Lina PENA DECAUNES, Secrétaire départementale de (ADIRP et
FNDIRP).
Raymond SAN GEROTEO FLORES, Amicale des Anciens Guérilleros
Espagnols en France-F.F.I. (AAGEF-FFI).
Maïté ESTOP EXTRAMIANA, Camp de GURS et Mémoire
Espagne Républicaine (M.E.R.).

Eduardo BLANCO, membre du C.A de Mémoire Espagne Républicain
(M.E.R.).
Michel LATRE, Vice-Président de Mémoire Espagne Républicaine
(M.E.R.).
José LIZA, Vice-Président de Mémoire Espagne Républicaine (M.E.R.).
Stéphanie VILLALBA, Présidente Mémoire Espagne Républicaine
(M.E.R.).
Jacky LABORDE, Ingénieur-Conseil honoraire, membre du Comité pour les
Droits de L’Homme en Pays Basque, Ancien Combattant, Mémoire
Espagne Républicaine (M.E.R.).
Marc SEMIS, fils de Républicain espagnol exilé.
Françoise CAZAUX, professeur d’espagnol au Lycée René CASSIN et à la
faculté de Bayonne, Mémoire de l’Espagne Républicaine (M.E.R).
Elise MARTOS, professeur, Pau.
Sonia SABOULARD, étudiante en master d’espagnol, Université de Pau.
Isabelle YAÑEZ, fille d’exilé-combattant de la République espagnole,
membre de Mémoire Espagne Républicaine (M.E.R), Bayonne.
(65)
Françoise MIEUDOU RODRÍGUEZ, membre du C.A de l’Amicale des
Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI.).
Luisita SAN MARTIN, fonctionnaire territoriale, membre de Mémoire
Espagne Républicaine (M.E.R) et, en qualité de fille, de la Fédération
Nationale des Déportés Internés Résistants et Patriotes (FNDIRP) et de la
Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD).
Fausto FERNÁNDEZ CABRERA, Amicale des Anciens F.F.I et
Résistants Espagnols, Directeur et Gérant Commercial (retraité), fils de
Manuel FERNÁNDEZ SÁNCHEZ GARRIDO, Fonctionnaire du “Ministerio
de Instrucción Pública “à Madrid, mort au camp de concentration
de BRAM-Aude en 1940.
Bégonia LACRAMPE GUERRERO, fille de “CAMILO”, Tarbes.
Lisa VIVALDI, étudiante, petite-fille de “CAMILO”, Tarbes.
(66)
Pepita LEÓN GONZÁLEZ, Présidente de l’Amicale des Anciens
Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI), Vice-Présidente
Amicale des Anciens Internés du Camp de Vernet (Ariège).
Chantal SEMIS, Secrétaire Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols
en France F.F.I. (AAGEF-FFI) .
Serge BARBA, Président de l’Association des fils et filles de
Républicains Espagnols et Enfants de l’Exode (FFREEE), Argelès sur Mer.
Henri MARTINEZ, Président d’Honneur de l’Amicale des Anciens
Guérilleros Espagnols en France-F.F.I. (AAGEF-FFI).

Jean ROSTAND, Président départemental ANACR.
Cristobal ROBLES, Président de l’ANACR Côte Vermeille.
Juliette BES, Déportée-Résistante Ravensbrück, Chevalier de la
Légion d’Honneur.
Marcel VAUTHIER, Déporté-Résistant Buckenwald, Chevalier de la
Légion d’Honneur.
Jérôme PARRILLA, Trésorier de l’Amicale des Anciens Guérilleros
Espagnols en France-F.F.I. (AAGEF-FFI).
Jean-Claude MONTES, Principal de collège.
Robert CAMBRE, Président UNRPA Elne.
Tristan CASTANIER i PALAU, auteur de “Femmes en exil, mères des
camps Elisabeth Eidenbenz et la Maternité Suisse d’Elne (1939-1944 )
Trabucaire Éditions,
et ses parents:
Roland CASTANIER, Directeur d’école.
Martine PALAU, professeur d’Histoire.
Jacques PUMAREDA, Maire d’Alénya.
Nicolas GARCIA, Maire d’Elne.
Félix FRAILE MILLAN, Président de l’Association des Anciens
Combattants et Victimes de Guerre de la République Espagnole
(AACVGRE).
Batista SUÑER, Trésorier de (l’AACVGRE).
Josée ESTALELLA, membre départemental de l’ANACR 66.
Olga FRAILE PLANAS, Perpignan.
Maryse CONIGNAN, Perpignan.
Teresa PLANAS COSTA, Perpignan
Dolores FRAILE MILLAN, Barcelone-Espagne.
Mado VAUTHIER, Sainte Marie de la Mer.
Josette SEMIS, Elne.
Henriette MEYER, Veuve de Républicain espagnol et Ancien Guérillero.
Maria ROBLES, La Tour Bas Elne.
Clotilde FALGUERA, Prades.
Nicole REY, des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la
Déportation des Pyrénées Orientales (A.F.M.D.).
Richard REY, des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la
Déportation des Pyrénées Orientales (A.F.M.D.).
Gérard GERVIER, des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la
Déportation des Pyérénées Orientales (A.F.M.D.).
Robert LORNAC, Résistant-déporté à Dachau, Chevalier de la Légion
d’Honneur, Maureillas et
Fernande LORNAC, Maureillas.
Francis SENTIS, Perpignan.
Roger RÍO, fils de volontaire français dans les Brigades Internatio-

nales, Chef de Cabinet du maire d’Elne.
Guy FINGONNET, Canet.
(81)
Jean OCANA, Consul honoraire, Officier Mérite Civil, fils de Déporté à
Mauthausen.
Magali BOLEA, fille de réfugié Républicain et petite-fille de Déporté à
Mauthausen.
Rose BOLEA, fille de Déporté à Mauthausen.
Patricia BIRENDELLI, fille de réfugié Républicain et petite-fille de
Déporté à Mauthausen.
(82)
Joseph GONZALEZ, Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en
France F.F.I. (AAGEF-FFI), Président de Mémoire Espagne Républicaine
(M.E.R.).
Francisco GONZÁLEZ MORENO, 96 ans, Républicain et Guérillero
espagnol, Vétéran du Vall d’Aran, Président d’Honneur de Mémoire
Espagne Républicaine (M.E.R. 82).
Joséphine PEREIRA, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Mercedes RIBERA, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
François PINOT, Montauban.
Marguerite VACA, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Francisco VACA, fils de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Santos GIMÉNEZ, fils de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Denise GIMÉNEZ, Saint Etienne de Tulmont.
Rita PINOT, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Robert VIDAL, petit-fils de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Rose COMBALBERT VILA, fille de Républicain espagnol, membre de
M.E.R.
Rachel SANTOS, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
José MIGUEL, Président de Iberia Cultura 82, membre de M.E.R.
Juan ANDREO, fils de Républicain espagnol, mambre de M.E.R.
Armony FOLCH, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Isidro GUZMÁN CASTELLENO, fils de Républicain espagnol, membre de
M.E.R.
Georges NADAL, fils de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Marguerite ANDREO, fille de Républicain espagnol, membre de M.E.R.
Anne Lise ESCACHE, petite-fille de Républicain espagnol, membre de
M.E.R.
Céline GONZÁLEZ, petite-fille de Républicain espagnol.
Laure GONZÁLEZ, petite-fille de Républicain espagnol.
Bernadette GONZÁLEZ, belle-fille de Républicain espagnol, membre de

M.E.R.
(87)
Paloma LEÓN, Présidente de l’Ateneo Republicano du Limousin.
(89)
Francis ROMERO, Président de “Mémoire Histoire des Républicains
Espagnols” (M.H.R.E) .
Ivan LARROY, “Mémoire Histoire des Républicains Espagnols”
et Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I. (AAGEF-FFI).
Jean-Gilles MUÑOZ, alias Juan, Secrétaire adjoint de Mémoire Histoire
Espagne Républicaine (M.H.E.R.).
(75)
Pierre REBIERE, membre de l’ACER.
Michel LEGER, membre de l’ACER.
Roberto LAMPLE, membre de l’ACER.
Georges BERTRAND PUIG, membre de l’ACER.
Soledina CHANTEREAU et
Jean-Paul CHANTEREAU, membre de l’ACER.
Fabien GARRIDO, membre de l’ACER, de l’Association de los
Descendientes del Exilio español, de l’AAGEF-FFI, fils d’un
Résistant-Déporté.
Sonia SORIANO MOR, fille du libraire de l’exil Antonio SORIANO,
P a r i s .
Irène TENEZE, fille “d’adoption” du Général LUIS - Luis FERNÁNDEZ,
Ancien Guérillero Espagnol F.F.I, Chevalier de la Légion d’Honneur
(1946) - réalisatrice du film “Un 14 juillet 1939” sur le camp de GURS.
Jean Marie FONTENEAU, Membre Fondateur de l’Organisation
Humaniste Mondiale (O.H.M.) et gendre d’un ancien Républicain
espagnol.
(91)
Gérard MALGAT, instituteur, hispaniste auteur de “Max Aub y Francia
o la esperanza traicionada”(éditions Renacimiento Séville, 2007).
Marie-France CABEZA MARNET, fille de Républicain espagnol et de
Résistante déportée, membre de Mémoire Espagne Républicaine
(M.E.R), des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation
(A.F.M.D 91), de l’Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en
France F.F.I. (AAGEF-FFI), Essonne.

(93)
Daniel SERRANO RECIO, Combattant républicain espagnol, frère de
Eudaldo SERRANO RECIO, Maire-Adjoint républicain de la Torre (Toledo),
fusillé à Madrid en 1941.
Rose-Marie SERRANO, professeur d’espagnol, membre de ACER, de Fils
et Filles des Républicains Espagnols et Enfants de l’Exode (FFREEE), de
l’Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France F.F.I.(AAGEF-FFI),
de Amigos y Familiares de la II República (AFAR).
(Espagne)
Pablo IGLESIAS, fils de déportée résistante espagnole, Délégué en
Galice (Espagne) de l’Amicale de Mauthausen y otros campos.
Josep SAN MARTIN BONCOMPTE, Délégué en Aragon de l’Amicale de
Mauthausen et autres camps, neveu de Manuel SAN MARTIN, Déporté à
Mauthausen, matricule 4949.
Ceferino ALVÁREZ, ex exilé Républicain espagnol, Madrid.
- - -