DOSSIER DE PRESSE - CANTATES DU MONDE ... - Espace Culture

DOSSIER DE PRESSE - CANTATES DU MONDE Marseille Porte du sud/La Tunisie 

Cité de la Musique de Marseille – 4, rue Bernard du Bois – 13001 Marseille 

Directeur : Eric MICHEL – Directeur Adjoint : Michel DUFETEL 

Contact presse : Sylvie Yvanez – 04 91 39 28 47 (ligne presse exclusivement) 

communication@citemusique-marseille.com


Jeudi 11 avril > ILLUSTRATION MUSICALE AUTOUR DE L’EXPOSITION 

MEDITERRANEES, DES GRANDES CITES D'HIER AUX 

HOMMES D'AUJOURD'HUI 

La Tunisie avec : 

Dans le cadre de l’exposition « MEDITERRANNEE, Les grandes cités 

d’hier aux hommes d’aujourd’hui », la Cité de la Musique de Marseille 

propose six illustrations musicales, en clin d’œil de sa programmation à 

l’Auditorium. Un voyage musical traditionnel de la méditerranée, suivant 

les pas d’un Ulysse d’aujourd’hui partant à la rencontre de nos 

contemporains et de leur réalité pour remonter dans le temps. 

Zied ZOUARI [violon], Haki KIKIC [accordéon], Imed ALIBI (percussions) 

La musique traditionnelle tunisienne et les rythmes méditerranéens sont répandues depuis des 

siècles, du croissant fertile oriental jusqu’aux rivages atlantiques du Maghreb. Installés dans les 

folklores de plusieurs pays d’Europe orientale par le biais de l’influence turque, ils marqueront cette 

illustration musicale. 

LIEU : J1 - PLACE DE LA JOLIETTE – BOULEVARD DU LITTORAL – 13002 MARSEILLE 

Entrée libre sans réservation 

PRODUCTION : Cité de la Musique de Marseille 

COPRODUCTION : Marseille – Provence 2013, Capitale européenne de la culture 

RESERVATION: 04 91 39 28 28 – www.citemusique-marseille.com - www .mp2013.fr 






Vendredi 12 avril – 20h30 _________> RYTHMES CONTEMPORAINS MEDITERRANEENS 

SAFAR PROJECT 

Imed ALIBI [percussion et direction artistique], 

Ze Luis NASCIMENTO [percussions], Zied ZOUARI [violon], 

Stéphane PUECH [clavier et programmation] 

Le voyage rythmique est le centre de la création. Les sons des percussions de la 

Méditerranée avec toutes ses influences (africaine, indienne, occidentale, moderne 

par les sons électroniques, des instruments mélodiques comme le violon) 

accompagneront les percussions dans ce voyage. Le spectacle est ouvert a 

l'improvisation qui s'inscrit dans ces cultures de transe, de danse et de groove. 

LIEU : CITÉ DE LA MUSIQUE, AUDITORIUM 

TARIFS : 12€/10€ 



RESERVATION: 04 91 39 28 28 – BILLETTERIE : www.citemusique-marseille.com - www .mp2013.fr 

http://safarproject.bandcamp.com 

http://www.facebook.com/SafarProject 

"Safar où officient certains des musiciens d’Emel Mathlouthi, laquelle est venue prêter sa voix sur 

quelques chansons d’un répertoire particulièrement séduisant quand s’étirent les morceaux autour 

d’arabesques propulsées par une puissante rythmique jazz-rock." 

Eric Delhaye / Vibrations 






Pulsation du monde et vibration humaine, bien avant la parole, bien avant le verbe. 

Sur les rives de la Méditerranée, l’homme ancien, nomade, rencontre l’autre et échange, 

donnant naissance aux plus grandes civilisations. 

Ainsi, de Simbad le marin au roi Ulysse, des Gysies, musiciens éternels A “Averroès, 

“philosophe et poète phare du XIIeme siècle, de la Grèce antique à l’Andalousie Arabe, de 

l’empire Egyptien à l’empire Ottoman, l’incroyable brassage, dans le temps, a su créer 

une Ame. Celle de la Méditerranée. 

SAFAR PROJECT entend illustrer par là la souplesse etl’ouverture de cet instrument, son 

adaptation et son alliance musicale possible avec tous les autres instruments, les autres sons 

et les autres styles. 

Dans ce travail il est rejoint par Stéphane Puech, Zied Zouari et Zé Luis Nascimento, tous 

grands amateurs de musique du monde accompli qui apporteront une touche moderne et 

actuelle à cette recherche musicale. 

Les musiques qui seront présentés mettront en oeuvre différents rythmes méditerranéens, 

depuis le «! bulerio! » espagnol jusqu’à la «! debka! » libanaise, en passant par le «! fezzani! 

» tunisien, le «!baladi!» égyptien, la «!gnawa!» marocain, la «!tarentelle!» 

napolitaine…! 

«C’est cet esprit d’échange et de fécondation mutuelle des musiques qui 

expliquera la présence d’invités appartenant à d’autres sphères musicales, 

électro-acoustique notamment.» 

Musiciens attachés au dialogue entre les cultures, les membres du groupe SAFAR PROJECT 

veulent ainsi contribuer par la musique au tissage qui constitue le génie méditerranéen et 

prouver de cette manière l’inanité des replis identitaires dans une région du monde 

caractérisée depuis toujours par sa tolérance et son ouverture. 

«Si le projet Safar est né d’un grand travail de studio sa finalité est 

d’être joué sur scène» 






IMED ALIBI 

Percussions et Direction artistique 

Imed Alibi est né en 1978 en Tunisie et vit actuellement 

à Montpellier. 

Il commence par jouer des percussions avec des groupes de musique orientale classique. En 

2001, il arrive en France pour poursuivre des études de traduction... Il accompagne des 

groupes de musique orientale, de flamenco et de musique tzigane et il participe à des 

spectacles de théâtre, de musique et de danse... Un an plus tard, en 2002, Imed commence à 

jouer avec "Les Boukakes", un groupe de fusion entre la musique rock, la musique raï et le 

gnawa.... Avec eux il fait une tournée dans 23 pays en Europe,Canada, le Maroc, Qatar, la 

réunion dans des festivals comme leSziget, Paléo, Sakifo, Le Printemps de Bourges…jouant 

en première partie de plusieurs artistes comme Mami, dibango, Aubert, Lavilliers. Et il a 

également accompagné Les Boukakes et Rachid Taha à Montreal Jazz Festival. 

Imed a participé à l'enregistrement des albums "Bledi"et Marra des Boukakes en tant 

qu'auteur et compositeur. Il a également pris part à d'autres albums, dont le dernier de 

Ziskakan, un groupe de la Réunion qui représente une autre expérience de fusion de rythmes 

orientaux, avec la "maloya"et Koalas Desperados (compile). Il a accompagné d'autres 

groupes et d'autres artistes comme Watcha Clan, Mamdouh Bahri, Michel Marre, Sandra 

Lipari, Rona Hartner, Hamid Bouchnack… Dernièrement il a intégré le groupe de l'artiste 

tunisienne en devenir Emel Mathlouthi. 






Il dit avant tout : "vouloir servir la musique". 

Inspiré, élégant et Percussionniste brésilien virtuose, est originaire de Salvador de 

puissant, tel pourrait se définir l'univers musical de Zé Luis Bahia. En tant que 

soliste et assistant à la direction musicale, Nascimento.enchaine les tournées mondiales 

avec le ballet folklorique de Bahia, au sein duquel il a été formé. Arrivé en France en 

1996, il s'est ouvert aux styles des percussions orientales et occidentales et élabore alors 

un vocabulaire rythmique profondément original mêlant des instruments très variés, qu'il 

rassemble dans un discours musical d'une grande cohérence. Parfois sur scéne ou en 

studio, il croise le chemin d'artistes comme: Michel Legrand, Césaria Evora, Georges 

Moustaki, Souad Massi, Jean-Luc Ponty,Al Di Meola, Vladimir Cosma, Lokua Kanza, Dabi 

Touré, Oumou Sangare, David Reinhardt, Julia Saar, Patrice Larose, Marcio Faraco, 

Hamilton de Holanda, Etienne Mbappé, Mokhtar Samba, Jean-Marc Jaffet, Nicola Stilo, 

Celia Reggiani, Jaques Morelenbaum, Philippe Baden Powell, Wagner Tiso, Maria Téresa, 

Natallino Neto, Kaoma, Meiway, Linda Bergmark, Carlos Werneck, Vitto Meirelles, 

Monique Seka, Tété, Gulabi Sapera, Clara Ponty, Nazaré Pereira, Minino Garay, Tony de 

Oliveira, Faiz Ali Faiz, , Paulo Flores, Catia Werneck, Tupi Nagô, Raul de Souza, Romulo 

Marques, Teca Calazans, Virginia Rodrigues, Monica Passos entre autres. Actuellement il 

accompagne Titi Robin, Mayra Andrade, Marcia Maria et Tékéré. 




communication@citemusique-marseille.com 

ZE LUIS NASCIMENTO 

Percussions


ZIED ZOUARI 

Violon 

Appartenant à une famille de musiciens, reçoit dès l’âge de cinq ans l’enseignement de 

piano de ses deux parents. Deux ans plus tard, Il accède au conservatoire national régional 

de Sfax où ses premiers professeurs découvrent son talon remarquable. Il initie très tôt le 

violon avec son oncle Lassaâd Zouari, directeur du conservatoire et de Mourad SIALA, tous 

deux docteurs en musique et musicologie. Il obtient le premier prix des enfants interprète à 

Tunis en 1996 et la médaille d’or du festival des enfants créateurs à Kram (Tunisie) en 1997. 

Ainsi, Il représente la Tunisie à la première rencontre des enfants arabes à Dubai (E.A.U.) où 

il obtient la médaille d’or. Zied Zouari se produit avec le chanteur tunisien libanais « Wadi 

SAFÎ » au festival international de Carthage à la même année où il obtient le diplôme de 

musique arabe (1999). Elève du violoniste russe Vassil DIMITROV (2002-2006), Zied tourne 

avec des artistes de renommée tels que le guitariste Jazz français Sylvain Luc au festival 

méditerranéen de la guitare, « Patrice Villaumé» au festival de médina de Sfax, Mahdia, Iskra 

Dimitrova au festival Nuits des solistes à Sousse. Il joue en solo au festival Jeunes virtuoses 

en 2005 et participe au festival « couleurs Jazz » en 2006, tous deux au palais du « Baron 

d’Erlanger » à Sidi Bousaid, Zied Zouari poursuit un doctorat en France où, membre de 

l’orchestre symphonique de la cité internationale de Paris et élève du soliste Nicolas Risler 

(violon classique) et de Frédéric Norel (violon Jazz), il intègre la création franco-tunisienne 

Cantates des rives avec laquelle il entame une tournée en Grèce, Maroc, Tunisie. Il tourne 

également avec le groupe de rock oriental enfance rouge, Thione Seck band, Maurice 

Zemmour, Sapho… Il enregistre avec Khaled, Emel mathlouthi, Sultana, Hend Zouari… 

Zied Zouari est sur la voie de former une référence dans le langage violonistique arabe 

contemporain en développant une approche fusionnelle qui trace ses diverses influences 

allant de l’arabe à l’indou-turque et jusqu’au Jazz. 






STEPHANE PUECH 

Machines (Claviers et programmations) 

Né dans les années 70, Stephane Puech est un musicien éclectique (claviers/percus/m.a.o) 

qui a collaboré en live ou en studio avec de nombreuses formations. ROCK : O.T.H , les 

naufragés et Spok ( 1990/2000 )! ORIENTAL : Les Boukakes, Djura, rai n' b fever (2000/2010) 

Musiques à l'images : arte , france 2 , france 5 ( 2005/2011 ) Musiques de spectacles vivants : 

Koyaanisqatsi, La locandière, blue-blue sky, c'est pas la mer à boire . (2005/2011) 

aujourd'hui, il est réalisateur d'album (compo/arrangements/mixage) et démonstrateur 

officiel pour Yamaha musique europe. 






CANTATES DU MONDE_Marseille, Porte du sud 

Samedi 13 avril 2013 –20h30 > TUNISIE 

EMEL MATHLOUTHI CONCERT 





Emel MATHLOUTHI 

[chant, guitare] 

Zied ZOUARI [violon, 

chœurs], 

Imed ALIBI [percussions, 

chœurs], Emmanuel 

TROUVE [machines, 

chœurs], 

Karim ATTOUMANE 

[guitare, chœurs] 

Emel Mathlouthi, tempérament de feu, regard braisé à la voix 

de jasmin est une chanteuse engagée. Son album « Kelmti 

Horra, ma parole est libre » est un authentique cri du cœur 

qui transcende les époques de la Tunisie sur tapis volant, avec 

parures électro. 

LIEU : CITÉ DE LA MUSIQUE, AUDITORIUM 

TARIFS : 18€/15€ 



RESERVATION: 04 91 39 28 28 – BILLETTERIE : www.citemusique-marseille.com - www .mp2013.fr


«L’électro-choc Emel M athlouthi «protest singer» à la 

voix de jasm in. 

29 janvier 2011, la rue tunisienne est en ébullition, Ben Ali 

s’est enfui, les lendem ains chantent... encore et toujours. 

Em el M athlouthi aussi. À Paris dans les studios de Radio 

Nova, lors d’une longue soirée spéciale “Nova écoute la 

Tunisie”, dès qu’elle attaque Ya Tounes Ya M eskina avec 

sa seule guitare, ça crépite en sim ultané sur les réseaux 

sociaux. 

Les m essages tom bent en rafale : m a belle Em eeeeeeeeel, Enorm e talent, 

Princessssssssssssssssssssssse, Très beau ! Bravo Em el, Ça tue ! 

Em el M athlouthi ne s’est jam ais cachée, au contraire, elle et beaucoup d’artistes ont été 

les pionniers qui ont soutenu la liberté d’expression. Im pressionnant. 

Début 2012, un an plus tard paraît « Kelm ti Horra, M a parole est libre ». Un cri du 

cœur qui transcende les époques de la Tunisie. La chanson-titre, sorte de pied de nez à une 

époque où la liberté était surveillée, est, dès 2008, devenue grâce à un buzz fulgurant sur le 

net une sorte d’hym ne inform el du soulèvem ent populaire, et garde son acuité en cette 

période d’incertitudes. L’album , lui, prom et d’être la pierre angulaire d’une m usique qui 

dépasse de loin la Tunisie. Car Em el est m éditerranéenne et urbaine. Dix titres ciselés sur 

tapis volant avec parures électro. Tem péram ent de feu, regard braisé et voix irradiante, 

Em el est sur orbite planétaire. 

Tout commence dans sa cité de la banlieue de Tunis, Em el a des rêves d’art... et des études 

aux antipodes : archi, m aths, ingénieur. C’est plutôt le rock qui la tente, à l’époque (début 

des années 2000), pas question pour elle de chanter en arabe. 

Avec son groupe de fac, elle fraie avec le gothique (!). Elle trippe aussi Pink Floyd, est 

fascinée par Dylan et s’entiche de Joan Baez. Tandis qu’à la m aison, elle se nourrit de 

classique, de jazz et de... Cheikh Im am , le troubadour « protest singer » égyptien. 

En 2005, ses am is l’incitent à reprendre le chantre palestinien M arcel Khalifé, du coup, elle 

m et en m usique le poète M ahm oud Darwich et commence à écrire ses textes. 

En arabe : Palestine, droits de l’homme chez elle, dans une Tunisie sous surveillance 

m ais pas silencieuse pour autant, la voix d’Em el porte, elle m onte son groupe et se produit 

à El Teatro, em blém atique lieu alternatif toléré, m ais elle com m ence à souffrir 

d’intim idations, on la m enace d’interdiction vu ses activités dans les syndicats étudiants. 

Elle n’a pas accès à la radio ou la télé d’état m ais elle est lauréate du concours RM C M oyen 

Orient 2006, et c’est en Jordanie qu’elle chante pour la prem ière fois toutes ses 

com positions en arabe. 






La voilà parisienne en 2007, elle se forge un répertoire, principalem ent en arabe, se 

perfectionne au Studio Cité des Arts et s’attaque à un 

prem ier disque, un m ini album auto-produit avec violoncelle. 

Grâce à France Culture, elle court le m onde, Equateur, Georgie, 

Yem en et... Paris, où RFI la programme pour son plateau annuel 

à la Fête de la M usique avec, excusez du peu, Yaël Naïm , Asa et 

Hindi Zahra ! Pendant que sa vidéo live de Kelm ti Horra tournée à 

la Bastille court sur le net dans une Tunisie où couve la révolte, 

elle collabore au groupe dub rock M eï Teï Shô, rencontre aussi 

bien Tricky que CharlElie Couture. 

Elle se fait rem arquer dans de petits lieux parisiens (Entrepôt, French K-wa), sur les scènes 

des festivals Digital Bled à Paris et Les Suds à Arles. Surtout, elle se forge un répertoire 

qu’elle affûte en vue d’un vrai prem ier album . 

« Kelm ti Horra », ce sont dix perles principalem ent en arabe (tunisien et littéraire), avec 

escapades en français et en anglais, produites par Em el elle-m êm e, une gageure pour 

un prem ier opus. Elle l’a construit avec la com plicité d’une bande de m usiciens qu’elle 

a soigneusem ent choisi pour chaque titre. Des chansons largem ent inspirées de 

m om ents-clé de sa vie et du m onde, avec un art consommé de sublim er les tourm ents, de 

grim er les souffrances en rêves. 

M ur de voix (elle en a em pilé jusqu’à quatre-vingts !), déferlantes de cordes entre 

m élopées orientales et pizzicati du classique d’ici, foultitude de percussions 

saupoudrées à l’infini, tout cela avec une m ise en sons futuriste, voici le disque d’une 

irrépressible bâtisseuse. Sur la fange des turpitudes pousse, obstiném ent, le jasm in. 

Em el M athlouthi, tem péram ent incandescent, en est une voix m ajeure et singulière. 

Un électrochoc de Tunisie (et de Paris) pour le reste du m onde.» 

Consultez la revue de presse : 





Par Rém y Kolpa Kopoul conneXionneur 

http://www.calameo.com/read/0013899437171eb7d06b4?authid=P4UbUAtu8XsI 

clip vidéo : 

http://www.youtube.com/watch?v=Y9FP_- 

ZyfBA&list=UUfk2nsiJvTquwnUf3IG_gIA&index=1&feature=plcp

DOSSIER DE PRESSE - CANTATES DU MONDE ... - Espace Culture

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?