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L’ART DE<br />
l’élégance<br />
Vol. 3 No 3 | NOVEMBRE 2012<br />
MICHEL GAUCHER,<br />
PROPRIÉTAIRE D’AVENUE 349<br />
ET DE LAFLAMME FOURRURE
NOVEMBRE 2012<br />
6<br />
L’art de l’élégance<br />
Avenue 349<br />
8<br />
Le plus important développement<br />
commercial de l’histoire<br />
de Drummondville<br />
Le Centre-D<br />
12<br />
L’art de <strong>la</strong> différence<br />
Poule de luxe<br />
14<br />
Un décor enchanteur<br />
La Grange des Artisans<br />
16<br />
Beaux à croquer !<br />
O P’ti Monde<br />
18<br />
Au royaume de Bacchus<br />
Vin Arti<br />
20<br />
Beauté et rêve<br />
Mona Lisa Rose<br />
22<br />
Unique dans le domaine<br />
musical du Québec<br />
Centre de musique Victor<br />
24<br />
La passion des enfants,<br />
de <strong>la</strong> musique et des animaux<br />
Boutique Les Petits<br />
26<br />
Une mercerie pas<br />
comme les autres<br />
Mercerie Drummond<br />
28<br />
L’animalerie fait peau neuve<br />
Boutique d’animaux Drummond<br />
30<br />
Un grand vent de changement<br />
souffle chez Beauregard<br />
Chez Beauregard resto-bar<br />
31<br />
Garder <strong>la</strong> forme<br />
Club Super Forme<br />
32<br />
Bon 40e , monsieur le fleuriste<br />
Fleuriste Bergeron<br />
34<br />
Merci pour le choco<strong>la</strong>t !<br />
Choco Daisy choco<strong>la</strong>terie<br />
35<br />
Des sushis flyés<br />
Sushizo<br />
6<br />
18<br />
22<br />
34<br />
8<br />
SOMMAIRE<br />
31<br />
79, rue Cormier, bureau 201<br />
Drummondville (Québec) J2C 8M5<br />
Téléphone : 819 850-1250<br />
Sans frais : 1 877 746-3914<br />
Télécopieur : 819 850-1715<br />
pub@cournoyer.cc<br />
cournoyer.cc<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 3<br />
ÉDITÉ PAR<br />
EN COLLABORATION AVEC<br />
221, rue Heriot<br />
Drummondville (Québec) J2C 1J9<br />
Téléphone : 819 472-6705<br />
Télécopieur : 819 472-7776<br />
info@commerce-drummond.com<br />
commerce-drummond.com<br />
L’ÉQUIPE DE COURNOYER PUBLICATIONS<br />
Éditeur<br />
Laurent Cournoyer<br />
Adjointe administrative<br />
Julie Barthe<br />
Directrice<br />
Développement des affaires<br />
Caroline Dion<br />
Chargée des ventes publicitaires<br />
C<strong>la</strong>udine Côté<br />
Coordonnatrice au service à <strong>la</strong> clientèle<br />
Christine Brault<br />
Rédactrice<br />
Catherine Objois<br />
Coordonnateur aux publications<br />
Sébastien Paul<br />
Designers graphiques<br />
Martine Champagne, Carole Simard<br />
Photographe<br />
Jacques Münger<br />
Réviseure<br />
Mireille Charbonneau<br />
Impression<br />
Cournoyer communication marketing<br />
Distribution<br />
3 600 exemp<strong>la</strong>ires par Postes Canada<br />
1 400 exemp<strong>la</strong>ires par le<br />
Commissariat au commerce<br />
Dépôt légal<br />
Bibliothèque nationale du Québec<br />
Bibliothèque nationale du Canada<br />
ISSN<br />
1923-6069<br />
Tous droits réservés.<br />
Le contenu du magazine<br />
ne peut être reproduit<br />
sans autorisation écrite
4<br />
Jouer sur les deux tableaux<br />
Vous l’avez sûrement remarqué, le secteur<br />
commercial se caractérise de plus en plus par deux<br />
grandes tendances qui se complètent pour proposer<br />
une offre diversifiée aux consommateurs : d’une<br />
part, les magasins à grandes surfaces et toutes les<br />
bannières des centres commerciaux et d’autre part<br />
les boutiques spécialisées que l’on retrouve dans les<br />
centres-villes. Fait remarquable, le développement<br />
commercial de Drummondville se joue sur les deux<br />
tableaux, comme le démontre cette édition de <strong>Zone</strong>-D.<br />
Vous y rencontrerez des propriétaires de commerces<br />
florissants qui ont pignon sur les principales rues<br />
du cœur de <strong>la</strong> ville, mais également toute l’équipe<br />
qui est à l’origine du futur Centre-D, le plus grand<br />
projet commercial de notre histoire. Il est c<strong>la</strong>ir que<br />
Drummondville ne met pas tous ses œufs dans le<br />
même panier… de magasinage ! Bonne lecture !<br />
Laurent Cournoyer<br />
Président-directeur général et éditeur<br />
Cournoyer publications<br />
ÉDITORIAL<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
L’innovation !<br />
Drummondville représente une cible de choix pour le<br />
commerce de détail : une masse critique de consommateurs,<br />
une situation géographique exceptionnelle et un environnement<br />
dynamique propice au développement. Le secteur du commerce<br />
de détail de Drummondville constitue une partie vitale de<br />
l’économie. L’innovation caractérise ce numéro, en démontrant<br />
le leadership, <strong>la</strong> vision et l’esprit innovateur des détail<strong>la</strong>nts.<br />
Plusieurs nouvelles entreprises s’établissent à Drummondville,<br />
certaines se repositionnent et d’autres se rénovent ou se<br />
transforment. Ces investissements considérables alimentent<br />
<strong>la</strong> croissance de <strong>la</strong> productivité. Devenu au cours des dernières<br />
années un choix de carrière délibéré pour de nombreuses<br />
personnes, le commerce de détail requiert un ensemble de<br />
compétences diversifiées et complexes. Comme le démontre<br />
<strong>Zone</strong>-D, ce secteur est une industrie dynamique, en plein essor,<br />
qui offre une grande variété de possibilités de croissance.<br />
Bonne lecture!<br />
Guy Drouin<br />
Directeur général<br />
Commissariat au commerce de Drummondville
Drummondville 2435, rue St-Pierre 819 479-8008 Victoriaville 705, boul. Bois-Francs Sud 819 357-2494
distingué<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
Michel Gaucher, propriétaire<br />
6 ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville
La boutique Lafl amme Fourrure et Avenue 349 est située<br />
comme il se doit au 349 de <strong>la</strong> rue Heriot. Le commerce<br />
arbore fi èrement ses 62 ans, avec une belle élégance que<br />
symbolise bien <strong>la</strong> fondatrice, Thérèse Lafl amme. Et l’an<br />
dernier, <strong>la</strong> boutique s’est métamorphosée pour devenir<br />
encore plus attrayante, ajoutant <strong>la</strong> nouvelle bannière<br />
Avenue 349.<br />
Une famille d’artisans<br />
de <strong>la</strong> fourrure<br />
« Je suis né dans une famille d’artisans de <strong>la</strong> fourrures et de<br />
conseillers en mode », raconte le propriétaire, Michel Gaucher.<br />
« Ma grand-mère, Rosa Morissette, a commencé à Saint-<br />
Hyacinthe puis ma mère Thérèse Lafl amme a fondé le commerce<br />
de Drummondville en 1950. » Michel Gaucher est entré dans<br />
l’entreprise il y a 35 ans. « Ce fut un choix tout à fait naturel.<br />
Dès que j’ai eu 25 ou 26 ans, ma mère m’a passé les guides<br />
de l’entreprise et elle est toujours présente avec <strong>la</strong> même<br />
détermination qu’on lui connaît. »<br />
Avenue 349 : une nouvelle bannière<br />
Il y a un an, <strong>la</strong> boutique a été entièrement rénovée et Lafl amme<br />
Fourrures a ajouté une variété de vêtements pour femmes sous<br />
<strong>la</strong> nouvelle bannière Avenue 349. « Nous avons triplé le p<strong>la</strong>ncher<br />
de vente pour offrir de nouveaux produits. Deux motivations<br />
principales m’ont guidé. Mes deux fi ls, actuellement étudiants<br />
en administration, sont intéressés à prendre <strong>la</strong> relève et je veux<br />
leur <strong>la</strong>isser un commerce fl orissant. Ensuite, nous souhaitions<br />
évoluer au même rythme que Drummondville. La ville connaît<br />
de nombreux développements résidentiels et commerciaux, ce<br />
qui amène une croissance démographique et toute une nouvelle<br />
clientèle. » Cette dernière est déjà séduite par Avenue 349, tandis<br />
que Lafl amme bénéfi cie toujours d’une clientèle fi dèle.<br />
Une boutique de mode<br />
urbaine, à prix abordables<br />
Cette très belle boutique est aménagée avec beaucoup de goût.<br />
Les îlots de vêtements et d’accessoires artistiquement disposés,<br />
les grands miroirs et les canapés b<strong>la</strong>ncs créent un décor à <strong>la</strong> fois<br />
épuré, distingué et accueil<strong>la</strong>nt. Chandails, pantalons, robes ou<br />
manteaux, chaque vêtement est marqué du sceau de <strong>la</strong> beauté et<br />
de l’originalité, avec un petit quelque chose qui fait <strong>la</strong> différence.<br />
On sent qu’ils ont tous été choisis de façon rigoureuse, qu’ils<br />
ont tous été un coup de cœur pour cette famille qui a accumulé<br />
toute une expérience au fi l des générations. « Notre cliente cible<br />
est <strong>la</strong> femme de trente ans et plus, <strong>la</strong> femme urbaine et active,<br />
qui bouge beaucoup dans sa vie professionnelle et personnelle<br />
au fi l d’activités, de 5 à 7 et de soupers. Elle peut trouver ici<br />
des vêtements exclusifs, aussi bien <strong>la</strong> petite robe noire style<br />
Chanel qu’un manteau de fourrure distingué ou des accessoires<br />
assortis. Nous offrons des lignes surtout européennes mais<br />
aussi québécoises dans le moyen et haut de gamme. Notre<br />
secret : être hyper sélectif dans le choix de nos vêtements. De<br />
cette façon, nous pouvons sélectionner dix ou quinze perles<br />
rares dans une collection qui contient souvent une centaine de<br />
vêtements. C’est toujours le bon goût Lafl amme, mais à des coûts<br />
abordables. » Sous <strong>la</strong> bannière Lafl amme fourrure, <strong>la</strong> boutique<br />
offre toujours un très grand choix de manteaux en fourrure et<br />
en <strong>la</strong>inage, de grande qualité. Les clientes bénéfi cient aussi de<br />
plusieurs services, soit un atelier de couture, l’entreposage et le<br />
remode<strong>la</strong>ge de fourrures.<br />
La passion de <strong>la</strong> mode<br />
« Cette année, <strong>la</strong> mode est plus belle que jamais, très colorée »,<br />
explique Michel Gaucher qui est allé à Paris cet été voir les<br />
collections. Ce passionné de <strong>la</strong> mode se promène régulièrement<br />
à travers le monde pour dénicher et acheter de nouveaux<br />
vêtements, et également pour se faire l’œil, voir les tendances.<br />
Quelles seront les longueurs, silhouettes, couleurs de <strong>la</strong> prochaine<br />
saison? « Il faut être très à l’écoute, nous suivons notre affaire de<br />
très près. 90% des collections que nous offrons sont exclusives<br />
dans <strong>la</strong> région, très tendance, dans un style urbain et européen, et<br />
nous avons les meilleures conseillères mode de <strong>la</strong> région ! Nous<br />
avons tous du p<strong>la</strong>isir à travailler, dans un univers de beauté.»<br />
Un fl euron de Drummondville<br />
La boutique est aujourd’hui l’un des plus anciens commerces de <strong>la</strong><br />
région, un véritable fl euron de notre scène commerciale. « Nous<br />
sommes vraiment ancrés dans notre milieu et faisons tout pour<br />
favoriser l’achat local. Nous avons toujours travaillé dans cet esprit. »<br />
Dans ce créneau et de façon aussi complète, <strong>la</strong> boutique est <strong>la</strong><br />
seule à Drummondville. » Michel Gaucher a plusieurs autres<br />
projets sur sa table à dessin, avant de passer le fl ambeau à ses fi ls<br />
Hubert et Félix. La belle histoire de Lafl amme Fourrure et Avenue<br />
349 se poursuivra donc avec une quatrième génération.<br />
349, rue Heriot, Drummondville / 819 478-2536 / www.avenue349.ca<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 7
8<br />
Guy Drouin, directeur général du Commissariat au commerce de Drummondville<br />
entouré de Michelle et Éric Benatar de Sidev<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
développement
Le Centre-D :<br />
le plus important développement commercial<br />
de l’histoire de Drummondville<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
Situé stratégiquement en bordure de <strong>la</strong> Transcanadienne,<br />
le nouveau centre supra régional de Drummonville est<br />
en voie de construction, incluant un Costco. Ce projet<br />
total de 65 millions d’investissements représente<br />
le plus important développement commercial de<br />
l’histoire de Drummondville. « Nous avons choisi de<br />
le nommer le Centre-D, D pour Drummondville, bien<br />
sûr ! », déc<strong>la</strong>rent Éric et Michelle Benatar, coassociés<br />
au sein de <strong>la</strong> société immobilière Sidev, qui est le<br />
promoteur du projet.<br />
Un chantier de longue haleine<br />
« Il s’agit d’une excellente nouvelle pour le Commissariat<br />
au commerce. Ce<strong>la</strong> faisait près de cinq ans<br />
que notre équipe travail<strong>la</strong>it sur ce dossier », explique<br />
Guy Drouin, le directeur général du Commissariat et<br />
l’un des acteurs majeurs du projet. « Il a d’abord fallu<br />
intéresser Sidev à acheter et développer le terrain,<br />
puis convaincre des clients de s’y s’établir, en<br />
commençant par des majeurs comme Costco. Enfi n<br />
nous avons convaincu les élus municipaux que<br />
l’investissement dans de nouvelles infrastructures<br />
en va<strong>la</strong>it <strong>la</strong> peine. » Tout le processus a été très<br />
long et ardu, exigeant les efforts soutenus du<br />
Commissariat au commerce et du Groupe Sidev.<br />
Et enfi n, le 28 juin dernier, Costco a donné son<br />
accord offi ciel. Le grand chantier a débuté en<br />
juillet, avec le prolongement des rues Hains,<br />
Rose-Ellis et Robert-Bernard.<br />
Sidev, le promoteur du projet<br />
Sidev est une entreprise familiale qui été fondée à Montréal en 1980<br />
par Sam Benatar. « Nous sommes spécialisés dans l’investissement,<br />
<strong>la</strong> construction et <strong>la</strong> gestion d’édifi ces commerciaux et de bureaux<br />
qui représentent plusieurs millions de pieds carrés », précise<br />
Eric Benatar. Œuvrant au Québec et aussi aux États-Unis,<br />
Sidev est l’une des compagnies de gestion et d’investissements<br />
immobiliers les plus importantes du Québec. « Nous souhaitons<br />
nous développer davantage en dehors de <strong>la</strong> métropole et le<br />
Centre-D est le premier projet d’envergure que nous imp<strong>la</strong>ntons à<br />
Drummondville ». Michelle Benatar complète : « J’avais repéré des<br />
terrains à Drummondville puis j’ai rencontré Guy Drouin. Nous<br />
avons ensuite approché Costco. Les négociations ont duré deux<br />
ans et fi nalement nous les avons convaincus ! »<br />
Un beau travail d’équipe<br />
Tous trois affi rment à l’unisson que <strong>la</strong> réussite de ce projet est due<br />
à un formidable travail d’équipe. « La Ville de Drummondville a<br />
travaillé de concert avec nous, apportant <strong>la</strong> col<strong>la</strong>boration de tous<br />
ses employés. L’excellente équipe du Commissariat a coordonné<br />
l’ensemble de <strong>la</strong> démarche, permettant de <strong>la</strong> mener effi cacement.<br />
Même s’il y a eu des moments de découragement, nous y avons<br />
tous cru », déc<strong>la</strong>rent Éric et Michelle. En plus d’apporter une<br />
volonté politique déterminante, <strong>la</strong> Ville réalise <strong>la</strong> construction des<br />
infrastructures et elle assume leur coût de 6,2 millions, à parts<br />
égales avec le promoteur.<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 9
10<br />
Le Centre-D<br />
Selon le concept du power centre comme le Carrefour de <strong>la</strong> Rive-Sud, le<br />
Centre-D comprendra au total une vingtaine de commerces de toutes<br />
grandeurs, à commencer par Costco et Club Piscine dont l’ouverture<br />
est prévue pour <strong>la</strong> fin novembre. La bannière Costco s’est établie au<br />
Québec depuis longtemps avec des magasins notamment à Montréal,<br />
Québec, Trois-Rivières et Sherbrooke. Ce géant américain, du niveau<br />
de Walmart et Target, se spécialise dans les grandes quantités et<br />
s’adresse aux restaurants, petites entreprises et particuliers. Sur<br />
126 000 pieds carrés, le nouveau Costco offrira quelque 4000 produits,<br />
de l’épicerie aux bateaux et autos en passant par les montres, livres,<br />
vêtements et produits électroniques. Avec environ 160 000 habitants<br />
dans un rayon de 50 km, <strong>la</strong> région de Drummondville est l’un des<br />
premiers marchés secondaires du Québec où s’imp<strong>la</strong>nte Costco.<br />
« Cette compagnie arrive très bien préparée et il a fallu faire des<br />
enquêtes de consommation pour prouver le potentiel de <strong>la</strong> région »,<br />
précise Guy Drouin.<br />
L’effet Costco<br />
« Dans l’ensemble les effets seront très positifs. Costco est un<br />
acha<strong>la</strong>ndeur. Il produira un effet de rétention pour les gens d’ici<br />
et un effet d’attraction dans les alentours, ce qui entraînera une<br />
diminution des fuites commerciales. Les autres commerces de <strong>la</strong><br />
ville pourront capitaliser sur l’affluence qui sera ainsi provoquée »,<br />
explique le directeur général. En outre, le nouveau magasin é<strong>la</strong>rgira<br />
l’offre pour mieux répondre aux besoins des consommateurs<br />
qui réc<strong>la</strong>maient cette bannière. Et il faut rappeler que <strong>la</strong> région<br />
connaît une croissance démographique importante. Autre effet positif :<br />
le Costco et le Club Piscine emploieront ensemble entre 200 et<br />
250 personnes.<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
Une bonne nouvelle<br />
à tous points de vue<br />
Guy Drouin est positif : « Le Centre-D est une excellente<br />
nouvelle pour les consommateurs et toute l’économie<br />
de <strong>la</strong> région. Partout où il est établi, Costco est un très<br />
bon citoyen corporatif. Deux tendances se dessinent<br />
nettement dans les habitudes de consommateurs : les<br />
petites boutiques spécialisées et les grandes surfaces.<br />
Et ces deux tendances se complètent bien. Ainsi<br />
le Centre-D et Les Promenades Drummondville<br />
formeront ensemble un immense pôle commercial,<br />
le plus grand de <strong>la</strong> région, tandis que le centre-ville<br />
constituera un milieu de vie avec des restaurants, des<br />
divertissements et des boutiques spécialisées. » Éric et<br />
Michelle Benatar ont quant à eux d’autres projets pour<br />
<strong>la</strong> région. « Nous pensons que Drummondville constitue<br />
un marché prometteur. La ville est dynamique et nous<br />
sommes intéressés à participer encore davantage<br />
à son développement. Notre première expérience<br />
ici a été plus que positive. Nous avons été appuyés<br />
et accompagnés par <strong>la</strong> Ville et le Commissariat au<br />
commerce. Nous tenons à remercier monsieur Guy<br />
Drouin, avec toute son équipe, ainsi que toutes les<br />
équipes de <strong>la</strong> Ville. » Cette col<strong>la</strong>boration fructueuse<br />
se poursuivra pour recruter d’autres magasins et des<br />
restaurants. D’ici deux à trois ans, avec l’ajout de<br />
450 000 pieds carrés, le Centre-D sera complet.<br />
Sidev<br />
1440, rue Sainte-Catherine Ouest<br />
bureau 220, Montréal<br />
514 874-0808<br />
www.sidev.com<br />
Commissariat au commerce<br />
221, rue Heriot, Drummondville<br />
819 472-6705<br />
www.commerce-drummond.com
DRUMMONDVILLE<br />
79, rue Cormier<br />
bureau 201<br />
(Québec) J2C 8M5<br />
t <br />
f 819 850-1715<br />
<br />
<br />
(SIÈGE SOCIAL)<br />
100, boulevard Gagné<br />
(Québec) J3P 7S6<br />
t <br />
f 450 746-5853<br />
<br />
975, avenue du Pa<strong>la</strong>is<br />
bureau 203<br />
(Québec) J2S 5C6<br />
t <br />
f 450 774-2111<br />
<br />
840, rue des Violettes<br />
Saint-Jean-Chrysostome<br />
(Québec) G6Z 3B7<br />
t <br />
f 418 839-3739<br />
MARKETING<br />
DESIGN GRAPHIQUE<br />
IMPRESSION<br />
INTERNET<br />
PUBLICATIONS<br />
MÉDIAS D’AFFICHAGE<br />
PHOTOGRAPHIE
12<br />
« Chaque produit doit être vraiment<br />
beau, avoir un goût exceptionnel ou<br />
être le meilleur dans le comparable. »<br />
Isabelle Marquis, propriétaire »<br />
819 850-4028<br />
189A, Heriot, Drummondville<br />
www.carrefourdesbieres.com<br />
info@carrefourdesbieres.com<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
distinct<br />
Bières d’ici et d’ailleurs<br />
Produits du terroir
La boutique d’Isabelle Marquis est<br />
vraiment belle. Bien située, elle ouvre<br />
ses grandes vitrines sur les rues Heriot et<br />
Cockburn. L’aménagement aéré est très<br />
esthétique, offrant ses îlots chargés de<br />
mille et un trésors. Poule de luxe a ouvert<br />
il y a un an et le succès est au rendez-vous.<br />
Un risque calculé,<br />
des choix précis<br />
Isabelle Marquis ne s’est pas <strong>la</strong>ncée à <strong>la</strong><br />
légère. « Je vou<strong>la</strong>is avoir un commerce.<br />
J’avais <strong>la</strong> conviction que si je n’essayais pas<br />
de vivre cette aventure, j’al<strong>la</strong>is le regretter.<br />
Le choix des articles de cuisine s’est imposé<br />
spontanément. J’aime cuisiner et je vais<br />
régulièrement en France, rapportant de <strong>la</strong><br />
vaisselle et des produits fi ns. Puis, il y avait<br />
un créneau vacant dans <strong>la</strong> région et c’était<br />
<strong>la</strong> bonne période dans ma vie personnelle<br />
pour me <strong>la</strong>ncer en affaires. Le commerce<br />
de détail exige d’être en forme et demande<br />
une grande implication personnelle. Le<br />
choix du centre-ville a été tout aussi naturel.<br />
J’aime les commerces distincts, à l’opposé<br />
des centres commerciaux. Je veux offrir des<br />
choses qu’on ne voit pas ailleurs. Flâner dans<br />
une rue et pousser <strong>la</strong> porte d’une boutique<br />
pour dénicher un article intéressant et<br />
original, voilà ce qui m’interpelle comme<br />
cliente et ce que je veux offrir dans mon<br />
commerce. Je consomme peu mais j’aime<br />
acheter des articles durables, de qualité. »<br />
Isabelle Marquis a donc créé une boutique à<br />
son image.<br />
L’art de <strong>la</strong> table<br />
à l’européenne<br />
Poule de luxe offre des produits et accessoires<br />
de cuisine haut de gamme, ainsi que des<br />
produits d’épicerie fi ne et des livres de<br />
recettes. « Chaque produit doit être vraiment<br />
beau, avoir un goût exceptionnel ou être le<br />
meilleur dans le comparable. » Pour ce faire,<br />
Isabelle Marquis n’offre que des produits<br />
de marques les plus réputées, comme les<br />
fameuses cocottes Le Creuset, les couteaux<br />
Opinel ou encore <strong>la</strong> vaisselle Villeroy & Boch.<br />
Ce sont surtout des marques européennes,<br />
à l’exception d’articles de bois fabriqués au<br />
Québec.Très impliquée dans sa communauté<br />
et conseillère municipale, Isabelle Marquis<br />
ne regrette pas son choix. « Dans une période<br />
économique diffi cile et venant d’un autre<br />
milieu professionnel, j’ai pris un risque.<br />
Démarrer un commerce n’est pas facile mais<br />
j’adore guider les clients dans leurs achats et<br />
les voir repartir heureux. » Parmi ses projets,<br />
un objectif : devenir <strong>la</strong> référence cuisine à<br />
Drummondville. À voir sa détermination, on<br />
n’a aucun doute sur sa réussite.<br />
185, rue Heriot<br />
Drummondville<br />
819 857-4166<br />
www.pouledeluxe.co<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
Venez fêter avec nous !<br />
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Venez essayer nos Menus<br />
midi du jour sur semaine<br />
et ne manquez pas<br />
nos jeudis 5@7<br />
avec chansonniers<br />
819 477-0877<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 13
14<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
France Giard, propriétaire<br />
La caverne d’Ali-Baba<br />
De l’extérieur, <strong>la</strong> façade avec ses jolies vitrines ne<br />
<strong>la</strong>isse pas deviner ce qui nous attend sitôt les portes<br />
franchies : une véritable caverne d’Ali-Baba, remplie<br />
de trésors ! Disposés artistiquement, des milliers<br />
d’objets s’offrent à nous dans un décor enchanteur<br />
à l’ambiance chaleureuse et au son d’une musique<br />
re<strong>la</strong>xante. Au milieu de cette symphonie de couleurs,<br />
de formes et de parfums qui charment tous nos sens,<br />
France Giard et son équipe reçoivent les clients avec<br />
chaleur. On voit qu’elles ont beaucoup de p<strong>la</strong>isir à<br />
travailler dans cet environnement féerique, surtout à<br />
l’époque de Noël.<br />
Mille et une idées-cadeaux<br />
À ses débuts, <strong>la</strong> Grange ne vendait que des articles<br />
d’artisans puis elle a ajouté des objets d’importation.<br />
Outre les créations d’artisans québécois et canadiens,<br />
on y trouve des bijoux, accessoires mode, articles de<br />
décoration ainsi que des petits meubles d’appoint,<br />
des articles pour <strong>la</strong> cuisine et le vin, et aussi un<br />
coin gourmet, bref mille et une idées-cadeaux pour<br />
tous les budgets. Cette boutique unique en son<br />
genre compte une belle clientèle fidèle et attire des<br />
touristes de passage.<br />
Avoir sa propre entreprise<br />
France Giard est née dans une famille spécialisée<br />
dans <strong>la</strong> vente de tissus, puisque son grand-père et<br />
les frères de celui-ci ont eu jusqu`à neuf magasins<br />
au Québec. Son grand-père Laurier Parent et sa<br />
mère Nicole Parent Giard ont fondé Coupons<br />
Parent en 1965, devenue Créations Parent. « Dès<br />
le secondaire, j’ai travaillé dans les trois magasins,<br />
284, rue Lindsay, Drummondville / 819 478-8402 / www.<strong>la</strong>grangedesartisans.com<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
découvertes<br />
celui de Victoriaville et les deux de Drummondville.<br />
Cependant je rêvais d’avoir ma propre boutique<br />
d’articles artisanaux. Au début, il y a 15 ans, ma mère<br />
m’a <strong>la</strong>issé <strong>la</strong> moitié arrière du magasin de <strong>la</strong> rue<br />
Lindsay. J’y ai créé un décor de grange mais dès le<br />
premier Noël j’ai manqué d’espace. »<br />
La Grange des Artisans a donc complètement<br />
remp<strong>la</strong>cé le magasin de tissus. « J’ai grandi dans le<br />
milieu du commerce de détail et j’aime magasiner,<br />
donc ce fut un choix naturel. Mais il faut une très<br />
forte passion pour travailler et persévérer dans ce<br />
domaine. C’est un milieu compétitif, où il faut se<br />
démarquer. » France s’occupe toujours avec sa mère<br />
des deux autres magasins Parent, tout en mijotant<br />
sans cesse de nouveaux réaménagements pour<br />
<strong>la</strong> Grange!
16<br />
diversité<br />
Sylvie Roy, copropriétaire<br />
819 474-1710<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
BEAUX À<br />
CROQUER !<br />
Parlez-en aux gens de Drummondville, ils<br />
connaissent bien <strong>la</strong> boutique O P’ti Monde!<br />
Il y a 27 ans, <strong>la</strong> boutique a ouvert ses portes<br />
à Saint-Nicéphore, et en 2002, Sylvie Roy et<br />
sa sœur Marie-Josée en ont fait l’acquisition.<br />
Depuis, l’histoire d’O P’ti Monde<br />
se poursuit de plus belle !<br />
Un duo complémentaire<br />
Sylvie travail<strong>la</strong>it déjà au commerce lorsque celui-ci a<br />
été mis en vente. Elle n’a pas hésité une seconde à en<br />
faire l’achat. « J‘ai toujours œuvré dans le domaine<br />
des vêtements pour enfants. C’est ma spécialité ! » Et<br />
à l’entendre parler, on comprend vite que c’est aussi<br />
sa passion. Les deux sœurs se complètent à merveille :<br />
Marie-Josée est en charge de l’administration tandis<br />
que Sylvie s’active sur le p<strong>la</strong>ncher, gérant à <strong>la</strong> fois<br />
les employés, les achats et <strong>la</strong> vente. Il y a neuf ans,<br />
elles ont ouvert une seconde boutique au Cap-de<strong>la</strong>-Madeleine,<br />
déménagée depuis février dernier au<br />
Carrefour Trois-Rivières-Ouest. « Deux commerces, c’est<br />
très prenant ! » En 2008, O P’ti Monde a quitté Saint-<br />
Nicéphore pour s’établir au centre-ville. « La superfi cie<br />
du nouveau local représente plus du double de l’ancien<br />
et cet emp<strong>la</strong>cement central s’est révélé un bon choix. »<br />
Spécialiste des vêtements<br />
pour enfants<br />
Ouverte sept jours sur sept, <strong>la</strong> boutique possède une<br />
panoplie de vêtements habil<strong>la</strong>nt les garçons et fi lles<br />
dans les tailles de 0 à 16 ans. Le vaste local a tout<br />
dernièrement été rénové : les poussettes y circulent<br />
librement et un coin jeux accueille les enfants. La<br />
boutique se spécialise dans les produits haut de<br />
gamme. On y découvre des collections québécoises<br />
ainsi qu’européennes, et chaque année de nouvelles<br />
compagnies s’ajoutent, que ce soit pour<br />
les vêtements ou les accessoires.<br />
La clientèle d’O P’ti Monde provient essentiellement<br />
de Drummondville, mais également de plusieurs<br />
régions du Québec. « Nous offrons de nombreuses<br />
marques reconnues et possédons un inventaire<br />
diversifi é. C’est ce<strong>la</strong> qui fait notre force ! Un autre de<br />
nos atouts est mon expertise, car je travaille dans le<br />
domaine depuis plus de vingt ans. Il faut aimer les<br />
enfants, ils sont tous uniques. J’adore ça,<br />
c’est ma vie. Et ma fi lle veut prendre <strong>la</strong> relève. »<br />
Une troisième boutique alors ? Peut-être !
C’est si simple<br />
d’être différent !<br />
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performant et créatif<br />
Communications Guy<strong>la</strong>ine Vachon<br />
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18<br />
Nathalie Champagne, propriétaire et son fils Loïc Belisle<br />
Au royaume<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
de Bacchus<br />
Nathalie Champagne a un nom prédestiné. Il<br />
y a huit ans, cette comptable de formation s’est<br />
<strong>la</strong>ncée dans le domaine du vin. Et son fils Loïc<br />
Bélisle, qui lui prêtait main-forte à temps partiel,<br />
a eu lui aussi le coup de foudre pour Bacchus.<br />
Cet automne, il est allé faire les vendanges dans<br />
le Languedoc-Roussillon, enrichissant son bagage<br />
de connaissances, et il travaille maintenant à<br />
temps plein pour Vin Arti tout en poursuivant<br />
sa formation.<br />
Une passion familiale<br />
« J’aime le monde du vin et il y avait une niche à<br />
combler dans <strong>la</strong> région », explique Nathalie. Elle a<br />
établi son commerce dans une superbe demeure<br />
patrimoniale, en offrant d’abord des accessoires pour<br />
le vin. Puis il y a trois ans, elle a ajouté les importations<br />
privées, surtout des vins rouges de France. C’est<br />
Loïc qui est en charge de ce volet, développant<br />
une clientèle de restaurateurs et de particuliers.<br />
« Nous surveillons les nouveautés et allons dans des<br />
expositions en particulier à New York. » L’an dernier,<br />
Nathalie s’est découvert une nouvelle passion pour le<br />
thé, et elle en offre désormais plus de 100 sortes ainsi<br />
que les accessoires. Quant à son mari, André Bélisle,<br />
il offre le service de réaliser des caves à vin.<br />
Dyonisos<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
Pour les amoureux du vin<br />
La belle boutique est remplie d’accessoires pour le vin<br />
et autres alcools, comme des verres, des décanteurs,<br />
des aérateurs, des carafes, des tire-bouchons ainsi<br />
qu’une gamme de produits pour le service des<br />
fromages, de <strong>la</strong> vaisselle et de <strong>la</strong> coutellerie. Un petit<br />
salon de thé près de <strong>la</strong> grande fenêtre nous accueille,<br />
tout comme <strong>la</strong> galerie en l’été. Un très joli salon<br />
avec un mur cellier rempli de bonnes bouteilles et<br />
sa table ornée de magnifiques décanteurs, reçoit<br />
des groupes pour des rencontres d’affaires, 5 à 7 et<br />
autres événements. La maison assure le service de<br />
dégustation vins et fromages et peut se dép<strong>la</strong>cer à<br />
l’extérieur pour les groupes plus nombreux. Vin Arti<br />
offre également des journées portes ouvertes lors des<br />
arrivages, et des sessions de connaissance du vin.<br />
« Nous aimerions faire fabriquer certains accessoires<br />
à Drummondville et importer des vins d’autres pays.<br />
Il y a tant à découvrir, le vin est un univers infini ! »<br />
441, rue Lindsay<br />
Drummondville<br />
819 850-2220<br />
www.vinarti.ca
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420, RUE SAINT-JEAN, DRUMMONDVILLE
20<br />
Camil Duchesne et Rose Gagnon<br />
Propriétaires<br />
157, rue Heriot, Drummondville<br />
819 850-7934 <br />
La boutique s’appe<strong>la</strong>it Mona Lisa. Quand Rose<br />
Gagnon est devenue propriétaire, elle a ajouté<br />
son prénom. Mona Lisa Rose porte bien son nom :<br />
beauté et rêve sont au rendez-vous dès que l’on<br />
en franchit <strong>la</strong> porte. En mai dernier, le commerce<br />
a quitté le 188 rue Heriot pour emménager au 157<br />
de <strong>la</strong> même rue.<br />
Robes de rêve<br />
Où que l’on pose les yeux, l’étage et le sous-sol<br />
regorgent de toilettes ravissantes. Seule de son genre<br />
dans <strong>la</strong> région, Mona Lisa Rose est une boutique<br />
spécialisée dans les robes de mariée, les robes de<br />
bal pour les fi nissantes du secondaire et les robes<br />
de soirée. Elle habille aussi <strong>la</strong> mère de <strong>la</strong> mariée<br />
destinée<br />
et les demoiselles d’honneur, sans compter divers<br />
accessoires. « Nous offrons des modèles haut de<br />
gamme qui viennent d’un fournisseur de Montréal<br />
très réputé, Alyce Paris. L’inventaire est important et<br />
comprend toutes les tailles avec <strong>la</strong> collection Quinceanera<br />
qui offre les tailles de 16W à 32. Les ajustements sont<br />
faits par une couturière et notre catalogue propose<br />
des centaines de modèles que l’on peut commander.<br />
Pourquoi aller à Montréal ? » Partisane de l’achat local,<br />
Rose Gagnon fait <strong>la</strong> promotion de ses robes dans tous<br />
les alentours et participe au Salon de <strong>la</strong> mariée Mariemoi.<br />
Vendeuse de bonheur<br />
Rose Gagnon et son amoureux Camil Duchesne ont<br />
acheté <strong>la</strong> boutique en février 2011. « J’ai beaucoup<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
beauté<br />
rêve<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
travaillé dans <strong>la</strong> vente et nous avons eu plusieurs<br />
compagnies. Nous voulions nous <strong>la</strong>ncer dans un<br />
secteur différent et <strong>la</strong> boutique était à vendre. »<br />
Rose a donc fait l’apprentissage de son nouveau<br />
domaine. « C’est un commerce particulier, les clientes<br />
sont toujours heureuses. Elles viennent pour des<br />
événements spéciaux, uniques dans leur vie, le choix<br />
de <strong>la</strong> robe est capital et rempli d’émotions. Il faut avoir<br />
le Wow devant une robe, certaines en pleurent…<br />
J’accorde une grande importance au service. Je<br />
respecte le budget de <strong>la</strong> cliente, et elle doit prendre<br />
son temps. Si <strong>la</strong> robe ne lui va pas parfaitement, je lui<br />
dis en toute honnêteté… une robe attend toujours<br />
sa propriétaire. Chaque matin, j’aime venir travailler,<br />
nous vendons du bonheur aux fi lles! »
Une question<br />
confiance<br />
de<br />
bijouterie<strong>la</strong>mpron.com<br />
217, RUE SAINT-MARCEL<br />
DRUMMONDVILLE<br />
819 472-5222
UNIQUE<br />
dans le domaine musical du Québec<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
La passion peut nous mener très loin. Parlez-en<br />
à Rémy Bazinet! Il est entré dans le monde de <strong>la</strong><br />
musique dès l’age de huit ans et à présent il est<br />
à <strong>la</strong> tête de trois magasins et de deux écoles, un<br />
cas assez unique au Québec et un bel exemple<br />
de détermination.<br />
Trois magasins et deux écoles<br />
Après avoir étudié en guitare c<strong>la</strong>ssique et obtenu un<br />
bac en administration, Rémy a décidé de consacrer sa<br />
vie professionnelle à <strong>la</strong> musique. En 2004, il a acquis le<br />
Centre de musique Victor, à Saint-Hyacinthe, où il avait<br />
travaillé de longues années, puis en 2006 il est devenu<br />
propriétaire de l’École de musique Victor Martin, juste<br />
à côté. L’année suivante, Rémy a fait l’acquisition d’un<br />
commerce de musique à Drummondville et en 2009 il a<br />
ouvert un troisième Centre de musique Victor à Granby.<br />
» Ses commerces et écoles emploient 25 professeurs<br />
et 10 employés, tous des musiciens passionnés comme<br />
lui, qui détiennent une solide expertise. « Je vis intensément,<br />
je n’arrête pas! Je suis un travailleur vagabond<br />
entre les établissements! Nous travaillons fort pour<br />
maintenir notre niveau de qualité. Nous sommes bien<br />
organisés et nos dé<strong>la</strong>is de livraison sont courts. Ce sont<br />
les petites choses au quotidien qui font les grandes choses<br />
en bout de ligne. »<br />
Spécialiste des guitares<br />
« Avoir trois commerces permet d’offrir aux clients un<br />
choix plus <strong>la</strong>rge et de meilleurs prix car nous avons un<br />
plus grand pouvoir d’achat. » Le magasin de Drummondville,<br />
comme celui de Granby, est spécialisé dans<br />
les guitares, que ce soit pour l’achat, <strong>la</strong> location ou <strong>la</strong><br />
réparation. Les magasins ont chacun plusieurs produits<br />
spécialisés et ils offrent ensemble un choix d’environ<br />
700 guitares de marques les plus connues. Ils sont tous<br />
les trois devenus <strong>la</strong> référence dans leur région respective.<br />
Celui de <strong>la</strong> rue Saint-Damase est le seul spécialiste<br />
des guitares dans <strong>la</strong> région où il baigne dans un milieu<br />
22 ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
dynamisme<br />
« Rémy Bazinet, propriétaire<br />
musical fort vivant, notamment avec l’option musique<br />
au cégep. « Le choix de Drummondville était dans notre<br />
p<strong>la</strong>n d’expansion, mais son succès a dépassé nos attentes.<br />
» Père de deux enfants et toujours animé par des<br />
projets, Rémy Bazinet trouve encore le temps de jouer<br />
de <strong>la</strong> guitare.<br />
185 A, rue Saint-Damase<br />
Drummondville<br />
819 472-4667<br />
www.cmvictor.com
<strong>la</strong> passion<br />
des enfants, de <strong>la</strong> musique et des animaux<br />
Si, en visitant <strong>la</strong> boutique Les Petits (jeux et jouets), vous croyez entendre un canari chanter ou apercevoir un petit <strong>la</strong>pin s’agiter dans son enclos, vous<br />
ne rêvez pas! Guy<strong>la</strong>ine Bouthillette vient d’aménager cette petite ferme de Foin-Foin. Vous ne savez pas qui est Foin-Foin? Vous allez le découvrir!<br />
Un paradis pour grands et petits<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
« J’ai toujours voulu être en affaires et <strong>la</strong> boutique était à vendre. » Guy<strong>la</strong>ine Bouthillette a ouvert son commerce il y a 15 ans. Il faisait 500 pieds carrés, aujourd’hui<br />
il en a 3000. Peu à peu, <strong>la</strong> propriétaire a agrandi <strong>la</strong> gamme et à présent <strong>la</strong> boutique Les Petits, <strong>la</strong> référence dans <strong>la</strong> région, regorge de jeux et jouets de toutes sortes<br />
pour petits et grands. «Nous offrons aussi d’autres services. Les clients peuvent utiliser <strong>la</strong> boutique en ligne et s’asseoir à notre grande table pour regarder les jeux ou<br />
consulter sur un iPad <strong>la</strong> vidéo explicative faite ici sur les jeux identifi és par un autocol<strong>la</strong>nt. Nous misons sur l’accueil, le conseil et le choix. »<br />
La belle aventure de Foin-Foin : une première québécoise<br />
Les Éditions G<strong>la</strong>dius ont créé Foin-Foin le fermier en 1999, avec un premier jeu éducatif. La collection est distribuée partout au Québec. Guy<strong>la</strong>ine a eu l’idée de donner<br />
vie au personnage. Supervisée par son frère Joël, une référence dans le monde de l’éducation, son enthousiasme et son inspiration l’ont amenée à écrire les paroles et<br />
à composer <strong>la</strong> musique de douze chansons éducatives. Elle a ensuite présenté son CD (fait maison) à Marc Fournier des Éditions G<strong>la</strong>dius, qui a été emballé et vient de<br />
<strong>la</strong>ncer ce premier album country pour enfants. « J’ai conjugué mon amour des enfants, de <strong>la</strong> musique et des animaux. Chaque chanson véhicule une valeur comme le<br />
pardon ou <strong>la</strong> confi ance en soi.» D’une très jolie voix, à <strong>la</strong> diction c<strong>la</strong>ire, Guy<strong>la</strong>ine Bouthillette chante des textes intelligents sur une musique vraiment entraînante et<br />
joyeuse, ponctuée de réfl exions amusantes des animaux de <strong>la</strong> ferme. Guy<strong>la</strong>ine, personnifi ant Brimbelle, l’amie du fermier, et Joël ont travaillé sur l’écriture des textes et<br />
<strong>la</strong> mise en scène d’un premier spectacle présenté au Festival de Saint-Tite en septembre dernier, avec des marionnettes et des danseurs chorégraphes Abelle Desrosiers,<br />
sa fi lle, Marie-Jeanne Handfi eld, Mégan Boisvert et Foin-Foin. Un bel avenir pour Guy<strong>la</strong>ine Bouthillette et Foin-Foin qui suscitent déjà l’intérêt de <strong>la</strong> télévision.<br />
24 ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
Guy<strong>la</strong>ine Bouthillette<br />
Propriétaire<br />
divertissement<br />
750, boulevard René-Lévesque, Drummondville<br />
819 477-4848<br />
www.jeuxjouets.ca
Maintenant 4 adresses<br />
pour mieux vous servir!<br />
Danny Gobeil, Patrick Martel et Pascal Gilbert, les<br />
pharmaciens-propriétaires à votre service<br />
www.uniprix.com
Une mercerie<br />
C’est une mercerie pas comme les autres.<br />
La machine à espresso est sur le comptoir,<br />
prête à accueillir les clients dont <strong>la</strong><br />
plupart entrent ici comme chez des amis.<br />
La Mercerie Drummond a été fondée par<br />
Steven Haroon aux Terrasses St-Frédéric.<br />
Au décès de monsieur Haroon, il y a deux<br />
ans, <strong>la</strong> mercerie a été mise en vente.<br />
Catherine Lassonde s’est <strong>la</strong>ncée.<br />
CHANGEMENT DE CARRIÈRE<br />
Dans une autre vie, Catherine était policière,<br />
mais elle aimait <strong>la</strong> mode et souhaitait avoir<br />
sa propre entreprise. « La mercerie était une<br />
belle occasion d’affaires. Tout le monde nous<br />
a appuyés dans notre démarche. J’ai appris<br />
mon nouveau métier en le pratiquant, j’ai été<br />
26 ZONE-D.ca<br />
bien conseillée et les clients nous ont suivis. »<br />
En décembre 2011, Catherine et son mari<br />
Louis Brousseau ont acheté l’édifi ce sur <strong>la</strong><br />
rue Lindsay. Ils l’ont rénové entièrement et<br />
aménagé <strong>la</strong> boutique au rez-de-chaussée.<br />
« Nous voulions rester au centre-ville et<br />
participer à son dynamisme. Se <strong>la</strong>ncer en<br />
affaires est un risque que nous avons pris pour<br />
avoir plus de temps à consacrer à notre famille<br />
et bénéfi cier d’une meilleure qualité de vie.<br />
Nous voulons <strong>la</strong>isser <strong>la</strong> bâtisse et le commerce<br />
aux enfants. Ce sera notre héritage. »<br />
UNE DES BELLES BOUTIQUES EN VILLE<br />
Dans un bel environnement aux couleurs<br />
bois et bleu, <strong>la</strong> mercerie propose de très<br />
beaux vêtements haut de gamme, surtout<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
Catherine Lassonde, propriétaire<br />
pas comme les autres<br />
819 477-4545 info@merceriedrummond.com<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
distinction<br />
pour les hommes mais aussi pour les<br />
femmes. « Dans ce créneau pour hommes,<br />
nous sommes les seuls dans <strong>la</strong> région. » La<br />
boutique se démarque en offrant des lignes<br />
exclusives comme Hugo Boss Orange, Tiger<br />
of Sweden et des créations de designers<br />
québécois tels que Mélissa Nepton et Ève<br />
Gravel. « J’ai voulu apporter quelque chose<br />
de différent, en créant un environnement<br />
convivial avec un grand comptoir et des<br />
tabourets. Ici les clients peuvent regarder<br />
sans acheter, je les conseille et je reçois<br />
en dehors des heures d’ouverture ceux<br />
qui manquent de temps. Nous voulons<br />
faire découvrir ou redécouvrir <strong>la</strong> mercerie<br />
comme un endroit dynamique, chaleureux<br />
et accueil<strong>la</strong>nt. » Un défi déjà relevé!
336, rue Saint-Édouard, Drummondville | 819-472-4549 | info@<strong>la</strong>p<strong>la</strong>nque.ca | La PLanque Nord-Est | www.<strong>la</strong>p<strong>la</strong>nque.ca
28<br />
L’ANIMALERIE FAIT PEAU NEUVE<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
Avec quatre animaleries à Victoriaville, Sorel-Tracy, Saint-Eustache et Drummondville, <strong>la</strong> famille Boucher est sûrement unique au Québec. Boutique<br />
d’animaux Drummond a été fondée par Hortense et Richard Boucher en 1984 dans un petit local de <strong>la</strong> rue Lindsay. À l’aube de ses trente ans, le<br />
commerce est en plein développement.<br />
Un nouveau concept<br />
Carole, <strong>la</strong> fille des fondateurs, a repris le f<strong>la</strong>mbeau en 1997 avec son amoureux<br />
Jean-François Proulx. « J’ai grandi avec l’animalerie et Jean-François est technicien<br />
en santé animale. Je possède le côté entrepreneur et lui a l’amour des animaux,<br />
j’essaie toujours de prévoir l’avenir et il s’occupe du présent. Nous nous complétons<br />
parfaitement ! » En 2005, le commerce a établi ses pénates sur le boulevard<br />
Saint-Joseph, dans un local agrandi à plus de 7 000 pi 2 d’espace et beaucoup<br />
plus facile d’accès avec 40 p<strong>la</strong>ces de stationnement. Le chiffre d’affaires a triplé.<br />
Tout en maintenant l’animalerie ouverte, Carole et Jean-François ont entrepris<br />
en août des travaux importants. Tout le revêtement extérieur a été refait en bois<br />
teinté, pour donner un cachet à <strong>la</strong> fois contemporain et rustique. L’intérieur a été<br />
complètement réaménagé selon le nouveau concept d’une animalerie boutique,<br />
divisée en zones distinctes réservées à chaque genre d’animaux, pour créer une<br />
expérience de magasinage différente.<br />
La plus grande animalerie de Drummondville<br />
Quand on entre dans <strong>la</strong> boutique, ce<strong>la</strong> sent bon et frais. Le secret ? Un entretien<br />
rigoureux et un système de venti<strong>la</strong>tion efficace. Chats, poissons, reptiles, rongeurs,<br />
oiseaux vivent dans un environnement à <strong>la</strong> fois esthétique, propre et pratique, qui<br />
permet de bien les observer. Pour obtenir des conseils et de bonnes informations,<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
les clients bénéficient d’un spécialiste dans chaque département, qui suit<br />
régulièrement des formations. Le salon de toilettage de Julie Timmons complète<br />
l’offre du commerce. Grâce à <strong>la</strong> col<strong>la</strong>boration entre les animaleries de <strong>la</strong> famille<br />
Boucher, <strong>la</strong> boutique peut mieux répondre aux besoins des clients et elle bénéficie<br />
d’un plus grand pouvoir d’achat, lui permettant de maintenir de bons prix. « J’ai<br />
<strong>la</strong> passion de développer sans cesse, d’améliorer les choses, et je veux toujours<br />
être le précurseur dans tous les volets de mon métier », conclut Carole Boucher.<br />
Boutique d’animaux Drummond, autrefois le bébé de ce domaine dans <strong>la</strong> région,<br />
est maintenant <strong>la</strong> plus grande. Et elle est finaliste au prochain Ga<strong>la</strong> des Napoléons.<br />
975, boulevard Saint-Joseph<br />
Drummondville<br />
819 474-1155<br />
www.boutiquedanimauxdrummond.com
« J’ai <strong>la</strong> passion de développer sans cesse, d’améliorer les choses, et je<br />
veux toujours être le précurseur dans tous les volets de mon métier. »<br />
— Carole Boucher, copropriétaire<br />
défi<br />
Jean-François Proulx et Carole Boucher, propriétaires<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 29
30<br />
délice<br />
Karine Beauregard et son conjoint, Philippe<br />
Perreault, ont ouvert le restaurant Chez<br />
Beauregard en 2006 sur <strong>la</strong> rue Lindsay. Fille<br />
d’employés de <strong>la</strong> restauration, Karine a apporté<br />
sa formation en kinésiologie et Philippe, son<br />
sens des affaires. Ils ont cru en leur projet<br />
et ont beaucoup travaillé. Le succès a été<br />
au rendez-vous. Cette année, le restaurant<br />
a franchi une étape majeure de son histoire.<br />
Toujours se démarquer<br />
« L’ancien bâtiment était désuet et nous<br />
manquions d’espace. Et puis nous voulions<br />
ajouter les soupers et une piste de danse, pour<br />
continuer à nous démarquer », explique Karine.<br />
Ils ont fermé le vieux restaurant le 24 octobre<br />
pour ouvrir le nouveau le 5 mars dans un édifice<br />
qu’ils ont bâti avec cinq investisseurs de <strong>la</strong> région :<br />
le Carrefour Lemire. « Le boulevard Lemire a<br />
toujours été notre endroit de prédilection et les<br />
développements résidentiels créent une demande<br />
pour ce type de restaurant familial. Nous avons<br />
quitté le centre-ville et les gens nous ont suivis ! »<br />
Les jeunes propriétaires se sont ainsi <strong>la</strong>ncés<br />
dans des investissements majeurs, achetant<br />
deux chambres froides et des équipements<br />
pour <strong>la</strong> cuisine, une des plus grandes<br />
et fonctionnelles de <strong>la</strong> région.<br />
Le nouveau restaurant<br />
Chez Beauregard nous reçoit désormais dans<br />
une très grande salle aérée au décor urbain et<br />
épuré, dans des tons de rouge, b<strong>la</strong>nc et noir. Le<br />
bois habille les p<strong>la</strong>nchers, présent aussi par les<br />
poutres du p<strong>la</strong>fond et le mur de vraies bûches.<br />
Le nombre de p<strong>la</strong>ces est passé de 140 p<strong>la</strong>ces<br />
à 240, tout est beau et neuf, et il y a un vaste<br />
stationnement. Le restaurant offre toujours <strong>la</strong><br />
cuisine qui a fait sa réputation, selon un concept<br />
santé, fait maison et à partir de produits locaux.<br />
On peut maintenant souper Chez Beauregard<br />
puis, les vendredis et samedis soir dès 21 h,<br />
profiter de <strong>la</strong> piste de danse. Très popu<strong>la</strong>ire,<br />
celle-ci accueille toutes les générations ! L’équipe<br />
comptait 15 employés, aujourd’hui ils sont 45.<br />
En gestionnaires rigoureux, Karine assure le<br />
lien entre <strong>la</strong> salle et <strong>la</strong> cuisine et elle s’occupe<br />
du marketing tandis que Philippe est à l’accueil<br />
et s’occupe de <strong>la</strong> comptabilité. « Nous voulons<br />
ajouter de nouveaux p<strong>la</strong>ts-santé. Notre grand défi<br />
est de faire connaître les soupers. »<br />
Un projet ? Une terrasse !<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
Philippe Perreault et Karine Beauregard, propriétaires<br />
UN GRAND VENT<br />
DE CHANGEMENT SOUFFLE<br />
CHEZ BEAUREGARD<br />
Finaliste au Ga<strong>la</strong> des Napoléons 2012 dans <strong>la</strong> catégorie « Commerce de détail, 15 employés et plus »<br />
1845, boulevard Lemire, Drummondville<br />
819 474-3669<br />
www.chezbeauregard.ca
dépassement<br />
Garder <strong>la</strong> forme<br />
Par Catherine Objois, rédactrice<br />
Nathalie Lec<strong>la</strong>ir a deux passions : <strong>la</strong><br />
restauration et l’entraînement physique. Et<br />
elle a toujours voulu se <strong>la</strong>ncer en affaires,<br />
en pensant d’abord à un restaurant. C’est<br />
finalement sa deuxième passion qui l’a<br />
emportée. « Je m’entraînais depuis longtemps<br />
et j’ai fait de <strong>la</strong> boxe pendant cinq ans,<br />
j’aimais me dépasser dans ce domaine<br />
<strong>la</strong>rgement masculin. Après avoir suivi un cours<br />
en entraînement et nutrition, j’ai commencé<br />
à faire de <strong>la</strong> formation, mais mon rêve était<br />
d’avoir mon entreprise », raconte-t-elle. Et en<br />
janvier 2010, elle a fondé le Club Super Forme.<br />
230, boulevard Saint-Joseph Ouest, local 100<br />
Drummondville<br />
819 850-2400<br />
www.clubsuperforme.com<br />
Nathalie Lec<strong>la</strong>ir, copropriétaire<br />
Un club pour tout le monde<br />
Aujourd’hui agrandi à 20 000 pieds carrés, le Club Super Forme est l’un des<br />
deux grands centres sportifs de <strong>la</strong> région de Drummondville et le seul avec<br />
un club de boxe. Nathalie Lec<strong>la</strong>ir, Steve Bacon, Benoit Gaudette et Denis<br />
Dionne sont les quatre propriétaires. « Nous sommes entourés d’une belle<br />
équipe de vingt professionnels, réputés dans leur domaine. Je crois que le<br />
club est le plus complet de <strong>la</strong> région, offrant une vaste gamme de cours en<br />
groupe, semi-privé ou privé, ainsi qu’une dizaine de types d’abonnement,<br />
sans compter les services complémentaires comme <strong>la</strong> massothérapie et<br />
l’orthothérapie, le bar santé et le sauna. » Le club compte une clientèle al<strong>la</strong>nt<br />
des écoliers aux plus âgés. « Ici tout est inclus : quatre p<strong>la</strong>ns d’entraînement<br />
pour un an et un p<strong>la</strong>n de nutrition avec un suivi mensuel pour certains<br />
abonnements, outre <strong>la</strong> fourniture gratuite des serviettes. »<br />
Le goût du dépassement<br />
« Toujours se dépasser, voilà ce qui me mène dans <strong>la</strong> vie. Et j’ai beaucoup de<br />
p<strong>la</strong>isir dans mon travail », déc<strong>la</strong>re cette native de Drummondville, partisane<br />
convaincue de <strong>la</strong> pratique sportive combinée à une saine alimentation.<br />
« Pour garder notre santé morale et physique, il faut s’entraîner et bien<br />
manger. Ce<strong>la</strong> peut même prévenir <strong>la</strong> ma<strong>la</strong>die et <strong>la</strong> dépression. Décor,<br />
musique, ambiance, équipements, nous avons pensé à chaque détail pour<br />
que tout le monde trouve son compte au Club Super Forme. » Nathalie<br />
Lec<strong>la</strong>ir et ses associés ont de nombreux projets, dont organiser une<br />
deuxième édition du ga<strong>la</strong> de boxe amateur Le choc des entreprises, qui a<br />
eu beaucoup de succès au printemps dernier.<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 31
32<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
Camil St-Onge, propriétaire<br />
BON 40 e ,<br />
MONSIEUR LE FLEURISTE!<br />
1380, rue Hébert, Drummondville<br />
819 477-4700<br />
www.fleuristebergeron.com<br />
Par Catherine Objois, rédactrice
délicatesse<br />
Un des grands fl euristes de Drummondville souffl e 40<br />
bougies cette année. Fleuriste Bergeron a été fondé par<br />
Sylvianne Ouellet Bergeron et son mari Gérald Bergeron sur<br />
<strong>la</strong> rue Lindsay en 1972. Un an après, monsieur Bergeron<br />
était emporté par <strong>la</strong> ma<strong>la</strong>die. Sa femme a continué seule, entourée<br />
des employés et de ses enfants, dont Marc qui a œuvré<br />
avec sa mère pour assurer une belle croissance au magasin.<br />
Fleuriste dans l’âme<br />
Camil St-Onge a travaillé 23 ans dans le commerce avant d’en<br />
devenir le propriétaire il y a quinze ans. « Au départ, c’était un<br />
travail d’étudiant, je me destinais à être comptable. Le premier<br />
stage a suffi pour me faire comprendre que ce n’était pas ma<br />
voie. Je suis retourné travailler à temps plein à <strong>la</strong> boutique.<br />
Quand <strong>la</strong> propriétaire a pris sa retraite, j’ai racheté le commerce.<br />
» Marc Bergeron est le gérant, et il vit sa passion horticole<br />
en participant régulièrement au International Land Art<br />
Festival. « J’aime les fl eurs et le contact avec le public. Être<br />
a son compte amène de <strong>la</strong> pression, mais aussi beaucoup de<br />
satisfaction », affi rme Camil St-Onge. Il y a cinq ans, il a emménagé<br />
dans l’édifi ce actuel. La superfi cie du fl euriste a plus<br />
que doublé et l’équipe est passée de 7 à 15 employés.<br />
Un commerce de passion et d’équipe<br />
« C’est un commerce de passion ! » Ce<strong>la</strong> se sent sitôt <strong>la</strong> porte<br />
franchie, en tombant sous le charme d’un mur d’eau entouré<br />
de fl eurs fraîches et de cadeaux. Dans <strong>la</strong> boutique vaste et<br />
magnifi que, ornée des toiles de peintres régionaux, tout a été<br />
pensé avec un goût exquis. On y trouve des p<strong>la</strong>ntes vertes, des<br />
fl eurs de soie et des arrangements fl oraux, des choco<strong>la</strong>ts et des<br />
bijoux. La boutique-cadeaux change de thème selon les saisons<br />
et le raffi né salon de <strong>la</strong> mariée reçoit les clients en toute intimité.<br />
« Fleuriste Bergeron, c’est avant tout un travail d’équipe<br />
et chacun a un rôle important. Nous sommes toujours à l’affût<br />
d’idées nouvelles. Le client est plus qu’important pour nous.<br />
Nous partageons ses émotions, heureuses et malheureuses.<br />
Notre slogan : Quand <strong>la</strong> qualité a un nom. »<br />
Soins aux<br />
petits animaux<br />
et animaux<br />
exotiques<br />
Urgence 24 heures sur appel<br />
Physiothérapie<br />
Service de pension<br />
3630, rue Saint-Pierre, Drummondville 819 395-4395<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 33
Merci pour le choco<strong>la</strong>t !<br />
34<br />
douceurs<br />
Le 24 octobre<br />
dernier, Choco Daisy<br />
a célébré ses cinq ans<br />
d’existence officielle<br />
et l’ouverture de son<br />
nouveau magasin rue<br />
Heriot. La choco<strong>la</strong>terie<br />
est jeune mais elle est<br />
déjà très popu<strong>la</strong>ire!<br />
ZONE-D.ca Le magazine du développement commercial de Drummondville<br />
L’équipe de Choco Daisy<br />
Le royaume choco<strong>la</strong>té<br />
Un grand comptoir nous accueille, rempli de choco<strong>la</strong>ts et<br />
de gâteaux. Disposées dans <strong>la</strong> boutique-cadeaux, des petites<br />
tables reçoivent des convives pour déguster un gâteau avec un<br />
café italien, boire un choco<strong>la</strong>t chaud à <strong>la</strong> recette exclusive ou<br />
partager une fondue au choco<strong>la</strong>t. L’été, on s’offre sur <strong>la</strong> terrasse<br />
une crème g<strong>la</strong>cée avec huit choix d’enrobages de choco<strong>la</strong>t<br />
belge. Ici, tout est fait maison par une équipe stable et expérimentée<br />
qui s’affaire dans <strong>la</strong> grande cuisine. « Nous travaillons fort pour<br />
offrir un bon produit et sommes très rigoureux. Le bouche à<br />
oreille est notre plus belle publicité », ajoute Daisy.<br />
Un succès de famille et de travail<br />
Choco Daisy est une histoire qui a débuté il y dix ans dans <strong>la</strong><br />
maison familiale. Elle est née d’une passion commune de Jeannine<br />
Szczesniak et de sa fille Daisy pour le choco<strong>la</strong>t et toutes autres<br />
gourmandises alléchantes. La vente se faisait à l’époque grâce au<br />
bouche à oreille et aux catalogues que des amis faisaient circuler.<br />
La choco<strong>la</strong>terie a beaucoup évolué depuis. Deux déménagements<br />
plus tard, <strong>la</strong> famille s’agrandit et d’autres col<strong>la</strong>borateurs<br />
gourmands mettent <strong>la</strong> main à <strong>la</strong> pâte. Aujourd’hui, Choco Daisy<br />
est chaudement nichée dans ses nouveaux locaux du 152 Heriot.<br />
Elle compte neuf employés réguliers et elle est l’une des plus<br />
belles choco<strong>la</strong>teries pâtisseries de <strong>la</strong> région, ce dont elle est très<br />
fière. « Nous avons beaucoup travaillé pour atteindre ce but, rien<br />
n’a été <strong>la</strong>issé au hasard. Le service à <strong>la</strong> clientèle et <strong>la</strong> qualité de<br />
nos produits sont les clés de notre succès. Nous souhaitons que<br />
chaque client se sente important et reconnu. C’est un travail<br />
d’équipe », affirme Jeannine, <strong>la</strong> propriétaire.<br />
152, rue Heriot, Drummondville<br />
819 475-2395
détermination<br />
Paskale Méthot, propriétaire<br />
sushis sushis<br />
des<br />
Sushizo, un nouveau restaurant spécialisé<br />
dans <strong>la</strong> conception de sushis, a ouvert<br />
ses portes au centre-ville le 17 septembre<br />
dernier. Pour Paskale Méthot, <strong>la</strong> jeune<br />
propriétaire, il s’agit déjà de son<br />
deuxième restaurant.<br />
De <strong>la</strong> psychologie à <strong>la</strong> restauration<br />
Originaire de Sept-Îles, Paskale a commencé<br />
à travailler dans des restaurants durant ses<br />
études universitaires à Trois-Rivières.<br />
En faisant son doctorat en psychologie,<br />
elle a développé une vraie passion pour le<br />
domaine de <strong>la</strong> restauration. « Je souhaitais<br />
avoir ma propre entreprise, j’aime les sushis,<br />
<strong>la</strong> cuisine santé, et j’ai travaillé dans des<br />
restaurants de ce genre. » Elle a conjugué<br />
le tout, s’est bien entourée et elle a foncé, en<br />
ouvrant le premier Sushizo en 2010 à Trois-<br />
Rivières. « Shizo est une ville du Japon et une<br />
épice utilisée dans les sauces. J’ai ensuite<br />
voulu m’établir à Drummondville et le choix<br />
du centre-ville a été naturel. Je suis contente<br />
de contribuer à redynamiser ce quartier. »<br />
Fraîcheur, originalité, gastronomie<br />
Très esthétique, le décor du nouveau<br />
restaurant est épuré et harmonieux, dominé<br />
par le b<strong>la</strong>nc émaillé de notes de rouge, et<br />
composé de matières premières brutes, métal,<br />
béton et bois. De grands troncs de bouleaux<br />
encadrent un superbe comptoir en verre. Au<br />
menu, bien sûr des sushis de toutes sortes,<br />
mais quelques p<strong>la</strong>ts chauds dont les pizzas<br />
fines au canard et au saumon fumé.<br />
« À côté des mets traditionnels, nous offrons<br />
des créations vraiment « flyées », selon<br />
l’imagination de l’équipe toujours inspirée,<br />
des amis et de certains clients: sushi au foie<br />
gras, morri à <strong>la</strong> sa<strong>la</strong>de d’écrevisses, fromage<br />
à <strong>la</strong> crème et mangues, ou encore <strong>la</strong> section<br />
« Amuse ta gueule » qui propose le duo<br />
anguille-choco<strong>la</strong>t et le ceviche de ti<strong>la</strong>pia à <strong>la</strong><br />
<strong>la</strong>vande. Cette originalité basée sur un univers<br />
de saveurs illimité constitue notre créneau. »<br />
Tout est frais et fait au fur et à mesure. Le<br />
restaurant, où l’on peut apporter vin et bière,<br />
a déjà conquis <strong>la</strong> clientèle. « Diriger deux<br />
restaurants avec 32 employés demande<br />
beaucoup de travail et d’organisation, mais<br />
amène beaucoup de p<strong>la</strong>isir. Je peux compter<br />
sur d’excellents employés, des gens de cœur,<br />
auxquels je dois ma réussite. Un troisième<br />
restaurant ? Pourquoi pas ! »<br />
189B, rue Heriot, Drummondville<br />
819 850-2943<br />
www.avenue349.ca<br />
Par Catherine Objois<br />
Le magazine du développement commercial de Drummondville ZONE-D.ca 35
ÉCOUVERTES<br />
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industriel. Notre salle de montre vous donnera un aperçu de notre<br />
envergure et de notre savoir-faire!<br />
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confection et <strong>la</strong> réparation de bijoux sur p<strong>la</strong>ce. Dans ce domaine<br />
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p<strong>la</strong>isir de vous conseiller et de partager sa passion avec vous.<br />
LA CLINIQUE DU CORPS<br />
Établie depuis plus de sept ans, <strong>la</strong> Clinique du Corps vous offre<br />
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cellulite tels que, l’endermologie, le lipomassage, <strong>la</strong> radiofréquence<br />
et l’infrathérapie. De plus, vous y trouverez de <strong>la</strong> massothérapie de<br />
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Drummondville<br />
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2075, boulevard Mercure<br />
Drummondville<br />
819 475-4384<br />
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Café vous propose des bières de microbrasserie et une grande<br />
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INTERNET<br />
MULTIMÉDIA<br />
MÉDIAS SOCIAUX<br />
SITES WEB<br />
PUB LE ST-GEORGES<br />
Situé au coeur du centre-ville de Drummondville entre l’église anglicane<br />
Saint-Georges et le Manoir Drummond, le «Pub Le St-Georges» vous<br />
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Drummondville par ses expositions mensuelles et ses spectacles.<br />
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qui en fait le favori des consommateurs.<br />
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