cycle 2 - Festival international du film nature et environnement

+ Séances scolaires
10-14 décembre
dans l’agglomération
+ Festival en tournée
en Isère
Pour ses 40 ans
Festival
international
du
Film
Nat ure
& environnement
Janvier à mars 2013 L’engagement, c’est vivant !
renseignements service éducation
04 76 42 98 13 • www.festivaldufilm-frapna.org
26 e
la FRAPNA Isère présente son
13 - 15 décembre 2012
CINémA LE méLIèS - CASERNE DE BONNE- GRENOBLE
Dossier
En présence de
Denis Cheissoux
et de nombreux réalisateurs
pédagogique accompagnant
les séances scolaires cycle 2
du 10 décembre au 14 décembre 2012
dans l’agglomération grenobloise
Séances décentralisées ailleurs en Isère
en janvier et février 2013

ce document.
Préambule
La grande majorité des supports (ouvrages, revues, ...) proposés au fil des pages de
ce dossier sont consultables voire empruntables à la médiathèque de la
Maison de la Nature et de l'Environnement de l'Isère (Grenoble).
Le descriptif détaillé de chaque film (résumé, durée, genre, réalisateur…) vous a
été donné dans le dossier d’inscription : nous ne les avons donc pas rappelés dans
L’ensemble du présent dossier est téléchargeable sur le site Internet du festival, pendant toute
sa durée : www.festivaldufilm-frapna.org
Nous espérons que ce dossier vous sera utile. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos remarques et
suggestions, elles nous seront profitables pour une prochaine édition.
Pour revoir des extraits du film avec vos élèves :
http://www.youtube.com/watch?v=4rvQyoUjrVs
QUIZZ…
QUIZZ…
Dans la forêt équatoriale, lorsqu’un jaguar rencontre un paresseux, il ne se passe pas toujours ce
que l’on pense... mais connais-tu vraiment le paresseux?
Les animaux qui vivent dans les arbres sont
dits :
a- Arboriformes
b- Arboriculteurs
c- Arboricoles
d- Arborifuges
On appelle cet animal « paresseux » car :
a- Il ne fait pas ses devoirs
b- Il dort tout le temps
c- Il ne fait rien du tout
d- Il est très lent dans ses déplacements
Le paresseux se nourrit :
a- De rien, il est trop fainéant
b- De jaguars
c- De végétaux
d- De boissons énergétiques
Qu’arriverait-il réellement lors d’une
rencontre entre les deux animaux?
a- Le jaguar dévore le paresseux
b- Le paresseux dévore le jaguar
c- Ils s’ignorent
d- Le jaguar joue avec le paresseux
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 1 sur 43

INFOS…
INFOS…
Biologie du paresseux :
Les paresseux sont connus pour leur mode de vie original : ils sont presque toujours suspendus à l'envers dans les arbres et
se déplacent avec lenteur. Ils possèdent de longues griffes.
Ils possèdent 18 dents au total (mais seulement des molaires) pour mâcher des feuilles.
Leur métabolisme (ensemble des transformations moléculaires et énergétiques qui se déroulent de manière ininterrompue),
deux fois inférieur à celui des autres mammifères, leur procure une température qui varie de 23 à 32 °C. La couleur du
pelage, verdâtre, est due à la présence d’organismes chlorophylliens, des algues bleues et des algues vertes. Le paresseux
possède quelques prédateurs, principalement le jaguar, l'ocelot et l'aigle harpie. Ainsi, chez le paresseux, le sol est, et de
loin, le lieu de sa plus grande vulnérabilité, cette espèce ne descend pour faire ses besoins qu'une fois par semaine, et se
libère alors de plus d'un tiers de son poids. Ce mode de vie assez remarquable est dû aux feuilles coriaces que mange le
paresseux, qui entraînent une digestion particulièrement lente. Il se déplace très lentement : moins de 10 m à la minute dans
les arbres (soit 0,6 km/h). En fait, cette lenteur est son meilleur camouflage, il échappe ainsi à la vue perçante de ses
prédateurs. Certaines études ont montré qu'il dort environ 10 heures par jour. Autre caractéristique intéressante, le cou du
paresseux comporte huit à neuf vertèbres cervicales ce qui lui permet d'effectuer des rotations de la tête sur près de 270
degrés. Le paresseux a une durée de vie d'environ 30 à 40 ans. Le paresseux est solitaire, il ne s'accouple environ que tous
les deux ans, la femelle donne naissance à un seul petit au bout d'une gestation d'environ 6 mois, le petit pèse alors 200-250
g, au bout de 6 mois la mère le délaisse, mais le petit suit sa mère encore jusqu'à l'âge d'un an pour s'en séparer
définitivement ensuite.
On les rencontre très fréquemment dans tout le Costa Rica, jusqu'à une altitude de 2400 m.
Cet animal dispose d’une étonnante résistance aux infections et aux blessures.
Source Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Paresseux&oldid=83060553
Les espèces arboricoles ont des caractéristiques morphologiques :
Les animaux vivant dans un biotope (milieu de vie) arboricole présentent généralement plusieurs
caractéristiques spécifiques, qui dépendent du groupe animal concerné : le paresseux est un
mammifère.
Caractéristiques des mammifères arboricoles :
• 1- membres antérieurs (avant) longs + souplesse de l’articulation de la ceinture scapulaire
(os qui rattachent les bras à la colonne vertébrale).
• 2- membres postérieurs (arrière) plus courts + souplesse de l’articulation de la ceinture
pelvienne (os qui rattachent les jambes à la colonne vertébrale)
• 3- pouces opposables (mains et pieds),
• 4- angle important entre pouce opposable et autres phalanges (important pour la
préhension),
• 5- phalanges longues
JEU…
JEU…
Sur le dessin ci-dessous, relie le numéro correspondant à l’adaptation arboricole du paresseux à la
partie de son corps qui est concernée.
1 ▪
2 ▪
FRAPNA Isère – octobre 2012 3 ▪
page 2 sur 43
▪ 5
▪ 4

Pour revoir des extraits du film avec vos élèves :
http://vimeo.com/28307805
INFOS…
INFOS…
Le renard et l’homme ont toujours eu des relations passionnées. Il en a résulté de nombreux contes
et légendes.
Le renard est souvent décrit sous les traits d’un personnage malin et rusé qui arrive à ses fins grâce
au langage et à la psychologie (Roman de Renard, le Corbeau et le Renard, contes de Grimm, Le
petit Prince...).
Dans la réalité, cet animal apparait en effet comme très rusé, eut égard à ses occasionnelles visites
dans les poulaillers et à sa grande adaptabilité (milieux de vie, régime alimentaire).
Pourtant, il rend de nombreux services à l’homme, détruisant chaque année plusieurs milliers de
rongeurs (par individus), rongeurs qui créent de nombreux dégâts en agriculture.
Vous trouverez quelques informations complémentaires sur les relations entre l’homme et le renard
sur le site de la ligue ROC : http://www.roc.asso.fr/protection-faune/renard.html
Carte de répartition du renard roux
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 3 sur 43

Jeu… Jeu…
Jeu…
Le renard adapte son activité et son régime alimentaire en fonction des ressources disponibles au
cours des saisons. Sur les 4 images ci-dessous retrouve la saison qui est représentée, des éléments
de son alimentation et son activité principale.
Saison représentée :
□ Printemps □ Eté □ Automne □ Hiver
Que peut manger le renard à cette saison :
□ Fruits/baies □ Poulets rôtis □ Poisson frais
□ Insectes □ Nectar des fleurs □ Rongeurs
□ Oisillons □ Champignons □ Lézards
□ Vers de terre □ Grenouilles □ Gâteaux
Que fait le renard à cette saison ?
□ Il fait ses réserves avant l’hiver
□ Il fait sa rentrée des classes
□ Il voyage
□ Il dort
Saison représentée :
□ Printemps □ Eté □ Automne □ Hiver
Que peut manger le renard à cette saison :
□ Fruits/baies □ Poulets rôtis □ Poisson frais
□ Insectes □ Nectar des fleurs □ Rongeurs
□ Oisillons □ Champignons □ Lézards
□ Vers de terre □ Grenouilles □ Gâteaux
Que fait le renard à cette saison ?
□ Il fait du ski de fond
□ Il part dans un pays chaud
□ Il continue de vivre en s’adaptant au froid
□ Il danse avec les arbres
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 4 sur 43

Saison représentée :
□ Printemps □ Eté □ Automne □ Hiver
Que peut manger le renard à cette saison :
□ Fruits/baies □ Poulets rôtis □ Poisson frais
□ Insectes □ Nectar des fleurs □ Rongeurs
□ Oisillons □ Champignons □ Lézards
□ Vers de terre □ Grenouilles □ Gâteaux
Que fait le renard à cette saison ?
□ Il apprend à marcher sur deux pattes
□ Il chasse les rongeurs en « mulotant »
□ Il vend des beignets et des chouchous sur les plages
□ Il fait des bébés
Saison représentée :
□ Printemps □ Eté □ Automne □ Hiver
Que peut manger le renard à cette saison :
□ Fruits/baies □ Poulets rôtis □ Poisson frais
□ Insectes □ Nectar des fleurs □ Rongeurs
□ Oisillons □ Champignons □ Lézards
□ Vers de terre □ Grenouilles □ Gâteaux
Que fait le renard à cette saison ?
□ Il s’occupe des œufs de Pâques
□ Il plante des fleurs
□ Il chante pour attirer une compagne ou un compagnon
□ Il s’occupe de ses bébés (renardeaux)
4 : Printemps
Fruits/baies, Insectes, Rongeurs, Champignons, Grenouilles, Lézards, Vers de terre, Oisillons
Il s’occupe de ses bébés (renardeaux)
3 : Eté
Fruits/baies, Insectes, Vers de terre, Champignons, Lézards, Grenouilles, Oisillons, Rongeurs
Il chasse les rongeurs en « mulotant »
2 : Hiver
Fruits/baies, Rongeurs
Il continue de vivre en s’adaptant au froid
Correction :
1 : Automne,
Vers de terre, Insectes, Rongeurs, Champignons, Fruits/baies
Il fait ses réserves avant l’hiver
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 5 sur 43

DOCS…
DOCS…
« Le Petit Prince », chapitre 21, Antoine de Saint Exupéry
C'est alors qu'apparut le :
- Bonjour, dit le renard.
- Bonjour, répondit poliment le petit , qui se retourna
mais ne vit rien.
- Je suis là, dit la voix, sous le .
- Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli...
- Je suis un renard, dit le renard.
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis
tellement ...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis
pas apprivoisé.
- Ah! pardon, fit le petit prince.
Mais, après réflexion, il ajouta:
- Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
- Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu ?
- Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que
signifie "apprivoiser" ?
- Les hommes, dit le renard, ils ont des et ils
chassent. C'est bien gênant ! Ils élèvent aussi des .
C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
- Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce
que signifie "apprivoiser" ?
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie
"créer des liens..."
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le . Tu n'es encore pour moi qu'un petit
garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je
n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non
plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent
mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons
besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au
monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dit le petit . Il y a une
... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
- C'est possible, dit le renard. On voit sur la
toutes sortes de choses...
- Oh! Ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince.
Le renard parut très intrigué :
- Sur une autre planète ?
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 6 sur 43
- Oui.
- Il y a des , sur cette planète-là ?
- Non.
- Ça, c'est intéressant ! Et des ?
- Non.
- Rien n'est parfait, soupira le .
Mais le renard revint à son idée:
- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes
me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous
les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu.
Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée.
Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les
autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien
m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis
regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne
mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les
champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste !
Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera
merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé, qui est
doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent
dans le blé...
Le se tut et regarda longtemps le petit prince:
- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
- Je veux bien, répondit le petit , mais je n'ai pas
beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup
de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le
renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître.
Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands.
Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les
hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoisemoi
!
- Que faut-il faire? dit le petit prince.

- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras
d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te
regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage
est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras
t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard.
Si tu viens, par exemple, à de l'après-midi, dès
trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure
avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures,
déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix
du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne
saurai jamais à quelle heure m'habiller le ... Il faut
des rites.
- Qu'est-ce qu'un rite ? dit le petit prince.
- C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard.
C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours,
une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple,
chez mes . Ils dansent le jeudi avec les filles du
village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me
promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient
n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je
n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit apprivoisa le . Et quand l'heure du
départ fut proche:
- Ah! dit le renard... Je pleurerai.
- C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais
point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
- Bien sûr, dit le renard.
- Mais tu vas ! dit le petit prince.
- Bien sûr, dit le renard.
- Alors tu n'y gagnes rien !
- J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
Puis il ajouta:
- Va revoir les . Tu comprendras que la tienne est
unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te
ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses:
- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous
n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a
apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes
comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard
semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et
il est maintenant unique au monde.
Et les étaient bien gênées.
- Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore.
On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à
moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble.
Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes,
puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que
j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par
le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les
(sauf les deux ou trois pour les ). Puisque c'est elle
que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même
quelquefois se taire. Puisque c'est ma .
Et il revint vers le :
- Adieu, dit-il...
- Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple:
on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible
pour les yeux.
- L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit
prince, afin de se souvenir.
- C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta
rose si importante.
- C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit
prince, afin de se souvenir.
- Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais
tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour
toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de
ta rose...
- Je suis responsable de ma ... répéta le petit ,
afin de se souvenir.
Les mots à trouver :
RENARD
PRINCE
POMMIER
TRISTE
TERRE
FUSIL
POULE
CHASSEUR
CŒUR
PLEURER
QUATRE HEURES
CHENILLE
PAPILLON
FLEUR
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 7 sur 43

Infos Infos …
Le moustique, qui est-il ?
Pour revoir le film : http://vimeo.com/6626129
Le moustique fait partie du très grand groupe des insectes.
Il a un corps en 3 parties : une tête, un thorax et un abdomen.
Il possède 6 pattes, une paire d’antennes et 2 paires d’ailes. Comme il fait également partie de
l’ordre des diptères, il n’a qu’une paire d’ailes qui fonctionne, l’autre ayant été transformée en une
sorte de balanciers (haltères sur le schéma).
Dessin: Mariana Ruiz Villarrea
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 8 sur 43

Le moustique fait partie des animaux mal-aimés, à juste titre, de par le côté désagréable de ses
piqûres mais aussi de par la dangerosité des maladies qu’il peut transmettre dans certains pays.
Si en France, la transmission de maladie reste exceptionnelle aujourd’hui (quelque cas de
chikungunya), le moustique est vecteur de maladie (malaria, dengue, chikungunya) causant des
ravages dans certains pays de la zone intertropicale.
Le moustique est présent sur l’ensemble des terres émergées (hors de l’eau) à l’exception de
l’Antarctique. Il lui suffit pour réaliser son cycle de vie d’avoir accès, même temporairement, à une
petite surface d’eau douce ou saumâtre (légèrement salée).
Attention à ne pas confondre le moustique avec ses « cousins » (chironomes et tipulidés) qui eux ne
piquent pas.
Le cycle de vie du moustique :
La vie du moustique débute au stade larvaire. La larve sort de l’œuf qui a été pondu dans l’eau par
la femelle. La larve est donc aquatique. Au bout de 4 mues (changement d’enveloppe externe pour
pouvoir grandir), la larve va se transformer en nymphe (stade intermédiaire entre la larve et
l’adulte) puis en adulte.
LARVE NYMPHE
ADULTE
Photo : Julien Pellet
Il n’a pas que des défauts !
Sous forme de larve aquatique, il est à la base de la chaîne alimentaire servant de nourriture aux
larves d’insectes aquatiques (libellules, dytiques, notonectes…) aux larves d’amphibiens (grenouilles,
tritons, crapauds, salamandres) et à certains poissons (épinoches…). Lorsque tous ces prédateurs
sont là, il est impossible d’avoir une pullulation et d’en ressentir la gêne.
Adulte, il est toujours à la base de la chaîne alimentaire nourrissant cette fois-ci reptiles (lézards,
geckos…), araignées, oiseaux, batraciens (grenouilles, crapauds…) ou chauves-souris.
Lorsqu’il est adulte, le moustique est un pollinisateur au même titre que l’abeille ou le papillon.
Seule la femelle pique pour pouvoir mener ses pontes à maturation avec le sang.
Ça pique !
Lorsqu’un moustique pique quelqu’un, il injecte un composé anticoagulant pour pouvoir facilement
aspirer le sang. La démangeaison est la réaction allergique de la peau à ce composé. Les gens sont
plus ou moins sensibles à ce composé allergène d’où une différence de sensibilité entre les
personnes.
Qu’est-ce qui les attire ?
Photo : Steffen Dietzel
Photo : US Department of Agriculture
On croit souvent que la lumière les attire. Faites l’expérience de dormir la fenêtre ouverte et la
lumière éteinte, vous aurez toujours autant de piqûres ! La lumière ne les attire donc pas.
Le réel facteur d’attraction des moustiques est le dioxyde de carbone (CO2), gaz que l’on expire. La
seule solution pour ne pas se faire piquer serait d’arrêter de respirer… ce qui a des conséquences
bien plus graves que de se faire piquer! La chaleur du corps est aussi facteur d’attraction ainsi que
certaines odeurs (naturelles ou de transpiration).
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 9 sur 43

ASTUCES ASTUCES …
Comment se protéger des moustiques ?
En France, le problème « moustique » n’est pas comparable à certains pays où les insectes peuvent
propager de graves maladies. De plus le nombre de moustique n’est pas comparable avec celui des
zones tropicales, la France procédant régulièrement à des campagnes de démoustication des
secteurs les plus sensibles. Il n’y a donc aucune raison de « paniquer » au son d’un moustique qui
vous tourne autour. Toutefois, pour des raisons de confort, nous pouvons être amenés à développer
des trésors d’ingéniosité pour nous protéger de ce petit animal.
Les solutions radicales :
Les répulsifs : souvent sous forme de spray, ils s’appliquent soit sur les vêtements soit à même la
peau. La majorité d’entre eux contiennent de produits chimiques pouvant provoquer irritations ou
intoxications. Ils ne conviennent pas aux enfants en bas âge. Il existe toutefois des répulsifs à base
d’huiles essentielles beaucoup moins nocifs. Solution à privilégier lors de voyages en zone infestée
(zone intertropicales, marais, étranger…).
Les diffuseurs électriques : ils diffusent dans l’air des doses d’insecticides qui ne différencient pas les
insectes. Un insecte empoisonné qui se fera mangé par un prédateur (chauve-souris par exemple)
intoxiquera à son tour le prédateur qui cumulera les doses d’insecticide. De plus, en présence de ces
diffuseurs, on respire les insecticides (aucune étude à long terme n’a encore prouvé leur innocuité).
Eviter de les utiliser lorsqu’on se trouve dans la même pièce.
Les appareils à ultrasons : leur efficacité n’est pas prouvée. En revanche, ils perturbent certains
animaux comme les chauves-souris qui elles (et c’est prouvé) se nourrissent de moustiques. A
proscrire en nature.
Les bougies anti moustiques : leur efficacité est limitée. Attention, les bougies d’aujourd’hui sont
souvent faites avec de la paraffine (dérivé du pétrole) qui n’est pas très bon pour la santé lorsqu’on
l’inhale. De plus ces bougies peuvent contenir des insecticides (même problème que pour les
diffuseurs). Il est toutefois possible de fabriquer soi-même des bougies et d’y incorporer de l’huile
essentielle de citronnelle (l’effet sera comparable et les nuisances seront réduites). ATTENTION,
les huiles essentielles doivent être utilisées avec précaution (cf. précautions d’emplois
dans : http://fr.ekopedia.org/Huile_essentielle)
Les plantes anti-moustiques :
La citronnelle : son huile essentielle dans un diffuseur (qui ne chauffe pas de préférence)
repoussera les moustiques. Des petits bouts sur la table de nuit ou carrément la plante en pot, sont
aussi répulsifs et de manière tout à fait naturelle. Inconvénient : certaines personnes craignent cette
odeur. Il est également possible de confectionner un répulsif en mélangeant l’huile essentielle, de
l’alcool et de l’eau. ATTENTION, les huiles essentielles doivent être utilisées avec précaution
(cf. précautions d’emplois dans : http://fr.ekopedia.org/Huile_essentielle)
Les lamiacées : cette famille de plante est connue pour ses pouvoirs répulsifs sur les insectes. Voici
quelques plantes à utiliser pour repousser les moustiques :
- La mélisse : sorte de menthe à odeur de citronnelle, il est conseillé de la planter vers les
ouvertures de la maison. Moins efficace que la citronnelle, elle a l’avantage de bien
pousser (même trop bien parfois) sous nos latitudes. La citronnelle quant à elle craint le
gel.
- Le thym citron : en pot dans la maison ou planté près des ouvertures, il diffuse une
odeur de citron qui repousse les moustiques.
- Le basilic à petites feuilles : il diffère de la variété utilisée pour la cuisine mais est
efficace contre les diptères (mouches, moustiques…)
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 10 sur 43

Les géraniacées : famille des géraniums et des pélargoniums. Il semblerait que les maisons dont
les balcons sont ornés de ces plantes ne soient pas touchées par les invasions de moustiques. Le
géranium citron est la variété la plus adaptée à la lutte anti-moustique.
Le pyrèthre : ou chrysanthème insecticide est une plante herbacée répandue dans le monde et très
cultivée en Afrique pour les substances insecticides qu’elle contient: les pyréthrines et cinérites. Il
est toxique pour les animaux à sang froid (comme les insectes, les reptiles, les arachnides, les
poissons). Elle est mortelle par paralysie du système nerveux. À moindre dose, elle a un effet
répulsif. Elle n'est pas toxique pour les animaux à sang chaud.
Les prédateurs du moustique :
Les araignées : grâce à leur toile, une ou plusieurs araignées dans la maison peuvent vous
débarrasser de quelques moustiques.
Les amphibiens : à l’état de larve aquatique ou d’adulte, les amphibiens (grenouilles, crapauds,
tritons et salamandres) se nourrissent de moustiques. Intégralement protégés, ils ne peuvent
cependant pas être capturés dans la nature pour être ramenés chez soi.
Les chauves-souris : les chauves-souris peuvent manger leur poids en insectes chaque nuit! Pour
favoriser leur venue, vous pouvez installer un nichoir à chauve-souris dans votre jardin (on trouve
sur le web des plans pour réaliser soit même sa maison à chauve-souris) ou maintenir des abris à
chauve-souris (combles avec ouverture, greniers accessibles, arbres à cavités, anfractuosités dans
les vieux murs…). Intégralement protégés, elles ne peuvent cependant pas être capturées dans la
nature pour être ramenées chez soi.
Les oiseaux insectivores : le rougequeue, l’hirondelle ou le gobemouche (et bien d’autres) ont un
grand besoin d’insectes pour nourrir leurs oisillons. Il est possible de favoriser leur présence en
installant des nichoirs mais aussi en favorisant des milieux propices à leur présence (haies
champêtres, murs de pierres sèches…).
L’utilisation d’insecticides est contraire à l’accueil de ces groupes d’animaux.
Les petits gestes à faire soi-même :
Empêcher l’accès à la peau : un tissus fin ne découragera malheureusement pas notre
enquiquineur préféré de vous piquer. Préférer des tissus plutôt épais, manches et jambes longues et
pas trop larges (pour éviter qu’il ne rentre à l’intérieur). Penser à couvrir la tête et le cou.
L’utilisation d’une moustiquaire (filet ou tulle à mariée) est aussi une possibilité lorsqu’on est
immobile.
Vider (au moins une fois par semaine) : les dessous de pots, petits abreuvoirs, arrosoirs, et
autres récipients pouvant contribuer à la formation de petits dépôts d'eau, d'arrosage ou de pluie,
dans lesquels peuvent se développer en quelques jours des dizaines de milliers de moustiques.
Contrôler la présence de déchets : de l’eau qui s’accumule dans une canette ou un vieux pneu
peu permettre l’infestation de tout un lotissement !
Contrôler que l'eau ne stagne pas dans les gouttières.
Déposer sous les pots de fleurs et dans les petits récipients des fils de cuivre (fil électrique
privé de sa gaine en plastique), ou une pièce de monnaie en cuivre. Ce métal dans l'eau provoque
une forte mortalité des larves, et permet de doubler les temps de reproduction. Couvrir
hermétiquement les récipients qu'il n'est pas possible de vider.
COMME POUR BON NOMBRE DE PROBLEMES, IL N’Y A PAS UNE SOLUTON
MIRACLE. LA COMBINAISON DE PLUSIEURS ASTUCES PERMET UN
RESULTAT OPTIMAL.
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 11 sur 43

ENQUÊTE ENQUÊTE …
Pingouins ou manchots ?
Pour revoir des extraits du film avec vos élèves :
http://www.lesfilmsdupreau.com/prog.php?code=per#medias
1 er indice : Si l’on considère que le pingouin est seul capable de voler, entoure le nom de l’animal
représenté sur la photo.
Photo: Gsd97jks Photo: Glenn Grant, National Science Foundation
Pingouin torda ou manchot empereur Pingouin torda ou manchot empereur
Photo : DLJAMESON Photo : Samuel Blanc
Pingouin torda ou manchot empereur Pingouin torda ou manchot empereur
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2 ème indice : Le Pingouin Torda est un oiseau qui vit dans l’hémisphère nord tandis que le Manchot
empereur vit au pôle Sud, sur et autour du continent Antarctique (voir les cartes de répartition cidessous).
Carte de répartition du manchot empereur
Carte de répartition du pingouin torda
Auteur: Sébastien Bruchet
Et voici la recherche du jeune garçon dans le film :
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3 ème indice : En anglais, « manchot » se dit « penguin » et « pingouin » se dit « razorbill »
En regardant le livre consulté par le garçon, vous pouvez retrouver un indice…
Avec tous ces indices, vous savez maintenant que le héros du film « Perdu ? Retrouvé ! » est :
un manchot ou un pingouin
(entourez la bonne réponse)
Pour voir un autre film sur les manchots : La marche de l’Empereur de Luc
Jacquet
http://empereur.luc-jacquet.com/index_flash.htm
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Voyage au pôle sud avec Agnès et Samuel…
La Baleine à bosse
La baleine à bosse est un mammifère cétacé de grande taille : les adultes atteignent habituellement 13 à 14 mètres de long
et pèsent en moyenne 25 tonnes. Quand la baleine à bosse fait surface et expulse par son évent l'air provenant des poumons,
le souffle provoque un nuage pouvant atteindre 3 mètres. Les femelles sont plus grosses que les mâles. Le baleineau mesure
dès la naissance 4 à 4,5 mètres et pèse environ 700 kilos. Les baleines à bosse peuvent vivre de 40 à 100 ans.
Habituellement, les individus vivent seuls ou fréquentent des groupes qui se font pour quelques heures et se défont. L’espèce
se nourrit exclusivement pendant l’été et vit sur ses réserves de graisse pendant l’hiver. C’est un prédateur actif qui chasse le
krill et les bancs de petits poissons tels les harengs, les capelans ou les lançons.
Les baleines à bosse sont autant réputées pour leurs acrobaties que pour leurs longs chants complexes.
Source du texte : Article Baleine à bosse de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Baleine_%C3%A0_bosse).
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Le Damier du Cap
Le Goéland dominicain
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Le Labbe antarctique
Le Léopard des mers
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Le léopard de mer est un mammifère carnivore, il fait partie des cinq espèces de phoques présentes en Antarctique. la
femelle peut mesurer 4,5 mètres pour une masse de 600 kilos. Craintif et solitaire dans son aire de vie faisant partie des lieux
les plus inhospitaliers au monde, les observations et son étude scientifique sont difficiles. Bien que le krill et les juvéniles
d'autres espèces de phoques constituent sa principale nourriture, il est renommé pour sa férocité. Comme tous les phoques,
les léopards de mer possèdent des membres postérieurs atrophiés où seules les extrémités se sont développées pour former
une nageoire caudale. La femelle donne naissance à un petit d'environ 30 kilogrammes et mesurant jusqu'à 160 centimètres
de longueur. C'est un animal solitaire qui peut pratiquer différents types de chasse : assaut sur la glace, poursuite en mer,
chasse à l'affût comme celle du crocodile. L'animal possède tout un registre de sons comme des gémissements, des
grognements, des gargarismes ou bien des souffles et des variations gutturales d'alarme, qu'ils utilisent aussi bien dans l'eau
qu'en dehors. Pélagique, le léopard de mer vit dans les eaux froides des océans de l'hémisphère Sud.
Le Manchot à jugulaire
Source du texte: Article Léopard de mer de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9opard_de_mer).
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Le Manchot adélie
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Le Manchot empereur
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Le Manchot empereur est le plus grand et le plus lourd de tous les manchots atteignant jusqu'à 122 cm de hauteur pour un
poids qui varie entre 20 et 40 kg. Comme les autres manchots, il est incapable de voler. Ses ailes raides et aplaties et son
corps profilé sont particulièrement adaptés à l'habitat marin. Son alimentation se compose essentiellement de poissons, mais
peut également comprendre des crustacés (krill). Lorsqu'il chasse, il peut rester sous l'eau durant 18 minutes, plongeant à
une profondeur de 535 m. Il s'agit de la seule espèce de manchot qui se reproduit au cours de l'hiver antarctique. Il réalise
alors un long périple de 50 à 120 km sur la glace pour former des colonies pouvant comprendre des milliers d'individus. Les
femelles pondent un unique œuf, que le mâle couve tandis que la femelle retourne vers la mer afin de chercher de la
nourriture. Par la suite, les parents partent chercher leur nourriture en mer à tour de rôle, l'un d'entre eux restant avec leur
oisillon dans la colonie. L'espérance de vie du Manchot empereur est généralement de 20 ans dans la nature.
Original design: Zina Deretsky, National Science Foundation
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Le Manchot papou
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Le pétrel des neiges
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Le phoque de Wedell
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Le phoque crabier
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Nom : Vanneau huppé
Classe : Oiseaux
Pour revoir le film : http://vimeo.com/30903448
Au service des cartes d’identité des animaux, quelqu’un a mélangé les
cartes et les photos, pouvez-nous nous aider associer les photos aux
cartes ?
Description : Longues pattes, ventre et poitrine
blanches, tête, front et collier bruns, dos brun
avec des reflets verts, petite aigrette à l’arrière
de la tête.
Nom : Agrion
Classe : Insectes
Description : Couleur bleu avec des parties
noires. Quatre petites ailes repliées sur le dos.
Nom : Chevreuil
Classe : Mammifères
Description : Couleur brun-roux avec un liseré
noir sur les oreilles. Les mâles ont des bois
tandis que les femelles n’en ont pas.
Nom : Faucon crécerelle
Classe : Oiseaux
Description : Petit rapace brun-roux moucheté
de noir. Bec crochu et bout de la queue noir et
gris.
Nom : Lièvre brun
Classe : Mammifère
Description : Brun avec des reflets roux.
Longues pattes et longues oreilles dont le bout
est noir.
Nom : Héron cendré
Classe : Oiseaux
Description : De couleur grise, longues pattes,
long cou et long bec.
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Photos issues du film « A deux pas » de Guillaume Debouche

Infos Infos …
Le mot tapir désigne quatre espèces de mammifères ongulés
(animaux qui marchent sur leurs ongles), une en Asie et trois en
Amérique centrale et en Amérique du Sud. Ce sont les seuls représentants de la famille des
Tapiridés, qui est très proche de celles des chevaux et des rhinocéros.
Son corps est massif et est recouvert d'une peau très épaisse (il est d'ailleurs chassé pour son cuir).
Il a une courte trompe, qui lui sert à attraper sa nourriture.
Il possède une ouïe et un odorat excellents, mais une vue peu développée.
Dans la nature, un tapir vit approximativement 30 ans.
C'est un animal vivant principalement la nuit, méfiant et solitaire (le couple ne se forme que pour
l'accouplement) et résidant en forêt.
Le tapir est un herbivore et se nourrit 3 fois par jour.
Dans la nature, il est chassé par des félins (jaguars, tigres). Mais son principal prédateur reste
l'Homme, qui le tue pour différentes raisons (son cuir très épais, sa viande mais aussi comme
"remèdes pharmaceutiques"...).
Il existe aujourd'hui quatre espèces de tapir, trois vivant en Amérique latine et du sud :
• Tapirus bairdii (Gill, 1865), ou tapir de Baird
• Tapirus pinchaque (Roulin, 1829), ou tapir des montagnes
• Tapirus terrestris (Linnaeus, 1758), ou tapir du Brésil
Une en Asie :
• Tapirus indicus (Desmarest, 1819), ou tapir de Malaisie ou encore tapir à chabraque
Le Tapir des montagnes (Tapirus pinchaque) est le plus petit des quatre espèces de tapir et le
seul à vivre en dehors des forêts tropicales dans la nature. Le nom de l'espèce vient du terme « la
Pinchaque », un animal imaginaire, censé habiter les mêmes régions que le tapir de montagne.
Cet animal est considéré comme une espèce « parapluie ». En menant des actions de
sauvegarde de cette espèce, c’est l’ensemble de son écosystème que l’on protège.
Sources : Article Tapir de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Tapir).
Article Tapirus pinchaque de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Tapirus_pinchaque).
Pour revoir un
extrait du film :
http://vimeo.com/
27434303
Carte de répartition du tapir
colombien: Chermundy
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Pour revoir le film: http://vimeo.com/3093203
Infos Infos …
La mangue est le fruit du manguier, grand arbre tropical originaire des
forêts du Pakistan et de la Birmanie où il pousse encore à l'état sauvage. Cet arbre, le Mangifera
indica, a un feuillage persistant, dense et vert foncé.
La mangue est un fruit charnu, son poids varie de 300 g à 2 kg.
C'est une drupe, sa chair adhère à un noyau large, plat et glissant: il peut se retrouver sur les
genoux lorsque l'on dénoyaute le fruit à l'aide d'un couteau (attention aux doigts!). Elle peut être
ronde, ovale ou réniforme, et présente une écorce pouvant être de couleur jaune, verte ou rouge,
qu'il est nécessaire d'enlever, car elle contient des substances irritantes et n'est donc pas
comestible.
Sa chair est jaune foncé, onctueuse et sucrée, avec un goût de pêche et de fleur, parfois légèrement
poivrée. Selon les variétés ou lorsque le fruit est trop mûr, la chair devient parfois filandreuse.
La mangue est utilisée dans des plats d'origine tropicale ou encore en jus de fruit pour des cocktails
exotiques. La mangue est consommée dans le monde entier mais elle n'est réellement délicieuse
que cueillie à point et donc consommée près de là où elle pousse.
Source : Article Mangue de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mangue).
Photo de manguier : Claude Rubio
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Jeu… Jeu…
Jeu…
Dans la fable du noyau de mangue, le lièvre offre un noyau, pensant ainsi offrir un arbre produisant
des mangues. Sais-tu par quelles étapes passe un végétal entre la graine (ou le noyau) et le fruit ?
Découpe les étiquettes ci-dessous et associe chaque nom à l’étape qui lui correspond.
Graine Germination Arbre Fleur
Fruit
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Culture Culture… Culture
Le noyau de mangue : plus qu’un conte il s’agit ici d’une fable africaine
Fable : court récit en vers ou occasionnellement en prose qui vise à donner de façon plaisante une
leçon de vie. Elle se caractérise par la mise en scène d'animaux, d'éléments naturels ou de
personnages fictifs, des dialogues vifs et une morale. Celle-ci est soit à extraire de l’implicite du
texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte.
Les fables et les contes sont issus de la tradition orale
- "La tradition orale est l'ensemble de tous les types de témoignages transmis verbalement par
un peuple sur son passé».
- Le conte et la fable
Le conte est l'élément le plus connu de la tradition orale. Il est généralement défini comme
un récit d'aventures imaginaires à vocation didactique.
Il est populaire, c'est-à-dire créé par et pour le peuple: il naît et vit de la collaboration entre
le peuple auditeur et le conteur respectueux de son idéologie, de sa culture. Traditionnel, il
se transmet oralement de génération en génération. Il dépend étroitement de la culture et de
la géographie physique du peuple qui l'a produit.
Il est généralement dit aux jeunes par les anciens, à la tombée de la nuit. Parmi les
nombreuses explications sur le moment d'énonciation du conte, retenons celle-ci:
- "La nuit est plus propice au rêve et à l'imagination créatrice, et l'esprit est plus libre après les
travaux et les soucis diurnes".
La fable ne diffère pas tellement du conte. C'est un récit imaginaire ou mythologique destiné
à illustrer un précepte. Le récit, souvent court et humoristique, peut être assimilé à une
anecdote.
Fabulistes connus :
- La première fable connue est Le Rossignol et l’Épervier, que raconte Hésiode, aux alentours
du VIII e siècle av. J.-C., dans Les Travaux et les jours. On y voit un pauvre rossignol qui, pris
dans les serres d’un épervier, lui fait la leçon. Cette fable vise à faire réfléchir sur la notion de
justice, à l’aide d’un raisonnement antithétique où le personnage principal exploite
outrageusement sa position de force.
- Jean de la Fontaine : après s'être essayé déjà à divers genres poétiques, Jean de La Fontaine
(1621-1695) publie son premier recueil de fables en 1668 (livres I à VI). Devant le succès
obtenu, il en publiera deux autres, en 1678 et 1694, pour un total de 243 pièces, dont
plusieurs sont des apologues et ne mettent pas en scène des animaux. Ces recueils le
consacreront comme le plus grand fabuliste de tous les temps.
- Antoine Houdar de La Motte (1672-1731) proposera de son côté les premières fables non
imitées des auteurs antiques. Celles-ci font preuve d'une certaine inspiration même si la
langue n'a pas le charme de celle de La Fontaine.
- Un seul nom a survécu durablement au côté de celui de La Fontaine : celui de Florian (1755-
1794). Son recueil compte une centaine de fables dans lesquelles on sent parfois l’inspiration
de l’Anglais John Gay ou de l’Espagnol Tomás de Iriarte y Oropesa. Certaines de ses fables
sont à orientation publique et visent à vulgariser les idées de la philosophie des Lumières sur
la nature humaine et la nécessité pour les gouvernants de respecter des principes moraux;
d'autres sont à orientation privée et enseignent des principes de sagesse, d'amour du travail
et de charité.
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Les fables de Florian sont généralement jugées mieux adaptées aux enfants que celles de La
Fontaine parce que le message en est moins ambigu et les oppositions entre les personnages
moins tranchées. Plusieurs récits, en effet, se terminent par une réconciliation générale et la
vertu l'emporte toujours. Parmi les thèmes abordés, on trouve ceux du rapport de l'enfant à
ses parents adoptifs («Les Serins et le Chardonneret»), l'importance de l'entraide («L'Aveugle
et le Paralytique») et la présence d'inventions modernes, comme dans la fable du Singe qui
montre la lanterne magique. Certaines de ses moralités sont passées en proverbes, tel le
fameux « Pour vivre heureux, vivons cachés » du Grillon ou encore « Chacun son métier, les
vaches seront bien gardées » (Le Vacher et le garde-chasse).
Le thème du mariage et notamment de la dote revient souvent dans les contes :
- Peau d’ânes Charles Perrault
- Les contes des mille et une nuits
- Les contes et légendes du Dauphiné
Mais l’offrande qui est faite pour officialiser une union prend souvent des formes variées, si la
femme doit prouver qu’elle vient d’une bonne famille, l’homme lui doit souvent prouver sa valeur
et son courage.
Les prétendants passent généralement des épreuves, les pères étant désireux de donner leur
fille à un homme courageux. Dans les contes ou les fables le courage se mesure à la bravoure
sur les champs de bataille ou face à un monstre fantastique (dragon…) ou en accomplissant des
épreuves a priori impossible à effectuer.
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Explication
Explication…
Explication
Le noyau de mangue est une adaptation d’un poème africain tiré du recueil 101 fables du
monde entier. Il nous raconte l'histoire de la jolie fille du lièvre. Ses parents pour
départager les nombreux prétendants, demandèrent à ces derniers de prouver qu'ils
seront en mesure d'assurer la subsistance de leur fille.
"La fille du lièvre était si jolie
Que de nombreux prétendants désiraient l'épouser
Ses parents demandèrent à chacun des partis
D'apporter la preuve qu'ils avaient
De quoi nourrir la bien-aimée."
Tous étalèrent leurs denrées, mais seul un jeune lièvre fit la différence avec pour unique offrande,
un noyau de mangue.
"Tous présentèrent alors des régimes de bananes
Du manioc, des carottes, des ignames,
Quantité de feuilles et de fruits,
Tous, sauf un qui, lui,
ne possédait qu'un beau noyau de mangue"
La moral de cette fable repose sur la sagesse du propos "mieux vaut être cultivateur que simple
cueilleur", cette morale prend tout son sens avec les mots "pendant toute notre vie" qui traduisent
le potentiel du noyau et la profusion végétale qui lui est liée.
"... Vos fruits sont superbes et bien mûrs,
mais mon noyau deviendra, une fois planté,
Un bel arbre qui nous fournira de quoi manger
pendant toute notre vie..."
La sagesse est souvent récompensée dans les fables, comme on peut le voir dans de nombreuses
autres fables: "la cigale et la fourmi", "Le laboureur et ses enfants" "La mouche et la fourmi".
"...Devant un prétendant si sage,
Monsieur et madame Lièvre n'hésitèrent pas
à lui donner leur fille en mariage..."
Néanmoins la morale d'une fable n'est jamais unique, il ne s'agit pas d'une vérité générale, mais
d'une interprétation personnelle de l'auteur de ses observations du monde et de ses expériences
personnelles.
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Parmi la sélection de films proposée, un grand nombre sont en cinéma d’animation, utilisant des
techniques différentes : l’animation par ordinateur (PERDU RETROUVE de Philip Hunt, PINCHAQUE
LE TAPIR COLOMBIEN de Caroline Attia), l’animation en marionnette (HANGING AROUND de
Stock’n’Wolf) ou encore le dessin animé classique (LE MOUSTIQUE et LE NOYAU DE MANGUE de
Hélène Ducrocq) ou la technique dite de pixillation.
Durant la projection d’un film, qu’il soit d’animation ou non, le mouvement continu qui apparaît sur
l’écran n’est en réalité qu’une illusion. En effet si l’on observe une pellicule argentique (en 35 mm,
support en voie de disparition), on ne voit qu’un ensemble d’images fixes, une multitude de photos.
A l’origine de cette illusion, on trouve un principe de la vision: la persistance rétinienne. Pour
comprendre de quoi il s’agit, regardez attentivement un objet et fermez les yeux. Que se passe-t-il ?
L’image de l’objet reste gravée sur la partie photosensible (c‘est à dire sensible à la lumière) de
l’œil, la rétine, pendant environ un dixième de secondes. Or, un film est constitué de 24 images par
seconde. Autrement dit, une image n’a pas le temps de disparaître de notre rétine qu’elle est
remplacée par une autre. Les images vont donc se superposer sur notre rétine avant de disparaître
progressivement et créer l’illusion du mouvement.
Les jeux d’optique : au 19e siècle, des savants ont inventé des jeux d’optique pour comprendre le
phénomène de la persistance rétinienne. Ces jeux aux noms bizarres –thaumatrope, praxinoscope,
phénakistiscope, zootrope, folioscope- vont permettre l’invention du cinéma et donc du cinéma
d’animation.
Expérience : Pour réaliser un thaumatrope, il suffit de dessiner avec des couleurs opposées une
image différente sur chacune des faces d’une petite feuille cartonnée, rectangulaire ou cylindrique
(exemple : un aquarium rouge d’un côté, un poisson bleu de l’autre). Lorsque l’ont fait tourner le
carton, avec des élastiques tendus, les deux images se superposent.
Le cinéma d’animation consiste à filmer des objets, des poupées, des dessins, et donner l’impression
qu’ils bougent tout seuls. Pour en arriver là, il a fallu mettre au point une caméra particulière qui, au
lieu de filmer en continu (comme pour les films « traditionnels »), va le faire image par image,
comme un appareil photo. Entre chaque prise, le réalisateur et les animateurs changent le dessin ou
modifient les objets. Pour réaliser un film d’animation et donner l’illusion du mouvement au moins
12 images par seconde sont nécessaires. Dans ce cas, chaque image sera photographiée 2 fois. Un
long métrage d’animation contient près de 100 000 images différentes.
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Il existe différents genres et différentes techniques d’animation :
- Le dessin animé : chaque plan, chaque mouvement des personnages est représenté par un
dessin différent et minuté très précisément. Tous les dessins de personnages ou d’objets
sont réalisés sur une feuille transparente de celluloïde (ou cellulo), qui permet, en les
superposant, de se rendre compte des déplacements d’un dessin à l’autre. Une fois les
personnages dessinés et minutieusement peints par les gouacheurs, ils sont placés sur le
dessin du décor qui lui n’est dessiné qu’une seule fois.
- L’animation en volume (marionnettes, pâte à modeler…): Les personnages en pâte à
modeler sont placés dans un vrai décor miniature et sont articulés image après image. Afin
de pouvoir facilement manipuler les personnages, ceux- ci sont constitué d’une armature
solide et articulée recouverte par du tissus ou de la plastiline. Souvent, pour un même
personnage, on fabrique plusieurs têtes changeables, avec des expressions différentes.
Aujourd’hui la plupart des personnages sont fabriqués en mousse de latex.
- La pixillation. Ce qui est possible avec des objets l’est également avec des humains. C’est
ce qu’on appelle la pixillation : on filme image par image des personnages vivants. A l'aide de
cette technique on peut, par exemple, faire disparaître des personnages comme par magie.
- L’animation par ordinateur : c’est une technique très compliquée mais qui est de plus en
plus utilisée. Le réalisateur rentre dans la mémoire de l’ordinateur la forme et la silhouette de
ses personnages par des formes géométriques simples. L’ordinateur va alors pouvoir donner
du mouvement aux personnages en suivant les indications d’axes et de durée données par le
réalisateur. D’autres informations seront également mémorisées comme la matière, les
ombres, les couleurs, les mouvements fictifs de caméra… L’ordinateur assimile toutes ces
données et crée des images - illusions, c’est à dire apparemment en trois dimensions (3 D).
Il existe beaucoup d’autres techniques de cinéma d’animation comme : le travail sur pellicule (le
dessin ou le grattage dont le plus fameux réalisateur s’appelle Norman MAC LAREN), l’animation en
ombres chinoises (« Princes et Princesses » de Michel OCELOT), mais également l’animation en
papiers découpés, en sable coloré, la peinture sur verre,…
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Pour réaliser un petit film d’animation en amateur vous aurez besoin :
D’une caméra pouvant prendre image par images, ou d’un appareil photographique, ainsi qu’un
pied. Et d’un logiciel spécifique permettant d’animer image par image.
Pour un dessin-animé vous aurez besoin de feuilles transparentes, cellulo, et d’une table lumineuse.
Mais des dessins sur papier classique peuvent également donner un très bon résultat. Pour un film
en trois dimension vous aurez besoin de pâte à modeler (ou de la plastiline, mais celle-ci est très
coûteuse) ainsi que des spots (200 W) pour l’éclairage, de beaucoup de temps.
On peut facilement se passer de montage en prévoyant minutieusement les plans à l’avance. De
même l’absence de dialogue peut être remplacée par une musique, en fichier mp3 par exemple,
(mais attention aux droits d’auteur !).
Deux ouvrages à découvrir, fort instructifs:
- « 1001 activités autour du cinéma » de Pierre Lecarme et Annabelle Mège - Casterman
- « Le Cinéma d’animation » de Bernard Génin - Cahiers du Cinéma (Les Petits cahiers) –
Scérén CNDP
Marco Gentil pour le cinéma Le Méliès
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Bibliographie Bibliographie …
- Susan Lumpkin. La petite encyclopédie des grands fauves, Bordas, 1993, 68p.
(Collection petite encyclopédie des animaux).
- Catherine Jouan, jeanne Rius. Jungles mystérieuses, Milan Jeunesse, 2007, 96p.
(Collection « les aventuriers de la nature »).
Résumé :
Après Terres des ours, La Savane, royaume sauvage et Les Volcans, cracheurs de feu, ce
nouvel album de la collection « Les Aventuriers de la nature » entraîne le lecteur au cœur des
forêts tropicales sur les traces de Catherine Jouan et Jeanne Rius.
- Stéphanie Ledu. Les animaux du monde- l’atlas des 5-8ans, Milan Jeunesse, 2010, 30p.
Résumé :
Un livre qui invite les lecteurs à découvrir où vivent les animaux sur la Terre.
- Christine et Michel Denis-Huot. Les animaux de la savane racontés aux enfants, édition
de La Martinière jeunesse, 2003, 75 p..
Résumé :
Le Kenya et la Tanzanie sont les terres choisies par Michel et sa femme pour photographier la
grande faune sauvage. Depuis des années, ils photographient les animaux les plus variés. Du
lion majestueux à l'étonnante gazelle-girafe ou au gracieux flamant rose, ils sont captés dans
leurs activités les plus diverses : éducation des petits, migration, chasse... Sur fond de
savane et de brousse, on s'émerveille devant ces grands espaces et ces photos inattendues,
où la faune sauvage, bien que fragile, est de toute beauté.
- Lucy Baker, trad. Ghislaine Kaby. La vie dans les forêts tropicales, Bias, 1991, 32p.
Le paresseux
- Science Junior, la science à portée de clic [en ligne]. Aloïs CHARDIN & Xavier GALLOIS,
2009-2011 [consulté le 22octobre 2012], disponible sur : http://sciencejunior.fr/animaux/le-
paresseux/
- Passion animale [en ligne].Delphina, 2009[consulté le 22 octobre 2012], disponible
sur :http://delphina-perso.over-blog.fr/article-le-paresseux-il-porte-bien-son-nom-
62910612.html
Le jaguar
- Tous les félins [en ligne]. Magali, 2005 [consulté le 22 octobre 2012], disponible sur
http://touslesfelins.free.fr/jaguar.htm
- Le lynx et autres félins [en ligne].Nailia, 2001 [consulté le 22 octobre 2012], disponible
sur : http://www.lelynx.org/AutresJaguar
La Forêt
- Office National des Forêts [en ligne]. [consulté le 22 octobre 2012], disponible sur :
http://www.onf.fr/gestion_durable/sommaire/milieu_vivant/patrimoine/forets_monde/20070
928-083950-808015/@@index.html
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 36 sur 43

- La Forêt m’a dit [en ligne].FRAPNA, [consulté le 22 octobre 2012], disponible sur :
http://www.frapna.org/~foret/index.htm
- Christian Havard. Le Renard, chasseur malicieux, Milan, 2001, 29p. (Collection Mini patte)
Résumé :
Avec patience, le renard s'approche d'un mulot puis il bondit et retombe exactement sur sa
proie. Bien joué ! Discret et solitaire, ce chasseur est renommé pour ses ruses... Mais il est
pourtant peu aimé des hommes.
- Bruno veillet. Le Renard roux, Glénat , 2009, 29p. (Collection les carnets de la huppe)
Résumé :
Signés par les parcs nationaux de France, Les carnets de la huppe proposent des découvertes
nature pour petits et grands. Chaque carnet offre l'essentiel des connaissances sur une
espèce ou un groupe d'espèces animales ou végétales.
- Fabrice Cahez. Petit renard, Pôles d’images, 2003, 64p.
Résumé :
Imprégné depuis son enfance par les facéties mystérieuses et déroutantes du "Renart" de la
littérature, Fabrice Cahez se passionne depuis l'âge adulte pour le renard roux de la nature.
Sa rencontre provoque toujours en lui une formidable émotion et de délicieuses sensations
complices. Ce sont ses heures secrètes d'attente à proximité des terriers qu'il souhaite vous
faire partager afin que petit renard devienne grand...
- Antoine de Saint Exupéry. Le Petit Prince, Gallimard, 2002, 97p. (Collection Folio Junior)
Résumé :
«J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le
désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur. Et comme je
n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul,
une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de
l'eau à boire pour huit jours. Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille
milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu
de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix
m'a réveillé. Elle disait : ...»
- Alain Surget. Le renard de Morlange, Nathan, 1995, 125p. (Collection Pleine lune)
Résumé :
Un méchant seigneur, Renaud de Morlange, est transformé en renard chaque nuit de nouvelle
lune. Un matin, il ne retrouve pas ses habits et est condamné à vivre dans la peau du renard.
Il va découvrir l'humilité, la condition des pauvres et prendre conscience de sa méchanceté.
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Le Petit prince :
A lire :
- Antoine de Saint Exupéry [en ligne]. Bénédicte Maillard, 2011 [consulté le 22 octobre
2012], disponible sur : http://www.antoinedesaintexupery.com/
- Le petit Prince[en ligne].Wigo Média, 2012 [consulté le 22 octobre 2012], disponible sur :
http://www.lepetitprince.com/#
À écouter :
- Le petit Prince[en ligne].Wigo Média, 2012 [consulté le 22 octobre 2012], disponible sur :
http://www.lepetitprince.com/oeuvre/phenomene/ecouter-le-petit-prince/
Quelques liens pour écouter et/ou voir l’histoire :
http://www.youtube.com/watch?v=FOFWrtdvnKI
En 1974, Paramount confie la réalisation du Petit Prince à Stanley Donen (connu pour son film
Chantons sous la pluie). Il en fait une comédie musicale. Nominé aux Oscars, le film a reçu un
Golden Globe pour sa partition. http://www.youtube.com/watch?v=a_ITJXQ9QCU
Depuis Noël 2010, France 3 propose une série animée en 3D librement adaptée du Petit Prince
d’Antoine de Saint-Exupéry : http://www.youtube.com/watch?v=E8eVpU6_CZk
Le renard :
A découvrir : http://ecologie.nature.free.fr/pages/mammiferes/renard.htm
A voir :
Animation Le corbeau et le renard : http://www.youtube.com/watch?v=vZd_EcCgcjw
Autre film sur le renard
Le renard et l’enfant : http://www.youtube.com/watch?v=y6RU8GLMz8Y
- Paul Starosta. Le Moustique, aïe ça pique, Milan, 2001, 29p. (Collection Patte à patte)
Résumé :
D'où vient ce petit bouton qui gonfle et qui gratte ? C'est l'œuvre de la femelle moustique,
qui pique pour avoir de beaux neufs qu'elle pondra sur l'eau. Après l'éclosion, la larve grossit
avant de devenir une nymphe. Soudain, moment magique, des milliers de créatures ailées
sortent à la surface de l'eau : de nouveaux moustiques sont nés... Heureusement, ils sont
vite gobés par leurs nombreux ennemis!
- Zemanel. Dans le ventre du moustique, Père Castor-Flammarion, 2008, 23p. (Collection
les classiques du père castor)
Résumé :
Un moustique affamé cherche à se mettre quelque chose sous la dent, mais il se fait
surprendre par une araignée. D'ailleurs cette araignée voudrait bien manger ce moustique,
mais un oiseau la surprend. Tour à tour, cinq animaux (araignée, oiseau, serpent, renard,
loup) cherchent à vouloir manger l'animal plus petit que soi. Quand un ogre survient, tous les
animaux sont paralysés de peur et chacun fuit de son côté. Personne n'a pu se rassasier, sauf
le moustique qui, piquant l'ogre discrètement, a alors droit à son dîner !
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- Antoon Krings. Frédéric le moustique, Gallimard, 1996, 32p. (Collection drôles de petites
bêtes)
Résumé :
Les parents de Frédéric veulent qu'il soit docteur. De sorte que le pauvre moustique doit
étudier, nuit et jour, un livre sur l'art des piqûres...
- Emmanuel Chanut. Les insectes de mon jardin, Bayard Jeunesse, 2006, 14p. (Collection la
petite encyclopédie Youpi des grands curieux)
Résumé :
As-tu déjà compté les points d'une coccinelle ? Sais-tu comment les abeilles fabriquent le
miel ?
As-tu remarqué que les fourmis se déplacent toujours en colonnes ?
Observe les insectes autour de toi : Tu apprendras comment ils vivent et tu découvriras leurs
secrets étonnants ! Des découvertes plein les yeux !
- Delafosse Claude. J’explore la mare de tout près, Gallimard, 2002, 34p. (Collection Mes
premières découvertes. J’explore de tout près)
Résumé :
La mare fourmille d'animaux et de plantes. Repère-les dans le paysage, puis observe à la
loupe la grenouille ou le triton qui se cachent dans les pages transparentes.
Le Moustique : Paroles, Richard Gotainer. Musique: Claude Engel - 1977
A lire : http://www.frmusique.ru/texts/g/gotainer_richard/moustique.htm
A écouter : http://www.chartsinfrance.net/Richard-Gotainer/le-moustique-Richard-Gotainer-clipytuy6pISoPCrQ.html
Le Moustique : Joe Dassin
Texte et musique : http://www.paroles-musique.com/paroles-Joe_Dassin-Le_Moustiquelyrics,p8337
http://minuscule.tv/
http://www.wat.tv/video/minuscule-moustique-22jt1_2f1q3_.html
« C’est pas sorcier » http://c-est-pas-sorcier.france3.fr/?page=emission&id_article=299
- Bertrand Eliotout. Le Manchot, édition Delachaux et Niestlé, 2009, 64p. (Collection comme
on ne l’a jamais lu).
Résumé :
Il saute hors de l’eau comme un dauphin, se déplace sur la banquise comme un phoque et
marche sur les plages comme un homme. Pourtant, c'est un oiseau... Et ce n'est pas un
pingouin ! La collection "Comme on ne l'a jamais lu" aborde un nouvel animal sauvage : le
manchot, ou plutôt les manchots puisqu'il en existe 18 espèces.
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- René Mettler. Le Pingouin, édition Gallimard-jeunesse, 2009,24p. (collection mes premières
découvertes).
Résumé :
Découvrons la vie originale de cet oiseau si sympathique, sa famille, ses amis, sa façon
d'élever ses petits...
- Emmanuel Chanut. Les animaux de la banquise, Bayard jeunesse, 2007, 14p. (collection
La petite encyclopédie Youpi des rands curieux)
Résumé :
Sais-tu que l'ours blanc cache son museau noir avec sa patte quand il veut se camoufler dans
la neige ? Sais-tu que le manchot peut rester trois mois sans manger et que le morse est
aussi gros qu'une petite voiture ? Observe les animaux de la banquise : tu découvriras
comment ils vivent, et tu apprendras des choses passionnantes !
- René Mettler. Le Pingouin ou le manchot ?, Gallimard, 1995,84p. (collection Mes
premières découvertes des animaux)
Résumé :
Le pingouin vole, le manchot ne vole pas. Le premier vit dans le Grand Nord, le second au
pôle Sud. Découvrez la vie originale de ces oiseaux si sympathiques, leurs familles, leurs
amis et leur façon d'élever leurs petits. Après cela, impossible de les confondre!
- Jacques Ducquennoy. Pôle Nord, Pôle Sud, Albin Michel-jeunesse,1994 ,48p. (collection
Zephir)
Résumé :
Nage-vite habite au Pôle Sud. Son cousin Plonge-bien habite au Pôle Nord. Pour retrouver
son cousin pendant les vacances, Nage-vite construit un bateau et traverse l'océan. Très vite,
ils deviennent inséparables et créent la première ligne régulière pôle Nord-pôle Sud pour
pingouins et manchots.
Lien menant vers différents livres traitant du thème :
http://materalbum.free.fr/banquise/liste.htm
- Horizon partagé [en ligne], Samuel Blanc, Agnès Brenière, 2012 [consulté le 22 octobre
2012], disponible sur : http://www.sblanc.com/
- Transpol’air [en ligne], transpol’air2012 [consulté le 22 octobre 2012], disponible sur :
http://transpolair.free.fr/index.htm
- Voyage au Cœur d’un Iceberg: http://www.youtube.com/watch?v=9st9YrZAGmk
- Voyage au bout du monde 1975 Un film de Philippe Cousteau avec Jacques-Yves
Cousteau
Documentaire Durée du film : 93mn
En route pour l'antarctique, la Calypso croise un Iceberg en forme de Sphinx : présage de mystère
et de connaissance. C'est une aventure inouïe que les équipiers Cousteau s'apprêtent à vivre : là où
aucun humain n'était encore allé...
- Manchots empereurs en Terre Adélie :
- http://www.institut-polaire.fr/ipev/video/video/manchots_empereurs_en_terre_adelie
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- La colonie de manchots empereurs près de la base française Dumont d'Urville en Terre Adélie
(Antarctique)
Pour plus d'informations sur les manchots empereurs : www.institutpolaire.fr/ipev/les_regions_polaires/antarctique/regard_sur_la_faune_et_la_flore/le_manchot_empe
reur
Réalisation : Yvon Le Gars Production : ABER Images
- Guy Marshal, Marie May Nielsen, François Hoppenbrowers. Lili la maman lièvre ; Etoile
Polaire, 1977, 16p.
- Diego Meldi, Sonia Bartoli. Observe les animaux de la forêt, édition de Vecchi 2000, 19p.
- Michel Cuisin. Animaux des bois et des forêts, édition Hachette Jeunesse, 2001.
(Collection vie secrète des bêtes)
Résumé :
A chaque page, le descriptif d’un animal : on croise le coucou, la martre, la bécasse, le cerf
ou le sanglier.
- Christian Havard, Catherine Fichaux. Animaux des jardins, édition Milan 2000, 40p.
Résumé :
Nos jardins recèlent toutes sortes d’animaux qu’on ne soupçonne pas. Un livre pour découvrir
leur vie parfois mystérieuse.
- Collectif d’auteurs. Animaux de la campagne, Actes Sud Junior, 2001, 144p. (collection
Document-nature)
Résumé :
Un ravissant ouvrage pour entrer dans le monde des animaux de la campagne et découvrir ce
qu'ils ont de drôle, d'émouvant, et d'étonnant. Des photos, des dessins, des textes instructifs
et amusants pour tout savoir sur l'écureuil, le hérisson, la grenouille, le lapin, la chouette et
l'escargot. Une vraie leçon de choses, vivante et ludique.
- James Gourier .Arbres des villes et des jardins, Milan, 1997, 32p. (collection Carnets de
nature)
Résumé :
Les « Carnets de nature »Une collection de guides de découverte de la nature abordable dès
7 ans. Un choix de 100 titres au format poche pour les emporter partout. Des guides
d’identification avec des textes et illustrations immédiatement utilisables. Des guides
d’activités pour découvrir la nature en bricolant et comprendre un sujet au travers de
l’expérimentation.
- Collectif d’auteurs. L’imagerie de la forêt, édition Fleurus, 2000, 124p.
Résumé :
A travers de superbes images et des textes simples, l'enfant va découvrir page après page le
monde étonnant de la forêt et apprendre la vie et les habitudes de ses habitants. Au cours
des randonnées dans les bois, l'Imagerie sera un guide précieux pour reconnaître les traces
des animaux, identifier les arbres, les fleurs ou les champignons, et s'amuser tout en
enrichissant ses connaissances.
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 41 sur 43

WAPITI n°278- mai 2012 : renseignement disponible sur :
http://blogwapiti.com/le_magazine/wapiti-n%C2%B0278-mai/
- Susan Agnely. L’Amérique des Andes : la Colombie, le Pérou, la Bolivie, l’Equateur, le
Paraguay, le Chili, Larousse, 1980, 73p. (collection Beauté du monde)
- Ann Rocard. Mon tour du monde en 80 contes, édition LITO, 2010, 320p.
Résumé :
Dans tous les pays du monde, de tous les temps, les contes se transmettent de génération en
génération, pour le plaisir des petits et des grands. Rassemblés en un seul volume, les 80
plus beaux contes des recueils d’Ann Rocard vous embarquent pour un grand voyage dans les
cinq continents, à la découverte de cultures et de personnages fabuleux. Un beau livre pour
découvrir toutes les richesses du monde !
- Jonier Marin. L’arbre éléphant, Vents d’ailleurs, 2002,32p. (collection Petites Histoires De
Barthelem)
Résumé :
Cet arbre a un cœur d’éléphant ! Pepino, Anselme, Pomona et les autres lui doivent une fière
chandelle et Tartinouche la sorcière cuisinière n’a qu’à bien se tenir...
WAPITI n°277- avril 2012 : renseignement disponible sur :
http://blogwapiti.com/le_magazine/wapiti-n%C2%B0277-avril/
- Pauline Neveu. Un jour, une graine ; Comment les plantes naissent et grandissent ?,
Milan Jeunesse, 2006, 29p.
Résumé :
Les plantes ont tellement de manières de grandir et de donner de nouvelles plantes, qu'elles
semblent parfois bien mystérieuses... Souvent, elles se couvrent de fleurs, puis de fruits dans
lesquels se cachent des graines qui, un jour peut-être, laisseront jaillir une petite tige, bien
fragile. Mais certaines n'ont pas de fleurs. Beaucoup se font aider par les insectes pour se
reproduire, alors que d'autres préfèrent les oiseaux ou les écureuils, ou bien encore
simplement le vent. Les fleurs, les fruits, les graines ont toutes sortes de formes et de
couleurs et il en sort tantôt une plante à fleurs, tantôt un pied de légumes, tantôt un arbre...
dévoile tous ces secrets et te montre comment naissent et poussent les plantes, chacune à
leur façon.
FRAPNA Isère – octobre 2012 page 42 sur 43

- Chang Yi-Wen, Sun Wan-Ling, Jwo Kun-Feng . Le voyage des graines, Chanteclerc, 2000,
22p. (Collection Découvrir la nature)
Résumé :
Pourquoi trouve-t-on des plantes partout ? Comment font-elles pour se reproduire ?
Comment font les graines pour se déplacer ? Ce livre amusant sur la nature répond à ces
questions et à bien d'autres encore. "Découvrir la nature" rassemble une série de livres
originaux destinés aux enfants. Chaque ouvrage constitue un superbe album de
photographies entièrement consacré à un sujet. Des dessins amusants et des textes
explicatifs apportent un complément d'information. Cette série fascinera les enfants de tous
âges et trouvera une place de choix dans leur bibliothèque !
- Anne Moller. Les graines, de grandes voyageuses, Gulf Stream éditeur, 2006, 40p.
(Collection Dame Nature)
Résumé :
Pour mieux connaître la vie des plantes et des animaux.
- Laura Howell. Le monde des Plantes, Usborne Publishing, 2001, 64p. (Collection
bibliothèque des sciences)
Résumé :
Sans les plantes, aucune forme de vie ne pourrait exister sur la Terre. Ce livre est une
approche fascinante du monde végétal. Découvre avec nous comment les plantes et les
champignons se reproduisent et survivent. Ils ont réussi à coloniser presque chaque endroit
de la planète. L'explication claire de centaines de termes scientifiques ; Des illustrations et
des photos étonnantes et détaillées ; De nombreux sites Web testés et approuvés.
- Jeffrey Bates. Des graines aux plantes, Gamma-héritage, 1992, 32p. (Collection sciences
en direct)
- Collectif d’auteurs. Fleurs, fruits et graines, PEMF, 2004, 24p. (collection Photimages)
« Pour toute remarque et information complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter !! »
L’équipe du Pôle Education de la FRAPNA !!
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MNEI – 5 place Bir-Hakeim 38000 Grenoble
Tél. 04 76 42 64 08 ; Fax 04 76 44 63 36
frapna-isere@frapna.org
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Illustration / M.Desbons • Infographie : C. Basset