Télécharger le dossier de presse - Discovery Zone
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DOSSIER DE PRESSE
<strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> a dévoilé, ce jour, <strong>le</strong> contenu <strong>de</strong> sa troisième édition, qui se tiendra du 28 février au 8<br />
mars à Luxembourg.<br />
Cette troisième édition sera, avant tout, marquée par l’entrée <strong>de</strong> l’événement dans un mo<strong>de</strong><br />
compétitif. Un jury international, prochainement dévoilé, <strong>de</strong>vra se positionner sur 11 films en<br />
provenance du mon<strong>de</strong> entier (Afghanistan, Israël, USA, Paraguay, lire par ail<strong>le</strong>urs…) afin <strong>de</strong> remettre<br />
<strong>le</strong> GRAND PRIX DISCOVERY ZONE - BY ORANGE, d’une va<strong>le</strong>ur <strong>de</strong> 10.000 €. La <strong>presse</strong><br />
luxembourgeoise aura éga<strong>le</strong>ment la responsabilité <strong>de</strong> plancher sur cette sé<strong>le</strong>ction, afin <strong>de</strong> définir <strong>le</strong><br />
PRIX DE LA CRITIQUE - BY BGL BNP PARIBAS, qui était revenu l’an passé au film japonais<br />
CONFESSIONS.<br />
L’élargissement du jeune public à la tranche 3-5 ans, qui profiteront <strong>de</strong> projections adaptées tant dans<br />
<strong>le</strong>s contenus que dans <strong>le</strong>s conditions d’accueil, contribuera, cette année, à l’établissement d’un<br />
nouveau record, plus <strong>de</strong> 2800 scolaires s’étant déjà inscrits à l’un <strong>de</strong>s slots du festival. Dans ce même<br />
registre, <strong>le</strong> festival renouera notamment avec sa gran<strong>de</strong> soirée « Crème Fraîche » , réalisée avec <strong>le</strong><br />
SNJ et <strong>le</strong> CNA, avec <strong>le</strong>s ateliers, rencontres, workshops et <strong>le</strong> Crazy Cinématographe qui ont contribué<br />
à sa réputation.<br />
L’évènement, du côté <strong>de</strong> la sé<strong>le</strong>ction internationa<strong>le</strong>, sera sans conteste la présentation exceptionnel<strong>le</strong>,<br />
en ouverture officiel<strong>le</strong>, du film-événement THE PLACE BEYOND THE PINES, précédé par un buzz<br />
extrèmement prometteur. Le festival retrouve donc DEREK CIANFRANCE et RYAN GOSLING,<br />
remarqués en 2011 avec BLUE VALENTINE, lors <strong>de</strong> la première édition <strong>de</strong> <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong>.<br />
Ega<strong>le</strong>ment très attendu, parce que réalisé dans <strong>le</strong> plus grand secret, PARDE (CLOSED CURTAIN), <strong>le</strong><br />
nouveau film <strong>de</strong> Jafar Panahi, réalisateur emblématique <strong>de</strong> la nouvel<strong>le</strong> vague iranienne, sera présenté<br />
au <strong>le</strong>n<strong>de</strong>main <strong>de</strong> sa première mondia<strong>le</strong>, en compétition officiel<strong>le</strong>, à Berlin. Cette année, <strong>de</strong><br />
nombreuses réalisatrices feront <strong>le</strong> déplacement jusqu’à Luxembourg. Ce sera notamment <strong>le</strong> cas <strong>de</strong><br />
l’israélienne Rama Burshtein, dont <strong>le</strong> film FILL THE VOID propose une vue <strong>de</strong> l’intérieur <strong>de</strong> la<br />
communauté ultra-orthodoxe à laquel<strong>le</strong> el<strong>le</strong> appartient. Dans un tout autre registre, Maja Milos viendra<br />
défendre CLIP, film serbe offrant une plongée vio<strong>le</strong>nte et fronta<strong>le</strong> dans <strong>le</strong>s errances d’une<br />
ado<strong>le</strong>scente. Primé il y a quelques jours au festival <strong>de</strong> Sundance, AN AFGHAN LOVE STORY fera sa<br />
première européenne à Luxembourg. 7 BOXES pour <strong>le</strong> Paraguay, KARAOKE GIRL pour la Thaïlan<strong>de</strong>,<br />
cette année encore, <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> vous offrira un marathon mondial <strong>de</strong> ce que <strong>le</strong> cinéma a <strong>de</strong><br />
meil<strong>le</strong>ur à proposer. Une mention d’ail<strong>le</strong>urs pour CONSUMING SPIRITS, étrange film d’animation<br />
« bricolé » pendant près <strong>de</strong> 15 ans par Chris Sullivan, qui fera <strong>le</strong> trajet <strong>de</strong> Chicago à Luxembourg pour<br />
nous en expliquer <strong>le</strong>s rouages.<br />
L’équipe du festival est éga<strong>le</strong>ment particulièrement fière d’une sé<strong>le</strong>ction documentaire qui n’aura<br />
jamais été aussi spectaculaire. A commencer par <strong>le</strong> monumental THE ACT OF KILLING <strong>de</strong> Joshua<br />
Oppenheimer (DK), théâtre d’une étrange rencontre avec <strong>le</strong>s auteurs <strong>de</strong>s massacres indonésiens<br />
dans <strong>le</strong>s années 60. Actuel<strong>le</strong>ment dans toutes <strong>le</strong>s bouches, THE GATEKEEPERS vous plongera dans<br />
<strong>le</strong>s coulisses <strong>de</strong>s services secrets israéliens, pour une <strong>le</strong>çon d’histoire que vous n’êtes pas prêts<br />
d’oublier. Véritab<strong>le</strong>ment saisissant, LEVIATHAN vous fera partager –au travers d’une expérience<br />
cinématographique dépouillée-, <strong>le</strong> quotidien d’une équipe <strong>de</strong> pêche aux prises avec <strong>de</strong>s conditions <strong>de</strong><br />
travail extrêmes. Pour vous remettre <strong>de</strong> vos émotions, l’attachant coup<strong>le</strong> <strong>de</strong> milliardaires <strong>de</strong> THE<br />
QUEEN OF VERSAILLES vous entrainera au cœur d’une crise financière qui va profondément<br />
bou<strong>le</strong>verser <strong>le</strong>ur quotidien mais ne <strong>le</strong>ur fera pas perdre <strong>le</strong>ur sourire.<br />
Plus jubilatoire encore, COMRADE KIM GOES FLYING, premier film nord-coréen à atteindre une<br />
notoriété mondia<strong>le</strong>, bénéficiera <strong>de</strong> la présence <strong>de</strong> sa coréalisatrice, la Belge Anja Dae<strong>le</strong>mans. Un<br />
EVENEMENT SPECIAL, au même titre que la présentation (gratuite) du documentaire CASTING BY,<br />
au terme <strong>de</strong> laquel<strong>le</strong> une tab<strong>le</strong> ron<strong>de</strong> sera organisée, en présence <strong>de</strong> la directrice <strong>de</strong> casting<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
2
erlinoise Simone Bär, qui a contribué à <strong>de</strong>s œuvres aussi emblématiques que LE RUBAN BLANC ou<br />
INGLORIOUS BASTERDS.<br />
La volonté affichée <strong>de</strong> <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> sera, cette année plus encore, <strong>de</strong> privilégier <strong>le</strong>s sal<strong>le</strong>s du<br />
centre-vil<strong>le</strong> : <strong>le</strong> CINÉ UTOPIA et la CINÉMATHÈQUE DE LA VILLE DE LUXEMBOURG, UTOPOLIS<br />
se réservant la primeur <strong>de</strong>s plus grands ren<strong>de</strong>z-vous. Mais l’événement sera aussi HORS LES MURS.<br />
Pour son déjà traditionnel JEUDISCOVERYZONE, <strong>le</strong> CARREROTONDES accueil<strong>le</strong>ra la projection du<br />
documentaire FRAKTUS, hilarant pastiche <strong>de</strong> la scène é<strong>le</strong>ctro al<strong>le</strong>man<strong>de</strong>. Côté Live, saluons <strong>le</strong> retour<br />
<strong>de</strong> l’un <strong>de</strong>s phénomènes berlinois <strong>de</strong>s 90’s : STEREO TOTAL. Pour son brunch dominical, <strong>le</strong> MUDAM<br />
accueil<strong>le</strong>ra <strong>le</strong> documentaire A KURDISH LOVER et proposera d’en rencontrer la réalisatrice : Clarisse<br />
Hann. Vous pourrez éga<strong>le</strong>ment profiter <strong>de</strong> vos pauses déjeuner pour assister, au CASINO<br />
LUXEMBOURG – FORUM D’ART CONTEMPORAIN, à <strong>de</strong>s projections quotidiennes d’œuvres à michemin<br />
entre cinéma et art, ou vous retrouver <strong>le</strong> samedi pour la projection du documentaire NEVER<br />
SORRY <strong>de</strong> l’artiste chinois AI WEIWEI. Nouvel arrivé dans la liste <strong>de</strong>s institutions partenaires, <strong>le</strong><br />
CCRN proposera UN DERNIER THE A BADEN-BADEN, un étonnant spectac<strong>le</strong> mêlant cinéma et<br />
théâtre, signé <strong>de</strong>s graphistes suisses PLONK ET REPLONK. Il marquera l’ouverture du festival<br />
HUMOUR POUR LA PAIX.<br />
Comment finir sans évoquer la fenêtre luxembourgeoise, si importante cette année qu’il fallut pousser<br />
<strong>le</strong>s murs et doub<strong>le</strong>r <strong>le</strong> nombre <strong>de</strong> séances lui étant consacrée. Pas moins <strong>de</strong> 8 premières ou avantpremières<br />
auront lieu cette année. A commencer par AU BONHEUR DES OGRES (Nicolas Bary),<br />
l’adaptation du roman <strong>de</strong> Daniel Pennac faisant sa première mondia<strong>le</strong> lors <strong>de</strong> la clôture du festival.<br />
Sé<strong>le</strong>ctionné à Berlin, NAKED OPERA (Angela Christlieb) rentrera en dialogue avec un autre<br />
documentaire pétri <strong>de</strong> musique : CELLO TALES, d’Anne Schiltz. La rumeur ayant éga<strong>le</strong>ment précédé<br />
<strong>le</strong>s gestations <strong>de</strong> SWEETHEART COME (Jacques Molitor) et NEVER DIE YOUNG (Pol Cruchten), il<br />
faut s’attendre à quelques embouteillages dans <strong>le</strong>s couloirs d’Utopia. Patrick Ridremont (DEAD MAN<br />
TALKING) a déjà confirmé sa présence, <strong>de</strong> même que Gisè<strong>le</strong> Casa<strong>de</strong>sus qui, à près <strong>de</strong> 99 ans,<br />
viendra défendre SOUS LE FIGUIER aux côtés <strong>de</strong> sa réalisatrice, Anne-Marie Etienne. Sans oublier<br />
SILENT CITY, <strong>le</strong> plus luxembourgeois <strong>de</strong>s films japonais produits par <strong>le</strong>s Pays-Bas, éga<strong>le</strong>ment<br />
présenté en presence <strong>de</strong> sa réalisatrice, Threes Anna.<br />
Du côté <strong>de</strong>s courts nationaux, face à l’impossibilité <strong>de</strong> présenter d’un seul trait l’ensemb<strong>le</strong> <strong>de</strong>s oeuvres<br />
inédites actuel<strong>le</strong>ment disponib<strong>le</strong>s, <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> proposera <strong>de</strong>ux événements distincts : sa<br />
traditionnel<strong>le</strong> soirée <strong>de</strong>s courts-métrages, mais aussi un ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong>s « moins courts » proposant,<br />
dans un créneau dédié, trois oeuvres se situant entre 20 et 30 minutes.<br />
A la fois point-information, lieu <strong>de</strong> rencontre, bar éphémère (en collaboration avec <strong>le</strong> Filmreakter), <strong>le</strong><br />
Ratskel<strong>le</strong>r (Cerc<strong>le</strong> Cité) sera, à nouveau, <strong>le</strong> point <strong>de</strong> convergence du festival. Il accueil<strong>le</strong>ra <strong>de</strong>ux<br />
expositions, l’une consacrée aux films d’animations produit par ou avec <strong>le</strong> concours du Luxembourg,<br />
l’autre aux sal<strong>le</strong>s <strong>de</strong> cinema du pays. Le 27 février, <strong>le</strong> vernissage <strong>de</strong> ces expositions permettra<br />
éga<strong>le</strong>ment <strong>de</strong> découvrir l’ouvrage « D’Stater Kinoen, eine Kinogeschichte <strong>de</strong>r Stadt Luxemburg » en<br />
présence <strong>de</strong> son auteur, Paul Lesch.<br />
Ce rapi<strong>de</strong> survol vous permettra d’estimer nos ambitions. Plus d’exclusivités, plus d’invités, plus<br />
d’évènements : <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong>, Luxembourg City Film festival 2013, 9 jours d’un marathon<br />
cinématographique dont vous n’avez encore eu qu’un apercu. Restez connectés via notre site officiel<br />
et <strong>le</strong>s réseaux sociaux pour ne rien perdre <strong>de</strong> notre actualité, <strong>de</strong>s éventuel<strong>le</strong>s modifications <strong>de</strong><br />
programmation et <strong>de</strong>s confirmations invites.<br />
L’ensemb<strong>le</strong> <strong>de</strong> la programmation, sujette à modification, est disponib<strong>le</strong> sur <strong>le</strong> site officiel :<br />
www.discoveryzone.lu, ainsi que sur <strong>le</strong>s applications iPhone et iPad. Pour toute <strong>de</strong>man<strong>de</strong><br />
d’information ou d’interview : press@discoveryzone.lu, T +352 42 95 11 551.<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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3
Tab<strong>le</strong> <strong>de</strong>s matières<br />
1. Compétition officiel<strong>le</strong> 7<br />
AN AFGHAN LOVE STORY 8<br />
BERBERIAN SOUND STUDIO 9<br />
CALL GIRL 10<br />
CLIP 11<br />
CLOSED CURTAIN 12<br />
CONSUMING SPIRITS 13<br />
ELECTRICK CHILDREN 14<br />
FILL THE VOID 15<br />
KARAOKE GIRL 16<br />
THE PLACE BEYOND THE PINES 17<br />
7 BOXES 18<br />
2. Projections spécia<strong>le</strong>s 19<br />
CASTING BY 20<br />
COMRADE KIM GOES FLYING 21<br />
JOHN DIES AT THE END 22<br />
SPRING BREAKERS 23<br />
3. Documentaires 24<br />
CHASING ICE 25<br />
LEVIATHAN 26<br />
THE ACT OF KILLING 27<br />
THE GATEKEEERS 28<br />
THE IMPOSTER 29<br />
THE QUEEN OF VERSAILLES 30<br />
4. Jeune Public 31<br />
JEAN DE LA LUNE 32<br />
PINOCCHIO 33<br />
LITTLE BIRD / KAUWBOY 34<br />
LORE 35<br />
ÉMILIE 36<br />
M. HUBLOT 36<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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4
THE NIGHT LIGHT MONSTER 36<br />
CRÈME FRAÎCHE Premiers pas dans la réalisation 37<br />
MEET THE PROS : Découvrez <strong>le</strong>s métiers du cinéma et <strong>de</strong> l’audiovisuel 39<br />
MEET THE PROS : PITCH DISCOVERY - Atelier d'écriture <strong>de</strong> scénarios 40<br />
MEET THE PROS : VISITE DU STUDIO D’ANIMATION 352 41<br />
5. Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg 42<br />
AU BONHEUR DES OGRES 43<br />
DEAD MAN TALKING 44<br />
NEVER DIE YOUNG 45<br />
SILENT CITY 46<br />
SOUS LE FIGUIER 47<br />
CELLO TALES 48<br />
NAKED OPERA 49<br />
SWEETHEART COME 50<br />
ÉMILIE – Cf. jeune public p.36 51<br />
ERRANCES 51<br />
GEI DU SCHO MOL VIR 52<br />
LA CHUTE DE LA MAISON USHER 53<br />
LE CHAGRIN DES OGRESSES 54<br />
LE FAUX DÉPART 55<br />
M. HUBLOT – Cf. jeune public p.36 56<br />
NIGHT LIGHT MONSTER – Cf. jeune public p.36 56<br />
UNA FURTIVA LAGRIMA 56<br />
22h22 57<br />
6. Hors <strong>le</strong>s murs 58<br />
SCREENINGS & LUNCHTIME SHORTS 58<br />
CASINO LUXEMBOURG – FORUM D’ART CONTEMPORAIN 58<br />
NEVER SORRY 59<br />
JEUDISCOVERYZONE - ICH LIEBE L’ALLEMAGNE ! 60<br />
CARRÉROTONDES – ESPACE TRAFFO & EXIT07 60<br />
FRAKTUS - Documentaire 60<br />
STEREO TOTAL – Concert 60<br />
DERNIER THÉ À BADEN-BADEN - LES MONOLOGUES D'UN AGENT DOUBLE 61<br />
CENTRE CULTUREL DE RENCONTRE ABBAYE DE NEUMÜNSTER 61<br />
DISCOVERY BRUNCH, MORNING SCREENING 62<br />
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5
MUSÉE D’ART MODERNE GRAND-DUC JEAN, MUDAM 62<br />
KURDISH LOVER 62<br />
7. Quartier Général - Evènements 63<br />
D'Stater Kinoen 63<br />
Mon<strong>de</strong>s Animés / The World of Animation / Trickwelten 63<br />
Bistrot du LARS 64<br />
Casting : Du modè<strong>le</strong> américain à l’exemp<strong>le</strong> al<strong>le</strong>mand. 64<br />
7e Edition European Short Pitch 64<br />
Animation Café – 7e Edition 64<br />
Contacts 65<br />
Remerciements 67<br />
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6
1. Compétition officiel<strong>le</strong><br />
An Afghan Love Story<br />
De Barmak Akram | AF, 2012 | Avec Wajma Bahar, Mustafa Habibi, Hadji Gul, Breshna<br />
Bahar<br />
Berberian Sound Studio<br />
De Peter Strickland | UK, DE, AT, 2012 | Avec Toby Jones, Tonia Sotiropoulou, Cosimo<br />
Fusco<br />
Call Girl<br />
De Mikael Marcimain | SWE, NO, FI, 2012 | Avec David Dencik, Ruth Vega Fernan<strong>de</strong>z,<br />
Pernilla August, Kristoffer Joner, Josefin Asplund<br />
Clip<br />
De Maja Miloš | RS, 2012 | Avec Isidora Simijonovic, Vukašin Jasni, Sanja Mikitišin<br />
Closed Curtain<br />
De Jafar Panahi, Kambozia Partovi | IR, 2013 | Avec Maryam Moqadam, Jafar Panahi,<br />
Kambozia Partovi, Hadi Saeedi<br />
Consuming Spirits<br />
De Chris Sullivan | USA, 2012 | Avec Robert Levy, Nancy Andrews, Chris Sullivan<br />
E<strong>le</strong>ctrick Children<br />
De Rebecca Thomas | USA, 2012 | Avec Julia Garner, Rory Culkin, Liam Aiken, Bill Sage,<br />
Cynthia Watros, Billy Zane<br />
Fill The Void<br />
De Rama Burshtein | IL, 2012 | Avec Hadas Yaron, Yiftach K<strong>le</strong>in, Irit She<strong>le</strong>g<br />
Karaoke Girl<br />
De Visra Vichit-Vadakan | TH, USA, 2013 | Avec Sa Sittijun, Supavich Mepremwattana<br />
The Place Beyond The Pines<br />
De Derek Cianfrance | USA, 2012 | Avec Ryan Gosling, Brad<strong>le</strong>y Cooper, Rose Byrne, Eva<br />
Men<strong>de</strong>s, Ray Liotta, Ben Men<strong>de</strong>lsohn<br />
7 Boxes<br />
De Juan Carlos Maneglia, Tana Schembori | PY, 2012 | Avec Liliana Alvarez, Nelly Davalos,<br />
Johnny Kim<br />
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7
AN AFGHAN LOVE STORY<br />
Drame<br />
Afghanistan, 2012 | Perse avec stt. anglais | 86’<br />
De Barmak Akram<br />
Avec Wajma Bahar, Mustafa Habibi, Hadji Gul, Breshna Bahar<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
L'histoire, au début,<br />
sous d'autres cieux,<br />
semb<strong>le</strong>rait ordinaire.<br />
Un jeune homme, à<br />
Kaboul, séduit une<br />
jeune fil<strong>le</strong>. El<strong>le</strong> lui<br />
offre sa virginité,<br />
persuadé qu'il<br />
l'épousera. Quand<br />
el<strong>le</strong> lui annonce<br />
qu'el<strong>le</strong> est enceinte, il<br />
se dérobe.<br />
Inexpérience ou<br />
lâcheté : il prétend<br />
qu'il n'est pas sûr<br />
d'être <strong>le</strong> père. Alors<br />
un autre film commence, inattendu, effrayant. C'est comme un voi<strong>le</strong> qui se déchire. Une<br />
vio<strong>le</strong>nce archaïque apparaît brusquement, <strong>de</strong>s terreurs anciennes ressurgissent, qui peuvent<br />
al<strong>le</strong>r jusqu'au crime, et même jusqu'au sacrifice.<br />
PRIX<br />
Screenwriting Award: World Cinema Dramatic, Sundance Film Festival 2013<br />
Né en 1966 à Kaboul, Barmak Akram gagne la France en 1981, en tant que réfugié<br />
politique. Il grandit, et sa passion pour <strong>le</strong>s arts <strong>le</strong> conduit à bril<strong>le</strong>r dans ses étu<strong>de</strong>s, aux<br />
Beaux-arts, aux Arts Décoratifs et à la Fémis, à Paris. Il se distingue dès lors, <strong>de</strong>venant un<br />
réalisateur éc<strong>le</strong>ctique et curieux, avec <strong>de</strong>s documentaires, <strong>de</strong>s vo<strong>le</strong>ts d'émissions, <strong>de</strong>s clips,<br />
etc. Il se lance dans la fiction, avec son premier long métrage « L’enfant <strong>de</strong> Kaboul » en<br />
2008, qu'il écrit, réalise et met en musique, avec la collaboration du scénariste Jean-Clau<strong>de</strong><br />
Carrière et <strong>de</strong> l'auteur et réalisateur Atiq Rahimi.<br />
“A portrait of contemporary dating and the ro<strong>le</strong> of women in midd<strong>le</strong>-class Afghanistan, more<br />
comp<strong>le</strong>x and nuanced than what we’ve been permitted to see before on screen.” Sundance<br />
Film Festival<br />
8
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
BERBERIAN SOUND STUDIO<br />
Comédie noire, fantastique<br />
United Kingdom, Germany, Australia, 2012 | Vo anglaise & italienne avec sst. français<br />
et néerlandais | 89’<br />
En présence du réalisateur Peter Strickland<br />
Avec Toby Jones, Tonia Sotiropoulou, Cosimo Fusco, Antonio Mancino, Fatma<br />
Mohamed, Salvatore Li Causi<br />
1976 : Berberian Sound Studio est l’un<br />
<strong>de</strong>s studios <strong>de</strong> post-production <strong>le</strong>s<br />
moins chers et <strong>le</strong>s plus miteux d’Italie.<br />
Seuls <strong>le</strong>s films d’horreur <strong>le</strong>s plus<br />
sordi<strong>de</strong>s font appel à ce studio pour <strong>le</strong><br />
montage et <strong>le</strong> mixage <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur ban<strong>de</strong><br />
sonore. Gil<strong>de</strong>roy, un ingénieur du son<br />
naïf et introverti tout droit débarqué́<br />
d’Ang<strong>le</strong>terre, est chargé d’orchestrer <strong>le</strong><br />
mixage du <strong>de</strong>rnier film <strong>de</strong> Santini, <strong>le</strong><br />
maestro <strong>de</strong> l’horreur.<br />
Laissant <strong>de</strong>rrière lui l’atmosphère bon<br />
enfant du documentaire britannique,<br />
Gil<strong>de</strong>roy se retrouve plongé dans l’univers inconnu <strong>de</strong>s films d’exploitation, pris dans un milieu hosti<strong>le</strong>,<br />
entre actrices grimaçantes, techniciens capricieux et bureaucrates récalcitrants.<br />
À mesure que <strong>le</strong>s actrices se succè<strong>de</strong>nt pour enregistrer une litanie <strong>de</strong> hur<strong>le</strong>ments stri<strong>de</strong>nts, et que<br />
d’innocents légumes périssent sous <strong>le</strong>s coups répètes <strong>de</strong> couteaux et <strong>de</strong> machettes <strong>de</strong>stinés aux<br />
bruitages, Gil<strong>de</strong>roy doit affronter ses propres démons afin <strong>de</strong> ne pas perdre la raison.<br />
PRIX<br />
Best Director, Best Actor for Toby Jones, Best Screenplay, Best Technical<br />
Achievement British In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt Film Award, 2012<br />
NOMINATIONS<br />
Gol<strong>de</strong>n Leopard, Locarno International Film Festival, 2012<br />
Best British In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt Film, Best Screenplay, Best British Feature Film, British<br />
In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt Film Award, 2012<br />
Peter Strickland est né en Berkshire, Ang<strong>le</strong>terre. Féru <strong>de</strong> cinéma un<strong>de</strong>rground, il s’est fait<br />
remarquer avec un beau court-métrage new-yorkais, « Bubb<strong>le</strong>gum », avec Holly Woddlawn,<br />
icône d’Andy Warhol, et un non moins beau long, « Katalin Varga », objet bizarre quelque<br />
part entre David Lynch et Philip Rid<strong>le</strong>y pour l’univers fantastique.<br />
“One of the most remarkab<strong>le</strong> British movies of the past coup<strong>le</strong> of years, Berberian Sound<br />
Studio is a psychological thril<strong>le</strong>r set entirely in the Kafkaesque offices of a s<strong>le</strong>azy Italian film<br />
company in the 1970s.” Philip French, guardian.co.uk, September 2012<br />
« Je vous avais promis un coup <strong>de</strong> cœur ? Le voici, <strong>le</strong> voilà. Il répond au nom étrange <strong>de</strong><br />
Berberian Sound Studio […] » Aurélien Ferenczi, Télérama<br />
9
CALL GIRL<br />
Drame, Thril<strong>le</strong>r<br />
Suè<strong>de</strong>, 2012 | Vo suédoise avec sst. anglais | 140’<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
De Mikael Marcimain<br />
Avec Pernilla August, Simon J Berger, David Dencik, Sven Nordin, Kristoffer Joner<br />
m.fl<br />
Stockholm, fin <strong>de</strong>s années 70. La<br />
société suédoise est un modè<strong>le</strong> <strong>de</strong><br />
perfection. Mais sous ces apparences<br />
se cache une toute autre réalité. À<br />
quelques pas seu<strong>le</strong>ment <strong>de</strong>s bâtiments<br />
officiels et <strong>de</strong>s centres <strong>de</strong> détention<br />
pour mineurs, on trouve <strong>de</strong>s clubs<br />
privés, <strong>de</strong>s bars <strong>de</strong> strip-tease, <strong>de</strong>s<br />
discothèques et <strong>de</strong>s hôtels <strong>de</strong> passe.<br />
La jeune Iris ne connaît que trop bien<br />
ces bas-fonds. El<strong>le</strong> qui a démarré tout<br />
en bas <strong>de</strong> l'échel<strong>le</strong> socia<strong>le</strong>, va<br />
apprendre que <strong>le</strong> pouvoir ouvre toutes<br />
<strong>le</strong>s portes.<br />
PRIX<br />
International Critics' Award (FIPRESCI), <strong>Discovery</strong>, Toronto International Film<br />
Festival 2012<br />
NOMINATIONS<br />
Best Film, Best Actress, Pernilla August, Best Direction, Mikael Marcimain, Best<br />
Screenplay, Best Editing, Best Costume Design - Guldbagge Awards 2013<br />
<strong>Discovery</strong> Award, Mikael Marcimain, Toronto International Film Festival 2012<br />
Mikael Marcimain est né à Stockholm et a réalisé <strong>de</strong>s publicités, <strong>de</strong>s séries TV et téléfims.<br />
« Call Girl » est son premier long métrage.<br />
“Depicting Stockholm’s lurid un<strong>de</strong>rworld milieu with a chilling lack of sensationalism and<br />
creating re<strong>le</strong>nt<strong>le</strong>ssly mounting suspense absent of the cheap gimmicks that so many other<br />
thril<strong>le</strong>r directors rely upon, Marcimain establishes himself as a ta<strong>le</strong>nt to watch.” Tiff.net<br />
“The superb craft package perfectly captures the gritty realism of a world where glittery sex<br />
clubs exist within a stone's throw of somber government offices, and their respective<br />
inhabitants often lie closer.” Alissa Simon, Variety.com, 2012<br />
10
CLIP<br />
Drame<br />
Serbie, 2012 | Vo serbe avec sst. anglais | 101’<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Maja Miloš<br />
Avec Isidora Simijonovic, Vukašin Jasni, Sanja Mikitišin, Jovo Maksic, Monja Savic,<br />
Katarina Pešic, Sonja Janicic, Jovana Stojiljkovic, Vladimir Gvojic, Nikola Dragutinovic<br />
El<strong>le</strong> n’a rien dans la tête cette jeune Serbe <strong>de</strong><br />
14 ans dans une société pauvre et obsolète,<br />
loin <strong>de</strong> ses idéaux et attentes. Rien si ce<br />
n’est un besoin insatiab<strong>le</strong> <strong>de</strong> sexe, <strong>de</strong> drogue<br />
et d’alcool. Sans oublier son téléphone<br />
portab<strong>le</strong> qui lui permet <strong>de</strong> tout filmer en<br />
espérant jeter un défi au temps, passer à la<br />
postérité, imprimer sa marque, vivre. El<strong>le</strong><br />
plonge dans la drogue, <strong>le</strong> sexe, la vie et<br />
développe une obsession pour un garçon <strong>de</strong><br />
son éco<strong>le</strong>.<br />
Culotté ce film serbe : <strong>le</strong> spectateur prend la<br />
réalité en p<strong>le</strong>ine face ! Le propos <strong>de</strong> Maja Miloš dans ce premier film, n’est pourtant pas <strong>de</strong><br />
choquer mais <strong>de</strong> mettre en gar<strong>de</strong> contre une crise <strong>de</strong>s va<strong>le</strong>urs mora<strong>le</strong>s chez <strong>le</strong>s jeunes. Une<br />
perte <strong>de</strong> repères liée aux événements historiques, ainsi qu’à l’évolution <strong>de</strong>s moyens mo<strong>de</strong>rnes <strong>de</strong><br />
communication, face à laquel<strong>le</strong> <strong>le</strong> jeune manque souvent <strong>de</strong> discernement et <strong>de</strong> discipline<br />
PRIX<br />
Tiger Award: Best Film, Rotterdam Film Festival, 2012<br />
White Iris Award, Brussels European Film Festival, 2012<br />
Kingfisher Award, 23rd Ljubljana International Film Festival, 2012<br />
NOMINATIONS<br />
British Film Institute Award, 2012<br />
Toronto International Film Festival, 2012<br />
Maja Miloš, née à Belgra<strong>de</strong> en 1983, termine ses étu<strong>de</strong>s au Département <strong>de</strong> réalisation<br />
(Cinéma et Télévision) <strong>de</strong> l'Université <strong>de</strong>s Arts dramatiques <strong>de</strong> Belgra<strong>de</strong>, en 2008. Durant<br />
ses étu<strong>de</strong>s, el<strong>le</strong> réalise 11 courts-métrages et documentaires. En 2004, el<strong>le</strong> se tourne vers la<br />
réalisation <strong>de</strong> programmes pédagogiques pour la télévision nationa<strong>le</strong> RTS. El<strong>le</strong> participe au<br />
Ta<strong>le</strong>nt Campus du 56ème Festival <strong>de</strong> Berlin, et suit en 2006 <strong>de</strong>s cours à La Fémis (section<br />
documentaire). « Clip » est son premier long métrage.<br />
« Clip n’est pas un film faci<strong>le</strong>. Il est même très souvent dérangeant... mais ce qui est <strong>le</strong> plus<br />
diffici<strong>le</strong> à admettre est moins son caractère sulfureux que la pertinence <strong>de</strong> son propos. C’est<br />
pour ça qu’il est indispensab<strong>le</strong> ! » Jean-Marie Lanlo, cinefilic.com, octobre 2012<br />
11
CLOSED CURTAIN<br />
Drame<br />
Iran, 2013 | Perse avec sst. anglais | 106’<br />
De Jafar Panahi, Kambozia Partovi<br />
Avec Maryam Moqadam, Jafar Panahi, Kambozia Partovi, Hadi Saeedi<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
Compétition officiel<strong>le</strong><br />
Une maison en bord <strong>de</strong> mer.<br />
Les ri<strong>de</strong>aux sont tirés, <strong>le</strong>s<br />
fenêtres drapées <strong>de</strong> noir. A<br />
l'intérieur, un homme se cache<br />
avec son chien. Il écrit un<br />
scénario.<br />
Soudain, une mystérieuse<br />
jeune femme apparaît. El<strong>le</strong><br />
refuse <strong>de</strong> quitter la maison, au<br />
grand dam <strong>de</strong> l'écrivain. Mais à<br />
l'aube, une autre arrivée fera<br />
changer <strong>le</strong> point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong>s<br />
personnages.<br />
Le célèbre réalisateur iranien Jafar Panahi (« Le Cerc<strong>le</strong> », « Hors-jeu ») est en rési<strong>de</strong>nce<br />
surveillée <strong>de</strong>puis 2010 en Iran. Bien qu’interdit d’exercer son métier <strong>de</strong>puis 20 ans, il réalise<br />
« Closes Curtain » avec <strong>le</strong> co-réalisateur Kambozia Partovi. Le film sera présenté pour la<br />
première fois au Festival International du Film <strong>de</strong> Berlin et directement après au Luxembourg<br />
City Film Festival.<br />
SELECTION<br />
Official Competition, Berlin International Film Festival 2013<br />
Né <strong>le</strong> 11 juil<strong>le</strong>t 1960 à Miyaneh, Jafar Panahi est un réalisateur iranien parmi <strong>le</strong>s plus<br />
influents du mouvement <strong>de</strong> la nouvel<strong>le</strong> vague iranienne. En 1992, il met en scène <strong>le</strong> téléfilm<br />
« L'Ami », puis est engagé comme assistant d'Abbas Kiarostami sur <strong>le</strong> film « Au travers <strong>de</strong>s<br />
oliviers ». En 1995, d'après un scénario <strong>de</strong> son ami Kiarostami, il réalise son premier longmétrage,<br />
« Le Ballon blanc », qui remporte la Caméra d'Or à Cannes la même année. Il<br />
signe ensuite « Le Miroir », Léopard d'or au Festival <strong>de</strong> Locarno en 1997, puis se voit<br />
récompensé du Lion d'or à Venise pour « Le Cerc<strong>le</strong> », 2000. En 2003, 2004, Jafar Panahi<br />
met en scène son troisième long-métrage, <strong>le</strong> drame « Sang et or ». En 2006, Jafar Panahi<br />
nous par<strong>le</strong> football, autrement, avec « Hors-jeu ».<br />
12
CONSUMING SPIRITS<br />
Animation<br />
Etats-Unis, 2012 | Anglais | 136’<br />
En présence du réalisateur Chris Sullivan<br />
Avec Robert Levy, Nancy Andrews, Chris Sullivan<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
Consuming Spirit est un conte fascinant<br />
retraçant <strong>le</strong>s vies entrelacées <strong>de</strong> trois<br />
personnages fantomatiques employés<br />
dans <strong>le</strong> journal local d’une bourga<strong>de</strong> du<br />
MidWest aux Etats-Unis.<br />
Véritab<strong>le</strong> tour <strong>de</strong> force, <strong>le</strong>s 230 000<br />
images individuel<strong>le</strong>s <strong>de</strong> ce long métrage<br />
hautement indépendant ont été réalisées<br />
et filmées en 16 mm pendant plus <strong>de</strong> 15<br />
ans par l’artiste expérimental Chris<br />
Sullivan.<br />
Une œuvre d’autant plus impressionnante que ce film combine toutes <strong>le</strong>s techniques<br />
d’animation possib<strong>le</strong>s : <strong>de</strong>ssin, stop-motion, papier découpé…<br />
Une exception américaine au pays <strong>de</strong>s superproductions 3D relief.<br />
PRIX<br />
Chicago Award, Chicago International Festival, 2012<br />
SELECTION<br />
Tribeca Film Festival 2012<br />
Vancouver International Film Festival 2012<br />
Chris Sullivan réalise <strong>de</strong>s films et est très actif sur la scène culturel<strong>le</strong> américaine <strong>de</strong>puis ces<br />
30 <strong>de</strong>rnières années. Ses films ont été diffusés internationa<strong>le</strong>ment. « Consuming Spirits »<br />
est un projet qu’il mène <strong>de</strong>puis 15 ans, entièrement financé par la Fondation John Simon<br />
Guggenheim et <strong>de</strong> la Fondation Rockefel<strong>le</strong>r.<br />
"Critic's Pick. Entirely original. . .an inquiry into the darkest zones of the human<br />
heart...Weaves a complicated, intoxicating spell…a won<strong>de</strong>r." A.O. Scott, New York Times<br />
“Impressive. Visually mesmerizing. A must for any grown-up an animation connoisseur.”<br />
New York Magazine, 2012<br />
“Emotionally raw, thoroughly original…The entire world he’s built is constructed of ugliness<br />
shot through with moments of unexpected beauty. His narrative is the same… small<br />
moments of beauty and re<strong>de</strong>mption sneak through.” Ian Buckwalter, NPR online, 2012<br />
13
ELECTRICK CHILDREN<br />
Comédie<br />
Etats-Unis, 2012 | Anglais avec sst. français | 96’<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
De Rebecca Thomas<br />
Avec Julia Garner, Rory Culkin, Liam Aiken, Bill Sage, Cynthia Watros, Billy Zane<br />
Issue d'une famil<strong>le</strong> mormone <strong>de</strong><br />
l'Utah où on ne badine pas avec<br />
la mora<strong>le</strong>, Rachel découvre par<br />
hasard <strong>le</strong> rock n'roll, en<br />
écoutant, <strong>le</strong> jour <strong>de</strong> ses quinze<br />
ans, une cassette interdite. El<strong>le</strong><br />
n'a jamais rien entendu <strong>de</strong> tel et<br />
el<strong>le</strong> vit ce moment comme une<br />
expérience exceptionnel<strong>le</strong>,<br />
mystique et sensuel<strong>le</strong>. Trois<br />
mois plus tard, lorsqu'el<strong>le</strong><br />
s'aperçoit qu'el<strong>le</strong> est enceinte,<br />
Rachel soutient que c'est l'écoute du morceau <strong>de</strong> rock qui en est la cause. Alors que ses<br />
parents tentent <strong>de</strong> la marier <strong>de</strong> force, el<strong>le</strong> s'enfuit, <strong>de</strong>stination Las Vegas, à la recherche du<br />
chanteur, Rachel étant persuadée qu'il est lié au mystère <strong>de</strong> cette curieuse immaculée<br />
conception.<br />
PRIX<br />
Directors to Watch Award, Palm Springs International Film Festival 2013<br />
Just Film Award, Best Film, Tallinn Black Nights Film Festival 2012<br />
SELECTION<br />
Grand Prix, Prix du Jury, Prix <strong>de</strong> la critique internationa<strong>le</strong>, Festival du Cinéma<br />
Américain <strong>de</strong> Deauvil<strong>le</strong> 2012.<br />
Née en 1984 à Walnut Creek en Californie, États-Unis, Rebecca Thomas grandit à Las<br />
Vegas dans une famil<strong>le</strong> <strong>de</strong> mormons. À vingt ans, el<strong>le</strong> part servir une mission mormone<br />
pendant 18 mois au Japon. À son retour, el<strong>le</strong> déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> s'affranchir <strong>de</strong>s contraintes <strong>de</strong> sa<br />
pratique religieuse en s'intéressant au cinéma. El<strong>le</strong> étudie ensuite l'écriture scénaristique et<br />
la réalisation à l'université Columbia <strong>de</strong> New York.<br />
“E<strong>le</strong>ctrick Children is an adorab<strong>le</strong>, immaculately conceived gem.” Ivan Radford, I-flicks.net,<br />
2012.<br />
“[…] Rachel whom the camera doesn't so much love as fall at the feet of in worship. If she's<br />
not the next big thing, she's probably the next, next big thing, and we're happy to have<br />
caught this early samp<strong>le</strong>r of her ta<strong>le</strong>nts.” Jessica Kiang, Indiewire.com, 2012<br />
14
Compétition officiel<strong>le</strong><br />
FILL THE VOID<br />
Drame romantique<br />
Israël, 2012 | Hébreu avec sst. anglais | 90’<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Rama Burshtein<br />
Avec Hadas Yaron, Yiftach K<strong>le</strong>in, Irit She<strong>le</strong>g, Chayim Sharir, Razia Israeli, Hila<br />
Feldman, Renana Raz, Yael Tal, Ido Samuel<br />
Shira a 18 ans. El<strong>le</strong> est la fil<strong>le</strong> ca<strong>de</strong>tte<br />
d’une famil<strong>le</strong> hassidique orthodoxe<br />
vivant à Tel Aviv. El<strong>le</strong> est en âge <strong>de</strong> se<br />
marier. Un jeune homme lui est <strong>de</strong>stiné,<br />
el<strong>le</strong> va discrètement l’observer avec sa<br />
mère dans un supermarché pour se faire<br />
une idée. El<strong>le</strong> en est très émue.<br />
Sa soeur aînée qu’el<strong>le</strong> aime tendrement<br />
est mariée à Yokhai et doit accoucher<br />
bientôt.<br />
Malheureusement, el<strong>le</strong> meurt en<br />
couches en donnant naissance à un petit<br />
garçon et <strong>le</strong> <strong>de</strong>uil accab<strong>le</strong> la famil<strong>le</strong>.<br />
Dans cette situation extrême où <strong>le</strong><br />
chagrin se mê<strong>le</strong> à la vie qui continue, que <strong>de</strong>viendra Shira et ses espoirs <strong>de</strong> mariage ?<br />
Dans ce premier film, on découvre un surprenant marivaudage amoureux dans la communauté<br />
hassidique <strong>de</strong> Tel-Aviv. Le choix du sujet est inédit d’autant plus que la réalisatrice, Rama Burstein est<br />
el<strong>le</strong>-même juive ultra-orthodoxe. El<strong>le</strong> nous livre un film tout en finesse, un regard intime sans critique,<br />
mais sans propagan<strong>de</strong> non plus, sur son mon<strong>de</strong>, <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> fermé d’une communauté.<br />
PRIX<br />
Best Cinemathography, Haifa International Film Festival, 2013<br />
Best Film, Israeli Film Aca<strong>de</strong>my, 2012<br />
SIGNIS Award-Honourab<strong>le</strong> Mention, Venice Film festival, 2012<br />
NOMINATIONS<br />
Best Film, London Film festival, 2012<br />
<strong>Discovery</strong> Award, Toronto International Film Festival, 2012<br />
Rama Burshtein, née à New York en 1967, consacre son temps à promouvoir <strong>le</strong> cinéma comme un<br />
outil d'auto-expression dans la communauté orthodoxe et sort diplômée en 1994 <strong>de</strong> la prestigieuse<br />
Sam Spiegel Film and Te<strong>le</strong>vision School <strong>de</strong> Jérusa<strong>le</strong>m. Ega<strong>le</strong>ment enseignante dans <strong>de</strong>s<br />
établissements cinématographiques et télévisuel<strong>le</strong>s <strong>de</strong> la communauté orthodoxe : Film School<br />
Ma'a<strong>le</strong>, Yad Benjamin Film School for Woman, Ulpena Arts School, Rama Burshtein écrit, réalisé et<br />
produit <strong>de</strong>s films <strong>de</strong>stinés aux femmes <strong>de</strong> sa communauté en Israel.<br />
Citation<br />
« Le film est conçu avec <strong>le</strong> plus grand soin, la plus gran<strong>de</strong> affection et <strong>le</strong> plus grand respect<br />
pour ses personnages et embal<strong>le</strong>ra <strong>le</strong> grand public, non seu<strong>le</strong>ment pour son intérêt<br />
ethnographique évi<strong>de</strong>nt, mais aussi pour <strong>le</strong> drame émouvant et intense qu’il déploie. »<br />
euromedaudiovisuel.net, Septembre 2012<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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15
KARAOKE GIRL<br />
Hybrid drama-documentary of a sex-worker in Bangkok<br />
Thaïlan<strong>de</strong>, USA, 2013 | Thaï avec sst. anglais | 75’<br />
De Visra Vichit-Vadakan<br />
Avec Sa Sittijun, Supavich Mepremwattana<br />
Sa s’est vue obligé <strong>de</strong> quitter son<br />
village pour Bangkok afin <strong>de</strong><br />
soutenir financièrement sa famil<strong>le</strong> à<br />
seu<strong>le</strong>ment 15 ans. Après avoir<br />
travaillé pendant trois ans dans une<br />
usine pour 3 $ <strong>de</strong> l’heure, el<strong>le</strong> choisit<br />
un travail mieux rémunérer et déci<strong>de</strong><br />
<strong>de</strong> se prostituer. Quatre ans plus<br />
tard, Sa rencontre, à la réception<br />
d’un hôtel miteux, la réalisatrice<br />
Visra qui lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> l’autorisation<br />
<strong>de</strong> la filmer et <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir l’objet <strong>de</strong><br />
son documentaire.<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
« Karaoké Girl » oscil<strong>le</strong> entre fiction et documentaire et reflète l’univers émotionnel <strong>de</strong> Sa,<br />
ses ambitions, ses rêves et ses angoisses. Un univers commun à beaucoup <strong>de</strong> femme ayant<br />
<strong>le</strong> même <strong>de</strong>stin et faisant face aux mêmes difficultés. Le film, tout en étant centré autour <strong>de</strong><br />
Sa, ne verse à aucun moment dans la compassion ou la pitié mais apparaît comme un<br />
véritab<strong>le</strong> hymne personnel <strong>de</strong> sa vie.<br />
SELECTION<br />
Tiger Awards Competition, International Film Festival Rotterdam 2013<br />
"IFP" (In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt Filmmaker Lab), New York, USA<br />
Visra a passé toute sa vie entre <strong>le</strong>s Etats-Unis et la Thaïlan<strong>de</strong>. Après avoir obtenu son<br />
diplôme en biologie et en éducation à l'Université <strong>de</strong> Stanford, el<strong>le</strong> commence à travail<strong>le</strong>r<br />
pour un « think tank » du gouvernement thaïlandais jusqu'au coup d'Etat militaire en 2006.<br />
El<strong>le</strong> quitte alors la Thaïlan<strong>de</strong> pour suivre <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s en réalisation à la New York University’s<br />
Tisch School of the Arts.<br />
“The melody is familiar [and] the voice is fresh in “Karaoke Girl”, a languidly intimate peek<br />
into the life of a Bangkok night-town <strong>de</strong>nizen.” The Hollywood Reporter<br />
16
THE PLACE BEYOND THE PINES<br />
Thril<strong>le</strong>r dramatique<br />
Etats-Unis, 2012 | vo anglaise | 140’<br />
De Derek Cianfrance<br />
Avec Ryan Gosling, Brad<strong>le</strong>y Cooper, Rose Byrne, Eva Men<strong>de</strong>s, Ray Liotta<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
Un casca<strong>de</strong>ur, Ryan Gosling,<br />
exécute <strong>de</strong>s démonstrations dans<br />
<strong>de</strong>s fêtes foraines. Sa vie va<br />
bascu<strong>le</strong>r lorsqu'une femme sonne<br />
à sa porte, avec un bébé dans <strong>le</strong>s<br />
bras: son fils. Eva Men<strong>de</strong>s, la mère<br />
<strong>de</strong> l'enfant, revient alors vers lui<br />
pour fon<strong>de</strong>r une famil<strong>le</strong>. Mais <strong>le</strong><br />
travail <strong>de</strong> casca<strong>de</strong>ur ne suffit pas à<br />
subvenir aux besoins d'un foyer,<br />
Ryan Gosling choisit alors <strong>de</strong><br />
braquer <strong>de</strong>s banques. Un ancien<br />
policier <strong>de</strong>venu politicien se met<br />
alors sur ses traces. Il semb<strong>le</strong> impliqué personnel<strong>le</strong>ment dans ce qui arrive au coup<strong>le</strong>, et se<br />
lance à la poursuite <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier.<br />
Le <strong>de</strong>uxième film <strong>de</strong> Derek Cianfrance (« Blue Va<strong>le</strong>ntine ») est un récit épique se déroulant<br />
sur plus <strong>de</strong> 15 ans dans <strong>le</strong>quel <strong>le</strong>s pères s’opposent aux fils, <strong>le</strong>s flics aux voyous, <strong>le</strong>s bons<br />
aux méchants. Et <strong>le</strong> poids <strong>de</strong>s erreurs passées se transmet <strong>de</strong> génération en génération.<br />
SELECTION<br />
Glasgow Film Festival, 2013<br />
Festival International du Film <strong>de</strong> Toronto, 2012<br />
Derek Cianfrance, né <strong>le</strong> 23 janvier 1974, obtient un Bachelor of Fine Arts en réalisation à<br />
l'université du Colorado, ses professeurs sont <strong>de</strong>s réalisateurs d'avant-gar<strong>de</strong> : Stan<br />
Brakhage et Phil Solomon. Il réalise quelques courts-métrage comme Five O'clock Shadow<br />
puis Raw Footage. A 23 ans, il écrit, réalise et monte son premier long-métrage, « Brother<br />
Tied » qui se fait remarquer dans plusieurs festivals dont Sundance. Après avoir réalisé<br />
plusieurs documentaires musicaux au début <strong>de</strong>s années 2000, il tourne en 2010 son<br />
<strong>de</strong>uxième long-métrage, « Blue Va<strong>le</strong>ntine », avec Ryan Gosling et Michel<strong>le</strong> Williams,<br />
présenté au Luxembourg City Film Festival en 2011.<br />
“My admiration for Cianfrance is all the greater for the melodramatic risks he's willing to take,<br />
whether or not every last one of them pays off.” Tim Robey, Daily Te<strong>le</strong>graph<br />
"'The Place Beyond The Pines' is a cinematic accomplishment of extraordinary grace and<br />
insight" Kevin Jagernauth, Indiewire.com<br />
17
7 BOXES<br />
Thril<strong>le</strong>r, Action<br />
Paraguay, 2012 | Vo espagno<strong>le</strong> avec sst. anglais | 105’<br />
De Juan Carlos Maneglia, Tana Schembori<br />
Avec Liliana Alvarez, Nelly Davalos, Johnny Kim<br />
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Compétition officiel<strong>le</strong><br />
Un vendredi soir à Asunción,<br />
Paraguay, par une cha<strong>le</strong>ur<br />
étouffante. Victor, un livreur à<br />
charette <strong>de</strong> 17 ans rêve <strong>de</strong><br />
<strong>de</strong>venir célèbre et <strong>de</strong> s’offrir <strong>le</strong><br />
téléviseur qu'il convoite tant.<br />
Lorsqu'on lui propose <strong>de</strong> gagner<br />
100$ faci<strong>le</strong>ment en livrant 7<br />
caisses au contenu inconnu, il<br />
accepte sans cil<strong>le</strong>r.<br />
Avec un téléphone portab<strong>le</strong><br />
emprunté – son seul lien avec son commanditaire – il s’engage sur <strong>le</strong> chemin qui doit <strong>le</strong><br />
mener à 8 pâtés <strong>de</strong> maison <strong>de</strong> là, à travers <strong>le</strong> plus grand marché <strong>de</strong> la capita<strong>le</strong>. Ce qui <strong>de</strong>vait<br />
être une tâche faci<strong>le</strong> s’avère être plus compliquée que prévu lorsqu’on lui vo<strong>le</strong> ses caisses,<br />
qu’il perd son téléphone portab<strong>le</strong> et que la police encerc<strong>le</strong> <strong>le</strong> quartier. La situation se corse<br />
encore lorsqu’un autre groupe <strong>de</strong> livreurs réclame sa part <strong>de</strong> la prime en escortant à <strong>le</strong>ur tour<br />
<strong>le</strong>s mystérieuses caisses. S’engage alors une course-poursuite dans <strong>le</strong>s recoins <strong>le</strong>s plus<br />
sombres du marché. Sans même s’en rendre compte, Víctor et ses poursuivants se<br />
retrouveront inextricab<strong>le</strong>ment liés à un crime dont ils ne savent rien: ni la cause ni la victime<br />
ni l'agresseur.<br />
NOMINATIONS<br />
Nominated Best Iberoamerican Film at the Goya 2013 awards<br />
<strong>Discovery</strong> Award, Juan Carlos Maneglia, Toronto International Film Festival 2012<br />
International Critics’ Award (FIPRESCI), <strong>Discovery</strong>, Juan Carlos Maneglia, Toronto<br />
International Film Festival 2012<br />
Juan Carlos Maneglia est né à Asunción, au Paraguay. Il a co-réalisé (avec Tana<br />
Schémbori) <strong>de</strong>s téléfilms, mini-séries et courts-métrages, dont « Horno ardiente »,<br />
« Candida » et « La chuchi ». « 7 Boxes » est son premier long métrage.<br />
Tana Schémbori est né à Asunción, au Paraguay, et collabore avec Juan Carlos Maneglia<br />
<strong>de</strong>puis <strong>le</strong>s années 1980. « 7 Boxes » est son premier long métrage.<br />
“ The Fast and the Furious with wheelbarrows, Paraguayan action-thril<strong>le</strong>r-romance hybrid 7<br />
Boxes is a rollicking good time at the movies that offers breathtaking action and suspense,<br />
humor and appealing characters all in one visually flashy package.” Boyd van Hoeij,<br />
indiewire.com<br />
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2. Projections spécia<strong>le</strong>s<br />
Casting by<br />
De Tom Donahue | USA, 2012 | Avec Martin Scorsese, Woody Al<strong>le</strong>n, Clint Eastwood, G<strong>le</strong>nn<br />
Close, Robert Duvall, Jeff Bridges, Al Pacino, Robert De Niro, Diane Lane, Jon Voight, Bette<br />
Mid<strong>le</strong>r, John Travolta, etc.<br />
Comara<strong>de</strong> Kim goes flying<br />
De Nicholas Bonner, Anja Dae<strong>le</strong>mans, Kim Gwang Hun | KP, UK, BE, 2012 | Avec Jong Sim<br />
Han, Chung Guk Pak, Yong Ho Ri, Son Nam Kim, Kil Myong Han, Chang Sun An, Ik Sung Ri<br />
Johny Dies at the End<br />
De Don Coscarelli d’après <strong>le</strong> roman <strong>de</strong> David Wong | USA, 2012 | Avec Chase Williamson,<br />
Rob Mayes, Paul Giamatti, Clancy Brown<br />
Spring breakers<br />
De Harmony Korine | USA, 2012 | Avec James Franco, Se<strong>le</strong>na Gomez, Ash<strong>le</strong>y Benson,<br />
Vanessa Hudgens, Rachel Korine, Heather Morris, Cait Taylor<br />
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19
CASTING BY<br />
Documentaire<br />
Etats-Unis, 2012 | vo anglaise | 89’<br />
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Projections spécia<strong>le</strong>s<br />
De Tom Donahue<br />
Avec Martin Scorsese, Woody Al<strong>le</strong>n, Clint Eastwood, G<strong>le</strong>nn Close, Robert Duvall, Jeff<br />
Bridges, Al Pacino, Robert De Niro, Diane Lane, Jon Voight, Bette Mid<strong>le</strong>r, John<br />
Travolta etc<br />
Ils sont tous là. Jeff Bridges, Robert De<br />
Niro, Robert Duvall, Clint Eastwood, Al<br />
Pacino, Woody Al<strong>le</strong>n, Richard Dreyfuss,<br />
John Travolta, John Voight et beaucoup<br />
d’autres encore... Tous sont réunis <strong>de</strong>vant<br />
la caméra du documentariste Tom<br />
Donahue pour mieux rendre hommage à<br />
une figure <strong>de</strong> l’ombre, peut-être, mais tout<br />
<strong>de</strong> même légendaire du cinéma<br />
américain: la directrice <strong>de</strong> casting Marion<br />
Dougherty.<br />
Cel<strong>le</strong>-là même qui commença sa carrière<br />
à la télévision avec <strong>le</strong>s séries « Naked City » et « Route 66 » avant <strong>de</strong> révé<strong>le</strong>r James Dean au<br />
grand écran. Cel<strong>le</strong>-là même qui eut ensuite l’idée génia<strong>le</strong> <strong>de</strong> mettre face à face Newman et<br />
Redford dans « Butch Cassidy and the Sundance Kid » ou <strong>de</strong> placer Robin Williams dans « The<br />
World According to Garp ». Cel<strong>le</strong>-là même encore qui fut une <strong>de</strong>s premières <strong>de</strong> sa profession à<br />
avoir droit à une mention dans <strong>le</strong> générique <strong>de</strong> début d’un film et la première femme à <strong>de</strong>venir<br />
vice-prési<strong>de</strong>nte du studio Paramount.<br />
Décédée en décembre 2011, à l’âge <strong>de</strong> 88 ans, véritab<strong>le</strong> star et pionnière <strong>de</strong> son métier, mais<br />
peu, pour ne pas dire pas, connue du grand public, Marion Dougherty est l’héroïne enfin mise au<br />
premier plan <strong>de</strong> ce film émouvant et riche.<br />
SELECTIONS<br />
Montréal Nouveau Film Festival, 2013<br />
Toronto Film Festival, 2012<br />
New York Film Festival, 2012<br />
Tom Donahue, né à Rhinebeck, New York et co-fondateur <strong>de</strong> CreativeChaos vmg, a fait ses<br />
débuts en tant que réalisateur en 2005 avec <strong>le</strong> court-métrage « Thanksgiving », interprété<br />
par James Urbaniak et Seymour Cassel. En 2008, il dirige son premier film documentaire<br />
intitulé « L’invité » <strong>de</strong> Cindy Sherman. Tom Donahue a éga<strong>le</strong>ment produit et réalisé <strong>de</strong><br />
nombreux documentaires qui tous ont été primés dans <strong>le</strong>s festivals prestigieux tels<br />
Sundance, Cannes, Berlin, Toronto, SXSW, Venise, San Sebastian et Tribeca.<br />
‘’If one picture can be worth a thousand words then Director Tom Donahue’s virtuosic<br />
storytelling about Casting Director Marion Dougherty is a river of transcen<strong>de</strong>nt imagery.’’<br />
Gregg Moris, The Real World Journalism, September 2012<br />
20
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Projections spécia<strong>le</strong>s<br />
COMRADE KIM GOES FLYING<br />
Fresque romantique<br />
Belgique, Corée du Nord, Royaume-Uni, 2012 | Coréen avec stt anglais | 83’<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Anja Dae<strong>le</strong>mans<br />
De Nicholas Bonner, Anja Dae<strong>le</strong>mans, Kim Gwang Hun<br />
Avec Jong Sim Han, Chung Guk Pak, Yong Ho Ri, Son Nam Kim, Kil Myong Han,<br />
Chang Sun An, Ik Sung Ri<br />
Ce n'est pas tous <strong>le</strong>s jours qu’un film <strong>de</strong><br />
Corée du Nord financé en Europe est<br />
présenté. D’ail<strong>le</strong>urs, ce n’est pas banal<br />
qu’il soit financé par l' « Ouest ». En fait,<br />
cette comédie romantique est la première<br />
du genre.<br />
Kim Yong-mi travail<strong>le</strong> comme mineur<br />
dans un petit village en Corée du Nord.<br />
Son grand rêve est <strong>de</strong> rejoindre <strong>le</strong> cirque<br />
national en tant que trapéziste<br />
professionnel<strong>le</strong> - malgré son vertige.<br />
Envoyée à la capita<strong>le</strong>, Pyongyang, après<br />
une promotion, el<strong>le</strong> saisit cette occasion pour réaliser <strong>de</strong>s désirs. El<strong>le</strong> réussit à forcer <strong>le</strong>s portes<br />
<strong>de</strong> l’éco<strong>le</strong> <strong>de</strong> trapèze et du cirque, intégrer la troupe et trouver la force <strong>de</strong> surmonter son<br />
acrophobie. El<strong>le</strong> réussit même à conquérir l’arrogant bellâtre trapéziste Pak Jang-phil. Celui-ci se<br />
moque au début <strong>de</strong> la nature obtuse <strong>de</strong> Yong-mi mais fina<strong>le</strong>ment, sa beauté, son charme et sa<br />
détermination <strong>le</strong> séduisent.<br />
Le résultat est une comédie romantique magnifiquement filmée qui nous transporte dans un<br />
mon<strong>de</strong> fantastique, hors du temps, dans la plus pure tradition du cinéma maoïste du début <strong>de</strong>s<br />
années 70, avec <strong>de</strong> stupéfiantes et inédites images <strong>de</strong> la Corée du Nord.<br />
Anja Dae<strong>le</strong>mans a produit <strong>le</strong> film Alias en 2002 et a coréalise son premier long métrage<br />
Comra<strong>de</strong> Kim Goes Flying en 2012.<br />
Nicholas Bonner a été co-producteur du film The Games of Their Lives en 2002 et du film A<br />
State of Mind en 2004. En 2012, il a co-réalisé son premier long métrage Comra<strong>de</strong> Kim<br />
Goes Flying avec Kim Gwang-hun et Anja Dae<strong>le</strong>mans.<br />
Kim Gwang-hun a réalisé <strong>le</strong>s longs métrages My Wish (01), Unforgettab<strong>le</strong> Man (02), Watch<br />
Us (08) et Great Bear (09).<br />
”A winning, life-affirming fab<strong>le</strong> about a young coal miner’s pursuit of her dream to become an<br />
acrobat, Comra<strong>de</strong> Kim Goes Flying marks a mi<strong>le</strong>stone in film history: it is the first Westernfinanced<br />
fiction feature ma<strong>de</strong> entirely in North Korea.”<br />
“But the result is a gorgeously filmed romantic comedy that transports us to a fantastic world<br />
seemingly out of time, with astonishing, candy-coloured images of the seldom-seen North<br />
Korea.”<br />
Giovanna Fulvi, tiff.net, 2012<br />
21
JOHN DIES AT THE END<br />
Horreur<br />
Etats-Unis, 2012 | Anglais | 99’<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Projections spécia<strong>le</strong>s<br />
De Don Coscarelli<br />
Avec Chase Williamson, Rob Mayes, Paul Giamatti, Clancy Brown, Glynn Turman,<br />
Doug Jones,Daniel Roebuck, Fabianne Therese, Jonny Weston<br />
John et Dave, <strong>de</strong>ux jeunes<br />
losers attachants. Première<br />
scène : Dave tente <strong>de</strong> raconter<br />
son histoire incroyab<strong>le</strong> à un<br />
journaliste douteux, Arnie. Il<br />
explique comment et pourquoi<br />
son ami John et lui ont testé <strong>le</strong><br />
pouvoir d’une drogue<br />
surpuissante, la « Soy Sauce »,<br />
un narcotique permettant <strong>de</strong><br />
découvrir une réalité alternative<br />
peuplée <strong>de</strong> démons. John et<br />
Dave se retrouvent <strong>le</strong>s seuls au<br />
mon<strong>de</strong> à pouvoir sauver <strong>le</strong><br />
mon<strong>de</strong>, à l'aube d'une invasion<br />
inter-dimensionnel.<br />
Après la série culte « Phantasm », <strong>le</strong> réalisateur vétéran Don Coscarelli est <strong>de</strong> retour avec<br />
cette comédie hallucinatoire et excentrique teinté d'horreur adapté du roman à succès <strong>de</strong><br />
David Wong.<br />
PRIX<br />
Audience Award - Honorab<strong>le</strong> Mention. The Graveyard Shift, Phila<strong>de</strong>lphia Film<br />
Festival 2012<br />
3rd place, Peop<strong>le</strong>'s Choice Award, Midnight Madness, Toronto International<br />
Film Festival 2012<br />
NOMINATION<br />
Gold Hugo, After Dark Competition, Chicago International Film Festival 2012<br />
Don Coscarelli est né à Tripoli, en Libye, et a grandi en Californie. Sa série « Phantasm »<br />
(79) a été acclamé par <strong>le</strong>s fans <strong>de</strong> films d'horreur à travers <strong>le</strong> mon<strong>de</strong>. Il compte <strong>de</strong> nombreux<br />
films à son actif dont « The Beastmaster » (82) et « Bubba Ho-Tep » (02).<br />
“It's the ultimate in spoi<strong>le</strong>r tit<strong>le</strong>s. And this stoner Ghostbusters, an altered state disguised as a<br />
movie, may also add up to a hot cult item if silliness doesn't sabotage the scares. […] Go for<br />
the freaky fun of it, though a litt<strong>le</strong> soy sauce on the si<strong>de</strong> sure wouldn't hurt.” Peter Travers,<br />
Rolling Stone, 25. January 2013<br />
22
SPRING BREAKERS<br />
Comédie<br />
Etats-Unis, 2012 | vo anglaise | 92’<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Projections spécia<strong>le</strong>s<br />
D’Harmony Korine<br />
Avec James Franco, Se<strong>le</strong>na Gomez, Ash<strong>le</strong>y Benson, Vanessa Hudgens, Rachel<br />
Korine, Heather Morris, Cait Taylor<br />
Pour financer <strong>le</strong>ur Spring Break, quatre<br />
fil<strong>le</strong>s aussi fauchées que sexy déci<strong>de</strong>nt<br />
<strong>de</strong> braquer un fast-food. Et ce n’est que <strong>le</strong><br />
début… Lors d’une fête dans une<br />
chambre <strong>de</strong> motel, la soirée dérape et <strong>le</strong>s<br />
fil<strong>le</strong>s sont embarquées par la police. En<br />
bikini et avec une gueu<strong>le</strong> <strong>de</strong> bois d’enfer,<br />
el<strong>le</strong>s se retrouvent <strong>de</strong>vant <strong>le</strong> juge, mais<br />
contre toute attente <strong>le</strong>ur caution est<br />
payée par Alien, un malfrat local qui <strong>le</strong>s<br />
prend sous son ai<strong>le</strong>.<br />
PRIX<br />
Future Film Festival Digital Award – Special Mention, Venice Film Festival<br />
NOMINATION<br />
Gol<strong>de</strong>n Lion, Venice Film Festival<br />
Passionné par <strong>de</strong>s réalisateurs comme Jean Luc Godard ou Cassavetes, Harmony Korine<br />
rencontre <strong>le</strong> cinéaste Larry Clark qui lui offre la possibilité d'écrire <strong>le</strong> scénario <strong>de</strong> son<br />
prochain film. Korine a 19 ans lorsque son nom apparaît dans <strong>le</strong> générique <strong>de</strong> Kids. Il réitère<br />
son expérience avec Clark en lui écrivant Ken Park. En 1997, presque 10 ans plus tard, il se<br />
lance dans la réalisation avec Gummo. Il met ensuite sa compagne en scène, Chloé Sevigny<br />
dans Julien Donkey Boy. Mais la drogue <strong>le</strong> fait sombrer. Il tombe très bas avant <strong>de</strong> revenir<br />
avec Mister Lonely, présenté dans la section Un Certain Regard à Cannes en 2007.<br />
« Ce subtil mélange <strong>de</strong> ton entre un décalage comique assumé et une profon<strong>de</strong> sincérité<br />
trouvera plus tard son apogée dans une séquence pop absolument génia<strong>le</strong> dont il serait<br />
criminel <strong>de</strong> dévoi<strong>le</strong>r davantage. » Vodkaster.com, David Honnorat, 2012<br />
23
3. Documentaires<br />
Chasing Ice<br />
De Jeff Orlowski | USA, 2012 | Avec James Balog, Svavar Jónatansson, Louie Psihoyos<br />
Leviathan<br />
De Lucien Castaing-Taylor, Verena Paravel | FR, UK, USA, 2012 | Avec Declan Conneely,<br />
Johnny Gatcombe, Adrian Guil<strong>le</strong>tte, Brian Jannel<strong>le</strong>, Cly<strong>de</strong> Lee, Arthur Smith, Christopher<br />
Swampstead<br />
The Act of killing<br />
De Joshua Oppenheimer | DK, NO, UK, 2012 | Avec Takako Matsu, Yoshino Kimura, Masaki<br />
Okada, Yukito Nishii, Kaoru Fujiwara<br />
The Gatekeepers<br />
De Dror Moreh | IL, FR, DE, BE, 2012 | Avec Ami Ayalon, Avi Dichter, Yuval Diskin, Carmi<br />
Gillon, Yaakov Peri, Avraham Shalom<br />
The Imposter<br />
De Bart Layton | UK, 2012 | Avec Frédéric Bourdin, Adam O'Brian, Carey Gibson, Anna<br />
Ruben, Beverly Dollarhi<strong>de</strong>, Cathy Dresbach, Charlie Parker, Alan Teichman, Nancy Fisher<br />
The Queen of Versail<strong>le</strong>s<br />
De Lauren Greenfield | USA, 2012 | Avec David Siegel, Jackie Siegel, Virginia Nebab<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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24
CHASING ICE<br />
When Art meets Science<br />
Etats-Unis, 2012 | Vo anglaise & vo anglaise avec sst. al<strong>le</strong>mand | 76’<br />
De Jeff Orlowski<br />
Avec James Balog, Svavar Jónatansson, Louie Psihoyos<br />
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Documentaire<br />
Autrefois sceptique quant au changement climatique, James Balog, photographe du<br />
« National Geographic », mène un projet d’expédition incroyab<strong>le</strong> à travers l’Arctique :<br />
l’ « Extreme Ice Survey ». Accompagné d'une équipe <strong>de</strong> jeunes aventuriers, il déploie un<br />
arsenal révolutionnaire d'appareils photos et caméras programmés dans un but unique :<br />
capturer <strong>de</strong>s images <strong>de</strong>s glaciers en p<strong>le</strong>ine transformation sur une année entière.<br />
Ce documentaire dont <strong>le</strong>s<br />
images, à couper <strong>le</strong><br />
souff<strong>le</strong>, sont autant<br />
éblouissantes<br />
qu'inquiétantes, raconte<br />
l'histoire d'un artiste<br />
visionnaire qui, risquant sa<br />
carrière et sa santé, nous<br />
délivre, à travers la magie<br />
<strong>de</strong>s photos et l'aventure <strong>de</strong><br />
l'expédition, à la fois <strong>de</strong>s<br />
preuves irréfutab<strong>le</strong>s du<br />
réchauffement climatique<br />
et peut-être un espoir pour<br />
la planète.<br />
PRIX - 23 awards at film festivals around the world<br />
Cinematography Award, Documentary, Sundance Film Festival 2012<br />
Audience Awards, South By Southwest Film Festival, Austin 2012<br />
“You’ve never seen images like this before… It <strong>de</strong>serves to be seen and felt on the big<br />
screen.” Robert Redford, 2012<br />
“Aesthetics and eco-advocacy are a perfect match in ‘Chasing Ice’, a doc so stuffed with eyesoothing<br />
images one prays it can seduce a climate-change skeptic or two.” John DeFore,<br />
Hollywood Reporter, janvier 2012<br />
25
LEVIATHAN<br />
Vue organique <strong>de</strong>s réalités <strong>de</strong> la pêche<br />
France, Royaume-Unis, Etats-Unis, 2012 | Anglais | 87’<br />
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Documentaire<br />
De Lucien Castaing-Taylor, Verena Paravel<br />
Avec Declan Conneely, Johnny Gatcombe, Adrian Guil<strong>le</strong>tte, Brian Jannel<strong>le</strong>, Cly<strong>de</strong> Lee,<br />
Arthur Smith, Christopher Swampstead<br />
Prodigieux poème visuel, Léviathan<br />
est une œuvre d’art origina<strong>le</strong> sur la<br />
pêche, décrivant l’affrontement entre<br />
l'homme, la nature et la machine.<br />
L’intention <strong>de</strong> départ <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux<br />
réalisateurs Lucien Castaing-Taylor,<br />
directeur du Sensory Ethnography<br />
Lab à Harvard, et Véréna Paravel,<br />
ethnologue française, était <strong>de</strong><br />
témoigner <strong>de</strong>s réalités économiques<br />
et politiques <strong>de</strong> la pêche.<br />
Tourné à bord d’un chalutier industriel, au large <strong>de</strong> la côte Est <strong>de</strong>s Etats-Unis, à l’ai<strong>de</strong> d‘une<br />
douzaine <strong>de</strong> caméras numériques fixées sur <strong>le</strong> paquebot : sur la proue et <strong>le</strong>s mâts <strong>de</strong>s<br />
navires, sur <strong>le</strong>s travail<strong>le</strong>urs <strong>de</strong> la mer, au bout <strong>de</strong> longues tiges soup<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> film donne à voir<br />
la perspective <strong>de</strong> tous <strong>le</strong>s protagonistes d’une campagne <strong>de</strong> pêche, passant ainsi du<br />
pêcheur, <strong>de</strong>s mouettes, <strong>de</strong>s poissons au cinéaste.<br />
Quelque part entre observation anthropologique et expérience cinématographique abstraite,<br />
Leviathan nous propose une immersion sensoriel<strong>le</strong>, ou plutôt viscéra<strong>le</strong>, dans <strong>le</strong>s entrail<strong>le</strong>s<br />
d’un navire. Un documentaire sans dialogues ou presque d’une audace ahurissante et d’une<br />
puissance exceptionnel<strong>le</strong> sur une activité humaine remontant au paléolithique.<br />
PRIX<br />
CPH: DOX, New Vision Award, 2012<br />
In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt/Experimental Film and Vi<strong>de</strong>o Award, Los Ange<strong>le</strong>s Film Critics<br />
Association Award, 2012<br />
NOMINATIONS<br />
Best Documentary, Gold Hugo, Chicago International Film Festival, 2012<br />
Gol<strong>de</strong>n Leopard, Locarno International Film festival, 2012<br />
“Leviathan is likely to be one of the most talked-about art films of the year.”<br />
Dennis Lim, nytimes.com, August 2012<br />
« 87 minutes <strong>de</strong> <strong>de</strong>scription d'une créature monstrueuse: <strong>le</strong> bateau <strong>de</strong> pêche. C'est ainsi<br />
qu'on résumera ce film, hommage aux navires pêcheurs disparus en mer, qui brosse un<br />
portrait <strong>de</strong> manière terrib<strong>le</strong>ment vivante et cauchemar<strong>de</strong>sque d'un colosse infernal qui n'a<br />
rien à envier au Leviathan <strong>de</strong> la Bib<strong>le</strong>, ce monstre marin qui aspirait <strong>le</strong>s âmes. » Aureliane<br />
Montfort, Cinema.ch<br />
26
THE ACT OF KILLING<br />
Paro<strong>le</strong>s d’assassins, <strong>le</strong>s anciennes briga<strong>de</strong>s <strong>de</strong> la mort d’Indonésie<br />
Danemark, Norvège, Royaume-Uni, 2012 | Indonésien avec sst. anglais | 115'<br />
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Documentaire<br />
De Joshua Oppenheimer<br />
Avec Takako Matsu, Yoshino Kimura, Masaki Okada, Yukito Nishii, Kaoru Fujiwara,<br />
The Act of Killing dresse <strong>le</strong> portrait d'un<br />
génoci<strong>de</strong> presque oublié par l'Histoire<br />
contemporaine : <strong>le</strong> massacre <strong>de</strong> plus<br />
d'un million d'Indonésiens considérés<br />
communistes après <strong>le</strong> coup militaire <strong>de</strong><br />
1965.<br />
Le film lève <strong>le</strong> voi<strong>le</strong> sur <strong>le</strong>s témoignages<br />
francs et détaillés d’un certain nombre<br />
<strong>de</strong> mafieux qui ont dirigé <strong>le</strong> massacre<br />
<strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 10 000 personnes<br />
prétendument communistes à Sumatera Utara, province au nord <strong>de</strong> Sumatra.<br />
Les réalisateurs mettent ces anciens meneurs <strong>de</strong> briga<strong>de</strong>s <strong>de</strong> la mort dont Anwar Congo au défi<br />
<strong>de</strong> reconstituer <strong>le</strong>s meurtres <strong>de</strong> masse en se référant au genre cinématographique <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur choix.<br />
Ils <strong>le</strong>s invitent invite à s’impliquer directement dans la réalisation même du film, à inventer euxmêmes<br />
<strong>le</strong> scénario au jour <strong>le</strong> jour, mélange <strong>de</strong> réalité et <strong>de</strong> fiction, basé sur <strong>le</strong>urs souvenirs, <strong>le</strong>ur<br />
imaginaire, <strong>le</strong>urs chimères et <strong>le</strong>urs commentaires d’aujourd’hui sur <strong>le</strong>s atrocités dont ils ont été<br />
<strong>le</strong>s auteurs dans <strong>le</strong> passé. Il faut savoir qu'en Indonésie, <strong>le</strong>urs efforts sont célébrés comme <strong>de</strong>s<br />
actes <strong>de</strong> patriotisme. Ces tueurs témoignent librement, en racontant <strong>de</strong>s histoires, en mimant <strong>de</strong>s<br />
scènes, en riant, chantant et dansant.<br />
PRIX<br />
CPH: DOX, Award, 2012<br />
SELECTION<br />
The Panorama Series, Berlin International Film Festival, 2013<br />
Best Documentary, Official Se<strong>le</strong>ction Telluri<strong>de</strong> Film Festival 2012<br />
Best Documentary, Toronto Film Festival 2012<br />
Joshua Oppenheimer Lincoln, né en 1974 à Texas, est un réalisateur américain basé à<br />
Copenhague. Ces films repoussent <strong>le</strong>s frontières entre fiction et documentaire. Influencé par<br />
<strong>le</strong> montage expérimental <strong>de</strong> son mentor, Dusan Makavejev, son premier long métrage « The<br />
Entire History of the Louisiana Purchase » (1997) avec <strong>le</strong>quel il a gagné un Hugo d'or au<br />
Festival international du Film <strong>de</strong> Chicago (1998) et a eu une première au Festival du Film <strong>de</strong><br />
Telluri<strong>de</strong>, 1997. De 2004 à 2008, il a produit une série <strong>de</strong> films en Indonésie.<br />
“I have not seen a film as powerful, surreal, and frightening in at <strong>le</strong>ast a <strong>de</strong>ca<strong>de</strong>…<br />
unprece<strong>de</strong>nted in the history of cinema.” Werner Herzog<br />
“A surreal, chilling and unprece<strong>de</strong>nted examination of atrocity and accountability, it’s difficult<br />
to think of another documentary—or piece of media—that so thoroughly captures a mass<br />
mur<strong>de</strong>rer’s conscience—as well as charting its evolution.” Anthony Kaufman,<br />
screendaily.com, 2012<br />
27
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Documentaire<br />
THE GATEKEEERS<br />
Les services secrets israéliens vus <strong>de</strong> l’intérieur<br />
Israël, France, Al<strong>le</strong>magne, Belgique 2012 | Anglais et hébreu avec sst. anglais| 95'<br />
De Dror Moreh<br />
Avec Ami Ayalon, Avi Dichter, Yuval Diskin, Carmi Gillon, Yaakov Peri, Avraham<br />
Shalom<br />
Du jamais-vu en Israël et dans <strong>le</strong> mon<strong>de</strong>, six<br />
anciens directeurs <strong>de</strong>s services secrets<br />
israéliens racontent trente ans <strong>de</strong> lutte<br />
antiterroriste et évoquent <strong>le</strong>ur expérience à la<br />
tête du Shin Beth, l’agence <strong>de</strong> renseignements<br />
chargée <strong>de</strong> la défense d’Israël contre <strong>le</strong><br />
terrorisme, l’espionnage et la fuite <strong>de</strong> secrets<br />
d’État. Depuis la guerre <strong>de</strong>s Six-Jours en 1967,<br />
el<strong>le</strong> est à la tête <strong>de</strong>s opérations <strong>de</strong><br />
renseignement dans <strong>le</strong>s territoires occupés<br />
(Cisjordanie et Gaza). Le Shin Bet agit dans <strong>le</strong><br />
plus grand secret.<br />
Ses dirigeants témoignent pour la première fois dans ce documentaire et livrent <strong>le</strong>urs critiques sur<br />
<strong>le</strong>urs propres actions et sur la politique israélienne <strong>de</strong> sécurité <strong>de</strong>puis <strong>le</strong>s trente <strong>de</strong>rnières années. Ils<br />
défen<strong>de</strong>nt la nécessité d'établir la paix et la reconnaissance <strong>de</strong> l'Etat pa<strong>le</strong>stinien ne taisant ni <strong>le</strong>s<br />
doutes ni <strong>le</strong>s bavures.<br />
Les chefs du contre-espionnage n’hésitent pas à par<strong>le</strong>r, avec une liberté rare, <strong>de</strong> <strong>le</strong>urs carrières<br />
marquées, plus que dans tout autre pays, d’arrestations, d’assassinats ciblés et autres métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> la<br />
« vio<strong>le</strong>nce d’Etat » dans la lutte antiterroriste. Face caméra, ils sont interviewés sur <strong>de</strong>s sujets<br />
extrêmement sensib<strong>le</strong>s. Quel<strong>le</strong> est la définition la plus acceptab<strong>le</strong> <strong>de</strong> "dommages collatéraux"?<br />
Qu’entend-t-on par « réponse proportionnel<strong>le</strong> » ? Sous quel<strong>le</strong>s conditions peut-on ordonner<br />
l’exécution d’une ou plusieurs personnes.<br />
Ce documentaire, explosif, offre une myria<strong>de</strong> d'explications et aucune excuse.<br />
PRIX<br />
Best Documentary/Non-Fiction Film Los Ange<strong>le</strong>s Film Critics Association Awards,<br />
2012<br />
ACADEMY AWARD NOMINEE - BEST DOCUMENTARY FEATURE, Oscar<br />
Aca<strong>de</strong>my Award, 2013<br />
Né à Jérusa<strong>le</strong>m, Dror Moreh commence sa carrière en tant que directeur <strong>de</strong> la photographie et<br />
<strong>de</strong>vient rapi<strong>de</strong>ment un cinéaste <strong>de</strong> premier plan dans son pays avec <strong>de</strong> nombreux documentaires<br />
primés en Israël. Pendant cette pério<strong>de</strong>, Il réalise aussi beaucoup <strong>de</strong> projets et commence à travail<strong>le</strong>r<br />
en tant que réalisateur à temps p<strong>le</strong>in <strong>de</strong>puis quelque temps.<br />
”This is one hot, provocative, revelatory and astonishing Documentary” Todd MacCarthy,<br />
The Hollywood Reporter<br />
« Un documentaire explosif […] » Annette Lévy-Willard, Libération, janvier 2013<br />
« Entrecoupés d'images d'archives ou d'étonnantes reconstitutions dynamiques réalisées à<br />
partir <strong>de</strong> photos d'époque, <strong>le</strong>urs témoignages constituent un document exceptionnel qui va à<br />
l'encontre <strong>de</strong> beaucoup d'idées reçues et pose avec une acuité nouvel<strong>le</strong> la question <strong>de</strong><br />
l'occupation <strong>de</strong>s Territoires pa<strong>le</strong>stiniens par Israël. » Adrien Jaulmes, Le Figaro, 2013<br />
28
THE IMPOSTER<br />
Un thril<strong>le</strong>r tout droit sorti <strong>de</strong> la vie réel<strong>le</strong><br />
Royaume-Uni, 2012| vo anglaise | 99'<br />
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Documentaire<br />
De Bart Layton<br />
Avec Frédéric Bourdin, Adam O'Brian, Carey Gibson, Anna Ruben, Beverly Dollarhi<strong>de</strong>,<br />
Cathy Dresbach, Charlie Parker, Alan Teichman, Nancy Fisher<br />
San Antonio, Texas. En 1994,<br />
Nicholas Barclay, 13 ans,<br />
disparaît sans laisser <strong>de</strong> traces.<br />
Trois ans et <strong>de</strong>mi plus tard, la<br />
police espagno<strong>le</strong> recueil<strong>le</strong> un<br />
homme du même nom. Pour la<br />
famil<strong>le</strong> américaine, une chose<br />
est sûre: l’ado<strong>le</strong>scent<br />
traumatisé est <strong>le</strong>ur fils, même si<br />
son apparence ne rappel<strong>le</strong> en<br />
rien Nicholas. Le fils perdu<br />
retourne alors chez ses parents.<br />
L’agent du FBI chargée d’enquêter sur <strong>le</strong>s ravisseurs émet cependant <strong>de</strong>s doutes sur cet<br />
incroyab<strong>le</strong> coup du <strong>de</strong>stin… Un ado<strong>le</strong>scent d’origine franco-algérienne volant l’i<strong>de</strong>ntité d’un<br />
jeune blond texan?<br />
Le film revient sur une frau<strong>de</strong> quasiment invraisemblab<strong>le</strong>. Le réalisateur Bart Layton<br />
con<strong>de</strong>nse <strong>le</strong>s explications <strong>de</strong> l’escroc Fre<strong>de</strong>ric Bourdain, <strong>le</strong>s déclarations <strong>de</strong> toutes <strong>le</strong>s<br />
personnes concernées ainsi que <strong>de</strong>s flash-back pour en faire un thril<strong>le</strong>r mystérieux entre<br />
documentaire et fiction, dans <strong>le</strong>quel vérité et mensonge s’entremê<strong>le</strong>nt.<br />
PRIX<br />
Best Documentary, British In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt Film Awards 2012.<br />
Best Documentary, Austin Film Critics Awards 2012.<br />
Douglas Hickox Award (Directorial Debut), British In<strong>de</strong>pen<strong>de</strong>nt Film Awards 2012.<br />
Best International Documentary, Zurich Film Festival 2012.<br />
Réalisateur anglais, Bart Layton est reconnu pour son innovation visuel<strong>le</strong> et son amour <strong>de</strong>s<br />
conventions hors normes. Il a réalisé plusieurs documentaires à succès pour <strong>de</strong>s chaînes <strong>de</strong><br />
télévision anglaises et américaines, dont <strong>de</strong> nombreux ont été <strong>le</strong> point <strong>de</strong> départ <strong>de</strong> séries<br />
cultes. Bart Layton est éga<strong>le</strong>ment <strong>le</strong> directeur créatif <strong>de</strong> la société <strong>de</strong> production anglaise<br />
RAW. Le réalisateur se sert <strong>de</strong>puis quelques années, <strong>de</strong> son expérience <strong>de</strong> documentariste<br />
pour accé<strong>de</strong>r à <strong>de</strong>s environnements ultra protégés, comme <strong>le</strong>s prisons d'Amérique du Sud,<br />
où il anime <strong>de</strong>s ateliers avec <strong>de</strong>s prisonniers.<br />
“It tells a true story that is so oh wow! unbelievab<strong>le</strong>, so <strong>de</strong>eply, compellingly stranger than<br />
fiction, that you don’t so much watch the film as get addicted to it.” Owen G<strong>le</strong>iberman,<br />
Entertainment Weekly<br />
29
THE QUEEN OF VERSAILLES<br />
Les limites du rêve américain<br />
Etats-Unis, 2012 | vo anglaise avec sst. français | 100’<br />
De Lauren Greenfield<br />
Avec David Siegel, Jackie Siegel, Virginia Nebab<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Documentaire<br />
Jets privés, villas gigantesques, prési<strong>de</strong>nts. Il<br />
n’y a rien que David Siegel, magnat <strong>de</strong><br />
l’immobilier, ne puisse s’offrir. Lui et sa femme<br />
Jacqueline, ex Miss et sa ca<strong>de</strong>tte <strong>de</strong> 30 ans,<br />
comptent parmi <strong>le</strong>s individus <strong>le</strong>s plus<br />
privilégiés au mon<strong>de</strong> et déci<strong>de</strong>nt, quelques<br />
années avant la crise financière, <strong>de</strong> construire<br />
la plus gran<strong>de</strong> maison <strong>de</strong>s États-Unis. Ce<br />
palais <strong>de</strong> près <strong>de</strong> 90 000 m², où <strong>le</strong>ur huit<br />
enfants, <strong>le</strong>ur vingtaine <strong>de</strong> domestiques et <strong>le</strong>ur<br />
douzaine <strong>de</strong> chiens pourront vivre sans se<br />
retrouver à l’étroit, s’inspire du Château <strong>de</strong> Versail<strong>le</strong>s. À l'automne 2008, l'empire immobilier<br />
<strong>de</strong> David tangue et menace <strong>de</strong> s'effondrer. Le magnat s'efforce <strong>de</strong> conserver son empire,<br />
tandis que sa famil<strong>le</strong> tente d'être plus économe, épouse en tête. Tant bien que mal.<br />
Lauren Greenfield a suivi pendant trois ans cette famil<strong>le</strong>, <strong>de</strong> l'apogée <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur fortune aux<br />
tourments <strong>de</strong> la crise. El<strong>le</strong> livre un portrait sidérant <strong>de</strong> la société américaine, du point <strong>de</strong> vue<br />
<strong>de</strong>s riches. Le film illustre <strong>le</strong>s aléas et <strong>le</strong>s limites du rêve américain.<br />
PRIX<br />
Prix <strong>de</strong> la Meil<strong>le</strong>ure réalisation, Documentaires, Sundance Film Festival, 2012<br />
Prix du Jury, Meil<strong>le</strong>ur réalisateur <strong>de</strong> film Documentaire en compétition, River Run<br />
International Film Festival, 2012<br />
Lauren Greenfield, réalisatrice, photographe, productrice, née en 1966, diplômée <strong>de</strong><br />
Harvard en 1987, commence sa carrière en tant que stagiaire au National Geographic.<br />
Depuis ses débuts en 1991, ses clichés sont régulièrement publiés dans <strong>de</strong> prestigieux<br />
magazines tels <strong>le</strong> New York Times Magazine, Time, Vanity Fair, Peop<strong>le</strong>, National<br />
Geographic, Stern, The New Yorker, ELLE, Harper's, Harper's Bazaar, Marie Claire, The<br />
Guardian, and The Sunday Times Magazine. El<strong>le</strong> habite à Venice en Californie.<br />
“Quant au film, il vaut vraiment <strong>le</strong> détour. Rires et questionnements existenciels à la sortie<br />
assurés.” Francetv.fr, 2012<br />
“A sprawling, richly <strong>de</strong>tai<strong>le</strong>d study of ambition <strong>de</strong>sire and the wild swings of fortune. A gaudy<br />
guilty p<strong>le</strong>asure that is also a piece of trenchant social criticism. If this film is a portrait, it is<br />
also a mirror.” A.O. Scott, NY Times<br />
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4. Jeune Public<br />
Jean <strong>de</strong> la Lune / Der Mondmann<br />
De Stephan Schesch, d’après <strong>le</strong> conte illustré <strong>de</strong> Tomi Ungerer | IE, FR, DE, 2012<br />
Pinocchio<br />
D’Enzo D’Alò d'après <strong>le</strong> roman <strong>de</strong> Carlo Collodi | IT, BE, FR, LU, 2012<br />
Litt<strong>le</strong> Bird / Kauwboy<br />
De Bou<strong>de</strong>wijn Koo<strong>le</strong> | NL, 2012 | Avec Rick Lens, Loek Peters, Susan Rad<strong>de</strong>r, Hüseyin Cahit<br />
Ölmez<br />
Lore<br />
De Cate Shortland | Avec Saskia Rosendahl, Kai-Peter Malina, Ne<strong>le</strong> Trebs, André Frid, Mika<br />
Sei<strong>de</strong>l, Ursina Lardi, Hans-Jochen Wagner, Eva-Maria Hagen<br />
Émilie<br />
De Olivier Pesch | LU, 2012<br />
Les secrets <strong>de</strong> « M. Hublot »<br />
De Laurent Wiltz, A<strong>le</strong>xandre Espigares | LU, 2012<br />
The Night Light Monster<br />
De Nicola Coppak | LU, 2013<br />
Soirée spécia<strong>le</strong> « Crème Fraîche, premier pas dans la réalisation »<br />
Meet the pros : Découvrez <strong>le</strong>s métiers du cinéma et <strong>de</strong> l’audiovisuel<br />
Meet the pros : PITCH DISCOVERY - Atelier d'écriture <strong>de</strong> scénarios<br />
Meet the pros : VISITE DU STUDIO D’ANIMATION 352<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
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JEAN DE LA LUNE<br />
Animation<br />
Al<strong>le</strong>magne, France, Irlan<strong>de</strong>, 2012 | vo française et al<strong>le</strong>man<strong>de</strong> | 95' | 5+<br />
De Stephan SCHESCH<br />
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Jeune public<br />
Jean <strong>de</strong> la Lune habite tout seul sur la lune et s’ennuie à mourir. Un beau jour, ce petit<br />
bonhomme tout blanc, naïf, doux et pacifique, s’accroche à la queue d’une comète et<br />
<strong>de</strong>scend sur Terre. Mais tout ne se passe pas aussi bien qu’il l’aurait souhaité. Pourchassé,<br />
arrêté, il ne pense qu’à une chose : retourner chez lui.<br />
Ce film est une bel<strong>le</strong> adaptation d’un <strong>de</strong>s albums <strong>le</strong>s plus poétiques <strong>de</strong> Tomi Ungerer. On y<br />
retrouve avec bonheur sa patte graphique, sa fantaisie et son goût <strong>de</strong> la liberté. Une mention<br />
spécia<strong>le</strong> à la musique qui crée à el<strong>le</strong> seu<strong>le</strong> un univers propice au voyage dans l’imaginaire !<br />
PRIX<br />
The Church of Iceland Award, Special Mention - Gol<strong>de</strong>n Puffin, Best Film, Special<br />
Mention, Reykjavik International Film Festival 2011<br />
Stephan Schesch est né à Munich en 1967 et est diplômé <strong>de</strong> l'Éco<strong>le</strong> Supérieure du Film et<br />
<strong>de</strong> l'Art Cinématographique <strong>de</strong> Munich. Après avoir obtenu une bourse <strong>de</strong> l’Académie Carat,<br />
il travail<strong>le</strong> à la rédaction <strong>de</strong> RTL et à la direction <strong>de</strong>s programmes <strong>de</strong> SAT.1. Lors d’un stage<br />
chez Film Roman à Los Ange<strong>le</strong>s (The Simpsons) en 1995, il se spécialise dans l’animation. Il<br />
a fondé et dirigé la société <strong>de</strong> production Animation X en 2004 afin <strong>de</strong> mener à bien la<br />
première adaptation <strong>de</strong>s « Trois brigands » <strong>de</strong> Tomi Ungerer. « Jean <strong>de</strong> la lune » est son<br />
premier film en tant que réalisateur.<br />
“Final Verdict: Moon Man is the cinematic equiva<strong>le</strong>nt of a fuzzy, warm hug. Fun for the who<strong>le</strong><br />
family, without pan<strong>de</strong>ring to any age group.” Sverrir Sigfusson, Filmophilia, 2012<br />
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Jeune public<br />
PINOCCHIO<br />
Animation<br />
Luxembourg, Belgique, France, Italie, 2012 | version luxembourgeoise et française |<br />
110’ | 6+<br />
En présence du réalisateur Enzo D’Alò et <strong>de</strong> l’équipe<br />
L'histoire <strong>de</strong> Pinocchio, tout <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> la connaît : un jour, <strong>le</strong> menuisier Geppetto entreprend<br />
<strong>de</strong> sculpter une marionnette, qui lui tiendra compagnie et lui servira <strong>de</strong> fils, et puis cel<strong>le</strong>-ci<br />
prend vie et se met à vivre mil<strong>le</strong> aventures.<br />
C’est la mise en scène qu'a choisie Enzo D'Alò, gran<strong>de</strong> figure du cinéma d'animation<br />
européen actuel, qui est tout à fait origina<strong>le</strong>, p<strong>le</strong>ine d'énergie, <strong>de</strong> cou<strong>le</strong>urs vives et<br />
scintillantes et <strong>de</strong> musiques sp<strong>le</strong>ndi<strong>de</strong>s. El<strong>le</strong> alterne <strong>de</strong>s paysages vastes et fantastiques<br />
avec <strong>de</strong>s gros plans précis grâce à un montage <strong>le</strong>ste qui rend bien compte <strong>de</strong> la mobilité<br />
continue <strong>de</strong> l'inépuisab<strong>le</strong> marionnette.<br />
NOMINATIONS<br />
Film d'ouverture <strong>de</strong> la section Venice Days, Mostra <strong>de</strong> Venise Italie, 2012<br />
Sé<strong>le</strong>ction Officiel<strong>le</strong> au Festival Italien <strong>de</strong> Vil<strong>le</strong>rupt, France, 2012;<br />
Sé<strong>le</strong>ction officiel<strong>le</strong> au Busan International Film Festival, Corée du Sud, 2012;<br />
Réalisateur, scénariste, musicien, né à Nap<strong>le</strong>s en 1953, Enzo d'Alò s'instal<strong>le</strong> à Turin où, il<br />
rejoint en 1979 La Lanterna Magica. Au sein <strong>de</strong> cette structure, qui développe <strong>de</strong>s<br />
expérimentations audiovisuel<strong>le</strong>s, il travail<strong>le</strong> auprès d'enfants à qui il apprend <strong>le</strong>s techniques<br />
<strong>de</strong> l'animation. En 1983, la Lanterna Magica <strong>de</strong>vient une société <strong>de</strong> production<br />
cinématographique, dont d'Alo est un <strong>de</strong>s fondateurs. Enzo d'Alò réalise dans <strong>le</strong>s années 90<br />
<strong>de</strong>s dizaines <strong>de</strong> productions pour la jeunesse, comme la série « Les Aventures <strong>de</strong> Pimpa »,<br />
adaptée d'une ban<strong>de</strong> <strong>de</strong>ssinée très célèbre en Italie.<br />
“And finally, how would you <strong>de</strong>scribe Pinocchio in 3 words? It's simp<strong>le</strong>: "Searching for<br />
freedom"!“ Enzo d’Alò at Abu Dhabi Film Festival 2012<br />
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LITTLE BIRD / KAUWBOY<br />
Fiction<br />
Pays-Bas, 2012 | vo néerlandaise avec sst. français | 85’ | 9+<br />
De Bou<strong>de</strong>wijn Koo<strong>le</strong><br />
Avec Rick Lens, Loek Peters, Susan Rad<strong>de</strong>r, Hüseyin Cahit Ölmez<br />
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Jeune public<br />
Entre une mère absente et un père qui perd pied,<br />
<strong>le</strong>s temps sont durs pour Jojo. Le garçon <strong>de</strong> dix<br />
ans, la mèche sur l'oeil, toujours débraillé et<br />
remuant, est souvent livré à lui-même dans une<br />
banlieue hollandaise.<br />
Sa mère, chanteuse <strong>de</strong> country, n'est plus là que<br />
sur <strong>de</strong>s photos souriantes, accrochées au mur. Estel<strong>le</strong><br />
vraiment en tournée aux Etats-Unis ? Son père,<br />
quelque peu bourru et en proie au doute, boit un<br />
peu trop et dort tout habillé et surtout interdit à Jojo<br />
<strong>de</strong> cuisiner un gâteau d’anniversaire pour sa mère.<br />
Seu<strong>le</strong> réconfort pour Jojo, un bébé choucas tout noir, à moitié déplumé, tombé du nid.<br />
Bravant l'interdiction <strong>de</strong> son père, il cache l'oisillon sous son lit, <strong>le</strong> nourrit, l'apprivoise.<br />
Ce petit oiseau, pourtant plus fragi<strong>le</strong> que lui, va lui donner la force d’affronter la réalité. Avec<br />
la grâce et l'énergie <strong>de</strong>s enfants, il construit son mon<strong>de</strong> imaginaire glissé en contreban<strong>de</strong><br />
dans la grisail<strong>le</strong> du quotidien. Père et fils doivent prendre <strong>le</strong> temps <strong>de</strong> s’apprivoiser, <strong>de</strong> faire<br />
face à <strong>le</strong>ur tragédie familia<strong>le</strong>.<br />
Le réalisateur montre avec délicatesse <strong>le</strong> portrait émouvant d'un garçon aux prises avec une<br />
situation familia<strong>le</strong> diffici<strong>le</strong>, sa dou<strong>le</strong>ur mais aussi sa vivacité farouche, sa malice, sa capacité<br />
<strong>de</strong> résilience.<br />
PRIX<br />
Grand Prix of the Deutsches Kin<strong>de</strong>rhilfswerk & First Movie Award, Berlin International<br />
Film Festival (Berlina<strong>le</strong>) 2012<br />
European <strong>Discovery</strong> of the Year & Young Audience Award - European Film Awards<br />
2012<br />
Dutch Film Critics Award & Best Music, Ne<strong>de</strong>rlands Film Festival<br />
Né en 1965 à Lei<strong>de</strong>n, Bou<strong>de</strong>wijn Koo<strong>le</strong>, réalisateur néerlandais réalise plusieurs<br />
documentaires sur l'enfance après <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s en <strong>de</strong>sign industriel à l'Université <strong>de</strong> Delft. Il<br />
sort en 2012 son premier long-métrage <strong>de</strong> fiction, « Kauwboy », qui remporte l'Ours d'or du<br />
meil<strong>le</strong>ur premier film et <strong>le</strong> Generation Kplus Grand Prix au festival <strong>de</strong> Berlin.<br />
« Un film touchant, vif et délicat, à hauteur d'enfant » Céci<strong>le</strong> Mury, Télérama<br />
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Jeune public<br />
LORE<br />
Fiction<br />
Australie, Al<strong>le</strong>magne, Royaume-Unis, 2012 | version origina<strong>le</strong> al<strong>le</strong>man<strong>de</strong> avec sst.<br />
français | 75’ | 16+<br />
De Cate Shortland<br />
Avec Saskia Rosendahl, Kai-Peter Malina, Ne<strong>le</strong> Trebs, André Frid, Mika Sei<strong>de</strong>l, Ursina<br />
Lardi, Hans-Jochen Wagner, Eva-Maria Hagen<br />
Printemps 1945 dans <strong>le</strong> Sud <strong>de</strong><br />
l’Al<strong>le</strong>magne. Lore, une<br />
ado<strong>le</strong>scente <strong>de</strong> 15 ans dont <strong>le</strong>s<br />
parents, nazis SS, ont été arrêtés<br />
par <strong>le</strong>s Alliés, s’apprête à traverser<br />
l’Al<strong>le</strong>magne seu<strong>le</strong> avec ses 4<br />
frères et sœurs afin <strong>de</strong> rejoindre<br />
<strong>le</strong>ur grand-mère à près <strong>de</strong> 900<br />
kilomètres au Nord.<br />
Commence un voyage long et<br />
péril<strong>le</strong>ux à travers un pays<br />
dévasté qui oblige <strong>le</strong>s enfants à se<br />
confronter à la réalité désastreuse<br />
d’une population meurtrie, soumise aux privations, et surtout aux conséquences <strong>de</strong>s actes<br />
<strong>de</strong> <strong>le</strong>urs parents. Lore voit son mon<strong>de</strong> vo<strong>le</strong>r en éclat, lorsqu’el<strong>le</strong> rencontre Thomas, un jeune<br />
survivant juif à qui el<strong>le</strong> doit faire confiance pour pouvoir survivre. Ebranlée par <strong>de</strong>s<br />
sentiments contradictoires <strong>de</strong> haine et <strong>de</strong> désir, el<strong>le</strong> reste pétrifiée par la peur et l’envie que<br />
lui inspire <strong>le</strong> jeune homme, considéré encore il y a peu comme l’ennemi…<br />
Ce film est un véritab<strong>le</strong> engagement, magnifiquement raconté du point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong>s victimes<br />
<strong>le</strong>s plus innocentes <strong>de</strong> la guerre, <strong>le</strong>s enfants.<br />
PRIX<br />
Critics Award, Best Film, Hambourg Film Festival 2012<br />
Audience Award, Locarno International Film Festival 2012<br />
Best New Director, Valladolid International Film Festival 2012<br />
Née en 1968 à Temora, Australie, diplômée <strong>de</strong>s beaux-arts à l'Université <strong>de</strong> Sydney, Cate<br />
Shortland termine ses étu<strong>de</strong>s en réalisation à l'Australian Film Te<strong>le</strong>vision and Radio. Déjà<br />
ses quatre premiers courts-métrages (« Strap on Olympia », « Pentuphouse », « Flowergirl »<br />
et « Joy ») ont été récompensés au niveau international. Son premier long métrage<br />
« Somersault » crée l’évènement dans la section Un Certain Regard au Festival <strong>de</strong> Cannes<br />
2004 et remporte par ail<strong>le</strong>urs <strong>de</strong> nombreux prix. « Lore », son <strong>de</strong>uxième film tant attendu, est<br />
basé sur <strong>le</strong> Booker-Price-nominated <strong>de</strong> Rachel Seiffert, « The Dark Chamber ».<br />
“ ‘Lore’, unspooling a lyrical, <strong>de</strong>eply affecting study into a rarely seen <strong>le</strong>gacy of the<br />
Holocaust.”<br />
“Superbly shot German-British-Australian co-production”<br />
“Immersive drama”<br />
Megan Lehmann, The Hollywood Reporter, 2012<br />
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ÉMILIE<br />
Court-métrage d’animation<br />
En présence du réalisateur Olivier Pesch<br />
Luxembourg, 2012 | vo luxembourgeoise | 60' | 6+<br />
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Jeune public<br />
Emilie, 7 ans, et son père Marcel habitent une<br />
maisonnette mitoyenne d’un atelier, située à l’entrée<br />
d’une décharge.<br />
Un jour, égarée dans un espace condamné du dépôt<br />
alors qu’el<strong>le</strong> cherche sa peluche, Emilie rencontre une<br />
ban<strong>de</strong> <strong>de</strong> singes plutôt originaux.<br />
Né en 1980 au Luxembourg et après avoir obtenu un<br />
diplôme à l’atelier <strong>de</strong> Sèvres puis à l’Eco<strong>le</strong> Nationa<strong>le</strong><br />
Supérieure <strong>de</strong> Paris, Olivier Pesch réalise en 2006<br />
son 1er court métrage d’animation « Le Gardien du Nid ». Ce film est récompensé par <strong>le</strong> prix du<br />
"jeune espoir" luxembourgeois au Lëtzebuerger Filmpraïs 2007 et par la Mention Spécia<strong>le</strong> au<br />
Cinenygma Festival Luxembourg 2006. Olivier Pesch crée en 2012 son 2nd court métrage intitulé<br />
« Émilie ». Ce jeune réalisateur luxembourgeois utilise la technique du stop motion : dans ces films,<br />
Olivier Pesch donne en effet vie à <strong>de</strong>s personnages et <strong>de</strong>s décors qu’il prend soin <strong>de</strong> confectionner<br />
lui-même.<br />
M. HUBLOT<br />
En présence <strong>de</strong>s réalisateurs Laurent Wiltz et A<strong>le</strong>xandre Espigares<br />
D’après l’univers <strong>de</strong> Stéphane Hal<strong>le</strong>ux | Luxembourg, 2012 | Sans paro<strong>le</strong> | 10’ | 6+<br />
Monsieur Hublot vit dans un mon<strong>de</strong> absur<strong>de</strong>, où se côtoient <strong>de</strong>s<br />
personnages rapiécés, recousus, en partie mécanique, véhicu<strong>le</strong>s<br />
démesurés, un mon<strong>de</strong> où <strong>le</strong> gigantisme <strong>de</strong> la mécanique et<br />
l'acharnement à la récupération, règnent en maître.<br />
Bourré <strong>de</strong> tocs, <strong>de</strong> manies, effrayé par <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> extérieur, reclus<br />
sur lui-même, Mr Hublot déteste <strong>le</strong> changement et <strong>le</strong>s imprévus.<br />
Il a d’ail<strong>le</strong>urs trouvé une para<strong>de</strong> très efficace à cela : ne jamais<br />
sortir <strong>de</strong> chez lui ! L’arrivée du chien Robot Pet va chambou<strong>le</strong>r<br />
ses habitu<strong>de</strong>s, contraint et forcé <strong>de</strong> faire vie commune avec son<br />
nouveau compagnon très envahissant.<br />
THE NIGHT LIGHT MONSTER<br />
En présence du réalisateur Nicola Coppak<br />
Luxembourg, 2013 | Sans paro<strong>le</strong> | 7’ | 6+<br />
Une fil<strong>le</strong>tte a peur du noir dans sa chambre et s‘invente un<br />
mon<strong>de</strong> imaginaire. El<strong>le</strong> éveil<strong>le</strong> inopinément <strong>le</strong> Monstre <strong>de</strong><br />
la Nuit qui va l‘ai<strong>de</strong>r à surmonter ses craintes.<br />
Nicola Coppak est diplômé <strong>de</strong> l'Institut <strong>de</strong>s Arts <strong>de</strong><br />
Bournemouth (2008) où il a étudié la production<br />
d'animation ainsi que la réalisation. Puis, il a travaillé 6<br />
mois en tant que « character <strong>de</strong>signer » pour <strong>le</strong>s studios<br />
GLORY N DREAM à Nanjing en Chine. Peu <strong>de</strong> temps<br />
après, il commence à travail<strong>le</strong>r à la FABRIQUE D'IMAGES<br />
et dirige <strong>de</strong>ux autres œuvres pour « Toon Boom<br />
Harmony » et « Michel ». Parallè<strong>le</strong>ment, il a écrit et développé un pitch pour une compétition <strong>de</strong><br />
courts-métrages.<br />
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CRÈME FRAÎCHE Premiers pas dans la réalisation<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
Jeune public<br />
ANNONCE LAURÉATS & REMISE DE PRIX - CONCOURS DE SCÉNARIOS ET DE CLIPS<br />
PREISVERLEIHUNG DREHBUCH- UND VIDEOCLIP-WETTBEWERB<br />
« Crème Fraîche » se composent <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux Concours <strong>de</strong> créativité : scénarios (2 catégories) &<br />
clips organisés par <strong>le</strong> Service National <strong>de</strong> la Jeunesse et <strong>le</strong> Centre National <strong>de</strong> l’Audiovisuel<br />
dans <strong>le</strong> cadre <strong>de</strong> la 3 e édition du Luxembourg City Film Festival.<br />
Les concours scénarios<br />
Soirée Spécia<strong>le</strong><br />
«Crème fraîche, premiers pas dans la réalisation»<br />
1/03, 19:00, Ciné Utopia<br />
- Projection du court métrage, lauréat du concours <strong>de</strong><br />
scénario 2012, Yannick Kocks<br />
- Annonce <strong>de</strong>s lauréats du concours scénarios 2013<br />
- Projection <strong>de</strong>s clips & remise <strong>de</strong>s prix pour <strong>le</strong>s<br />
lauréats du concours clips 2013<br />
Entrée gratuite dans la limite <strong>de</strong>s places disponib<strong>le</strong>s.<br />
Réservations recommandées.<br />
Laissez par<strong>le</strong>r votre créativité et participez aux <strong>de</strong>ux concours <strong>de</strong> scénarios qui vous feront passer <strong>de</strong><br />
l’écriture aux sal<strong>le</strong>s <strong>de</strong> cinéma !<br />
Ce concours <strong>de</strong> scénarios s’adresse à <strong>de</strong>ux catégories :<br />
1- CONCOURS OUVERT - tous <strong>le</strong>s jeunes <strong>de</strong> 12 à 30 ans, rési<strong>de</strong>nts luxembourgeois ou<br />
inscrits dans une éco<strong>le</strong> du Grand-Duché ;<br />
2- CONCOURS ÉTUDIANTS MÉDIA - aux jeunes étudiants en média <strong>de</strong>vant être rési<strong>de</strong>nts<br />
luxembourgeois.<br />
Les lauréats 2013 seront annoncés par un jury composé <strong>de</strong> jeunes et <strong>de</strong> professionnels lors <strong>de</strong> la<br />
soirée «Crème fraîche ».<br />
1 - CONCOURS OUVERT À TOUS, 12-30 ans<br />
Le lauréat <strong>de</strong> cette catégorie se verra offrir la réalisation <strong>de</strong> son scénario au cours <strong>de</strong> l’année 2013,<br />
dans <strong>de</strong>s conditions semi-professionnel<strong>le</strong>s et mise en œuvre par <strong>le</strong> SNJ. Le résultat final sera<br />
présenté au public lors <strong>de</strong> l’édition 2014 du festival.<br />
Critères <strong>de</strong> réalisation<br />
Un scénario éligib<strong>le</strong> au concours doit :<br />
- être écrit en Luxembourgeois, Français, Al<strong>le</strong>mand ou en Anglais ;<br />
- avoir une durée approximative <strong>de</strong> 6 à 9 minutes ;<br />
- contenir un maximum <strong>de</strong> 3 personnages (ayant <strong>de</strong>s dialogues) ;<br />
- être tourné au Grand-Duché <strong>de</strong> Luxembourg (en intérieur ou en extérieur) ;<br />
- <strong>le</strong> scénario doit être précédé d’une page <strong>de</strong> gar<strong>de</strong> contenant <strong>le</strong> nom et <strong>le</strong>s coordonnées <strong>de</strong> l’auteur,<br />
du formulaire d’inscription, d’une <strong>de</strong>scription <strong>de</strong>s personnages et <strong>de</strong>s lieux <strong>de</strong> tournage.<br />
37
Des scénarios co-écrits par plusieurs auteurs peuvent être soumis. Les jeunes ayant déjà accompli<br />
<strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s supérieures <strong>de</strong> cinéma ou étu<strong>de</strong>s similaires ainsi que <strong>le</strong>s professionnels sont exclus du<br />
concours. Tous <strong>le</strong>s scénarios soumis doivent être <strong>de</strong>s œuvres origina<strong>le</strong>s. Aucune violation <strong>de</strong>s droits<br />
d’auteur existants n’est permise.<br />
2 – CONCOURS POUR ÉTUDIANTS EN MÉDIA<br />
En partenariat avec <strong>le</strong> Ministère <strong>de</strong> la Culture<br />
Le gagnant se verra décerner l’assistance d’un « scriptdoctor » professionnel pour finaliser son<br />
scénario en vue d’une production éventuel<strong>le</strong>.<br />
Remise <strong>de</strong>s <strong>dossier</strong>s comp<strong>le</strong>ts pour <strong>le</strong>s 2 concours <strong>de</strong> scénarios <strong>le</strong> 1/02/2013 à 17h au plus<br />
tard auprès <strong>de</strong> :<br />
Adrien Promme - Centre SNJ Eisenborn 5, rue <strong>de</strong> la Forêt L – 6196 Eisenborn<br />
Participation entièrement gratuite. Réservé aux non-professionnels <strong>de</strong> la discipline (concours<br />
ouvert) – et aux étudiants en média (concours étudiants)<br />
Concours clips : SIXTY SECONDS CLIP<br />
En partenariat avec Orange Luxembourg<br />
Réalisez <strong>de</strong>s clips vidéo <strong>de</strong> 60 secon<strong>de</strong>s<br />
individuel<strong>le</strong>ment ou en groupe (à l’éco<strong>le</strong>, dans<br />
votre association) et présentez-<strong>le</strong>s lors <strong>de</strong> la<br />
soirée «Crème fraîche».<br />
Les trois meil<strong>le</strong>urs clips sé<strong>le</strong>ctionnés par <strong>le</strong> public<br />
se verront attribuer <strong>de</strong>s prix offert par Orange<br />
Luxembourg SA, sponsor officiel du Luxembourg<br />
City Film Festival. <br />
Le concours s’adresse aux jeunes <strong>de</strong> 12 à 30<br />
ans, résidant au Luxembourg ou inscrits dans un<br />
établissement scolaire luxembourgeois.<br />
Les clips doivent respecter <strong>le</strong>s conditions suivantes <strong>de</strong> réalisation :<br />
- durée : 60 secon<strong>de</strong>s maximum ;<br />
- éléments obligatoires : un personnage jeune, un personnage vieux, un chapeau et une<br />
douche ;<br />
- ne peuvent contenir ni <strong>de</strong>s histoires, ni <strong>de</strong>s musiques susceptib<strong>le</strong>s <strong>de</strong> vio<strong>le</strong>r <strong>de</strong>s droits<br />
d’auteur existants.<br />
Les clips (format DVD) ainsi que <strong>le</strong> formulaire d’inscription téléchargeab<strong>le</strong> sur<br />
www.cremefraiche.lu doivent être remis pour <strong>le</strong> 1/02/2013 au plus tard à l’adresse suivante :<br />
Adrien Promme - Centre SNJ Eisenborn 5, rue <strong>de</strong> la Forêt L – 6196 Eisenborn<br />
Participation entièrement gratuite - Réservé aux non professionnels <strong>de</strong> la discipline<br />
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Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
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Jeune public<br />
MEET THE PROS : Découvrez <strong>le</strong>s métiers du cinéma et <strong>de</strong> l’audiovisuel<br />
APRÈS-MIDI D’INFORMATION<br />
En collaboration avec Centre National <strong>de</strong> l’Audiovisuel, Film Fund Luxembourg / DE, FR, LU<br />
À partir <strong>de</strong> 14 ans<br />
<strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> vous invite à une journée d’information sur <strong>le</strong>s opportunités, <strong>le</strong> cadre légal et <strong>le</strong>s<br />
débouchés du secteur <strong>de</strong> la production audiovisuel<strong>le</strong> et cinématographique. Une rencontre interactive<br />
avec <strong>le</strong>s professionnels luxembourgeois <strong>de</strong> la discipline réalisée en collaboration avec <strong>le</strong> Centre<br />
National <strong>de</strong> l’Audiovisuel et <strong>le</strong> Fonds National <strong>de</strong> Soutien à la Production Audiovisuel<strong>le</strong> - Filmfund<br />
Luxembourg.<br />
MEET THE PROs<br />
Découvrez <strong>le</strong>s métiers du cinéma et <strong>de</strong> l’audiovisuel<br />
3/03, à partir <strong>de</strong> 14h00<br />
Ratskel<strong>le</strong>r, Cerc<strong>le</strong> Cité - Place d’Armes, Luxembourg<br />
Entrée libre<br />
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Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
Jeune public<br />
MEET THE PROS : PITCH DISCOVERY - Atelier d'écriture <strong>de</strong> scénarios<br />
Jérôme Nunes<br />
Français & Anglais / 18+<br />
Durée : 3 jours<br />
Séance<br />
5 > 7/03, <strong>de</strong> 9h00 à 13h00<br />
& <strong>de</strong> 14h00 à 18h00,<br />
Ratskel<strong>le</strong>r, Cerc<strong>le</strong>-Cité<br />
À l’occasion <strong>de</strong> la 7 e edition du « European Short Pitch », organisé<br />
par <strong>le</strong> réseau européen du jeune cinéma NISI MASA et dans la<br />
continuité <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur collaboration avec <strong>le</strong> festival, un atelier d’écriture<br />
<strong>de</strong> scénarios est proposé : Pitch <strong>Discovery</strong>.<br />
Dans un cadre professionnalisant, l'atelier se concentre sur vos<br />
projets <strong>de</strong> scénarios courts-métrages et sur <strong>le</strong> pitch comme base <strong>de</strong><br />
développement voire <strong>de</strong> réécriture. Quel<strong>le</strong> est la spécificité <strong>de</strong> cet<br />
exercice ? Quels sont <strong>le</strong>s écueils ? Les notions fondamenta<strong>le</strong>s <strong>de</strong> la<br />
dramaturgie seront abordées.<br />
Suite aux ren<strong>de</strong>z-vous individuels et en binôme, <strong>de</strong>s discussions<br />
col<strong>le</strong>ctives et un travail en groupe sont privilégiés afin d’analyser <strong>le</strong>s<br />
scénarios. L'atelier se terminera par une session <strong>de</strong> pitch du<br />
scénario ainsi obtenu.<br />
« European Short Pitch » est un forum <strong>de</strong> coproduction et <strong>de</strong> rencontre qui permet d’établir <strong>de</strong>s<br />
passerel<strong>le</strong>s entre la scène professionnel<strong>le</strong> et la jeune création européenne et assure la promotion <strong>de</strong>s<br />
œuvres. Organisé par NISI MASA, il se tiendra du 1er au 8 mars 2013 à Luxembourg dans <strong>le</strong> cadre<br />
du Luxembourg City Film Festival et en partenariat avec Filmreakter.<br />
Les participants au Pitch <strong>Discovery</strong> sont invités à̀ assister aux différents événements prévus (étu<strong>de</strong>s<br />
<strong>de</strong> cas, sessions <strong>de</strong> pitching, projections) en fonction du programme dans <strong>le</strong> cadre du European Short<br />
Pitch (en anglais) : du 1er au 3 mars.<br />
L'atelier est encadré en français et en anglais par Jérôme Nunes, scénariste, réalisateur qui coorganise<br />
<strong>le</strong> European Short Pitch.<br />
Jérôme Nunes a obtenu en 2006 un doctorat sur <strong>le</strong><br />
cinéma français à Université <strong>de</strong> Nottingham (sujet: A.<br />
Resnais). Il a d’ail<strong>le</strong>urs enseigné à l’Université <strong>de</strong><br />
Nottingham en littérature (Duras, RobbeGril<strong>le</strong>t) et cinéma<br />
français (La nouvel<strong>le</strong> vague : Truffaut, Godard, Demy,<br />
Chabrol). Titulaire éga<strong>le</strong>ment d’une maîtrise sur <strong>le</strong><br />
cinéma américain <strong>de</strong> l’Université d’Aix-en-Provence<br />
(sujet : D. Lynch), il est, <strong>de</strong>puis 2010, associé <strong>de</strong> Films<br />
<strong>de</strong> Force Majeure, coordinateur <strong>de</strong> production,<br />
prospecteur <strong>de</strong> projets, et directeur <strong>de</strong> (post-)production.<br />
Appel à participation et Fiche d’inscription à télécharger sur www.discoveryzone.lu<br />
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MEET THE PROS : VISITE DU STUDIO D’ANIMATION 352<br />
Découverte <strong>de</strong> la vie du studio et <strong>de</strong>s métiers <strong>de</strong> l’animation<br />
Visite guidée du Studio 352 avec Stéphan Roelants (en français)<br />
Recommandé à partir <strong>de</strong> 6 ans<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
Jeune public<br />
Créé voici bientôt quinze ans au Luxembourg par Stéphan Roelants, <strong>le</strong> studio d’animation<br />
Studio 352 est actif dans <strong>le</strong>s séries télévisées <strong>de</strong>stinées aux enfants. Il œuvre <strong>de</strong>puis<br />
quelques années dans <strong>le</strong> domaine du longmétrage<br />
d’animation en alliant la qualité du<br />
scénario au chal<strong>le</strong>nge artistique. Le travail<br />
du studio va <strong>de</strong> la création artistique à<br />
l’univers graphique, la finalisation du<br />
montage ou la réalisation du storyboard et<br />
la recherche cou<strong>le</strong>ur. Il possè<strong>de</strong> une<br />
véritab<strong>le</strong> maîtrise et expérience <strong>de</strong>s<br />
différentes techniques <strong>de</strong> l’animation, du<br />
<strong>de</strong>ssin traditionnel ou digital à la simulation<br />
3D interactive.<br />
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5. Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg<br />
Fictions<br />
Au bonheur <strong>de</strong>s ogres<br />
De Nicolas Bary | Avec Raphaël Personnaz, Bérénice Béjo, Emir Kusturica<br />
Dead Man Talking<br />
De Patrick Ridremont | Avec Patrick Ridremont, François Berléand, Virginie Efira<br />
Never Die Young<br />
De Pol Cruchten | Avec Robinson Stevenin, Laurence Cote<br />
Sous <strong>le</strong> figuier<br />
De Anna-Marie Etienne | Avec Sven Nordin, Åsmund Høeg, Sonja Richter, John Lydon<br />
Documentaires<br />
Cello Ta<strong>le</strong>s<br />
De Anne Schiltz<br />
Naked Opera<br />
De Angela Christlieb | Avec Marc Rollinger<br />
Sweet Heart Come<br />
De Jacques Molitor | Avec Lambert Sch<strong>le</strong>chter, Etienne Braun, Cornelia Nasch<br />
Courts-métrages<br />
La chute <strong>de</strong> la Maison Uscher<br />
De Raul Garcia<br />
Géi Du Schon Emol Fir<br />
De Govinda Van Mae<strong>le</strong> | Avec Sven Bre<strong>de</strong>n, François Kox, Alicia Authe<strong>le</strong>t<br />
Una Furtiva Lagrima<br />
De Carlo Voge<strong>le</strong><br />
22h22<br />
De Julien Becker | Avec Hervé Sogne<br />
Le faux départ<br />
De Thierry Besseling & Loïc Tanson | Avec Rakiswendé Zongo, Julienne Zongo<br />
Errances<br />
De Marylène Andrin | Avec Eugène Anselin, Luc Schiltz, Valérie Bodson<br />
Le chagrin <strong>de</strong>s Ogresses<br />
De Myriam Mul<strong>le</strong>r | Avec Sabine Timoteo, Elise Bonillo, Ju<strong>le</strong>s Werner<br />
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AU BONHEUR DES OGRES<br />
Comédie, Avant-première mondia<strong>le</strong><br />
France, Luxembourg, Belgique, 2012 | vo française | Bidibul (LU)<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Fiction<br />
De Nicolas Bary – En présence <strong>de</strong> l’équipe<br />
Avec Raphaël Personnaz, Bérénice Béjo, Emir Kusturica, Guillaume <strong>de</strong> Tonqué<strong>de</strong>c,<br />
Thierry Neuvic, Mélanie Bernier, Dean Constantin, Marius Yelolo, et la participation<br />
exceptionnel<strong>le</strong> d’Isabel<strong>le</strong> Huppert.<br />
Dans la tribu Malaussène, il y a<br />
quelque chose <strong>de</strong> curieux, <strong>de</strong> louche,<br />
d'anormal même diraient certains. Mais<br />
à y regar<strong>de</strong>r <strong>de</strong> près c'est <strong>le</strong> bonheur<br />
qui règne dans cette famil<strong>le</strong><br />
joyeusement bordélique dont la mère<br />
sans cesse en cava<strong>le</strong> amoureuse a<br />
éparpillé <strong>le</strong>s pères <strong>de</strong> ses enfants.<br />
Pour Benjamin Malaussène, bouc<br />
émissaire professionnel et frère aîné<br />
responsab<strong>le</strong> <strong>de</strong> cette marmail<strong>le</strong>, la vie<br />
n'est jamais ennuyeuse. Mais quand<br />
<strong>le</strong>s inci<strong>de</strong>nts surviennent partout où il<br />
passe, attirant <strong>le</strong>s regards<br />
soupçonneux <strong>de</strong> la police et <strong>de</strong> ses collègues <strong>de</strong> travail, il <strong>de</strong>vient rapi<strong>de</strong>ment vital pour <strong>le</strong><br />
héros <strong>de</strong> trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là ?<br />
Au Bonheur <strong>de</strong>s Ogres est un roman <strong>de</strong> Daniel Pennac paru en 1985. Ce roman inaugure la<br />
« saga Malaussène », qui compte aujourd’hui six romans. Le titre est inspiré du roman Au<br />
Bonheur <strong>de</strong>s Dames d’Émi<strong>le</strong> Zola ; <strong>le</strong>s <strong>de</strong>ux œuvres mettant en scène <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s grands<br />
magasins.<br />
Nicolas Bary, né en 1980, est un réalisateur, scénariste et producteur <strong>de</strong> cinéma français. Il<br />
a notamment réalisé <strong>le</strong> film « Les Enfants <strong>de</strong> Timpelbach », qui est son premier long<br />
métrage. Étudiant à l'Éco<strong>le</strong> supérieure <strong>de</strong> réalisation audiovisuel<strong>le</strong> (ESRA), il profite d'un<br />
stage sur <strong>le</strong> tournage <strong>de</strong> « Le Petit Poucet » pour travail<strong>le</strong>r ensuite en régie sur une série <strong>de</strong><br />
longs métrages et réalise <strong>de</strong>s spots publicitaires. En parallè<strong>le</strong>, il autoproduit ses <strong>de</strong>ux<br />
premiers courts métrages professionnels. Avec l'ai<strong>de</strong> du producteur Dimitri Rassam, il réalise<br />
un troisième court-métrage, « Judas », avec notamment Jean-Pierre Cassel, Delphine<br />
Serina et Romain Ron<strong>de</strong>au.<br />
« Actuel<strong>le</strong>ment en post-production, <strong>le</strong> film Au bonheur <strong>de</strong>s Ogres <strong>de</strong> Nicolas Bary <strong>de</strong>vrait<br />
être l’un <strong>de</strong>s événements du début <strong>de</strong> l’année 2013. […] cette comédie a <strong>le</strong> potentiel pour<br />
être un joli succès populaire. » Allociné.fr<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Fiction<br />
DEAD MAN TALKING<br />
Comédie noire<br />
Belgique, Luxembourg, France, 2012 | vo française | 101’ | Bidibul (LU)<br />
En présence du réalisateur Patrick Ridremont<br />
Avec Patrick Ridremont, François Berléand, Virginie Efira, Christian Marin, Jean-Luc<br />
Couchard, Olivier Leborgne, Denis Mpunga, Pauline Bur<strong>le</strong>t<br />
William Lamers, 40 ans, anonyme criminel<br />
condamné au Poison pour meurtre, se<br />
prépare à être exécuté. La procédure se<br />
passe dans l’indifférence généra<strong>le</strong> et, ni la<br />
famil<strong>le</strong> du condamné, ni cel<strong>le</strong> <strong>de</strong> ses<br />
victimes n’a fait <strong>le</strong> déplacement pour<br />
assister à l’exécution. Seul <strong>le</strong> journaliste<br />
d’un minab<strong>le</strong> tabloïd local est venu<br />
assister au «spectac<strong>le</strong>».<br />
Pourtant ce qui ne <strong>de</strong>vait être qu’une<br />
formalité va rapi<strong>de</strong>ment <strong>de</strong>venir un véritab<strong>le</strong> cauchemar pour Karl Raven, <strong>le</strong> directeur <strong>de</strong> la<br />
prison. Alors qu’on lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s’il a quelque chose à dire avant <strong>de</strong> mourir, William se met à<br />
raconter sa vie, et se lance dans un récit incroyab<strong>le</strong> et bou<strong>le</strong>versant. Raven s’impatiente et<br />
appel<strong>le</strong> <strong>le</strong> Gouverneur Bro<strong>de</strong>ck pour obtenir l'autorisation d'exécuter William. Mais comme la loi<br />
ne précise rien sur la longueur <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rnières paro<strong>le</strong>s et que <strong>le</strong> Gouverneur Stieg Bro<strong>de</strong>ck, au<br />
plus bas dans <strong>le</strong>s sondages, ne peut prendre aucun risque à un mois <strong>de</strong>s é<strong>le</strong>ctions, on déci<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />
laisser William raconter son histoire jusqu’au bout.<br />
Mieux encore, on va lui proposer un étrange marché. Par<strong>le</strong>r pour ne pas mourir.<br />
PRIX<br />
Prix du Public au Festival International du Film Francophone <strong>de</strong> Namur 2012.<br />
Prix du Public au Festival International <strong>de</strong>s Jeunes Réalisateurs <strong>de</strong> St Jean <strong>de</strong> Luz<br />
2012.<br />
NOMINATION<br />
8 nominations aux Magrittes Belge dont Meil<strong>le</strong>ur film, Meil<strong>le</strong>ur scénario, Meil<strong>le</strong>ure<br />
réalisateur.<br />
Patrick Ridremont est né en 1967 à Léopoldvil<strong>le</strong> au Zaïre. Avec la certitu<strong>de</strong> <strong>de</strong>puis toujours<br />
<strong>de</strong> <strong>de</strong>venir comédien, il entreprend <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> théâtre <strong>de</strong> 1986 à 1990 à l'IAD. Il joue<br />
alors dans <strong>de</strong>s pièces <strong>de</strong> théâtre comme « La Veuve rusée » ou « Peines d'amour perdues<br />
». Il est éga<strong>le</strong>ment présentateur à la RTBF et Canal+. Il occupe, <strong>de</strong>puis 2009, un poste <strong>de</strong><br />
professeur <strong>de</strong> technique et pratique du son et <strong>de</strong> la radio à l'IHECS à Bruxel<strong>le</strong>s. Son tout<br />
premier long métrage comme réalisateur est « Dead Man Talking ».<br />
« Au festival, on découvre <strong>de</strong>s films étonnants, on aime, on aime moins… ou on adore.<br />
«Dead Man Talking» <strong>de</strong> Patrick Ridremont est <strong>de</strong> ceux-là ». Lavenir.net<br />
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NEVER DIE YOUNG<br />
Docu-fiction<br />
Luxembourg, 2012 | Vo française | 66’ | Red Lion (LU)<br />
En présence du réalisateur Pol Cruchten<br />
Avec <strong>le</strong>s voix <strong>de</strong> Robinson Stevenin et Laurence Cote<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Fiction<br />
Basée sur <strong>de</strong>s faits réels,<br />
<strong>le</strong> film raconte l’histoire <strong>de</strong><br />
Guido Peters, qui a lutté<br />
toute sa vie contre sa<br />
dépendance à la drogue.<br />
Né <strong>le</strong> 7 Décembre 1959 à<br />
Pétange, il est envoyé en<br />
pension à Arlon à l'âge <strong>de</strong><br />
12 ans. Trois années<br />
d’internat interminab<strong>le</strong>s.<br />
De retour à Pétange, son<br />
comportement change, il <strong>de</strong>vient sauvage et hosti<strong>le</strong> et découvre, à 15 ans, la drogue. De<br />
plus en plus dépendant, il se lance dans <strong>le</strong> traffic d’héroïne. Conséquence directe, il attire<br />
l’attention <strong>de</strong> la police et cinq ans plus tard, la situation est désastreuse. Un jour, Guido,<br />
tentant d’échapper à la police, saute un mur <strong>de</strong> 8 m <strong>de</strong> hauteur. Il survit mais reste paralysé.<br />
Malgré l’acci<strong>de</strong>nt, sa dépendance persiste.<br />
En fauteuil roulant au centre <strong>de</strong> rééducation, il parvient encore à s’approvisionner.<br />
Désespéré, il tente <strong>de</strong> mettre fin à ses jours, et là encore il échoue. Seul, il déci<strong>de</strong> d’arrêter.<br />
Né en 1963, Pol Cruchten étudie <strong>le</strong> cinéma à l’Éco<strong>le</strong> supérieure d’étu<strong>de</strong>s<br />
cinématographiques (E.S.E.C.) à Paris dans la section réalisation. Une fois ses étu<strong>de</strong>s<br />
terminées, il s’attè<strong>le</strong> rapi<strong>de</strong>ment à la réalisation <strong>de</strong> son premier court-métrage « Somewhere<br />
in Europe ». C’est en 1992 qu’il signe son premier long-métrage avec « Hochzaitsnuecht »,<br />
<strong>le</strong> premier film luxembourgeois à être présenté au Festival <strong>de</strong> Cannes dans la catégorie « Un<br />
Certain Regard » et qui remporte <strong>le</strong> prix Max Ophuls à Saarbrücken en 1993. Son film<br />
« Black Dju », montré dans plus <strong>de</strong> 20 festivals, compte notamment Philippe Leotard, qui<br />
joue <strong>le</strong> rô<strong>le</strong> du policier, son <strong>de</strong>rnier rô<strong>le</strong> au cinéma. En 1996, il crée la société <strong>de</strong> production<br />
Red Lion. Pol Cruchten va mettre quatre ans à réaliser son rêve : tourner un film aux Etats-<br />
Unis avec <strong>le</strong> producteur international Tarak Ben Ammar (producteur entre autres <strong>de</strong> Roman<br />
Polanski ou <strong>de</strong> Brian De Palma), « Boys on the Run ». En 2005 il tourne <strong>le</strong> film « Perl o<strong>de</strong>r<br />
Pica », basé sur un livre <strong>de</strong> l’auteur luxembourgeois Jhemp Hoscheit. Le film est un grand<br />
succès au box-office national, se classant parmi <strong>le</strong>s dix meil<strong>le</strong>urs scores <strong>de</strong> l’année, et a<br />
gagné <strong>le</strong> Prix du public, Lëtzebuerger Filmpräis 2007. Deux ans plus tard, il passe à la<br />
production avec « Universalove » <strong>de</strong> Thomas Woschitz, « House Of Boys » <strong>de</strong> Jean-clau<strong>de</strong><br />
Schlim et « Dust » <strong>de</strong> Max Jacoby.<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Fiction<br />
SILENT CITY<br />
Drame<br />
Pays-Bas, Luxembourg, Belgique, 2012 | vo anglaise, néerlandaise et japonaise avec<br />
sst. anglais | 90’ | Samsa (LU)<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Anna Threes<br />
Avec Laurence Roothooft, Makoto Makita, Ayako Kobayashi, Kenichi Sano<br />
« Si<strong>le</strong>nt City » raconte l’histoire <strong>de</strong><br />
Rosa, jeune hollandaise qui se rend<br />
à Tokyo dans <strong>le</strong> but <strong>de</strong> s’initier à<br />
l’art <strong>de</strong> découper <strong>le</strong> poisson.<br />
L’initiateur n’est autre que <strong>le</strong> plus<br />
célèbre <strong>de</strong>s chefs spécialisés et<br />
maître <strong>de</strong> cet art, Master Kon.<br />
Les difficultés <strong>de</strong> communication<br />
constituant <strong>de</strong> plus en plus un<br />
obstac<strong>le</strong>, Rosa se sent <strong>de</strong> plus en<br />
plus seu<strong>le</strong>. Fauchée et désespérée,<br />
el<strong>le</strong> déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> prendre un travail d’appoint. El<strong>le</strong> commence à travail<strong>le</strong>r dans un night-club en<br />
divertissant <strong>le</strong>s hommes d'affaires japonais jusqu’à qu’un d’entre eux se montre trop<br />
pressant. El<strong>le</strong> comprend fina<strong>le</strong>ment l’enjeu <strong>de</strong> sa quête et se tourne alors vers <strong>le</strong> maître Kon.<br />
Née à Vlaardingen, Pays-Bas en 1959, Anna Threes est une écrivaine, dramaturge et<br />
réalisatrice <strong>de</strong> films. Entre 1990 et 1998, el<strong>le</strong> a été directrice artistique <strong>de</strong> la compagnie <strong>de</strong><br />
théâtre internationa<strong>le</strong> Dogtroep, avec laquel<strong>le</strong> el<strong>le</strong> a dirigé plus que cinquante spectac<strong>le</strong>s à<br />
travers <strong>le</strong> mon<strong>de</strong>. Son cinquième livre, « Wachten op <strong>de</strong> moesson », publié en 2010, a été<br />
traduit en plusieurs langues. En 2007, el<strong>le</strong> a réalisé son premier film The Bird Can't Fly,<br />
présenté à Zabaltegi-Nouveaux Réalisateurs au Festival <strong>de</strong> San Sebastian et lauréat <strong>de</strong><br />
plusieurs prix aux Pays-Bas et aux festivals internationaux.<br />
NOMINATIONS<br />
Section New Directors, San Sebastian International Film Festival, 2012<br />
Dutch Film Critics Award, Netherlands Film Festival, 2012<br />
“Visuals are beautifully composed, with lighting that's a touch expressive in terms of color<br />
use, with a tinge of slightly sickly green that un<strong>de</strong>rlines the artificial qualities of the<br />
surroundings.” Boyd van Hoeij, Variety.com, 2012<br />
“Threes ANNA’s “Si<strong>le</strong>nt City” is dreamlike, sensual and optimistic, a real p<strong>le</strong>asure to watch.”<br />
Camerajapan.nl, 2012<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Fiction<br />
SOUS LE FIGUIER<br />
Comédie dramatique<br />
France, Luxembourg, Belgique, 2012 | vo française | 92’ | Tarantula (LU)<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Anne-Marie Etienne et <strong>de</strong> l’actrice Gisè<strong>le</strong> Casa<strong>de</strong>sus<br />
Avec Avec Gisè<strong>le</strong> Casa<strong>de</strong>sus, Anne Consigny, Marie Kremer, Jonathan Zaccaï, Claire<br />
Blanquet, Chloé Imbert, Nina Baldo, Manon Lemaire<br />
Découvrant que son amie Selma, 95<br />
printemps, d'origine mo<strong>de</strong>ste, gagnant<br />
quelques sous en tirant <strong>le</strong>s cartes dans un<br />
café "voyance", va bientôt mourir, Nathalie,<br />
l'emmène passer l'été dans une gran<strong>de</strong><br />
maison en Mosel<strong>le</strong>. El<strong>le</strong>-même en p<strong>le</strong>in<br />
désarroi professionnel et affectif, vient <strong>de</strong><br />
plaquer son travail <strong>de</strong> chef cuisinier.<br />
El<strong>le</strong> entraîne avec el<strong>le</strong> son ami Christophe,<br />
juriste débordé et père célibataire <strong>de</strong> trois<br />
fil<strong>le</strong>ttes ainsi que Joël<strong>le</strong>, une très jeune<br />
femme assistante socia<strong>le</strong> plus dévouée aux autres qu'aux siens.<br />
Alors que Nathalie, Joel<strong>le</strong> et Christophe ont perdu <strong>de</strong> vue <strong>le</strong>urs priorités, Selma va <strong>le</strong>ur<br />
apprendre à dominer <strong>le</strong>urs peurs, profiter <strong>de</strong> la vie et prendre enfin <strong>le</strong>s bonnes décisions.<br />
La vieil<strong>le</strong> dame qui s’éloigne sur la pointe <strong>de</strong>s pieds utilisera ses <strong>de</strong>rniers moments pour<br />
remettre ses trois amis sur <strong>le</strong>s rails. Comment par<strong>le</strong>r <strong>de</strong> façon lumineuse et apaisante <strong>de</strong> ce<br />
qui fait si peur ? En évoquant la mort, Anne-Marie Étienne par<strong>le</strong> surtout <strong>de</strong> la vie. Son film<br />
n’est jamais auteuriste ou contemplatif. Il est léger et pétillant.<br />
SELECTIONS<br />
Compétition officiel<strong>le</strong>, Festival du Film <strong>de</strong> Cabourg, 2012<br />
Festival du Film Francophone d'Angoulême, 2012<br />
Festival du Film Francophone <strong>de</strong> Namur, 2012<br />
Anne-Marie Étienne débute sa carrière au cinéma dans <strong>le</strong>s années 80 en jouant pour <strong>de</strong>s<br />
réalisateurs tel que Pierre Tchernia et Clau<strong>de</strong> Chabrol. El<strong>le</strong> réalise son premier long métrage<br />
« Un été après l’autre ». Un film tourné entre Liège et Bruxel<strong>le</strong>s et dont l’actrice principa<strong>le</strong> est<br />
Annie Cordy. Par la suite, sa carrière balancera entre <strong>le</strong> théâtre et <strong>le</strong> cinéma. En plus <strong>de</strong><br />
mettre en scène pour <strong>le</strong> théâtre et d’écrire <strong>de</strong>s scénarios pour d’autres réalisateurs, Anne-<br />
Marie Etienne trouve <strong>le</strong> temps <strong>de</strong> réaliser <strong>de</strong>ux autres longs métrages. Le premier « Tôt ou<br />
tard » reçoit <strong>le</strong> prix d’interprétation du public au Festival International du Film Francophone<br />
<strong>de</strong> Namur en 1999 et <strong>le</strong> second « Si c’était lui » met en scène Caro<strong>le</strong> Bouquet et Marc<br />
Lavoine dans une comédie dramatique.<br />
« La photographie <strong>de</strong> ce long métrage est d’ail<strong>le</strong>urs un <strong>de</strong> ses gros points forts. […] mais<br />
l’autre point très fort du film est l’interprétation collégia<strong>le</strong> <strong>de</strong> quatre comédiens tous au top:<br />
Gisè<strong>le</strong> Casa<strong>de</strong>sus, bel<strong>le</strong> et exquise, presque timi<strong>de</strong>, toujours drô<strong>le</strong> est une mamy idyllique,<br />
Marie Krémer, Anne Consigny et Jonathan Zaccaï. » Point <strong>de</strong> vue du FIFF<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Documentaire<br />
CELLO TALES<br />
L’aventure d’un violoncel<strong>le</strong><br />
Luxembourg, 2012 | Vo al<strong>le</strong>man<strong>de</strong>, anglaise, française, italienne avec sst. français &<br />
anglais | 75’ | Samsa (LU)<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Anne Schiltz<br />
Le documentaire part du vol au Luxembourg d’un violoncel<strong>le</strong> Testore retrouvé, après <strong>de</strong>s<br />
années d’investigation, à Hong Kong. Quel<strong>le</strong> est la va<strong>le</strong>ur <strong>de</strong> ce violoncel<strong>le</strong> ? Quel<strong>le</strong>s<br />
passions soulèvent-il ?<br />
Cette histoire est cel<strong>le</strong> <strong>de</strong> P. Gerbaud, violoncelliste soliste à l'orchestre <strong>de</strong> RTL-Luxembourg<br />
dans <strong>le</strong>s années 1960. Un héritage <strong>de</strong> famil<strong>le</strong> lui avait permis d’acquérir un violoncel<strong>le</strong> <strong>de</strong><br />
1719 <strong>de</strong> Paolo Antonio Testore. Malheureusement, celui-ci disparaît en 1999.<br />
La fil<strong>le</strong> <strong>de</strong> M. Gerbaud, face à la souffrance <strong>de</strong> son père après <strong>le</strong> vol <strong>de</strong> son instrument <strong>de</strong><br />
prédi<strong>le</strong>ction, débute ses propres investigations. Après <strong>de</strong>s années <strong>de</strong> recherche incessantes,<br />
el<strong>le</strong> retrouve <strong>le</strong> violoncel<strong>le</strong> à Hong Kong aux mains d'un musicien qui prétend l'avoir acheté<br />
en toute légalité en Europe.<br />
En suivant l’aventure du violoncel<strong>le</strong>, <strong>le</strong> film nous transporte dans un mon<strong>de</strong> spécifique, celui<br />
<strong>de</strong>s musiciens et artisans-luthiers, <strong>de</strong>s marchands et col<strong>le</strong>ctionneurs. Il nous ouvre <strong>le</strong>s portes<br />
<strong>de</strong>s ateliers, <strong>de</strong>s sal<strong>le</strong>s <strong>de</strong> ventes aux enchères, <strong>de</strong>s concerts, etc. Ce sont toutes ces<br />
rencontres, ces relations intimes et passionnées avec l’instrument <strong>de</strong> musique qui sont au<br />
cœur <strong>de</strong> « Cello Ta<strong>le</strong>s ».<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Documentaire<br />
NAKED OPERA<br />
Le Don Giovanni luxembourgeois<br />
Luxembourg, Al<strong>le</strong>magne, Autriche, 2012 | Vo luxembourgeoise avec sst. français |<br />
Amour Fou (LU)<br />
D’Angela Christlieb – En présence <strong>de</strong> l’équipe<br />
Avec Marc Rollinger<br />
« Naked Opera » raconte l'histoire d'un homme aux multip<strong>le</strong>s facettes. Ta<strong>le</strong>ntueux,<br />
intelligent, éloquent et riche, Marc souffre d'une maladie incurab<strong>le</strong> <strong>de</strong>puis l'enfance. Il se<br />
considère comme une sorte <strong>de</strong> « Don Giovanni » luxembourgeois. Chaque week-end, il<br />
s’échappe <strong>de</strong> son quotidien en parcourant <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> à la recherche <strong>de</strong> la meil<strong>le</strong>ure<br />
performance possib<strong>le</strong> pour son opéra préféré, Don Giovanni. Marc s'entoure <strong>de</strong>s plus beaux<br />
jeunes hommes, séjourne dans <strong>le</strong>s meil<strong>le</strong>urs hôtels du mon<strong>de</strong>, et jouit <strong>de</strong> tous <strong>le</strong>s plaisirs.<br />
La réalisatrice Angela Christlieb a suivi Marc lors d’un <strong>de</strong> ses voyages à Venise où il tombe<br />
fou amoureux d’un jeune acteur porno.<br />
Le résultat est impressionnant : Angela réussit à dresser <strong>le</strong> portrait intime d’un homme<br />
tragique et fascinant oscillant entre un univers intel<strong>le</strong>ctuel et hédoniste.<br />
SELECTION<br />
Official Competition, Berlin International Film Festival 2013<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg - Documentaire<br />
SWEETHEART COME<br />
Amour et sexualité au Luxembourg<br />
Luxembourg, 2012 | vo luxembourgeoise, al<strong>le</strong>man<strong>de</strong> et française avec sst. français |<br />
92’ | Red Lion (LU)<br />
En présence du réalisateur Jacques Molitor<br />
Avec Lambert Sch<strong>le</strong>chter, Etienne Braun, Cornelia Nasch, Andrew But<strong>le</strong>r, Joël et<br />
Andréa Delvaux, Daniel Duton<br />
82 km dans une direction, 57 km<br />
dans l’autre. Tout autour se<br />
dressent <strong>de</strong>s frontières. Qu’y a-t-il<br />
entre ? Cinq cent mil<strong>le</strong> personnes.<br />
Le fantasme lubrique d’une<br />
personne pourrait être <strong>le</strong> tabou <strong>de</strong><br />
son voisin. Ce documentaire nous<br />
par<strong>le</strong> <strong>de</strong>s frontières extérieures,<br />
que nous franchissons à grands<br />
pas et <strong>de</strong>s frontières intérieures,<br />
que nous construisons pour nous<br />
protéger.<br />
A travers onze portraits très différents - <strong>de</strong> l’ado gâtée au coup<strong>le</strong> handicapé en passant par<br />
<strong>le</strong> domina ou <strong>le</strong> jeune prêtre – <strong>le</strong> film « Sweetheart Come » propose une radiographie <strong>de</strong> la<br />
sexualité dans <strong>le</strong> Luxembourg d’aujourd’hui.<br />
SELECTION<br />
Regards du présent, Festival International du Film Francophone à Namur, 2012<br />
Jacques Molitor est né à Luxembourg <strong>le</strong> 15 février 1980. Il entre à l’éco<strong>le</strong> <strong>de</strong> cinéma Institut<br />
<strong>de</strong>s Arts <strong>de</strong> Diffusion (Louvain-la-Neuve). Il suit éga<strong>le</strong>ment un cours <strong>de</strong> mise en scène à l’ «<br />
University of Southern California » (Los Ange<strong>le</strong>s) pendant l’été 2003. Son court-métrage <strong>de</strong><br />
fin d’étu<strong>de</strong>s « Gemini » est sé<strong>le</strong>ctionné entre autres au SICAF à Seoul en Corée, ainsi qu’au<br />
festival du film étudiant <strong>de</strong> Munich. En 2008, il réalise la fiction « En compagnie <strong>de</strong> la<br />
poussière ». Le court-métrage est notamment sé<strong>le</strong>ctionné pour <strong>le</strong>s « Léopards <strong>de</strong> <strong>de</strong>main »<br />
au festival prestigieux <strong>de</strong> Locarno et est éga<strong>le</strong>ment diffusé sur ARTE. En 2009 sort <strong>le</strong> courtmétrage<br />
en 35mm « Bonobo ». Cette co-production FraKas et La Fabrique d’Images<br />
(Luxembourg) est diffusée sur la chaine France 2. Jacques met en scène trois épiso<strong>de</strong>s <strong>de</strong><br />
la nouvel<strong>le</strong> sitcom RTL, « Comeback » (produit par Lucil Films), « Sweetheart come »,<br />
produit par Red Lion est son premier long métrage.<br />
« Je montre la différence entre <strong>le</strong>s rêves, <strong>le</strong>s fantasmes et <strong>le</strong> quotidien <strong>de</strong> la sexualité <strong>de</strong>s<br />
gens. Et aussi la recherche <strong>de</strong> l'amour. » Extrait <strong>de</strong> l’interview avec Jacques Molitor par<br />
Chloé Murat, l’Essentiel.lu, février 2012<br />
50
ÉMILIE – Cf. jeune public p.36<br />
ERRANCES<br />
Luxembourg, 2013 | vo française | 22’ | Antevita films (LU)<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Marylène Andrin<br />
Avec Eugène Anselin, Luc Schiltz, Valérie Bodson, Mathieu Singery, Elisabeth<br />
Chuffart<br />
Revendre. Chercher. Trouver. Mentir. L'héroïne aussi exige sa routine, Emilie <strong>le</strong> sait. Andrea,<br />
lui, pensait l'avoir enfin oublié. L'instinct <strong>de</strong> survie est-il solub<strong>le</strong> dans l'amour ?<br />
Marylène Andrin a étudié <strong>le</strong>s arts du spectac<strong>le</strong> à l’université <strong>de</strong> Metz. El<strong>le</strong> travail<strong>le</strong> dans<br />
différents domaines <strong>de</strong> l’audiovisuel et dans la <strong>presse</strong> (critique <strong>de</strong> cinéma dans<br />
l’hebdomadaire « Lëtzebuerger Land ») ainsi que sur divers tournages. « Errances » est son<br />
premier court métrage.<br />
51
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
GEI DU SCHO MOL VIR<br />
Luxembourg, 2013 | luxembourgeois avec sst. anglais | 24’ | Red Lion (LU)<br />
En présence du réalisateur Govinda Van Mae<strong>le</strong><br />
Avec Sven Bre<strong>de</strong>n, François Kox, Alicia Authe<strong>le</strong>t, Natacha Szvin<strong>de</strong>n<br />
Camil<strong>le</strong>, 27 ans, vit toujours chez son père. Son ami A<strong>le</strong>x, qui vient d’être mis à la porte par<br />
ses parents <strong>le</strong> jour <strong>de</strong> son 18 e anniversaire, s’instal<strong>le</strong> chez lui. Aucun d’eux ne travail<strong>le</strong>, ils<br />
préfèrent traîner dans <strong>le</strong>s rues <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur petite vil<strong>le</strong>. A l’occasion, ils s’introduisent dans <strong>le</strong>s<br />
maisons <strong>de</strong>s personnes âgées pour dérober <strong>de</strong>s médicaments. Un jour, ils trouvent une<br />
arme à feu. Ils déci<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la vendre et d’utiliser l’argent pour se rendre aux Pays-Bas. Mais<br />
bien sûr, <strong>le</strong>s choses ne se passent pas comme prévu.<br />
Govinda Van Mae<strong>le</strong> est né en 1983 au Luxembourg. Après son premier court « Josh »<br />
(2007), primé dans plusieurs festivals, il tourne « We might as well fail » un documentaire sur<br />
la scène rock au Luxembourg (2010). « En Dag am Fräien » remporte en 2012 <strong>le</strong> prix du<br />
meil<strong>le</strong>ur court métrage luxembourgeois lors du « Lëtzebuerger Filmpräis ».<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
LA CHUTE DE LA MAISON USHER<br />
Animation | LU, USA, 2013 | vo anglaise avec sst. français | 16’ | Studio 352 & Melusine<br />
Productions<br />
De Raul Garcia<br />
Raconté par Christopher Lee<br />
« La chute <strong>de</strong> la Maison Usher » est une <strong>de</strong>s « Histoires extraordinaires », une anthologie <strong>de</strong><br />
films d’animation basée sur <strong>le</strong>s classiques d'Edgar Allan Poe. Inspiré par l'histoire d'horreur<br />
célèbre, <strong>le</strong> court-métrage raconte l'histoire d'un jeune homme qui reçoit un jour une <strong>le</strong>ttre<br />
d'un ami d'enfance, Ro<strong>de</strong>rick Usher. Celui-ci lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>le</strong> retrouver dans sa <strong>de</strong>meure,<br />
qui est éloignée et isolée du reste du mon<strong>de</strong>. Usher a une maladie rare qui combine la<br />
sensibilité à la lumière troub<strong>le</strong>, l'hypocondrie et <strong>de</strong> l'anxiété. Sa soeur jumel<strong>le</strong>, Ma<strong>de</strong>line, est<br />
aussi mala<strong>de</strong> et, avec la visite <strong>de</strong> l'homme, tombe dans un état catatonique semblab<strong>le</strong> à la<br />
mort.<br />
SELECTION<br />
Pre-se<strong>le</strong>cted in the category "Best Animated Short” Oscars Aca<strong>de</strong>my Awards,<br />
Hollywood, USA, 2013<br />
Raul Garcia est un vétéran <strong>de</strong> l'animation, il débute en 1983 sur l'adaptation francoaméricaine<br />
d'un épiso<strong>de</strong> <strong>de</strong> Lucky Luke, Les Dalton en cava<strong>le</strong>. On <strong>le</strong> retrouve ensuite<br />
comme assistant animateur sur <strong>de</strong>ux aventures d'Astérix : Astérix et la surprise <strong>de</strong> César en<br />
1985 puis Astérix chez <strong>le</strong>s bretons l'année suivante. En 1992 il entre chez Disney et se<br />
charge <strong>de</strong> l'animation du génie dans Aladin. Garcia anime ensuite tous <strong>le</strong>s films <strong>de</strong> la<br />
compagnie jusqu'en 1999 et travail<strong>le</strong> donc sur Le Roi lion, Pocahontas ou encore Tarzan<br />
avant <strong>de</strong> se lancer dans la réalisation.<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
LE CHAGRIN DES OGRESSES<br />
Luxembourg, 2013 | vo française avec sst. anglais | 30’ | Juliette Films (LU)<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Myriam Mul<strong>le</strong>r<br />
Avec Sabine Timoteo, Elise Bonillo, Ju<strong>le</strong>s Werner<br />
Marion va rendre visite à sa fil<strong>le</strong> Céline à l'hôpital. Cel<strong>le</strong>-ci est atteinte d'une tumeur incurab<strong>le</strong><br />
au cerveau. El<strong>le</strong>s ne se sont pas vues <strong>de</strong>puis longtemps. Paul, <strong>le</strong> père, est à son chevet.<br />
C'est lui qui a la gar<strong>de</strong> <strong>de</strong> l'enfant. Pendant une brève absence <strong>de</strong> Paul, Marion va amener<br />
sa fil<strong>le</strong> faire un tour hors <strong>de</strong> l'enceinte <strong>de</strong> l'hôpital. Cette échappée <strong>le</strong>s conduira au bout <strong>de</strong> la<br />
nuit.<br />
Après <strong>le</strong> Conservatoire <strong>de</strong> la Vil<strong>le</strong> <strong>de</strong> Luxembourg et <strong>de</strong>s formations à Paris, Myriam Mul<strong>le</strong>r<br />
construit une carrière prolifique au théâtre en tant qu’actrice et metteuse en scène. Au<br />
cinéma, el<strong>le</strong> apparaît d’abord dans « Hochzäitsnuecht » (Pol Cruchten. 1991) et joue ensuite<br />
régulièrement dans <strong>de</strong>s productions et coproductions luxembourgeoises. « Le chagrin <strong>de</strong>s<br />
ogresses » est son <strong>de</strong>uxième court métrage en tant que réalisatrice.<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
LE FAUX DÉPART<br />
Luxembourg, 2013 | vo moré avec sst. français | 19’ | Antevita films (LU)<br />
En présence <strong>de</strong>s réalisateurs Thierry Besseling & Loïc Tanson<br />
Avec Rakiswendé Zongo, Julienne Zongo, Rachel<strong>le</strong> Timpoko Zongo<br />
Poussée par la volonté d’ai<strong>de</strong>r sa famil<strong>le</strong>, Rakiswendé s’échappe du cocon du centre pour<br />
enfants Noomdo, situé au coeur du Burkina Faso.<br />
Thierry Besseling et Loïc Tanson travail<strong>le</strong>nt ensemb<strong>le</strong> <strong>de</strong>puis 2009. Leur premier court<br />
métrage « Laaf » (2010) a été sé<strong>le</strong>ctionné dans plusieurs festivals. Ils ont enchaîné sur <strong>le</strong><br />
documentaire « Eldorado », réalisé en collaboration avec Rui Abreu, (en production) et<br />
plusieurs clips vidéo pour <strong>de</strong>s groupes <strong>de</strong> musique luxembourgeois. Tous <strong>de</strong>ux collaborent<br />
éga<strong>le</strong>ment à la sitcom « Comeback ». Loïc Tanson est critique <strong>de</strong> cinéma pour<br />
l’hebdomadaire « Le Jeudi » et l’émission « 20VirKino » sur RTL, Thierry Besseling écrit sur<br />
<strong>le</strong> cinéma dans « d’Lëtzebuerger Land ».<br />
55
M. HUBLOT – Cf. jeune public p.36<br />
NIGHT LIGHT MONSTER – Cf. jeune public p.36<br />
UNA FURTIVA LAGRIMA<br />
Animation | Etats-Unis, 2011 | sans paro<strong>le</strong>s | 3’<br />
De Carlo Voge<strong>le</strong><br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
Ultime voyage d’un poisson qui chante son propre requiem, <strong>de</strong>puis la vente à la poissonnerie<br />
jusque dans la poê<strong>le</strong> à frire.<br />
Né au Luxembourg, Carlo Voge<strong>le</strong> a suivi <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s d’animation à l’Eco<strong>le</strong> <strong>de</strong>s Gobelins à<br />
Paris et travail<strong>le</strong> actuel<strong>le</strong>ment en tant qu’animateur chez Pixar à San Francisco. Il a tourné<br />
« Una lagrima furtiva » tout seul, chez lui, dans sa cuisine.<br />
56
22h22<br />
Luxembourg, 2013 | vo française | 19’ | Skilllab<br />
En présence du réalisateur Julien Becker<br />
Avec Hervé Sogne<br />
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Ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg – Court-métrage<br />
Il est 22h22, Franck se réveil<strong>le</strong> à son bureau. Après avoir repris ses esprits il met son<br />
manteau et quitte l'open space <strong>de</strong> la société. Il prend l'ascenseur, mais quand <strong>le</strong>s portes <strong>de</strong><br />
celui-ci s'ouvrent il est toujours au même étage. Il tente <strong>de</strong> <strong>de</strong>scendre par <strong>le</strong>s escaliers... Il<br />
est 22h22.<br />
SELECTION<br />
Fantastic'Arts - Festival du Film Fantastique <strong>de</strong> Gérardmer 2013 (édition n°20)<br />
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6. Hors <strong>le</strong>s murs<br />
SCREENINGS & LUNCHTIME SHORTS<br />
CASINO LUXEMBOURG – FORUM D’ART CONTEMPORAIN<br />
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Hors <strong>le</strong>s murs<br />
Chaque jour, pour la pause <strong>de</strong> midi, un collaborateur du Casino-Luxembourg vous présente<br />
une sé<strong>le</strong>ction d’œuvres à mi-chemin entre <strong>de</strong>s approches cinématographiques et artistiques.<br />
Possibilité <strong>de</strong> restauration pendant <strong>le</strong>s projections, sur réservation (places limitées).<br />
Vendredi, 1 mars 2013<br />
1. Quinten Leon, De Parel van ’87, 2011 (37’)<br />
2. Han Hoogerbrugge, Quatrosopus, 2011 (2’)<br />
Lundi, 4 mars 2013<br />
1. Wojtek Doroszuk, Special Features, 2009 (32’)<br />
2. Patrick Bernatchez, I Feel Cold Today, 2007 (14’)<br />
Mercredi, 6 mars 2013<br />
1. Shoja Azari, Windows (sé<strong>le</strong>ction):<br />
- Traffic Jam, 2006 (9’)<br />
- Room with a View, 2006 (9’)<br />
- Lulax Pharmaceuticals, 2006 (5’)<br />
Courtesy the artist and Figge von Rosen Ga<strong>le</strong>rie, Köln/Berlin<br />
2. SUPERFLEX, Floo<strong>de</strong>d McDonald’s, 2009 (21’)<br />
Jeudi, 7 mars 2013<br />
1. Christoph Schwarz, Supercargo, 2010 (13’)<br />
2. Soren Thilo Fun<strong>de</strong>r, Disastrous Dialogue, 2011 (10’)<br />
3. Juan Arata, Mosca, 2005 (1’)<br />
4. Su Hui-Yu, The Upcoming show, 2012 (18’)<br />
Vendredi, 8 mars 2013<br />
1. Ho Tzu Nyen, The Cloud of Unknowing, 2011 (30’)<br />
2. Fabien Giraud & Raphaël Siboni, Friendly Fire, 2007 (13’)<br />
3. Zbynek Baladrán, Night of the World, 2011 (1’54’’)<br />
58
NEVER SORRY<br />
Documentaire<br />
Etats-Unis, 2011 | Anglais et mandarin avec stt. anglais | 91’<br />
2/03, 20h00, Casino Luxembourg – Forum d’Art Contemporain<br />
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Hors <strong>le</strong>s murs<br />
D’Alison Klayman<br />
Avec Peter Danqing Chen, Ying Gao, Changwei Gu, Tehching Hsieh, Huang Hung,<br />
Yanping Li, Evan Osnos, Ai Weiwei, Inserk Yang, Zuzhou Zuoxiao<br />
Ai Weiwei, artiste dissi<strong>de</strong>nt <strong>de</strong><br />
l’ère numérique, inspire l’opinion<br />
publique internationa<strong>le</strong> et brouil<strong>le</strong><br />
<strong>le</strong>s frontières entre art et politique.<br />
Arrêté par <strong>le</strong>s autorités chinoises<br />
<strong>le</strong> 3 avril 2011, libéré sous caution<br />
<strong>le</strong> 22 juin, Ai Weiwei est, à ce jour,<br />
interdit <strong>de</strong> sortie du territoire. "Ai<br />
WeiWei: Never sorry", est <strong>le</strong><br />
portrait d’un artiste engagé qui<br />
affronte sans relâche l’Etat chinois<br />
et nous rappel<strong>le</strong> <strong>de</strong> manière<br />
essentiel<strong>le</strong> notre besoin <strong>de</strong> liberté<br />
individuel<strong>le</strong>, politique et artistique.<br />
PRIX<br />
Special Jury prize for Spirit of Defiance, Sundance Film Festival, 2012<br />
Youth Jury Award, Movies That Matter Festival, 2012<br />
Director's Choice Award, Mountainfilm in Telluri<strong>de</strong> Festival, 2012<br />
Alison Klayman est une journaliste indépendante et une documentariste. Diplômée <strong>de</strong><br />
l'Université <strong>de</strong> Brown en 2006, la jeune femme par<strong>le</strong> <strong>le</strong> mandarin, <strong>le</strong> chinois et l'hébreu.<br />
Pendant un séjour en Chine <strong>de</strong> 2006 à 2010, Klayman a produit <strong>de</strong>s reportages pour la radio<br />
et la télévision. De 2009 à 2010, la journaliste déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> consacrer plus d'attentions à Ai<br />
Weiwei, et réalise son premier long métrage, Ai Weiwei: Never Sorry.<br />
"One of the Top 10 Movies of the Year."<br />
David E<strong>de</strong>lstein, Vulture.com, 2012<br />
"A galvanizing documentary; An intimate portrait of the artist."<br />
Manohla Dargis, Nytimes.com, September 2012<br />
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JEUDISCOVERYZONE - ICH LIEBE L’ALLEMAGNE !<br />
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Hors <strong>le</strong>s murs<br />
CARRÉROTONDES – ESPACE TRAFFO & EXIT07<br />
Organisé par <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong>, Luxembourg City Film Festival, IPW & Carré Roton<strong>de</strong>s, dans <strong>le</strong> cadre<br />
<strong>de</strong>s 50ans du Traité <strong>de</strong> l'Élysée<br />
7/03, 20h30, CarréRoton<strong>de</strong>s<br />
Fraktus est un groupe mythique, au point d’avoir influencé toute la scène é<strong>le</strong>ctro al<strong>le</strong>man<strong>de</strong> et d’être<br />
<strong>de</strong>venu l’objet d’un documentaire. Stereo Total – duo é<strong>le</strong>ctro berlinois, est tout autant mythique, quoi<br />
que plus contemporain. Ils <strong>de</strong>vaient se rencontrer, nous nous en sommes chargés.<br />
FRAKTUS - Documentaire<br />
De Lars Jessen | Al<strong>le</strong>magne, 2012 | vo al<strong>le</strong>man<strong>de</strong> avec sst. anglais | 95’ | Avec Devid Striesow,<br />
Heinz Strunk, Rocko Schamoni, Jacques<br />
Palminger, Piet Fuchs, Anna Be<strong>de</strong>rke, Hannes<br />
Hellmann, Felix Goeser<br />
De Westbam à Scooter, <strong>de</strong> Blixa Bargeld à Dieter<br />
Meier : la scène é<strong>le</strong>ctronique est unanime – <strong>le</strong> groupe<br />
Fraktus est l’inventeur <strong>de</strong> la techno.<br />
Et <strong>de</strong> tous ses composants : son esthétique, sa<br />
révolution sonore, sa technique.<br />
Mais que reste-t-il du mythe Fraktus ?<br />
Que sont <strong>de</strong>venus <strong>le</strong>s membres du groupe ?<br />
Ces pionniers du genre peuvent-ils revenir sur scène ?<br />
Lars Jessen est né en 1969 à Kiel et a d’abord étudié<br />
l'histoire, la politique et la philosophie à Cologne et puis ensuite du film et <strong>de</strong> la télévision à l'Académie<br />
<strong>de</strong>s Arts et Médias <strong>de</strong> Cologne.<br />
STEREO TOTAL – Concert<br />
A l’heure où <strong>le</strong> pacte franco-al<strong>le</strong>mand<br />
est plus que d’actualité, quel meil<strong>le</strong>ur<br />
groupe que Stereo Total pour réunifier<br />
<strong>le</strong>s <strong>de</strong>ux pays?<br />
En guise <strong>de</strong> pacte <strong>de</strong> stabilité, <strong>le</strong><br />
groupe formé en 1995 présente la<br />
sortie d’un onzième album studio<br />
nommé “Cactus Vs Brezel” (disponib<strong>le</strong><br />
<strong>de</strong>puis <strong>le</strong> 3 décembre chez Staatsakt /<br />
Differ-Ant), après trois années<br />
d’absence.<br />
Le duo passé maitre dans l‘intelligent<br />
trash-humor parcourt <strong>de</strong>puis 19 ans<br />
déjà toutes <strong>le</strong>s scènes du mon<strong>de</strong>, <strong>de</strong><br />
Berlin à Mexico en passant par<br />
Paris. Après avoir réussi à s’imposer au carrefour <strong>de</strong> la pop européenne, entre chanson francophones<br />
déjantées dans <strong>le</strong> texte et refrains taillés pour <strong>le</strong>s on<strong>de</strong>s, Françoise et Brezel reviennent avec ce<br />
onzième album studio à écouter comme une boite <strong>de</strong> Pandore pop. “Cactus Versus Brezel” est rempli<br />
<strong>de</strong> hits metrosexuels <strong>de</strong>stiné au redneck qui sommeil<strong>le</strong> en chacun <strong>de</strong> nous.<br />
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Hors <strong>le</strong>s murs<br />
DERNIER THÉ À BADEN-BADEN - LES MONOLOGUES D'UN AGENT DOUBLE<br />
CENTRE CULTUREL DE RENCONTRE ABBAYE DE NEUMÜNSTER<br />
4/03, 20h00, CCRN<br />
Création images et textes: Plonk & Replonk | Mise en scène: Andrea Novicov | Jeu: Didier<br />
Chiffel<strong>le</strong> | Avec <strong>le</strong> soutien du canton <strong>de</strong> Neuchâtel, <strong>de</strong>s vil<strong>le</strong>s <strong>de</strong> La Chaux-<strong>de</strong>-Fonds, <strong>de</strong><br />
Neuchâtel et du Loc<strong>le</strong>, ainsi que <strong>de</strong> Pro Helvetia, Loterie Roman<strong>de</strong>, Corodis.<br />
Quand l'univers unique <strong>de</strong>s graphistes suisses Plonk & Replonk découvre la troisième<br />
dimension. Connus pour <strong>le</strong>urs cartes posta<strong>le</strong>s délirantes et <strong>le</strong>urs nains bétonnés, Plonk &<br />
Replonk s'offrent ici un comédien et <strong>de</strong>ux bruiteuses pour mettre en mouvement <strong>le</strong>urs<br />
délires. Un agent doub<strong>le</strong> tout à fait ordinaire entremê<strong>le</strong> son histoire à cel<strong>le</strong> <strong>de</strong> l'Europe. Une<br />
plongée dans une étrange guerre froi<strong>de</strong> entre théâtre et cinéma, l'acteur évoluant sur scène<br />
se retrouvant propulsé à l'intérieur d'un écran au mon<strong>de</strong> singulier et à l'avenir inquiétant. Et si<br />
<strong>le</strong> surréalisme <strong>de</strong>venait <strong>le</strong> bras armé <strong>de</strong> la paix ?<br />
En 1995, dans <strong>le</strong>s Franches-Montagnes du Jura suisse, naquît Plonk & Replonk, col<strong>le</strong>ctif a<br />
l'humour noir et grinçant, qui façonna sa vision du mon<strong>de</strong> en mélangeant cel<strong>le</strong> <strong>de</strong> Vialatte ou<br />
<strong>de</strong> Pierre Desproges avec <strong>le</strong> non-sens du <strong>de</strong>ssinateur américain Gary Larson, la causticité et<br />
l'extravagance <strong>de</strong>s sketches <strong>de</strong>s Monthy Python.<br />
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DISCOVERY BRUNCH, MORNING SCREENING<br />
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Hors <strong>le</strong>s murs<br />
MUSÉE D’ART MODERNE GRAND-DUC JEAN, MUDAM<br />
3/03, 11h00, MUDAM - Une oeuvre à découvrir en matinée, suivie d’une discussion avec la<br />
réalisatrice Clarisse Hahn et d'un verre au Mudam Café.<br />
KURDISH LOVER<br />
Documentaire<br />
France, 2012 | Vo kur<strong>de</strong> avec sst. français | 98’<br />
En présence <strong>de</strong> la réalisatrice Clarisse Hahn<br />
Avec son compagnon kur<strong>de</strong> rencontré à<br />
Paris, Clarisse Hahn découvre « un pays qui<br />
n'existe pas », une zone sinistrée,<br />
immobilisée par la guerre et la misère<br />
économique, perdue entre tradition et<br />
mo<strong>de</strong>rnité. Le Kurdistan. Comme un cousin<br />
lointain venu d'ail<strong>le</strong>urs, <strong>le</strong> spectateur<br />
partage <strong>le</strong> quotidien d'une famil<strong>le</strong> ou l'amour<br />
se confond souvent avec l'emprise. Un<br />
quotidien où <strong>le</strong> paganisme régit <strong>le</strong> rapport<br />
aux choses et à la vie, <strong>le</strong> magique se mêlant<br />
au trivial.<br />
PRIX<br />
Grand Prix, CLERMONT-FERRAND Traces <strong>de</strong> Vies, France<br />
Prix du Film Français, BELFORT Festival International du film,France<br />
Prix du Public documentaire, BELFORT Festival International du film, France<br />
Best Film, BELO HORIZONTE Forumdoc, Brésil<br />
Special Jury Award, RIO DE JANEIRO Women’s International Film festival, Brésil<br />
Documentariste et plasticienne née en 1973. Le travail <strong>de</strong> Clarisse Hahn est principa<strong>le</strong>ment<br />
axé autour d’une recherche documentaire, qui se développe au travers <strong>de</strong> films, <strong>de</strong><br />
photographies et d’installations vidéo. Clarisse Hahn entretient une relation <strong>de</strong> gran<strong>de</strong><br />
proximité avec <strong>le</strong>s personnes qu’el<strong>le</strong> filme, et <strong>le</strong>s accompagne pendant une pério<strong>de</strong><br />
relativement longue; observant et filmant jusqu'à faire partie <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur vie quotidienne. El<strong>le</strong><br />
s'immerge dans <strong>le</strong> réseau comp<strong>le</strong>xe <strong>de</strong>s va<strong>le</strong>urs personnel<strong>le</strong>s et communautaires qui<br />
unissent <strong>le</strong>s gens ensemb<strong>le</strong>. Les documentaires <strong>de</strong> Clarisse Hahn proviennent <strong>de</strong> son désir<br />
<strong>de</strong> communication intime avec ses sujets. El<strong>le</strong> souhaite montrer comment <strong>le</strong>s individus vivent<br />
et réagissent avec <strong>le</strong>ur environnement.<br />
« La sortie en sal<strong>le</strong>s <strong>de</strong> "Kurdish Lover" confirme l'art documentaire <strong>de</strong> Clarisse Hahn<br />
comme un art vibrant du portrait. » Florence Maillard, Cahiersducinema.com, 2013<br />
« Clarisse Hahn livre un objet unique. » Sophie Bourboul, Humanite.fr, 2012<br />
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7. Quartier Général - Evènements<br />
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Quartier Général - Evènements<br />
RATSKELLER - CERCLE CITÉ<br />
Le prestigieux espace d’exposition « Ratskel<strong>le</strong>r », situé au coeur du Cerc<strong>le</strong> Cité <strong>de</strong> la Vil<strong>le</strong> <strong>de</strong><br />
Luxembourg se transforme, <strong>le</strong> temps du festival, en Quartier Général. Il accueil<strong>le</strong>ra un<br />
concept intégré proposant :<br />
un bar éphémère, grâce à la collaboration du col<strong>le</strong>ctif Filmreakter, Filmakers Network<br />
Luxembourg ;<br />
un point d’accueil et d’information ;<br />
<strong>de</strong>ux expositions inédites nourries <strong>de</strong> l’univers cinématographique ;<br />
une multitu<strong>de</strong> d’événements (ateliers, forums, soirées) et <strong>de</strong> rencontres.<br />
Pendant 9 jours, <strong>le</strong> Ratskel<strong>le</strong>r sera LE lieu à fréquenter en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s projections.<br />
D'Stater Kinoen<br />
Les cinémas <strong>de</strong> la vil<strong>le</strong> <strong>de</strong> Luxembourg / Eine Kinogeschichte <strong>de</strong>r Stadt Luxemburg<br />
Vernissage 27/02, 18h00, Ratskel<strong>le</strong>r, Cerc<strong>le</strong> Cité<br />
A l’instar du livre, richement illustrée, <strong>de</strong> Paul Lesch «D’Stater<br />
Kinoen. Eine Kinogeschichte <strong>de</strong>r Stadt Luxemburg » sur<br />
l’histoire <strong>de</strong>s cinémas <strong>de</strong> la vil<strong>le</strong> <strong>de</strong> Luxembourg, cette<br />
exposition, rassemb<strong>le</strong> <strong>de</strong>s documents iconographiques divers<br />
(photos, plans, feuil<strong>le</strong>s <strong>de</strong> publicité) s’étalant sur plusieurs<br />
décennies. Des premières projections du 19 e sièc<strong>le</strong> dans <strong>de</strong>s<br />
sal<strong>le</strong>s tel<strong>le</strong>s que The Yank, Vox et Victory, à l’actuel Utopolis,<br />
l’exposition permet au public d’aujourd’hui <strong>de</strong> se faire une<br />
idée plus précise <strong>de</strong> ce qui a été pendant <strong>de</strong> longues années<br />
<strong>le</strong> principal loisir d’une majorité d’habitants <strong>de</strong> la capita<strong>le</strong> et<br />
<strong>de</strong>s environs. Le livre sera présenté lors du vernissage <strong>de</strong><br />
l’exposition « D’Stater Kinoen » <strong>le</strong> 27 février au Ratskel<strong>le</strong>r,<br />
Quartier Général du Luxembourg City Film Festival.<br />
Mon<strong>de</strong>s Animés / The World of Animation / Trickwelten<br />
Vernissage 27/02, 18h00, Ratskel<strong>le</strong>r, Cerc<strong>le</strong> Cité<br />
Au sein <strong>de</strong> son Quartier Général, <strong>le</strong> festival<br />
vous offre une exposition phare, véritab<strong>le</strong><br />
panorama du cinéma d’animation<br />
luxembourgeois. Films <strong>de</strong> fiction, courtsmétrages,<br />
séries TV, retrouvez dans «<br />
Mon<strong>de</strong>s animés » toutes <strong>le</strong>s œuvres<br />
d’animation célèbres ainsi que <strong>le</strong>urs<br />
personnages ma<strong>de</strong> in / with Luxembourg !<br />
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Quartier Général - Evènements<br />
Bistrot du LARS<br />
2/03, 19h30, Ratskel<strong>le</strong>r, Cerc<strong>le</strong> Cité<br />
L’Association Luxembourgeoise <strong>de</strong>s Réalisateurs et <strong>de</strong>s Scénaristes (LARS) prendra ses<br />
quartiers <strong>le</strong> temps d’un verre au Ratskel<strong>le</strong>r.<br />
Casting : Du modè<strong>le</strong> américain à l’exemp<strong>le</strong> al<strong>le</strong>mand.<br />
Avec Simone Bär (castingstudio.<strong>de</strong>)<br />
Modération Duncan Roberts<br />
2/03, 16h45, Auditorium, Cerc<strong>le</strong> Cité<br />
Au terme <strong>de</strong> la projection du documentaire, <strong>le</strong>s<br />
spectateurs seront invités à une rencontre<br />
discussion avec Simone Bär, emblématique<br />
Directrice <strong>de</strong> casting berlinoise ayant à son<br />
palmarès <strong>de</strong>s œuvres aussi prestigieuses que<br />
The White Ribbon (Michael Haneke), Good<br />
bye Lenin! (Wolfgang Becker), Inglorious<br />
Basterds (Quentin Tarantino) ou Good bye<br />
Lenin! (Wolfgang Becker). La conférence, en<br />
anglais, sera animée par <strong>le</strong> journaliste et<br />
critique Duncan Roberts.<br />
7e Edition European Short Pitch<br />
Forum <strong>de</strong> coproduction / Coproduction Forum<br />
NISI MASA, European network of young film makers en collaboration avec Filmreakter<br />
ANG / EN | 2/03, 10h00 – 16h00 | Auditorium, Cerc<strong>le</strong> Cité<br />
Depuis 2007, « European Short Pitch » est un forum <strong>de</strong> coproduction et <strong>de</strong> rencontre qui<br />
permet d’établir <strong>de</strong>s passerel<strong>le</strong>s entre la scène professionnel<strong>le</strong> et la jeune création<br />
européenne et assure la promotion <strong>de</strong>s oeuvres.<br />
Animation Café – 7e Edition<br />
« L'acting et l'émotion dans un film d'animation. Comment<br />
donner vie à un personnage animé ? » | Zeilt Productions<br />
4/03, 19h00, Ratskel<strong>le</strong>r, Cerc<strong>le</strong> Cité<br />
Cet évènement, ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> l’animation au Luxembourg,<br />
permet d’échanger <strong>de</strong>s points <strong>de</strong> vue, <strong>de</strong>s idées et <strong>de</strong>s<br />
techniques d’animation aussi bien entre professionnels<br />
qu’avec <strong>le</strong>s étudiants et lycéens. D’une part, <strong>le</strong>s studios<br />
d’animations et <strong>le</strong>s producteurs peuvent partager <strong>le</strong>urs<br />
expériences et ainsi favoriser <strong>le</strong> développement du savoirfaire<br />
au Luxembourg. D’autre part, il permet aux étudiants et<br />
lycéens <strong>de</strong> côtoyer <strong>le</strong>s professionnels <strong>de</strong> l'animation et <strong>de</strong><br />
découvrir <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> du <strong>de</strong>ssin animé. Cet évènement,<br />
entièrement gratuit et ouvert aussi bien au public qu’aux<br />
professionnels <strong>de</strong> l’animation a lieu tous <strong>le</strong>s 4 mois environ.<br />
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Contacts<br />
<strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong>, Luxembourg City Film Festival 2013<br />
FESTIVAL DE CINEMA VILLE DE LUXEMBOURG A.S.B.L.<br />
<strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> c/o Utopia SA<br />
45 avenue JF Kennedy<br />
L-1855 Luxembourg<br />
T +352 42 95 11 – 554<br />
info( at )discoveryzone.lu<br />
www.discoveryzone.lu<br />
Service Presse<br />
press( at )discoveryzone.lu<br />
Sal<strong>le</strong>s<br />
Ciné Utopia : 16, avenue <strong>de</strong> la Faïencerie / L-1510 Luxembourg<br />
Cinémathèque <strong>de</strong> la Vil<strong>le</strong> <strong>de</strong> Luxembourg : 17, place du Théâtre / L-2613 Luxembourg<br />
Utopolis : 45, avenue JF Kennedy / L-1855 Luxembourg<br />
Quartier Général<br />
Cerc<strong>le</strong> Cité – Espace d’exposition « Ratskel<strong>le</strong>r » : Entrée rue du curé / L-2012 Luxembourg<br />
Hors <strong>le</strong>s murs<br />
Crazy Cinématographe for Kids : Cour intérieure <strong>de</strong>s Capucins / Luxembourg<br />
Centre Culturel et <strong>de</strong> Rencontre Abbaye <strong>de</strong> Neumünster : 28, rue Münster / L-2160<br />
Luxembourg<br />
CarréRoton<strong>de</strong>s : 1, rue <strong>de</strong> l’Aciérie / L-1112 Luxembourg-Hol<strong>le</strong>rich<br />
Musée d’Art Mo<strong>de</strong>rne Grand-Duc Jean : 3, Park Dräi Eeche<strong>le</strong>n / L-1499 Luxembourg-<br />
Kirchberg<br />
Casino Luxembourg – Forum d’Art Contemporain : 41, rue Notre-Dame / L-2240<br />
Luxembourg<br />
Tarifs<br />
Tarif - <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> : 5 € *<br />
Tarif réduit - <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> : 3,50 €<br />
Offre réservée aux :<br />
jeunes <strong>de</strong> moins <strong>de</strong> 16 ans<br />
étudiants sur présentation <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur carte étudiant<br />
personnes âgées <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 65 ans<br />
personnes à mobilité réduite<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
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chômeurs sur présentation <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur carte<br />
détenteurs du Kulturpass<br />
Ateliers – <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong> : entrée gratuite, inscription obligatoire via<br />
register( at ) discoveryzone.lu<br />
*hors tarifs spéciaux – voir hors <strong>le</strong>s murs<br />
Vente ticket individuel<br />
Ciné Utopia : 16, avenue <strong>de</strong> la faïencerie / L-1510 Luxembourg / T +352 22 46 11 /<br />
utopia( at )utopolis.com<br />
www.utopia.lu – uniquement pour <strong>le</strong>s films Ciné Utopia<br />
Utopolis : 45, avenue JF Kennedy / L-1855 Luxembourg / vente uniquement sur place aux<br />
caisses<br />
Cinémathèque <strong>de</strong> la Vil<strong>le</strong> <strong>de</strong> Luxembourg : 17, place du Théâtre / L-2613 Luxembourg / T<br />
352 4796 2644 / cinematheque( at )vdl.lu<br />
www.luxembourgticket.lu – uniquement pour <strong>le</strong>s films Cinémathèque<br />
<strong>Discovery</strong> Pass : 20 €<br />
Le <strong>Discovery</strong> Pass est strictement nominatif et ouvre l’accès à toutes <strong>le</strong>s séances<br />
publiques du festival, hors évènements spéciaux signalés, sur présentation<br />
obligatoire aux caisses et dans la limite <strong>de</strong>s places disponib<strong>le</strong>s.<br />
Le <strong>Discovery</strong> Pass ne dispense pas <strong>le</strong> retrait d’un ticket gratuit aux caisses <strong>de</strong>s<br />
cinémas partenaires.<br />
Le <strong>Discovery</strong> Pass n’est ni échangeab<strong>le</strong>, ni remboursab<strong>le</strong> et n’est valab<strong>le</strong> que pour<br />
<strong>le</strong>s films <strong>de</strong> <strong>Discovery</strong> <strong>Zone</strong>, Luxembourg City Film Festival, du 28 février au 8 mars<br />
2013.<br />
Achat et retrait du <strong>Discovery</strong> Pass à partir du 18 février 2013 uniquement aux caisses<br />
Utopolis, Ciné Utopia et Cinémathèque.<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
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Remerciements<br />
Partenaires institutionnels & privilégiés<br />
Sponsors officiels<br />
Partenaires<br />
Soutien<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
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Avec <strong>le</strong> soutien <strong>de</strong><br />
Association Luxembourgeoise <strong>de</strong>s Techniciens <strong>de</strong> l'Audiovisuel (ALTA)<br />
Union Luxembourgeoise <strong>de</strong> la Production Audiovisuel<strong>le</strong> (ULPA)<br />
Association Luxembourgeoise <strong>de</strong>s Réalisateurs et <strong>de</strong>s Scénaristes (LARS)<br />
Partenaires médias / Media Partner / Media Partner<br />
Collaborations jeune public & hors <strong>le</strong>s murs<br />
Attention, cette liste n’est qu’une sé<strong>le</strong>ction et reste soumise à modifications.<br />
Restez informé sur : www.discoveryzone.lu<br />
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