Plumassier - Institut National des Métiers d'Art
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<strong>Plumassier</strong><br />
Les métiers<br />
de la mode<br />
Fabricant d’accessoires<br />
de mode<br />
Chapelier<br />
Corsetier<br />
Eventailliste<br />
Formier<br />
Modiste<br />
<strong>Plumassier</strong><br />
Modéliste<br />
Tailleur-couturier
<strong>Plumassier</strong><br />
Métier<br />
Matière naturelle utilisée depuis l’Antiquité, la plume est présente dans toutes les cultures et<br />
civilisations symbolisant l’appartenance à un clan, la puissance, la virilité, la vaillance au<br />
combat mais aussi le pouvoir, la souveraineté, la justice, le rang social, etc.<br />
En France, on la retrouve sur les coiffures militaires et les couvre-chefs masculins. À partir du<br />
XVIIIème siècle, elle devient un élément de garniture très prisé dans la mode féminine,<br />
marque de raffinement et d’élégance, et orne notamment les chapeaux de la reine Marie-<br />
Antoinette créés par sa marchande de mo<strong>des</strong> Rose Bertin ou ses coiffures réalisées par son<br />
coiffeur personnel, Léonard. Elle ne cessera d’être employée dans la parure provoquant un<br />
véritable engouement à la Belle Époque, agrémentant les tenues et coiffes <strong>des</strong> Années Folles,<br />
puis, dans une moindre mesure, garnissant chapeaux, bijoux, accessoires de mode et<br />
vêtements au cours <strong>des</strong> décennies suivantes.<br />
Également indissociables de l’univers du music-hall, les costumes et accessoires en plumes<br />
ont, dès le début du XXème siècle, paré les danseuses et meneuses de revues dont les gran<strong>des</strong><br />
figures telles que Mistinguett, Joséphine Baker ou Zizi Jeanmaire. Confectionnés à partir de<br />
plumes variées et colorées, les boas, couronnes et coiffes spectaculaires, gigantesques<br />
traînes, éventails démesurés, ont ainsi toujours participé aux fastes <strong>des</strong> revues, comme en<br />
témoignent notamment les <strong>des</strong>sins d’Erté (1892-1990).<br />
Les plumes ont aussi servi de matière première dans le domaine décoratif. On peut<br />
notamment encore admirer <strong>des</strong> tableaux religieux datant du XVIème siècle réalisés en<br />
mosaïque de plumes, technique répandue dans la civilisation précolombienne et<br />
particulièrement dans l’art aztèque. En Europe, les plumes étaient parfois employées en<br />
élément de décor dans l’ameublement et pouvaient par exemple coiffer richement les dais<br />
<strong>des</strong> souverains. Des compositions décoratives réalisées en plumes pouvaient aussi reprendre<br />
les peintures représentant <strong>des</strong> natures mortes de fleurs, d’oiseaux et d’insectes.<br />
Héritiers d’un savoir-faire multi-séculaire, les plumassiers reproduisent les gestes minutieux<br />
et les techniques spécialisées qu’ils associent à leur créativité et aux tendances de la mode<br />
pour inscrire la plume dans l’ornement contemporain.<br />
Si le savoir-faire du plumassier n’a que très peu évolué au fil du temps, son outillage de base<br />
ne s’est pas non plus modifié. Il se compose d’un couteau à parer, tranchant et bien affûté,<br />
d’un couteau à friser à lame non tranchante, d’une pince pour saisir les plumes et de ciseaux.<br />
La plume est constituée du calamus, partie implantée dans la chair de l’oiseau et<br />
couramment appelée le culot, d’une hampe, arête centrale couramment appelée la côte,<br />
comportant <strong>des</strong> barbes elles-mêmes dotées de barbules s’accrochant aux barbes voisines et<br />
les maintenant solidaires les unes <strong>des</strong> autres.<br />
Les plumes offrent une palette incroyable de couleurs, de formes et de textures. Le<br />
plumassier utilise <strong>des</strong> plumes d’oiseaux d’élevage : autruche, coq, dinde, poule, oie, faisan,<br />
canard, pintade, paon, etc. Elles proviennent principalement de pays étrangers (Afrique du<br />
Sud, Israël, Chine, Brésil, Inde et pays d’Europe de l’Est).<br />
Pour chaque pièce réalisée, un travail de préparation et de sélection <strong>des</strong> plumes est<br />
indispensable. Les plumes brutes sont d’abord nettoyées à l’eau savonneuse afin de les<br />
dégraisser et de les débarrasser de leurs impuretés puis rincées à l’eau claire. Ensuite, elles<br />
peuvent être teintes au moyen de teintures à tissus ou bien décolorées ou blanchies ou<br />
encore brûlées (trempées dans une solution basique afin de supprimer les barbules). Une fois<br />
séchées, les plumes sont passées au <strong>des</strong>sus d’une source de vapeur afin de les déployer, de<br />
leur redonner volume et souplesse, d’épanouir leurs barbules et de raccrocher leurs barbes.<br />
L’art de façonner la plume nécessite une connaissance approfondie de la matière, les plumes<br />
étant choisies une à une pour créer les effets recherchés.
La sélection <strong>des</strong> plumes est une tâche primordiale qui fait appel au sens de l’observation et à<br />
la patience. En effet, toutes les plumes d’un oiseau sont par nature différentes tant au<br />
niveau de leur couleur, de leur motif que de leur texture, de leur taille et de leur inclinaison<br />
liée à leur implantation sur l’oiseau. Autant que possible, le plumassier privilégie les couleurs<br />
naturelles au détriment de la teinture.<br />
Les trois techniques fondamentales en plumasserie sont le collage, la monture et la couture.<br />
Dans le passé, s’y ajoutait le tissage. En fonction de la pièce réalisée, le plumassier choisit de<br />
mettre en œuvre une seule ou plusieurs de ces techniques. Associées à la connaissance <strong>des</strong><br />
plumes et de leur façon de réagir au façonnage, les différentes techniques de la plumasserie<br />
permettent de servir la créativité et d’atteindre l’effet recherché pouvant porter aussi bien<br />
sur la texture, sur le volume que sur un motif.<br />
La technique de la monture permet de réaliser piquets, plumets et pompons de plumes ou de<br />
barbes. Elle consiste à assembler au fil métallique ou de coton différents éléments autour<br />
d’une tige (fil rigide métallique, côte d’une plume…) en pratiquant le « tourner ». Pour les<br />
montures fines composées de barbes de plumes ou de plumes à la côte fine, le fil à enrouler<br />
est maintenu entre les doigts de la main droite afin de lui faire subir une certaine tension. Ce<br />
même fil est pris entre le pouce et l’index de la main gauche, avec la tige que l’on fait<br />
tourner rapidement de gauche à droite tout en exerçant un serrage du fil. De cette manière,<br />
le fil s’enroule en spirale autour de la tige de façon à maintenir durablement les éléments<br />
assemblés. Lorsqu’il réalise <strong>des</strong> garnitures plus imposantes, le plumassier maintient les<br />
éléments dans la main gauche et tourne le fil de la main droite dans un mouvement de<br />
moulinet.<br />
Cette technique du « tourner » est également utilisée pour réaliser <strong>des</strong> moules en ouate de<br />
coton qui seront recouverts de plumes ou pour les finitions en habillant la tige d’une couche<br />
régulière de matière (fil de rayonne, de coton ou de soie, ruban de papier, gutta…) sur toute<br />
sa longueur. Cette technique est le « guiper ».<br />
Le collage permet de recouvrir en totalité ou partiellement un support rigide ou souple. Les<br />
plumes peuvent être collées directement sur la pièce à emplumer mais aussi sur <strong>des</strong><br />
« minoches », petits éléments typiques de la production <strong>des</strong> ateliers de plumasserie,<br />
confectionnés dans un tissu de soutien ou en feutrine, souvent en forme de goutte ou ovale et<br />
servant d’éléments de garniture. Entre le pouce et l’index, le plumassier tient le couteau<br />
avec lequel il coupe de façon nette la côte de la plume. Tout en maintenant la plume sur la<br />
lame du couteau et sous le pouce, il positionne une pointe de colle sur l’envers ou sur<br />
l’endroit de la plume en sa base. Il peut aussi encoller toute la surface de la plume en étirant<br />
la colle au moyen de son couteau. Il pose ensuite la plume sur le support à recouvrir. Les<br />
plumes peuvent être collées en aplat (sur l’endroit de la plume), en relief ou à la<br />
« retroussette » (sur l’envers de la plume), côte à côte, l’une sur l’autre, en quinconce, etc.<br />
L’avancement du travail et les sens de collage sont déterminés selon l’effet visuel et/ou de<br />
texture recherché et doivent s’adapter à la forme de la pièce.<br />
Les plumes peuvent être cousues sur un support textile ou en franges sur un ruban ou un biais<br />
de tissu.<br />
Le plumassier peut aussi fabriquer différents types de boas. Pour les boas d’autruche, il<br />
"décôte" les plumes d’autruche et les dispose sur un métier qui se présente sous la forme<br />
d’une planche en bois présentant <strong>des</strong> rangées de clous séparées par un espace sur toute la<br />
longueur du métier. Les plumes décôtées sont réparties de chaque côté de cet espace sans<br />
clou dans lequel le plumassier insère un gros fil de coton et <strong>des</strong> plumes de marabout parées<br />
<strong>des</strong>tinées à cacher le montage. Les différents éléments sont ensuite assemblés au point zigzag<br />
au moyen d’une machine à coudre munie d’un pied de biche adapté. Le boa encore plat<br />
et en arêtes de poisson est alors « frimaté » (tourné au <strong>des</strong>sus d’une source de vapeur). Il<br />
devient ainsi cylindrique et se réduit en longueur d’un tiers. Pour les boas "chandelles"<br />
réalisés en plumes déchirées d’oie, le plumassier utilise un outil comportant deux bobines<br />
dont les fils dévidés vont emprisonner les plumes pour les assembler. Pour les boas "papillons"<br />
en plumes de dinde ou pour les boas de coq, le plumassier insère un fil dans la côte de<br />
chaque plume puis tourne le boa en le maintenant aux deux extrémités pour lui donner son<br />
aspect final.
Différentes techniques de façonnage peuvent être utilisées pour modifier l’aspect naturel<br />
d’une plume. Le plumassier peut ainsi parer la côte <strong>des</strong> plumes, redresser les plumes ou les<br />
crosser afin de les courber en exerçant de légères pressions le long de la côte avec le couteau<br />
à friser, les ébarber (c’est-à-dire ôter les barbes de la côte), découper les barbes, les friser,<br />
les nouer entre elles pour allonger les plumes, etc.<br />
Aux techniques traditionnelles se sont ajoutées les techniques modernes : sérigraphie et<br />
autres mo<strong>des</strong> d’impression, utilisation du laser pour brûler les barbules suivant un <strong>des</strong>sin<br />
déterminé, etc.<br />
Les possibilités de mise en œuvre de la matière sont infinies.<br />
Formations<br />
Formation initiale<br />
Niveau V (Niveau équivalent au brevet d'étu<strong>des</strong> professionnelles - BEP, au certificat d'aptitude<br />
professionnelle - CAP)<br />
CAP plumassier, 2 ans.<br />
Formation professionnelle continue<br />
Il existe une formation complémentaire d’initiative locale (FCIL) dans le domaine <strong>des</strong> arts de<br />
la mode (broderie, chapellerie, fleurs, plumes) d’une durée d’un an ainsi que <strong>des</strong> formations<br />
non diplômantes, d'une durée d'un à cinq jours permettant de suivre une initiation aux<br />
techniques du métier de plumassier.<br />
Retrouvez toutes les adresses <strong>des</strong> organismes de formations initiales et professionnelles<br />
continues dans les métiers d’art en consultant notre base de données sur notre site Internet :<br />
http://www.institut-metiersdart.org/<br />
Retrouvez le schéma <strong>des</strong> formations aux métiers d’art sur notre site Internet :<br />
http://www.institut-metiersdart.org/<br />
Sur le site http://www.moveart.org/, retrouvez toutes les adresses <strong>des</strong> centres de<br />
formations en Europe.<br />
Environnement<br />
L’histoire du métier de plumassier en France est intimement liée à celle <strong>des</strong> métiers de<br />
fleuriste en fleurs artificielles et de modiste. "Chapeliers de paon" au XIIIème siècle,<br />
"plumassiers de panaches" au XVIème siècle, la corporation <strong>des</strong> "maîtres plumassiers,<br />
panachiers, bouquetiers et enjoliveurs de Paris" établie sous Henri IV confectionne <strong>des</strong><br />
ornements de tête, <strong>des</strong> guirlan<strong>des</strong> de fleurs, <strong>des</strong> panaches ou <strong>des</strong> chapeaux, <strong>des</strong> bonnets de<br />
mascara<strong>des</strong>, <strong>des</strong> bouquets pour les églises… Leurs statuts sont confirmés sous le règne de<br />
Louis XIII puis sous celui de Louis XIV. En 1776, les plumassiers et fleuristes se regroupent avec<br />
les modistes dans la corporation <strong>des</strong> "faiseuses ou marchan<strong>des</strong> de mo<strong>des</strong>". Suite à la<br />
Révolution, les corporations sont dissoutes. On distinguera désormais les métiers de<br />
plumassier, de fleuriste et de modiste. Les métiers de plumassier et de fleuriste demeureront<br />
toutefois très liés et complémentaires. Au début du XXème siècle, ce sont souvent les mêmes<br />
ouvrières qui produisent en hiver les fleurs pour les collections d’été et qui confectionnent en<br />
été les parures de plumes pour les collections d’hiver.
L’apogée de l’activité artisanale liée à la plume se situe à la Belle Époque. La plumasserie<br />
acquiert un véritable statut industriel et l’on dénombre, à Paris, près de 800 maisons de<br />
plumassiers. La mode <strong>des</strong> Années Folles accorde encore une place importante à la plume. On<br />
recense 425 maisons en 1919. L’après-guerre marque le déclin de l’utilisation de la plume<br />
dans l’habillement. Le nombre de plumassiers n’a alors cessé de diminuer : 68 maisons en<br />
1950, 33 en 1963, 14 en 1973, 5 en 1980.<br />
De nos jours, seules quatre entreprises œuvrent dans le domaine : la maison Lemarié, fondée<br />
en 1880 et appartenant désormais au groupe Chanel, celui-ci cherchant à racheter « les doigts<br />
d’or » de la haute couture afin de pérenniser le savoir-faire <strong>des</strong> artisans d’art du secteur de<br />
la mode; la maison Légeron, fondée en 1880 ; la maison Février, créée en 1929, rachetée par<br />
le Moulin Rouge en 2009 et qui est spécialisée dans la confection de costumes de spectacles<br />
et music-halls ; la société Marcy, créée en 1966, spécialisée dans la fabrication d’articles en<br />
plumes, dans le traitement et la teinture <strong>des</strong> plumes.<br />
Parallèlement à ces maisons, un nombre limité de professionnels (environ cinq) exercent en<br />
tant que créateurs indépendants.<br />
Bien que le métier soit exercé par un nombre réduit de professionnels, il est pérennisé grâce<br />
aux créations de haute couture et de prêt-à-porter de luxe - accessoires, sacs, bijoux,<br />
chaussures, etc. Les couturiers qui n’avaient jamais vraiment cessé d’intégrer la plume à<br />
leurs collections, la remettent, depuis quelques années, de plus en plus à l’honneur dans<br />
leurs défilés, rajeunie par <strong>des</strong> mises en œuvre audacieuses et virtuoses. Le métier est<br />
également ancré dans le secteur du spectacle, la plume occupant toujours une place<br />
importante dans les costumes <strong>des</strong> cabarets et music-halls, dans les costumes de cinéma, de<br />
théâtre et d’opéra. La plume est aussi utilisée dans le domaine décoratif notamment pour les<br />
luminaires, les cadres, les miroirs, etc.<br />
L’engouement pour la plume au début du XXème siècle a entraîné une exploitation massive<br />
d’oiseaux sauvages, exotiques et marins. L’usage non raisonné de la plume dans la mode a<br />
alors été vivement contesté par nombre de détracteurs. Peu à peu, <strong>des</strong> réglementations<br />
visant à protéger les espèces en danger de disparition ont été rédigées et les plumassiers ont<br />
été contraints de s’y conformer. Les plumes d’oiseaux exotiques étant les plus recherchées,<br />
les plumassiers transformaient les plumes d’oiseaux d’élevage afin qu’elles ne soient plus<br />
identifiables et qu’elles acquièrent par là un aspect exotique.<br />
Aujourd’hui, le commerce de la plume est régi par la Convention sur le commerce<br />
international <strong>des</strong> espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) ou<br />
Convention de Washington. Signée en 1973 par les représentants de 80 pays et entrée en<br />
vigueur en 1975, elle a pour but de veiller à ce que le commerce international <strong>des</strong> spécimens<br />
d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie <strong>des</strong> espèces auxquelles elles<br />
appartiennent.<br />
Les plumes utilisées dans le cadre de l’activité plumassière proviennent d’oiseaux<br />
domestiques, élevés pour leur plumage, leur duvet, leur peau ou leur chair.<br />
Organisme professionnel<br />
Syndicat national <strong>des</strong> fabricants et grossistes en chapellerie, mode, fleurs, plumes et<br />
accessoires,<br />
21, rue d’Uzès, 75002 Paris.<br />
Tél. : 01 47 42 66 45. Fax : 01 47 42 84 64.<br />
info@chap-synd.com<br />
http://www.chap-synd.com<br />
Le syndicat regroupe trois activités autrefois indépendantes : chapellerie, mode, fleurs et<br />
plumes. Les adhérents représentent la gamme de la production française : articles de sport,<br />
campagne, ville, soir, cérémonie et mariage, prêt-à-porter, haute-couture, éventails et<br />
accessoires de tête.
Salons et manifestations<br />
Ethical Fashion Show, à Paris,<br />
Annuel, septembre,<br />
Ethical Fashion Show, Messe Frankfurt France, 1, avenue de Flandre, 75019 Paris.<br />
Tél. : 01 55 26 89 85. Fax : 01 40 35 09 00.<br />
ethicalfashionshow@france.messefrankfurt.com<br />
http://www.ethicalfashionshow.com<br />
Cet événement a vocation de faire connaître la mode éthique qui intègre les dimensions<br />
économiques, humaines et environnementales. Il regroupe <strong>des</strong> créateurs engagés dans la<br />
préservation de l’environnement et soucieux de valoriser les savoir-faire <strong>des</strong> cultures du<br />
monde entier. Ce salon permet de mettre en avant auprès <strong>des</strong> acheteurs la créativité et le<br />
savoir-faire <strong>des</strong> marques présentes grâce à <strong>des</strong> show-rooms présentant <strong>des</strong> créateurs venus du<br />
monde entier, <strong>des</strong> tables ron<strong>des</strong> sur les thèmes de l’habillement, du savoir-faire et du textile,<br />
<strong>des</strong> défilés couture et sportswear et un espace d’exposition et de vidéo projection.<br />
Made in France, Salon de la Haute Façon, à Paris,<br />
Annuel, mars,<br />
Eurovet – Made in France by FATEX, 37-39, rue de Neuilly, BP 121, 92582 Clichy.<br />
Tél. : 01 47 56 32 32. Fax : 01 47 56 32 99.<br />
fatex@eurovet.fr<br />
http://www.salonmadeinfrance.com<br />
Ce salon réservé aux professionnels regroupe <strong>des</strong> entreprises de la haute façon française<br />
présentant <strong>des</strong> savoir-faire de tradition liés à <strong>des</strong> techniques innovantes dans les domaines de<br />
l’habillement, de la maroquinerie, de la chaussure, du linge de maison et de l’accessoire de<br />
luxe et haut de gamme.<br />
Le Showroom, à Paris,<br />
Biannuel, mars/octobre,<br />
Picaflor Sarl, 11, rue Jean Macé, 75011 Paris.<br />
Tél. : 01 43 72 75 37. Fax : 01 43 73 28 42.<br />
contact@leshowroom.fr<br />
http://www.leshowroom.fr<br />
Ce salon professionnel présente, dans un cadre intimiste, une offre globale et sélective de<br />
collections de prêt-à-porter et d’accessoires, mettant ainsi en avant <strong>des</strong> jeunes créateurs<br />
débutants ou confirmés.<br />
Who’s Next - Prêt-à-porter Paris, à Paris,<br />
Biannuel, janvier/juillet,<br />
WSN Developpement, 27-29 rue Guénégaud, 75006 Paris.<br />
Tél. : 01 40 13 74 74. Fax : 01 40 13 74 84.<br />
info@whosnext.com<br />
http://www.whosnext.com<br />
Salon professionnel et international du prêt-à-porter : vêtements et accessoires du prêt-àporter<br />
masculin et féminin. Il se décline en différents univers complémentaires, proches de<br />
l’évolution du marché : Private, qui intègre les marques exposant auparavant au salon Prêt-àporter<br />
Paris ; Fame, dédié à la mode féminine créative présentant <strong>des</strong> produits exclusifs et<br />
haut de gamme ; Première classe, qui présente une sélection de créateurs en accessoires ; Le<br />
Cube, dédié à la maroquinerie et à la bagagerie ; Mr Brown, dédié à l'offre urbaine et à la<br />
mode masculine et Mess Around, qui regroupe les professionnels du marché de la chaussure.<br />
Première Classe à Paris,<br />
Quadri-annuel, mars/octobre (Jardins <strong>des</strong> Tuileries) et janvier/juillet (Porte de Versailles),<br />
WSN Developpement, 27-29, rue Guénégaud, 75006 Paris.<br />
Tél. : 01 40 13 74 70. Fax : 01 40 13 74 80.<br />
info@premiere-classe.com<br />
http://www.premiere-classe.com
Organisé dans le cadre de « Paris capitale de la création » le salon professionnel Première<br />
Classe présente une sélection de créateurs en accessoires (bijoux, sacs, chaussures,<br />
chapeaux) répondant à <strong>des</strong> critères de qualité et de créativité. Il est intégré à l’évènement<br />
Who’s Next pour les sessions de janvier et juillet.<br />
ModAmont, à Paris, à Villepinte,<br />
Biannuel, février/septembre,<br />
ModAmont SAS, 7, rue du Pasteur Wagner, 75011 Paris.<br />
Tél. : 01 70 38 70 20. Fax : 01 70 38 70 21.<br />
org@modamont.com<br />
http://www.modamont.com<br />
Salon professionnel exclusivement consacré aux fournitures et accessoires pour la mode et le<br />
<strong>des</strong>ign, ModAmont s’adresse à tous les fabricants d’accessoires. Les exposants y présentent<br />
étiquettes, packaging, broderies, accessoires métalliques, textiles et fonctionnels. Le salon<br />
accueille stylistes, directeurs de collection, chefs de produits et directeurs <strong>des</strong> achats qui<br />
viennent s’inspirer sur les forums, rencontrer <strong>des</strong> partenaires et rechercher les dernières<br />
innovations de l’accessoire. Le salon a lieu en partenariat avec Première Vision Pluriel.<br />
Workshop Paris, à Paris,<br />
Biannuel, mars/octobre,<br />
Workshop Fashion Agency, 4-6, rue de Braque, 75003 Paris.<br />
Tél. : 01 44 54 10 90. Fax : 01 44 54 09 48.<br />
contact@workshopfashionagency.com<br />
http://www.workshopsalons.com/<br />
Ce salon professionnel regroupe marques reconnues et nouveaux créateurs talentueux en<br />
prêt-à-porter et accessoires qui présentent leur collection à <strong>des</strong> acheteurs internationaux. Il<br />
se tient pendant la semaine <strong>des</strong> défilés de prêt-à-porter créateurs à Paris. Au sein <strong>des</strong> salons<br />
membres de « Paris capitale de la création », le caractère particulier de Workshop tient à la<br />
sélectivité <strong>des</strong> collections qui y sont exposées et au raffinement de son cadre et de son<br />
organisation.<br />
T-Mode à Paris,<br />
Quadri-annuel, mars/mai/septembre/novembre,<br />
SBO, 28, rue du Pont Louis-Philippe, 75004 Paris.<br />
Tél. : 06 75 09 75 49.<br />
sebastien@saloncourtcircuit.com<br />
http://www.saloncourtcircuit.com<br />
Salon entièrement dédié aux vêtements et à l’accessoire de mode, ce salon est un rendezvous<br />
entre le public et les jeunes créateurs.<br />
Court circuit, à Paris,<br />
Quadri-annuel, mars/mai/septembre/novembre,<br />
SBO, 28, rue du Pont Louis-Philippe, 75004 Paris.<br />
Tél. : 06 75 09 75 49.<br />
sebastien@saloncourtcircuit.com<br />
http://www.saloncourtcircuit.com<br />
Créé en décembre 1996 sous le nom "Les Puces de l'Art", le salon Court circuit permet de<br />
révéler au grand public <strong>des</strong> créateurs dans les domaines de la mode, de la décoration et de<br />
l’art contemporain. Grâce à une couverture médiatique importante, le salon est devenu<br />
itinérant et a lieu chaque trimestre sur la durée d'un week-end. Court circuit s’est imposé<br />
comme le salon de la création mais aussi comme un tremplin pour les jeunes talents<br />
d’aujourd’hui et un show-room pour les créateurs français ou étrangers déjà confirmés. Court<br />
circuit s’associe au magazine «Maison créative» afin de développer sur de nombreux salons en<br />
province <strong>des</strong> «pôles créateurs».
Concours<br />
Talents de mode,<br />
Annuel, septembre,<br />
Concours Talents de mode, Village <strong>des</strong> Créateurs, Passage Thiaffait, 19, rue René Leynaud,<br />
69001 Lyon.<br />
Tél. : 04 78 27 37 21. Fax : 04 72 87 07 66.<br />
contact@talentsdemode.com<br />
http://www.talentsdemode.com<br />
Créé à l’initiative du Village <strong>des</strong> Créateurs, la structure de référence pour fédérer et<br />
accompagner les marques de mode, décoration et <strong>des</strong>ign en Rhône-Alpes, le concours Talents<br />
de mode a pour vocation de promouvoir la création dans le domaine de la mode et de<br />
soutenir l’implantation et le développement de nouvelles entreprises de mode dans le Village<br />
<strong>des</strong> Créateurs de Lyon. Les candidats retenus sur dossier présentent leur projet devant un<br />
jury présidé par une personnalité de la mode. Le lauréat bénéficie d’un accompagnement au<br />
développement de son entreprise, d’un atelier-boutique du Village <strong>des</strong> Créateurs (offert les<br />
douze premier mois et financé à 50% les onze mois suivants) et reçoit la somme de 5000<br />
euros. La Fédération française de Prêt-à-porter féminin offre à l’un <strong>des</strong> participants un<br />
espace sur un salon professionnel de mode à Paris. Le prix Coup de cœur du jury se voit offrir<br />
une adhésion au Village de Créateurs et à ses différents services d’accompagnement pendant<br />
un an.<br />
Les ambassa<strong>des</strong> <strong>des</strong> Catherinettes,<br />
Annuel, novembre,<br />
Lycée Octave Feuillet, 9, rue Octave Feuillet, 75116 Paris.<br />
Tél. : 01 45 20 41 47. Fax : 01 45 20 59 71.<br />
lyceeoctave.feuillet@wanadoo.fr<br />
http://lyc-octave-feuillet.scola.ac-paris.fr<br />
Ce concours est ouvert aussi bien aux professionnels (modistes, chapeliers, maisons de haute<br />
couture) qu’aux élèves <strong>des</strong> lycées professionnels et écoles de mode de Paris ou issus du Greta<br />
de la mode et <strong>des</strong> cours municipaux de la ville de Paris. Les chapeaux ou coiffes, réalisés dans<br />
l’esprit de la tradition <strong>des</strong> catherinettes, sont exposés puis présentés au cours d’un défilé à<br />
un jury composé de professionnels et de personnalités. À l’issue de la délibération du jury et<br />
du vote du public, différents prix sont attribués : le Prix amateurs, le Prix jeunes<br />
professionnels, le Prix professionnels et le Prix du public.<br />
Concours Jeunes Créateurs Who’s next,<br />
Biannuel, janvier/juillet,<br />
Who’s next, 27-29 rue Guénégaud, 75006 Paris.<br />
Tél. : 01 40 13 74 74. Fax : 01 40 13 74 84.<br />
info@whosnext.com<br />
http://www.whosnext.com<br />
Ce concours en ligne est ouvert aux jeunes créateurs de mode et d’accessoires. À l’issue<br />
d’une sélection <strong>des</strong> dossiers envoyés sur le blog du salon Who’s next<br />
(http://www.whosnextblog.com), les lauréats ont l’opportunité d’exposer sur ce salon,<br />
bénéficiant d’un stand gratuit pour leur première session et du forfait Jeunes Créateurs<br />
pendant les deux sessions suivantes afin de leur permettre d’installer leur marque et de lui<br />
donner une visibilité auprès <strong>des</strong> professionnels du secteur.<br />
Prix Avenir <strong>Métiers</strong> d’Art - INMA,<br />
Annuel, remise de prix : date variable.<br />
Remise <strong>des</strong> dossiers : 31 mai de l’année en cours.<br />
<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>des</strong> <strong>Métiers</strong> d’Art - 23, Avenue Daumesnil, 75012 Paris.<br />
Tél. : 01 55 78 85 85. Fax : 01 55 78 86 17.<br />
prixavenir@inma-france.org<br />
http://www.institut-metiersdart.org
Les Prix Avenir <strong>Métiers</strong> d’Art – INMA, en partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine<br />
RIBOUD, sont <strong>des</strong>tinés à mettre en valeur de jeunes talents futurs acteurs de la vie<br />
économique dans ces métiers d'excellence.<br />
Ils ont pour objectif d'encourager et de valoriser les savoir-faire spécifiques aux métiers d'art<br />
à travers les œuvres réalisées par les élèves de lycées professionnels, d’écoles techniques, les<br />
jeunes en formation en alternance et les étudiants <strong>des</strong> écoles d'art, de niveau V, IV et III.<br />
Le 1 er Prix de chaque région et de chaque niveau recevra de l’INMA un chèque d’une valeur de<br />
250€ ainsi qu’un diplôme. Les lauréats régionaux bénéficieront également <strong>des</strong> avantages du<br />
CLUB Avenir <strong>Métiers</strong> d’Art, grâce au partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine<br />
RIBOUD : séjour de deux jours à paris, rencontres avec <strong>des</strong> professionnels, visite de musées,<br />
ateliers, etc. et exposition de leurs œuvres à Paris, en vue du prix national.<br />
Les 1 ers Prix nationaux recevront 750€ ainsi qu’une bourse de 6000€ de la Fondation Michelle<br />
et Antoine RIBOUD. Les deuxièmes Prix nationaux seront dotés d’une somme de 450€ et les<br />
troisièmes d’une somme de 300€. Ces dotations seront complétées par un diplôme et un appui<br />
en termes de communication et de promotion.<br />
Sources d’informations<br />
Lieux ressources<br />
Atelier-musée du chapeau,<br />
16, rue de Saint-Galmier, 42140 Chazelles-sur-Lyon.<br />
Tél. : 04 77 94 23 29. Fax : 04 77 54 27 75.<br />
contact@museeduchapeau.com<br />
http://www.museeduchapeau.com<br />
Créé en 1983, l’atelier-musée du chapeau a pour mission la conservation de la mémoire de<br />
l’activité de chapellerie à Chazelles-sur-Lyon. Il organise <strong>des</strong> visites retraçant quatre siècles<br />
de tradition chapelière : ateliers reconstitués, machines en fonctionnement, vidéo et<br />
démonstration de mise en forme du chapeau à la vapeur. Il a également pour objectif de faire<br />
découvrir les métiers de la mode (modiste, fleuriste en fleurs artificielles, plumassier…) et les<br />
métiers associés (formier, chapelier détaillant…). Il expose une riche collection de chapeaux<br />
datant de la fin du XVIIIème siècle à nos jours. Depuis 1998, l’atelier-musée du chapeau est<br />
entré dans une phase active de conservation de certains savoir-faire avec le développement<br />
d’un centre de formation en mode et chapellerie, la mise en place d’un atelier de production<br />
intégré et l’organisation <strong>des</strong> Rencontres internationales du chapeau. L’atelier-musée du<br />
chapeau est doté d’un centre de documentation dont le fonds, consultable sur rendez-vous,<br />
est constitué de revues et d’ouvrages spécialisés dans les secteurs de la mode et chapellerie<br />
et dans les techniques et savoir-faire associés.<br />
Un projet de transfert-extension de l’atelier-musée du chapeau est en cours, prévu pour<br />
2013. Il donnera lieu à la création d’espaces muséographiques et d’expositions temporaires<br />
plus importants. Le site devrait accueillir un atelier de production, un espace boutique, un<br />
centre de formation en mode et chapellerie, un centre de ressources et de documentation,<br />
un espace événementiel et <strong>des</strong> ateliers de créateurs en vue de la création d’un pôle mode,<br />
chapeau et métiers d’art.<br />
Bibliothèque et centre de documentation du musée Galliera,<br />
Musée de la mode et du costume de la ville de Paris, Palais Galliera,<br />
10, avenue Pierre 1 er de Serbie, 75116 Paris.<br />
Tél. : 01 56 52 86 46.<br />
bibliodoc.galliera@paris.fr<br />
http://www.galliera.paris.fr<br />
La bibliothèque et le centre de documentation du musée Galliera sont spécialisés dans<br />
l'histoire de la mode et du costume civil occidental, de l'antiquité à nos jours. Leur accès est<br />
uniquement réservé aux étudiants, chercheurs et professionnels, sur rendez-vous.
Le fonds, très riche, est constitué d’ouvrages, de monographies, de périodiques de mode<br />
datant de 1830 à nos jours, de catalogues d’expositions, de catalogues publicitaires et<br />
commerciaux, de dossiers documentaires sur les marques, couturiers et créateurs <strong>des</strong> années<br />
80 à nos jours.<br />
Centre de documentation de l’<strong>Institut</strong> français de la mode (IFM),<br />
36, quai d’Austerlitz, 75013 Paris.<br />
Tél. : 01 70 38 89 89. Fax : 01 70 38 89 00.<br />
documentation@ifm-paris.com<br />
http://www.ifm-paris.com<br />
Créé en 1986, l'<strong>Institut</strong> français de la mode est le centre de formation et d'expertise <strong>des</strong><br />
professionnels de la mode et du textile. Il comprend deux grands pôles d'activité : le pôle<br />
formation, recherche et le Centre textile de conjoncture et d’observation (CTCOE). L'IFM<br />
conduit une politique de diversification vers d'autres secteurs à forte valeur ajoutée créative<br />
: accessoires, cosmétiques, maison, <strong>des</strong>ign. Le Centre de documentation dispose d'un fonds<br />
documentaire unique en Europe. Il est constitué d'informations, de données chiffrées,<br />
textuelles et iconographiques sur les marchés et acteurs internationaux du textilehabillement,<br />
de la mode et <strong>des</strong> secteurs connexes, du stade de la création à celui de la<br />
distribution.<br />
Centre de documentation du musée de la mode et du textile,<br />
Les Arts décoratifs, 107, rue de Rivoli, 75001 Paris.<br />
Tél. : 01 44 55 57 58.<br />
centrededoc@lesartsdecoratifs.fr<br />
http://www.lesartsdecoratifs.fr<br />
Fruit du regroupement <strong>des</strong> fonds <strong>des</strong> Arts décoratifs et de l'Union française <strong>des</strong> arts et <strong>des</strong><br />
costumes, les collections permettent de retracer les gran<strong>des</strong> lignes de l'évolution du costume.<br />
Le centre de documentation de la mode et du textile, accessible sur rendez-vous, est doté<br />
d’un riche fonds constitué d’ouvrages, de revues, de dossiers documentaires, d’un cabinet<br />
d’estampe, d’une photothèque et d’une tissuthèque.<br />
Centre de documentation du musée de la mode,<br />
11, la Canebière, BP 72249, 13211 Marseille Cedex 01.<br />
Tél. : 04 96 17 06 00. Fax : 04 96 17 06 01.<br />
Ce centre a pour mission de collecter, conserver et mettre à disposition du public de<br />
nombreux documents concernant la mode. Accessible sur rendez-vous, il accueille <strong>des</strong><br />
étudiants, <strong>des</strong> chercheurs et <strong>des</strong> professionnels du secteur.<br />
Presse<br />
C+ Accessoires,<br />
Bimestriel,<br />
C+ Accessoires, 49, rue Ampère, 75017 Paris.<br />
Tél. : 01 40 24 09 07. Fax : 01 40 24 00 12.<br />
abonnement@cplusaccessoires.com<br />
http://cplusaccessoires.com<br />
C+ accessoires présente les tendances de la saison, <strong>des</strong> portraits de professionnels, un dossier<br />
spécial, une enquête.<br />
Fashion Daily News,<br />
Hebdomadaire,<br />
Éditions Larivière, 9, allée Jean Prouvé, 92587 Clichy Cedex.<br />
Tél. : 01 41 40 34 77.<br />
http://www.fashion-dailynews.com<br />
Actualités sur le prêt-à-porter, les défilés, la lingerie, les fibres textiles ainsi que les<br />
tendances de la consommation ou de la distribution. Service de petites annonces.
Le Journal du textile,<br />
Hebdomadaire,<br />
Le Journal du textile, 61, rue de Malte, 75541 Paris Cedex 11.<br />
Tél. : 01 43 57 21 89. Fax : 01 47 00 08 35.<br />
contact@journaldutextile.com<br />
http://www.journaldutextile.com/<br />
Panorama de l’actualité textile, suivi de l’évolution du marché et <strong>des</strong> entreprises, salons et<br />
manifestations, dossiers thématiques, offres et deman<strong>des</strong> d’emploi dans toute la filière.<br />
Sites Internet<br />
http://www.cites.org<br />
Le site de la Convention de Washington permet de consulter les données réglementaires<br />
relatives aux espèces de faune ou de flore protégées dans tous les pays. La base de données<br />
en ligne offre la possibilité de rechercher une espèce par nom scientifique et de consulter les<br />
élevages, les instructions, les décisions communautaires, les avis scientifiques et les quotas.<br />
Le site permet également d'effectuer <strong>des</strong> deman<strong>des</strong> de permis d'importation, de permis<br />
d'exportation, de certificats de réexportation et de certificats intracommunautaires.<br />
Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif et ne sauraient prétendre à<br />
l’exhaustivité.<br />
Pour en savoir plus…<br />
Consultez le Centre de ressources de l’<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>des</strong> <strong>Métiers</strong> d’art, une ressource<br />
unique sur les métiers d’art :<br />
• Des bases de données documentaires sur l’actualité <strong>des</strong> métiers d’art et <strong>des</strong> bases de<br />
données sur les formations, accessibles sur son site internet.<br />
• Un fonds documentaire spécialisé : revues, dossiers, ouvrages et plus de 750 films sur<br />
ce secteur.<br />
<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>des</strong> <strong>Métiers</strong> d’art,<br />
23 avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85<br />
Ouvert du mardi au vendredi de 14 à 18 heures<br />
info@inma-france.org<br />
http://www.institut-metiersdart.org/<br />
© Centre de ressources, <strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>des</strong> <strong>Métiers</strong> d’Art, 23, avenue Daumesnil 75012 Paris, 2012